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Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood.

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Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 1:59
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Rey Luz
Le sourire, c’est l’arme ultime.

#Sociable
#Sang Chaud
#Extravertie
#Perfide
#Loyale
#Possessive
#Violente
#Deconneuse
#Envieuse
#Aime le risque

NOM : Rey. PRÉNOM : Luz. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 20 ans, 22/02/94 ORIGINES : Espagnoles. NATIONALITÉ : Espagnole CLASSE SOCIALE : modeste en Corée, Aisée chez les vieux. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro mais elle teste tout. CURSUS UNIVERSITAIRE : Langues étrangères MÉTIER : Elle va en chercher un. Code du règlement : Minaj dans les bubbles
TU VEUX T'INVESTIR? :Un jour peut-être mais là, de suite, non.
“ Rumour has it :on dit qu'elle aurait envoyé une fille à l'hosto (v)+ on dit qu'elle a été envoyée dans une maison de correction (v)+ on dit qu'en vrai, elle est possédée et qu'on arrive pas à l'exorciser (f)+ on dit qu'elle ne supporte vraiment pas les films d'horreurs (et c'bien vrai mais elle assume pas) +on dit qu'elle a plus d'amis mecs que filles (f) + on dit qu'elle est tellement folle qu'elle s'est faite refaire le visage pour ressembler à sa soeur (f) + on croit qu'elle a eu une relation avec son chef de section (f) + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage.on dit que son sourire peut tuer quelqu'un (qui sait).

“ Caractère :
J’vais être succincte parce que je trouve vraiment étrange le fait de se décrire soi-même surtout que je n’ai pas l’impression de me connaître. Je suis pas très chiante, j’accepte tout le monde du moment qu’on me respecte et qu’on me regarde gentiment. Fort heureusement, l’école militaire m’a calmée, la boxe m’aide à me réguler alors j’ai un peu moins tendance à me sentir agressée dès qu’on me regarde. Parfois c’pas contre quelqu’un en particulier, c’est juste que j’en ai besoin et que je sais pas contrôler. J’ai pas de difficultés à discuter avec d’autres – même si en Corée du Sud ça devient un peu plus compliqué – quand j’ai un avis je le dis, quand j’en ai pas, je le dis aussi. J’aime qu’on me fasse découvrir un tas de choses, voir les intérêts des autres me passionnent. Je suis ouverte d’esprits et pas du tout fermée à rencontrer du nouveau monde – même si l’on peut croire le contraire. J’aime pas qu’on me rejette, surtout si je suis sympa avec quelqu’un. J’comprends pas comment on peut m’rejeter, c’pas normal, ça s’fait pas. J’aime pas être effacée non plus. Etre remarquée, c’est bien. Avant je l’étais au collège parce que j’étais un caïd, à l’école militaire parce que j’étais l’une des meilleures, maintenant, en Asie, est-ce que mes gros yeux bleus m’aideront ? Tant mieux si c’est le cas. Je ne suis pas un fantôme, alors qu’on me regarde j’aime ça. Et si on le fait pas, alors je provoquerai les regards. Y a tellement de moyens de provoquer que j’aime utiliser, la séduction en fait partie. Mais y a aussi l’extrême, demande moi n’importe quoi, surtout si c’est risqué, mortel, débile, demande-le moi, je le ferai avec plaisir. J’aime quand je risque de m’exploser la tête, de m’ouvrir le crâne, de mourir connement, c’est ça qui fait le plaisir dans les sports extrêmes (je rêve de sauter d’un avion à des centaines de kilomètres de hauteur), dans les défis débiles (montrer mes nibars à un flic et filer toujours topless huhu). J’ai peur du vide, mais c’est ça qui rend le saut à l’élastique trépidant. On voit l’genre quoi. J’ai pas peur d’utiliser des moyens vicieux pour obtenir ce que je veux. Quand je veux, je fais tout pour obtenir et le refus brise mon équilibre. J’suis pas du genre à abandonner. J’pense sincèrement être une amie en or. J’ai besoin d’amis, de véritables, histoire que j’parte pas trop en couille puis, j’aime bien m’occuper d’eux. Je change pas de potes à tort larigot, et j’attends d’eux que ce soit réciproque. Puis voilà quoi, je deviens douce comme une peluche, tactile comme une masseuse quand j’suis avec un pote.

