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T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
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T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Jeu 8 Sep - 22:32
Assise près du rebord de la piscine, les pieds trempés, je les agite légèrement pour créer quelques petites vagues au dessus de cette eau, semblant si profonde. Perdue dans mes pensées, je n'aperçois ni entends le monde qui m'entoure, bien trop occuper à voguer à l'intérieur de mon propre esprit, essayant d'y voir plus clair. Avec tous ces événements survenus en si peu de temps, je n'ai pas eu réellement le temps de me poser, pour réfléchir, sur tout ce qui a pu se passer dans ma vie et sur moi-même. Je ne sais plus vraiment où j'en suis, ni même qui je suis. Je suis dans une intense remise en question, ce qui ne m'aide franchement pas au vu de mon état actuel. Entre les élections au présidentiel, ce poste que j'ai soudainement obtenu, le kidnapping qui en a traumatisé plus d'un et qui m'a, par la même occasion traumatisé, malgré mon désir de rester forte, de montrer aux autres que tout va bien, sans flancher une seule fois, et tous ces autres périples dans ma vie, autant dire que je suis servie sur un plateau d'argent. C'est la première fois que j'ai ce sentiment d'avoir la tête pleine, alors qu'elle est en général vide. Vidée de tout. Peut-être que tout change, que mon environnement change et surtout . . . que je change aussi. Mais tout ce changement me fait peur, m'angoisse. Je ne suis pas faite pour tant de bousculements, je ne suis pas faite pour faire face à la vérité du monde. Je ne veux pas. Je veux rester dans l'obscurité, loin de tout, seule. Je suis bien seule. Je l'étais en tout cas. Inspirant profondément, je tente de me ressaisir, secouant nerveusement mon visage, oubliant tous ces maux qui me transpercent. Je chasse d'un revers de main ces pensées déplaisantes et me relève délicatement, préférant m'éloigner de la profondeur de l'eau, celle-ci m'engouffrant un peu plus dans mes pensées. J'avance donc d'un pas lourd, lentement, très lentement.
Je m'arrête, brusquement, lorsqu'une main se pose sur mes épaules, le cœur battant à tout rompre. L'angoisse me crispe le corps, craignant que cela soit une autre attaque, un autre kidnapping, encore une fois. En plus de cela, je suis seule, il n'y a personne, juste cette main sur mon épaule, rien d'autre, je ne peux donc faire appel à quelqu'un. C'est l'endroit idéal , le moment idéal, pour renouveler une attaque de ce genre. Je n'ose me retourner, préférant attendre. Attendre pour mieux attaquer. Je compte, un, deux, trois, et donne un coup dans l'abdomen de l'individu en question, prête à me défendre, si besoin.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Calvin - #Molvin ♥
Assise près du rebord de la piscine, les pieds trempés, je les agite légèrement pour créer quelques petites vagues au dessus de cette eau, semblant si profonde. Perdue dans mes pensées, je n'aperçois ni entends le monde qui m'entoure, bien trop occuper à voguer à l'intérieur de mon propre esprit, essayant d'y voir plus clair. Avec tous ces événements survenus en si peu de temps, je n'ai pas eu réellement le temps de me poser, pour réfléchir, sur tout ce qui a pu se passer dans ma vie et sur moi-même. Je ne sais plus vraiment où j'en suis, ni même qui je suis. Je suis dans une intense remise en question, ce qui ne m'aide franchement pas au vu de mon état actuel. Entre les élections au présidentiel, ce poste que j'ai soudainement obtenu, le kidnapping qui en a traumatisé plus d'un et qui m'a, par la même occasion traumatisé, malgré mon désir de rester forte, de montrer aux autres que tout va bien, sans flancher une seule fois, et tous ces autres périples dans ma vie, autant dire que je suis servie sur un plateau d'argent. C'est la première fois que j'ai ce sentiment d'avoir la tête pleine, alors qu'elle est en général vide. Vidée de tout. Peut-être que tout change, que mon environnement change et surtout . . . que je change aussi. Mais tout ce changement me fait peur, m'angoisse. Je ne suis pas faite pour tant de bousculements, je ne suis pas faite pour faire face à la vérité du monde. Je ne veux pas. Je veux rester dans l'obscurité, loin de tout, seule. Je suis bien seule. Je l'étais en tout cas. Inspirant profondément, je tente de me ressaisir, secouant nerveusement mon visage, oubliant tous ces maux qui me transpercent. Je chasse d'un revers de main ces pensées déplaisantes et me relève délicatement, préférant m'éloigner de la profondeur de l'eau, celle-ci m'engouffrant un peu plus dans mes pensées. J'avance donc d'un pas lourd, lentement, très lentement.Je m'arrête, brusquement, lorsqu'une main se pose sur mes épaules, le cœur battant à tout rompre. L'angoisse me crispe le corps, craignant que cela soit une autre attaque, un autre kidnapping, encore une fois. En plus de cela, je suis seule, il n'y a personne, juste cette main sur mon épaule, rien d'autre, je ne peux donc faire appel à quelqu'un. C'est l'endroit idéal , le moment idéal, pour renouveler une attaque de ce genre. Je n'ose me retourner, préférant attendre. Attendre pour mieux attaquer. Je compte, un, deux, trois, et donne un coup dans l'abdomen de l'individu en question, prête à me défendre, si besoin.
