We're two wolf in sheep's clothing

Mi Hee & In Ha

Mes sens en éveil, j'écoutais attentivement le moindre bruit extérieur qui indiquerait que quelqu'un s'approchait. Je commençais à avoir l'habitude de me planquer, de brouiller les pistes, et me planquer avec une femme dans une cabine d'essayage n'était pas la pire planque que j'avais trouvé, croyez-moi ! Bon, j'y étais peut-être allé un peu fort en l'empêchant de me griller, une main sur sa bouche. Mais d'instinct, je savais que cela n'allait pas la traumatiser, car imaginez si elle se mettait à pleurer, je ne sais pas, de peur ? Certes, on se connaissait, mais j'avouais que j'étais un peu bizarre en la maintenant comme ça ! Même moi je le pensais ! Naaan, j'étais persuadé qu'elle allait se venger en me frappant, en gueulant un peu sans doute, mais qu'elle le supporterait quelques minutes sans paniquer. Je lui avais assuré d'ailleurs que je n'en aurais pas pour longtemps, qu'en dix minutes elle serait débarrassée de moi et elle n'aurait plu à m'aguicher pour me faire acheter quoique ce soit. Dommage. 

Haha comme je l'avais prédit, elle bouillait littéralement en me regardant, les sourcils froncés. Mon sourire s'intensifiait alors que je lui glissais à l'oreille avec arrogance que les cris n'étaient pas une de mes préférences. Les soupirs eux, l'étaient. Je dirais même que je les privilégiais encore plus que les gémissements incessants, bien que ces derniers n'étaient pas pour me déplaire. Je voulais la taquiner, elle l'avait fait avec les sous-vêtements et son regard de braise, jouer était d'un grand amusement pour moi. Rien de bien méchant, dans peu de temps ce sera fini, et t'auras tout oublié avant de t'endormir ce soir, pensais-je en sentant ses jambes se resserrer autour de la mienne. 

Je n'avais pas remarqué sa main qui descendait, descendait encore, avant de se poser sur mon entrejambe, ce qui me surprit un instant. Le regard posé sur la zone en question, je le releva lentement vers elle. Elle me provoquait à nouveau. Intrigué, je pensais que c'était clairement une menace de sa part, même si ce n'était pas bien compliqué pour moi de me débarrasser de cela. Mais que voyais-je dans ses beaux yeux bruns ? Un jeu, de la tentation et toujours cette idée de qui sera le plus fort. Mon idée favorite. Mes lèvres s'entrouvrirent quand elle effectua une pression avec ses doigts. Les siennes s'étiraient aussi, contre ma main. Ses griffes dans mon cou qui me forçaient à me pencher vers elle, comme si elle cherchait à son tour à s'imposer d'une quelconque manière. Tu me cherches hmm ? Si tu n'avais aucune arrière pensée, tu vas le regretter. Sentant que la pression allait devenir plus intense, j'agrippais fermement son poignet d'un geste rapide, puis le second, relâchant sa bouche, avant de les plaquer contre le mur de part et d'autre de sa tête. Un nouveau bruit sec auquel je n'avais pas fait attention pendant ce court instant. Se défiant du regard comme deux animaux bel et bien prêts à s'attaquer, je m'approchais de ses lèvres, ce jeu permanent de la distance me plaisait. « Si tu l'oses, crie. Va-y ! Tu sortiras en demandant de l'aide et en me balançant, ohh.. Quelle lâcheté. » murmurai-je, jouant sur sa fierté. Je relâcha l'un de ses poignets. « Hmm.. Tu as raison.. » Sans la quitter des yeux, ma main glissa lentement sous sa jupe, longeant les courbes de sa cuisse jusqu'en haut. « Tu aurais perdu contre moi. » lâchai-je, glissant mes doigts sous le bout de tissus de son sous-vêtement, étirant celui-ci pour le faire claquer contre sa hanche. D'un sourire en coin, j'ôta ma main et la relâcha, reculant d'un pas pour voir ce qu'elle allait faire. De toute façon, si je me faisais avoir, j'étais prêt à courir et à sauter des étalages si il le fallait, en renversant quelques trucs sur mon passage pour la peine, pour me venger tiens !   
  
 
 

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With In Ha

Ce jeu devenait de plus en plus animal. Je me sentais perdre le contrôle de mes mouvements. En fait, j’avais tout simplement envie de me perdre dans ce sentiment animalier qui, de plus en plus, faisait apparition entre nous. Il embarquait avec plaisir dans mon jeu en j’en fus plus que ravis, me mordant la lèvre inférieur lorsqu’il plaqua mes poignets de part et d’autre de ma tête. Je le regardais droit dans les yeux, affichant un sourire en coin provocateur. Je savourais la proximité de nos lèvres, fixant ses lèvres. Son souffle chaud me fit tourner  la tête. Intéressant, c’était donc de famille ce jeu, quoiqu’In Ha fût un peu plus… Sensuel. Par contre, le voilà qu’il me provoque verbalement. L’orgueil vint frapper. Je voyais claire dans son jeu, ce qui me fis rire.
Je sentais l’une de ses mains glisser le long de ma cuisse, montant jusqu’à ma culotte, tirant sur le petit bout de tissus rien que pour m’énerver. Je le regardais reculer d’un pas, observant ma réaction. Je mordis à nouveau mes lèvres avant de descendre mes poignets, glissant une mains le long de ma cuisse pour relever lentement ma jupe, lui laissant entrevoir rapidement ma petite culotte, histoire de le faire baver un peu.

