sombre


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Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please.

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Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please. | Mer 18 Fév - 15:27
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Baeby I believe there's love in you, I'm more than innocent, but just take a chance and let me in ... You've be patient, and slowly I'm loosing faith ... so please ... I know you baby.

J’applique un peu plus de fond de tient sur mes côtes. Je grimace doucement. J’ai mal. Je ne pensais pas que la douleur serait aussi forte, aussi longtemps. J’appuie doucement avec mon éponge en espérant que ça fasse disparaitre l’hématome violacé. Le premier d’une longue lignée et je n’aurais jamais cru que mon geste me précipite autant vers le bas. J’ai cru que je pourrais m’en sortir toute seule, j’ai cru que je pourrais faire mes propres choix et réussir comme la grande fille que j’étais … Mais je dois bien me rendre à l’évidence que j’avais tort. Quand est-ce que je pourrais enfin comprendre que seule je fais toujours n’importe quoi ? Je soupire en me levant du lit. Je peine à fermer mon soutient gorge sans avoir mal et le moindre geste est douloureux. Tu l’as bien cherché. C’est vrai. Je le mérite. Mais j’aurais cru que je pourrais … enfin que j’aurais pu … mieux gérer. J’ouvre la porte de mon placard et en sort un pull blanc, court, je dénude mon ventre mais il est assez long pour cacher mon bleu. J’enfile un jean et pour une fois je mets des escarpins … Je regarde me reflet dans le miroir et je pince mes lèvres, j’avance doucement vers cette femme et frôle mon image du bout des doigts. Est-ce qu’elle pourrait lui plaire cette femme … ? Un voile de tristesse passe sur mes yeux alors que je détourne le regard. Je dois aller récupérer Faust pour Franklin. Je vais même pouvoir passer la journée avec ce petit cœur et en profiter pour faire un peu de ménage chez Bobby. L’arrivée de cet enfant à bousculer sa vie, la mienne aussi, la notre. Il n’a connu sa mère que si peu de temps, il est resté pourtant. Il est resté avec elle pendant tout le temps de la grossesse et je le voyais bien à son regard qu’il était mort de trouille … et c’est à ce moment là que je me suis juré de toujours faire mon possible pour le soutenir, pour l’aider. Francky a fait partit de ma vie d’aussi loin que je m’en souvienne … déjà petits nous étions proche, c’était maladroit, c’était parfois brutal mais c’était notre relation … On était un trio, aujourd’hui il ne restait plus que nous. Et jamais, non, jamais je ne l’abandonnerais. Je resterais pour lui, pour Faust, aussi longtemps qu’il aura besoin de moi. Ca me paraissait si logique et si … normal. Assise en face du petit garçon qui jouait au sol avec ses cubes je m’amusais à prendre des photos que j’envoyais sur le téléphone de Franklin. Allier son rôle de père et ses études n’est pas de tout repos. Des horaires de merdes, des cours qui le font rentrer tard et qui lui font rater le coucher de son fils. Un moment important où le petit réclame souvent son père. Je m’amuse à prendre des selfies avec le petit qui rit aux éclats et les envoies aussi à Franklin. Comme si je voulais lui faire prendre conscience qu’il peut partager avec nous ces moments, pour lui montrer qu’il nous manque et qu’on ne l’oublie pas. Et c’est à ce moment là que Faust, dans un élan de super héros s’accroche à la table pour se dresser sur ces deux jambes. Ce n’est pas la première fois qu’il le fait, mais c’est chaque fois une très grande fierté. Ce n’est pas mon fils … et pourtant. Mon téléphone en main j’appelle directement Franky en visio, pianotant rapidement un sms en même temps « Regarde ton fils ! » Je ris quand je vois le visage de bobby s’afficher sur l’écran. Il est caché, au fond de son amphi, un sourire niais aux lèvres alors que je tourne l’écran vers Faust. «  Faust regarde papa ! » le petit garçon tourne son visage vers le téléphone, debout, chancelant, il serre son poing vers l’écran pour faire coucou. Je craque, je craque complètement quand je les vois ainsi … Je souris tendrement avant de ramener le téléphone vers moi «  T’as de quoi être fière » murmurais-je au jeune homme avant de lui sourire tendrement « rentre vite bobby … on t’attend » je plaque une baiser sur l’écran avant de raccrocher. J’ai hâte qu’il rentre, j’ai souvent hâte qu’il rentre … ces derniers temps je vois Bobby différemment. J’ai besoin de lui, beaucoup plus que je ne voudrais me l’avouer. Je revois son visage dévasté quand j’ai débarqué chez lui couverte de bleu … c’était il y a déjà plusieurs semaines mais depuis il ne se passe pas un jour sans qu’on ne se voit, sans qu’il ne prenne de mes nouvelles. Sans que je ne ressente pas ce besoin de venir me réfugier dans ses bras … Faust me tire de mes pensées et je continue la soirée tranquillement en lui donnant à manger. Quand l’heure approche pour le retour de Franklin je me surprends à avoir le cœur qui bat la chamade et à lisser ma tenue. Tenue que j’ai inconsciemment choisit pour lui plaire … Ce jean que j’ai acheté en espérant qu’il me fasse de jolie fesses, ce pull qui me fait une plus grosse poitrine et mon ventre que j’ai dénudé en espérant être un peu plus sexy que d’habitude. Je veille à bien masquer mon bleu et m’affale dans le canapé en grimaçant alors que Faust grimpe sur moi pour s’allonger. Je le prends dans mes bras et lui met un dessin animé, dessin animé devant lequel on finit par s’endormir en attendant d’entendre ces coups de clés dans la serrure. Si cet enfant que je serre, endormi, contre moi est impatient de retrouver son père, je suis cette femme impatiente de retrouver cet homme qu’elle a finit par s’approprié au fils des jours ...


