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because I can't pretend. [tadary ♥] (+18)

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because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Dim 19 Nov - 2:44
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tadary

Tu n'es pas du genre à te rendre au cinéma tout seul, en fait, Tadashi devait être là. Il a dû annuler, tu ne lui as pas demandé pourquoi, il devait avoir ses raisons et même si tu es déçu qu'il ne soit pas là, tu n'avais aucune envie de le faire culpabiliser ou autre. Ce n'est pas si grave après tout, et puis, tu as promis à ton cousin Shiro de lui dire comment tu as trouvé le film. Il est fan des DC comics alors forcément... Il était même légèrement vexé que tu vois la Justice League avant lui. Enfin toi le film, tu t'en fiches un peu, tu voulais simplement passer du temps avec Tadashi. Il faut dire que ces derniers temps, votre relation a été des plus compliquées, mêlé à ça cette ambiguïté... C'est ton meilleur ami, Tadashi, enfin, il devrait l'être mais là, il est devenu un meilleur ami avec qui tu as couché, un meilleur ami que tu as embrassé, à qui tu commences fortement à t'attacher mais ouais, un meilleur ami, bien-sûr. Enfin qu'importe ce qu'il se passe en ce moment, le plus important c'est que tout se passe plutôt bien. Tu as passé cette date qui t'effrayait tant, tu reprends peu à peu du poil de la bête et ça te fait du bien, ça t'aide pour la suite. Tu as l'impression de récupérer quelques forces pour affronter certaines choses, doucement, mais sûrement. Et puis, il est là pour t'aider, comme il l'a été ces derniers jours.. Comme il l'a toujours été. Tu voulais être avec lui ce soir. Mais bon ce n'est pas si grave, tu comptes bien remettre ça à plus tard, tu penses juste que vous en aviez grandement besoin. Tu t'installes donc sur ton siège, laissant ton corps glissé de manière à ce qu'on ne puisse plus voir l'arrière de ton crâne, tu ramènes même les jambes vers toi avant de te saisir de ton paquet de pop corn. Tu ne sais pas pourquoi t'en as pris, enfin si, pour Tada parce que toi, tu ne manges que très peu, mais bon, tu ne vas tout de même pas les jeter. Tu appuies l'arrière de ton crâne contre ce siège, ton regard rivé sur l'écran qui diffuse encore certaines pubs avant le film et tu te mets à grignoter de temps à autre. Mais ça, c'est avant d'être coupé par la silhouette qui passe à tes côtés, tu la regardes en deux fois d'ailleurs. Même s'il fait noir et qu'il est de dos, tu sais de qui il s'agit. « Tada ! » chuchotes-tu tout de même assez fort pour qu'il puisse enfin te voir et une fois chose faite, tu lui adresses ce doux sourire dont tu as le secret. T'es content de le voir ici même si tu ne comprends pas trop, il n'avait pas eu un imprévu? Rapidement, tu te redresses sur ton siège pour adopter une position un peu plus convenable, déposant le paquet de pop corn sur le siège vide à ta gauche. « Je rigolais, je n'allais pas te raconter le film. » lui dis-tu alors qu'il s'approche de toi. C'était ce que tu lui avais dit pour plaisanter, or, tu sais qu'il n'est pas revenu parce qu'il a pris cette fausse menace au sérieux, tu plaisantes juste. C'est pour cette raison que tu reprends un peu plus sérieusement: « T'avais pas un empêchement? » C'était ce qu'il t'avait dit quelques minutes plus tôt par SMS en tout cas, t'essayes d'en savoir un peu plus, tu n'as pas envie de savoir qu'il a annulé quelque chose d'important. S'il t'a dit qu'il ne pouvait pas venir, ce n'est pas pour rien mais soyons honnête, le plus important c'est qu'il soit là. Ton sourire ne te quitte pas, il ne s'est pas complètement effacé, l'idée de passer cette soirée avec lui garde ton sourire intact. T'es content, et ça se voit.  




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Lun 20 Nov - 17:55
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tadary

C'est le troisième message que tu reçois en une minute. Cecilia te harcèle pour que tu viennes la rejoindre mais le problème est que Yury t'attend au ciné, vous deviez aller voir un film ensemble. Mais tu viens d'annuler. Tu as posé un lapin à Yury pour aller la rejoindre elle. Sauf que maintenant, tu hésites, tu as beau te dire que tu as besoin de son argent, que le billet qu'elle te donnera t'aidera probablement à payer les factures impayés, une partie de toi veut faire demi-tour et aller le rejoindre lui. Il y a quelque chose en toi qui te pousse à le retrouver. Ça te dégoûte de devoir aller la voir elle, alors que tu crève d'envie d'être avec lui. Et c'est bien la première fois que ton cœur et tes tripes s'accordent à dire que la meilleure option est de passer la soirée avec lui. Mais c'est pas si simple, tu la connais cette femme, elle est capable de te faire beaucoup de mal pour avoir ce qu'elle veut. Elle te tient par les couilles et c'est pour ça que tu as des doutes. Si tu commence à la lâcher, elle se doutera de quelque chose, elle saura que tu lui échappe des mains. Tu le sens, plus les jours avancent et plus ça devient difficile pour toi de lui faire face et de devoir faire ce job qui te donne la nausée. La présence de plus en plus importante de Yury dans ta vie n'aide sûrement pas à calmer se dégoût. Il est peut-être même le déclencheur de toute cette hésitation. Tu pourrais lâcher tout ça pour lui, il le faudra bien de toute manière. Même si votre relation n'est pas encore totalement claire, ce n'est plus l'amitié qui te pousse vers lui. C'est tout autre chose que tu n'es pas encore prêt à nommé.
Après quelques longues minutes d'hésitations, tu sors ton téléphone de ta poche et tu l'éteins. Pour ce soir, tu ne veux plus entendre parler d'elle, ce soir tu passeras du temps avec Yury parce que tu te sens bien avec lui et aussi parce que c'est la bonne solution. Tu te fous d'elle, tu te fous bien des conséquences pour le moment, tout ce qui t'importe c'est d'aller le retrouver et profiter de lui. Alors tu fais demi-tour et part en direction du cinéma, tu ressens un sentiment de liberté et de joie, c'est comme si tu t'étais débarrasser d'un poids. Tu le sais, tu serais aller -comme toujours- à reculons chez elle, et tu aurais encore prétendu être bien avec elle. Mais là, c'est différent, tu as envie d'être avec lui, c'est ta place, c'est là où tu te sens le mieux. Ta place est avec Yury. Tu te retiens de ne pas courir tant l'impatience est grande. Tu as l'impression d'être un gosse à qui on a promit un cadeau. Tu regarde l'heure à ta montre pour te rendre compte que tu vas arrivé juste à temps pour la séance. Il te suffit de quelques courtes minutes pour arrivé au cinéma et prendre ta place. Tu te diriges vers la salle, les lumières sont éteintes et les publicités défilent une par une. Avec le peu de lumière que tu as, tu cherches Yury du regard, sans le trouver. Est-ce qu'il serait déjà parti ? Son dernier sms était pourtant clair, il avait l'air de rester pour regarder le film. « Tada ! » Tu sursautes légèrement alors que tu descendais les escaliers. La voix de Yury te fait tourné la tête, tu remontes quelques marches pour venir vers lui. Un sourire s'affiche sur ton visage, tu es heureux de savoir qu'il est resté malgré ton sms, tu es heureux de le voir aussi. « Je rigolais, je n'allais pas te raconter le film. » Tu ris doucement en prenant place à ses côtés. « J'voulais pas prendre le risque. » Lui chuchote-tu en plaisantant. La fin du film tu t'en fous un peu, toi ce qui t'intéresse c'est d'être avec lui, peu importe ce que vous faites. « T'avais pas un empêchement? » Tu le regarde hésitant, tu lui diras pas que tu devais passer la soirée avec Cecilia, il est préférable que tu n'amène pas le sujet. Tu préfères ne plus parler d'elle pour l'instant. « Hummm, si mais c'était pas important... » Pas autant que toi, en tout cas, pense-tu alors. Tu le fixe quelques secondes, silencieux. Nuls doutes là-dessus, ton cœur t'as encore amené dans la bonne direction. « J'ai loupé quoi ? » lâche-tu, un sourire qui se fait d'un coup plus grand. Tu te sentais bien auprès de lui et ton sourire en était la preuve.
 




