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you can't escape me #yegi
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you can't escape me #yegi | Jeu 10 Sep - 22:05
J'allais commettre un kidnapping aujourd'hui. Complètement délaissée, je n'avais pas trouvé un autre moyen pour pouvoir voir une de mes plus proches amies. Cette dernière s'amusait à me donner des faux espoirs sur les réseaux sociaux. Ses messages avaient le don de me réchauffer le cœur mais je ne supportais plus ses fausses promesses. On allait se voir très vite... Mais finalement, la sango ne semblait pas motivée à l'idée de tenir ses engagements. Tant pis pour elle. La belle aurait dû se méfier de ma détermination. Accélérant le rythme de ma marche, je comptais bien me venger. Son Ye Gi m'avait brisé le cœur plusieurs fois. Elle était occupée, je pouvais le comprendre... Mais de qui se moquait-elle ? On avait toujours du temps pour les gens qu'on aime. La preuve. J'avais un travail dont les horaires étaient déplorables. La mise en rayon demandait beaucoup d'efforts physiques. Alors, quand je m'occupais de la fermeture du supermarché, j'étais encore plus crevée. Le retour était aussi long que la journée de travail. Toutefois, mon salaire était plus élevé que ceux de mes derniers boulots. Je n'avais pas forcément le droit de me plaindre. Et puis, j'étais une personne plutôt vaillante. De plus, je savais aussi trouver du temps pour m'amuser car passer sa vie à apprendre ses cours ou à travailler tout simplement était une très bonne excuse pour se tirer une balle à la fin de la journée. J'entrai finalement dans le dortoir des verts, assez anxieuse. Oh, je ne remettais pas en cause leur accueil. A vrai dire, je trouvais leur logement sympathique. Plus jeune, j'aurais bien aimé tester cette expérience : vivre en communauté. En tout cas, pour revenir à nos moutons, j'avais peur d'avoir fait ce détour pour rien. Et si la verte n'était pas là ? Je n'aurais plus qu'à me tourner les pouces. Mais peu importe. Si je tenais en compte ses derniers messages, la jeune femme passait son temps à étudier. Cette journée ne devait pas faire exception. L'inverse aurait tendance à me blesser.... Souriant à un jeune homme qui m'était totalement inconnu, je rejoignis le couloir qui me donnait accès à la chambre de mon amie. Puis, une fois devant la porte, je donnai quelques coups à cette dernière et l'ouvris sans attendre une réponse de sa part. Je n'étais pas impolie à l'accoutumée mais je n'en pouvais plus ! J'avais besoin de la gronder comme si elle n'était qu'une vulgaire gamine ! Me servant de mes doigts pour imiter un flingue, je pointai le tout vers elle. « Lâche tes bouquins ou je tire ! » Menace réelle.
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son ye gi & yoon eun hye
J'allais commettre un kidnapping aujourd'hui. Complètement délaissée, je n'avais pas trouvé un autre moyen pour pouvoir voir une de mes plus proches amies. Cette dernière s'amusait à me donner des faux espoirs sur les réseaux sociaux. Ses messages avaient le don de me réchauffer le cœur mais je ne supportais plus ses fausses promesses. On allait se voir très vite... Mais finalement, la sango ne semblait pas motivée à l'idée de tenir ses engagements. Tant pis pour elle. La belle aurait dû se méfier de ma détermination. Accélérant le rythme de ma marche, je comptais bien me venger. Son Ye Gi m'avait brisé le cœur plusieurs fois. Elle était occupée, je pouvais le comprendre... Mais de qui se moquait-elle ? On avait toujours du temps pour les gens qu'on aime. La preuve. J'avais un travail dont les horaires étaient déplorables. La mise en rayon demandait beaucoup d'efforts physiques. Alors, quand je m'occupais de la fermeture du supermarché, j'étais encore plus crevée. Le retour était aussi long que la journée de travail. Toutefois, mon salaire était plus élevé que ceux de mes derniers boulots. Je n'avais pas forcément le droit de me plaindre. Et puis, j'étais une personne plutôt vaillante. De plus, je savais aussi trouver du temps pour m'amuser car passer sa vie à apprendre ses cours ou à travailler tout simplement était une très bonne excuse pour se tirer une balle à la fin de la journée. J'entrai finalement dans le dortoir des verts, assez anxieuse. Oh, je ne remettais pas en cause leur accueil. A vrai dire, je trouvais leur logement sympathique. Plus jeune, j'aurais bien aimé tester cette expérience : vivre en communauté. En tout cas, pour revenir à nos moutons, j'avais peur d'avoir fait ce détour pour rien. Et si la verte n'était pas là ? Je n'aurais plus qu'à me tourner les pouces. Mais peu importe. Si je tenais en compte ses derniers messages, la jeune femme passait son temps à étudier. Cette journée ne devait pas faire exception. L'inverse aurait tendance à me blesser.... Souriant à un jeune homme qui m'était totalement inconnu, je rejoignis le couloir qui me donnait accès à la chambre de mon amie. Puis, une fois devant la porte, je donnai quelques coups à cette dernière et l'ouvris sans attendre une réponse de sa part. Je n'étais pas impolie à l'accoutumée mais je n'en pouvais plus ! J'avais besoin de la gronder comme si elle n'était qu'une vulgaire gamine ! Me servant de mes doigts pour imiter un flingue, je pointai le tout vers elle. « Lâche tes bouquins ou je tire ! » Menace réelle.#kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Mar 15 Sep - 14:41
Je n’en pouvais plus. J’étais à la limite du burn-out. J’avoue que ces derniers temps, ça avait été assez difficile de tout concilier, c’est-à-dire boulot et étude. J’ai toujours eu une certaine capacité à bien m’organiser, mais force est de constater que quand la charge de travail était énorme, même l’organisation ne servait plus à rien. Bref, j’étais vraiment débordée, et ça empiétait même sur ma vie sociale. Moi qui avais l’habitude de sortir énormément, je ne le faisais presque plus. Je ne voyais beaucoup de moins qu’avant, y compris ma sœur ou encore ma meilleure amie. Il en était de même pour d’autres amis proches. A chaque fois que l’on me demandait si j’étais libre ou non, je répondais dans un premier temps à l’affirmative, avant de finalement poser un lapin à presque tout le monde. Je m’en voulais un peu, mais je ne pouvais faire autrement. D’ailleurs, aujourd’hui était l’un de ces jours où j’avais pris ma journée pour bachoter, comme d’habitude. J’étais enfermée dans ma chambre du dortoir Sango. Mes trois autres camarades de classe n’étaient pas là, alors je profitai du silence et du confort pour travailler efficacement. Le pire dans tout ça, c’est que j’adorais ce que je faisais. Le problème était juste la quantité de travail à fournir demandée. En même temps, plus le temps passait et plus ça se corsait, j’étais quand même déjà en 5e année...