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Lun 12 Sep - 23:06
Calvin accélère doucement le pas, sa main s’approche de la nuque d’une jeune inconnue. Ses doigts décrochent son collier en or avec une facilité remarquable et doucement, il fait glisser le bijou de son cou sans même qu’elle ne s’en rende compte. Un sourire fourbe, malin s’installe sur son visage et aussi vite qu’il a réussi à le prendre, il fourre la chaine dans sa poche sans le moindre gêne. Ses pas quittent ceux de la jeune femme qu’il suit pour se diriger vers la piscine universitaire. Quoi de mieux que des sacs, téléphones et tout autres objets de valeurs abandonnés lâchement sur un banc ? Des objets qui n’attendent que lui, en soi.
Avec la même énergie dans ses pas, l’américain dans la pièce des bassins après avoir sorti un mensonge vraiment nul – mais qui passe – au professeur qui l’a regardé d’un air suspect en le voyant débarquer de la porte de derrière. Entre nous, c’est les chaussettes qu’il porte avec ses sandales qui est suspect. Quoi qu’il en soit, Calvin fait un petit tour du propriétaire, l’air de rien, le visage angélique mais les pensées sous terres. « Aller les gars on continue comme ça !!! » Ose t-il encore encourager les étudiants qui pratiquent la nage contre la montre en frappant dans ses mains. Rah quel hypocrite …
Il continuait à observer vivement les yeux lorsqu’une paire de fesse lointaine se présentait à lui. Tient, il avait l’impression de connaître ces fesses. Ses yeux se lèvent finalement dans le dos puis l’arrière de la tête de la jeune femme qu’il reconnut presque immédiatement. Mo Yeon. Il se choquait presque d’avoir maté son cul mais l’idée de venir la faire chier venait faire tout disparaitre. Quelle merveilleuse idée ! Il laisse son allure la rattraper jusqu’à ce qu’il puisse frapper à son épaule. Puis elle s’est arrêtée brusquement, sans bouger, sans parler, sans rien. Curieux, il a haussé un sourcil, réellement intrigué par son attitude. « T’es vraiment la meuf la plus chelou que je connaisse. » Déclarait-il finalement lassé par ce silence, en riant doucement avant de reprendre et la contournant pour lui faire face – tout en gardant une distance de sécurité. « Tu te baignes pas parce que tu as oublié ton bonnet de bain ? Ou parce que tu as tes règles ? » Ricanait-il comme le plus grand des abrutis.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Calvin accélère doucement le pas, sa main s’approche de la nuque d’une jeune inconnue. Ses doigts décrochent son collier en or avec une facilité remarquable et doucement, il fait glisser le bijou de son cou sans même qu’elle ne s’en rende compte. Un sourire fourbe, malin s’installe sur son visage et aussi vite qu’il a réussi à le prendre, il fourre la chaine dans sa poche sans le moindre gêne. Ses pas quittent ceux de la jeune femme qu’il suit pour se diriger vers la piscine universitaire. Quoi de mieux que des sacs, téléphones et tout autres objets de valeurs abandonnés lâchement sur un banc ? Des objets qui n’attendent que lui, en soi. Avec la même énergie dans ses pas, l’américain dans la pièce des bassins après avoir sorti un mensonge vraiment nul – mais qui passe – au professeur qui l’a regardé d’un air suspect en le voyant débarquer de la porte de derrière. Entre nous, c’est les chaussettes qu’il porte avec ses sandales qui est suspect. Quoi qu’il en soit, Calvin fait un petit tour du propriétaire, l’air de rien, le visage angélique mais les pensées sous terres. « Aller les gars on continue comme ça !!! » Ose t-il encore encourager les étudiants qui pratiquent la nage contre la montre en frappant dans ses mains. Rah quel hypocrite …
Il continuait à observer vivement les yeux lorsqu’une paire de fesse lointaine se présentait à lui. Tient, il avait l’impression de connaître ces fesses. Ses yeux se lèvent finalement dans le dos puis l’arrière de la tête de la jeune femme qu’il reconnut presque immédiatement. Mo Yeon. Il se choquait presque d’avoir maté son cul mais l’idée de venir la faire chier venait faire tout disparaitre. Quelle merveilleuse idée ! Il laisse son allure la rattraper jusqu’à ce qu’il puisse frapper à son épaule. Puis elle s’est arrêtée brusquement, sans bouger, sans parler, sans rien. Curieux, il a haussé un sourcil, réellement intrigué par son attitude. « T’es vraiment la meuf la plus chelou que je connaisse. » Déclarait-il finalement lassé par ce silence, en riant doucement avant de reprendre et la contournant pour lui faire face – tout en gardant une distance de sécurité. « Tu te baignes pas parce que tu as oublié ton bonnet de bain ? Ou parce que tu as tes règles ? » Ricanait-il comme le plus grand des abrutis.