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Mer 22 Nov - 18:18
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because I can't pretend.
tadary

« J'voulais pas prendre le risque. » Tu hausses les sourcils, ton sourire complice ne quittant pas tes lèvres. Mais c'est ce sourire qui image ce que tu ressens depuis que tu as posé les yeux sur lui. Si tu étais déçu qu'il ne vienne pas? Évidemment, tu voulais passer la soirée avec lui mais tu n'allais pas lui en vouloir pour ça, s'il avait plus important à faire, tu comprenais. Là tu es surpris, une bonne surprise. Inutile de te cacher derrière des excuses, tu cherches sa présence, tu as besoin de le savoir avec toi. Sans doute parce que tu ne t'es jamais senti aussi comblé et en sécurité que lorsqu'il est à tes côtés. C'est bizarre, non? Après tout ce que vous aviez vécu qui ne se résumait qu'à l'amitié... Mais ça, tu as eu le temps de l'accepter. Certaines questions restent sans réponse mais pour le moment, tu les cherches pas. Tu ne sais pas où vous en serez demain, ce qu'il se passera mais t'es pas du genre à penser à demain, toi, tu vis au jour le jour. Et ce soir, alors que tu devais être tout seul pour cette séance, voilà que Tadashi te rejoint. Sauf que tu sais très bien, au fond de toi, que ce que tu ressens n'a rien d'amical. Tu espérais sans doute que cette soirée éclaircisse les choses parce qu'en ce moment, l’ambiguïté se fait un peu trop présente. Et toi, tu n'as plus besoin d’ambiguïté, t'as besoin de lui. Alors pour le coup, tu ne peux t'empêcher de lui poser la question: il avait un empêchement, c'était bien ce qu'il t'avait dit. « Hummm, si mais c'était pas important... » te répond t-il, te fixant droit dans les yeux. Toi aussi tu le fixes, pendant quelques longues secondes, un tendre sourire aux lèvres alors que tu acquiesces doucement ses paroles. C'est rassurant d'entendre ça, tu ne voulais pas qu'il annule pour toi... Ou peut-être que si, ça t'aurait aussi rassuré. Quand bien même, il est là maintenant et c'est tout ce qu'il compte. « J'ai loupé quoi ? » termine t-il, te sortant inconsciemment de tes pensées. Tu tournes le visage vers le grand écran, faisant mine de réfléchir tout en lui donnant le paquet de pop corn, l'invitant ainsi à se servir. « Hm... Le vieux à l'accueil qui ne savait pas se servir de l'ordinateur pour imprimer mes billets. » T'as bien cru que tu allais louper la séance, tiens. « Ce couple en face. » continues-tu, les pointant discrètement de ton index. « Qui viennent de se disputer pour un texto ou... Je sais pas, j'ai pas trop compris. » Tu marques une courte pause, regardant à nouveau l'écran. « La pub Pringles, la pub pour la dernière Audi, pour le dernier iPhone... » Et tu l'observes à nouveau, un sourire amusé aux lèvres. Conclusion? « Rien, en fait. » Ton sourire s'élargit. À part un Yury un peu trop triste quand t'es pas là.

Tu ne sais pas depuis combien de temps le film a commencé, trois quart d'heure, peut-être une heure? Tu ne le sais pas parce que là, tu n'as plus vraiment la notion du film. L'ironie du sort? Tu n'es même pas plongé dans le film, tu fixes les images comme si ce film absorbait toute ton attention mais ce n'est pas le cas, ton regard est bloqué mais ton cerveau lui, fonctionne un peu trop. Tu devrais sans doute te sentir mal de te trouver ici avec lui, non? Enfin... Plutôt d'être venu en te disant que cette soirée pourrait vous aider à éclaircir votre relation. Pourquoi? Ta sœur. Toute cette histoire a tourné en boucle dans ton esprit, comme un disque rayé qu'on ne pourrait arrêter et tu sais principalement pourquoi. Tu te sentais coupable. Mais... Coupable de quoi? Sans doute parce qu'elle était amoureuse de lui et que toi, tu te sentais déjà bien à ses côtés. T'avais cette horrible impression de toucher le bonheur du bout des doigts mais de ne pas pouvoir le saisir. Mais les seules fois où tu as pu le saisir, tu n'as pas réussi à regretter tant ça t'a fait un bien fou. Elle a raison Akiko, ce n'est pas ce qu'elle aurait voulu. Et si tu tenais encore debout ces derniers temps, c'est grâce à lui. Tu ne peux plus faire semblant, te cacher la vérité pour simuler une résolution du problème... Le problème, c'est lorsque tu te trouves loin de lui, à fuir, à culpabiliser. Pourtant ce n'est pas facile pour toi, il s'agit de Min Hee mais tu n'as plus le choix, tu ne veux plus luter. Peut-être parce qu'il n'est plus question de toi, maintenant, mais de vous, de lui et en y pensant, tu tournes légèrement le visage dans sa direction pour le regarder. Il ne te voit pas, tu cherches sans doute son regard mais tu es bien trop plongé dans tes pensées pour t'en rendre compte. Il ne va pas bien Tada, et ça te détruit de le voir comme ça. Si maigre, si perdu, noyé par la culpabilité, si rongé par le chagrin. Et malgré tout ça, il parvient encore à être là pour toi, à ne pas t'abandonner. Ton regard se baisse légèrement et tu as même ce léger sourire, discret, presque invisible, parce que oui, là tu te sens bien. Tu te sens à ta place et puis, t'es rassuré qu'il soit là, sans doute parce que tu te fais assez confiance pour savoir que tu ne le laisseras jamais, que le temps qu'il tiendra ta main, tu ne le laisseras pas s'envoler dans cette tornade qu'est sa vie en ce moment. Toi aussi, tu as besoin de l'aider. Or, tu laisses tomber les masques. Tu n'as plus envie de l'aider en tant que « meilleur ami » sachant que tu serais capable de lui apporter bien plus que ça, tu veux voir où tout ça peut mener, oui, mais tu veux aussi lui faire comprendre. Un risque? T'en sais rien, t'es pas du genre à te poser trop de questions et puis, tu l'as embrassé la dernière fois, pour la première fois, tu as entretenu cette ambiguïté que tu veux effacer ce soir. Parce que là, oui, tu cherches encore son attention, tu rêverais qu'il te regarde mais ce n'est même pas la raison qui te pousse à agir. La raison ? Lui faire comprendre que tu n'as plus spécialement envie d'attendre, que tu as besoin de lui d'une toute autre manière, que tu te penses prêt à l'accepter, mais surtout... Que cette soirée, tu ne voulais pas la passer avec ton « meilleur ami ». Alors doucement, tu approches ta main de lui jusqu'à la déposer sur sa cuisse, c'est peut-être un peu trop franc, lui prendre la main aurait peut-être été une meilleure solution mais tu ne réfléchis jamais, toi, ce n'est pas ton genre. -ironie du sort lorsqu'on a vu ton état ces dernières semaines- et ce soir, tu as encore moins envie de réfléchir, tu veux simplement profiter. Il pourra sans doute le comprendre, ton geste n'a rien d'anodin, il se fait même franc et tendre, tes doigts viennent même caresser l'intérieur de sa cuisse alors que tu remontes finalement ton regard dans le sien, un début de sourire naissant sur tes lèvres. Un sourire lourd de sens que seul lui parvient à provoquer.
 