Totalement plongée dans la lecture de ma diapositive, je réalisais à peine les coups portés à ma porte, qui finit d’ailleurs par s’ouvrir rapidement. Surprise, je me redressai brusquement. Je n’attendais personne, et je savais que si mes colocataires revenaient, ils ne le feraient pas de cette manière. Je ne pus vraiment exprimer ma surprise quand je vis Eun Hye devant moi. Je ne savais pas vraiment quoi dire. Je ne m’attendais pas à la voir maintenant. Il est vrai qu’on était censé se voir plusieurs ce moi-ci, et qu’elle faisait partie des gens à qui j’ai posé plusieurs lapins. Ca faisait bizarre d’être mis un peu devant le fait accomplie. Je n’avais plus de marge de manœuvre, et la voir devant moi me faisait totalement culpabiliser. « Je me rends » dis-je en posant mes bouquins et mon ordinateur sur le côté, et me levant. « Je m’attendais à tout, sauf te voir ici » ajoutai-je, en me dirigeant vers elle. Je finis par me stopper avant d’arriver complètement à son niveau. « J’ai complètement abusé, je le sais, je n’ai aucune excuse... » Je savais que me justifier ne servirait à rien. « C’est dingue de te voir ici, dans mon dortoir ». L’étrangeté de la situation m’avait presque fait oublier de remarquer ce fait assez étonnant pour être noté. « Je ferai ce que tu veux pour me faire pardonner ! ». C’était mon amie, et je ne voulais pas la perdre.
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Je n’en pouvais plus. J’étais à la limite du burn-out. J’avoue que ces derniers temps, ça avait été assez difficile de tout concilier, c’est-à-dire boulot et étude. J’ai toujours eu une certaine capacité à bien m’organiser, mais force est de constater que quand la charge de travail était énorme, même l’organisation ne servait plus à rien. Bref, j’étais vraiment débordée, et ça empiétait même sur ma vie sociale. Moi qui avais l’habitude de sortir énormément, je ne le faisais presque plus. Je ne voyais beaucoup de moins qu’avant, y compris ma sœur ou encore ma meilleure amie. Il en était de même pour d’autres amis proches. A chaque fois que l’on me demandait si j’étais libre ou non, je répondais dans un premier temps à l’affirmative, avant de finalement poser un lapin à presque tout le monde. Je m’en voulais un peu, mais je ne pouvais faire autrement. D’ailleurs, aujourd’hui était l’un de ces jours où j’avais pris ma journée pour bachoter, comme d’habitude. J’étais enfermée dans ma chambre du dortoir Sango. Mes trois autres camarades de classe n’étaient pas là, alors je profitai du silence et du confort pour travailler efficacement. Le pire dans tout ça, c’est que j’adorais ce que je faisais. Le problème était juste la quantité de travail à fournir demandée. En même temps, plus le temps passait et plus ça se corsait, j’étais quand même déjà en 5e année... Totalement plongée dans la lecture de ma diapositive, je réalisais à peine les coups portés à ma porte, qui finit d’ailleurs par s’ouvrir rapidement. Surprise, je me redressai brusquement. Je n’attendais personne, et je savais que si mes colocataires revenaient, ils ne le feraient pas de cette manière. Je ne pus vraiment exprimer ma surprise quand je vis Eun Hye devant moi. Je ne savais pas vraiment quoi dire. Je ne m’attendais pas à la voir maintenant. Il est vrai qu’on était censé se voir plusieurs ce moi-ci, et qu’elle faisait partie des gens à qui j’ai posé plusieurs lapins. Ca faisait bizarre d’être mis un peu devant le fait accomplie. Je n’avais plus de marge de manœuvre, et la voir devant moi me faisait totalement culpabiliser. « Je me rends » dis-je en posant mes bouquins et mon ordinateur sur le côté, et me levant. « Je m’attendais à tout, sauf te voir ici » ajoutai-je, en me dirigeant vers elle. Je finis par me stopper avant d’arriver complètement à son niveau. « J’ai complètement abusé, je le sais, je n’ai aucune excuse... » Je savais que me justifier ne servirait à rien. « C’est dingue de te voir ici, dans mon dortoir ». L’étrangeté de la situation m’avait presque fait oublier de remarquer ce fait assez étonnant pour être noté. « Je ferai ce que tu veux pour me faire pardonner ! ». C’était mon amie, et je ne voulais pas la perdre.
#kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Sam 19 Sep - 15:31
Suivant la ligne de mes doigts, je fixai la personne qui devait bien avoir peur face à une telle attaque. Je n’avais pas mis mon flingue sur sa tempe mais à une telle distance, il était impossible de rater son tir. En tout cas, il se passait toujours de drôles de choses dans ma tête. Franchement, qui mettait en pratique de telles idées pour kidnapper un proche ? En attendant, la belle sango ne m’avait pas laissé le choix. D’ailleurs, cette excuse était toujours utilisée par les bandits. Tant mieux, je pourrais rejoindre un autre groupe de personnes après celui où étaient réunis tous les tarés du coin. En tout cas, j’avais visé juste. Ye Gi était encore en train de bosser. Ce n’était pas du tout une vie. N’aimait-elle pas s’amuser ? Passer du bon temps avec les gens qu’elle aime ? J’étais consciente que les diplômes nous permettaient d’avoir un bel avenir mais elle devrait savoir que les plus riches n’étaient pas forcément les plus intelligents. Mais, ça venait sûrement de mon dégoût pour les gens dont le compte bancaire était égal à celui d’un PIB d’un Etat plus ou moins grand. Continuant mon numéro, mon amie trouva bon de se rendre. Arquant un sourcil comme un véritable cowboy, je commençai à relâcher mon pistolet. Enfin, je décontractai mon corps car bizarrement, j’avais ressenti une bonne tension nerveuse… Comme si j’avais vraiment la possibilité de tirer sur quelqu’un avec une arme inexistante. Je vous jure. « Je peux pas dire la même chose pour toi. » Si la jeune femme ne s’était pas trouvée dans sa chambre, j’aurais pu la rejoindre à la bibliothèque. Deux possibilités mais c’était le même principe. Lui adressant un sourire faussement mauvais, celui-ci devint un peu plus enjoué au fil des mètres parcourus par la jeune femme. « Oui oui tu n’as aucune excuse. Tu m’as lâchement abandonné. » Oui, j’aimais me faire passer pour une victime, parfois. Et puis, c’était un moyen pour la faire culpabiliser un peu plus. Ça lui apprendra à cette mauvaise ! « Pourquoi ? Je n’ai pas le droit ? » Demandai-je, quand même confuse. Je n’avais jamais eu de soucis et j’étais parfois plus ou moins bienvenue dans certains dortoirs, notamment celui des gris. Malheureusement, ces histoires de fraternité pourraient peut-être poser un souci. De toute manière, je m’en moquais puisque j’étais complètement neutre dans cette histoire. Je n’étais même pas étudiante. Poussant alors un léger soupir, j’attrapai le poignet de ma camarade à l’aide de ma main avant de faire gigoter mes épaules de manière assez niaise. « Tout ce que je veux ? » répétai-je avec un grand sourire sur les lèvres. « Bien, prends ton sac et on y va ! Je suis certaine qu’on va trouver un truc à faire au soleil. Tu sais, cette étoile énorme qui produit la lumière du jour. Tu n’as pas dû la voir depuis des siècles maintenant. » Et oui, je me moquais de ma cadette.
