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Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave
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Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 11:44
Jang Na Nae
How could you let them turn you into a monster ?
 | IDENTITY CARD |
Il parait que...   _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Elle parle couramment coréen, anglais, français, italien et russe • Possède une pièce dédiée à tout ce qui concerne Harry Potter, elle achète absolument tout ce qu'elle voit de cet univers • Fume un peu trop, un peu n'importe quoi aussi durant sa jeunesse • Elle est l'heureuse maîtresse d'un husky nommé Icy • Elle n'a que le permis moto • Elle a été blonde aux États-Unis • Son style vestimentaire c'est les hoodies long et les cuissardes • Elle est asexuelle • Elle est suivie chaque semaine par un psychologue depuis ses douze ans • Elle ne mange pas vraiment de choses salée depuis qu'elle a fallu s'étouffer avec sa salive à cause d'un bonbon acidulé • En revanche, elle peut manger très épicé • Elle oublié de dire à Eui Geon qu'elle ne lui a pas rendu un de ses t-shirt qui sert maintenant de doudou pour dormir et elle ne l'a pas lavé depuis leur rupture. La légende raconte qu'il est imbibé de larmes • Elle se force à utiliser sa main gauche malgré le fait qu'elle soit droitière pour facilité ses futures opérations • Elle connait le tableau périodique par cœur et adore passer sa vie dans un laboratoire, d'ailleurs elle se trouve très sexy avec une blouse et des lunettes de protection • Elle adore les dernières technologies, surtout Samsung et a toujours les derniers appareils sortis. | Dis nous qui tu es !   _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Sun in scorpio. Résistante • Ambitieuse • Ironique • I'll face my La lutte est le maître-mot de Na Rae. Elle lutte contre   _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Moon in pisces. Solitaire • Sensible • Intuitive • Once I get used to this feeling. // Na Rae éprouve souvent le besoin d'être seule pour se resourcer et trouver la   _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Ascendant in sagittarius. Leader • Energique • Indépendante • It's hard to say 'good morning'. // Extravertie, indépendante, elle attire naturellement les autres, avec une âme de leader qu'elle utilise d'une bonne façon, sans pour autant être When it's followed with ' |
MRS LUCKY it's me, mario  (à lire avec l'accent)
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 11:44
[TW : viol, mort]
Déjà, à sa naissance, quelque chose n'allait pas. Elle est née dans son propre hôpital, sortie du ventre de sa mère par son père, simple chirurgien esthétique. Pourquoi vous allez vous dire ? Pour la simple raison qu'il possédait l'hôpital et ses employés, et que s'il désirait accoucher sa femme lui-même, il le faisait. Un femme, plutôt un objet. Cette dernière avait été refaite de haut en bas tant qu'on ne voyait aucune ressemblance avec sa fille, et tout ça par son cher mari qui avait fait en sorte que cette poupée Barbie lui convienne à cent pourcent. Une femme soumise aux désires de son mari et à ses attentes, autant par son caractère que son physique. Cette dernière, pourtant brillante physicienne, n'avait eu droit de dire un mot savant depuis des années. Elle était juste la femme mi-asiatique mi-occidentale tout droit sortie d'un manga adulte, pure réalisation des fantasmes de celui qui lui avait mis la bague. Pourquoi une femme ferait une chose pareille ? L'argent achetait très certainement le bonheur. Mais la création de Frankenstein n'était pas insensible aux signes de l'âge, alors Mr. Jang la remplaça avec d'autres pâles copies de son idéal, beaucoup plus jeunes. Ce n'était jamais assez cependant. L'alcool, les femmes, le jeu. Na Rae avait grandi en voyant de ses yeux innocents une femme qui prétendait être sa mère mais qui était sûrement capable de l'enivrer rien que par l'odeur tant elle touchait à la boisson pour oublier que son époux la considérait comme un trophée, et un père qui tripotait sous les yeux de sa fille des femmes qui auraient pu être sa grande sœur. Na Rae était l'enfant témoin des violences de ses parents entre eux, de leurs ébats amoureux réparateurs, de leur alcoolisme, de l'argent que son paternel lui donnait pour qu'elle ne dise pas à sa mère ce qu'il faisait avec d'autres femmes. Na Rae était l'enfant qui avait sauvé sa mère à six ans d'une overdose d'héroïne. Mais elle était aussi l'enfant renfermé, insociable et intelligent qui pouvait sauter des classes. Na Rae était aussi l'enfant qui ne supportait plus la musique, car elle était synonyme de disputes conjugales, de mauvais souvenirs, tant elle se réfugiait dans