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Dim 26 Nov - 23:16
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tadary

Tu es là, à ses côtés. Et il n'y a plus de doute. Si tu pensais faire une erreur en venant le rejoindre, maintenant que tu es près de lui, tu te sens comme à ta place. Toutes tes hésitations se sont envolés. Et même si ce choix que tu as fais te coûtera probablement chère demain, tu t'en fous. Tout ce qui t'importe pour le moment c'est d'être avec lui, simplement parce que ça te fait du bien. Tu as bien trop ressenti la solitude ces derniers mois pour refuser le bonheur quand il est en face de toi. « Hm... Le vieux à l'accueil qui ne savait pas se servir de l'ordinateur pour imprimer mes billets. » Commence-t-il à te répondre alors que tu attrape une poignée de popcorn. Tu le fixe avec ce sourire qui ne te quitte pas depuis que tu es assis. « Ce couple en face. » Cette fois, tu tourne la tête pour observer le dit couple. « Qui viennent de se disputer pour un texto ou... Je sais pas, j'ai pas trop compris. » Tu gardes un sourire amusé avant de reposer tes yeux sur lui. « La pub Pringles, la pub pour la dernière Audi, pour le dernier iPhone... Rien, en fait. » Ton sourire s'élargit en même temps que le sien. Tu as les yeux qui brillent mais ça, il ne peut pas le voir, la lumière de la salle est trop faible. De quoi il parlait déjà ? A force de le regarder comme ça, tu as perdu le file. Ah oui, les pubs ! « Cool, j'voulais pas loupé les bandes d'annonces. » Tu plaisante et puis les lumières finissent par s'éteindre. C'est le noir complet.
Une heure s'est écoulé depuis que les lumières se sont éteintes. Enfin tu suppose. Tu trouve le film légèrement long et moche surtout. Comment on peut faire des effets spéciaux aussi dégueulasses ? Décidément, tu persiste à penser que la qualité des comics ne sera jamais égalé au cinéma. Tu décroche de l'intrigue pour jeter un rapide coup d’œil à ta montre avec le peu de lumière que tu as. Encore une bonne heure. Doucement, tu soupir. Tu espères sincèrement que Yury ne s'ennuie pas comme toi, sans quoi vous aurez payés tous les deux pour un film mauvais. Les images défilent mais tu n'y prêtes même plus attention, tu préfères regarder par moment Yury en essayant d'être discret. Tu ne peux pas t'en empêcher, le spectacle est plus beau à ta droite que sur cet écran géant. Par moment, c'est lui qui tourne la tête vers toi, alors tu fais comme si de rien n'était. C'est plus simple pour toi de le regarder quand il ne te voit pas, c'est moins déstabilisant. Après tout, votre relation est ambiguë, vous n'êtes pas vraiment ensemble, vous n'êtes plus vraiment des meilleurs amis. Vous êtes dans cet entre-deux que vous ne pouvez pas vraiment nommer sûrement parce qu'il suffirait d'un geste pour vous faire basculer d'un côté ou de l'autre. Le geste doit venir de lui, toi tu es prêt à foutre en l'air votre amitié pour quelque chose de plus fort maintenant, c'est lui que tu attends. C'est à lui de prendre le risque et de vous entraînez dans l'inconnu. Une nouvelle fois, tu le regarde, vos regards se croisent à ce moment-là avant que tu sentes sa main sur ta cuisse. Il est là le geste. C'est pas une erreur, non et tu le comprends bien au regard qui remonte vers le tien. Un doux sourire s'affiche sur ton visage. Ses doigts s'enroulent plus franchement autour de ta cuisse tandis que tu t'approche lentement de lui. Tu te trouve à quelques centimètres de son visage, tu vas bousculé l'équilibre de votre relation et tu n'hésite même pas. Tu l'embrasse, fermant les yeux alors que tu poses ta main sur la sienne. Ce baiser n'a pas le goût des autres. Il a le goût de la délivrance. Il n'y a plus d’ambiguïté, cette fois vous avez tous les deux choisit de prendre le risque. Tu mets plus de fougue dans tes baisers, comme si la douceur de ses lèvres t'empêchait de penser. Le son du film s'éloigne au fil des secondes. Il n'y a plus que lui. Ta main remonte la sienne doucement le long de ta cuisse. Tu as subitement envie de lui, ici dans cette salle de cinéma. Est-ce que c'est la peur de se faire voir ? Ou c'est ce baiser qui a provoqué cette envie soudaine ? Peut-être un peu des deux. Ton visage s'écarte du sien tandis que sa main finit entre tes cuisses. Tu te mords légèrement la lèvre avant de venir lui glisser à l'oreille : « Touche moi. » Un murmure sensuel qui vient chatouiller ses tympans. Tu ressens le besoin qu'il te touche, c'était d'un coup devenu un besoin vital. Tout ça est probablement dû au fait que tu veux à nouveau te laisser consumer par le désir que tu éprouve pour lui. Que tu as besoin de ta dose pour calmer le manque que tu ressens depuis quelques temps.
 




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Mer 29 Nov - 18:08
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tadary