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Re: Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please. | Ven 6 Mar - 15:25
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En pleine rédaction des fiches d'arrêt, Franklin commence à somnoler. Pourtant, il s'accroche, malgré l'ennui palpable de l'exercice. Comprendre un arrêt de la cour de cassation, il y arrive. Mais quand son professeur s'amuse à leur pondre des sujets soporifiques, Francky s'emmerde. Là, sous ses yeux, il doit se mettre dans la peau d'un avocat et comprendre les motivations d'une certaine Marilyn Moreau qui veut changer son prénom, pour ne plus être assimilée à Monroe. Il a eu aussi le cas d'un certain Henri Poter et d'un Marc Vador. De son coude, il appelle son voisin pour lui montrer la blague qu'il a notée au sujet de Vador mais après un bref rappel du professeur, il se replonge dans ses fiches. Quatre fois de suite, c'est vraiment éreintant. Surtout que son esprit est un peu occupé entre ce qui se passe chez lui et ses cours ; son fils, la prunelle de ses yeux, qui accapare complètement son esprit. Et Bo Bae, aussi. Un peu. Beaucoup. Même s'il n'avoue rien. Même s'il ne se questionne pas. Parce que c'est sa meilleure amie, parce que c'est aussi celle de Shin. Il balaye ces idées de sa tête quand son portable vibre. Il s'attend à voir de nouvelles photos de Faust et Bobae mais cette fois-ci, c'est un appel en visio : il se dépêche de mettre ses écouteurs dans les oreilles et de se cacher le plus possible derrière ses fiches d'arrêt, les yeux scotchés sur l'écran de son téléphone. Sans s'en rendre compte, son regard s'illumine quand il voit son marmot se tenir debout et lui faire un coucou de la main. Son cœur se serre, de bonheur, d'envie aussi, parce qu'il aimerait être près d'eux et non coincé dans un amphi. « Rentre vite bobby… on t’attend. » Il hoche de la tête et la laisse raccrocher, son regard toujours rivé vers son petit bout de chou avant qu'il ne s'efface de l'écran. Complètement gaga de son propre rejeton. En se raclant la gorge, il range son téléphone et reprend ses fiches d'arrêt ; motivé à les terminer le plus vite possible pour sortir de-là et rentrer chez lui. Trois quarts d'heure plus tard, il se dépêche de tout fourrer dans son sac et de quitter l'université, même s'il aurait bien aimé passer au dortoir des bleus un peu – une prochaine fois. Obligé de prendre les transports en commun, il tente de ne pas s'endormir tant l'heure est déjà bien avancée. S'il avait une voiture, il serait déjà chez lui en quelques minutes… C'est qu'il n'a jamais vraiment quitté la misère, en fait. Toujours les mêmes dettes, toujours les mêmes problèmes financiers ; une voiture en plus, il ne pourrait vraiment pas se le permettre. Au moins, il a un appartement. Petit mais c'est l'idéal pour un père célibataire avec un seul enfant – heureusement que ses parents sont là pour remplir le frigo pendant les fins de mois difficiles. Les clés dans la serrure, il tente de ne pas faire trop de bruits et s'engouffre à l'intérieur. Son sac à terre, il se déchausse et s'avance vers les deux endormis sur le canapé. Un sourire attendri fleurit sur son visage à cette vue. C'est comme s'ils formaient tous les trois une famille. Mais c'est bien loin de la réalité. Et à cette pensée, son sourire se fane, avec un petit pincement au cœur. Il attrape son fils, qu'il tire vers lui doucement, tentant de ne pas les réveiller tous les deux. Faust dans ses bras, Franklin dépose un baiser sur son front et va jusqu'à la chambre de l'enfant pour le coucher. Après un dernier baiser, il retourne dans le salon pour s'occuper de son autre enfant. À peine la porte de la chambre franchie qu'il tombe sur une Bo Bae fraîchement réveillée et la tête dans le brouillard. Franklin lui sourit et referme doucement la porte derrière lui, et pose le babyphone sur une commode à côté. Ses bras viennent encercler ensuite le corps de sa meilleure amie, il repose sa tête sur son épaule. « Vous m'aviez terriblement manqué… » Souffle-t-il au creux de son cou, les yeux clos, profitant de cette étreinte comme si c'était la dernière. Ses bras se resserrent de plus en plus, il remarque enfin la tenue de sa Bae, surtout son ventre à découvert. « La journée s'est bien passée ? » Mais ses sourcils se froncent, lorsqu'il sent quelque chose sur ses doigts. En les regardant de plus près, Bae toujours dans ses bras, il remarque ce qui s'apparente à… du fond de teint. Il se détache finalement de Bae et la regarde attentivement. « T'es pas obligée de camoufler ça, tu sais. Surtout pas à moi. »
