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Le retard est un manque de discipline - Bom Chan
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Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Mar 12 Jan - 4:56 Citer EditerSupprimer
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Bom Chan & Dambi
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TENUE + J’essuyais mon front d’un revers de la main alors que je continuais de courir aussi vite que je le pouvais. J’étais à bout de souffle, en sueur, toute transpirante dans mon short et mon haut bordeaux laissant pourtant apparaitre mon ventre. De minuscules perles d’eau immaculaient l’ensemble de mon corps, je les sentais bien couler le long de ma peau. Je n’avais jamais couru de la sorte pour ne pas arriver en retard. Et pourtant, je l’étais déjà d’une bonne dizaine de minutes. J’allais me faire disputer, c’était certain. C’était ma faute, et pourtant… Je ne comprenais pas ce qui lui prenait tout d’un coup. Sans doute était-il de mauvais poil et avait-il besoin que je lui change les idées, mais toute de même. Je l’avais connu avec plus de patience que cela. Il me fallait au minimum une demi-heure pour arriver à son loft, et il le savait pertinemment bien. Je le soupçonnais de le faire juste pour m’enquiquiner, mais je me retenais bien de le lui faire remarquer. Apres son appel soudain, alors que j’étais dans un café du centre, buvant un cocktail à la terrasse en compagnie de Kou qui me faisait part de ses prochains plans foireux. Tranquillement, nous discutions de tout et de rien, riant aux éclats pour un rien. Peut-être il y a-t ’il eut une ou deux caresses échangées. Une main sur la cuisse. Un effleurement du bout des doigts de la joue. La paume de ma main sur le dessus de l’autre, mais cela s’arrêtait là. Nous étions très tactiles l’un envers l’autre, mais on était loin de coucher ensemble. Si nous cédions, c’était comme faire l’amour à mon jumeau, et l’inceste, c’était très peu pour moi. Bref, c’était un peu après un de ces échanges que mon portable avait retenti, me forçant à laisser mon moment de détente tomber à l’eau. J’avais soupiré avant de quitter mon ami à qui je ne pus vraiment expliquer pourquoi je devais partir si vite.
J’étais enfin arrivé à destination, le souffle court, je tentais de le retrouver alors que je cherchais maladroitement les clefs du loft que Bom Chan m’avait laissé il y avait plus de cinq ans de cela, au moment même où il avait pris la décision de me prendre sous son aile, prenant la peine de faire confiance à une jeune enfant perdue qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Quand je trouvais ce que je cherchais, je l’introduis dans la serrure, déverrouillant la porte avant d’entrée et de refermer derrière moi. Je pénétrais dans l’espèce d’hangar reconverti en loft, chercher le jeune homme du regard. « Bom Chan ? C’est moi. Je désolé, je suis un peu en retard… » De quatorze minutes et quarante-trois secondes exactement pensais-je en regardant ma montre…
J’étais enfin arrivé à destination, le souffle court, je tentais de le retrouver alors que je cherchais maladroitement les clefs du loft que Bom Chan m’avait laissé il y avait plus de cinq ans de cela, au moment même où il avait pris la décision de me prendre sous son aile, prenant la peine de faire confiance à une jeune enfant perdue qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Quand je trouvais ce que je cherchais, je l’introduis dans la serrure, déverrouillant la porte avant d’entrée et de refermer derrière moi. Je pénétrais dans l’espèce d’hangar reconverti en loft, chercher le jeune homme du regard. « Bom Chan ? C’est moi. Je désolé, je suis un peu en retard… » De quatorze minutes et quarante-trois secondes exactement pensais-je en regardant ma montre…
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Mar 12 Jan - 22:26 Citer EditerSupprimer
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TENUE +
J’ai du temps devant moi. J’ai passé l’après-midi à flirter avec Lin et j’ai joué avec le feu, frôlant ses fesses alors que mon frère était là. Lui volant un baiser contre son gré au détour d’un couloir, laissant le soin à Jae de nous surprendre sans qu’il n’y arrive jamais vraiment. J’adorais voir le rouge de ses joues s’allier au noir de ses yeux. Tout comme j’aimais la façon qu’elle avait de me repousser gênée. Si elle savait à quel point j’aimais ça, la voir me repousser comme ça. Ça me donnait envie d’elle. Tellement … Mais quand bien même je menais une vie d’homme libre et passif qui venait en cours pour draguer les étudiantes et saquer les moyennes des mecs qui osaient me défier, j’avais des obligations auxquelles je ne pouvais échapper. Laissant Lin que j’avais dangereusement allumée dans la cuisine avec une main glissée dans sa culotte je m’allumais une clope en sortant de l’appartement. Ce soir Jae rentre très tard et va devoir faire un peu de route avant de pouvoir rentrer à l’appartement, j’aurais donc tout le temps pour m’offrir une nuit de plaisir avec Lin … et je sais déjà comment la faire craquer. J’avais compris comment elle fonctionnait et je savais quel moyen utiliser pour qu’elle se laisse avec moi. Et je dois avouer que j’aimais ça la voir céder. C’était sur cette pensée que j’arrivais dans la rue principale qui menait à l’université. J’avais des papiers à remplir et je trainais un peu des pieds pour le faire. Avant de traverser la route, en face de ce café qui allait être témoin d’une scène que j’aurais préféré jamais voir, je m’allume une cigarette et prends le temps de réajuster mon manteau. Il fait froid