Tu fixes l'écran mais ce ne sont pas les images qui t'intéressent. Là, tu réfléchis à vous. Tadashi et toi. Il est vrai que vous avez désormais cette relation ambiguë, tu ne sais pas combien de temps cela va durer, ça ne dure jamais longtemps les relations ambiguës et tu ne te vois pas continuer dans cette ambiguïté alors que tu as besoin de plus, tu as besoin de lui. C'est difficile de l'admettre, non pas parce que c'est ton meilleur ami mais parce que tu as longuement eu ce goût de l'interdit. Il appartenait à ta sœur, Tadashi. Ta propre sœur jumelle. Tu sais qu'elle n'est plus là, contrairement à ce qu'on peut croire... Oui, tu le sais, tu ne l'acceptes juste pas encore, tout comme ce que tu peux ressentir envers Tadashi. Oui, tu ressens quelque chose de plus fort, de plus effrayant, que tu ne devrais sans doute pas ressentir. Tu as passé des semaines à te l'interdire mais tu sais au fond de toi que Akiko a raison. C'est juste difficile pour toi d'affronter ce que tu es en train de faire pourtant, tu ne peux plus luter. Ce soir, tu ne voulais pas passer la soirée avec ton meilleur ami, ce soir, tu veux éclaircir tout ça. Ce soir, tu veux prendre le risque. Tu as su faire le premier pas en l'embrassant la dernière fois, tu sauras à nouveau le faire pour lui faire comprendre tout ça. Et c'est ce que tu fais, sans vraiment hésiter ni même penser aux conséquences que ce geste, qui n'a rien d'anodin, peut avoir sur toi, sur lui, sur votre relation. Tu déposes ta main sur sa cuisse, parce que t'as aussi besoin de ce contact, de briser cette légère distance qui vous sépare et qui font de vous, de simples meilleurs amis. Tu viens même lui sourire doucement dans le but de le rassurer. Bien-sûr que non, ce n'était pas une erreur, d'ailleurs tu en as jamais réellement fait avec Tada. Du moins, ces derniers temps. Peut-être que ça aurait pu être une erreur ce baiser, ces baisers, cet acte charnel... Mais ça ne l'a jamais été pour toi. Non, tu n'as jamais pu considérer tout ça comme des erreurs pour la simple et bonne raison que tu n'as jamais réussi à regretter tes gestes, pas un seul instant, sincèrement. C'est difficile de te l'avouer, ça aussi. Ça serait sûrement plus facile de regretter, pour ta conscience... Mais tu n'y arrives même pas, t'en as pas envie. Tu n'as aucune idée de comment la soirée va se dérouler, si ce geste n'était peut-être pas une si bonne idée que ça mais tu t'en fiches, c'était ce que tu voulais, ce dont tu avais besoin. Tu n'as aucune envie de te prendre la tête ce soir, tu veux simplement profiter de tous ces merveilleux sentiments qu'il parvient à t'apporter, laissant les mauvais au placard. Et puis, tu n'as même pas le temps de réfléchir à ce que tu viens de faire, son sourire vient aussitôt te rassurer, te donner de l'assurance et de la confiance. Tu ne sais pas si c'est ce tourbillon de sentiments qui te fait resserrer ses doigts contre sa peau ou l'effet qu'il provoque en toi en approchant son visage du tien. Un peu des deux, peut-être. Ton regard se baisse alors sur ces lèvres qui, disons-le, t'ont cruellement manqués. Sur ces lèvres qui avaient ce goût d'interdit mais qui pourtant, tu désirais que trop. Sur ces lèvres qui sont parvenus à te chambouler dès le premier jour où tu les as goûté, sans doute parce qu'ils ont su te faire découvrir un désir encore inconnu pourtant, un désir que tu éprouves pour une personne que tu pensais ne jamais pouvoir atteindre, ne jamais être en droit d'apprécier autrement. Mais qu'est-ce que tu peux y faire ? Cette tension entre vous, t'y devenais un peu trop accroc. Alors quand ses lèvres viennent enfin prendre possession des tiennes, tu fermes aussitôt les yeux. Les paupières battantes d'émotions, agrippant sa cuisse, geste qui reflète l’intensité de tout ce qu'il parvient à te faire ressentir. Mais là, il te transporte sur un nuage. Loin des soucis, des problèmes, de tes inquiétudes. Tu en as besoin. Tellement que tu ne veux pas le laisser s'échapper, tu ne veux pas que ça s'arrête alors instinctivement et pendant quelques secondes, tu viens déposer ta main libre sur sa joue, prêt à revenir chercher ses lèvres s'il daigne s'écarter de toi. Ce baiser éclate enfin cette ambiguïté, l'a réduit à néant et ce sentiment de libération est inexplicable. Il doit le ressentir, lui aussi, puisqu'il ne met pas fin au baiser. Bien au contraire, il y met encore plus de fougue. Il y a encore des tas de questions restées sans réponse, des choses que tu ne comprends pas. Comment tout ça s'est produit? À quel moment votre relation a basculé au point d'atteindre ce point de non retour? Pourquoi toi? Pourquoi lui? Tu ne sais pas, tout ça, mais tu ne cherches plus de réponses, t'en as plus envie. Tu as besoin de quelque chose de plus fort que d'avoir ces réponses, tu as besoin de lui. Toi aussi tu y mets plus de fougue, plus d'envie, tu entrouvres même timidement les lèvres, laissant ta langue aller chercher la sienne pour une danse qui vous enflammera d'autant plus. C'est ce baiser oui, mais aussi lorsqu'il remonte ta main le long de sa cuisse, tu sens même ton cœur rater un battement, sans doute dû à cette vague de chaleur qui t'envahie. Venue de nulle part, tu ne l'attendais pas, mais elle vient de te posséder avec une certaines puissance. Sans doute parce qu'il hante tes pensées depuis quelques temps maintenant, qu'il est devenu en si peu de temps, l'objet de tous tes désirs. Il écarte finalement son visage du tien, rompant ainsi vos lèvres scellées alors que tu daignes enfin rouvrir les yeux, plantant ton regard brûlant dans le sien. Regard que tu baisses vers ta main se trouvant désormais entre ses cuisses, ton excitation bouillonne en toi, ta chaleur corporelle a grimpé si rapidement que pendant un court instant, tu crains de ne pas pouvoir la contrôler. « Touche moi. » te souffle t-il à l'oreille, te provoquant un frisson invisible à l’œil nu, qui pourtant, te saisie un bref instant. Maintenant ? Ici ? Deux mots prononcés avec une telle sensualité qu'il brouille ton esprit de toutes questions lucides. L'envie de le retrouver, cette impatience mais aussi ce sentiment de réciprocité se mélangent en toi, provoquant ainsi ce discret sourire que tu affiches sur les lèvres. Un sourire innocent qui maquille un sourire des plus enflammés. Toujours en usant de cette même douceur, cette même discrétion, tu te tournes un peu plus vers lui, adossant ton crâne contre le dossier du fauteuil sans jamais retirer ta main, bien au contraire, tu viens lui caresser sa virilité par dessus son pantalon. Doucement, chaudement, dans le but de faire monter son impatience et son excitation, à lui aussi. Quelques petites secondes avant de remonter doucement ta main, soulevant légèrement son haut, y passant tes doigts dans de douces caresses en bas du ventre. Tu baisses même le regard un court instant, le temps pour toi de voir ce que tu fais mais tu le relèves très vite, tu veux voir ses réactions, tu ne veux pas en louper une miette. Tu as besoin de voir l'effet que tu as sur lui. Plus rien n'existe à part lui. Lentement, tu baisses tes caresses jusqu'au haut de son pantalon et plus précisément, vers le bouton de son slim que tu prends un malin plaisir à retirer. Une fois chose faite, tu te mordilles doucement la lèvre inférieure, geste qui image à merveille ce désir que tu ressens pour lui, surtout lorsque tu penses à ce que tu vas bientôt lui faire, cette impatience de le toucher une nouvelle fois. Et tu glisses doucement tes doigts dans son sous-vêtement, vissant ton regard sur lui puisque là, tu ne comptes plus le lâcher du regard. Ton sourire ne te quitte pas, à aucun instant, il se fait parfois plus visible mais ne s'efface jamais totalement. On le sent aux moindres de tes gestes, ta main se fait gourmande de lui, usant de cette même délicatesse à chaque contact, même lorsqu'elle rencontre enfin sa virilité. Le sentir aussi excité pour toi fait grimper agréablement cette chaleur en toi alors que tu commences, doucement, à effectuer des vas-et-vient. Tu n'attends qu'une seule chose: le voir perdre ses moyens, se retenir un minimum car même s'il n'y a pas grand monde, vous n'êtes pas seuls. Ce n'est pas quelque chose qui t'excite particulièrement, en temps normal, mais là... Tu y prends un malin plaisir. Tu apprécies même cette excitation qui commence à prendre possession de toi, en fait, ça t'excite plus que tu ne l'aurais pensé. C'est pour cela que tu ne cesses pas tes caresses, bien au contraire, plus les secondes défilent et plus tu y mets de l'intensité, tu veux le rendre fou, dépendant de toi et de ce que tu peux lui apporter.  