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Suivant la ligne de mes doigts, je fixai la personne qui devait bien avoir peur face à une telle attaque. Je n’avais pas mis mon flingue sur sa tempe mais à une telle distance, il était impossible de rater son tir. En tout cas, il se passait toujours de drôles de choses dans ma tête. Franchement, qui mettait en pratique de telles idées pour kidnapper un proche ? En attendant, la belle sango ne m’avait pas laissé le choix. D’ailleurs, cette excuse était toujours utilisée par les bandits. Tant mieux, je pourrais rejoindre un autre groupe de personnes après celui où étaient réunis tous les tarés du coin. En tout cas, j’avais visé juste. Ye Gi était encore en train de bosser. Ce n’était pas du tout une vie. N’aimait-elle pas s’amuser ? Passer du bon temps avec les gens qu’elle aime ? J’étais consciente que les diplômes nous permettaient d’avoir un bel avenir mais elle devrait savoir que les plus riches n’étaient pas forcément les plus intelligents. Mais, ça venait sûrement de mon dégoût pour les gens dont le compte bancaire était égal à celui d’un PIB d’un Etat plus ou moins grand. Continuant mon numéro, mon amie trouva bon de se rendre. Arquant un sourcil comme un véritable cowboy, je commençai à relâcher mon pistolet. Enfin, je décontractai mon corps car bizarrement, j’avais ressenti une bonne tension nerveuse… Comme si j’avais vraiment la possibilité de tirer sur quelqu’un avec une arme inexistante. Je vous jure. « Je peux pas dire la même chose pour toi. » Si la jeune femme ne s’était pas trouvée dans sa chambre, j’aurais pu la rejoindre à la bibliothèque. Deux possibilités mais c’était le même principe. Lui adressant un sourire faussement mauvais, celui-ci devint un peu plus enjoué au fil des mètres parcourus par la jeune femme. « Oui oui tu n’as aucune excuse. Tu m’as lâchement abandonné. » Oui, j’aimais me faire passer pour une victime, parfois. Et puis, c’était un moyen pour la faire culpabiliser un peu plus. Ça lui apprendra à cette mauvaise ! « Pourquoi ? Je n’ai pas le droit ? » Demandai-je, quand même confuse. Je n’avais jamais eu de soucis et j’étais parfois plus ou moins bienvenue dans certains dortoirs, notamment celui des gris. Malheureusement, ces histoires de fraternité pourraient peut-être poser un souci. De toute manière, je m’en moquais puisque j’étais complètement neutre dans cette histoire. Je n’étais même pas étudiante. Poussant alors un léger soupir, j’attrapai le poignet de ma camarade à l’aide de ma main avant de faire gigoter mes épaules de manière assez niaise. « Tout ce que je veux ? » répétai-je avec un grand sourire sur les lèvres. « Bien, prends ton sac et on y va ! Je suis certaine qu’on va trouver un truc à faire au soleil. Tu sais, cette étoile énorme qui produit la lumière du jour. Tu n’as pas dû la voir depuis des siècles maintenant. » Et oui, je me moquais de ma cadette. #kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Mer 23 Sep - 12:04
Je sentais bien que j’allais en prendre pour mon grade, et ça ne me dérangeait pas. Au contraire, j’avais besoin de ça. Parfois, on est tellement engluée dans une situation qu’on a besoin du réveil tonic d’un proche pour s’en sortir. En l’occurrence, Eun Hye était celle dont j’avais besoin en ce moment pour tirer la sonnette d’alarme et me faire rendre compte qu’il y avait autre chose dans la vie. Enfin, ça n’allait pas être en quelques minutes que j’allais changer du tout au tout mais au moins je commençais à émettre l’idée de mettre un peu d’eau dans mon vin, pour une fois. Concernant les dortoirs, je pense qu’elle m’avait mal comprise. J’étais juste à la fois contente et surprise de la voir là. Elle a dû y venir plusieurs fois, mais je ne l’y avais jamais emmené. En tout cas, il me tenait à cœur de dissiper ce malentendu. « Si bien sûr que si... tu es comme chez toi ici et tu le sais. C’est juste que c’est tellement inhabituel. » commençai-je à balbutier. Puis je me repris. « Laisse tomber, j’ai la tête complètement dans le chou, je ne sais même pas depuis combien de temps je suis cloitrée ici. » fini-je par dire en me grattant le sommet de la tête, comme pour montrer que j’étais totalement perdue. En la voyant sourire et répéter ma phrase, je ne pus ensuite pas m’empêcher de rire. Je ne savais pas ce qu’elle me préparait, mais ça me faisait tellement plaisir de la voir de nouveau, avec toutes ses mimiques qui lui étaient propres et que j’adorais chez elle. « Oui chef, à vos ordres chef. » lui répondi-je en imitant un salut militaire. Sur ce, je prenais mon sac fourre-tout posé au pied de mon lit, puis j’y rangeais juste mon nécessaire, comme mon porte-monnaie, mon téléphone, ... Juste le temps de me recoiffer légèrement, je m’adressais à elle en même temps « Je risque de fondre au premier rayon, fais attention tu vas devoir me ramasser à la petite cuillère. » J’entrai aussitôt dans son jeu, sachant qu’elle n’avait pas complètement tord. Enfin coiffée et mon sac à l’épaule, je la pris par le bras « On peut se faire une expo, trainer sur un pont, se poser dans un parc, trainer à l’univ... tout ce que tu veux ma belle ! ». Il y avait tellement de choses à faire à l’université. En plus j’avais toujours eu envie de la faire reprendre les cours, alors ça aurait été une bonne occasion de lui venter les mérites de cette prison dorée. « Oh oui, viens je te fais tout visiter avant qu’on ne parte ! Et après on fera tout ce que tu veux à l’extérieur. » J'avais employé ma voix la plus mielleuse et mes yeux de biches de l'extrême.