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Mer 14 Sep - 13:12
Je sursaute légèrement lorsque l'individu derrière moi se met à parler, reconnaissant immédiatement le timbre de voix. Étrangement je me sens rassurée alors que je ne devrais pourtant pas, je ne dois pas oublier que cet idiot est le meilleur ami de celui qui a orchestré le kidnapping. Je change alors d'expression, me sentant brusquement lassée de sa présence, ne pouvant en supporter plus. « Et toi, t'es vraiment le mec le plus lourd au monde . . . » dis-je en faisant tournoyer mes yeux, d'un air si désespéré. Depuis que nous avons eu cette petite aventure dans les toilettes d'un bar, il ne cesse de m'enquiquiner, encore plus que par le passé, me poussant souvent à bout. Pourtant, notre relation aurait pu s'améliorer, mais ce n'est malheureusement pas le cas, on se cherche de plus en plus, mais pas comme un chat et une souris, c'est une toute autre forme, quelque chose de plus énervant. Ou pas. Je le regarde dans le blanc des yeux quand il finit par se mettre face à moi. Je fronce des sourcils et croise mes bras, en entendant ses stupidités, « Ah ! Ah ! Ah ». Je me mets alors à applaudir, faisant mine de rire, faussement, à sa remarque. « Tu as trouvé cette idée dans une barre de Carambar c'est ça ? ». Je tente, tout de même, de rester placide. Je perds à chaque fois mon temps en sa présence, et je ne sais moi-même pas pourquoi est-ce que je lui réponds, la bouche s'en allant bien avant ma réflexion. « Pour te répondre, ni l'un, ni l'autre. Je ne compte pas me baigner, comme tu peux le voir, et ce n'est pas parce que j'ai mes règles, mais juste parce que je n'en ai pas envie, un point c'est tout ». Je cligne plusieurs fois des yeux, le fixant intensément, attendant qu'il me laisse passer, me gênant pour continuer mon chemin. « Et toi ? A part me poursuivre ? Tu n'as pas d'autres choses à faire ? D'autres personnes à embêter ? Je vais finir par croire que tu es trop attaché à moi » dis-je avec un petit sourire, sournois.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Calvin - #Molvin ♥
Je sursaute légèrement lorsque l'individu derrière moi se met à parler, reconnaissant immédiatement le timbre de voix. Étrangement je me sens rassurée alors que je ne devrais pourtant pas, je ne dois pas oublier que cet idiot est le meilleur ami de celui qui a orchestré le kidnapping. Je change alors d'expression, me sentant brusquement lassée de sa présence, ne pouvant en supporter plus. « Et toi, t'es vraiment le mec le plus lourd au monde . . . » dis-je en faisant tournoyer mes yeux, d'un air si désespéré. Depuis que nous avons eu cette petite aventure dans les toilettes d'un bar, il ne cesse de m'enquiquiner, encore plus que par le passé, me poussant souvent à bout. Pourtant, notre relation aurait pu s'améliorer, mais ce n'est malheureusement pas le cas, on se cherche de plus en plus, mais pas comme un chat et une souris, c'est une toute autre forme, quelque chose de plus énervant. Ou pas. Je le regarde dans le blanc des yeux quand il finit par se mettre face à moi. Je fronce des sourcils et croise mes bras, en entendant ses stupidités, « Ah ! Ah ! Ah ». Je me mets alors à applaudir, faisant mine de rire, faussement, à sa remarque. « Tu as trouvé cette idée dans une barre de Carambar c'est ça ? ». Je tente, tout de même, de rester placide. Je perds à chaque fois mon temps en sa présence, et je ne sais moi-même pas pourquoi est-ce que je lui réponds, la bouche s'en allant bien avant ma réflexion. « Pour te répondre, ni l'un, ni l'autre. Je ne compte pas me baigner, comme tu peux le voir, et ce n'est pas parce que j'ai mes règles, mais juste parce que je n'en ai pas envie, un point c'est tout ». Je cligne plusieurs fois des yeux, le fixant intensément, attendant qu'il me laisse passer, me gênant pour continuer mon chemin. « Et toi ? A part me poursuivre ? Tu n'as pas d'autres choses à faire ? D'autres personnes à embêter ? Je vais finir par croire que tu es trop attaché à moi » dis-je avec un petit sourire, sournois. Invité
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Jeu 15 Sep - 14:04
Faire chier Mo Yeon est devenu un passe temps, son activité favorite. Il faut dire que depuis que l’incident des toilettes de la boite de nuit, il avait redoublé d’effort comme pour compenser le peu d’affection qu’il lui avait accordée. Il faut dire qu’elle lui rendait bien volontiers, ne le laissant pour rien au monde avoir le dernier mot et c’est sûrement ce qu’il appréciait le plus dans cette histoire. Alors en la reconnaissant au loin, il n’avait pas hésité une seule seconde. Pourtant, elle se faisait bien moins ironique et plus fâchée depuis l’histoire du kidnapping avec Jun. Totalement paranoïaque, elle s’est mise en tête qu’il était clairement mêlé à cela. Ce qui est totalement faux, mais Calvin n’en a que faire, il n’a rien à se reprocher et puis, c’est pas de sa faute si ils n’ont pas d’humour.
Face à ses répliques, l’américain ne peut s’empêcher d’hausser un sourcil arrogant en riant sincèrement, comme à chaque fois il faut dire. « Et toi tu as toujours des répliques aussi pourries, je suis déçu de voir que tu ne t’es pas améliorée. » Constate t-il avec une fausse moue déçue. Il n’a pas le temps de poursuivre davantage avec des compliments aussi merveilleux, qu’elle reprend la parole. Hein ? Une nouvelle fois, Calvin ne peut s’empêcher de rire d’un air moqueur. « Pourquoi tu t’es mise en maillot de bain alors ? » Cette fille est totalement incompréhensible et illogique. « Ah parce que tu crois que je suis venu pour toi ? » Déclare t-il faussement surprit avant de rire. « Arrête, t’es hyper marrante Mo Yeon ! » Il continue à rire puis poursuit : « Je suis venu soulager des gens de l’emprise qu’on les objets sur eux, ne suis-je pas un homme merveilleux ? » Il ne savait pas si Mo Yeon était au courant de ses activités même si à vrai dire, il ne se cachait pas vraiment. Qu’est ce qu’elle allait faire avec son corps de moucheron de toute façon hein ?