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Jeu 14 Déc - 2:24
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Sa main sur ta cuisse et tu t'enflamme. Le geste est anodin mais pas pour lui, et certainement pas pour toi. T'y vois là le déclencheur, le feu vert que tu attendais. Il avait besoin de temps pour réfléchir, pour être certain qu'il veuille d'une relation avec toi et ce soir, il semble prêt à foutre en l'air votre amitié pour sauté dans l'inconnu. Il ne t'en faut pas plus pour saisir l'opportunité. Tu ne réfléchis pas plus longtemps, tu approches ton visage du sien. Tu veux posséder ses lèvres, les faire tiennes durant une poignée de secondes. C'est ce que tu fais, tu les déposent sur les siennes et tu te laisse envahir par cette vague de sensations agréables qui submergent ton corps. Tu mets de la fougue dans ce baiser, plus les secondes défilent et plus tu deviens gourmand. Impossible de calmer cette soif de lui. Comme si chaque secondes te rendais complètement fou. Vos langues s'entre choquent et commencent une danse sensuelle. Ton désir grimpe vite, trop vite probablement. Subitement, tu en veux plus, tu veux qu'il te touche. La simple idée d'imaginer ses mains caressant ton corps suffit à sentir une première vague de chaleur. Alors tu t'écarte de lui, plongeant ton regard dans le sien tandis que tu diriges sa main entre tes cuisses. Et comme si cela ne suffisait pas, tu lui ordonne presque de te toucher, maintenant et ici dans cette salle de cinéma. Toi-même, tu es étonné par cette perte de contrôle soudaine sur ton désir qui te pousse à en vouloir plus. Il te sourit, tu fais de même attendant qu'il s'exécute. Doucement, il se tourne vers toi et tu sens sa main caresser ton membre à travers ton slim. Tu pousses un soupir, le fixant avant de lui sourire, amusé par ce qui est sur le point de se passer. On peut pas vraiment dire que tu es un homme qui aime faire des choses malsaines dans les lieux publics mais la perspective de le voir te faire du bien ici te plaît plus que tu ne l'imaginais. L'interdit y est pour beaucoup aussi, vous pourriez vous faire prendre à tout moment et c'est peut-être que ce qui te fait perdre toute patience. Yury joue avec ton impatience et prend son temps pour faire grimper ton plaisir. Il finit par venir soulever ton haut et poser délicatement ses mains douces de chaudes sur ton corps, ce qui a pour réflexe de te faire agripper l'accoudoir de ton siège. Tu te mords même la lèvre tentant de ne pas le quitter du regard, tu veux qu'il te fixe et qu'il voit tout le plaisir qu'il te procure. Toujours en prenant son temps, il enlève le bouton de ton pantalon et tu peux voir qu'il se mordille la lèvre. Tu souris, satisfait de voir qu'il en a envie autant que toi. S'il savait qu'au moment où il te touchera, tu perdras pieds. Sentir ses mains sur ton corps, te fais oublier le reste. Tout ce qui vous entour s'éloigne pour vous laissez seuls face à ce moment. Et la sensation est renforcée quand ses mains rencontrent ta virilité déjà gonflé par le plaisir. Ton regard reste planté dans le sien quelques instants avant que tu sentes ses caresses te faire perdre le contrôle sur toi-même. Tes yeux se ferment alors, tu serres les dents pour ne pas faire de bruit, ta respiration s'accélère et se fait plus bruyante. Ta tête se dépose sur le siège derrière toi, tandis que tu ouvres la bouche comme si tu cherchais à trouver de l'air dans ce tsunami de sensation qui te bouleverse d'un coup. Ses gestes sont doux et plein de sensualité, à tel point que tu luttes pour ne pas pousser des cris. Au lieu de ça, tu grognes de plaisir. Tu n'aurais jamais pensé que la douceur de ses gestes te fasse aussi vite perdre pied si bien que tu viens agripper fermement sa cuisse pour être certain d'être encore dans la réalité. Tu ne rêves pas, tout ce qui se passe est bien réel. Et plus les minutes passent et plus il est difficile pour toi d'être silencieux, alors pour tenter de ne pas laisser un quelconque bruit s'échapper, tu plantes tes ongles un peu plus fort dans sa cuisse jusqu'à ce que tu mettes fin à ses caresses en serrant d'un coup son poignet. Il te faut quelques secondes pour rouvrir les yeux et reprendre tes esprits. Tu respire fort tant ce que tu viens de vivre a été excitant pour toi. Tu tourne la tête vers Yury, un sourire plein de malice accroché au visage et puis, tu lui glisses à l'oreille : « Pas ici. » Non, pas ici. Tout ça n'a pas calmer ton excitation et ton envie de lui, bien au contraire maintenant, tu le veux plus que jamais. Alors tu te rhabille discrètement sentant ta virilité bien trop à l'étroit dans ton slim. Tu regarde Yury une dernière fois avant de te lever, si tes mots ne l'ont pas fait réagir, le fait que tu sois prêt à quitter la salle est clair. Tu ne veux pas finir le film, tout ce que tu veux c'est lui n'importe où mais pas ici.  




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Dim 17 Déc - 2:11
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Son regard t'électrise sur place alors que tu commences tes douces caresses sur sa virilité. Avec sensualité, gourmandise, mais tu ne le quittes pas du regard, tu veux pouvoir admirer cet effet que tu as sur lui et le moins que l'on puisse dire c'est que tu n'es pas déçu. Ce contact visuel se brise lorsqu'il ferme les yeux, tu peux même remarquer à sa mâchoire qu'il serre les dents, et toi, ton sourire s'agrandit. Un sourire à la fois satisfait mais surtout, excité. Tu sens cette vague de désir t'envahir, cette vague qui risque de devenir incontrôlable. Bon sang, qu'est-ce qu'il vous prend de faire ça ici? Comme si tu allais pouvoir te remettre de ces émotions et faire comme si rien était. Ce sont ses grognements qui te font sortir de tes pensées, te concentrant sur le moment présent. Tu sais que tu t'y prends bien, à en voir son état, alors tu continues sur la même lancée, usant toujours de cette même sensualité. Et ç'a son petit effet puisqu'il vient agripper fermement ta cuisse. Tu as même ce léger sursaut, sursaut qu'on ne saurait expliqué. Un sursaut de surprise? Non, plus d'excitation. Alors dans un élan  de désir intense, tu viens poser ta seconde main sur la sienne, l'agrippant elle aussi dans l'espoir que tu puisses y passer un minimum de ta frustration, tes gestes se font même un peu plus francs mais encore une fois, tu es interrompu par Tadashi qui bloque ton poignée après avoir planté tes ongles dans ta cuisse. Tu viens alors te mordre la lèvre, réflexe idiot qui pourrait te faire croire que tu parviendras à te contrôler un minimum et c'est à ce moment là que vous vous échangez ce regard. Un regard qui lui dit que, dans d'autres circonstances, tu serais certainement déjà nu à t'offrir à lui. « Pas ici. » Non, pas ici. Ta respiration s'est accéléré avant même que tu puisses t'en rendre compte, ton regard vissé dans le sien, tu l'observes se lever après s'être rhabillé. Il est prêt à partir, et toi aussi. C'est pour cette raison que tu lui souris doucement, venant attraper rapidement ta veste sur le siège d'à côté.

Tu pousses la porte de sortie, l'air frais caresse ta peau ne t'aide pas à évacuer cette chaleur, bien au contraire, elle s'intensifie en toi à chaque seconde qui passe. Et en remarquant que vous êtes seuls dans ce parking, ton sourire se transforme en un sourire des plus coquins. Quand tu auras les idées plus claires, tu prendras quelques secondes pour remercier ton toi du passé qui a eu la brillante idée de ne pas se garer très loin. Alors tu te tournes, marchant à reculons pour ne pas le quitter des yeux, deux doigts viennent même se faufiler entre sa ceinture et son slim pour le rapprocher brusquement de toi, ça, sans jamais cesser de d'avancer vers ta voiture. Tes lèvres frôlent les siennes mais tu n'y goûtes pas, pourtant, ce n'est pas l'envie qui manque. Non là, il pourra seulement y sentir ton sourire se dessiner contre les siennes. « Tu m'excites. » lui souffles-tu d'une voix presque inaudible mais assez pour qu'il puisse l'entendre, puis tu viens lui mordiller la lèvre inférieure. Ton sourire ne s'efface pas, non non, tout comme la vision de lui sur ce siège du cinéma, tentant d'être un minimum discret. Mais oui, ce geste te fait perdre totalement les pédales, l'entendre grogner de la sorte, voir sa mâchoire se contracter tant le plaisir l'enivrait te brouille le cerveau de toute pensée lucide. Alors quand ton dos tape contre la vitre de la portière, tu t'empresses de sortir les clés de voiture se trouvant dans la poche de ta veste, sans rompre cette proximité cependant, ton corps restant toujours collé au sien jusqu'à ce que tu daignes t'écarter pour ouvrir la porte et une fois chose faite, tu t'engouffres à l'intérieur en vitesse. Tu prends que quelques secondes pour retirer ta veste avant de la jeter sur le siège conducteur, suivi de ta casquette -et tes clés avec- et alors que tu entends la portière se claquer brusquement, signe que vous vous trouvez enfin tous les deux dans la voiture, tu te tournes vivement vers lui, attrapant ses lèvres des tiennes comme si ta vie en dépendait. Là, tu laisses ton désir exploser et on peut le comprendre à l'intensité de ton baiser, à ta respiration qui se fait courte et plus forte qu'auparavant. Désir que tu contiens depuis bien plus longtemps que quelques minutes, non, c'est un désir que tu contiens depuis des semaines maintenant. L'envie de goûter une nouvelle fois à son corps te consumait de l'intérieur, tellement que maintenant, tu ne te contrôles même plus. Tu viens positionner tes mains de chaque côté de sa mâchoire comme si tu avais peur que ses lèvres te quittent, tout ça, en laissant ton corps basculer en arrière, forçant ainsi Tadashi à suivre le mouvement et à s'allonger sur toi. Et toujours dans cet élan de soulagement, sentant ton désir exploser dans tout ton corps, tu lui souffles chaudement, entre deux baisers enflammés. « Je n'ai pas arrêté de penser à toi. » Tu l'avoues enfin tant tu le désires, tant tu as passé des semaines à ne penser qu'à une seule chose: le retrouver. Car oui, c'est plutôt clair lorsque tu l'avoues, tu n'as pas pensé à lui comme tu penserais à ton meilleur ami. Tu l'avoues plus à toi-même qu'autre chose, en réalité, ce manque était anormal mais beaucoup trop puissant pour être nié plus longtemps. Ta main vient se plaquer dans sa nuque, lui offrant un baiser beaucoup plus ardent comme pour illustrer tes propos. Des gémissements de désirs s'échappant d'entre tes lèvres, étouffés par les siennes alors que ton corps sous lui commence à se cambrer d'excitation. Ta main libre, elle, vient déboutonner les premiers boutons de sa chemise, rapidement suivi par la deuxième qui vient l'aider et une fois chose faite, tu déposes tes douces mains sur son torse, ton désir prenant davantage en ampleur alors que tu quittes enfin ses lèvres, posant l'arrière de ton crâne sur le siège de ta voiture. Un doux sourire prend alors place sur tes lèvres alors que tu viens te mordiller la lèvre inférieure, rapidement, tu viens passer une main dans tes cheveux pour dégager quelques mèches qui brouillent cette vue qui s'offre à toi. Et une fois chose faite, tu prends quelques secondes pour admirer son torse avant de passer tes mains dans son dos, le plaquant contre toi, profitant ainsi de cet instant pour reprendre possession de ses lèvres avec plus de fougue encore.
 




