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heh ? ((rhea&rhys))
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heh ? ((rhea&rhys)) | Dim 10 Déc - 14:00 heh ? @woo rhea 
Les fêtes de fin d’année étaient de plus en plus proches et tu savais pertinemment que tu allais les passer chez tes parents comme depuis toujours quoi… Le seul problème allait certainement être ta grande sœur, bien que tu donnasses mettre ta main à couper qu’elle n’allait pas être là… comme assez souvent honnêtement. Tu allais voir tes parents assez tristes de ne pas avoir tous leurs enfants, mais ce n’était pas une raison pour que la fête ne soit pas magnifique sans cet élément perturbateur. Pour cette raison, tu avais pris la décision de rentrer chez eux tous les weekends pour les aider avec les décorations et tout ce qui pouvaient être nécessaire avec des mains en plus. Bon, après la blessure que tu avais eu à la suite de ton accident lors d’une de tes courses, tu voyais que tes parents n’étaient pas toujours d’accord pour te laisser porter certaines choses. Tu étais en forme, ton médecin avait même dit que tu pouvais reprendre ta vie tranquillement ! Tu avais envie de soupirer à chaque fois et de jouer de ton charme de tout dernier – bien que ce n’était pas le cas car il y avait Rylee aussi – et que tu sortais la carte des yeux doux, tu n’avais toujours pas cette chance de pouvoir porter quelque chose. Mais là, c’était enfin ton moment !
Tu voyais que ton père ne trouvait pas une certaine décoration pour la maison dans le carton qu’il avait sorti, donc tu avais pris directement la décision de t’envoler pour aller le chercher dans le garage sans qu’il puisse te retenir dans tes mouvements. Tu avais alors fouillé pendant un instant, cherchant attentivement ce fameux carton dont ton père avait besoin sans pour autant te rendre compte que tu n’étais visiblement pas seul dans le garage. Tu laissais passer un grognement en décalant ce qui pouvait être gênant pour toi afin de prendre le fameux carton dont tu avais besoin pour ton père. « Yes, je l’ai trouvé ! », tu n’avais plus qu’à lui apporter tranquillement et risquer seulement qu’il t’engueule parce que tu avais fait trop d’effort pour ton épaule, qui était en forme, tu voulais encore une fois le rappeler. Mais, en descendant de l’escabeau que tu avais pris, tu tombais pile-poil nez à nez avec celle que tu voulais esquiver pour le restant de tes jours. Tu avais le carton dans tes bras pendant un instant, puis quelques secondes plus tard, elle te l’arracha des bras sans même te prévenir. C’était quoi son foutu problème à celle-là à la fin ?
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Les fêtes de fin d’année étaient de plus en plus proches et tu savais pertinemment que tu allais les passer chez tes parents comme depuis toujours quoi… Le seul problème allait certainement être ta grande sœur, bien que tu donnasses mettre ta main à couper qu’elle n’allait pas être là… comme assez souvent honnêtement. Tu allais voir tes parents assez tristes de ne pas avoir tous leurs enfants, mais ce n’était pas une raison pour que la fête ne soit pas magnifique sans cet élément perturbateur. Pour cette raison, tu avais pris la décision de rentrer chez eux tous les weekends pour les aider avec les décorations et tout ce qui pouvaient être nécessaire avec des mains en plus. Bon, après la blessure que tu avais eu à la suite de ton accident lors d’une de tes courses, tu voyais que tes parents n’étaient pas toujours d’accord pour te laisser porter certaines choses. Tu étais en forme, ton médecin avait même dit que tu pouvais reprendre ta vie tranquillement ! Tu avais envie de soupirer à chaque fois et de jouer de ton charme de tout dernier – bien que ce n’était pas le cas car il y avait Rylee aussi – et que tu sortais la carte des yeux doux, tu n’avais toujours pas cette chance de pouvoir porter quelque chose. Mais là, c’était enfin ton moment !Tu voyais que ton père ne trouvait pas une certaine décoration pour la maison dans le carton qu’il avait sorti, donc tu avais pris directement la décision de t’envoler pour aller le chercher dans le garage sans qu’il puisse te retenir dans tes mouvements. Tu avais alors fouillé pendant un instant, cherchant attentivement ce fameux carton dont ton père avait besoin sans pour autant te rendre compte que tu n’étais visiblement pas seul dans le garage. Tu laissais passer un grognement en décalant ce qui pouvait être gênant pour toi afin de prendre le fameux carton dont tu avais besoin pour ton père. « Yes, je l’ai trouvé ! », tu n’avais plus qu’à lui apporter tranquillement et risquer seulement qu’il t’engueule parce que tu avais fait trop d’effort pour ton épaule, qui était en forme, tu voulais encore une fois le rappeler. Mais, en descendant de l’escabeau que tu avais pris, tu tombais pile-poil nez à nez avec celle que tu voulais esquiver pour le restant de tes jours. Tu avais le carton dans tes bras pendant un instant, puis quelques secondes plus tard, elle te l’arracha des bras sans même te prévenir. C’était quoi son foutu problème à celle-là à la fin ?