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Faire chier Mo Yeon est devenu un passe temps, son activité favorite. Il faut dire que depuis que l’incident des toilettes de la boite de nuit, il avait redoublé d’effort comme pour compenser le peu d’affection qu’il lui avait accordée. Il faut dire qu’elle lui rendait bien volontiers, ne le laissant pour rien au monde avoir le dernier mot et c’est sûrement ce qu’il appréciait le plus dans cette histoire. Alors en la reconnaissant au loin, il n’avait pas hésité une seule seconde. Pourtant, elle se faisait bien moins ironique et plus fâchée depuis l’histoire du kidnapping avec Jun. Totalement paranoïaque, elle s’est mise en tête qu’il était clairement mêlé à cela. Ce qui est totalement faux, mais Calvin n’en a que faire, il n’a rien à se reprocher et puis, c’est pas de sa faute si ils n’ont pas d’humour.Face à ses répliques, l’américain ne peut s’empêcher d’hausser un sourcil arrogant en riant sincèrement, comme à chaque fois il faut dire. « Et toi tu as toujours des répliques aussi pourries, je suis déçu de voir que tu ne t’es pas améliorée. » Constate t-il avec une fausse moue déçue. Il n’a pas le temps de poursuivre davantage avec des compliments aussi merveilleux, qu’elle reprend la parole. Hein ? Une nouvelle fois, Calvin ne peut s’empêcher de rire d’un air moqueur. « Pourquoi tu t’es mise en maillot de bain alors ? » Cette fille est totalement incompréhensible et illogique. « Ah parce que tu crois que je suis venu pour toi ? » Déclare t-il faussement surprit avant de rire. « Arrête, t’es hyper marrante Mo Yeon ! » Il continue à rire puis poursuit : « Je suis venu soulager des gens de l’emprise qu’on les objets sur eux, ne suis-je pas un homme merveilleux ? » Il ne savait pas si Mo Yeon était au courant de ses activités même si à vrai dire, il ne se cachait pas vraiment. Qu’est ce qu’elle allait faire avec son corps de moucheron de toute façon hein ?
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Jeu 15 Sep - 19:21
J'inspire profondément, faisant tournoyer mes yeux vers le ciel. Encore une remarque de sa part, encore une. A force, je pense que je finis par être sincèrement habituée à son sarcasme, ce qui peut être assez frustrant. Je n'ai pas à être habituée, ce n'est pas très bon signe d'être habituée à un caractère, une personnalité, car cela signifie voir souvent la personne, l'avoir en face à face souvent, et je refuse que cela soit le cas avec cet homme, si imbu de sa personne et si énervant. « Alors on est deux à ne pas s'être améliorés » dis-je en faisant une grimace, prête à mordre mais me retenant. Cet homme ne m'aide décidément pas à garder mon sang-froid. Je dirai même que depuis que j'ai croisé son chemin, j'ai tendance à tenir moins en place, je reste moins placide, distante, n'ayant que faire des commentaires des autres. Désormais, je suis plus sensible, certes moins avec les autres qu'avec lui mais quand même. Je n'aime pas du tout ça. « Et alors ? J'ai bien le droit de me mettre en maillot de bain sans forcément me baigne. Les filles en bikini sur la plage tu crois qu'elles font quoi à part faire bronzette . . . Et bien, elles ne font que ça, elles ne se baignent pas toujours », j'avoue que la comparaison n'est pas la meilleure des comparaisons au monde mais je n'avais que ça en tête sur le moment. Je rigole en même temps que lui lorsque, de manière ironique, il me fait bien comprendre qu'il n'est pas là pour moi, ce dont je m'en doutais déjà. Ceci dit, il est quand même là, à me parler, c'est bien signe qu'il est venu à moi et pas le contraire. Personnellement, j'aurai tracé ma route en le voyant. Ou alors je nie juste le fait que j'aurai fait la même chose que lui, venir l'enquiquiner encore une fois. Je fronce toutefois des sourcils lorsqu'il m'avoue être là pour voler. Je ne suis pas idiote et comprends assez vite ses sous-entendus. « Ah parce que pour toi, voler c'est synonyme de soulager ? Tu m'apprends quelque chose. Tu ne sais même pas si ce que tu voles ce sont des objets précieux ou non pour la personne. Imagine que c'est le dernier souvenir de sa grand-mère ou de son père, toi . . . tu le leur arraches. Fort sympathique. Je ne savais pas que tu avais un aussi grand cœur », je croise les bras, le regardant dans les yeux. « Plus rien ne m'étonne de ta part ! Et je vais de déception en déception avec toi ».