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Sam 6 Jan - 18:20
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Quelque chose en toi s'est enflammé au moment où il a déposé sa main sur ta cuisse. Une flamme de désir qui s'est envenimé d'un coup, il a jeter l'huile sur le feu pour que ton désir prenne plus d'ampleur. Est-ce que tu lui en veut ? Non, bien au contraire, tu l'attendais. Tu le voulais, Yury devait t'enflammer comme il l'avait fait il y a quelques semaines. Tu voulais ressentir ça à nouveau mais pour ça, le geste devait venir de lui et seulement de lui. C'était lui qui devait te tendre la main pour t'autoriser à enfin faire un nouveau pas vers lui et tout faire basculer. Mais est-ce que tu te doutais qu'un geste si anodin puisse te rendre dans cet état ? Non, et ça devrait probablement t'effrayer mais, c'est l'inverse qui se produit. Le désir que tu éprouve pour lui est dangereux, pas parce qu'il peut vous faire souffrir, non plutôt parce qu'il est intense et qu'il te pousse à vouloir qu'il te touche dans ce cinéma. C'est un endroit public, n'importe qui peut vous voir, à n'importe quel moment mais tu t'en fous. Toi, tu veux sentir ses mains sur ton corps et tu n'as pas la patience d'attendre. Yury le comprend bien et ne tarde pas à laisser ses mains gourmandes s'amuser de ton désir. Pendant quelques minutes, tu peines à contenir le flot d'émotion qui bouillonne en toi, à plusieurs reprises tu manques de laisser échapper des cris. Il te faut serrer les dents pour étouffer ces bruits qui pourraient vous trahir. Le regard de Yury est posé sur toi, il admire le spectacle que tu lui offres malheureusement, tu y mets fin assez vite. Tu veux prolonger tout ça ailleurs, dans un coin tranquille où vous pourrez être rien que tous les deux. Tu te rhabille en vitesse et quitte la salle, suivit de prêt par Yury. Une fois dehors, vous vous mettez en route vers la voiture de Yury. Le parking est désert, il n'y a personne, ce qui te fait sourire. Vous ne tiendrez pas jusqu'à ton appartement, vous le savez tous les deux. Il suffit de voir le regard qu'il te lance alors qu'il marche à reculons. Tu lui souris avant de sentir sa main attraper ta ceinture et te coller à lui. Vos lèvres se frôlent sans pour autant qu'elles se rencontrent. « Tu m'excites. » Un soupir dans cette nuit fraîche, un soupir qui te fait crisper la mâchoire. Ses dents s'enfoncent dans ta lèvre et tu ne résistes pas à l'appel : tu l'embrasse jusqu'à que son dos heurte la portière de sa voiture. Une main se plaque contre la vitre alors que l'autre se pose sur ses hanches. Tu dévore ses lèvres avec fougue, alors que vos corps se collent dangereusement. Une nouvelle vague de chaleur t'envahit. Ton corps est attiré par le sien et tu ne peux pas t'empêcher de le plaquer un peu plus contre la portière. Ton désir ne cesse de grimper et heureusement que Yury finit par se reculer pour ouvrir la porte, sinon tu aurais probablement pu le déshabiller ici. Vous vous engouffrez tous les deux dans le véhicule. Vous voilà enfin seuls et après avoir enlever ta veste, Yury bondit presque sur toi. Il te désir tout autant que tu le désir. Cette envie mutuelle vous fait perdre le contrôle. Tu te sens basculer au dessus de lui et tes mains viennent se faufiler en dessous de son t-shirt. Sa peau douce t'avais manqué, tes mains voulaient se poser à nouveau sur ce corps qui te fait doucement perdre tes moyens. En toi, tu sens naître à nouveau cette bestialité qui s'éveille à chaque fois qu'il te touche. « Je n'ai pas arrêté de penser à toi. » Comme si ça ne suffisait pas, ses mots te font grogner. Lentement, tu deviens plus bestiale. Tu viens lui griffer légèrement le torse avant de te faire un chemin entre ses cuisses. Vos deux bassins se rencontrent et tu grognes à nouveau. Il n'avait pas arrêter de penser à toi et le simple fait de le savoir, te faisait sourire. Si seulement il savait que le souvenir de votre soirée ne t'avais pas quitter une seule seconde et t'avais accompagné dans tes plaisirs solitaires. Il t'offre un nouveau baiser, cette fois plus ardent. Un nouvelle fois, tes ongles s'enfoncent dans sa chaire et ton bassin se frotte un peu plus au sien. Les mains de Yury déboutonne ta chemise et tu te redresses mettant fin à votre baiser pour retirer le vêtement dont tu n'auras plus aucune utilité. Il dépose ses mains qui caressent doucement ton corps ce qui te pousse à contracter tes muscles à cause des frissons qui parcourent ton échine. Il te regarde pendant quelques secondes avec un fin sourire. Vos regards se croisent et ce que tu vois dans ses yeux ne te calme pas, bien au contraire. Tu sens en toi cette animosité gronder. Et quand il vient te plaquer contre lui pour t'embrasser à nouveau, tu laisse tes mains défaire sauvagement sa ceinture avant de déboutonner son pantalon dans le même élan. Tes mains remontent agripper la chair de ses côtes le poussant à enlever ses vêtements. Tu as envie de le mettre à nu, de sentir une nouvelle fois sa peau douce contre la tienne. Tu l'aide à enlever son haut et tu souris devant le spectacle de son torse nu alors que tu viens le plaquer contre le siège. Maintenant, l'animal en toi s'agite trop et ça te démange de lui offrir sa liberté. Tu te penche au dessus de lui, passant ta main sur l'arrière de son crâne tandis que tu viens lécher la peau de son cou, il sent certainement la bille de ton piercing roulé sur sa chair. Tu respires fort tout près de son oreille alors que ton autre main libre descend le long de son torse pour finir dans son caleçon. « Tu m'as manqué, Yu. » souffle-tu à son oreille, mélangeant à ça des soupirs ou des grognements de plaisir. Et puis, tendrement tu commence des caresses sur sa virilité. Cette fois, les rôles sont inversés, c'est toi qui lui fait du bien et tu comptes bien faire durer le plaisir. Le simple fait de le voir bouger sous toi te rend doucement plus faible. Une faiblesse que tu apprécies puisque tu continues accélérant petit à petit tes caresses. Pendant ce temps là, tu dévores son cou comme un foutu vampire assoiffé de sang. « Je t'ai manqué, moi ? » chuchote-tu, te redressant pour lui faire face. Et comme pour appuyer tes propos, tu accentues tes va-et-vient fixant Yury droit dans les yeux. Tu veux le voir lâcher prise, tu veux voir l'effet que tu lui fais alors tu le torture un peu plus quitte à ce qu'il atteigne ses limites, après tout c'est peut-être que tu cherches. Le spectacle en sera d'autant plus beau.  