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Woo Rhea
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Ven 29 Déc - 20:18
⏤ Ah, Noël... une période que les gens encensent et adorent mais que tu détestes du plus profond de ton âme. D'abord, il fait froid. La neige c'est joli deux secondes mais quand il faut patauger dedans, non merci. Puis on en parle de la luminosité ? Il fait gris, il fait noir quand tu pars de chez toi et quand tu rentres du boulot. Puis il y a Noël. Fête de famille, réunion et grand repas, tout ça. Tout ce que tu cherches à éviter, surtout depuis ta dernière prise de bec avec Rhys, celle qui a plus ou moins marqué la rupture définitive de votre relation frère/soeur. De votre relation tout court, d'ailleurs. Alors forcément, tu n'avais pas envie de supporter un repas entier avec ton petit frère t'ignorant ostensiblement et toute la situation awkward autour, les petits regards de tes parents et du reste de la fratrie.
Ceci dit, tu ne ditches pas complètement tes devoirs et tu t'es résolue à passer voir tes parents ce week-end, afin de ne pas totalement passer pour une grosse ingrate. Tu sais qu'à cette période de l'année, ils sont occupés avec les décorations, la maison s'illuminant tel Disneyland. Bref, le moment idéal pour leur annoncer que tu ne seras malheureusement pas présente pour Noël, devant impérativement rester au labo pour... heu... surveiller les nouveaux échantillons. Bordel, tu pries pour que Jinwoo te laisse te planquer dans vos locaux ce soir-là. À moins que l'un de nous ne suggère passer Noël ensemble ? Nah, ce serait suspect...
Tu es donc là, tout juste entrée dans la maison, et tu repères de suite la porte du garage ouverte. Du bruit te confirme que quelqu'un est là, et sans y penser plus, tu entres, persuadée que tu tomberas sur ton père. Sauf que non. Rhys. Rhys, et un putain de carton passablement lourd dans les bras. Plutôt crever que l'admettre mais tu suis distraitement ses compétitions, tu sais pour sa blessure à l'épaule. Dire que tu lui avais souhaité de ne pas se faire mal, la dernière fois... tout pour te contredire, hein ? Sans réfléchir, tu lui arraches le carton des mains, furieuse. « RHYS ! tu l'engueules directement. C'est pas comme ça que ton épaule va guérir, triple crétin. » Tu souffles avec agacement avant de lui montrer la porte d'un mouvement de tête. « Allez, ouste. Sors de ce garage avant de faire des bêtises. » Transférant la boîte sur ton autre bras, parce que quand même elle pèse son poids, tu attends que ton frère obéisse... ou t'implose au visage. Honnêtement, t'as pas envie de te chamailler avec lui et... wait. « ... pourquoi t'es là, au juste ? »
Heh ?
feat. @Woo Rhys
⏤ Ah, Noël... une période que les gens encensent et adorent mais que tu détestes du plus profond de ton âme. D'abord, il fait froid. La neige c'est joli deux secondes mais quand il faut patauger dedans, non merci. Puis on en parle de la luminosité ? Il fait gris, il fait noir quand tu pars de chez toi et quand tu rentres du boulot. Puis il y a Noël. Fête de famille, réunion et grand repas, tout ça. Tout ce que tu cherches à éviter, surtout depuis ta dernière prise de bec avec Rhys, celle qui a plus ou moins marqué la rupture définitive de votre relation frère/soeur. De votre relation tout court, d'ailleurs. Alors forcément, tu n'avais pas envie de supporter un repas entier avec ton petit frère t'ignorant ostensiblement et toute la situation awkward autour, les petits regards de tes parents et du reste de la fratrie.Ceci dit, tu ne ditches pas complètement tes devoirs et tu t'es résolue à passer voir tes parents ce week-end, afin de ne pas totalement passer pour une grosse ingrate. Tu sais qu'à cette période de l'année, ils sont occupés avec les décorations, la maison s'illuminant tel Disneyland. Bref, le moment idéal pour leur annoncer que tu ne seras malheureusement pas présente pour Noël, devant impérativement rester au labo pour... heu... surveiller les nouveaux échantillons. Bordel, tu pries pour que Jinwoo te laisse te planquer dans vos locaux ce soir-là. À moins que l'un de nous ne suggère passer Noël ensemble ? Nah, ce serait suspect...