dehors, trop, et j’aimerais pouvoir être tranquillement chez moi au lieu de me pointer dans une université pour signer des papiers qui me semblent futiles. Mon regard se pose d’abord sur lui, un jeune garçon avec une tête de japonais, typiquement et sans qu’aucun doute puisse planer, nippon. Je renifle avant de voir cette tête blonde qui lui fait face. Une tête blonde comme on n’en fait pas. Pas en Corée. Je fronce les sourcils, qui sait, peut-être que je peux me tromper, mais aucun doute n’est possible. Dambi. Et ce mec qui pose une main sur sa cuisse, il rit, elle aussi, elle caresse sa joue, et sa lèvre, surement pour lui retirer de la mousse de café ou que sais-je. Elle rit et secoue la tête. Ça boue en moi. Ce n’est pas tant de la jalousie, mais j’ai l’impression qu’elle fait ça pour se foutre de ma gueule. Comme si elle pouvait voir d’autre homme, comme si elle n’avait pas besoin de moi. Alors je l’appelle. Je l’appelle pour me délecter du spectacle. La voir se lever précipitamment, la voir courir, voir cette tête d’abruti la regarder partir sans comprendre, déçu. Il a l’air dégouté en la suivant du regard. Moi je la suis, cette tête blonde. Et je ris de la voir se dépêcher comme ça. Je finis par aller signer mes papiers et reprends ma moto pour aller au loft. Finalement j’arrive 30 minutes après elle. Elle sait qu’elle doit m’attendre. Elle sait que si je ne la trouve pas chez moi elle devrait en subir les conséquences. Je fais du bruit en arrivant, juste pour prévenir mon arrivée. Je me débarrasse de mes affaires dès que je rentre dans le loft, lui adressant à peine un regard. Je me mets nu. Simplement. Et décide de prendre une douche chaude, celle qui est dans le coin de mon séjour. Un pan en bois très fin, me permet de cacher jusqu’au hanche, mais le reste est ouvert. J’avais des envies particulières en construisant cette douche. Je me tourne enfin vers elle, ayant préféré rester silencieux jusque-là. Je la fixe longuement en le déshabillant du regard. « T’es sale. » lui lançais-je, je ne faisais pas allusion à la sueur qui coulait sur son corps et qui la rendait sexy, mais surtout à ses mains qui se sont posées sur son corps. « Déshabille toi. » lui intimais-je avec un regard noir et en colère. Elle le sait, elle a fait quelque chose de mal, reste à voir si elle voit de quoi je parle. J’aimais faire planer le doute et la faire baliser. Ça la rendait craquant d’une certaine manière.
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Mer 13 Jan - 3:00 Citer EditerSupprimer
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TENUE + Je m’enfonçais un peu plus dans loft qui ne semblait occuper aucune vie. Rien ne bougeait. Aucun bruit ne se faisait entendre. Je fronçais les sourcils en cherchant Bom Chan du regard. Je m’étais déjà résignée à trouver le jeune homme les bras croisés, le regard fou de rage pour mon retard. Pourtant, à mon grand étonnant, il n’y avait personne. Il avait sans doute dû partir en laissant les lumières ouvertes. Deux choses, l’une. Soit il avait perdu patience avant que je n’arrive, soit il n’était pas encore arrivé. Ce qui serait vraiment salaud, sachant que j’avais quitté mon ami sans aucune explication et que j’avais couru un marathon pour essayer d’être là à temps. Tout cela, pour rien. Je fis une moue boudeuse, gonflant les joues avant de jeter mon sac sur la table basse et de me laisser tomber dans le canapé. Les bras croisés sur ma poitrine, les pieds tendus et surélevés sur la table basse, je soupirais d’agacement. Je ne savais que penser. Se payait-il véritablement de ma tête ? Je ne savais que faire pour combler son absence. Quand daignerait-il repointer le bout de son nez ? Ca pouvait être dans cinq minutes comme dans deux jours. Et si j’avais le malheur de décider de partir, c’était à mes risques périls. Je l’avais faire une fois, et croyez-moi, ca m’avait largement suffit. C’était lui qui prenait les décisions, et je n’avais qu’à obéir, ou c’était la punition. Et celle-ci pouvait varier selon ses humeurs, ses envies, alors autant rester tranquille et ne pas tenter le diable. Je restais la sans bouger. Je crois même que je me suis assoupie quelques minutes, car j’ouvris les paupières en entendant du bruit dans l’entrée. Monsieur était de retour. Je jetais brièvement un coup d’œil à ma montre : trente minutes de retard. Et bah ! J’eus un mauvais présentement à la seconde où il entra dans le loft sans même daigner me jeter un regard. Je le sentis d’autant plus mal quand il se débarrassait de ses affaires, se mettant entièrement nu, sans même avoir pris la peine de me saluer. Je me redressais, me tenant droite, soudain anxieuse, alors qu’il se mit à prendre une douche. Je ne voyais que le dessus de son corps d’où je me tenais, le reste caché pas le pan en bois. Il ne dit pas un moment jusqu’à présent, préférant me tourner le dos silencieusement. Je n’avais osé approcher sans son autorisation qui n’allait sans doute plus tarder. Il ne m’avait pas fait venir pour faire la potiche, bien que parfois, il voulait juste quelqu’un à ses côtés pour dormir, mais vu son état, c’était pour probable que ce soit la raison. Il finit par me regarder, me scrutant de son regard persan. Je déglutis péniblement, n’osant bouger le petit doigt. T’es sale, furent ses mots. Je le fixais surprise. Je me regardais un instant. A part la sueur sur ma peau je ne vois pas de quoi il parlait. J’avais pris une douche ce matin, et je ne m’étais pas rouler dans la boue que je sache. « Déjà ? » C’était sorti seul au travers mes lèvres tellement la surprise était telle. Je ne discutais pourtant pas