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Je sentais bien que j’allais en prendre pour mon grade, et ça ne me dérangeait pas. Au contraire, j’avais besoin de ça. Parfois, on est tellement engluée dans une situation qu’on a besoin du réveil tonic d’un proche pour s’en sortir. En l’occurrence, Eun Hye était celle dont j’avais besoin en ce moment pour tirer la sonnette d’alarme et me faire rendre compte qu’il y avait autre chose dans la vie. Enfin, ça n’allait pas être en quelques minutes que j’allais changer du tout au tout mais au moins je commençais à émettre l’idée de mettre un peu d’eau dans mon vin, pour une fois. Concernant les dortoirs, je pense qu’elle m’avait mal comprise. J’étais juste à la fois contente et surprise de la voir là. Elle a dû y venir plusieurs fois, mais je ne l’y avais jamais emmené. En tout cas, il me tenait à cœur de dissiper ce malentendu. « Si bien sûr que si... tu es comme chez toi ici et tu le sais. C’est juste que c’est tellement inhabituel. » commençai-je à balbutier. Puis je me repris. « Laisse tomber, j’ai la tête complètement dans le chou, je ne sais même pas depuis combien de temps je suis cloitrée ici. » fini-je par dire en me grattant le sommet de la tête, comme pour montrer que j’étais totalement perdue. En la voyant sourire et répéter ma phrase, je ne pus ensuite pas m’empêcher de rire. Je ne savais pas ce qu’elle me préparait, mais ça me faisait tellement plaisir de la voir de nouveau, avec toutes ses mimiques qui lui étaient propres et que j’adorais chez elle. « Oui chef, à vos ordres chef. » lui répondi-je en imitant un salut militaire. Sur ce, je prenais mon sac fourre-tout posé au pied de mon lit, puis j’y rangeais juste mon nécessaire, comme mon porte-monnaie, mon téléphone, ... Juste le temps de me recoiffer légèrement, je m’adressais à elle en même temps « Je risque de fondre au premier rayon, fais attention tu vas devoir me ramasser à la petite cuillère. » J’entrai aussitôt dans son jeu, sachant qu’elle n’avait pas complètement tord. Enfin coiffée et mon sac à l’épaule, je la pris par le bras « On peut se faire une expo, trainer sur un pont, se poser dans un parc, trainer à l’univ... tout ce que tu veux ma belle ! ». Il y avait tellement de choses à faire à l’université. En plus j’avais toujours eu envie de la faire reprendre les cours, alors ça aurait été une bonne occasion de lui venter les mérites de cette prison dorée. « Oh oui, viens je te fais tout visiter avant qu’on ne parte ! Et après on fera tout ce que tu veux à l’extérieur. » J'avais employé ma voix la plus mielleuse et mes yeux de biches de l'extrême. #kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Dim 4 Oct - 15:20
La demoiselle se mit à balbutier. La regardant, complètement confuse, je me demandai ce qu’elle racontait. Elle priait peut-être intérieurement pour se libérer du sort mortel des études. Dans ce cas, je serais ravie de l’aider même si je ne voulais pas avoir recours à un quelconque lien religieux. Je ne méprisais pas les croyances des gens. Parfois, j’aimais me reposer dans des temples afin d’oublier les aléas de la vie en ville. En tout cas, j’étais prête à la faire sortir de sa chambre. Ye Gi devait être fatiguée après avoir travaillé autant. Le cerveau avait besoin d’une pause et même si la sango dormait, il était difficile de se reposer pleinement dans de telles conditions. Voir les mêmes murs continuellement était relativement stressant. Et oui. Je n’avais pas eu la chance de m’inscrire en faculté mais je voyais très bien mes amis souffrir en périodes d’examen. Personnellement, je me contentai de les faire sortir pour profiter d’eux et pour les soutenir. Ainsi, ce n’était pas complètement étrange de me voir débarquer ici. J’étais frustrée à l’idée de ne plus la voir. J’avais envie de m’amuser avec elle, même si nous avions des caractères assez différents. On avait le mérite d’être complémentaire au moins ! Lui adressant alors un léger sourire, la demoiselle montra des signes de fatigue. Heureusement, j’étais assez en forme pour deux personnes. Si ce n’était pas le cas, je pourrais réussir à la contaminer avec mon énergie débordante ! Beaucoup de personnes vantaient mes mérites à ce sujet. Je lui fis alors part de mon envie de me frotter aux rayons de soleil sans oublier de faire une remarque plutôt ironique. Et, apparemment, je n’étais pas la seule à aimer cette figure de style. Il suffisait de l’entendre juste après. Chef ? Généralement, je n’avais pas autant de pouvoirs mais pourquoi pas ? Je ne pouvais pas cracher dessus. C’était même agréable venant de cette étudiante très studieuse ! « C’est pas déjà le cas ? Tu as l’air d’un zombie, ma pauvre. » Finis-je par dire, un peu compatissante. Cela restait un comble venant de moi. Je n’étais jamais très fraîche comme demoiselle. Par-là, j’entendais que je ne me mettais jamais en valeur. Je restais une fille très naturelle et ce n’était pas les jours très roses. Bref. J’attendis ma camarade se préparer pour pouvoir faire un tour dehors. Ce moment, j’en rêvais depuis des semaines maintenant ! YEGI M’APPARTENAIT. Elle était mienne aujourd’hui et je savais que j’allais en faire des jaloux. Mais, contrairement à eux, j’étais venue jusqu’à elle, même si elle n’avait pas censé de me mettre des vents ! Au moins, j’avais le mérite d’être tenace. Sentant son bras s’emparer du mien, je regardai mon amie. Traîner à l’université ? Encore ? Je fronçai doucement les sourcils avant d’assister à un plan machiavélique. Elle devrait garder ses yeux de chat pour ses rencards, non ? Oh ciel… Au fil des battements de cils, je commençai à être envoûter. « Visiter l’université ? Je la connais un peu tu sais… » Après tout, je connaissais quelques étudiants et il m’arrivait de squatter là-bas. « Mais pourquoi pas. Ça te fera sortir et puis, il faut déjà y arriver. » Ainsi, on pourra profiter du soleil comme convenu. « Comment tu peux te vider la tête si on retourne au lieu où tu passes ton temps à travailler ? Tu crois que je m’amuse à aller au supermarché lors de mes jours de congé ? » Demandai-je d’un air évident. Puis, je sortis de sa chambre en prenant soin de la garder près de moi. Yegi était une jeune femme très maligne et je n’avais pas envie de me faire voir. Cependant, elle ne semblait pas jouer avec moi mais permettez-moi d’avoir quelques doutes. Faut dire qu’elle m’avait brisé le cœur à plusieurs reprises. « On y va comment ? A pieds ? »
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La demoiselle se mit à balbutier. La regardant, complètement confuse, je me demandai ce qu’elle racontait. Elle priait peut-être intérieurement pour se libérer du sort mortel des études. Dans ce cas, je serais ravie de l’aider même si je ne voulais pas avoir recours à un quelconque lien religieux. Je ne méprisais pas les croyances des gens. Parfois, j’aimais me reposer dans des temples afin d’oublier les aléas de la vie en ville. En tout cas, j’étais prête à la faire sortir de sa chambre. Ye Gi devait être fatiguée après avoir travaillé autant. Le cerveau avait besoin d’une pause et même si la sango dormait, il était difficile de se reposer pleinement dans de telles conditions. Voir les mêmes murs continuellement était relativement stressant. Et oui. Je n’avais pas eu la chance de m’inscrire en faculté mais je voyais très bien mes amis souffrir en périodes d’examen. Personnellement, je me contentai de les faire sortir pour profiter d’eux et pour les soutenir. Ainsi, ce n’était pas complètement étrange de me voir débarquer ici. J’étais frustrée à l’idée de ne plus la voir. J’avais envie de m’amuser avec elle, même si nous avions des caractères assez différents. On avait le mérite d’être complémentaire au moins ! Lui adressant alors un léger sourire, la demoiselle montra des signes de fatigue. Heureusement, j’étais assez en forme pour deux personnes. Si ce n’était pas le cas, je pourrais réussir à la contaminer avec mon énergie débordante ! Beaucoup de personnes vantaient mes mérites à ce sujet. Je lui fis alors part de mon envie de me frotter aux rayons de soleil sans oublier de faire une remarque plutôt