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HWANG TASYR ✎ Long live the king

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HWANG TASYR ✎ Long live the king | Sam 23 Aoû - 3:50
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Hwang Tasyr
get out, impostor. The real king is back.

#AMBITIEUX
#COLÉRIQUE
#PERSÉVÉRANT
#ÉGOÏSTE
#RUSÉ
#ATTENTIF
#JALOUX
#AFFECTUEUX
#DÉLOYAL
#TENDRE

NOM : Hwang. Sans originalité, voyez par vous même. PRÉNOMS : Tasyr marwane joshua. C'est ridicule. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 18 ans, né le onze novembre. ORIGINES : Syriano-coréennes. ça par contre, c'est plus atypique. NATIONALITÉ : Syrienne. J'ai pas encore pu chopper la coréenne, mais c'est qu'une question de temps. CLASSE SOCIALE : Pauvre souvent, très pauvre parfois. Je suis boursier, mais ça paye pas tout. Pas grand chose même. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Hm. Noonasexuel précisément. Et c'est pas parce que j'ai touché la queue d'un de mes potes ni même parce que je lui ai roulé une pelle que ça change quelque chose, soyons d'accords. CURSUS UNIVERSITAIRE : Etudiant en médecine. MÉTIER : Facteur à la digital city, c'est vraiment chiant. Code du règlement : henka je t'aime.


“ Rumour has it : On dit qu'il ne mange pas de porc (vrai)+ On dit qu'il est masochiste et accro à la douleur (vrai) + On dit qu'il est un homosexuel refoulé (faux) + On dit qu'il s'est déjà tapé l'infirmière de Yonsei, Mika (vrai) + On dit que la seule chose qui le fait trembler sont l'orage et les feux d'artifices (faux) + On dit qu'il nourrit secrètement les chiens devant la Digital City (faux) + On dit que son cousin ne le laisse pas indifférent (vrai)+ On dit qu'il entretient une relation avec la plus jeune de ses professeures qui lui vaut de bons résultats (faux)+ On dit que toutes les cicatrices et marques sur son corps viennent de son père (faux) + On dit qu'il a des tendances anorexiques (vrai).

“ Caractère :
Tasyr est un jeune garçon qui n'a pas d'ambition. Il vit confortablement chez son père, et même si les sous ne sont pas ce qui tapent en premier à l’œil, il ne manque de rien. Peut-il rêver d'une vie meilleure ? Toutes ses illusions se sont envolées lors de la guerre civile de Syrie qu'il a fuit il y a tout juste quelques mois. Sa mère est morte, les cicatrices parsèment le corps de l'adolescent, les hématomes sont nombreux dans sa mémoire. Il n'a pas d'espoir, pas de rêve. Il ne croit même pas en son avenir. Il étudie, comme un fou, il est numéro un partout : cela lui donne une excuse pour ne pas sortir, pour ne pas être poussé dehors. Il parle peu, préfère agir. Certains le pensent muet, mais on découvre vite que c'est ainsi qu'on le préférait. Chien enragé, il n'a pas d'attaches, n'aime pas en avoir. Mais malheureusement pour lui, il souffre du syndrome de Cœur d’artichaut, et se mure tout seul dans ses émotions. D'apparence, Tasyr est le lycéen modèle, parfait, un peu froid et distant. Le chiot blessé pour qui beaucoup craquent, mais qui ne sort jamais. Et pourtant. Tasyr est aussi connu sous le pseudonyme de Tazmania. C'est ainsi qu'on l'appelle dans le monde de la nuit. L'adrénaline de la guerre coule désormais dans son sang, et l'a fait couler. Il a besoin de plus, pour s'amuser. Il fréquente assidûment les fêtes et les soirées, les débauchés et les drogués. Il craque pour les femmes plus âgées. C'est un tombeur avec une bouille de bébé. Trafiquant de drogue un temps, c'est ainsi qu'il se sentait exister : lorsqu'il se met en danger. Aujourd'hui, il ne le fait plus que pour dépanner, ou lorsque son job ne lui permet pas d'avoir à manger. Que ce soit Tasyr ou Tazmania, il est rancunier, et débordant d'imagination.
Un peu à la façon d'un bébé dogue allemand, il est imposant, maladroit, violent et pataud. Mais si on outrepasse ceci, qu'on n'a pas peur de se faire mordre, il est capable de tendresse et d'attention. Il suffit de savoir le brosser dans le sens du poil, et ça, c'est loin d'être gagné.