plus longtemps, enlevant mon short lentement, lui montrant la descente de mes reins et la courbure de mes hanches, sachant pertinemment qu’il aimait ça. Je le jetais ensuite sur le fauteuil, restant en culotte. Je retirais ensuite le haut. Je n’avais pas vraiment besoin de soutien-gorge pour faire tenir ma poitrine. Elle n’était pas très proéminente et c’était tant mieux, alors quand je pouvais m’en passer, je le faisais. Son regard noir qui ne cessait de me juger ne m’avait pas échappé, mais je n’arrivais pas à mettre la main sur ce que j’avais bien pu faire de mal pour qu’il dénigre de la sorte. J’avançais en baissant les yeux, le laissant prendre sa dominance sur ma personne. Quand j’arrivais à sa hauteur, je relevais seulement le visage pour le regarde et poser ma paume de la main sur sa joue, les yeux emplis de douceur. Je savais qu’il n’aimait parfois cela, mais je n’y pouvais rien. Je m’inquiétais pour lui. Il s’enfonçait peu à peu dans les ténèbres et refusait l’aide d’autrui, même une simple main tendue. Ma main glissait sur son visage, venant frôler ses lèvres du bout des doigts alors que l’eau fouette son dos. « Qu’est ce qui t’arrives Bom Chan ? C’est de pire en pire ces derniers temps… » Je fronçais légèrement les sourcils pour laisser paraitre l’inquiétude qui me gagnait peu à peu.
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Lun 18 Jan - 22:31 Citer EditerSupprimer
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Elle ne comprenait pas. Elle ne saisissait pas. Je l’avais surprise en flagrant délit. Dérogeant à toutes mes règles sans pour autant en avoir conscience. J’étais dans un mauvais jour, quoiqu’il s’annonçait pourtant bon ce matin. Mais j’avais décrété qu’aujourd’hui elle subirait ma jalousie. Jalousie que je cachais derrière un sentiment de possession et d’orgueil. Cette fille m’appartenait quoiqu’elle puisse en dire. J’avais été le premier à lui faire découvrir le monde du sexe comme je l’aimais et je n’avais pas envie qu’elle me mette ses coucheries d’adolescente sous le nez. Il est d’ailleurs, hors de question qu’elle se laisse baiser par des hommes que je ne connais pas. Mais je n’étais pas dupe et je savais qu’elle se laissait aller parfois. C’est bien d’ailleurs pour ça que je la punis sans raison apparente. C’est comme l’absoudre de ses pêchés sans qu’elle n’ait besoin de me les avouer. Je le fixe se mettre à nue, surprise mais obéissante comme toujours. Un sourire mauvais aux lèvres je la laisse approcher. J’appréciais la voir baisser les yeux, docile et à ma merci. Voilà qu’elle s’offrait sans condition. Elle aurait été parfaite sans cette douceur dans le regard. Elle aurait été parfaite sans cette main qu’elle glisse sur ma joue comme si elle en avait le droit. Ma main claque sur son avant-bras alors que je la repousse comme si chassais une mouche. Mon regard déjà si noir s’assombrit un peu plus alors que j’empoigne ses cheveux pour l’obliger à pencher la tête en arrière. « Qu’est-ce que tu crois faire ?! » je la plaque contre mon corps et grogne contre sa joue « Je t’ai dit que tu étais sale alors lave toi. » Je la pousse sans ménagement sous le jet d’eau et lui balance le savon au visage. « Frotte. » J’ai cette fureur dans le ventre et le cœur fou. Je sais qu’une part de moi s’en veut de faire subir cette humiliation à Dambi. Elle ne le mérite pas. Et parfois quand elle dort, quand elle ne le voit pas, je viens l’embrasser doucement, je recouvre son corps d’une couette plus épaisse pour qu’elle n’ait pas froid. Et c’est souvent dans ses bras que je veux dormir pour me sentir protéger par cette douceur que je refuse de voir. Que je refuse d’offrir sciemment. Je la fixe froidement sans me soucier de savoir si ce que je fais est bien ou non. J’attrape une fleur de douche, qu’elle laisse trainer chez moi, et la mouille pour la laver. Sans ménagement, je rappe la fleur de douche sur son corps à en faire rougir sa peau. C’est ainsi que je la préfère. Quand elle efface les traces de cet homme de sur son corps. J’attrape le jet d’eau et la tourne vers moi, c’est l’eau froide que j’ai mis le plus fort. Cette part malsaine de mon cœur jubile de savoir qu’elle va grelotter de froid et l’autre regarde cette pauvre jeune fille que je malmène par jalousie. Je l’arrose sans me soucier de ses réactions et vise même son visage pour la faire taire, pour qu’elle ne proteste plus. La surprise lui aura surement fait boire la tasse mais je m’ne moque. A mes yeux elle est désormais propre. J’aurais pu la récompenser avec un peu d’eau chaude mais je l’ai dit je suis loin d’être dans mon jour de bonté. J’ai l’impression d’être essoufflé comme si j’avais couru un marathon. Je la tourne brusquement face à moi en ayant fini ma tâche. Je la tiens par les épaules et la ramène brusquement contre moi. « Ne laisse plus jamais un homme te toucher comme ça. Encore moins à la terrasse d’un café. » Grognais-je en tenant ses joues dans le creux de mes doigts ferme. Son maquillage a coulé et ses cheveux si bien coiffés ne sont plus qu’un amas de mèche mouillé collé à son visage. La lâchant sans prévenir je sors de cette douche improvisé et lui jette une serviette au visage. « Essuie toi, habille toi et démaquille toi. Ce maquillage de pétasse ne te va pas. » Son maquillage n’est en rien différent de celui de d’habitude mais il n’a pas été fait pour moi, alors il est abjecte à mes yeux. J’enfile un jogging sans me sécher et lui laisse la porte de mon armoire ouverte pour qu’elle y trouve des fringues. Je me laisse tomber dans le canapé sans un mot et attrape une cigarette que je fume le visage fermé.