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Calvin - #Molvin ♥
J'inspire profondément, faisant tournoyer mes yeux vers le ciel. Encore une remarque de sa part, encore une. A force, je pense que je finis par être sincèrement habituée à son sarcasme, ce qui peut être assez frustrant. Je n'ai pas à être habituée, ce n'est pas très bon signe d'être habituée à un caractère, une personnalité, car cela signifie voir souvent la personne, l'avoir en face à face souvent, et je refuse que cela soit le cas avec cet homme, si imbu de sa personne et si énervant. « Alors on est deux à ne pas s'être améliorés » dis-je en faisant une grimace, prête à mordre mais me retenant. Cet homme ne m'aide décidément pas à garder mon sang-froid. Je dirai même que depuis que j'ai croisé son chemin, j'ai tendance à tenir moins en place, je reste moins placide, distante, n'ayant que faire des commentaires des autres. Désormais, je suis plus sensible, certes moins avec les autres qu'avec lui mais quand même. Je n'aime pas du tout ça. « Et alors ? J'ai bien le droit de me mettre en maillot de bain sans forcément me baigne. Les filles en bikini sur la plage tu crois qu'elles font quoi à part faire bronzette . . . Et bien, elles ne font que ça, elles ne se baignent pas toujours », j'avoue que la comparaison n'est pas la meilleure des comparaisons au monde mais je n'avais que ça en tête sur le moment. Je rigole en même temps que lui lorsque, de manière ironique, il me fait bien comprendre qu'il n'est pas là pour moi, ce dont je m'en doutais déjà. Ceci dit, il est quand même là, à me parler, c'est bien signe qu'il est venu à moi et pas le contraire. Personnellement, j'aurai tracé ma route en le voyant. Ou alors je nie juste le fait que j'aurai fait la même chose que lui, venir l'enquiquiner encore une fois. Je fronce toutefois des sourcils lorsqu'il m'avoue être là pour voler. Je ne suis pas idiote et comprends assez vite ses sous-entendus. « Ah parce que pour toi, voler c'est synonyme de soulager ? Tu m'apprends quelque chose. Tu ne sais même pas si ce que tu voles ce sont des objets précieux ou non pour la personne. Imagine que c'est le dernier souvenir de sa grand-mère ou de son père, toi . . . tu le leur arraches. Fort sympathique. Je ne savais pas que tu avais un aussi grand cœur », je croise les bras, le regardant dans les yeux. « Plus rien ne m'étonne de ta part ! Et je vais de déception en déception avec toi ». Invité
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Ven 23 Sep - 18:24
[quote="Kwon Calvin"]
Les piques de Mo Yeon sont des banalités. Ils ne le touchent même pas, le font rire même. Ce ton là il l’entend trop souvent, pour ne pas dire, à chaque fois. Il serait capable de l’imiter à la perfection. Et que dire de son visage ? De sa grosse tête de fille exaspérée par sa seule présence ? Hilarante elle aussi !!! Rah, sacré Mo Yeon ! D’ailleurs, doit-on parler de son manque de logique ? Elle qui se pointe à la piscine en bikimi mais qui ne se baigne pas ? Calvin la regarde un sourcil haussé avant de clairement rire en se foutant de sa gueule. « Sauf que t’es à la piscine et pas à la plage. A part nager y’a rien à faire. » Il rigole encore un peu avant de continuer plus sérieusement : « Ah en fait tu crois que tu vas pécho des mecs avec ton corps d’allumette là ? » Il rigole encore plus, comme pour se faire oublier qu’il a trouvé son corps d’allumette agréable.
La discussion virait sur ce que lui faisait ici, tout habillé et trop peu intéressé par les nageurs. Pendant un instant, elle essayait de lui faire la morale, le faire culpabiliser sur l’importance sentimentale que pouvait avoir ces objets. Cela rentrait par une oreille et ressort directement par l’autre. « Mais tu as raison, quelle tristesse ! C’est vrai que je devrais crever la dalle dans mon appart’ parce que ces objets que je vais revendre son précieux ! Ah mais attend ? Je m’en fou. » Déclarait-il sans la moindre honte. Dans les quartiers miteux de New York, on lui avait appris que c’était chacun pour sa gueule. Personne n’allait lui donner une somme, gratuitement, parce que il est dans la merde. Alors, les gens lui donnent insconsciemment.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Les piques de Mo Yeon sont des banalités. Ils ne le touchent même pas, le font rire même. Ce ton là il l’entend trop souvent, pour ne pas dire, à chaque fois. Il serait capable de l’imiter à la perfection. Et que dire de son visage ? De sa grosse tête de fille exaspérée par sa seule présence ? Hilarante elle aussi !!! Rah, sacré Mo Yeon ! D’ailleurs, doit-on parler de son manque de logique ? Elle qui se pointe à la piscine en bikimi mais qui ne se baigne pas ? Calvin la regarde un sourcil haussé avant de clairement rire en se foutant de sa gueule. « Sauf que t’es à la piscine et pas à la plage. A part nager y’a rien à faire. » Il rigole encore un peu avant de continuer plus sérieusement : « Ah en fait tu crois que tu vas pécho des mecs avec ton corps d’allumette là ? » Il rigole encore plus, comme pour se faire oublier qu’il a trouvé son corps d’allumette agréable. La discussion virait sur ce que lui faisait ici, tout habillé et trop peu intéressé par les nageurs. Pendant un instant, elle essayait de lui faire la morale, le faire culpabiliser sur l’importance sentimentale que pouvait avoir ces objets. Cela rentrait par une oreille et ressort directement par l’autre. « Mais tu as raison, quelle tristesse ! C’est vrai que je devrais crever la dalle dans mon appart’ parce que ces objets que je vais revendre son précieux ! Ah mais attend ? Je m’en fou. » Déclarait-il sans la moindre honte. Dans les quartiers miteux de New York, on lui avait appris que c’était chacun pour sa gueule. Personne n’allait lui donner une somme, gratuitement, parce que il est dans la merde. Alors, les gens lui donnent insconsciemment.