Tu es donc là, tout juste entrée dans la maison, et tu repères de suite la porte du garage ouverte. Du bruit te confirme que quelqu'un est là, et sans y penser plus, tu entres, persuadée que tu tomberas sur ton père. Sauf que non. Rhys. Rhys, et un putain de carton passablement lourd dans les bras. Plutôt crever que l'admettre mais tu suis distraitement ses compétitions, tu sais pour sa blessure à l'épaule. Dire que tu lui avais souhaité de ne pas se faire mal, la dernière fois... tout pour te contredire, hein ? Sans réfléchir, tu lui arraches le carton des mains, furieuse. « RHYS ! tu l'engueules directement. C'est pas comme ça que ton épaule va guérir, triple crétin. » Tu souffles avec agacement avant de lui montrer la porte d'un mouvement de tête. « Allez, ouste. Sors de ce garage avant de faire des bêtises. » Transférant la boîte sur ton autre bras, parce que quand même elle pèse son poids, tu attends que ton frère obéisse... ou t'implose au visage. Honnêtement, t'as pas envie de te chamailler avec lui et... wait. « ... pourquoi t'es là, au juste ? »
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Ven 29 Déc - 21:10 heh ? @woo rhea Tu avais déjà tout prévu pour cette journée avec tes parents, sauf la possibilité que celle que tu voulais éviter depuis longtemps ne pointe le bout de son nez sous tes yeux. Ô mon cruel, pourquoi c’était toujours sur toi qu’elle pouvait tomber quand tu n’avais pas envie de la croiser ? Depuis son cadeau d’anniversaire en retard que tu voyais souvent en ouvrant ton armoire, tu n’avais pas croisé sa face de rat dans ton champ de vision et tu avais été heureux avec ça. Puis, tu avais eu ton accident de moto pendant ta compétition et tout ce qui avait pu se passer jusqu’à ce moment précis entre ta sœur et ta propre personne. Tu étais simplement descendu, tu avais porté ce carton entre tes mains pour aller aider ton père… Puis plus rien entre tes mains et une furie que tu ne voulais pas voir qui était apparue par magie. « Putain… », tu n’avais pas eu d’autres mots à dire en la voyant, seulement ce juron que tu disais toujours quand elle faisait acte de présence dans ta vie. « Déjà t’as pas besoin de hurler, ne me pète pas les tympans avec ta voix de crécelle. », mais tu venais à te stopper d’un seul coup quand les paroles de la jeune femme te montaient au cerveau, au point où tu te demandais si c’était bien ce que tu avais entendu. Tu étais persuadé que ta mère t’avait demandé des nouvelles de ta sœur parce qu’elle ne l’avait pas contacté ses dernières semaines. Puis, tu étais aussi persuadé qu’elle était la dernière personne à suivre ton parcours professionnel. Donc, comment était-elle au courant de ta condition ? Tu venais alors à la regarder de haut en bas, tu gardais malgré tout ton expression assez méchante sur le visage en la voyant. « Comment t’es au courant de ça ? », tu ne voulais pas accepter le fait qu’elle regardait tes compétitions. Pas du tout.
Mais, avant que tu ne fasses la même chose qu’à chaque fois qu’elle était dans ton champ de vision, voilà que ton père venait dans le garage pour retenir son fils… Et tomber sur sa fille en face à face. « Oh Rhea, je ne savais pas que tu devais venir ? », tu laissais échapper un soupir avant d’arracher le carton des bras de la jeune femme d’un seul coup, même sous le regard de ton père qui connait malheureusement la nature de votre relation. « Déjà, mon épaule est guérie. De deux, je fais ce que tu ne sais pas faire, passer du temps en famille. », tu refusais de manière catégorique qu’elle t’aide, tu partais alors vers la direction qu’elle te montrait pour retourner faire les décorations de Noël avec ton père, espérant oublier la présence de cette petite garce de sœur que tu avais. Mais, tu ne pouvais pas empêcher le pincement au cœur que tu avais ressenti quand cette dernière avait l’air de montrer de l’inquiétude pour toi. « La bonne blague. », elle était incapable de s’inquiéter pour toi puisque son seul vœu était que tu ne sois plus là depuis des années.
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Tu avais déjà tout prévu pour cette journée avec tes parents, sauf la possibilité que celle que tu voulais éviter depuis longtemps ne pointe le bout de son nez sous tes yeux. Ô mon cruel, pourquoi c’était toujours sur toi qu’elle pouvait tomber quand tu n’avais pas envie de la croiser ? Depuis son cadeau d’anniversaire en retard que tu voyais souvent en ouvrant ton armoire, tu n’avais pas croisé sa face de rat dans ton champ de vision et tu avais été heureux avec ça. Puis, tu avais eu ton accident de moto pendant ta compétition et tout ce qui avait pu se passer jusqu’à ce moment précis entre ta sœur et ta propre personne. Tu étais simplement descendu, tu avais porté ce carton entre tes mains pour aller aider ton père… Puis plus rien entre tes mains et une furie que tu ne voulais pas voir qui était apparue par magie. « Putain… », tu n’avais pas eu d’autres mots à dire en la voyant, seulement ce juron que tu disais toujours quand elle faisait acte de présence dans ta vie. « Déjà t’as pas besoin de hurler, ne me pète pas les tympans avec ta voix de crécelle. », mais tu venais à te stopper d’un seul coup quand les paroles de la jeune femme te montaient au cerveau, au point où tu te demandais si c’était bien ce que tu avais entendu. Tu étais persuadé que ta mère t’avait demandé des nouvelles de ta sœur parce qu’elle ne l’avait pas contacté ses dernières semaines. Puis, tu étais aussi persuadé qu’elle était la dernière personne à suivre ton parcours professionnel. Donc, comment était-elle au courant de ta condition ? Tu venais alors à la regarder de haut en bas, tu gardais malgré tout ton expression assez méchante sur le visage en la voyant. « Comment t’es au courant de ça ? », tu ne voulais pas accepter le fait qu’elle regardait tes compétitions. Pas du tout.Mais, avant que tu ne fasses la même chose qu’à chaque fois qu’elle était dans ton champ de vision, voilà que ton père venait dans le garage pour retenir son fils… Et tomber sur sa fille en face à face. « Oh Rhea, je ne savais pas que tu devais venir ? », tu laissais échapper un soupir avant d’arracher le carton des bras de la jeune femme d’un seul coup, même sous le regard de ton père qui connait malheureusement la nature de votre relation. « Déjà, mon épaule est guérie. De deux, je fais ce que tu ne sais pas faire, passer du temps en famille. », tu refusais de manière catégorique qu’elle t’aide, tu partais alors vers la direction qu’elle te montrait pour retourner faire les décorations de Noël avec ton père, espérant oublier la présence de cette petite garce de sœur que tu avais. Mais, tu ne pouvais pas empêcher le pincement au cœur que tu avais ressenti quand cette dernière avait l’air de montrer de l’inquiétude pour toi. « La bonne blague. », elle était incapable de s’inquiéter pour toi puisque son seul vœu était que tu ne sois plus là depuis des années.