les mélodies électro-rock lorsque ses parents échappaient à leur rôle. Puis elle eut dix ans. C'est là qu'elle comprit que sa venue au monde était faite pour palier à la vieillesse de Mme. Jang. Sa venue au monde était aussi en quelque sorte la plus grande preuve d'égocentrisme possible dans ce monde. Tout avait été calculé, au fond. Mais elle n'avait pas prévu d'être le portrait craché de son père, ni d'être une version plus réussie de sa mère. Le souvenir le plus lointain qu'elle pouvait avoir ; et le seul qui sera profondément encré dans sa tête, c'était les mains de la personne qu'elle était sensée aimer le plus au monde, sur son petit corps frêle. Les mots susurrés son oreille, complimentant sa beauté. Une caresse sur son visage, se voulant bienveillante - malveillante. La capacité de totalement s'éteindre durant l'espace de minutes qui semblaient une éternité. La capacité de se laisser sombrer au plus profond d'elle-même, pour échapper à la réalité. Une fois. Deux fois. Trop de fois. Elle était morte, de l'intérieure. Ce supplice dura deux ans. Sept cent trente jours. Parce que oui, elle avait compté chaque jours. Pourquoi pas un jour de plus ? Dans un moment de détresse intense, elle avait pensé que sa mère pourrait l'aider. Elle l'a fait. D'une façon un peu radicale, mais elle l'a fait. Prise d'une folie furieuse, une lueur de lucidité dans son fort intérieur de mère, elle alla enfin confronter son mari. Na Rae se souvient d'une dispute, de cris, de bruits de verres, du sang, du bruit de la fenêtre qui s'ouvrait, d'une voiture qui freina brusquement et d'hurlement. Et puis un jour, une femme se présentant comme sa grand-mère paternelle et un avocat se présentèrent à elle. Les deux allaient de paire évidemment. La femme digne d'une méchante de dessins animés avait eu plus de regards, le jour de leur rencontre, pour le papier désigné comme étant un héritage que sa petite-fille elle-même. Le verdique était tombé, Jang Na Rae hériterait de la fortune colossale de ses parents à sa majorité, seule bénéficiaire sur le testament. La seule chose bien que ses parents avaient fait pour elle.
Avant de faire ses études supérieures, Na Rae avait dû retourner en Corée du Sud puisque désormais majeure, certaines affaires de famille devaient se dérouler en sa présence. En effet, héritière de dizaines d'hôpitaux, à sa majorité elle devenait l'unique décisionnaire de ces derniers. La première décision qu'elle prit, fut de virer sa grand-mère qui était aux commandes le temps qu'elle eut l'âge requit. Inutile de préciser qu'avec ce choix, elle ne se fit pas que des amis et divisa complètement la famille. Na Rae n'en avait rien à faire. Elle était là que provisoirement et ne comptait jamais remettre les pieds dans le pays après ça. La seconde décision qu'elle prit était de nommer à la gestion une autre personne qu'elle-même, désirant s'impliquer le moins possible dans les problèmes de sa famille et d'avoir une personne totalement neutre, mais un peu de son côté malgré tout. Elle ne voulait pas subir un nouveau coup d'état. La suite de ses vacances n'était que de la détente même si elle était mal à l'aise dans un pays qui n'était plus le sien. Na Rae avait du mal avec le coréen à force de parler anglais et français, mais ce n'était pas ça qui l'avait empêcher de faire la rencontre qui changea le cours de sa vie à la projection du dernier Harry Potter. C'est là qu'elle rencontra Eui Geon pour la première fois. Un coup de foudre amical qui perdura dans le temps, car même si elle prenait bientôt son envol pour une autre destination, il était impossible pour elle de ne pas garder contact avec lui. C'est comme ça que commença une solide amitié à distance.
La future médecin était très perfectionniste dans ses études et souhaitait devenir une référence dans le domaine médical. Elle souhaitait aller dans les meilleures écoles du monde pour étudier, et pouvait bien se le permettre avec son budget illimité. C'est comme ça qu'elle se retrouva dans une école préparatoire à la médecine en Russie. Les cours étaient en russe, elle eut doublement de travail mais en temps qu'étudiante étrangère elle jouissait d'un grand soutien afin de l'aider à traduire ses cours en anglais. D'un point de vue éducatif, ce fut son année la plus difficile où elle ne sortait jamais le nez de ses livres - elle ne sortait même pas tout court - mais acquit une grande connaissance de la langue russe. Au niveau de la médecine ? C'est une année dont elle aurait pu se passer, surtout qu'elle travaillait trois fois dur afin de rentrer aussi dans la célèbre école d'Havard. Mais elle ne regretta rien, et elle réussit absolument tout ce qu'elle avait entreprit non sans verser quelques larmes et saigner du nez.