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Re: Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please. | Ven 20 Mar - 15:37
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Le froid qui me saisie me réveilla doucement. J’ouvris difficilement un œil et aperçu Franklin. Un sourire doux apparut sur mes lèvres alors que je laissais le jeune père s’occuper de son fils. Je frissonnais de froid, me relevant doucement, encore un peu endormie je me frottais les bras pour tenter de me réchauffer un peu. Je m’avançais vers la chambre du petit pour voir bobby en sortir. Je souris en le voyant arriver et j’ai mon cœur qui rate soudain un battement. C’est de plus en plus fréquent quand je le vois et je ne comprends pas vraiment pourquoi. Ça fait des années que je le connais, que je le côtoie, alors pourquoi maintenant ? Je retiens un soupire quand il me prend dans ses bras, j’ai arrêté de me poser des questions depuis un moment. Je veux juste profiter. Et si je me sens bien dans les bras de Franklin … tant pis, je ne fais de mal à personne. Je n’ai jamais vraiment comprit ce qu’il ressentait pour moi. Parfois on est proche, très proche, si proche que j’ai envie de l’embrasser, que j’ai envie qu’il prenne dans ses bras sans jamais me lâcher, mais l’instant d’après … il se détourne, lançant je ne sais qu’elle blague idiote pour détourner l’attention. Alors je crois qu’il est temps pour moi de simplement me dire que je ne suis que sa meilleure amie même si en soit c’est quelque chose d’énorme. Je frissonne en sentant son souffle dans le creux de mon cou et ferme les yeux en pinçant mes lèvres pour retenir un soupire d’aise. Mes deux bras viennent l’emprisonner contre moi alors que je les enroule autour de sa nuque. Ma main s’y perd d’ailleurs pour lui caresser doucement la peau. Il doit être crevé après sa journée de cours. Je ferme les yeux pour savourer cette étreinte en frissonnant. Maintenant je n’ai plus froid et à cette pensé je souris tendrement. Mais ce sourire je le perds vite alors qu’il m’écarte doucement de lui après avoir remarqué le fond de teint sur doigt. Je gonfle un peu mes joues en haussant les épaules. « Si vraiment je voulais le masquer je n’aurais pas mit un haut aussi court … mais pour Faust … je pensais que c’était mieux. » je retroussais mon nez dans une petite grimace avant de tirer sur son t-shirt pour l’attirer à moi à nouveau. Je levais mon regard innocent vers lui et le plissa légèrement en mordillant ma lèvre. «  Tu n’aimes pas … ? Ma tenue je veux dire. » Je me blottis contre lui en gardant mes paumes à plat sur son torse. J’avais le cœur fou parce qu’un million de choses se passaient dans ma tête. Mon regard se perdit un instant sur ses lèvres sur lesquelles je lorgnais depuis un trop longtemps, un peu trop souvent. A quoi je joue … ? Je veux flirter avec lui, je veux qu’il me voit comme une femme et non plus comme Bo Bae son amie de toujours … Je voulais qu’il retourne à l’époque où il me tirait les cheveux et où il me plaquait contre un mur juste pour s’assurer d’avoir toute mon attention. J’ai envie que tout soit plus simple. Que je n’ai qu’à me hisser sur la pointe de mes pieds pour l’embrasser … Je laisse timidement ma main venir caresser sa joue et lui murmure «  T’as passé une bonne journée … ? » ma voix est basse, serrée, j’esquisse un sourire avant de sursauter quand le babyphone crépite et que la voix de Faust résonne un peu. Le petit garçon dormait mais ça lui arrivait de baragouiner dans son sommeil. Rougissant violemment  de voir mon pouce s’était glissé jusqu’à la commissure de ses lèvres je me reculais d’un pas en plaquant mes paumes sur mes cuisses dans un rire nerveux. Je frottais mes mains dessus pour cacher mon trouble évident et lui lança «  J’ai fait à manger ! Je t’ai attendu pour manger, je vais faire réchauffer … » détournant le regard, je laissais une mèche de cheveux me tomber sur les yeux pour cacher mon trouble. Soit pas idiote Bae … et ne va pas tout gâcher … Pas avec lui.


