Les clichés voudraient que Pyobeom ait à sa tête une poupée capricieuse dénuée de tout sens des responsabilités, mais favorisées par de bons contacts. C’est pourtant à ses résultats et à son attitude que leur présidente doit sa place : bons résultats, attitude distinguée, implication au sein des clubs… l’étudiante modèle, en somme. Elle prend d’ailleurs très à cœur l’image de son groupe et est un peu trop sur le dos de ses membres, au goût de certains, mais qu’on ne s’y trompe pas : elle n’est pas pour autant psychorigide. Au contraire, son implication dans le nouveau projet la pousse à mettre un point d’honneur à placer les panthère à la tête du campus ; elle est parfois un peu réticente à l’idée d’oser outrepasser le règlement, mais se laisse généralement influencer par sa vice présidente et finit systématiquement par mettre sa ruse au service des intérêts de la fraternité. Ces histoires de rivalité lui ont fait se découvrir un côté bitchie qu’elle ne soupçonnait pas ; elle prend sacrément goût aux mauvais coups et aux projets de groupe.