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Ven 23 Sep - 21:21
Certes Calvin marquait un point quant au fait qu'à la piscine il n'y a rien d'autre à faire à part nager, mais étant une personne quelque peu anormale, je ne nage pas, en tout cas très rarement. Pourtant je suis dans la fraternité Sango, donc un requin, mais ce n'est pas pour autant que j'aime nager et surtout m’exhiber tout le temps en maillot de bain. « On peut très bien venir ici et ne pas vouloir nager, c'est pas écrit obligation de nager si vous venez ici » dis-je en lui lançant un regard plein de ressentis. Qu'il n'essaie pas de me contredire je vais avoir les nerfs à vif. Je me mords les lèvres, levant les yeux au ciel alors qu'il ose critiquer mon corps. Je sais pertinemment que je n'ai pas le temps idéal dont toutes les femmes rêvent et que de toute manière, je ne le mets pas réellement en avant, mais cela ne veut pas dire que j'ai un corps d'allumette et puis, à ce que je sache, il a apprécié, un certain soir, ce corps d'allumette. Je ne sais pas si je dois lui en parler de nouveau ou éviter le sujet pour chasser un mauvais souvenir de mon esprit. Mais je ne peux m'empêcher quand même de lui faire une réflexion, « ahah ! Je te signale Monsieur qu'une certaine personne ici présente a eu la chance de toucher à ce soi-disant corps d'allumette et je doute que cela lui ait déplu ». Je cligne plusieurs fois des yeux, l'air innocent, tout en gardant mon regard fixé sur lui. Je ne parle absolument pas lui, pas du tout !
« Oh non quel dommage ! J'aurai tellement aimé que tu crèves dans ton appartement, je suis déçue ». Ce mec me désespère et comme je m'en doutais, il n'a aucune compassion, aucun ressenti, aucune émotion. Bref un clochard de la société. Mais, en même temps, je le comprends. C'est difficile de gagner sa vie parfois et il faut user de certaines stratégies pour faire face à la pauvreté. « Je perds mon temps avec toi de toute manière ! ». Je ne sais même pas pourquoi je lui parle, « dégage de mon chemin, tu me gênes, pauvre demeuré ! ».
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Calvin - #Molvin ♥
Certes Calvin marquait un point quant au fait qu'à la piscine il n'y a rien d'autre à faire à part nager, mais étant une personne quelque peu anormale, je ne nage pas, en tout cas très rarement. Pourtant je suis dans la fraternité Sango, donc un requin, mais ce n'est pas pour autant que j'aime nager et surtout m’exhiber tout le temps en maillot de bain. « On peut très bien venir ici et ne pas vouloir nager, c'est pas écrit obligation de nager si vous venez ici » dis-je en lui lançant un regard plein de ressentis. Qu'il n'essaie pas de me contredire je vais avoir les nerfs à vif. Je me mords les lèvres, levant les yeux au ciel alors qu'il ose critiquer mon corps. Je sais pertinemment que je n'ai pas le temps idéal dont toutes les femmes rêvent et que de toute manière, je ne le mets pas réellement en avant, mais cela ne veut pas dire que j'ai un corps d'allumette et puis, à ce que je sache, il a apprécié, un certain soir, ce corps d'allumette. Je ne sais pas si je dois lui en parler de nouveau ou éviter le sujet pour chasser un mauvais souvenir de mon esprit. Mais je ne peux m'empêcher quand même de lui faire une réflexion, « ahah ! Je te signale Monsieur qu'une certaine personne ici présente a eu la chance de toucher à ce soi-disant corps d'allumette et je doute que cela lui ait déplu ». Je cligne plusieurs fois des yeux, l'air innocent, tout en gardant mon regard fixé sur lui. Je ne parle absolument pas lui, pas du tout ! « Oh non quel dommage ! J'aurai tellement aimé que tu crèves dans ton appartement, je suis déçue ». Ce mec me désespère et comme je m'en doutais, il n'a aucune compassion, aucun ressenti, aucune émotion. Bref un clochard de la société. Mais, en même temps, je le comprends. C'est difficile de gagner sa vie parfois et il faut user de certaines stratégies pour faire face à la pauvreté. « Je perds mon temps avec toi de toute manière ! ». Je ne sais même pas pourquoi je lui parle, « dégage de mon chemin, tu me gênes, pauvre demeuré ! ».