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Re: Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please. | Ven 27 Mar - 16:41
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Sa nature protectrice ne peut s'empêcher de ressentir une pointe de colère quand il se rappelle le jour où elle est arrivée chez lui, couverte d'hématomes. Certes, il a pu en prendre soin et ce fut un véritable privilège d'être à son chevet. Mais Franklin ne supporte pas l'idée que sa meilleure amie soit blessée – c'est atroce, tant il a des envies de vengeance. Ça vaut pour tous ses proches en vérité,  il est le genre de chevalier raté qui préfère prendre les coups pour les siens, à leur place, quitte à y laisser sa peau. Tête-brûlée, sans aucun doute, Franklin a une durée de vie limitée tant il se met dans la merde pour les autres. Mais ça vaut la peine, ça vaut toujours la peine de se battre pour que ses proches soient heureux et sains et saufs. « Si vraiment je voulais le masquer je n’aurais pas mit un haut aussi court … mais pour Faust … je pensais que c’était mieux. » Elle marque un point, même si Faust n'aurait certainement rien compris – pourtant, Franklin souhaite que son fils grandisse dans un environnement sain, pas comme lui. Il se laisse tirer toujours vers elle, de sorte qu'il n'y a plus aucune distance entre eux mais il n'y a rien de tendancieux dans ce geste, c'est seulement deux meilleurs amis qui sont proches. «  Tu n’aimes pas … ? Ma tenue je veux dire. » Deux meilleurs amis qui flirtent. Il le comprend, il le voit bien dans ses regards, pourtant, quelque chose l'en empêche : Shin. « Si, c'est bien. Mais tu sortiras pas dehors comme ça. » Parce qu'elle attirerait une horde d'hommes en sortant dehors, surtout dans le quartier où il s'est installé ; ce n'est jamais bon de laisser une fille se promener seule, trop d'ajusshis en rut. Lui-même a du mal à ne pas jeter un coup d’œil sur son ventre à découvert, sur ses formes féminines, sur cette bouche qui appelle la sienne. Mais il ne bronche pas, il soutient son regard, ne flanchant pas même quelques secondes. C'est qu'il est habitué à espérer pour rien, aussi. Il est persuadé que c'est son imagination qui lui joue des tours, qui se fait des idées sur le comportement de Bobae, parce qu'il n'a jamais été autre chose qu'un ami pour elle. Elle, elle est son premier amour, enfantin, certes mais toujours bien ancré en lui, sur son cœur, dans sa mémoire. C'est comme ça et pas autrement, il ne se passera rien entre eux. Alors, Franklin reste de marbre, ne répond pas par le flirt. Malgré ses sourires tendres qu'il lui fait. «  T’as passé une bonne journée … ? » Il acquiesce en guise de réponse, préférant ne pas parler, de peur que sa voix trahisse une quelconque émotion. Et bizarrement, au même instant, le babyphone diffuse quelques petits sons qui font encore plus sourire Franklin quand il voit Bobae sursauter. Un sourcil arqué, provocateur, le sourire en coin, il balance : « Madame était trop concentrée sur ma beauté flagrante à ce que je vois. » Pour continuer sur sa blague, il bombe le torse, les mains sur les hanches, le menton en l'air ; tel un Hulk maigrichon et raté. «  J’ai fait à manger ! Je t’ai attendu pour manger, je vais faire réchauffer … » À la simple mention de la nourriture, Franklin sent son ventre gargouiller. « Oh putain, j'ai trop faim. J'aime trop ta cuisine en plus, femme, donne vite à manger à l'homme ! » Dit-il en jouant le macho mais loin d'être sérieux. « Je peux t'aider ? » Demande-t-il plus par politesse que par envie d'aider ; beaucoup trop fatigué pour ne serait-ce penser à faire quelque chose, à part manger, se reposer et glander. Mais il met tout de même la table sans qu'elle ne lui dise quelque chose, même s'il est deux de tension.