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Lun 22 Jan - 15:08
⏤ Putain ? Un instant, tu te figes face au mot, tes yeux s'écarquillant légèrement, avant que ton esprit rationnel ne te rappelle que ce n'est ici que l'expression de sa surprise... et non une insulte qu'il te lancerait à la tête. Rhys n'est pas au courant de tout ça. Personne ne l'est. Enfin, personne de ta famille. Tu serres un instant les lèvres en repensant à cette soirée avec Jinwoo, à tes aveux, ce réconfort que tu as recherché malgré toi dans sa présence, en te confiant à lui sur toutes ces choses. Une erreur, de toute évidence, selon toi. « Langage, Rhys ! tu le réprimandes, une fois l'usage de la parole retrouvé. Et je ne hurle pas, espèce de douillet. » Tu pourrais monter bien plus haut dans les aigus, et il le sait, il l'a vécu et expérimenté ; tu as hurlé plus d'une fois sur tout et rien étant plus jeune.
Comment tu es au courant ? Roulant des yeux, tu sors l'excuse facile, le mensonge rapide et sans incidence. « Maman me l'a dit. » Sauf que ça fait une éternité que tu n'as pas eu ta famille au téléphone, et plutôt perdre ta langue que d'admettre que tu suis très vaguement sa carrière, toujours de loin et sans t'y plonger plus que nécessaire.
Et voilà que ton père arrive, surpris de te voir. « Hi dad, tu réponds, gommant soigneusement de ton visage toute l'animosité que tu montrais précédemment à ton petit frère ; comme si c'était un fait inconnu de ta famille. J'étais dans les parages, je me suis dit que ce serait... l'occasion. » Awkward. Comme toujours. Et voilà que Rhys profite de ta distraction pour récupérer ce maudit carton, ce qui te fait intérieurement pester. Sale môme ! « Vu la fragilité naturelle de ton corps, je n'en suis pas aussi certaine, tu persiffles, refusant de le laisser se faire à nouveau mal juste pour prouver son point. Et je fais quoi, là, à ton avis ?! T'es vraiment bouché quand tu t'y mets. » Comme si ta présence en cet instant pouvait camoufler le fait que tu n'es jamais là. Que tu n'appelles ta famille que pour les fêtes et les anniversaires (et encore !). Que tu utilises le boulot comme excuse à chaque occasion, te cachant derrière ton doctorat pour justifier ton "manque de temps". Puis bon... comme si ta famille avait vraiment envie ou besoin que tu passes du temps avec eux...
Il s'éloigne, te laissant avec votre père. Tu laisses échapper un soupir frustré, te forçant à desserrer tes poings. Tu observes avec amertume la trace de tes ongles dans tes paumes, avant de lancer un regard en coin à ton père, l'avertissement se lisant clairement dans tes yeux. « Ne me fais pas la morale, tu lâches. Je sais ce que tu penses. » Tes parents n'ont jamais abandonné l'espoir qu'un jour vous fassiez la paix, parce qu'il "suffirait" que tu t'excuses, que vous parliez à cœur ouvert, des conneries du genre. Pour avoir pseudo-essayer, tu sais que c'est inutile.
Tu tournes donc les talons pour te diriger vers le salon, observant les décorations déjà en place. Tu vois vos chaussettes de Noël pendues comme chaque année, une tradition que tes parents n'ont jamais abandonnée. Avec un soupir, tu t'en approches, caressant du bout des doigts la tienne. Elle a l'air presque neuve à côté de celles de tes frères et sœur ; normal puisque elle ne sert jamais. Tu la décroches soigneusement, avant de la lancer dan la boîte de décorations ouvertes aux pieds de Rhys. « Je ne serai pas là à Noël, tu annonces platement. Lucky you, tu vas pouvoir annoncer la bonne nouvelle. » Nul doute que ça soulagera tout le monde.
Heh ?
feat. @Woo Rhys
⏤ Putain ? Un instant, tu te figes face au mot, tes yeux s'écarquillant légèrement, avant que ton esprit rationnel ne te rappelle que ce n'est ici que l'expression de sa surprise... et non une insulte qu'il te lancerait à la tête. Rhys n'est pas au courant de tout ça. Personne ne l'est. Enfin, personne de ta famille. Tu serres un instant les lèvres en repensant à cette soirée avec Jinwoo, à tes aveux, ce réconfort que tu as recherché malgré toi dans sa présence, en te confiant à lui sur toutes ces choses. Une erreur, de toute évidence, selon toi. « Langage, Rhys ! tu le réprimandes, une fois l'usage de la parole retrouvé. Et je ne hurle pas, espèce de douillet. » Tu pourrais monter bien plus haut dans les aigus, et il le sait, il l'a vécu et expérimenté ; tu as hurlé plus d'une fois sur tout et rien étant plus jeune.Comment tu es au courant ? Roulant des yeux, tu sors l'excuse facile, le mensonge rapide et sans incidence. « Maman me l'a dit. » Sauf que ça fait une éternité que tu n'as pas eu ta famille au téléphone, et plutôt perdre ta langue que d'admettre que tu suis très vaguement sa carrière, toujours de loin et sans t'y plonger plus que nécessaire.