Elle ne comprenait pas. Elle ne saisissait pas. Je l’avais surprise en flagrant délit. Dérogeant à toutes mes règles sans pour autant en avoir conscience. J’étais dans un mauvais jour, quoiqu’il s’annonçait pourtant bon ce matin. Mais j’avais décrété qu’aujourd’hui elle subirait ma jalousie. Jalousie que je cachais derrière un sentiment de possession et d’orgueil. Cette fille m’appartenait quoiqu’elle puisse en dire. J’avais été le premier à lui faire découvrir le monde du sexe comme je l’aimais et je n’avais pas envie qu’elle me mette ses coucheries d’adolescente sous le nez. Il est d’ailleurs, hors de question qu’elle se laisse baiser par des hommes que je ne connais pas. Mais je n’étais pas dupe et je savais qu’elle se laissait aller parfois. C’est bien d’ailleurs pour ça que je la punis sans raison apparente. C’est comme l’absoudre de ses pêchés sans qu’elle n’ait besoin de me les avouer. Je le fixe se mettre à nue, surprise mais obéissante comme toujours. Un sourire mauvais aux lèvres je la laisse approcher. J’appréciais la voir baisser les yeux, docile et à ma merci. Voilà qu’elle s’offrait sans condition. Elle aurait été parfaite sans cette douceur dans le regard. Elle aurait été parfaite sans cette main qu’elle glisse sur ma joue comme si elle en avait le droit. Ma main claque sur son avant-bras alors que je la repousse comme si chassais une mouche. Mon regard déjà si noir s’assombrit un peu plus alors que j’empoigne ses cheveux pour l’obliger à pencher la tête en arrière. « Qu’est-ce que tu crois faire ?! » je la plaque contre mon corps et grogne contre sa joue « Je t’ai dit que tu étais sale alors lave toi. » Je la pousse sans ménagement sous le jet d’eau et lui balance le savon au visage. « Frotte. » J’ai cette fureur dans le ventre et le cœur fou. Je sais qu’une part de moi s’en veut de faire subir cette humiliation à Dambi. Elle ne le mérite pas. Et parfois quand elle dort, quand elle ne le voit pas, je viens l’embrasser doucement, je recouvre son corps d’une couette plus épaisse pour qu’elle n’ait pas froid. Et c’est souvent dans ses bras que je veux dormir pour me sentir protéger par cette douceur que je refuse de voir. Que je refuse d’offrir sciemment. Je la fixe froidement sans me soucier de savoir si ce que je fais est bien ou non. J’attrape une fleur de douche, qu’elle laisse trainer chez moi, et la mouille pour la laver. Sans ménagement, je rappe la fleur de douche sur son corps à en faire rougir sa peau. C’est ainsi que je la préfère. Quand elle efface les traces de cet homme de sur son corps. J’attrape le jet d’eau et la tourne vers moi, c’est l’eau froide que j’ai mis le plus fort. Cette part malsaine de mon cœur jubile de savoir qu’elle va grelotter de froid et l’autre regarde cette pauvre jeune fille que je malmène par jalousie. Je l’arrose sans me soucier de ses réactions et vise même son visage pour la faire taire, pour qu’elle ne proteste plus. La surprise lui aura surement fait boire la tasse mais je m’ne moque. A mes yeux elle est désormais propre. J’aurais pu la récompenser avec un peu d’eau chaude mais je l’ai dit je suis loin d’être dans mon jour de bonté. J’ai l’impression d’être essoufflé comme si j’avais couru un marathon. Je la tourne brusquement face à moi en ayant fini ma tâche. Je la tiens par les épaules et la ramène brusquement contre moi. « Ne laisse plus jamais un homme te toucher comme ça. Encore moins à la terrasse d’un café. » Grognais-je en tenant ses joues dans le creux de mes doigts ferme. Son maquillage a coulé et ses cheveux si bien coiffés ne sont plus qu’un amas de mèche mouillé collé à son visage. La lâchant sans prévenir je sors de cette douche improvisé et lui jette une serviette au visage. « Essuie toi, habille toi et démaquille toi. Ce maquillage de pétasse ne te va pas. » Son maquillage n’est en rien différent de celui de d’habitude mais il n’a pas été fait pour moi, alors il est abjecte à mes yeux. J’enfile un jogging sans me sécher et lui laisse la porte de mon armoire ouverte pour qu’elle y trouve des fringues. Je me laisse tomber dans le canapé sans un mot et attrape une cigarette que je fume le visage fermé.