La seconde plus belle partie de sa vie était évidemment sa vie aux Etats-Unis. Na Rae se trouvait en compagnie de l'élite du pays, et travaillait d'arrache-pied afin de faire partie des meilleurs dans son cursus, mais elle découvrit aussi les fêtes étudiantes, les voyages dans des états différents du pays, le Mexique, l'insouciante et l'alcool à flots. Elle profitait des deux dernières plus belles années de sa vie avant que tout bascule sans qu'elle ne le voit venir. En parallèle, la jeune femme avait toujours contact avec Eui Geon, avec lequel elle liait un lien très fort. Pourtant pas très douée par les relations à distance, celle-ci elle ne s'en serrait séparée pour rien au monde. Elle tenait énormément à lui, et attendait avec impatience la fin de ses études pour le revoir. Mais les choses se sont très vite précipitées quand il lui avoua ses sentiments. Na Rae avait toujours ressenti quelque chose pour lui, mais elle s'était dit qu'à des kilomètres de distance c'était peine perdue et sûrement pas réciproque. Seulement voilà, il le fit et il ne fallut pas longtemps pour la future médecin de prendre le premier vol pour le retrouver.
Après ce qui fut la plus belle déclaration de toute sa vie, Na Rae avait décidé de retourner vivre en Corée du Sud pour Eui Geon. C'était d'ailleurs sûrement la plus belle preuve d'amour qu'elle avait fait pour lui, bien qu'avec l'argent qui coulait dans ses veines, c'était comme demander à n'importe qui de faire cent mètres pour rejoindre quelqu'un. Quoiqu'il en soit, il fallut peu de temps avant qu'elle mette les pieds sur le sol asiatique. Elle poursuivit ses études à Yonsei et vécu la plus belle des histoires avec Eui Geon. Na Rae l'aimait, profondément, après tout elle abandonna tout ce qu'elle avait construit aux Etats-Unis et retourna sur des terres chargées de mauvais souvenirs pour en créer de nouveaux plus heureux avec lui. Elle l'aimait, sincèrement, bien plus sincèrement qu'elle n'avait aimé n'importe qui dans sa vie, bien plus qu'elle n'avait aimé qui que se soit, tout simplement. Cet amour était profondément réciproque, et bien qu'on ne puisse jamais dire qui aimait le plus l'autre, Na Rae démontra, un soir, que son amour ne valait rien. Que ce n'était que des mots. Des paroles en l'air. Des preuves d'amour non fondées. Une réciprocité bien fade par rapport à ce qu'il lui rapportait. Un soir, ce fameux soir, elle était sortie s'amuser dans un bar avec ses copines. Rien de trop méchant. Mais ces mégères avaient la langue bien pendues et elles ne semblaient pas, célibataires qu'elles étaient, apprécier le bel amour que leur copine vivait. Au contraire, elles mettaient le doigt pile sur des doutes déjà persistant dans son fort intérieur. Et elle fit l'erreur de se confier à des personnes qui ne voulaient pas son bien. Na Rae n'avait jamais été sincèrement en couple, c'était une chose qu'elle avait fuit en raison de ce que son père avait fait, elle avait une peur incroyable de reproduire la même chose. L'autre raison était qu'elle avait toujours été libre, elle avait toujours fait ce que bon lui semblait, mais un couple avait trop de contraintes. Par exemple, elle ne pouvait pas partir du jour au lendemain sur un coup de tête et ne pas donner de signes de vie. Pas lorsqu'elle partageait son amour avec une personne qui l'aimait si fortement qu'il se voyait déjà marié et avec des enfants avec elle. Na Rae n'était déjà pas sûre de réussir sur le long terme à être en couple, alors si jamais elle avait des enfants, est-ce qu'elle referait les mêmes erreurs que ses parents ? La suite des événements prouva que ses doutes n'étaient pas sans fondement puisqu'elle ne dérogeait pas au maître mot des Jang : trahison. Il fallut quelques verres pour que la jeune femme se retrouve dans le lit d'un - beau - parfait inconnu. D'après ses copines ce n'était pas grave, quelques actions de travers étaient fréquentes dans les couples, surtout chez les riches. Mais Na Rae aimait trop Eui Geon pour réussir à le regarder dans les yeux tout les jours. Peu de temps après elle lança la bombe, qu'il lui renvoya : c'était terminé. Un nouvel échec était synonyme de départ pour elle, comme si elle allait faire mieux ailleurs. Elle se disait qu'elle n'aurait jamais dû revenir, que la Corée du Sud était maudite mais au fond, elle savait très bien ce qui l'avait conduit à faire ça, elle était toxique, elle était un monstre.