“ Once upon a time :
La mère de Tasyr est bridée. Mais elle porte le voile.
Le père de Tasyr est un lâche. Mais la lâcheté a parfois du bon.
Tasyr est né en Syrie, et autrefois, ça n'était pas si mal.

Ses parents viennent de l'archipel de Jeju, en Corée du Sud, mais le métier de journaliste a donné la possibilité à Mi Ran de rejoindre sa famille en Syrie. Pour eux, elle est métisse. Les voisins disent que c'est une bâtarde. Le couple s'est installé à Damas, Tasyr y est né.

Il est souvent à l'écart. Trop différent pour être apprécié, mais trop similaire pour rester impassible toutes ces années : il est bridé. Beaucoup le sont, mais il fallait un loup sur lequel la pierre pouvait être jetée. Tasyr s'enferme dans sa chambre, il étudie studieusement. La maîtresse dit qu'il a les capacités, mais qu'en faire lorsqu'on n'est pas accepté ? Sa mère l'exaspère, elle est autoritaire, souvent elle déraille, mais elle est la seule à se soucier de son avenir : le chef de famille a mis les voiles. Ce pays lui donne envie de vomir. Mi Ran le voit avocat, ou policier. Certainement pas dans la Mafia. L'Italie, c'est malfamé. Elle le confine dans des rêves qu'elle lui fait croire siens. Après tout, le gouvernement, c'est la future carrière numéro un.

Tasyr n'a pas de rêve. Il est comme un oiseau à qui on aurait brûlé les ailes. Il veut a big house, big cars and big rings. Mais au fond il le sait, he doesn't have any big dreams ! Il étudie. Il va à la bibliothèque. Finalement il se fait des amis : ce sont tous des intellos à lunettes. Il écoute maman, il est encore son enfant. Il aura un jour droit de décisions. Mais seulement lorsqu'il aura quitté la maison.

Tasyr ne comprends pas ce qui l'entoure. Il ne s'est jamais intéressé à la politique, il ne comprends pas ces gens qui donnent jusqu'à leur vie. Les télés ne semblent plus connectées que sur une seule chaîne internationale, c'est lourd. Le quinze mars 2011. Il aurait aimé fuir avant de ne voir tout se détruire. Les jours passent lentement, et s'empirent. Il ne sait pas pourquoi les gens sortent et crient, plus personne ne ressent l'envie de rire. La vie se détériore : c'est la guerre en Syrie.

Il est intelligent, il a de bonnes idées, mais parfois il est rattrapé par sa naïveté. Il ne cherche pas même à comprendre les protestations et l'armée qui défile dans la rue, ces partis politiques qui se mettent à nu. Tyser s'arme de sa caméra et s'enfonce dans la rue sous les éclats de verre qui jonchent le sol, les blessés qui geignent : il aimerait perdre la vue. Ses deux amis marchent derrière lui. Il veut faire un reportage et l'envoyer à l'ONU, bien qu'il ne sache pas comment s'y prendre. Il veut dénoncer cette injustice.

Ses bras sont attachés derrière une chaise. Son torse imberbe et juvénile se soulève. Il ressent ce malaise. Le sang coule sur sur sa peau et s'écrase sur le sol avec autant d'aisance que l'eau. Il s'est fait attraper par le parti ennemi. Il va servir d'exemple à ceux qui ne se décrètent soumis. Ses cris sont enregistrés tandis que sa propre caméra se voit obligée d'être braquée sur ses amis égorgés. Il ferme les yeux, qu'on le force à rouvrir. Il voit des choses qu'il ne devrait pas voir, ressent des choses qu'il ne devrait pas ressentir. Il aimerait être aveugle. Ou mort. Il n'a que quinze ans quand le poignard s'enfonce dans sa chaire. Et pourtant il ne leur en veut pas. Il sait qu'il aurait fait la même chose à leur place : il l'a compris en voyant ces fusils de chasse viser les hommes. C'est la guerre en Syrie.