« Pfff… Je préfères rester dans la cabine, c’est plus divertissant que de parler a des gros bras sans cervelle. »

Je m’avançais vers lui, le contournant. Je me plaçais derrière lui, glissant mes mains sur ses bras, puis sur son ventre pour finir sur sa ceinture, le détachant. Je glissais une main au travers de son pantalon, jouant sur son boxeur avec une envie grandissante. Me plaçant sur la pointe de mes pieds, je me mis à lui souffler dans son cou, approchant mes lèvres de son cou.

« Je crois que toi aussi, tu préfères rester ici avec ma présence, hm ? »

Je me mis à sourire en coin avant de le serrer contre moi, gardant le contrôle sur la situation, lui montrant que pour le moment, c’était moi qui gérait. D’ailleurs, je le lui fis comprendre en le poussant contre le mur, le gardant contre moi. Je glissais une main sous son chandail, lui caressant ses abdominaux. Je me mis à chuchoter dans son oreille.

« Tu vois… Il ne faut pas me chercher… J’suis pas une fille trop facile. »

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Mi Hee & In Ha

Dans quoi je m'embarquais ? Pourquoi fallait-il que je renvoie la balle à toutes les femmes qui me provoquaient de la sorte ? A croire que c'était mon instinct qui me le dictait, ça m'amusait terriblement. Ça avait quelque chose d'excitant et j'aimais particulièrement la gente féminine qui appréciait jouer avec moi à ce jeu. Mais aujourd'hui, il n'était pas du tout prévu, j'en oubliais presque les mecs qui me recherchaient à l'extérieur. Comment avais-je pu me laisser entraîner ? Je me reculais, m'éloignais d'elle même. Va plus loin, ou sors In Ha ! Ah pourquoi je ne m'écoutais jamais ? Mon sourire s'étirait, la fixant, patientant de voir sa réaction. Tu sais comment ça pourrait finir.. Combien de fois ça t'étais arrivé hmm ? Avec Rahel, c'était exactement le même cinéma, à croire que pour mon plus grand plaisir, je n'attirais que ce genre de femme, tentatrices. La preuve, la voici qui m'en montrait davantage, dévoilant sans gêne sa lingerie que j'avais toucher un peu plus tôt. Sexy, je devais le reconnaître. Ça faisait son petit effet. Et ça voulait dire quoi ça hm ? Admire et viens me chercher ou admire, car tu n'en auras plus l'occasion ? Je lâchai un petit rire à sa réplique. Il est vrai qu'il y en avait un ou deux qui ressemblaient à des gorilles, mais passons, ce n'était pas le sujet principal. Nous étions le sujet principal..

Le menton légèrement relevé, j'observais la jeune femme me jauger, tournant autour de moi, et je flairais clairement une nouvelle attaque. Qu'est-ce que tu veux, dis-moi.. Je me laissais faire, curieux. Debout derrière moi, ses mains se baladaient sur mes bras, prenant rapidement un raccourci vers ma ceinture, ce qui me fît me mordre la lèvre inférieure, l'une d'elles s'infiltrant sans peine contre mon boxer. Qu'est-ce qu'elle voulait, hmm.. ça avait le mérite d'être clair. Où n'était-ce qu'un appât que je devais m'empresser d'attraper et qu'on m’enlèverait tout de suite juste après ? Car je détestais qu'on me propose quelque chose, sans être sûr qu'au bout du compte, je l'obtiendrais. Elle commençait sérieusement à me plaire cette femme, pensais-je alors que je posai un de mes avant bras contre le mur devant lequel elle me forçait à me replier. Son souffle dans mon cou.. « J'hésite encore.. » lâchai-je pour réponse. Les gorilles ou elle ? Oh oui, quel choix difficile. Et va-y qu'on passe sous ma chemise.. « Je t'en prie, tâte la marchandise ma belle, tout est rangé par deux sur trois étages.. » rajoutai-je, un sourire en coin, avant de me retourner à la suite de son chuchotement. Je l'éloigna de mon entrejambe qui semblait se montrer un peu trop réceptive à mon goût, reposant ses deux mains sur mon torse, le dos contre le mur. « ça tombe bien, je n'aime pas les filles trop faciles. Non, j'aime qu'on me résiste.. » Si je pouvais faire tout ce que je voulais, ce n'était pas drôle. La surprise, ça c'était excitant. Je la colla contre moi, glissant mes mains de part et d'autre de ses cuisses, relevant presque jusqu'aux hanches sa jupe crayon, qui moulait parfaitement ses formes. « Tu permets, je n'ai pas bien vu tout à l'heure.. » murmurai-je, en m'accroupissant devant elle, la faisant s'appuyer sur le mur où j'étais calé quelques secondes auparavant. Sans demander mon reste, je souleva doucement l'une de ses jambes la posant sur mon épaule, posant mes lèvres contre sa cuisse. J'entrepris d'y déposer quelques baisers, ma main tenant fermement sa jambe près de ma bouche. Lui lançant des regards en coin, je continuais mon ascension vers ce creux si tentant, prenant tout mon temps, avant de soudainement mordre sa chair, passant le bout de ma langue sur la petite marque rougie que j'avais laissé. « Délicieuse. » Au loin, la seconde vendeuse était revenue de la réserve, accueillant les trois hommes à l'entrée. Qu'elle ne dise rien, qu'elle ne nous cherche pas, pas maintenant...   
  