Qui disait nouveau retour aux Etats-Unis, disait nouvelle coupe de cheveux. Elle coupa ses cheveux à la Mulan, et c'était parti pour des mois de solitude, regrets et alcool - voir café. Elle s'était plongée dans les études pour ne pas avoir à faire face à la plus grosse erreur de sa vie, et c'étair remise à consulter un psychologue parce que de toute évidence elle ne pouvait pas se voiler les faces : les chats ne faisaient pas des chiens. Na Rae n'avait pas un meilleur fond que celui de son père et elle reproduisait exactement le même schéma toxique. Elle se détestait, elle ne pouvait plus se regarder dans un miroir. Elle avait perdu la personne qu'elle aimait le plus au monde et sûrement la seule qui l'avait aimé à sa juste valeur. La seule personne qui avait su voir qui elle était au plus profond de son âme. Elle pouvait se défendre en disant que c'était génétique, mais ça serait qu'une excuse facile. Pendant plusieurs mois elle ne pouvait plus sortir de chez elle sauf pour aller en cours. Puis, petit à petit, en voyant que de toute façon qu'elle se morfonde ou non, Eui Geon n'aurait pas plus pitié d'elle, elle décida de se remettre à faire des choses simples. Sortir avec ses amis, faire les magasins, ou même juste reprendre soin d'elle et ne plus se balader avec la vieille serpillère qui lui servait de pull. Elle s'autorisa aussi parfois à oublier celui qui fut l'homme de sa vie. Au début, c'était compliqué, mais doucement cette envie d'en finir définitivement disparut. Disons que l'exile n'était pas assez fort pour elle et qu'elle avait l'âme d'un guerrière japonais déshonoré. Cependant elle raya définitivement de sa liste de choses à faire pour s'en sortir les garçons. Aucun n'était comparable à Eui Geon. Un jour, peut-être. Mais elle s'était faite à l'idée qu'elle finirait sa vie en temps qu'américaine et qu'abandonner sa nationalité la rayerait de la vie du coréen pour toujours.
Lorsque Na Rae a appris pour la copine de Eui Geon, elle a sauté sur l'occasion. L'occasion rêvée de se racheter. Une âme en peine servie sur un plateau d'argent. Egoïste comme elle était et inconsciente du mal qu'elle avait fait, elle s'était dit qu'elle pouvait retourner en Corée, qu'elle avait assez purgée sa peine pour pouvoir retenter sa chance auprès de l'homme de sa vie. Le pire était de savoir qu'il avait fait le deuil de ses relations passées et commençait à voir de nouvelles filles. Aucune était aussi bien qu'elle, c'était évident. Alors Na Rae se laissa tranquillement le temps de finir son année, et refit ses bagages pour la énième fois, mais définitivement cette fois. Elle avait décidé de reprendre sa vie en main ainsi qu'arracher son amour du cœur de l'homme de sa vie. Un retour en Asie qui fit son petit effet puisqu'elle mit de l'ordre dans l'entreprise familiale, fit des pieds et des mains auprès de l'administration de Yonsei pour faire son grand retour sur la scène étudiante, en Master, étant sûrement la doyenne du cursus mais ils n'avaient pas trop voulu se prendre la tête avec les équivalences américaines-coréennes. Elle était là, bien décidé à prendre le contrôle de sa vie et ne plus fuir.
PS : Mention spéciale à Hellvia qui a rendu ce rêve réalité de créer ce merveilleux bébé, sans qui rien ne serait possible, parce que juste avant de partir en vacances elle m'a fait quatre réponses en quelques heures
Arrêtes de me bouder stp 
@Yi Dong Yul
Where do i begin ?
I can't explain it
La tragédie (1992-2004)
[TW : viol, mort]
Déjà, à sa naissance, quelque chose n'allait pas. Elle est née dans son propre hôpital, sortie du ventre de sa mère par son père, simple chirurgien esthétique. Pourquoi vous allez vous dire ? Pour la simple raison qu'il possédait l'hôpital et ses employés, et que s'il désirait accoucher sa femme lui-même, il le faisait. Un femme, plutôt un objet. Cette dernière avait été refaite de haut en bas tant qu'on ne voyait aucune ressemblance avec sa fille, et tout ça par son cher mari qui avait fait en sorte que cette poupée Barbie lui convienne à cent pourcent. Une femme soumise aux désires de son mari et à ses attentes, autant par son caractère que son physique. Cette dernière, pourtant brillante physicienne, n'avait eu droit de dire un mot savant depuis des années. Elle était juste la femme mi-asiatique mi-occidentale tout droit sortie d'un manga adulte, pure réalisation des fantasmes de celui qui lui avait mis la bague. Pourquoi une femme ferait une chose pareille ? L'argent achetait très certainement le bonheur. Mais la création de Frankenstein n'était pas insensible aux signes de l'âge, alors Mr. Jang la remplaça avec d'autres pâles copies de son idéal, beaucoup plus jeunes. Ce n'était jamais assez cependant. L'alcool, les femmes, le jeu. Na Rae avait grandi en voyant de ses yeux innocents une femme qui prétendait être sa mère mais qui était sûrement capable de l'enivrer rien que par l'odeur tant elle touchait à la boisson pour oublier que son époux la considérait comme un trophée, et un père qui tripotait sous les yeux de sa fille des femmes qui auraient pu être sa grande sœur. Na Rae était l'enfant témoin des violences de ses parents entre eux, de leurs ébats amoureux réparateurs, de leur alcoolisme, de l'argent que son paternel lui donnait pour qu'elle ne dise pas à sa mère