« J’ai longtemps côtoyé Luz et à vrai dire, je ne la cerne pas encore au jour d’aujourd’hui. Elle ne se veut pas mystérieuse, elle ne se donne pas d’air. Elle ne parle pas d’elle parce qu’elle juge qu’elle n’a rien à dire. C’est ce qu’elle me répondait à chaque fois que je lui demandais pourquoi elle ne se livrait pas. Elle ne doit pas comprendre qu’elle doit parler, elle ne doit pas s’en rendre compte. C’est pour cela qu’elle frappe, du moins, c’est mon avis. Elle pense autrement. Il lui manque la notion du partage. Elle est capable de vous écouter et réconforter, mais en retour, elle ne se livre pas, ne s’offre pas. Elle ne se considère pas comme un cadeau. On m’a souvent demandé comment j’ai fait pour la canaliser et à vrai dire, encore aujourd’hui, je réfléchis sur le sujet. Pourquoi j’ai réussi et pas d’autres ? Je crois qu’elle m’a choisi au hasard et bien plus, qu’elle fait tout au hasard, qu’elle parie sa vie sur le hasard. La seule chose pour laquelle elle ne laissera aucune place à la chance, sera la conquête de sa sœur, j’en suis convaincu, c’est le seul but qu’elle possède. Un jour, elle m’a posé cette question : « Est-ce que j’aurais dû la finir ? » J’ai compris que bien tard qu’elle me parlait de cette fille et je me suis alors rendu compte que dans la tête de Luz, c’est l’effusion de questions : elle ne cesse de réfléchir, de douter, de paniquer, comme un volcan prêt à exploser mais dont l’éruption n’est pas assez violente pour la libérer. Mais de ça non plus, elle n’en a pas conscience. C’est pour cela qu’elle a souri le jour où je lui ai dit qu’elle devait arrêter de chercher réponse à question qui n’en a pas. Luz ne se connaît pas et ne sait pas comment s’apprendre. J’étais et je resterai à jamais son chef de section néanmoins, j’ai l’impression de ne pas avoir accompli ma mission avec cette jeune fille perdue. »

Je suis le roi de la lumière. Digne de porter ce nom, tel est mon bon plaisir d'obtenir tout ce que je désire.

“ Once upon a time :
Si le sourire est le reflet du bonheur, alors j’ai fait de ce bonheur le plus pur des mensonges. Mon identité n’est perceptible pour personne et encore moins pour moi. Luz, prénom lumineux pour un être bien sombre. Et pourtant cette obscurité, je la vois si clair comparée à celle qui se trouve être… ma sœur. Toute ma vie, on m’a privée. Recevoir tel jouet, posséder tel gadget, c’était bien, c’était sympa jusqu’à que je sois apte à comprendre que les parents m’avaient privée toute ma vie. Jamais contente, j’en voulais toujours plus. Qu’est-ce qu’ils pouvaient m’offrir encore ? Si j’avais un jour demandé un château, l’aurais-je eu ? Certaine qu’ils auraient fait en sorte de me rapprocher le plus possible de mon souhait même si j’étais la fille la plus teigne qu’on puisse avoir. Mais ils m’ont privée, ces géniteurs, ils doivent payer.

J’étais jolie, je le suis toujours. Mon sourire est magnifique et beaucoup m’encerclaient parce que « je rayonnais ». Mais quand je souris, je suis pas honnête. Je me moque de toi. Je me cache, moi pourriture. A mes parents, je leur ai toujours souris, et jamais parlé énormément. A table, ils discutaient, débâtaient et me demandaient mon avis, mais je savais jamais rien, je haussais les épaules et mon sourire leur suffisait. Ils se disaient que j’étais taciturne, calme et sage. Mais il a bien fallut qu’un jour ils se rendent compte du remugle que je dégage.