 
 

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With In Ha

Dominer au tout début, c'était mon point favoris. Montrer que je n'étais pas une petite fille que l'on pouvait s'amuser tout bonnement avec elle ne me représentais pas. J'étais une femme et être désiré me faisais sentir vivante, aimé. C'était une habitude que j'avais prise depuis quelques années déjà et je ne m'en étais jamais défait. À quoi bon s'arrêter quand on a pas ce genre d'amour à chaque jours ?

Je l'avais forcé à se replier contre le mur et je souris en coin en le voyant poser son avant bras contre la surface. J'entreprenais mon jeu de séduction, ce qui commençait à le plaire. Je ne pus m'empêcher de sourire en coin en le voyant réagir à mes mains baladeuses. Ses commentaires me fis accentuer mon aventure, caressant vigoureusement ses abdominaux tout en jouant plus vigoureusement de sa main sur son boxeur. Oh oui, j'allais tester la marchandise. Ne pouvant cacher mon rire face à son jeu de mot, je me lécha les lèvres tout en continuant ma petite excursion. Hésiter, hein ? Il n'hésitera plus, croyez moi.

Je le vis se retourner et suivis son mouvement, posant mes mains sur son torse tout en le défiant du regard. Mes lèvres s'étirèrent en coin. Alors il n'aime pas les filles facile, eh bah. Quel mec n'aimait pas qu'on lui résiste, hm ? Baissant doucement ma tête pour regarder ses mains glisser sur mes cuisses jusqu'à remonter ma jupe presque à mes hanches, je me mis à mordiller ma lèvre inférieur tout en reposant mon regard dans le sien. Je le suivis par la suite du regard, le regardant s'accroupir devant moi, plus particulièrement devant mes jambes et ma partie privée. Il souleva doucement l'une de mes jambes, la posant sur son épaule. Je suivais le mouvement sans broncher, continuant à mordre fermement ma lèvre inférieur. Je me mis doucement à spasmer sous ses baisers, soupirant légèrement d'aise.

« C'est une zone... à risque où tu joues, mon beau. »

Je fermais les yeux tout en posant lourdement ma tête contre le mur, soupirant légèrement d'aise lorsque je le sentis mordre le creux de ma jambe. Le petit coup de langue me fis sourire en coin et je ne pus m'empêcher de poser ma main dans ses cheveux, le serrant légèrement. J'ouvris les yeux lorsque j'entendis ma collègue de travail saluer les colosses.

« Aishh... Cette conne, je l'avais oublié. Elle va tout faire foirer... »

Je repoussais doucement In Ha, fouillant dans mon haut, dans la petite poche et sortie mon cellulaire pour envoyer un message texte à ma collègue:

Yo.. J'ai dû me barrer avec le mec qui est arrivé dans la boutique. On est dans le parking, on se sauve. Ferme sans moi beauté.

J'envoyais le message et je l'entendis en parlé aux hommes. Han qu'elle grande gueule. Je souris en coin en serrant ma jambe autour de l'épaule d'In Ha, le forçant à s'approcher entre mes jambes. Je le regardais d'une façon provocatrice et descendis ma jambe, le contournant pour aller voir ce qui se passait à l'extérieur.  Je me penchais vers l'avant pour que ma jupe se lève, laissant entre-voir mon sous-vêtements rose bonbons dessiner mes courbes à la perfection, cachant à peine mon fessier. Les hommes étaient parties et ma collègue faisait la fermeture. Bon, on allait être seuls. Vraiment seuls à partir de ce moment. Avant que ma collègue ne m'aperçoive, j'entrais ma tête dans la cabine.

Bon... On est seuls... Tu veux toujours partir ou tu veux goûter à quelque chose d'encore plus excitant que de se sauver d'une bande de gorille ?

Je me retournais pour le regarder dans les yeux en me léchant les lèvres. Je sortis de ma poche les sous-vêtements que je voulais m'acheter et le fit tournoyer autour de mon doigt.

On pourrait voir si ce petit bijoux me va bien.