Et voilà que ton père arrive, surpris de te voir. « Hi dad, tu réponds, gommant soigneusement de ton visage toute l'animosité que tu montrais précédemment à ton petit frère ; comme si c'était un fait inconnu de ta famille. J'étais dans les parages, je me suis dit que ce serait... l'occasion. » Awkward. Comme toujours. Et voilà que Rhys profite de ta distraction pour récupérer ce maudit carton, ce qui te fait intérieurement pester. Sale môme ! « Vu la fragilité naturelle de ton corps, je n'en suis pas aussi certaine, tu persiffles, refusant de le laisser se faire à nouveau mal juste pour prouver son point. Et je fais quoi, là, à ton avis ?! T'es vraiment bouché quand tu t'y mets. » Comme si ta présence en cet instant pouvait camoufler le fait que tu n'es jamais là. Que tu n'appelles ta famille que pour les fêtes et les anniversaires (et encore !). Que tu utilises le boulot comme excuse à chaque occasion, te cachant derrière ton doctorat pour justifier ton "manque de temps". Puis bon... comme si ta famille avait vraiment envie ou besoin que tu passes du temps avec eux...
Il s'éloigne, te laissant avec votre père. Tu laisses échapper un soupir frustré, te forçant à desserrer tes poings. Tu observes avec amertume la trace de tes ongles dans tes paumes, avant de lancer un regard en coin à ton père, l'avertissement se lisant clairement dans tes yeux. « Ne me fais pas la morale, tu lâches. Je sais ce que tu penses. » Tes parents n'ont jamais abandonné l'espoir qu'un jour vous fassiez la paix, parce qu'il "suffirait" que tu t'excuses, que vous parliez à cœur ouvert, des conneries du genre. Pour avoir pseudo-essayer, tu sais que c'est inutile.
Tu tournes donc les talons pour te diriger vers le salon, observant les décorations déjà en place. Tu vois vos chaussettes de Noël pendues comme chaque année, une tradition que tes parents n'ont jamais abandonnée. Avec un soupir, tu t'en approches, caressant du bout des doigts la tienne. Elle a l'air presque neuve à côté de celles de tes frères et sœur ; normal puisque elle ne sert jamais. Tu la décroches soigneusement, avant de la lancer dan la boîte de décorations ouvertes aux pieds de Rhys. « Je ne serai pas là à Noël, tu annonces platement. Lucky you, tu vas pouvoir annoncer la bonne nouvelle. » Nul doute que ça soulagera tout le monde.
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Mar 23 Jan - 16:46 heh ? @woo rhea 
Tu regardes assez mal ta sœur quand elle vient à te reprendre sur ton langage avant que tu ne laisses échapper un rire assez moqueur, soulignant juste ses mots de cette manière. Et elle, son langage, est-ce qu’elle avait fait attention à l’époque ? Tu roules aussitôt des yeux avant qu’elle ne se donne un rôle de sœur et de moraliste quand le plus jeune n’est pas très poli. « Je m’en moque un peu tu sais ? » , c’est surtout que tu t’en moques un peu parce que c’est elle et pas quelqu’un d’autre, tu n’aurais pas eu la même réaction si c’était quelqu’un d’autre de ta famille par exemple. Puis, tu laisses échapper un rire quand elle te dit que c’est votre mère qui lui a dit, parce que votre mère aurait pu le faire, mais elle te l’aurait dit directement au téléphone. Soit. Si ça lui plait de faire la sœur qui s’inquiète comme par hasard. « Garde ton air de sœur pseudo inquiète, j’ai pas besoin de ça. » , tu es toujours froid avec elle, elle ne mérite pas autant de chaleur que ceux à qui tu la donnes.
Tu juges totalement le comportement de ta sœur devant votre père, comme s’il n’était pas au courant du comportement qu’elle a avec toi depuis des années déjà… « Je vais te la faire manger ma fragilité, tu feras moins la maligne. » , tu la toises en hauteur au vu de la différence de taille entre vous deux, puis, tu ne fais même pas l’effort d’écouter le reste de ce qu’elle a te dire pour partir d’un seul coup. Elle est ta peste comme tu es son choléra, rien ne pourra fonctionner entre vous avant que des excuses se fassent entendre. Tu as entendu ton père grogner et râler de ton langage, mais depuis les années, rien ne fait dans cette situation, tout tourne au vinaigre rapidement. Tu n’acceptes toujours pas sa présence, pas autant que tes parents le voulaient. Tu sais qu’ils te disaient souvent que si la discussion était présente entre vous deux, les choses pourraient aller au mieux. Mais, toi, tu sais que ça sera difficile parce qu’elle voudra toujours avoir raison et tu n’auras jamais l’autorité qu’il faut pour la contrer.