Le collège c’était violent. Crochet, kick, coup de boule, giclée de sang. Je supportais plus rien, plus personne, mon sourire devenait un avertissement, mon poing le règlement. De plus en plus, mes mains en devenaient bleues, mon corps tâché. Mes parents voulaient prendre soin de moi, mais je voulais pas d’eux. Leur affection je la rejetais. Ils m’ont privée toute ma vie, ils doivent payer. Et si mes actes les paniquaient, les rendaient fous, alors c’est que j’accomplissais bien ma mission. De toutes manières, ça n’était pas comme si j’arrivais à contenir ça. Frapper, frapper jusqu’à que mes yeux soient aveuglés de rouge, ça en devenait obsessionnel. Je ne contrôlais rien. Fallait bien que ça dégénère, qu’il y ait un point de non-retour. Je voulais le rejet complet des géniteurs mais je savais pas comment faire, pire que des sangsues, mais quelqu’un a titillé mes pulsions, sur le coup ça a fait d’une pierre deux coups.

C’était un peu avant le lycée. Une nana s’est foutue d’un pote à moi. J’avais rien à voir dans l’histoire. Il a voulu que je demande des explications à cette fille, parce qu’il avait pas le cœur à la voir en face. Elle l’a trompée. J’suis allée la voir, elle a mal parlé, elle m’a énervée. J’ai frappé. Barbie est devenue laide, bleue et rouge. Je sais pas quand je me suis arrêtée ou plutôt comment et pourquoi. Elle était pas morte mais un coup de plus, et elle aurait plus respiré. J’suis pas un monstre, j’pouvais pas la laisser crever, alors comme j’ai pu j’l’ai transportée à l’hôpital. Elle a fait un coma de deux semaines environs. Les géniteurs en ont chialé. Leur fille unique a presque tué quelqu’un. Je sais encore pas, aujourd’hui, ce qui m’a poussé à arrêter de la frapper avant le coup fatidique. Elle s’est réveillée, elle a porté plainte et elle a envoyé quelques membres de sa famille s’occuper de moi. C’était plutôt amusant même si j’ai pas gagné. Y a avait du rouge et du bleu partout mais un peu trop sur moi. J’étais à l’hosto, mais j’tais plus forte que barbie, j’tais juste un peu cassée mais pas hors d’usage. Mes parents, déçus – et qu’est-ce que j’en avais à faire ? – et résignés m’ont envoyé dans une maison de correction militaire. J’avais enfin le rejet tant désiré. Ils avaient pas le droit de venir me voir et j’ai décidé de pas rentrer le week-end. Je devais bien être la seule à apprécier la discipline imposée par l’établissement. Je participais aux cours de boxe, ainsi je défoulais ses pulsions destructrices, j’avais un chef de section dur mais compréhensif qui m’a appris à exploiter cette colère incessante comme énergie. J’oubliais les géniteurs et cette privation, j’oubliais l’extérieur et être enfermée dans cette « prison » ne me dérangeais pas. Enfermée dans cette bulle cadrée, je me portais bien, j’ai intégrée le lycée militaire puis l’école militaire que me conseillait mon chef. Je voulais y rester, pour toujours. J’aurais dû devenir militaire…

Mais un jour, l’objet de ma privation est venu. Dans ma maison, chez les géniteurs c’est venu. Mon cœur s’est arrêté pendant toute la période où ça a vécu chez moi. J’tais plus apte à raisonner convenablement. J’comprenais plus rien. Ma privation, ma sœur était là. Rey Tara. J’comprends pas, pourquoi ils l’ont jetée, pourquoi ils m’ont gardée. Pourquoi pas l’inverse ? Pourquoi pas avoir jeté les deux ? Pourquoi pas avoir gardé les deux ? Pourquoi nous avoir séparées ? J’ai toujours été au courant, ils m’ont expliqué pourquoi ils l’ont fait adopté, j’ai toujours su dans quel pays elle vivait mais j’ai jamais osé la rejoindre. J’rentrais tous les jours de l’école –c’était pas si loin, je venais tous les week-ends. Je l’observais. Yeux bleus, teint pâle, cheveux bruns, ondulés, fines, élancées. Regard féroce. Elle voulait pas d’moi. Je supportais pas ça. Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour qu’elle me rejette ? Elle était là parce qu’elle virait mal mais pourquoi l’a-t-on envoyé ici, en Espagne, chez les géniteurs ? Pensait-on vraiment que ça allait la calmer ? Foutre un gosse dans une famille qu’il ne connait pas ? Les liens du sang ça change rien à ça. Elle veut pas d’moi mais je veux d’elle.  