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Mi Hee & In Ha

Une zone à risque ? Pourquoi as-tu dit ça si fort ? J'ai un faible pour les endroits risqués. Elle me prévenait, et j'étais curieux de ce que ça allait lui faire si j'allais plus loin. Mes lèvres continuaient à se balader le long de ses cuisses, traçant son chemin de légers baisers, montant doucement jusqu'à ce creux féminin sans pour autant y toucher. Mission de reconnaissance. Je m'amusais à sentir des frissons parcourir sa jambe posée sur mon épaule, je me demandais à quel point elle pouvait se crisper, ou trembler de plaisir si je m'aventurais ailleurs ? A quoi est-ce que je pensais.. Un vrai débauché ! Je m'agrippais à elle avec envie, me retenant de n'en faire qu'à ma tête, sachant que j'étais tout de même dans le centre commercial de mon père. Oh on s'en fichait... Ahh mais qu'est-ce que j'entends ? Des soupirs.. Sexy. Ses mains dans mes cheveux m'incitant à continuer, quant où à coup, j'entendis la vendeuse arriver à l'entrée du magasin et s'adresser aux trois hommes. Ah merde là revoilà ! Je releva ma tête en direction du bruit, alors que Mi Hee attrapait soudainement son téléphone pour envoyer certainement un message, avant de m'inciter à avancer un peu plus mes lèvres vers l'endroit qui devait la titiller, en appuyant sur mon épaule d'un coup de talons. Je m'en approcha, puis sans rien faire, je me recula en souriant, la fixant d'un air "Qu'est-ce que tu veux ? Je ne comprends pas moi". Tu parles ! Elle se dégagea finalement du mur pour aller voir à travers le rideau ce qui se passait, m'offrant volontairement une vue sur ses dessous. Je lâcha un « Tss.. » en souriant, avant de me redresser, curieux de leur conversation à l'extérieur, jouant l'ignorance du rose sucré que je venais d'entrevoir. J'observai la jeune femme, pendant que je regardais ma montre, avant envoyer à mon tour un message à mon guitariste, le prévenant que j'aurais peut-être du retard. On avait un concert ce week-end, il y avait encore du boulot niveau arrangement, je ne pouvais pas me permettre de louper cette répétition. Moins de deux heures, j'avais encore du temps. 

La question de la jeune femme me fît à nouveau rire, mon regard glissant silencieusement sur ses courbes. « ça dépend si ça me donne autant d'adrénaline.. » avais-je répondu, haussant d'un sourcil en découvrant ce qu'elle avait de cacher dans ses poches. Oh putin c'est pas vrai.. Protégez donc un peu ma libido ! Je soupirai, me sentant soudainement faible comme l'homme que j'étais. Je passai la main dans mes cheveux détaillant les bouts de tissus en dentelle qu'elle tenait. « T'es sérieuse ? » Elle avait une telle audace, elle me surprenait réellement. Elle voulait.. se changer devant moi ? Je leva les yeux au ciel, j'allais crever ici, crever de plaisir, mais bel et bien crever ! Pourquoi toutes les diablesses de Séoul venaient à moi, me torturant de leurs corps aguicheurs ? Oui j'aimais les femmes qui me surprenaient et qui avaient de la répartie, mais tout de même ! Je m'avança à pas de chat vers elle, avant de l'attirer contre le large miroir de la cabine. Mes yeux dans les siens, sans jamais les lâcher comme si un défi en dépendait, je refis à nouveau glisser mes mains sous sa jupe, ôtant cette fois-ci le bout de tissus que je fis descendre avec la plus grande attention le long de ses jambes. Puis, je récupéra un de ses "bijoux" qu'elle avait dans sa main. Accroupi devant elle, j'entreprenais de le lui enfiler délicatement, le faisant monter lentement, mes doigts jouant sur sa peau à son passage. La jupe couvrait l'essentiel, et je m'amusais à ne toucher que ce qu'il fallait, sans jamais m'attarder plus loin. Si, simplement mes mains, mes mains qui craquaient toujours les premières. Je souleva entièrement sa jupe, laissant entrevoir le tissu en dentelle rouge, qui se reflétait entièrement dans la glace derrière elle. Sensuel. Mes lèvres s'étirèrent, penchées non loin des siennes, alors que je lui montrais ce que cela donnait, la tournant devant le miroir. « Le rouge correspond mieux à ta personnalité.. non ? Ardeur et tentation. » J'en étais même certain. Comme je le disais, mes mains s'attardaient sur ses hanches dénudées, passant de la texture fine de la lingerie, à sa peau douce. « Qu'est-ce que tu cherches, Mi Hee ? Les lieux étroits t'excitent ? » murmurai-je dans son cou, à nouveau provocateur, mon torse collé contre elle. C'est vrai, qu'est-ce qu'elle avait tout d'un coup ? Ça me surprenait qu'elle se montre aussi entreprenante aujourd'hui. Était-ce mon costume qui lui faisait de l'effet ? Allez savoir..   
  
 
 

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L'élan de sensualité fut stopper net par l'apparition de ma collègue dans la boutique. Eh merde, ça m'avais coupé dans mon élan d'envie de sexe. Je devais donc y remédier pour ne pas se faire piéger. J'envoyais donc un texto à ma collègue, m'empêchant le plus possible de faire du bruit en sentant In Ha s'amuser avec mes cuisses. Je me mordillais la lèvre inférieur tout en composant mon message. Une fois terminé, je me dégageais de son emprise, allant voir ce qui se tramait à l'extérieur, faisant bien exprès de l'aguicher un peu en me penchant un maximum pour y dévoiler mon sous-vêtement. Celui-ci se montra indifférent, ce qui me fit sourire en coin. M'enfin, ce qui m'importais pour l'instant, c'est que ma collègue dégage et heureusement pour nous, elle faisait la fermeture seule.