Concentré dans la décoration, tu fais abstraction de ta sœur quand tu commences à accrocher les décorations, mais tu t’arrêtes quand tu entends le bruit de quelque chose qui tombe dans le carton. Puis ses paroles. Tu t’arrêtes alors dans tes mouvements avant de laisser échapper un grognement. « Oh lucky me, je vais entendre notre mère pleurer toutes les larmes de son corps le soir-même parce que sa débile de gamine n’est pas capable de venir à une putain de fête de famille. » , tu balances d’un seul coup la décoration que tu avais dans ta main dans le foutu carton avant de pointer du doigt la jeune femme. « Oh oui, lucky me de me préparer chaque année à voir ta vulgaire tronche tant que notre mère est heureuse que tu sois à la table. Mais nan, t’es tellement bornée et incapable de penser autre chose que ton propre intérêt que tu en oublies celle qui t’a porté pendant 9 mois. Ouais ouais lucky fucking me. »
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Tu regardes assez mal ta sœur quand elle vient à te reprendre sur ton langage avant que tu ne laisses échapper un rire assez moqueur, soulignant juste ses mots de cette manière. Et elle, son langage, est-ce qu’elle avait fait attention à l’époque ? Tu roules aussitôt des yeux avant qu’elle ne se donne un rôle de sœur et de moraliste quand le plus jeune n’est pas très poli. « Je m’en moque un peu tu sais ? » , c’est surtout que tu t’en moques un peu parce que c’est elle et pas quelqu’un d’autre, tu n’aurais pas eu la même réaction si c’était quelqu’un d’autre de ta famille par exemple. Puis, tu laisses échapper un rire quand elle te dit que c’est votre mère qui lui a dit, parce que votre mère aurait pu le faire, mais elle te l’aurait dit directement au téléphone. Soit. Si ça lui plait de faire la sœur qui s’inquiète comme par hasard. « Garde ton air de sœur pseudo inquiète, j’ai pas besoin de ça. » , tu es toujours froid avec elle, elle ne mérite pas autant de chaleur que ceux à qui tu la donnes. Tu juges totalement le comportement de ta sœur devant votre père, comme s’il n’était pas au courant du comportement qu’elle a avec toi depuis des années déjà… « Je vais te la faire manger ma fragilité, tu feras moins la maligne. » , tu la toises en hauteur au vu de la différence de taille entre vous deux, puis, tu ne fais même pas l’effort d’écouter le reste de ce qu’elle a te dire pour partir d’un seul coup. Elle est ta peste comme tu es son choléra, rien ne pourra fonctionner entre vous avant que des excuses se fassent entendre. Tu as entendu ton père grogner et râler de ton langage, mais depuis les années, rien ne fait dans cette situation, tout tourne au vinaigre rapidement. Tu n’acceptes toujours pas sa présence, pas autant que tes parents le voulaient. Tu sais qu’ils te disaient souvent que si la discussion était présente entre vous deux, les choses pourraient aller au mieux. Mais, toi, tu sais que ça sera difficile parce qu’elle voudra toujours avoir raison et tu n’auras jamais l’autorité qu’il faut pour la contrer.
Concentré dans la décoration, tu fais abstraction de ta sœur quand tu commences à accrocher les décorations, mais tu t’arrêtes quand tu entends le bruit de quelque chose qui tombe dans le carton. Puis ses paroles. Tu t’arrêtes alors dans tes mouvements avant de laisser échapper un grognement. « Oh lucky me, je vais entendre notre mère pleurer toutes les larmes de son corps le soir-même parce que sa débile de gamine n’est pas capable de venir à une putain de fête de famille. » , tu balances d’un seul coup la décoration que tu avais dans ta main dans le foutu carton avant de pointer du doigt la jeune femme. « Oh oui, lucky me de me préparer chaque année à voir ta vulgaire tronche tant que notre mère est heureuse que tu sois à la table. Mais nan, t’es tellement bornée et incapable de penser autre chose que ton propre intérêt que tu en oublies celle qui t’a porté pendant 9 mois. Ouais ouais lucky fucking me. »
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Jeu 15 Fév - 14:38
⏤ Ton air de soeur pseudo inquiète ? Comment ça ? Es-tu donc si transparente ? Tu fronces les sourcils, lui lançant le regard le plus dédaigneux que tu aies dans ton arsenal. « Pourquoi je m'inquièterais pour toi ? » Après tout, Rhys est un grand garçon, un adulte, alors pourquoi tu perdrais ton temps à t'inquiéter pour lui, hein ? Okay, même toi tu n'arrives pas à t'en convaincre.
Vraiment, pourquoi est-ce que votre famille s'entête à présenter ton petit frère comme un ange bien élevé, quand ils savent comment il te parle ? T'es quoi, l'exception qui confirme la règle ? En plus cette phrase ne veut rien dire, tu n'en démordras pas. « Mais tu vas te calmer, oui, sale môme ?! » Il a une santé fragile, il ne peut pas le nier. Et qui dit santé en morceaux dit souvent corps qui va avec. Il n'aurait pas pu faire un sport doux genre... du paddle ? Bah non, Monsieur doit flirter avec le danger sur une putain de moto !
Alors que tu reviens dans le salon, décrochant la décoration superflue, tu ne peux t'empêcher de rouler des yeux, profondément exaspérée devant les mots de ton frère. Tes poings se serrent alors qu'il t'insulte sans vergogne, mais tu sais que si tu réagis, ça va de nouveau vriller. Enfin, ce n'est pas comme si vous n'aviez pas déjà franchi le point de non retour. « C'est bon, t'as fini tes jérémiades ? » Tu l'observes avec agacement les bras croisés. Un peu plus et tu taperais avec impatience du pied sur le tapis. « Je suis absente, pas morte, hein. Comme si maman allait pleurer pour ça. » Il essaie de te faire quoi, là, au juste ? Te guilt trip ? Alors que tu sais parfaitement bien que ta présence ruinera la soirée, contrairement à ton absence qui, au grand max, chagrinera un peu tes parents. « Et ce n'est pas pour mon propre intérêt, petit con, tu siffles entre tes dents. Je bosse ce soir là, je n'ai pas le choix. Alors oui, lucky you, tu ne vas pas devoir faire trois heures de méditation pour supporter ma présence. Et vice-versa. » Bon, c'est un petit mensonge, tu ne bosses pas réellement ce soir-là, tu as juste prévu de te planquer dans le labo une partie de la soirée, sans doute avancer un peu sur ton doctorat, mais tu n'as en vrai aucune obligation d'être présente. Ce n'est qu'une honteuse excuse pour ne pas venir avec une pseudo bonne raison.