Tasyr ne sait pas comment il a fait pour se retrouver là. Il ne sait pas non plus comment il s'en est échappé. L’hélicoptère le conduit à l’hôpital, mais il n'est pas même sûr de vouloir qu'on le soigne. Il en a trop vu, trop entendu. Tasyr ne dit pas un mot. Il aurait arrêté sa respiration s'il n'était pas aussi lâche. Il ne sait pas ce qu'on fait de lui, ce qui l'attend, et il s'en moque. Il se moque de tout. Les hématomes parsèment sa peau, les cicatrices l'enlaidissent. Il lui faudra supporter ceci le reste de sa vie. Un enfant avec des problèmes d'adulte. He doesn't have any big dreams.

A nouveau des tirs. Il s'est fait à cette routine. Il sait que son pays est en guerre. Tasyr a perdu sa mère voilà quatre mois de cela, en 2013. Il ne va plus à l'école, il s'engage dans des groupes de résistances syriens. Il brûle les voitures avec les siens. Les orphelins. Que peut-il faire de plus ?

Fin juillet, il ne comprend pas. Il est embarqué. Mais il s'y fait : voilà près de trois ans qu'il ne comprends plus. Il reconnaît cet homme qui a fuit au début de sa vie, il y a une dizaines d'années, et le juge d'un regard de chien enragé, l'accusant silencieusement de tous ses malheurs. C'est l'anniversaire de la mort de sa mère, ce même jour.

Il a du mal à s'adapter à la vie asiatique. Il ne parle pas, ne sort pas, et ce pendant un mois entier. Son père l'a sorti de ce mauvais pas, n'a pas été remercié. Tasyr a repris les études, pour la mémoire de sa mère. C'est un élève excellent, mais il manque d'ambition. Il s'en moque, il travaillera au gouvernement. Il vit confortablement, s'il ne rêve pas, personne ne lui dit rien. Il mène une double vie, il cherche constamment à se détruire pour se rappeler de l'adrénaline de son pays d'origine. Il a le mal de la Corée. Tous ces gens calmes et carrés. Derrière sa moyenne digne d'un prodige se cache un Tasyr sur lequel les avis mitigent. Trop angélique et blessé pour être normal. Trop muet pour être banal. Trop enragé pour être jovial. Plus tard, il intègre Yonsei, une école prestigieuse, grâce à une bourse d'études. C'est tout juste si celle-ci lui permet de survivre au dortoir.

Sa mère est morte en portant le voile.
La lâcheté de son père lui a permis de fuir le pays.
Tasyr est syrien, il a connu le mal.
Tasyr est encore un enfant, dont on a détruit la vie.
Il n'a pas d'ambition, pas de rêve,
C'est tout juste s'il ne veut pas mourir avant que le soleil se lève .
Ou alors c'est ce qu'il fait croire,
Pour ne pas qu'on voit qu'il cause du tord dans le noir.

Luan / Luciole
You're not the boss of me now
Luan de mon vrai prénom, rpgiste depuis un moment malgré de nombreuses pauses et fière de la concrétisation plutôt rapide de ce projet. Trop bonne trop conne comme disent certains, je compte malgré tout pas me faire marcher sur les pieds. Mon skype est Costaluan45, pour ceux qui sont intéressés. Sinon, ceci est mon smiley et je l'aime  🇪🇪 . keur. Il est tard, faut pas m'en demander trop.

“ Help from my friend :

JEONG JUNGKOOK (BTS) ✎ hwang tasyr
Code:
[url=http://shaketheworld.tropfun.net/u5][b]▲[/b][/url]▼ <taken>JEONG JUNGKOOK (BTS)</taken> ✎ hwang tasyr
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Sam 23 Aoû - 10:57
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keur  :cute: 
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Sam 23 Aoû - 15:30
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HWANG TASYR ✎ Long live the king Coeur-5 HWANG TASYR ✎ Long live the king Coeur-5 HWANG TASYR ✎ Long live the king Picto-palmier-42a25d
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Sam 23 Aoû - 20:40
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Lun 1 Juin - 19:10
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Je veux t'emmerder alors je vais parler en anglais :y:
First i love you we look so gay together no matter what your butt is the gloriest
I will thump your cookie :hum:
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Lun 1 Juin - 19:15
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jvais tellement te tuer.
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | Lun 1 Juin - 19:15
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ah non '-'
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Re: HWANG TASYR ✎ Long live the king | 
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