ironique. Et, apparemment, je n’étais pas la seule à aimer cette figure de style. Il suffisait de l’entendre juste après. Chef ? Généralement, je n’avais pas autant de pouvoirs mais pourquoi pas ? Je ne pouvais pas cracher dessus. C’était même agréable venant de cette étudiante très studieuse ! « C’est pas déjà le cas ? Tu as l’air d’un zombie, ma pauvre. » Finis-je par dire, un peu compatissante. Cela restait un comble venant de moi. Je n’étais jamais très fraîche comme demoiselle. Par-là, j’entendais que je ne me mettais jamais en valeur. Je restais une fille très naturelle et ce n’était pas les jours très roses. Bref. J’attendis ma camarade se préparer pour pouvoir faire un tour dehors. Ce moment, j’en rêvais depuis des semaines maintenant ! YEGI M’APPARTENAIT. Elle était mienne aujourd’hui et je savais que j’allais en faire des jaloux. Mais, contrairement à eux, j’étais venue jusqu’à elle, même si elle n’avait pas censé de me mettre des vents ! Au moins, j’avais le mérite d’être tenace. Sentant son bras s’emparer du mien, je regardai mon amie. Traîner à l’université ? Encore ? Je fronçai doucement les sourcils avant d’assister à un plan machiavélique. Elle devrait garder ses yeux de chat pour ses rencards, non ? Oh ciel… Au fil des battements de cils, je commençai à être envoûter. « Visiter l’université ? Je la connais un peu tu sais… » Après tout, je connaissais quelques étudiants et il m’arrivait de squatter là-bas. « Mais pourquoi pas. Ça te fera sortir et puis, il faut déjà y arriver. » Ainsi, on pourra profiter du soleil comme convenu. « Comment tu peux te vider la tête si on retourne au lieu où tu passes ton temps à travailler ? Tu crois que je m’amuse à aller au supermarché lors de mes jours de congé ? » Demandai-je d’un air évident. Puis, je sortis de sa chambre en prenant soin de la garder près de moi. Yegi était une jeune femme très maligne et je n’avais pas envie de me faire voir. Cependant, elle ne semblait pas jouer avec moi mais permettez-moi d’avoir quelques doutes. Faut dire qu’elle m’avait brisé le cœur à plusieurs reprises. « On y va comment ? A pieds ? »#kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Ven 9 Oct - 21:07
Oui, je l’avoue, lui proposer de faire le tour de l’université alors qu’elle voulait me faire changer les idées n’était pas des plus pertinents. J’ai juste balancer la première idée qui me venait à l’esprit, mais j’aurai peut-être du réfléchir un peu plus. Comme quoi la spontanéité n’avait pas toujours du bon. Et comme elle l’avait dit, elle l’a connaissait bien l’université. J’étais vraiment nul. Pendant un moment, je voulais juste me cacher derrière mon un oreiller et crier un son sourd. A force de rester chez moi et de ne plus sortir, j’en avais presque oublié comment me comporter avec les gens qui comptait à mes yeux. Enfin, je me rendais compte de mon erreur, mais ne disais rien pour le moment. Je la suivais lorsque l’on sortie de ma chambre, avant que nous nous arrêtions. « C’est vrai, excuse-moi mon manque de logique, mon cerveau me lâche un peu ces temps-ci » dis-je dans un premier temps. Puis, je continuai. « Mais imagine que tu dois faire tes courses pendant un de tes jours de congés ? » dis-je en explosant de rire. Je reconnaissais la stupidité de ma remarque, mais j’avais juste envie de la taquiner, comme j’avais l’habitude de le faire. Cette remarque me permis d’ailleurs de me lâcher un peu, d’être moins crispée. Ca me faisait un bien fou, sachant que je ne pouvais concevoir le fait d’être tendu auprès d’amies proches. Et puis on avait partagé tellement de choses toutes les deux, et on s’était retrouvé dans tellement de situations cocasses... « Tu sais quoi ? On va partir sur complètement autre chose ! Plus j’y pense et plus je me dis que c’est complètement débile ce que je t’ai proposé ». Je commençai à m’agiter un peu plus. J’avais déjà oublié mon ordinateur et mes centaines de pages de codes que j’avais produits depuis le mois dernier. Comme quoi, je pense que Eun Hye était vraiment LA personne capable de me faire sortir d’ici, elle avait eu la méthode et les arguments pour me booster. « Changement de programme ! Et si avant de sortir, on faisait un ou deux canulars dans les dortoirs ? Les verts sont sympas, ils ne le prendront pas trop mal, et je sais que tu en as envie autant que moi ! » dis-je telle une enfant qui suppliait pour que sa mère lui achète un bonbon à la fête foraine. « Et puis c’est 1000 fois mieux que de faire le tour des locaux de l’univ, avoue ! ». Hein, hein ? J’essayais de lui montrer que j’y mettais du mien et que je faisais tout pour rendre ce début de journée un minimum agréable, et surtout lui montrer qu’elle n’était pas venue pour rien. J’avais quelques idées en tête, connaissant les points forts et les faiblesses des membres de mon dortoir, et surtout les susceptibilités de chacun, enfin du moins d’une majorité. Je comptais sur elle pour me fournir ses meilleurs idées, pendant que j’essayais aussi de sortir une petite pépite. Mais disons que ça ne tournait pas à plein régime là-haut non plus ! « Je sais que tu penses à quelque chose... je me souviens encore des blagues que l’on faisait à l’époque où je passais à la ferme, c’était le bon vieux temps ! »
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son ye gi & yoon eun hye
Oui, je l’avoue, lui proposer de faire le tour de l’université alors qu’elle voulait me faire changer les idées n’était pas des plus pertinents. J’ai juste balancer la première idée qui me venait à l’esprit, mais j’aurai peut-être du réfléchir un peu plus. Comme quoi la spontanéité n’avait pas toujours du bon. Et comme elle l’avait dit, elle l’a connaissait bien l’université. J’étais vraiment nul. Pendant un moment, je voulais juste me cacher derrière mon un oreiller et crier un son sourd. A force de rester chez moi et de ne plus sortir, j’en avais presque oublié comment me comporter avec les gens qui comptait à mes yeux. Enfin, je me rendais compte de mon erreur, mais ne disais rien pour le moment. Je la suivais lorsque l’on sortie de ma chambre, avant que nous nous arrêtions. « C’est vrai, excuse-moi mon manque de logique, mon cerveau me lâche un peu ces temps-ci » dis-je dans un premier temps. Puis, je continuai. « Mais imagine que tu dois faire tes courses pendant un de tes jours de congés ? » dis-je en explosant de rire. Je reconnaissais la stupidité de ma remarque, mais j’avais juste envie de la taquiner, comme j’avais l’habitude de le faire. Cette remarque me permis d’ailleurs de me lâcher un peu, d’être moins crispée. Ca me faisait un bien fou, sachant que je ne pouvais concevoir le fait d’être tendu auprès d’amies proches. Et puis on avait partagé tellement de choses toutes les deux, et on s’était retrouvé dans tellement de situations cocasses... « Tu sais quoi ? On va partir sur complètement autre chose ! Plus j’y pense et plus je me dis que c’est complètement débile ce que je t’ai proposé ». Je commençai à m’agiter un peu plus. J’avais déjà oublié mon ordinateur et mes centaines de pages de codes que j’avais produits depuis le mois dernier. Comme quoi, je pense que Eun Hye était vraiment LA personne capable de me faire sortir d’ici, elle avait eu la méthode et les arguments pour me booster. « Changement de programme ! Et si avant de sortir, on faisait un ou deux canulars dans les dortoirs ? Les verts sont sympas, ils ne le prendront pas trop mal, et je sais que tu en as envie autant que moi ! » dis-je telle une enfant qui suppliait pour que sa mère lui achète un bonbon à la fête foraine. « Et puis c’est 1000 fois mieux que de faire le tour des locaux de l’univ, avoue ! ». Hein, hein ? J’essayais de lui montrer que j’y mettais du mien et que je faisais tout pour rendre ce début de journée un minimum agréable, et surtout lui montrer qu’elle n’était pas venue pour rien. J’avais quelques idées en tête, connaissant les points forts et les faiblesses des membres de mon dortoir, et surtout les susceptibilités de chacun, enfin du moins d’une majorité. Je comptais sur elle pour me fournir ses meilleurs idées, pendant que j’essayais aussi de sortir une petite pépite. Mais disons que ça ne tournait pas à plein régime là-haut non plus ! « Je sais que tu penses à quelque chose... je me souviens encore des blagues que l’on faisait à l’époque où je passais à la ferme, c’était le bon vieux temps ! »#kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Dim 11 Oct - 17:46