Ton regard se pose alors sur le carton de décorations et tu soupires à nouveau. « Je vais t'aider à décorer, tu marmonnes. Comme ça maman aura l'impression que j'ai un peu participé à la bonne ambiance de Noël. » C'est un compromis raisonnable, non ? Tu observes presque Rhys avec défi. Va-t-il refuser, t'envoyer balader, continuer à chouiner sur quelle mauvaise fille, quelle mauvaise sœur tu es ? « Occupe-toi des boules décoratives, je me charge de ramener les boîtes qui restent. » Il aura beau te le chanter sur tous les airs, tu ne le laisseras pas se faire mal à vouloir prouver qu'il est guérit ou tu ne sais quelles connerie dont il est persuadé.
Heh ?
feat. @Woo Rhys
⏤ Ton air de soeur pseudo inquiète ? Comment ça ? Es-tu donc si transparente ? Tu fronces les sourcils, lui lançant le regard le plus dédaigneux que tu aies dans ton arsenal. « Pourquoi je m'inquièterais pour toi ? » Après tout, Rhys est un grand garçon, un adulte, alors pourquoi tu perdrais ton temps à t'inquiéter pour lui, hein ? Okay, même toi tu n'arrives pas à t'en convaincre.Vraiment, pourquoi est-ce que votre famille s'entête à présenter ton petit frère comme un ange bien élevé, quand ils savent comment il te parle ? T'es quoi, l'exception qui confirme la règle ? En plus cette phrase ne veut rien dire, tu n'en démordras pas. « Mais tu vas te calmer, oui, sale môme ?! » Il a une santé fragile, il ne peut pas le nier. Et qui dit santé en morceaux dit souvent corps qui va avec. Il n'aurait pas pu faire un sport doux genre... du paddle ? Bah non, Monsieur doit flirter avec le danger sur une putain de moto !
Alors que tu reviens dans le salon, décrochant la décoration superflue, tu ne peux t'empêcher de rouler des yeux, profondément exaspérée devant les mots de ton frère. Tes poings se serrent alors qu'il t'insulte sans vergogne, mais tu sais que si tu réagis, ça va de nouveau vriller. Enfin, ce n'est pas comme si vous n'aviez pas déjà franchi le point de non retour. « C'est bon, t'as fini tes jérémiades ? » Tu l'observes avec agacement les bras croisés. Un peu plus et tu taperais avec impatience du pied sur le tapis. « Je suis absente, pas morte, hein. Comme si maman allait pleurer pour ça. » Il essaie de te faire quoi, là, au juste ? Te guilt trip ? Alors que tu sais parfaitement bien que ta présence ruinera la soirée, contrairement à ton absence qui, au grand max, chagrinera un peu tes parents. « Et ce n'est pas pour mon propre intérêt, petit con, tu siffles entre tes dents. Je bosse ce soir là, je n'ai pas le choix. Alors oui, lucky you, tu ne vas pas devoir faire trois heures de méditation pour supporter ma présence. Et vice-versa. » Bon, c'est un petit mensonge, tu ne bosses pas réellement ce soir-là, tu as juste prévu de te planquer dans le labo une partie de la soirée, sans doute avancer un peu sur ton doctorat, mais tu n'as en vrai aucune obligation d'être présente. Ce n'est qu'une honteuse excuse pour ne pas venir avec une pseudo bonne raison.
Ton regard se pose alors sur le carton de décorations et tu soupires à nouveau. « Je vais t'aider à décorer, tu marmonnes. Comme ça maman aura l'impression que j'ai un peu participé à la bonne ambiance de Noël. » C'est un compromis raisonnable, non ? Tu observes presque Rhys avec défi. Va-t-il refuser, t'envoyer balader, continuer à chouiner sur quelle mauvaise fille, quelle mauvaise sœur tu es ? « Occupe-toi des boules décoratives, je me charge de ramener les boîtes qui restent. » Il aura beau te le chanter sur tous les airs, tu ne le laisseras pas se faire mal à vouloir prouver qu'il est guérit ou tu ne sais quelles connerie dont il est persuadé.
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Re: heh ? ((rhea&rhys)) | Dim 18 Fév - 19:00 heh ? @woo rhea Pour te donner un air sur ton visage. Mais, ça, tu ne le dis pas quand tu la regardes de haut en bas avant de ne vouloir pas parler encore plus avec cette personne. Tu ne veux pas la voir, mais malheureusement elle est là. « Avec toi dans les parages ? Jamais ! », tu es bien plus gentil qu’elle, elle te fait devenir une autre personne quand elle est avec toi, surtout quand tu veux te protéger de ce qu’elle est capable de te faire ou de te dire comme la grande sœur odieuse qu’elle peut être à tes yeux. Rhea n’aura jamais le meilleur rôle dans ta vie, tu sais que tu aurais tout coupé si tes parents n’étaient pas là… mais Rhidoc et Rhiannon t’en voudraient si tu fais ce genre de choses. Alors tu serres les dents et tu lui lâches ton venin en attendant que les choses disparaissent entre vous deux.
