let's play a lov... sex game

malia & euigeon

tenue // tu aimes le risque que ce que tu as en tête amène. tu te fous bien de cette voiture. c’est une des nombreuses voitures que tu as acheté en flambant le pognon de ton paternel et celle-là, n’a aucune valeur à tes yeux. celle-là n’est qu’une voiture parmi tant d’autres. ce n’est pas celle que tu chéris le plus. si tu avais eu ta toute première, peut-être que tu aurais réfléchi à deux fois avant de jouer à ce jeu dangereux. mais là, tu t’en moques. tu poses ta main sur la cuisse de lili, te délectant des réactions de la jeune femme, de la frustration qu’elle doit ressentir à ce moment précis alors que tu joues avec elle, l’effleurant simplement sans jamais la toucher réellement, sans jamais lui donner ce qu’elle souhaite. tu sais que ce n’est pas forcément une bonne idée, qu’elle devrait rester concentrée sur la route en face d’elle, mais ça te plait trop pour que tu arrêtes. tes doigts sont aussi doux et légers qu’une plume et tu souris en la sentant presque te réclamer. et puis tu cherches à la taquiner, à l’énerver peut-être, à ce qu’elle se rebelle un peu, te cherche. du coup, ta phrase sur les femmes qui conduisent bien au volant, n’est simplement qu’un moyen de tirer sur la corde. tu sais qu’elle va réagir et sa réaction ne se fait pas attendre. tu ris légèrement quand elle te regarde quelques instants avant de reporter son attention sur la route et qu’elle t’explique que tu es la raison pour laquelle elle roule très mal ce soir et que les hommes sont plus sujets à des accidents que les femmes. tu ris une nouvelle fois avant de poser ton regard sur le profil de la jeune femme. « tu sais pourquoi ? parce que c’était des femmes en face. » tu la titilles encore, joues avec le feu mais ça t’excite de la voir prendre la défense de la cause féminine. tu l’as deviné, elle est féministe malia. c’est une femme indépendante qui n’a besoin de personne et encore moins d’un homme. et pourtant, tu es là. elle ne le sait peut-être pas mais tu serais prêt à mettre ta vie en danger pour elle, sûrement parce que tu es plus attachée à lili que tu ne veux bien le montrer ou le croire toi. t’essaies encore de te convaincre que tu n’as pas besoin de la jeune femme. mais c’est faux, et encore plus depuis que tu as goûté à son corps. vous vous complétez sexuellement parlant et ça te convient. d’ailleurs, tu viens une nouvelle fois la taquiner en passant ta main près de son entrejambe pour la stimuler un peu plus. mais tu ne la touches toujours pas, tu la caresses légèrement pour attiser le feu entre ses jambes. et lorsque tu t’approches un peu plus de ses lèvres inférieures, tu viens lui glisser à l’oreille ce que tu souhaites. tu veux qu’elle se tortille de plaisir pour toi et qu’elle te réclame, qu’elle te supplie. tu laisses ton nez dans ses cheveux pour qu’elle sente ton souffle sur sa peau, souffle qui devient un peu plus erratique lorsqu’elle te demande ce que tu comptes faire si elle te désobéit. cette idée fait gonfler le sang dans ton membre, le coinçant contre la paroi du tissu de ton pantalon. qu’elle te résiste, qu’elle joue avec toi ça t’excite plus que tu ne le voudrais et un sourire carnassier s’affiche sur tes lèvres alors qu’elle continue, parlant de punition. tu as une vision de lili à quatre pattes et toi entre ses cuisses, lui donnant tout le plaisir qu’elle veut, avant de la laisser en plan au moment d’atteindre l’orgasme et ça de nombreuses fois. cette vision te fait te sentir encore plus à l’étroit dans ton jean et sans prévenir, tu viens pincer son bouton de chaire entre tes doigts avant de le faire rouler, toujours en l’écrasant entre la pulpe de ton index et ton pouce. tu sais que c’est dangereux, que tu joues avec le feu et que vous risquez d’avoir un accident à cet instant. mais tu t’en moques un peu. pour le moment, tu veux juste lui montrer à quel point tu vas la faire crier jusqu’à ce qu’elle te supplie de la laisser en paix, ou de la faire jouir. « tu ne sais pas de quoi je suis capable malia. » ta voix rauque résonne presque dans l’habitacle alors que la voix du gps indique que vous êtes arrivés à destination. tu appuies sur le bouton de la télécommande pour ouvrir le parking souterrain tout en continuant ta douce torture entre les jambes de la jeune femme. tu sais qu’elle doit lutter pour garer sa concentration. « place 26. » que tu lui annonces alors qu’elle avance dans le parking éclairé seulement par des néons. tu ne te soucies plus de la route maintenant, toutes tes pensées sont tournées vers lili. et alors que tu joues toujours avec son bouton, tu sens la voiture s’arrêter et le moteur se coupe. t’en profite pour venir butiner son cou alors que tu pinces de plus en plus fort. le démon que tu gardes en cage depuis des années est prêt à ressortir à n’importe quel moment. tu te sens prêt à la dévorer toute crue, mais elle, est-elle prête à faire face au véritable eui geon ? à celui que tu cachais à na rae puisqu’elle n’aimait pas le sexe ? t’en sais rien et t’as bien envie de le découvrir. alors, de ton autre main, tu joues avec son entrée quelques instants avant d’introduire un premier doigt en elle. ça rentre facilement parce qu’elle est mouillée pour toi et t’aimes cette sensation. un sourire satisfait s’empare de tes lèvres alors qu’un deuxième doigt rejoint le premier et tu commences des vas et viens aider par ton agressivité sur son clitoris. tu n’es plus aussi doux qu’au babylon, tu laisses le démon reprendre possession de toi petit à petit. et tu la sens commencer à se contracter autour de toi. et là, tu arrêtes tout. tes mains quittent son corps et ton regard plonge dans le sien, toujours ce sourire satisfait et moqueur sur les lèvres. « et maintenant qu’est-ce que tu vas faire ? » un défi que tu lui lances. est-ce qu’elle le relèvera ? t’es persuadé que oui. elle voudra te rendre coups pour coups ce que tu lui as fait et ça t’excites d’avance.