Son cerveau la lâchait un peu, aujourd’hui. Elle avait raison sur ce point. De toute manière, je savais très bien que le reste de la journée ne risquait pas d’arranger son cas. La jeune femme se battait énormément pour ses rêves, pour satisfaire son ambition. Toutefois, il était temps pour elle de se ménager un peu. Ainsi, je comptais bien lui faire visiter autre chose que l’université – enfin qu’elle me fasse visiter le campus parce que bon, c’était sa faculté et non la mienne -. « Aish. C’est la pire chose à faire. » Commentai-je avant d’imiter la sango. Retourner à son lieu de travail durant les congés devait être qualifié de crime. Mais au moins, la belle Yegi semblait avoir retrouvé ses esprits. En effet, au bout de quelques secondes, elle décida de partir sur une toute autre idée. Je n’allais pas cracher là-dessus. Se faire un petit délire amphithéâtre/gymnase était carrément inintéressant. Je pouvais m’amuser partout mais tout de même. Cet endroit n’était pas propice à des gros délires. Ainsi, cette idée pourrait contrecarrer mes plans. Elle avait besoin de bouger un point c’est tout ! « Ahhhhhhhhhhh ! » finis-je par dire, soulagée. On remarquera notamment mon sens de l’exagération. J’étais ravie de partir je ne sais où en bonne compagnie. Il était temps pour nous de reprendre les bonnes vieilles habitudes ! Fini les cahiers ! Fini les cours ! Toutefois, la jeune femme ne s’arrêta pas là. Même si son cerveau était en train de rouiller, la jeune femme avait quand même de la suite dans les idées. Arquant un sourcil, je fis mine de réfléchir à sa proposition. Faire des canulars ? Ça faisait une éternité que je n’avais pas fait ce genre de choses. Est-ce que j’avais gardé mon talent en la matière ? Très bonne question dont on pourrait connaître le résultat si on se lançait. « Hum. D’accord. » J’étais prête à tout. Je lui adressai un grand sourire tandis que la sango évoquait quelques souvenirs. « Ouais mais ici, on n’a pas de bouse de vache, ni de boue… » Je frottai doucement mon menton et ajoutai : « Tu veux viser quelqu’un en particulier ? » Connaître sa victime était primordiale pour ce genre de choses. On pourrait essayer quelques coups classiques mais nous étions dans un dortoir à Séoul. Les options étaient relativement limitées. Alors, on pouvait virer les blagues des sonnettes, des coups téléphoniques. « Peut-être remplacer des fichiers sur un ordinateur ? Mettre les affaires de X à la place des affaires d’Y ? Vous gérez comment vos frigos ? C’est peut-être un peu too much. Humm… » Je donnais quelques pistes mais je n’étais pas fière de mes trouvailles. Je devais me remettre dans l’ambiance, comprenez.
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son ye gi & yoon eun hye
Son cerveau la lâchait un peu, aujourd’hui. Elle avait raison sur ce point. De toute manière, je savais très bien que le reste de la journée ne risquait pas d’arranger son cas. La jeune femme se battait énormément pour ses rêves, pour satisfaire son ambition. Toutefois, il était temps pour elle de se ménager un peu. Ainsi, je comptais bien lui faire visiter autre chose que l’université – enfin qu’elle me fasse visiter le campus parce que bon, c’était sa faculté et non la mienne -. « Aish. C’est la pire chose à faire. » Commentai-je avant d’imiter la sango. Retourner à son lieu de travail durant les congés devait être qualifié de crime. Mais au moins, la belle Yegi semblait avoir retrouvé ses esprits. En effet, au bout de quelques secondes, elle décida de partir sur une toute autre idée. Je n’allais pas cracher là-dessus. Se faire un petit délire amphithéâtre/gymnase était carrément inintéressant. Je pouvais m’amuser partout mais tout de même. Cet endroit n’était pas propice à des gros délires. Ainsi, cette idée pourrait contrecarrer mes plans. Elle avait besoin de bouger un point c’est tout ! « Ahhhhhhhhhhh ! » finis-je par dire, soulagée. On remarquera notamment mon sens de l’exagération. J’étais ravie de partir je ne sais où en bonne compagnie. Il était temps pour nous de reprendre les bonnes vieilles habitudes ! Fini les cahiers ! Fini les cours ! Toutefois, la jeune femme ne s’arrêta pas là. Même si son cerveau était en train de rouiller, la jeune femme avait quand même de la suite dans les idées. Arquant un sourcil, je fis mine de réfléchir à sa proposition. Faire des canulars ? Ça faisait une éternité que je n’avais pas fait ce genre de choses. Est-ce que j’avais gardé mon talent en la matière ? Très bonne question dont on pourrait connaître le résultat si on se lançait. « Hum. D’accord. » J’étais prête à tout. Je lui adressai un grand sourire tandis que la sango évoquait quelques souvenirs. « Ouais mais ici, on n’a pas de bouse de vache, ni de boue… » Je frottai doucement mon menton et ajoutai : « Tu veux viser quelqu’un en particulier ? » Connaître sa victime était primordiale pour ce genre de choses. On pourrait essayer quelques coups classiques mais nous étions dans un dortoir à Séoul. Les options étaient relativement limitées. Alors, on pouvait virer les blagues des sonnettes, des coups téléphoniques. « Peut-être remplacer des fichiers sur un ordinateur ? Mettre les affaires de X à la place des affaires d’Y ? Vous gérez comment vos frigos ? C’est peut-être un peu too much. Humm… » Je donnais quelques pistes mais je n’étais pas fière de mes trouvailles. Je devais me remettre dans l’ambiance, comprenez. #kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Mer 14 Oct - 21:13
Ouais, c’est sûr que nous n’étions plus dans le même environnement que celui de notre enfance. La ville et la campagne, ça n’avait rien à voir du tout, on était d’accord sur ce point. Cependant, je croyais possible de raviver la flamme de notre enfance, le décor campagnard en moins. Quand à si je visais quelqu’un en particulier... hm, je n’y avais pas vraiment réfléchi. J’étais plus ou mois proche de tous les membres de la tributs des verts, mais à qui aimerai-je jouer un petit tour ? Il est vrai que j’avais l’habitude d’embêter Ali à mes heures perdues, mais avec la dernière plaisanterie qu’on lui avait fait avec Yaël, je pensais qu’elle méritait de souffler un peu, sinon ça s’apparenterait un peu à de l’acharnement, non ? Du coup, j’avais du mal à me décider quant au choix de la victime. Toujours pendant que je réfléchissais, j’écoutais Eun Hye proposer quelques idées, et je ne pus m’empêcher de rire. « Je savais que l’inspiration allait te venir tout de suite ! ». Puis, je continuai « Hmm, oui le coup du frigo c’est un peu too much, sachant que je fais partie de ceux qui l’utilisent aussi... » Je n’allais quand même pas me saboter moi-même, hein ? Par contre, ses autres idées me paraissent tout à fait réalisables. Comme je n’avais pas une volonté particulière de viser une personne en particulier, pourquoi pas tout le dortoir ? Il y avait un certain nombre d’affaires en commun qui étaient indispensables au bon fonctionnement du dortoir, alors en cacher quelques unes pourrait bien être marrant à faire. « On pourrait subtiliser deux ou trois objets dans la salle commune et les cacher ? En mettant quelques indices à côté pour que les gens essaient de les retrouver ! » C’était une option parmi tant d’autres. On se dirigeait donc vers la salle commune, et je jetais un rapide coup d’œil à la salle dans son intégralité pour voir ce qui ferait l’affaire quant au bon déroulement de notre plan. « On ne peut pas se passer de la télécommande... ni de ce pouf-là. » dis-je en le pointant du doigt. C’était déjà deux éléments que l’on pouvait subtiliser pour commencer. Mais il y en avait bien d’autres. « Après, il faudrait aussi trouver une planque. Mais c’est encore une autre histoire. » J’étais sûre que nous allions trouver, il fallait juste mettre en commun nos deux esprits brillants, n’est-ce pas ?