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Jeu 11 Jan - 0:29
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Est-ce qu'il s'imaginer l'effet qu'il peut avoir sur toi en agissant de la sorte? Tu penses perdre pieds lorsque tu l'entends grogner. Il faut le dire, c'est une facette de Tadashi que tu ne connaissais pas mais que tu ne regrettes pas d'avoir rencontré, au contraire, t'en réclames encore une fois. Alors à peine retires-tu sa chemise que tes mains se déposent sensuellement sur son torse que tu découvres, la dernière fois, il était bien trop couvert à ton goût. Tu sens alors ses muscles se contracter sous tes caresses, alors toi, tu souris, fièrement avant revenir prendre en otage ses lèvres. Et c'est contre ses lèvres que vient s'écraser ton soupir de désir au moment où tu sens ses mains défaire sauvagement ta ceinture avant de s'occuper de ton pantalon. Ton excitation grandit que trop vite, ta curiosité aussi, ton envie de le revoir s'occuper de toi te fait fondre sur place, tu commences doucement à perdre tes moyens. Alors quand tu sens ses mains agripper tes côtes, tu te redresses doucement, presque impatient lorsqu'on voit la vitesse à laquelle tu retires ta veste, Tadashi t'aide même à retirer ton t-shirt, te retrouvant ainsi torse nu avec lui. L'hiver pourrait te glacer les os mais tu n'y prêtes même pas attention, puisque la chaleur de ce désir un peu trop envahissant s’accapare de tout ton être. Tu scrutes la moindre de ses réactions à cette vue qui s'offre à lui, parce que ça te plaît de savoir qu'il t'observe et son sourire en dit long. Il ne tarde pas à te plaquer contre le siège, tu laisses ton corps obéir à ses faits et gestes, à ses désirs, il peut bien faire ce qu'il veut de toi à l'heure actuelle. Le désir t'enivre tellement que tu le laisserais faire tout ce qu'il souhaite mais tu n'as pas vraiment le temps de réagir qu'il vient se saisir de l'arrière de ton crâne. Maintenant désormais ta tête tandis qu'il vient lécher ton cou d'une manière à la fois sensuelle et à la fois assoiffé, tu en lâches même un nouveau soupir de désir tant il parvient à décupler ces sensations magiques qu'il t'offre, tu peux même y sentir son piercing tout contre ta peau et ça te fait décoller. Tu frisonnes à l'entente de sa respiration qui devient elle aussi de plus en plus forte, tes mains passent sous ses aisselles pour se loger sur ses omoplates alors que ton corps continuent de frissonner en sentant sa main descendre le long de ton torse, finissant sa course dans ton caleçon. « Tu m'as manqué, Yu. » te souffle t-il, soupirant de plaisir alors qu'il commence à caresser ta virilité, tes yeux se ferment, laissant échapper un soupir de plaisir bien plus audible que les précédents, le son de ta voix s'y mêlant, trahissant ainsi ton excitation et ton envie de lui. Ses paroles, ses gestes, son corps contre le tien te font perdre tous tes moyens tellement que tu n'as même plus la force de lutter, tu te laisses aller, laissant parler tes désirs tout en profitant de ses caresses. Ton corps gigote même, se mouvant au rythme qui donne à ses caresses alors que l'arrière de ton crâne s'enfonce de plus en plus sur le siège, levant le menton comme pour lui laisser un meilleur accès ton cou. Cou qu'il dévore, et tu n'as pas envie qu'il s'arrête. Ta bouche reste même entrouverte pour y laisser échapper ces soupirs qui deviennent de plus en plus audible, davantage lorsqu'il accélère ses caresses sur ton membre viril. « Je t'ai manqué, moi ? » termine t-il en accélérant ses vas-et-vient. Tout ça provoque en toi une vague de désir incontrôlable, tellement que ta poitrine se soulève un court instant alors que tu lâches ton premier gémissement, tes ongles se plantant dans la peau de son dos. Il s'y prend si bien, à croire qu'il sait parfaitement quoi te dire et quoi faire pour te rendre fou, et ça te plaît. Son souffle caresse tes sens, tu ne reprendras définitivement plus tes esprits puisque tes envies divaguent. Des envies que tu n'avais encore jamais eu jusqu'à présent mais qui te brouillent l'esprit de toute pensée lucide. Après quelques secondes intenses, tu trouves la force de rouvrir les yeux, le fixant droit dans les yeux et ça t'en colle des frissons dans le bas ventre, ton cœur rate même un battement dû à tes envies les plus obscènes. Mais tu oses, tu baisses le regard vers vos deux corps alors que tes jambes resserrent la pression sur sa taille, tu observes ses gestes te faire du bien tout en lâchant encore des gémissements. Et rapidement, tu viens glisser une de tes mains entre vos deux corps, agrippant son poignet avec force comme pour lui faire comprendre que tu veux qu'il s'arrête, non pas que ça te plaise pas, bien au contraire. Tu risques de ne pas tenir longtemps s'il continue comme ça mais là, tu veux beaucoup plus. Alors ta seconde main vient se poser sur sa nuque, exerçant une pression sur cette dernière pour qu'il vienne retrouver tes lèvres dans un baiser des plus ardents et enflammés. Tu viens même bloquer sa lèvre inférieure entre tes lèvres, affichant un sourire lourd de sens. Tu finis par glisser ta main dans ses cheveux, resserrant quelques mèches de tes doigts sous le plaisir. Ça, avant de te redresser doucement, gardant ton fin sourire et tes lèvres collées aux siennes, une fois ton corps redressé et à sa hauteur, tu laisses tes mains remonter chaque côté de ses bras, frôlant et caressant sa peau doucement. La tienne est devenue si sensible qu'elle réagit désormais au moindre frôlement, chaque frisson réveillant tes nerfs et tes désirs les plus torrides, tu espères simplement que ça soit la même chose pour lui mais cet instant est tellement magique qu'il parvient à te faire ressentir cette réciprocité. Tes mains s'arrêtent sur ses épaules que tu agrippes un court instant alors que tu viens reprendre possession de ses lèvres. Ton baiser est aussi doux que torride, d'ailleurs, tu lui souffles entre deux baisers un faible: « Terriblement. » alors qu'un nouveau sourire né sur tes lèvres encore collées aux siennes. Avec tout ça, tu n'as même pas pu lui répondre et même si ton souffle se fait court et ta respiration haletante tant le désir t'accapare, tu peux désormais le faire. Tu ne sais pas si ce goût d'interdiction te pousse à agir davantage puisque tu le sais, vous prenez un énorme risque, et toi aussi pour plusieurs raisons mais tu ne peux tout bonnement pas lui résister, et c'est ce sentiment qui te rend totalement fou. Tu finis par rompre le baiser, laissant tout de même tes lèvres frôler les siennes dans des caresses sensuelles mais surtout grandement taquines, puisque tu souris, laissant tes mains retirer sa ceinture alors que tu te trouves toujours à sa hauteur. Tes mouvements ne sont plus si lents mais ne sont pas non plus trop rapide, une fois la ceinture retirée, tu viens déboutonner son pantalon sans quitter ce spectacle du regard, ce dernier toujours rivé sur ce que tu fais. Et puis tes mains viennent agripper son pantalon de chaque côté alors que tu remontes ton regard vers Tadashi un court instant, juste le temps pour lui d'y lire ton impatience et ton envie d'y découvrir ce qu'il y a sous ces couches de vêtements, tu viens même mordiller discrètement ta lèvre inférieure avant de descendre à nouveau ton regard et d'abaisser lentement son pantalon, ainsi que son caleçon, y découvrant ainsi son membre durci d'excitation. La vue est alléchante, une chaleur magistrale s'empare de tout ton corps. Tu n'as même pas eu l'occasion de pouvoir l'admirer la dernière fois et tu n'es clairement pas déçu de l'attente. Parce que oui, quand tu lui as dit que tu n'avais pas cessé de penser à lui... Tu as également pensé à des tas d'autres choses. Tu replonges alors ton regard dans le sien, faisant pression sur une de ses épaules pour le tourner, cette fois-ci, correctement assis sur le siège arrière de ta voiture, les deux épaules collées au siège. Et rapidement, tu viens passer tes mains de chaque côté de son cou, tournant son visage vers toi pour l'embrasser fougueusement. Sûrement parce qu'il s'agit du dernier baiser, après ça, tu risques de ne plus être capable de l'embrasser avant quelques minutes. Ta main droite vient même caresser doucement son torse tandis que la deuxième descend vers son entre jambe.