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Mar 19 Jan - 12:45 Citer EditerSupprimer
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Je n’aurais pas dû éprouver de geste tendre envers lui, j’avais conscience que ca l’énerverait plus qu’autre chose. Pourtant c’était plus fort que moi. Il me donnait envie de prendre soin de lui, même si il refusait catégoriquement. Je m’inquiétais pour lui malgré tout ce qu’il me faisait endurer. J’étais certain que tout ce mal qu’il donnait autour de lui cachait simplement un enfant perdu, un homme blessé par son passé et le temps qui s’enlisait de plus en plus dans ses propres maux au point de ne plus savoir qu’était d’être humain. Et cette audace que j’avais eu en osant lui adresser un geste tendre, il me le fit regretter à le seconde près. Il m’attrapait par les cheveux brusquement et me tirait vers l’arrière. Il m’arrachait un couinement de surprise et un gémissement de douleur sous son geste brusque. Je le regardais un bref instant dans les yeux, le suppliant du regard de me lâcher avant de détourner les yeux aussitôt pour qu’il ne prenne pas cela pour une preuve de provocation. Il n’avait pas l’air d’être dans un jour de bonté. Avait-il passé une journée si désagréable que cela ? Je ne répondis pas à ses questions, car au fond, il n’attendait pas réellement de réponses. Il avait même l’air de les connaitre déjà. Je manquais de trébucher alors qu’il me poussait sous l’eau qui fouettait mon visage. J’attrapais le savon qu’il me lançait tant bien que mal. Je faillis le lâcher tellement il glissait, mais je me concentrais pour ne pas le faire tomber. Je me mis à me savonner activement, passant sur tout mon corps, ne comprenant pas vraiment pourquoi il s’entêtait à dire que j’étais sale. Ce regard froid et distant qui ne cessait de me fixer et de me juger me faisait mal, me transperçait comme une lame en plein cœur. Il m’accusait de quelque chose dont je n’avais même pas conscience. Je grimace de douleur alors qu’il entreprend de me frotter à vif avec cette fleur de douche que je ne verrais plus de la même façon. Je me tiens au demi mur de la douche, pour supporter ce qu’il m’infligeait, sentant ma peau rougir et se griffer sous son nettoyage actif. Et alors que je pensais le calvaire terminé, il ne faisait que commencer. Il m’arrachait un nouveau cri alors que l’eau froide… glaciale me fouettait le corps. Il avait ce sourire malsain sur le visage alors qu’il me rinçait en visant volontairement mon visage pour me faire taire. La surprise me fit boire la tasse et je me mis à tousser, cherchant de l’air. Je me recouvris le corps de mes bras en espérant que ca me réchaufferait un rien, mais j’étais trempé jusqu’aux os et la température de l’eau devenait intenable. Je lui jetais un nouveau regard suppliant d’arrêter cela, mais ne prononçait aucun mot, sachant qu’il me le ferait payer aussitôt en faisant le contraire. Il ne me laissait pas le moindre répit qu’il m’attirait déjà à lui. « Ce n’est qu’un ami … je te jure qu’il n’y a rien eu d’autre. » C’était la pure vérité. Je ne couchais pas avec lui. Il était déjà arriver que nous nous embrassions, mais c’était un coup de folie d’une soirée un peu trop arrosée. Le ton de ma voix était à peine audible comme si je m’attendais à recevoir une nouvelle claque. J’exécutais les nouveaux ordres qu’il me donnait, grelotant à sa suite. Mes bras toujours enroulés autour de mon corps, je tremblais avançant lentement. Je me mis à m’essuyer active. Ca me réchauffait. Un peu. Je m’approchais ensuite vers son armoire, zieutant vers les gros pulls. Cependant, je savais qu’il me préférait nu sous un de ses t-shirt, m’imprégnant d’une certaine manière de son parfum. J’attrapais un de ses t-shirts trop large pour moi et l’enfilais. Je me regardais dans le miroir et attrapait une de mes lingettes démaquillante enlevant les trainées noirs sous mes yeux. Une fois le tout fait, je vins le rejoindre dans le canapé où je pris place dans un des coins. Je tremblais encore. J’avais froid. Je ramenais mes jambes contre moi et passait le t-shirt par-dessus ceux-ci, cherchant simplement à réchauffer alors que mes cheveux étaient encore mouillé. Je n’osais lui adresser à nouveau la parole, de peur de faire plus mal que bien et de m’enfoncer un peu plus dans ma faute. Alors j’attends seulement qu’il me fasse part de ses ordres, de ce qu’il attendait vraiment de moi…