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Ouais, c’est sûr que nous n’étions plus dans le même environnement que celui de notre enfance. La ville et la campagne, ça n’avait rien à voir du tout, on était d’accord sur ce point. Cependant, je croyais possible de raviver la flamme de notre enfance, le décor campagnard en moins. Quand à si je visais quelqu’un en particulier... hm, je n’y avais pas vraiment réfléchi. J’étais plus ou mois proche de tous les membres de la tributs des verts, mais à qui aimerai-je jouer un petit tour ? Il est vrai que j’avais l’habitude d’embêter Ali à mes heures perdues, mais avec la dernière plaisanterie qu’on lui avait fait avec Yaël, je pensais qu’elle méritait de souffler un peu, sinon ça s’apparenterait un peu à de l’acharnement, non ? Du coup, j’avais du mal à me décider quant au choix de la victime. Toujours pendant que je réfléchissais, j’écoutais Eun Hye proposer quelques idées, et je ne pus m’empêcher de rire. « Je savais que l’inspiration allait te venir tout de suite ! ». Puis, je continuai « Hmm, oui le coup du frigo c’est un peu too much, sachant que je fais partie de ceux qui l’utilisent aussi... » Je n’allais quand même pas me saboter moi-même, hein ? Par contre, ses autres idées me paraissent tout à fait réalisables. Comme je n’avais pas une volonté particulière de viser une personne en particulier, pourquoi pas tout le dortoir ? Il y avait un certain nombre d’affaires en commun qui étaient indispensables au bon fonctionnement du dortoir, alors en cacher quelques unes pourrait bien être marrant à faire. « On pourrait subtiliser deux ou trois objets dans la salle commune et les cacher ? En mettant quelques indices à côté pour que les gens essaient de les retrouver ! » C’était une option parmi tant d’autres. On se dirigeait donc vers la salle commune, et je jetais un rapide coup d’œil à la salle dans son intégralité pour voir ce qui ferait l’affaire quant au bon déroulement de notre plan. « On ne peut pas se passer de la télécommande... ni de ce pouf-là. » dis-je en le pointant du doigt. C’était déjà deux éléments que l’on pouvait subtiliser pour commencer. Mais il y en avait bien d’autres. « Après, il faudrait aussi trouver une planque. Mais c’est encore une autre histoire. » J’étais sûre que nous allions trouver, il fallait juste mettre en commun nos deux esprits brillants, n’est-ce pas ? #kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Lun 26 Oct - 10:19
J’avais un peu honte de mes idées. Elles ressemblaient étrangement à un niveau de débutant. Toutefois, toutes les excuses étaient bonnes pour finir ce canular au plus vite. Je voulais profiter de ma Ye Gi et du temps magnifique dehors. Ainsi, cette étape serait un peu bâclée de mon côté. Bien sûr, c’était plutôt amusant car on devait faire preuve de fourberie mais malheureusement, je ne risquais pas d’être présente lors de la découverte des supercheries. Du coup, j’étais déçue à l’avance et je faisais ça surtout pour la belle. La sango devait tout de même faire attention. Elle n’avait pas intérêt à mettre la zizanie dans certaines affaires. Après tout, cela pourrait toujours se retourner contre elle et je ne serais pas là pour la sauver. On devait donc faire le bon choix pour s’amuser un peu. Je fis un signe de la tête pour approuver ses dires. Pas touche au frigo ! Mais alors que pouvions-nous faire ? J’avais juste des envies de guerre. Comment se contrôlait ? Retenant un soupir, la jeune femme semblait apprécier l’idée d’un cache-cache spécial affaire des sango. Pourquoi pas ? Leur confort sera légèrement réduit et ça restait plutôt bon enfant, sauf s’il y avait des aigris dans sa fraternité. « Allons-y pour la chasse aux trésors. » Plaisantai-je avant de suivre mon amie vers la salle commune. Je connaissais déjà le coin mais je n’avais pas un œil de lynx contrairement à la belle demoiselle à mes côtés. « La télécommande, c’est une bonne idée. En plus, il n’y a aucun bouton sur la télévision. Ils vont être coincés ! » Je rigolai doucement et regardai ensuite le pouf qu’elle venait de désigner. « Aish… Je n’en ai pas dans ma chambre. Mais je crois que le but est de leur restituer ? C’est dommage. » Je lui adressai un sourire et repris la parole. « Une cave, un grenier ? Si on arrive à trouver un carton, on pourra toujours le dissimuler. Il y a forcément une chambre que vous n’utilisez pas ? HAHA. Et on pourrait mettre des pièges comme dans Harry Potter. Tu sais, quand il y a le chien à 3 têtes ! » Et dire que je voulais finir ça au plus vite… Personnellement, mettre du savon par terre pour créer une embuscade… Je trouvais ça marrant ! Toutefois, j’étais soumise à Ye Gi. J’étais sous ses ordres car elle était à l’origine de l’idée. Et puis, il s’agissait du maître des lieux. Je n’avais pas le choix si je voulais me glisser en douce dans sa chambre. Quoi que. Je n’avais jamais vraiment eu besoin de son autorisation.