« Jamais je compte m’arrêter quand ça concerne nos parents dont tu as l’air clairement d’avoir rien à foutre. », c’est bien les personnes que tu aimes les plus profonds de ton âme et tu es toujours mal de voir le regard de ta mère quand la quatrième chaise est totalement vide lors des fêtes familiales. Alors, tu détestes ta sœur surtout pour ça, pour cette absence qu’elle met dans les pattes de vos parents qui n’ont rien demandé. « Bien sûr qu’elle pleure parce qu’elle n’a pas ses 4 enfants avec elle en même temps ! Mais ça tu es incapable de voir parce que tu penses qu’à ta petite personne avant celles des personnes qui t’ont mises au monde. », tu craches encore et toujours la haine que tu ressens, bien que ton cœur se serre inconsciemment à chaque seconde. Il est enfui au plus profond de toi, le Rhys qui se dit que ça peut se régler entre vous deux un jour… un lointain jour. Tu veux rajouter quelque chose sur le fait qu’elle travaille, comme quoi elle a fait exprès parce qu’elle est incapable de venir ici et de tenir le choc juste pour voir vos parents heureux d’avoir tout le monde à la tablée. Tu te mords carrément l’intérieur de ta joue pour faire passer cette nouvelle vague de haine envers Rhea, mais quand tu vois ton père dans un coin au loin, tu te calmes et tu te dis que ça ne sert clairement à rien de continuer de lui mettre ses erreurs en face, vos erreurs.
Tu hausses les sourcils à ses paroles avant de laisser échapper un rire nerveux, comme si ça allait changer quelque chose à ça, sa non-présence mais sa minime participation aux décorations. « Putain, je vais te le répéter combien de fois que je peux porter quelque chose. C’est toi-même qui l’a dit que tu t’en fiches et que tu ne t’inquiètes clairement pas pour moi. Mais vas y, va faire ta bonne action du jour si ça peut faire plaisir à ton égo. », tu t’en fiches totalement de ce qu’elle peut faire, tu es concentré à mettre ce dont tu as besoin comme ton père te l’a demandé avant que Rhea arrive.
code by kerushirei.
Pour te donner un air sur ton visage. Mais, ça, tu ne le dis pas quand tu la regardes de haut en bas avant de ne vouloir pas parler encore plus avec cette personne. Tu ne veux pas la voir, mais malheureusement elle est là. « Avec toi dans les parages ? Jamais ! », tu es bien plus gentil qu’elle, elle te fait devenir une autre personne quand elle est avec toi, surtout quand tu veux te protéger de ce qu’elle est capable de te faire ou de te dire comme la grande sœur odieuse qu’elle peut être à tes yeux. Rhea n’aura jamais le meilleur rôle dans ta vie, tu sais que tu aurais tout coupé si tes parents n’étaient pas là… mais Rhidoc et Rhiannon t’en voudraient si tu fais ce genre de choses. Alors tu serres les dents et tu lui lâches ton venin en attendant que les choses disparaissent entre vous deux. « Jamais je compte m’arrêter quand ça concerne nos parents dont tu as l’air clairement d’avoir rien à foutre. », c’est bien les personnes que tu aimes les plus profonds de ton âme et tu es toujours mal de voir le regard de ta mère quand la quatrième chaise est totalement vide lors des fêtes familiales. Alors, tu détestes ta sœur surtout pour ça, pour cette absence qu’elle met dans les pattes de vos parents qui n’ont rien demandé. « Bien sûr qu’elle pleure parce qu’elle n’a pas ses 4 enfants avec elle en même temps ! Mais ça tu es incapable de voir parce que tu penses qu’à ta petite personne avant celles des personnes qui t’ont mises au monde. », tu craches encore et toujours la haine que tu ressens, bien que ton cœur se serre inconsciemment à chaque seconde. Il est enfui au plus profond de toi, le Rhys qui se dit que ça peut se régler entre vous deux un jour… un lointain jour. Tu veux rajouter quelque chose sur le fait qu’elle travaille, comme quoi elle a fait exprès parce qu’elle est incapable de venir ici et de tenir le choc juste pour voir vos parents heureux d’avoir tout le monde à la tablée. Tu te mords carrément l’intérieur de ta joue pour faire passer cette nouvelle vague de haine envers Rhea, mais quand tu vois ton père dans un coin au loin, tu te calmes et tu te dis que ça ne sert clairement à rien de continuer de lui mettre ses erreurs en face, vos erreurs.
Tu hausses les sourcils à ses paroles avant de laisser échapper un rire nerveux, comme si ça allait changer quelque chose à ça, sa non-présence mais sa minime participation aux décorations. « Putain, je vais te le répéter combien de fois que je peux porter quelque chose. C’est toi-même qui l’a dit que tu t’en fiches et que tu ne t’inquiètes clairement pas pour moi. Mais vas y, va faire ta bonne action du jour si ça peut faire plaisir à ton égo. », tu t’en fiches totalement de ce qu’elle peut faire, tu es concentré à mettre ce dont tu as besoin comme ton père te l’a demandé avant que Rhea arrive.
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