Je me retournais donc vers mon compagnon de cabine d'essayage et sortie le grand jeu. Finit de jouer. Je lui posa la question, lui laissant le libre choix de partir ou non. Et puis, je lui montrait quelque chose qui semblait le retenir, ce qui me fit sourire en coin. Moi, sérieuse ? Oui. Je n'avais pas froid aux yeux. C'était tout simplement normal de se changer après tout. Ce n'était pas comme si j'allais me dénudé entièrement. Et puis, l'avis d'un mec, c'est quand même très important.

« J'ai l'air de rigoler ? »

Avais-je demander en haussant un sourcil, ne le quittant pas des yeux. Lorsqu'il s'approcha de moi en pas de chat, je sentis mon coeur rater des bons. Et c'était repartit. J'adorais ce jeu, oh oui. Surtout qu'avec lui, le jeu s'enflammait à chaque fois. Je ne croyais pas vivre ce genre de sentiment avec In Ha. Malheureusement, je ne pouvais plus faire demi-tour. Le sentant descendre mon sous-vêtement lentement, je me mis à sourire en coin, sans quitter ses yeux bruns, appréciant le moment. Je n'avais nullement besoin de le faire qu'il exécuta ce que je souhaitais dans une grâce qui me faisais presque fondre. Me léchant les lèvres lorsqu'il prit le sous-vêtement rouge de mes mains, il s’accroupit devant moi pour y glisser le tissus, sans aller trop loin dans son aventure. Oh le petit coquin, il n'avait pas encore finit avec moi.

Lorsqu'il mit en place mon morceau de vêtement, il souleva complètement ma jupe, détaillant dans le miroir l'effet de ce bout de tissus sur mon fessier. Je savais que mon choix valorisait mes cuisses et mon derrière, ce qui pouvait rendre la gente masculine dingue. Par contre, monsieur ne semblait pas pressé de goûter à la viande offerte. La tigresse devra se montrer un peu plus invitante alors. Quoique de jouer ainsi était fort bien amusant aussi.

Lorsqu'il me tourna vers le miroir pour que je regarde l'effet, je me mis à sourire tout en posant une main sur le rebord du tissus. J'admirais également dans le reflet nos deux corps collés ensemble, ce qui fit battre à tout rompre mon coeur. C'est-ce qui était mignon. C'est-ce que je désirais au plus profond de mon être. Bordel, j'allais littéralement craqué à nouveau. Non, pas sur In Ha, je ne pouvais pas, c'était un ami. Un ami très proche maintenant. Sa question me sortit de mes pensées et je soupirais légèrement d'aise en sentant son souffle dans mon cou, perdant légèrement l'équilibre. Bon sang, pas cette zone là non plus. Les cuisses et le cou étaient mes deux points faibles, sans compter la poitrine.

« Je veux toi... C'est pas assez claire ? »

Je souris en coin et posa mes mains sur ma jupe. Sans me détacher de lui, je me penchais pour retirer complètement ma jupe qui me gênais, prenant un certain temps avant de me redresser. Une fois droite, je me regardais dans le miroir, matant le tissus dessiner les courbes de mes fesses à la perfection.

« Hmm... Tu as bien raison, cette couleur me va très bien... Sauf que...

Je retirais ma veste de travail, la lançant parterre. Je me retrouvais qu'en sous-vêtement, ne portant rien d'autres en dessous de mon uniforme.

« Le haut et le bas ne s'agence pas.

Je souris en coin en regardant In ha dans les yeux. Les lumières furent éteintes et seuls quelques lumières éclairaient encore la cabine d'essayage. Ma langue se glissa sur ma lèvre inférieur. Là, on était bel et bien seuls.

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Mi Hee & In Ha

Foutue tentation. Tentation avec un grand "T". Était-ce un test ? Une jeune femme que je considérais depuis peu comme une amie, m'aguichant sans gêne, sans pitié, me faisant amplement profiter de ce qui se dévoilait sous mes yeux. J'étais faible, comme beaucoup d'hommes, mais d'une fidélité indomptable. Mais en ce moment, je n'avais aucune personne envers qui être fidèle, alors ! Je détaillai le contour de ses fesses rebondies à travers le miroir. Comme je l'avais deviné, elle est vraiment très bien faite. Habillée, elle se mettait déjà bien en valeur, mais alors là, il y avait de quoi la faire poser pour un peintre ou un photographe même ! Je caressai du bout des doigts ses hanches gourmandes, les formes féminines avaient tendance à me mettre en appétit. Même si la majorité des coréennes étaient bien trop minces à mon goût, mais sans pour autant ne pas m’intéresser, Mi Hee était plus le genre de femmes à me faire tourner la tête en quelques secondes si elle passait devant moi. Vous savez, comme le loup dans Tex Avery qui tire sa langue jusqu'au sol, ça serait ma tête ! Mais je ne l'avais jamais dragué pour autant, allez savoir pourquoi. Je n'étais pas du genre à poursuivre toutes les jolies femmes qui passaient devant mon nez, beaucoup m'inspiraient pour des chansons, et je n'en crevais pas si je n'avais pas de compagnie pour un soir. Le désespoir de ne pas avoir un corps à étreindre ne me concernait pas, j'étais servi, aimant être poursuivi que de poursuivre moi-même. Ou peut-être les deux ? Etre dragué par une femme, c'était intéressant, car l'audace était très attirant. Mi Hee avait de l'audace, surtout en me disant qu'elle me voulait. J'esquissai un nouveau sourire, embrassant son cou. « Ah oui.. ? » Ma spécialité ? Me faire désirer, prendre mon temps et satisfaire l'autre avant-tout. J'allais la faire bouillir, l'impatiente.