Elle est repartie, toujours sans un mot pour ma part. Ca m’a énervée. Je quittais l’école pour elle tous les jours, j’venais lui parler ou du moins j’essayais, pour ça je la hais et je compte bien lui faire comprendre qu’elle devrait m’accepter. Et elle m’acceptera.

Une fois qu’elle est partie,  j’ai quitté l’école militaire. J’ai fait payer aux géniteurs un prof de coréen et j’ai appris comme je pouvais le peu de temps qu’il me restait avant d’embarquer pour la Corée du Sud. J’ai demandé tous les renseignements nécessaires aux parents. Ils n’avaient pas l’air enchantés de me voir à ce point butée sur le fait de vouloir retrouver Tara mais je leur avais promis de prendre en retour mes études au sérieux – puisqu’il faut savoir que le fait que je devienne militaire ne leur plaisait pas non plus. Ils paieraient mon loyer et j’ai fais en sorte de leur donner une fausse quittance qui sous-estimait le paiement. Je ne veux pas être dépendante d’eux. L’argent qu’ils me donnent est laissé sur un compte, je l’utiliserai si je suis vraiment dans la merde. Autrement, je travaillerai.

C’est ainsi que je suis arrivée dans ce pays qui m’est absolument inconnu, dont je ne maîtrise que partiellement la langue et encore moins les coutumes, à étudier une matière choisie totalement au hasard. Tout ça pour elle, et autant dire que ça m’énerve, faut qu’elle cède. Pour survivre dans cet inconnu, alors, je reprends mon arme favorite. Souris, Luz, souris.

Holystorm
La boudin de qualité supérieure
Azy on s'connait now, on s'kiffe, c'est suffisant :russe:
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.

POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
HOLLAND WILLA ✎ Rey Luz

Code:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 3:22
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BIENVENUE BEAUTEEEEEEEEE
Je te fais des bébés :hehe:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 3:24
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On s'connait toué et moué, awai ? :perv:
En tout cas t'es bien belle. Et t'as été trop rapide, j'peux même pas te dire bon courage et bonne refonte :boude:
Mais bon, je te fais quand même un bisou. ET HAVE FUN, c'est le principal :hot:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 3:27
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Si on fait des bébés ensemble, ils risquent d'être assoiffés de sang :y: j'aime ça :russe:

P'têt bin q'oui, Ptêt bin q'non Hoonie, mais l'inconnu c'trépident non? :y:
Merci beaucoup joli gnomme... Homme :hot:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 8:03
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Elle est là elle ? En plus vous lui envoyez de l'amour ? :russe:

Pas bienvenue. :russe: mais je t'aime quand même.
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 8:06
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Comme elle est trop méchante tara. :oo:

Moi je te :hot: :hehe: :hi: :hehe: :lick: :y: :y: :han: :plz: :06: :love: :love: :kool: :blink: :hug2: :bang2: :03: :lick: :y: :02:

Et bienvenue. Tu sais que je suis gfdlkhfdjlkmhfmjmhfJOIEnlgknhdflkhfdklEXTREME. Keur petit nem au poulet épicer assaisonné de crevettes à la sauce écrevisse. :y:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 12:13
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rebienvenue ma belle :hot: :hot: :hot:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 13:37
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rebienvenue d'après ce que j'ai compris :han: et awwww, une autre fratrie occi, rien ne saurait me faire plus plaisir :hot: #teamocci
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 13:42
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Ouais soeur et t'oses même pas imaginer ce que je te réserve :y:

et toi aussi Hee Jae mais c'dans un autre registre :russe: :y: :hehe: :lick: :bave: :bang2: :06: :han: :02:

Merci jolie Hara :hot: :hot: :hot:

Han je connaissais pas ta nana Reeva mais elle est trop belle *O* Merci et ouais vive la team occi èué
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | Ven 26 Déc - 14:54
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coucou bôté :hum:
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Re: Rey Luz - Please, don't let me be misunderstood. | 
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