Je n’aurais pas dû éprouver de geste tendre envers lui, j’avais conscience que ca l’énerverait plus qu’autre chose. Pourtant c’était plus fort que moi. Il me donnait envie de prendre soin de lui, même si il refusait catégoriquement. Je m’inquiétais pour lui malgré tout ce qu’il me faisait endurer. J’étais certain que tout ce mal qu’il donnait autour de lui cachait simplement un enfant perdu, un homme blessé par son passé et le temps qui s’enlisait de plus en plus dans ses propres maux au point de ne plus savoir qu’était d’être humain. Et cette audace que j’avais eu en osant lui adresser un geste tendre, il me le fit regretter à le seconde près. Il m’attrapait par les cheveux brusquement et me tirait vers l’arrière. Il m’arrachait un couinement de surprise et un gémissement de douleur sous son geste brusque. Je le regardais un bref instant dans les yeux, le suppliant du regard de me lâcher avant de détourner les yeux aussitôt pour qu’il ne prenne pas cela pour une preuve de provocation. Il n’avait pas l’air d’être dans un jour de bonté. Avait-il passé une journée si désagréable que cela ? Je ne répondis pas à ses questions, car au fond, il n’attendait pas réellement de réponses. Il avait même l’air de les connaitre déjà. Je manquais de trébucher alors qu’il me poussait sous l’eau qui fouettait mon visage. J’attrapais le savon qu’il me lançait tant bien que mal. Je faillis le lâcher tellement il glissait, mais je me concentrais pour ne pas le faire tomber. Je me mis à me savonner activement, passant sur tout mon corps, ne comprenant pas vraiment pourquoi il s’entêtait à dire que j’étais sale. Ce regard froid et distant qui ne cessait de me fixer et de me juger me faisait mal, me transperçait comme une lame en plein cœur. Il m’accusait de quelque chose dont je n’avais même pas conscience. Je grimace de douleur alors qu’il entreprend de me frotter à vif avec cette fleur de douche que je ne verrais plus de la même façon. Je me tiens au demi mur de la douche, pour supporter ce qu’il m’infligeait, sentant ma peau rougir et se griffer sous son nettoyage actif. Et alors que je pensais le calvaire terminé, il ne faisait que commencer. Il m’arrachait un nouveau cri alors que l’eau froide… glaciale me fouettait le corps. Il avait ce sourire malsain sur le visage alors qu’il me rinçait en visant volontairement mon visage pour me faire taire. La surprise me fit boire la tasse et je me mis à tousser, cherchant de l’air. Je me recouvris le corps de mes bras en espérant que ca me réchaufferait un rien, mais j’étais trempé jusqu’aux os et la température de l’eau devenait intenable. Je lui jetais un nouveau regard suppliant d’arrêter cela, mais ne prononçait aucun mot, sachant qu’il me le ferait payer aussitôt en faisant le contraire. Il ne me laissait pas le moindre répit qu’il m’attirait déjà à lui. « Ce n’est qu’un ami … je te jure qu’il n’y a rien eu d’autre. » C’était la pure vérité. Je ne couchais pas avec lui. Il était déjà arriver que nous nous embrassions, mais c’était un coup de folie d’une soirée un peu trop arrosée. Le ton de ma voix était à peine audible comme si je m’attendais à recevoir une nouvelle claque. J’exécutais les nouveaux ordres qu’il me donnait, grelotant à sa suite. Mes bras toujours enroulés autour de mon corps, je tremblais avançant lentement. Je me mis à m’essuyer active. Ca me réchauffait. Un peu. Je m’approchais ensuite vers son armoire, zieutant vers les gros pulls. Cependant, je savais qu’il me préférait nu sous un de ses t-shirt, m’imprégnant d’une certaine manière de son parfum. J’attrapais un de ses t-shirts trop large pour moi et l’enfilais. Je me regardais dans le miroir et attrapait une de mes lingettes démaquillante enlevant les trainées noirs sous mes yeux. Une fois le tout fait, je vins le rejoindre dans le canapé où je pris place dans un des coins. Je tremblais encore. J’avais froid. Je ramenais mes jambes contre moi et passait le t-shirt par-dessus ceux-ci, cherchant simplement à réchauffer alors que mes cheveux étaient encore mouillé. Je n’osais lui adresser à nouveau la parole, de peur de faire plus mal que bien et de m’enfoncer un peu plus dans ma faute. Alors j’attends seulement qu’il me fasse part de ses ordres, de ce qu’il attendait vraiment de moi…
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Jeu 21 Jan - 21:08 Citer EditerSupprimer
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J’aimais ça la voir soumise, la voir apeurée, parce qu’elle sait que je suis celui qui domine. J’aime ça voir son visage si triste et si inquiet de ce qui pourrait se passer dans mon esprit. Parce que j’aime ça, la voir presque suppliante, perdue, effrayée à l’idée que je puisse être son bourreau d’un soir. D’une vie. Je l’ai connu alors qu’elle n’était qu’à l’aube de sa vie d’adulte, une adolescente fêtarde et si naïve. Encore aujourd’hui. Je fume ma cigarette en recrachant la fumée par le nez. Je l’observe, à la dérobée, suivant la courbe de son visage et imaginant la ligne de ses lèvres. Ses lèvres que je connais par cœur. Que j’ai l’habitude d’embrasser et de martyriser à mon gré. Je lorgne sur ses jambes qu’elle cache pourtant sous mon t-shirt et je fixe le galbe de ses fesses qui souligne ses formes que j’aime tant. Je reste silencieux, dans le seul but de faire monter la pression. Je la fixe, sans rien dire, ne laissant rien paraitre dans mon regard. Ni ce que je pense, ni même mon humeur ou mon état d’esprit. Je la fixe, en tirant des lattes sur ma cigarette pour la consumer entre mes doigts. « Je dois retourner à l’appartement ce soir. » Celui de mon frère, elle comprendra. Je fixe sa réaction parce qu’elle sait, elle sait que si je retourne à l’appartement alors que je suis chez moi c’est que je suis seule avec Lin. Elle sait que si je suis avec Lin je vais tout faire pour partager son lit. Elle sait aussi