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Ven 23 Sep - 21:55
C’est une cause perdue, comment peut-on rattraper tant de connerie ? C’est impossible, réellement impossible. Cette fille est perdue, un cas désespéré mais putain, qu’est ce qu’elle peut le faire rire. Malgré toute la bêtise qu’il voyait en elle, il fallait vouer qu’elle n’avait pas tord en disant qu’elle n’était pas obligée de nager parce que ce n’était écrit nulle part. Hum, on peut lui accorder ce flash d’intelligence pour cette fois. Mais plutôt que d’avouer ses tords – et pour le coup, il préfèrerai se faire pendre par le boa – il faisait la sourde oreille. Hein ? Quoi ? Elle lui a parlé ? Elle a eu raison pour une fois dans sa vie ? Rien entendu ! Il ne prit seulement en compte ces secondes paroles, lui rappelant qu’il avait profité de son corps. Il mimait la surprise, comme si il n’était pas cette personne en question avant de poursuivre plus sérieusement : « J’ai fait semblant pour pas te vexer. » C’était totalement faux, mais encore une fois pour rien au monde il ne lui dévoilera la vérité. Il rit lorsqu’elle lui affirme qu’elle aurait préféré qu’il crève dans son appartement et n’hésite pas lorsque ensuite, lorsqu’elle lui demande de dégager à s’avancer vers elle pour passer un bras autour de ses épaules. « Rah arrête bébé, je sais que tu adoooooooores quand je suis là. » Il sourit fier de sa connerie et va même à lui faire un baiser rapide d’enfant avant de se barrer en courant presque bien loin, connaissant pertinemment la violence dont elle peut faire preuve. « Tu te voiles constamment la face ! » N’hésitait-il pas à le narguer encore de loin, mais n’osant pas s’approcher encore.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
C’est une cause perdue, comment peut-on rattraper tant de connerie ? C’est impossible, réellement impossible. Cette fille est perdue, un cas désespéré mais putain, qu’est ce qu’elle peut le faire rire. Malgré toute la bêtise qu’il voyait en elle, il fallait vouer qu’elle n’avait pas tord en disant qu’elle n’était pas obligée de nager parce que ce n’était écrit nulle part. Hum, on peut lui accorder ce flash d’intelligence pour cette fois. Mais plutôt que d’avouer ses tords – et pour le coup, il préfèrerai se faire pendre par le boa – il faisait la sourde oreille. Hein ? Quoi ? Elle lui a parlé ? Elle a eu raison pour une fois dans sa vie ? Rien entendu ! Il ne prit seulement en compte ces secondes paroles, lui rappelant qu’il avait profité de son corps. Il mimait la surprise, comme si il n’était pas cette personne en question avant de poursuivre plus sérieusement : « J’ai fait semblant pour pas te vexer. » C’était totalement faux, mais encore une fois pour rien au monde il ne lui dévoilera la vérité. Il rit lorsqu’elle lui affirme qu’elle aurait préféré qu’il crève dans son appartement et n’hésite pas lorsque ensuite, lorsqu’elle lui demande de dégager à s’avancer vers elle pour passer un bras autour de ses épaules. « Rah arrête bébé, je sais que tu adoooooooores quand je suis là. » Il sourit fier de sa connerie et va même à lui faire un baiser rapide d’enfant avant de se barrer en courant presque bien loin, connaissant pertinemment la violence dont elle peut faire preuve. « Tu te voiles constamment la face ! » N’hésitait-il pas à le narguer encore de loin, mais n’osant pas s’approcher encore.Invité
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Ven 23 Sep - 22:53
« Tu fais grave semblant », dis-je avec un ton détaché. Étant une professionnelle de la simulation, je sais pertinemment qu'il n'a pas fait semblant et que c'était réel, parce que pour moi aussi, c'était vrai, pour une fois. Et puis, depuis quand est-ce qu'il s'inquiète de me vexer ? C'est le monde qui tourne à l'envers. « Et tu mens tellement mal ! Faudrait que tu prennes des cours de théâtre. Je sais très bien que tu n'es pas le genre de personne à faire semblant juste par crainte de me vexer. Faut pas se leurrer ». Il s'autopiège. Je fronce des sourcils, mon nez légèrement retroussé, les yeux écarquillés, lui lançant des éclairs. Déjà, je ne suis pas son ''bébé'' donc ce surnom il peut le laisser pour d'autres personnes, ensuite c'est totalement faux. Sa présence m'énerve, m'insupporte. Chaque fois que je le vois j'ai envie de l'utiliser comme sac de boxe, de me défouler, de déverser toute ma colère sur lui. Alors non, je n'adore pas, absolument pas. « De un, je ne suis pas ton bébé, de deux, f . . . », je n'ai pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres viennent toucher, effleurer, les miennes, sans même que je n'ai eu le temps de comprendre l'action. Il a osé ! Il a vraiment osé ! Il lui a vraiment touché les lèvres ? Ses lèvres si saines, si propres, si . . . . Je sens la colère qui me monte jusqu'au cerveau, passant ma main sur mes lèvres comme pour enlever ce geste affreux. « YAAAAHH CAALLLVVIINNNNN !!! ». J'accours vers lui et lui attrape l'oreille, la pinçant fortement et l'obligeant à se pencher, « Tu veux mourir c'est ça ? Avoue que tu veux que je te tue !! Ne refais plus jamais ça, ou tu auras affaire à moi ». Je finis par le lâcher et montre mon poing, le défiant de refaire ce geste. « Faut que tu arrêtes de me vouloir, moi je ne te veux pas ! Alors vas embrasser d'autres femmes, je suis pas intéressée, MOI ! ». Ce mec va me rendre dingue, c'est pas possible.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Calvin - #Molvin ♥