J'ôtai mes mains d'elle, alors qu'elle enleva entièrement sa jupe qu'elle fît tomber au sol. Je leva à nouveau les yeux au ciel, amusé en voyant que madame s'attardait en position penché devant moi. Elle était pas possible, j'vous jure.. Oui tu as de très belles fesses, arrête de me les agiter sous le nez ! Mes yeux pétillèrent un instant quand elle se redressa enfin, ses hanches entièrement dévoilées dans la dentelle couleur passion. Je me mordis la lèvre inférieure, alors qu'elle admirait son reflet. Oh tuez-moi.. Mes mains se crispaient le long de mon corps, je commençais à avoir clairement chaud sous ma chemise. Je l'entrouvris un peu plus d'un bouton, alors que la jeune femme se débarrassait maintenant de son haut, et mes yeux continuaient à la fixer dans le miroir, attentif à ce qu'elle me laissait découvrir. Une taille fine, une poitrine attrayante et la sensualité qui allait avec.. Son regard rencontra le mien, regardez-moi donc cette arrogance ! Elle avait une telle confiance en elle, savait-elle que cette part de sa personnalité était encore plus excitante que son corps ? Je lâchai un petit rire à sa dernière phrase. Je m'avançai à nouveau contre elle, humant le parfum qui se dégageait de son cou. « Oh comme c'est dommage, ce détail est particulièrement frustrant.. » murmurai-je, passant ma main le long de son bas-ventre, caressant la limite du tissu dentelé. Mon autre main remontait de son bassin jusque dans son dos, attrapant l'ouverture de son soutien-gorge entre mes doigts. Je releva mes yeux vers les siens qui se reflétaient dans le miroir. « Il va falloir l'enlever, tu n'y vois pas.. d'inconvénient je suppose ? » J'entrouvris sans peine le fermoir en question, un sourire en coin. Je m'éloigna de son cou, l'incitant à se pencher légèrement en avant contre la glace, alors que mes lèvres vinrent se balader dans son dos mis à nu. Je descendais le long de sa colonne en la frôlant en silence, mon autre main remontant le long de son ventre jusqu'à sa poitrine. Je traça mon passage du bout de la langue dans le creux de ses reins, avant de me redresser, la pressant calmement contre moi. Je captura l'une de ses rondeurs, tout en effleurant toujours le haut de son sous-vêtement, remontant et descendant de quelques centimètres, évaluant la frustration de Mi Hee dans ses expressions. « Suis-je agaçant.. ? » murmurai-je contre son oreille, amusé. Ma main qui s’intéressait avec attention à sa poitrine remonta le long de sa mâchoire, pour lui faire tourner la tête vers moi. « Tu n'as encore rien vu... » rajoutai-je, frôlant ses lèvres d'un sourire insolent, avant de les dévorer avec avidité, sa chaleur se mêlant à la mienne contre mon torse..   
  
 
 

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Comme si il ne savait pas ce que je désirais. Son jeu de séduction m'avait atteinte et s'il croyait que j'allais le laisser filer maintenant, il se foutait le doigt dans l'oeil. Il avait éveillé en moi la tigresse, cette tigresse qui désirait temps que l'on s'occupe d'elle. Il avait montré une quelconque attention envers moi, ce qui eut pour effet chez moi de créer ce même vide qui se creuse à chaque année depuis que ma famille ait été déchirée. Je me retrouvais à nouveau dans les griffes du désir d'être aimer et je voulais le combler d'une manière encore dangereuse pour ma psychologie, mais bon.

Me montrant plus qu'aguicheuse face à In Ha, je m'amusais fortement à le faire baver sur mon corps. Il n'était ni mince, ni gros. Tout simplement parfait. À mes yeux, un peu de viande était un pure délice alors qu'un tas d'os ne donnerait pas tellement faim. De plus, j'avais de quoi me venter avec ma poitrine non-refait et mes fesses dignes des Américaines. J'avais un beau popotin bien dessiné et ce bout de tissu le mettait en valeur. Se faire désirer était un sentiment tellement attirant qu'on ne pouvait pas s'en passer. C'était une vraie drogue.

Décidant d'aller plus loin encore, au vu de comment monsieur réagissait, je décidais de me débarrasser également de mon haut d'uniforme, me ramassant en sous-vêtements. Je me dandinais devant In Ha, me matant dans le miroir tout en jetant des regards au Wonsungis qui n'était pas du tout indifférent, ce qui me fit sourire en coin. Lorsqu'il s'approcha de moi, son corps coller à mon dos, je me mis doucement à soupirer d'aise, me mordillant l'intérieur de la lèvre inférieur. Son souffle dans mon cou me fit perdre à nouveau la tête. Il le faisait exprès, j'en étais sûre. Il allait me le payer.