que j’aime ça et que je ne m’en cache pas. Mais j’agis ainsi juste pour lui faire de la peine, juste pour qu’elle ressente elle aussi de la jalousie, j’ai juste envie de me venger et de faire passer cette boule dans mon ventre. C’est puéril, immature et gamin. Mais j’ai les nerfs et je suis agacé qu’elle puisse prendre autant de liberté. Je ne me penche que de temps en temps pour faire tomber les cendres de ma cigarette dans le cendrier. Je ne la quitte que rarement des yeux et fini par écraser mon mégot en raclant ma gorge. « J’ai soif. » Le silence que j’ai imposé avec mon regard me fait jubiler et je n’ai besoin de prononcer que ces mots pour qu’elle m’obéisse. « Quand tu reviens, montes sur la table et danse pour moi. » J’avais envie de la voir gêné, qu’elle se sente un peu humilié aussi. Mais je voulais qu’elle se souvienne qu’elle aimait me faire plaisir, je voulais qu’elle se souvienne qu’avec moi elle pouvait prendre son pied, et surtout, que je pourrais la rendre heureuse si elle arrivait à me mettre de bonne humeur. Je fixe un instant mon t-shirt et fini par lui lancer « Et du compte déformer mon t-shirt encore longtemps ? T’as aucun respect pour les affaires des autres ? » J’ai le culot de parler de respect, pourtant elle sait Dambi. Elle est ma chose, mon trésor, ma merveille. Elle est à moi. Qu’importe les autres, aucune ne pourrait avoir sa place, comme jamais elle ne pourra avoir la place de Dambi. Elle m’appartient et quand bien même je ne la possède que quand l’envie m’en prend, elle reste mienne. L’aurait-elle oublié ? Un léger sourire sadique ourle mes lèvres alors que je m’avachie un peu plus dans mon canapé, poussant un soupire de fatigue.
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Sam 2 Avr - 3:32 Citer EditerSupprimer
Le retard est un manque de discipline +18
Bom Chan & Dambi
Loft de Bom Chan
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J’étais toujours recroquevillée dans un coin du canapé, grelottant sous son t-shirt trop grand pour moi. Je restais silencieuse, attendant que Bom Chan dise quelque chose. Secrètement, j’aurais aimé qu’il fasse preuve de douceur avec moi, comme dans ces moments, à la dérobé, où il venait se réfugier dans mes bras pour dormir comme on le ferait avec une peluche. J’aurais aimé qu’il me sèche les cheveux comme l’aurait fait mon frère ou ma sœur. Ou bien même le voir s’inquiéter pour moi ne serait qu’un petit peu en me voyant si grelotante et me dire d’aller enfiler un de ses gros pulls. Mais les pulls, ca cachait les courbes. Ce n’était pas sexy. Beaucoup de choses que j’aurais aimé, mais qui était impossible avec lui, et je l’avais appris à mes dépends… depuis, je me tenais tranquille, attendant simplement qu’il décide quoi faire de moi alors qu’il m’avait appelé. Et ce silence qu’il m’imposait pour me montrer à quel point il était furieux contre moi était intenable. Il me faisait peur. Il m’angoissait. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. Ou peut etre un peu… Puis, sa voix raisonna soudain dans la pièce, me faisant sursauter. Je m’étais trop habitué au calme, je crois. L’appartement… Pourquoi m’en parlait-il soudainement ? la seule raison pour laquelle il pourrait me le faire savoir, c’était qu’il avait cette nouvelle femme sur qui il avait mis le grappin. La fiancée de son frere si je me souvenais bien. Il n’en avait que pour elle en ce moment. Ce qui voulait dire que si il m’avait appelé alors qu’il avait rendez-vous avec elle dans peu de temps, c’était qu’il allait faire vite… et que j’allais surtout prendre cher… je déglutis péniblement alors que je le regardais sous mes mèches trempées qui me collaient à la peau de mon visage. Et il sait que malgré tout, malgré tout ce qu’il me fait subir, malgré tout sa façon de me traiter, malgré tout, je tenais à lui, et je n’arrivais pas à lui désobéir ou à lui tenir tête. Inha me parlait souvent de l’amour. Et que parfois, on pouvait être jaloux. Était-cela ? Était-ce amoureux de Bom Chan sans même m’en rendre compte ? Mais l’amour que le wonzu m’avait décrit avait l’air si beau et si doux, si lumineux … Les allures que le citiz me montrait était bien plus sombres et malsains que le monde parfait auquel je m’étais surprise à rêver. D’une certaine manière, j’enviais cette femme d’attiser tant son intérêt, ce qui me rendait penaude. Et d’un autre, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle ne serait qu’une passade, comme toutes les autres. Il avait fini par donner ses ordres. Il était clair et net. N’hésitant qu’une seconde, je baissais les yeux, me redressant pour me diriger vers le frigo. J’en profitais pour me réchauffer un peu. Bouger, ça faisait du bien. J’attrapais une bière que je décapsulais. Je passais mettre de la musique en fond avant de lui ramener la bouteille, la posant sur l’accoudoir de son côté gauche. Pas trop douce pour ne pas s’endormir. Quelque chose qui bouge sur lequel je pourrais bouger. J’enjambais ensuite ses jambes pour grimper sur la table basse. Pied nu, je commençais à me déhancher au rythme de la musique. D’abord lentement, encore timide malgré la