« Tu fais grave semblant », dis-je avec un ton détaché. Étant une professionnelle de la simulation, je sais pertinemment qu'il n'a pas fait semblant et que c'était réel, parce que pour moi aussi, c'était vrai, pour une fois. Et puis, depuis quand est-ce qu'il s'inquiète de me vexer ? C'est le monde qui tourne à l'envers. « Et tu mens tellement mal ! Faudrait que tu prennes des cours de théâtre. Je sais très bien que tu n'es pas le genre de personne à faire semblant juste par crainte de me vexer. Faut pas se leurrer ». Il s'autopiège. Je fronce des sourcils, mon nez légèrement retroussé, les yeux écarquillés, lui lançant des éclairs. Déjà, je ne suis pas son ''bébé'' donc ce surnom il peut le laisser pour d'autres personnes, ensuite c'est totalement faux. Sa présence m'énerve, m'insupporte. Chaque fois que je le vois j'ai envie de l'utiliser comme sac de boxe, de me défouler, de déverser toute ma colère sur lui. Alors non, je n'adore pas, absolument pas. « De un, je ne suis pas ton bébé, de deux, f . . . », je n'ai pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres viennent toucher, effleurer, les miennes, sans même que je n'ai eu le temps de comprendre l'action. Il a osé ! Il a vraiment osé ! Il lui a vraiment touché les lèvres ? Ses lèvres si saines, si propres, si . . . . Je sens la colère qui me monte jusqu'au cerveau, passant ma main sur mes lèvres comme pour enlever ce geste affreux. « YAAAAHH CAALLLVVIINNNNN !!! ». J'accours vers lui et lui attrape l'oreille, la pinçant fortement et l'obligeant à se pencher, « Tu veux mourir c'est ça ? Avoue que tu veux que je te tue !! Ne refais plus jamais ça, ou tu auras affaire à moi ». Je finis par le lâcher et montre mon poing, le défiant de refaire ce geste. « Faut que tu arrêtes de me vouloir, moi je ne te veux pas ! Alors vas embrasser d'autres femmes, je suis pas intéressée, MOI ! ». Ce mec va me rendre dingue, c'est pas possible. Invité
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Re: T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix. | Dim 25 Sep - 18:59
Inconsciemment, Mo Yeon détournait totalement son attention de son but premier. N’était-il donc pas ici pour soulager les gens de l’emprise des objets ? Depuis qu’il était entré ici, il n’avait fait que de faire chier cette pauvre (lol) Mo Yeon. C’était devenu plus fort que lui, incontrôlable. Au moins ainsi elle faisait attention à lui et sans qu’il ne s’en rende compte, cela lui faisait du bien. Elle ne l’oubliait pas, elle pensait à lui, que cela soit en bien ou en mal. Derrière tous ces piques acérés, elle lui permet d’un peu moins penser à Wen Yi. Mo Yeon le fait rire, elle met de la joie dans son cœur peu importe combien elle doit en criser. Il préférerait se faire arracher les couilles plutôt que de l’avouer mais Mo Yeon elle met du bon dans sa vie et cela le ferai vraiment chier qu’elle arrête définitivement de lui parler.
Il ne répondait même pas quand elle lui faisait remarquer qu’il mentait, préférant pousser encore plus ses nerfs en lui volant un baiser. Après ce geste, il avait prit un soin particulier à se barrer en courant mais c’est en sentant ses doigts pincer son oreille alors qu’il riait comme un con qu’il comprit qu’il aurait dû continuer de faire attention. Résigné de s’abaisser sous la douleur et sa petite taille, il faisait soudainement un peu moins le malin. « Aïeeee putain arrête tu me fais maaaaal. » Se plaignait-il en n’hésitant pas à lui pincer la fesse pour qu’elle le lâche. « Mais quelle sauvage ! Moi je t’ai offert de la tendresse ! » Lançait-il faussement décontenancé face à sa menace et massant sa misérable oreille devenue rouge à cause de cette folle. « Ca avait pas l’air de te déplaire la dernière fois momoche ! » Sur le coup, il n’avait pas envie de lui rappeler ce passage mais c’est la seule réplique qui lui venait sur le coup. « Bon laisse moi tranquille, y’a des gens qui doivent travailler tu vois ! » Gueulait-il faussement en s’approchant de sacs trop remplis qu’il comptait bien soulager.
T'es comme la tuberculose, faut t'éviter à tout prix.
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Inconsciemment, Mo Yeon détournait totalement son attention de son but premier. N’était-il donc pas ici pour soulager les gens de l’emprise des objets ? Depuis qu’il était entré ici, il n’avait fait que de faire chier cette pauvre (lol) Mo Yeon. C’était devenu plus fort que lui, incontrôlable. Au moins ainsi elle faisait attention à lui et sans qu’il ne s’en rende compte, cela lui faisait du bien. Elle ne l’oubliait pas, elle pensait à lui, que cela soit en bien ou en mal. Derrière tous ces piques acérés, elle lui permet d’un peu moins penser à Wen Yi. Mo Yeon le fait rire, elle met de la joie dans son cœur peu importe combien elle doit en criser. Il préférerait se faire arracher les couilles plutôt que de l’avouer mais Mo Yeon elle met du bon dans sa vie et cela le ferai vraiment chier qu’elle arrête définitivement de lui parler. Il ne répondait même pas quand elle lui faisait remarquer qu’il mentait, préférant pousser encore plus ses nerfs en lui volant un baiser. Après ce geste, il avait prit un soin particulier à se barrer en courant mais c’est en sentant ses doigts pincer son oreille alors qu’il riait comme un con qu’il comprit qu’il aurait dû continuer de faire attention. Résigné de s’abaisser sous la douleur et sa petite taille, il faisait soudainement un peu moins le malin. « Aïeeee putain arrête tu me fais maaaaal. » Se plaignait-il en n’hésitant pas à lui pincer la fesse pour qu’elle le lâche. « Mais quelle sauvage ! Moi je t’ai offert de la tendresse ! » Lançait-il faussement décontenancé face à sa menace et massant sa misérable oreille devenue rouge à cause de cette folle. « Ca avait pas l’air de te déplaire la dernière fois momoche ! » Sur le coup, il n’avait pas envie de lui rappeler ce passage mais c’est la seule réplique qui lui venait sur le coup. « Bon laisse moi tranquille, y’a des gens qui doivent travailler tu vois ! » Gueulait-il faussement en s’approchant de sacs trop remplis qu’il comptait bien soulager.
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