 




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Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Jeu 18 Jan - 0:28
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La chaleur dans la voiture devient de plus en plus suffocante. De la buée a fait son apparition sur les vitres. Tu commence à transpirer tant ton corps bouillonne. Mais à l'heure actuelle ce n'est pas ce qui retient ton attention, non tu préfères admirer le spectacle de Yury qui se tord de plaisir. C'est comme si tu le torturais avec tes caresses et c'est comme s'il en redemandait. Et toi le simple fait de le voir comme ça n'arrange en rien ton envie de le torturer un peu plus. Plus il bouge, plus il lâche des soupirs de désir et plus tu veux t'appliquer à lui faire du bien. C'est étrange comme tu deviens totalement différent quand il s'agit du sexe avec lui. Tu pourrais te contenter de simples caresses, mais non, toi tu veux qu'il se torde sous toi, qu'il gémisse s'il le faut mais tu veux savoir que ce que tu fais, le rend fou. Alors tu t'appliques soigneusement pour avoir ce que tu veux. Tes caresses trouvent le bon rythme, parfois elles sont plus brusques et des fois plus douces et puis ajouté à ça, tu lui demande si tu lui a manqué. Tu relèves même la tête pour admirer ses réactions. Il pousse son premier gémissement et tu te mords la lèvre. Douce mélodie qui chatouille tes tympans. Un sourire s'affiche sur ton visage, tu es satisfait et à la fois, tout ça te rend complètement dingue. Tu sens ton membre être un peu trop à l'étroit dans ton caleçon. Vos regards se croisent quand il rouvre les yeux et tu ne peux t'empêcher de faire quelques va-et-vient plus brusque. Tu ne le quittes pas une seule seconde du regard, tu veux qu'il voit la flamme de désir qui s'agite dans tes yeux. Après quelques secondes de cet échange, la main de Yury vient agripper ton poignet arrêtant ta torture avant de venir t'embrasser avec fougue. Ton corps s'agite contre le sien lâchant ton emprise sur son membre. Vos baisers sont tous plus ardent les uns que les autres jusqu'à ce qu'il s'arrête le temps de te sourire, chose à laquelle tu réponds par la même chose. Vous finissez par vous redressez tous les deux, garant la proximité. Il frôle doucement ta peau les laissant remonter jusqu'à tes épaules. Ta respiration est forte tandis que tu le fixe avec envie. Tu déposes tes mains sur ses hanches quand il vient sceller ses lèvres aux tiennes, tu plantes même tes ongles dans sa chair. « Terriblement. » répond-il à ta question entre deux baisers fougueux. Ça te fait une nouvelle fois sourire. S'il a pensé à toi comme toi tu as pensé à lui, tu n'ose même pas imaginé ce qui a pu lui traversé l'esprit. Ses mains viennent défaire ta ceinture, puis déboutonner ton pantalon, tu le laisse faire, tu l'admire même. Tu le vois bien, il est impatient et ça te fait d'autant plus sourire. La dernière fois, il avait prit son temps avec toi, et là, c'est comme s'il n'avait plus l'envie d'attendre. Il veut te retrouver, il veut te revoir nu et ça ne t'aide pas à rester concentrer. Il remonte son regard vers le tien le temps de baisser ton caleçon libérant ta virilité de sa prison de tissu. Tu te mordille la lèvre inférieur alors qu'il baisse les yeux admirant la vue. Ensuite il vient t'asseoir sur le siège, tournant ta tête vers lui. Ses lèvres viennent se coller aux tiennes et tu fermes les yeux appréciant les frissons que provoquent ses caresses sur ton corps et maintenant sur ton entre jambe. Un grognement s'étouffe même dans ta gorge avant que les lèvres de Yury descendent le long de ton corps finissant leur course à quelques centimètres de tes parties intimes. Tu le regarde avec impatience. Tu sais ce qu'il s'apprête à faire mais tu veux qu'il le fasse, tu veux sentir ses caresses buccales. Il suffit que tu y penses pour qu'il vienne prendre en bouche ta virilité. Ta tête bascule immédiatement contre le siège. Tes yeux se ferment pour apprécier ce qu'il t'offre. Tu pousse des soupirs de plaisir, grognant même à des moments pour ne pas gémir aussi rapidement. Il fait ça de manière douce et lente, comme s'il cherchait à ce que tu prennes le plus de plaisir possible. Et c'est le cas, quand tu sens ses ongles s'enfoncer dans ta cuisse, un gémissement incontrôlé s'échappe tandis que ta main gauche vient griffer son dos et ta main droite quant à elle se perd dans ses cheveux. Tes muscles se contractent, ton corps tout entier subit cette torture. Ta main empoigne ses cheveux. Tu ne contrôle pas tes gestes, c'est comme des spasmes de plaisir. Un nouveau gémissement résonne dans la voiture. Comment il peut être aussi bon à ça ? Tu ne t'attendais pas à tant à perdre le contrôle. Après quelques longues secondes, tu te décide à mettre fin à ce supplice agréable. Tu aurais voulu prendre ton temps pour lui faire du bien à lui aussi, mais tu veux plus, tu veux le retrouver dans un échange charnel aussi torride que la dernière fois. Tu veux perdre tout contrôle dans ses bras. Doucement, tu le redresse l'incitant à retirer son pantalon. Une fois nu, tu l'incites à venir à califourchon sur toi. Il te surplombe de quelques centimètres te poussant à lever la tête. Tes mains griffent tendrement la peau de ses côtes alors que tes lèvres sucent la chair de son cou. Tu le plaque contre ton torse bouillant. Ton membre se frotte au sien et tu ne peux pas retenir un énième grognement. Une première main descend dangereusement entre ses fesses alors que l'autre vient entourer son membre pour recommencer tes caresses. Tu n'es plus sûr de savoir ce que tu fais. Ton désir est si fort qu'il te donne l'impression que tu ne te contrôle plus. Alors que ta main s'amuse avec son membre, l'autre faufile ses doigts en lui. Tu respires plus fort, tout ça ne calme en rien ton envie d'entrer en lui. En le torturant lui, tu te torture toi aussi et ça devient difficile de tenir. Mais c'est à la fois beaucoup trop bon de l'entendre frissonner à chacune de tes caresses. « Si je t'ai manqué, je veux l'entendre. » tu uses d'un ton sensuel pour lui susurrer ses mots à l’oreille. Et puis, tu lui suce une nouvelle fois la peau. Cette fois, tu ne veux pas qu'il retienne ses cris, tu veux profiter de chaque soupir de plaisir comme si ça pouvait te faire décoller plus au dans le ciel. Après ça, vous passerez aux choses sérieuses, après tout ça vous pourrez enfin vous retrouvez à deux et vous unir une nouvelle fois dans des ébats torrides.  




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