ce qu'il faisait avec d'autres femmes. Na Rae était l'enfant qui avait sauvé sa mère à six ans d'une overdose d'héroïne. Mais elle était aussi l'enfant renfermé, insociable et intelligent qui pouvait sauter des classes. Na Rae était aussi l'enfant qui ne supportait plus la musique, car elle était synonyme de disputes conjugales, de mauvais souvenirs, tant elle se réfugiait dans les mélodies électro-rock lorsque ses parents échappaient à leur rôle. Puis elle eut dix ans. C'est là qu'elle comprit que sa venue au monde était faite pour palier à la vieillesse de Mme. Jang. Sa venue au monde était aussi en quelque sorte la plus grande preuve d'égocentrisme possible dans ce monde. Tout avait été calculé, au fond. Mais elle n'avait pas prévu d'être le portrait craché de son père, ni d'être une version plus réussie de sa mère. Le souvenir le plus lointain qu'elle pouvait avoir ; et le seul qui sera profondément encré dans sa tête, c'était les mains de la personne qu'elle était sensée aimer le plus au monde, sur son petit corps frêle. Les mots susurrés son oreille, complimentant sa beauté. Une caresse sur son visage, se voulant bienveillante - malveillante. La capacité de totalement s'éteindre durant l'espace de minutes qui semblaient une éternité. La capacité de se laisser sombrer au plus profond d'elle-même, pour échapper à la réalité. Une fois. Deux fois. Trop de fois. Elle était morte, de l'intérieure. Ce supplice dura deux ans. Sept cent trente jours. Parce que oui, elle avait compté chaque jours. Pourquoi pas un jour de plus ? Dans un moment de détresse intense, elle avait pensé que sa mère pourrait l'aider. Elle l'a fait. D'une façon un peu radicale, mais elle l'a fait. Prise d'une folie furieuse, une lueur de lucidité dans son fort intérieur de mère, elle alla enfin confronter son mari. Na Rae se souvient d'une dispute, de cris, de bruits de verres, du sang, du bruit de la fenêtre qui s'ouvrait, d'une voiture qui freina brusquement et d'hurlement. Et puis un jour, une femme se présentant comme sa grand-mère paternelle et un avocat se présentèrent à elle. Les deux allaient de paire évidemment. La femme digne d'une méchante de dessins animés avait eu plus de regards, le jour de leur rencontre, pour le papier désigné comme étant un héritage que sa petite-fille elle-même. Le verdique était tombé, Jang Na Rae hériterait de la fortune colossale de ses parents à sa majorité, seule bénéficiaire sur le testament. La seule chose bien que ses parents avaient fait pour elle.
L'internat en Suisse (2004-2011)
Désireuse de quitter sa charmante grand mère, Na Rae prétexta souhaiter la fille rêver que la vieille dame n'avait eu pour la remercier de son hospitalité, la laissant entendre ce qu'elle voulait, afin de suggérer à celle-ci que si elle était envoyée dans les meilleures écoles internationales, toutes portes du monde entier lui seraient ouvertes. C'était assez triste pour une jeune fille de onze ans de penser ainsi alors qu'elle devrait être innocemment en train de jouer à la Barbie. Seulement, se retrouver avec cette femme aigrie et avare, n'était qu'une source d'angoisse quotidienne pour elle. En effet, elle lui mettait quotidiennement la pression pour être la meilleure du monde, à défaut que ne l'était son fils, et s'appropriant complètement son éducation en oubliant son rôle premier de grand-mère. Elle ne l'avait jamais été de toute façon, Na Rae ne connaissait même pas son existence avant la tragédie, et elle ne serait pas surprise d'apprendre que celle-ci n'était pas ce qu'elle prétendait être. Peu importe, il n'avait pas fallu longtemps à l'opportuniste pour faire les démarches et la jeune enfant se retrouva bien vite avec son billet première classe pour un internat international pour filles en Suisse.
Na Rae, à présent appelée Nara, était entourée quotidiennement de jeunes filles, sûrement riches, de tout pays confondus dans des classes de vingt élèves et des chambres de cinq demoiselles. N'ayant jamais eu sa place dans son pays natal, elle n'avait jamais été autant chez elle que dans ce pays dont elle ne connaissait rien. Les filles parlaient entre elles anglais, ainsi qu'avec les adultes qui les encadraient, et elle suivit une scolarité tout à fait normale, à la seule différence qu'elle était entièrement en anglais et qu'il était obligatoire d'apprendre le français. Elle y vécut les plus belles années de sa vie, loin de tout problèmes et enfin insouciante comme devrait l'être une enfant. Pour la première fois de sa vie, Na Rae avait aussi appris ce que c'était de pouvoir faire confiance à un adulte et de se confier, autant qu'elle découvrit que des personnes pouvaient réellement s'inquiéter pour elle. Elle eu pour la première fois de sa vie un suivi psychologique qui l'aida beaucoup à faire le deuil de son passé. Cette dame, tellement gentille, dont elle s'était liée d'amitié, faisait tout son possible à chaque vacances pour que Na Rae n'ait pas à retourner en Corée du Sud et la jeune fille vagabonda de famille en famille pendant ces quelques semaines chaque années, ce qui était toujours mieux que de retourner chez sa cupide grand-mère, et qui lui permettait de voir du pays. C'est sans encombre que Na Rae arriva à ses dix-neuf ans, et ce fut sûrement les années les plus paisibles de sa vie.