situation. Puis, plus les notes avançaient, plus je pris confiance et j’ondulais dans des poses plus sexys les unes que les autres. Si il y avait eu une danse de pole dance, sans doute aurais-je pu lui faire tout un show bien plus impressionnant. Et ma crinière blonde décoiffé, me donnait un air plus sauvage, presque indomptable. Enfin, juste d’apparence, car il savait qu’il m’avait déjà mis en laisse et que je lui appartenais. Apres de longues minutes à bouger ainsi, je descendis de la table, prenant une démarche féline pour grimper sur le jeune de façon à me retrouver à califourchon sur lui, continuant à bouger. Tantôt ma poitrine frottait son torse, tant mes fesses bougeaient sur ses cuisses. Toujours je prenais soin que mes mains ne le touche pas sans avoir eu son accord au préalable. Il me donnerait le feu vert, seulement quand il l’aurait décidé…
J’étais toujours recroquevillée dans un coin du canapé, grelottant sous son t-shirt trop grand pour moi. Je restais silencieuse, attendant que Bom Chan dise quelque chose. Secrètement, j’aurais aimé qu’il fasse preuve de douceur avec moi, comme dans ces moments, à la dérobé, où il venait se réfugier dans mes bras pour dormir comme on le ferait avec une peluche. J’aurais aimé qu’il me sèche les cheveux comme l’aurait fait mon frère ou ma sœur. Ou bien même le voir s’inquiéter pour moi ne serait qu’un petit peu en me voyant si grelotante et me dire d’aller enfiler un de ses gros pulls. Mais les pulls, ca cachait les courbes. Ce n’était pas sexy. Beaucoup de choses que j’aurais aimé, mais qui était impossible avec lui, et je l’avais appris à mes dépends… depuis, je me tenais tranquille, attendant simplement qu’il décide quoi faire de moi alors qu’il m’avait appelé. Et ce silence qu’il m’imposait pour me montrer à quel point il était furieux contre moi était intenable. Il me faisait peur. Il m’angoissait. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. Ou peut etre un peu… Puis, sa voix raisonna soudain dans la pièce, me faisant sursauter. Je m’étais trop habitué au calme, je crois. L’appartement… Pourquoi m’en parlait-il soudainement ? la seule raison pour laquelle il pourrait me le faire savoir, c’était qu’il avait cette nouvelle femme sur qui il avait mis le grappin. La fiancée de son frere si je me souvenais bien. Il n’en avait que pour elle en ce moment. Ce qui voulait dire que si il m’avait appelé alors qu’il avait rendez-vous avec elle dans peu de temps, c’était qu’il allait faire vite… et que j’allais surtout prendre cher… je déglutis péniblement alors que je le regardais sous mes mèches trempées qui me collaient à la peau de mon visage. Et il sait que malgré tout, malgré tout ce qu’il me fait subir, malgré tout sa façon de me traiter, malgré tout, je tenais à lui, et je n’arrivais pas à lui désobéir ou à lui tenir tête. Inha me parlait souvent de l’amour. Et que parfois, on pouvait être jaloux. Était-cela ? Était-ce amoureux de Bom Chan sans même m’en rendre compte ? Mais l’amour que le wonzu m’avait décrit avait l’air si beau et si doux, si lumineux … Les allures que le citiz me montrait était bien plus sombres et malsains que le monde parfait auquel je m’étais surprise à rêver. D’une certaine manière, j’enviais cette femme d’attiser tant son intérêt, ce qui me rendait penaude. Et d’un autre, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle ne serait qu’une passade, comme toutes les autres. Il avait fini par donner ses ordres. Il était clair et net. N’hésitant qu’une seconde, je baissais les yeux, me redressant pour me diriger vers le frigo. J’en profitais pour me réchauffer un peu. Bouger, ça faisait du bien. J’attrapais une bière que je décapsulais. Je passais mettre de la musique en fond avant de lui ramener la bouteille, la posant sur l’accoudoir de son côté gauche. Pas trop douce pour ne pas s’endormir. Quelque chose qui bouge sur lequel je pourrais bouger. J’enjambais ensuite ses jambes pour grimper sur la table basse. Pied nu, je commençais à me déhancher au rythme de la musique. D’abord lentement, encore timide malgré la situation. Puis, plus les notes avançaient, plus je pris confiance et j’ondulais dans des poses plus sexys les unes que les autres. Si il y avait eu une danse de pole dance, sans doute aurais-je pu lui faire tout un show bien plus impressionnant. Et ma crinière blonde décoiffé, me donnait un air plus sauvage, presque indomptable. Enfin, juste d’apparence, car il savait qu’il m’avait déjà mis en laisse et que je lui appartenais. Apres de longues minutes à bouger ainsi, je descendis de la table, prenant une démarche féline pour grimper sur le jeune de façon à me retrouver à califourchon sur lui, continuant à bouger. Tantôt ma poitrine frottait son torse, tant mes fesses bougeaient sur ses cuisses. Toujours je prenais soin que mes mains ne le touche pas sans avoir eu son accord au préalable. Il me donnerait le feu vert, seulement quand il l’aurait décidé…
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Re: Le retard est un manque de discipline - Bom Chan | Mer 6 Juil - 13:41 Citer EditerSupprimer
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