Répondant à ma petite plainte concernant l'agencement de mes sous-vêtements, je le vis, au travers du reflet de la glace, passer sa main sur mon bas-ventre, allant caresser le début du tissus. Je me mordilla fermement la lèvre, le voyant relever son autre main dans mon dos, allant poser ses doigts contre l’agrafe de mon soutien-gorge. Je secouais la tête en guise de réponse, étouffant un petit rire coquin. Tout en le laissant caresser le tissu de mon bas-ventre et défaire l'agrafe, je me penchais vers l'avant, vers la glace, alors que je soupirais légèrement en le sentait bécoter ma colonne. Sa main vint jouer avec ma poitrine, ce qui me débalança légèrement sous le petit plaisir que sa main chaude procurait à l'un de mes seins. Sa langue qu'il passa sur ma peau me fit frémir de plaisir. Putain qu'il me faisait tourner la tête. Cette tentation continuait avec son jeu de descende et de remonte sur mon bas-vente, ce qui m'énervais, dans le bon sens. Je frissonnais lorsqu'il me posa la question dans mon oreille.

« Oui... Tu m'énerves... Mais j'aime bien. »

Suivant du regard au travers de la glace la main de In Ha qui relâchait ma poitrine pour aller vers ma mâchoire, je suivais le mouvement sans broncher, posant mon regard reluisant de désir dans celui du Jaune. Je me mis à sourire en coin en entendant ses paroles, participant par la suite à son baiser. Je laissais glisser ma langue entre nos bouches, allant rejoindre la sienne. Et sans détacher nos lèvres, je poussais de ma ma main, la sienne, celle qui jouait un peu sur mes envies. Je le poussa, restant coller à lui, jusqu'à le faire assoir sur un banc carré qui ressemblait à une chaise. Elle pouvait être déplacer comme nous le voulions, héhé. Le chevauchant en passant mes jambes de part et d'autres des siennes, je continuais à intensifier le baiser tout en m'assoyant sur ses cuisses, caressant le haut de son corps. Pressé, je lui déboutonna sa chemise, cassant presque quelques boutons. Je me reculais légèrement lorsque j'atteignis le bas et détacha finalement mes lèvres des siennes pour lui retirer son chandail, retirant également mon soutien-gorge. Avant qu'il n'ait eut l'occasion de bien détaillé ma poitrine, je collais à nouveau mes lèvres au siennes, allant lui mordiller sa lèvre inférieur en glissant mes mains sur son pantalon propre que je déboutonnais également, ne lui demandant même pas son avis. Je laissais ma respiration être entendu, voulant l'exciter au max. Moi, ça m'excitais en tout cas.

Je relâchais finalement ses lèvres après les avoir mordiller, me reculant légèrement pour le regarder dans les yeux, allaitante.

« Tu n'as... Encore... Rien vu non plus. »

Je souris en coin tout en regardant ses abdominaux. Je me lécha doucement les lèvres tout en laissant mes mains se balader sur son corps.

« Monsieur s'entraîne... Intéressant. »

Laissant mes mains descendre, je la fis glisser dans son pantalon, allant jouer tout doucement avec la bosse dont je connaissais la provenance. Je me mis doucement à rire, moqueur, tout en jetant un regard provocateur à In Ha.

We're two wolf in sheep's clothing

Mi Hee & In Ha

Je cédais. Je lui cédais mais à ma manière, gardons un minimum de contrôle tout de même ! Têtu, emmerdeur, je ne faisais que caresser ce qui était à portée de main, patientant de voir la jeune femme attaquer à nouveau, soudainement intéressé par son ardeur et sa férocité. J'étais ravi si le fait que je l'énervais lui plaisait, c'était le but recherché. Jouer sur tous les fronts, sur tous les sens, sachant que le toucher était sans aucun doute mon préféré. Qu'aimait-elle ? Quelle zone allait la faire frissonner, soupirer, gémir.. crier ? Laisse-moi donc découvrir tout cela, je sentais que cela allait me plaire, pensais-je en l'embrassant. Sa langue s'entremêlant à la mienne, son regard plongé dans le mien dans ce baiser avait quelque chose d'érotique. Alors qu'elle se retournait pour venir se lover dans mes bras, me poussant en arrière, je me retrouva assis sur une large chaise posée dans le coin, la jeune femme prenant place sur moi. Un soupir traversa mes lèvres quand elle s'appuya non loin de mon entrejambe, chacun de ses mouvements provoquait une petite décharge électrique à cet endroit précis. Ses mains s'attardaient sur mon torse dont elle s'empressa de débarrasser de ma chemise qui avait certainement perdu deux ou trois boutons vu le craquement que j'avais entendu, ce qui me fit sourire, mes mains rapprochant ses hanches des miennes avec possession. Qu'elle fasse ce qu'elle voulait, tant que ma chemise était un minimum entière, histoire que je sorte pas à poil d'ici ! Mon attention se reporta davantage sur le fait qu'elle ôtait enfin son soutien-gorge, dévoilant les rondeurs dont je sentais encore le souvenir de leur douceur dans le creux de ma main. C'était il y a une minute ? C'était tellement loin, il fallait renouveler l'expérience ! Plus tard alors puisque sa bouche attaqua à nouveau la mienne, collant sa poitrine contre mon torse, mes mains dans son dos creusant ses reins avec désir. Viens là, approche... approche encore... Sa main s'occupait de déboutonner mon pantalon, je me laissais faire sans broncher, bien trop occupé par ses baisers qui me rendaient fous ! Ses baisers à eux seuls étaient un véritable délice ! Que me réservait-elle encore ?