Na Rae, à présent appelée Nara, était entourée quotidiennement de jeunes filles, sûrement riches, de tout pays confondus dans des classes de vingt élèves et des chambres de cinq demoiselles. N'ayant jamais eu sa place dans son pays natal, elle n'avait jamais été autant chez elle que dans ce pays dont elle ne connaissait rien. Les filles parlaient entre elles anglais, ainsi qu'avec les adultes qui les encadraient, et elle suivit une scolarité tout à fait normale, à la seule différence qu'elle était entièrement en anglais et qu'il était obligatoire d'apprendre le français. Elle y vécut les plus belles années de sa vie, loin de tout problèmes et enfin insouciante comme devrait l'être une enfant. Pour la première fois de sa vie, Na Rae avait aussi appris ce que c'était de pouvoir faire confiance à un adulte et de se confier, autant qu'elle découvrit que des personnes pouvaient réellement s'inquiéter pour elle. Elle eu pour la première fois de sa vie un suivi psychologique qui l'aida beaucoup à faire le deuil de son passé. Cette dame, tellement gentille, dont elle s'était liée d'amitié, faisait tout son possible à chaque vacances pour que Na Rae n'ait pas à retourner en Corée du Sud et la jeune fille vagabonda de famille en famille pendant ces quelques semaines chaque années, ce qui était toujours mieux que de retourner chez sa cupide grand-mère, et qui lui permettait de voir du pays. C'est sans encombre que Na Rae arriva à ses dix-neuf ans, et ce fut sûrement les années les plus paisibles de sa vie.
La prépa-médecine et les études supérieures aux Etats-Unis (2011-2014)
Avant de faire ses études supérieures, Na Rae avait dû retourner en Corée du Sud puisque désormais majeure, certaines affaires de famille devaient se dérouler en sa présence. En effet, héritière de dizaines d'hôpitaux, à sa majorité elle devenait l'unique décisionnaire de ces derniers. La première décision qu'elle prit, fut de virer sa grand-mère qui était aux commandes le temps qu'elle eut l'âge requit. Inutile de préciser qu'avec ce choix, elle ne se fit pas que des amis et divisa complètement la famille. Na Rae n'en avait rien à faire. Elle était là que provisoirement et ne comptait jamais remettre les pieds dans le pays après ça. La seconde décision qu'elle prit était de nommer à la gestion une autre personne qu'elle-même, désirant s'impliquer le moins possible dans les problèmes de sa famille et d'avoir une personne totalement neutre, mais un peu de son côté malgré tout. Elle ne voulait pas subir un nouveau coup d'état. La suite de ses vacances n'était que de la détente même si elle était mal à l'aise dans un pays qui n'était plus le sien. Na Rae avait du mal avec le coréen à force de parler anglais et français, mais ce n'était pas ça qui l'avait empêcher de faire la rencontre qui changea le cours de sa vie à la projection du dernier Harry Potter. C'est là qu'elle rencontra Eui Geon pour la première fois. Un coup de foudre amical qui perdura dans le temps, car même si elle prenait bientôt son envol pour une autre destination, il était impossible pour elle de ne pas garder contact avec lui. C'est comme ça que commença une solide amitié à distance.
La future médecin était très perfectionniste dans ses études et souhaitait devenir une référence dans le domaine médical. Elle souhaitait aller dans les meilleures écoles du monde pour étudier, et pouvait bien se le permettre avec son budget illimité. C'est comme ça qu'elle se retrouva dans une école préparatoire à la médecine en Russie. Les cours étaient en russe, elle eut doublement de travail mais en temps qu'étudiante étrangère elle jouissait d'un grand soutien afin de l'aider à traduire ses cours en anglais. D'un point de vue éducatif, ce fut son année la plus difficile où elle ne sortait jamais le nez de ses livres - elle ne sortait même pas tout court - mais acquit une grande connaissance de la langue russe. Au niveau de la médecine ? C'est une année dont elle aurait pu se passer, surtout qu'elle travaillait trois fois dur afin de rentrer aussi dans la célèbre école d'Havard. Mais elle ne regretta rien, et elle réussit absolument tout ce qu'elle avait entreprit non sans verser quelques larmes et saigner du nez.