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J’avais un peu honte de mes idées. Elles ressemblaient étrangement à un niveau de débutant. Toutefois, toutes les excuses étaient bonnes pour finir ce canular au plus vite. Je voulais profiter de ma Ye Gi et du temps magnifique dehors. Ainsi, cette étape serait un peu bâclée de mon côté. Bien sûr, c’était plutôt amusant car on devait faire preuve de fourberie mais malheureusement, je ne risquais pas d’être présente lors de la découverte des supercheries. Du coup, j’étais déçue à l’avance et je faisais ça surtout pour la belle. La sango devait tout de même faire attention. Elle n’avait pas intérêt à mettre la zizanie dans certaines affaires. Après tout, cela pourrait toujours se retourner contre elle et je ne serais pas là pour la sauver. On devait donc faire le bon choix pour s’amuser un peu. Je fis un signe de la tête pour approuver ses dires. Pas touche au frigo ! Mais alors que pouvions-nous faire ? J’avais juste des envies de guerre. Comment se contrôlait ? Retenant un soupir, la jeune femme semblait apprécier l’idée d’un cache-cache spécial affaire des sango. Pourquoi pas ? Leur confort sera légèrement réduit et ça restait plutôt bon enfant, sauf s’il y avait des aigris dans sa fraternité. « Allons-y pour la chasse aux trésors. » Plaisantai-je avant de suivre mon amie vers la salle commune. Je connaissais déjà le coin mais je n’avais pas un œil de lynx contrairement à la belle demoiselle à mes côtés. « La télécommande, c’est une bonne idée. En plus, il n’y a aucun bouton sur la télévision. Ils vont être coincés ! » Je rigolai doucement et regardai ensuite le pouf qu’elle venait de désigner. « Aish… Je n’en ai pas dans ma chambre. Mais je crois que le but est de leur restituer ? C’est dommage. » Je lui adressai un sourire et repris la parole. « Une cave, un grenier ? Si on arrive à trouver un carton, on pourra toujours le dissimuler. Il y a forcément une chambre que vous n’utilisez pas ? HAHA. Et on pourrait mettre des pièges comme dans Harry Potter. Tu sais, quand il y a le chien à 3 têtes ! » Et dire que je voulais finir ça au plus vite… Personnellement, mettre du savon par terre pour créer une embuscade… Je trouvais ça marrant ! Toutefois, j’étais soumise à Ye Gi. J’étais sous ses ordres car elle était à l’origine de l’idée. Et puis, il s’agissait du maître des lieux. Je n’avais pas le choix si je voulais me glisser en douce dans sa chambre. Quoi que. Je n’avais jamais vraiment eu besoin de son autorisation. #kerushirei
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Re: you can't escape me #yegi | Mar 3 Nov - 13:08
On ne mit pas beaucoup de temps à se mettre d’accord. En effet, il n’y avait pas mille options qui s’offraient à nous. Enfin, c’était partie pour la chasse aux trésors comme elle disait. Je ne pus m’empêcher de rire à chacune de ses remarques. Elle était vraiment fourbe, et c’est notamment pour ça que je l’adorais. Je n’avais même pas pensé au fait qu’il n’y avait pas de bouton sur la télé, c’est encore mieux comme ça. Quant au pouf, si ça ne tenait qu’à moi je le lui aurais laissé, mais ça serait surement un peu trop pour le coup. « C’est un clin d’œil discret pour ton prochain anniversaire ? » lui répondis-je en riant. Ca pouvait être une idée comme une autre, c’était toujours bon à prendre. Enfin bref, on avait une petite mission à terminer pour pouvoir enfin sortir et profiter l’une de l’autre. Se posait la question d’où cacher tout ça.... « Ouais, il y a des chambres vides qui attendent l’arrivée de nouveaux étudiants, on peut tenter là-bas. » Je lui indiquais de prendre les différents objets qu’on avait choisi et de me suivre. « En plus dans ces pièces là il y a des cartons non utilisés laissés par les anciens locataires. » Je nous guidais vers la première chambre libre dont j’avais connaissance, c’était une chambre de 4. « On pourrait mettre le carton là-bas, qu’est-ce que tu en dis ? » lui-dis en pointant du doigt le haut du placard. En attendant, je m’assis sur une des chaises de bureau. « Ce chien m’a fait faire des cauchemars haha. Je ne pense pas qu’on ait de quoi faire aussi effrayant. » dis-je en faisant la moue. Je faisais tourner la chaise en scrutant la pièce dans les moindres recoins. C’était fou comment j’avais oublié à quoi pouvait ressembler les chambres standards tellement nous savions customisé la notre. « Une corde tendue à l’entrée, des poignées un peu collantes... enfin des trucs dans cet esprit là, ça pourrait faire l’affaire non ? » C’était certes un peu gamin mais à mes yeux c’était surtout une occasion de faire quelque chose qu’on aimait toutes les deux, de se retrouver avec tout ce temps, avant d’embrayer sur autre chose de bien plus mature ensuite.
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On ne mit pas beaucoup de temps à se mettre d’accord. En effet, il n’y avait pas mille options qui s’offraient à nous. Enfin, c’était partie pour la chasse aux trésors comme elle disait. Je ne pus m’empêcher de rire à chacune de ses remarques. Elle était vraiment fourbe, et c’est notamment pour ça que je l’adorais. Je n’avais même pas pensé au fait qu’il n’y avait pas de bouton sur la télé, c’est encore mieux comme ça. Quant au pouf, si ça ne tenait qu’à moi je le lui aurais laissé, mais ça serait surement un peu trop pour le coup. « C’est un clin d’œil discret pour ton prochain anniversaire ? » lui répondis-je en riant. Ca pouvait être une idée comme une autre, c’était toujours bon à prendre. Enfin bref, on avait une petite mission à terminer pour pouvoir enfin sortir et profiter l’une de l’autre. Se posait la question d’où cacher tout ça.... « Ouais, il y a des chambres vides qui attendent l’arrivée de nouveaux étudiants, on peut tenter là-bas. » Je lui indiquais de prendre les différents objets qu’on avait choisi et de me suivre. « En plus dans ces pièces là il y a des cartons non utilisés laissés par les anciens locataires. » Je nous guidais vers la première chambre libre dont j’avais connaissance, c’était une chambre de 4. « On pourrait mettre le carton là-bas, qu’est-ce que tu en dis ? » lui-dis en pointant du doigt le haut du placard. En attendant, je m’assis sur une des chaises de bureau. « Ce chien m’a fait faire des cauchemars haha. Je ne pense pas qu’on ait de quoi faire aussi effrayant. » dis-je en faisant la moue. Je faisais tourner la chaise en scrutant la pièce dans les moindres recoins. C’était fou comment j’avais oublié à quoi pouvait ressembler les chambres standards tellement nous savions customisé la notre. « Une corde tendue à l’entrée, des poignées un peu collantes... enfin des trucs dans cet esprit là, ça pourrait faire l’affaire non ? » C’était certes un peu gamin mais à mes yeux c’était surtout une occasion de faire quelque chose qu’on aimait toutes les deux, de se retrouver avec tout ce temps, avant d’embrayer sur autre chose de bien plus mature ensuite.
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