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Re: Baeby + Don't complicate it, don't let the past dictate ... so please. | Ven 27 Mar - 17:20
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Elle penche la tête sur le côté. Elle voudrait tellement savoir ce qu’il y a dans sa tête. A quoi pense-t-il quand il lui dit qu’elle ne pourra pas sortir dans cette tenue ? Possessif ? Protecteur ? Ou juste … terre à terre à savoir que son quartier craint assez pour que Bae rencontre des problèmes si elle osait montrer son ventre dehors ? Parfois elle aimerait qu’il soit plus expressif avec elle, qu’il entre dans son jeu, qu’il se montre plus … joueur et moins fraternel. Mais elle ne peut pas lui demander d’être ce qu’il n’est pas, ce qu’il ne veut pas être. Il a très bien comprit que le choix de Bo Bae a toujours été Shin, depuis le début. Mais les choses ont changé maintenant. Et ses envies aussi. Est-ce mal ? Est-ce qu’elle a tort de vouloir se rapprocher de cet homme ? Elle n’oserait jamais lui dire que c’est à lui qu’elle pense en s’endormant, qu’elle passe de plus en plus de temps chez lui parce qu’elle a envie d’être sans cesse près de lui. Pas seulement parce qu’elle veut s’occuper de Faust. Pas seulement parce qu’elle veut l’aider à gérer le logistique de chez lui … le ménage, le repas … qu’est-ce qu’elle s’en fou. Elle veut l’aider. Elle veut l’aimer. Mais après tout ce temps elle ne sait plus comment lui dire. A vrai dire, elle n’est même pas certaine de savoir ce qu’elle ressent. Elle a peur. Peur de lui dire ressentir quelque chose pour lui et de le perdre l’instant d’après comme elle l’a fait avec Shin. Elle ne supporterait pas de perdre Franklin. Elle ne veut pas le faire fuir … Elle veut juste … rester dans sa vie, être auprès de lui et de son fils … et tant pis s’il sort avec d’autres femmes. Tant pis si ça lui fait mal au cœur, l’amitié de bobby vaut tous les sacrifices qu’elle peut faire. Elle se contentera de cette phrase sans en saisir le sens. Il est simple, trop pour elle qui ne le voit pas. Elle sourit gênée en passant une main dans ses cheveux. La remarque de Franklin qui se change en un super héros la fait rire. Elle lui donne un petit coup de poing dans le torse pour le faire reculer. « Idiot » lâche-t-elle en se reculant, elle se détourne en mordillant sa lèvre pour cacher son trouble. S’il savait combien il a visé juste. Elle s’enfuit vers la cuisine d’un pas calme pour ne pas se trahir et se charge de tout faire réchauffer dans les casseroles, Bobby la rejoint rapidement et sa présence lui fait du bien. Ce soir il ne sera qu’avec elle, et cette idée lui plaît. Beaucoup même. Elle le regarde mettre la table et sourit en coin. Il a l’air épuisé. Elle sait que ses cours lui prennent beaucoup de temps et son fils beaucoup d’énergie. Il se démène tellement pour réussir … elle est fière de lui. Elle lui ouvre une bière et la lui temps «  laisse tomber Bobby. Tiens boit et assis toi je m’occupe de tout ! » elle le gratifie d’un sourire chaleureux et rieur comme elle en a le secret et lui embrasse la joue avant de le forcer à le faire s’assoir. Elle a préparé son plat préféré et elle en a fait assez pour qu’il en mange ce soir et demain. C’est qu’elle pense à tout. Au bout de plusieurs minutes, pendant laquelle elle lui a résumé son cours sur l’histoire de l’art qui la passionne tellement, mais qui est peut-être un peu barbant en soit. Elle cesse de parler pour lui présenter le plat en s’écriant «  Tada ! Surprise ! » Elle rit en soulevant le couvercle, pleine de malice, elle espérait que ça lui fasse plaisir. « Faust m’a aidé à remuer ! » confie-t-elle toute fière. Le petit garçon n’avait pas beaucoup contribué mais le simple fait de tenir la cuillère lui avait plu et c’était tout ce qui comptait vraiment aux yeux de Bae. « Tout le mérite lui revient donc ! » plaisanta-t-elle en s’asseyant.


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