La seconde plus belle partie de sa vie était évidemment sa vie aux Etats-Unis. Na Rae se trouvait en compagnie de l'élite du pays, et travaillait d'arrache-pied afin de faire partie des meilleurs dans son cursus, mais elle découvrit aussi les fêtes étudiantes, les voyages dans des états différents du pays, le Mexique, l'insouciante et l'alcool à flots. Elle profitait des deux dernières plus belles années de sa vie avant que tout bascule sans qu'elle ne le voit venir. En parallèle, la jeune femme avait toujours contact avec Eui Geon, avec lequel elle liait un lien très fort. Pourtant pas très douée par les relations à distance, celle-ci elle ne s'en serrait séparée pour rien au monde. Elle tenait énormément à lui, et attendait avec impatience la fin de ses études pour le revoir. Mais les choses se sont très vite précipitées quand il lui avoua ses sentiments. Na Rae avait toujours ressenti quelque chose pour lui, mais elle s'était dit qu'à des kilomètres de distance c'était peine perdue et sûrement pas réciproque. Seulement voilà, il le fit et il ne fallut pas longtemps pour la future médecin de prendre le premier vol pour le retrouver.
La relation idyllique & la chute (2014-2018)
Après ce qui fut la plus belle déclaration de toute sa vie, Na Rae avait décidé de retourner vivre en Corée du Sud pour Eui Geon. C'était d'ailleurs sûrement la plus belle preuve d'amour qu'elle avait fait pour lui, bien qu'avec l'argent qui coulait dans ses veines, c'était comme demander à n'importe qui de faire cent mètres pour rejoindre quelqu'un. Quoiqu'il en soit, il fallut peu de temps avant qu'elle mette les pieds sur le sol asiatique. Elle poursuivit ses études à Yonsei et vécu la plus belle des histoires avec Eui Geon. Na Rae l'aimait, profondément, après tout elle abandonna tout ce qu'elle avait construit aux Etats-Unis et retourna sur des terres chargées de mauvais souvenirs pour en créer de nouveaux plus heureux avec lui. Elle l'aimait, sincèrement, bien plus sincèrement qu'elle n'avait aimé n'importe qui dans sa vie, bien plus qu'elle n'avait aimé qui que se soit, tout simplement. Cet amour était profondément réciproque, et bien qu'on ne puisse jamais dire qui aimait le plus l'autre, Na Rae démontra, un soir, que son amour ne valait rien. Que ce n'était que des mots. Des paroles en l'air. Des preuves d'amour non fondées. Une réciprocité bien fade par rapport à ce qu'il lui rapportait. Un soir, ce fameux soir, elle était sortie s'amuser dans un bar avec ses copines. Rien de trop méchant. Mais ces mégères avaient la langue bien pendues et elles ne semblaient pas, célibataires qu'elles étaient, apprécier le bel amour que leur copine vivait. Au contraire, elles mettaient le doigt pile sur des doutes déjà persistant dans son fort intérieur. Et elle fit l'erreur de se confier à des personnes qui ne voulaient pas son bien. Na Rae n'avait jamais été sincèrement en couple, c'était une chose qu'elle avait fuit en raison de ce que son père avait fait, elle avait une peur incroyable de reproduire la même chose. L'autre raison était qu'elle avait toujours été libre, elle avait toujours fait ce que bon lui semblait, mais un couple avait trop de contraintes. Par exemple, elle ne pouvait pas partir du jour au lendemain sur un coup de tête et ne pas donner de signes de vie. Pas lorsqu'elle partageait son amour avec une personne qui l'aimait si fortement qu'il se voyait déjà marié et avec des enfants avec elle. Na Rae n'était déjà pas sûre de réussir sur le long terme à être en couple, alors si jamais elle avait des enfants, est-ce qu'elle referait les mêmes erreurs que ses parents ? La suite des événements prouva que ses doutes n'étaient pas sans fondement puisqu'elle ne dérogeait pas au maître mot des Jang : trahison. Il fallut quelques verres pour que la jeune femme se retrouve dans le lit d'un - beau - parfait inconnu. D'après ses copines ce n'était pas grave, quelques actions de travers étaient fréquentes dans les couples, surtout chez les riches. Mais Na Rae aimait trop Eui Geon pour réussir à le regarder dans les yeux tout les jours. Peu de temps après elle lança la bombe, qu'il lui renvoya : c'était terminé. Un nouvel échec était synonyme de départ pour elle, comme si elle allait faire mieux ailleurs. Elle se disait qu'elle n'aurait jamais dû revenir, que la Corée du Sud était maudite mais au fond, elle savait très bien ce qui l'avait conduit à faire ça, elle était toxique, elle était un monstre.
L'exile aux Etats-Unis (2018-2020)
Qui disait nouveau retour aux Etats-Unis, disait nouvelle coupe de cheveux. Elle coupa ses cheveux à la Mulan, et c'était parti pour des mois de solitude, regrets et alcool - voir café. Elle s'était plongée dans les études pour ne pas avoir à faire face à la plus grosse erreur de sa vie, et c'étair remise à consulter un psychologue parce que de toute évidence elle ne pouvait pas se voiler les faces : les chats ne faisaient pas des chiens. Na Rae n'avait pas un meilleur fond que celui de son père et elle reproduisait exactement le même schéma toxique. Elle se détestait, elle ne pouvait plus se regarder dans un miroir. Elle avait perdu la personne qu'elle aimait le plus au monde et sûrement la seule qui l'avait aimé à sa juste valeur. La seule personne qui avait su voir qui elle était au plus profond de son âme. Elle pouvait se défendre en disant que c'était génétique, mais ça serait qu'une excuse facile. Pendant plusieurs mois elle ne pouvait plus sortir de chez elle sauf pour aller en cours. Puis, petit à petit, en voyant que de toute façon qu'elle se morfonde ou non, Eui Geon n'aurait pas plus pitié d'elle, elle décida de se remettre à faire des choses simples. Sortir avec ses amis, faire les magasins, ou même juste reprendre soin d'elle et ne plus se balader avec la vieille serpillère qui lui servait de pull. Elle s'autorisa aussi parfois à oublier celui qui fut l'homme de sa vie. Au début, c'était compliqué, mais doucement cette envie d'en finir définitivement disparut. Disons que l'exile n'était pas assez fort pour elle et qu'elle avait l'âme d'un guerrière japonais déshonoré. Cependant elle raya définitivement de sa liste de choses à faire pour s'en sortir les garçons. Aucun n'était comparable à Eui Geon. Un jour, peut-être. Mais elle s'était faite à l'idée qu'elle finirait sa vie en temps qu'américaine et qu'abandonner sa nationalité la rayerait de la vie du coréen pour toujours.
Le retour (2020-)
Lorsque Na Rae a appris pour la copine de Eui Geon, elle a sauté sur l'occasion. L'occasion rêvée de se racheter. Une âme en peine servie sur un plateau d'argent. Egoïste comme elle était et inconsciente du mal qu'elle avait fait, elle s'était dit qu'elle pouvait retourner en Corée, qu'elle avait assez purgée sa peine pour pouvoir retenter sa chance auprès de l'homme de sa vie. Le pire était de savoir qu'il avait fait le deuil de ses relations passées et commençait à voir de nouvelles filles. Aucune était aussi bien qu'elle, c'était évident. Alors Na Rae se laissa tranquillement le temps de finir son année, et refit ses bagages pour la énième fois, mais définitivement cette fois. Elle avait décidé de reprendre sa vie en main ainsi qu'arracher son amour du cœur de l'homme de sa vie. Un retour en Asie qui fit son petit effet puisqu'elle mit de l'ordre dans l'entreprise familiale, fit des pieds et des mains auprès de l'administration de Yonsei pour faire son grand retour sur la scène étudiante, en Master, étant sûrement la doyenne du cursus mais ils n'avaient pas trop voulu se prendre la tête avec les équivalences américaines-coréennes. Elle était là, bien décidé à prendre le contrôle de sa vie et ne plus fuir.
PS : Mention spéciale à Hellvia qui a rendu ce rêve réalité de créer ce merveilleux bébé, sans qui rien ne serait possible, parce que juste avant de partir en vacances elle m'a fait quatre réponses en quelques heures
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 12:03
la fameuse, c'est donc elle
fiou, vraiment hâte d'en découvrir d'avantage!!
bon courage pour ta fiche et re-bienvenue chez toi, évidemment
fiou, vraiment hâte d'en découvrir d'avantage!!
bon courage pour ta fiche et re-bienvenue chez toi, évidemment
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 12:05
ça ne saurait tarder 
merci beaucoup
merci beaucoup
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 13:23
Cette fiche si vide 
mais rebienvenue chez toi 
courage pour la fichette ! hâte d'en savoir un peu plus 
Amuse-toi bien avec ce nouveau perso du coup
mais rebienvenue chez toi courage pour la fichette ! hâte d'en savoir un peu plus Amuse-toi bien avec ce nouveau perso du coup
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 13:49
je passe avec irie parce que je bosse 
mais ce soir euigeon arrive
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Bang Yura
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 13:50
aaaah la fameuseeeeeee 
courage pour la fiche et amuse-toi bien avec ce perso !!
j'ai hâte d'en savoir plus
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courage pour la fiche et amuse-toi bien avec ce perso !!
j'ai hâte d'en savoir plus
you make me feel special no matter how the world brings me down even when hurtful words stab me i smile again 'cause you're there
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 14:33
j'ai qu'un rire moqueur et diabolique qui me vient, déso mdr :nawei:
hâte de voir ce que tu vas faire avec narae
amuse-toi et bon courage
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Jeon Min Ju
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 16:07
Rebienvenue
C'est super cool d'avoir pris un pv
J'espère que tu t'amuseras bien avec !
Bon courage pour la suite de ta fiche
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graine de rockstar
C'est super cool d'avoir pris un pv
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Ryeo Théo
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Re: Jang Na Rae ∆ You can't cheat death when you're digging your own grave | Mar 10 Aoû - 18:17
hiiiiiiii mario
rebienvenuuuuue, c'est trop cool d'avoir pris un pv
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rebienvenuuuuue, c'est trop cool d'avoir pris un pv
i'm ready to love
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