Elle se recula enfin, nos respirations se faisaient écho dans le silence du magasin, pourtant je n'avais qu'une envie, que la sienne soit plus forte encore... Tant mieux si je n'avais encore rien vu, j'étais sûr qu'ensemble, on allait certainement pas s'ennuyer. Elle esquissa du bout des doigts les dessins marqués de mes abdominaux, me provoquant quelques frissons. « Si je te dis que c'est naturel, tu me crois ? » lui lançai-je, avec arrogance. En réalité, je ne faisais pas des masses de sport, simplement de la musculation. Les concerts me débarrassaient de tous les calories superflus, encore mieux qu'un régime ! Moi, je la croyais en tout cas si elle disait que sa poitrine était naturelle, pensai-je, mon regard s'y attardant un instant bien trop longtemps, alors que Mi Hee avait mis la main sur la zone qui commençait à prendre de l'ampleur depuis son dernier tâtonnement ! Elle s'en amusait hmm ? Du fait que c'était elle qui provoquait cette réaction ? Fier, je me rapprocha d'elle pour embrasser le haut de son ventre, avant de glisser mes lèvres vers ses seins, suçotant ses boutons de chair si sensibles chez les femmes. M'attardant sur l'un, ma main s'occupait du délaissé, écoutant avec satisfaction les soupirs qui s'échappaient plus haut. Ma langue savoura sa peau, le creux de sa clavicule, sa mâchoire, avant de capturer à nouveau ses lèvres, agrippant doucement l'arrière de sa tête. Je la voulais. Je la voulais ici, et maintenant.

Sans prévenir, je la cala contre moi et la souleva, l'incitant à entourer mes hanches de ses jambes. Je la plaqua contre le mur, me fichant désormais du bruit que l'on ferait, mes mains agrippant fermement ses cuisses. J'interrompis notre échange de souffle, haletants dans la cabine peu éclairée. « Je.. Je n'ai rien sur moi. Tu m'as pris... au dépourvu il faut dire ! » affirmai-je, amusé par la tournure de la situation. Heureusement que j'avais dit à mes potes que j'arriverais en retard d'ailleurs. « J'ai ce qu'il faut dans le bureau, quelques étages plus haut.. A moins... que tu ne veuilles t'arrêter là ? » Je la reposa par terre, en souriant. Mais biensûuuuur ! Je lui fis enfiler ma veste de costard, histoire de la couvrir un peu, refermant quelques boutons à regret sur sa charmante poitrine. Elle couvrait le bas de ses fesses, elle était assez grande pour elle au moins. Je l'incita à prendre ses affaires, mes mains s'attardant toujours sur ses hanches, comme si j'avais désormais bien dû mal à rompre le contact. A l'extérieur de la cabine, plus personne. On entreprit de sortir vite du magasin par la porte de sortie réservée au personnel, atterrissant désormais dans une des allées du centre commercial. Plus un seul client, un bon point pour nous ! On arpenta rapidement les lieux, frôlant les murs en riant, de peur de se faire voir. J'admirais la dentelle rouge de son fessier dépasser de ma veste noire, alors qu'on entrait dans l'ascenseur réservé aux employés des bureaux. L'ascenseur s'éleva calmement, alors que l'impatience commençait à me gagner. Faisant reculer Mi Hee contre les vitres en verre, je colla à nouveau mes lèvres aux siennes, ma main glissant cette fois-ci lentement entre ses cuisses, titillant avec provocation son intimité à travers le dernier tissu qu'elle portait. Heureusement qu'il n'y avait plus personne, sinon tous les yeux seraient braqués en l'air vers nous. « Sept étages, que le plaisir est court.. Mais le bureau qui nous sauvera est tout au fond du couloir. » murmurai-je, alors que la porte s'ouvrait. C'était mon bureau, donc il n'était certainement pas fermé à clé. Un regard à droite, un regard à gauche, personne en vue, l'étage était à nous !   
  
 
 

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

We are Animals. We are young. We are free.

With In Ha

Mon surnom aurait dû être la veuve noir, celle qui attire son partenaire pour le dévorer tout crue après une partie de jambe en l'air. Bon, la seule différence, c'était que je n'allais pas le manger pour de vrai, seulement, le manger quoi. Savourer chaque parcelle de sa peau, le toucher, l'embrasser, le cajoler, le lécher. Bref, c'est ça pour moi dévorer mes proies. Et pas n'importe qu'elles proies: celles dont mon jugement se reportait sur le critère de on prétendant. Je ne les forçais pas à m'aimer. À quoi bon aimer de toute façon, hein ? Je ne voulais que sentir le sentiment d'être vivante, d'être aimé, c'est tout.

Je n'avais encore rien vue, hein ? Il n'avait encore rien vu. Sa simple phrase me donnais un terrible goût de lui montrer à quel point je pouvais être sensuelle, désireuse, remplis de surprise. Ce n'est que lorsqu'il m'embrassa que je sortis le grand jeu, l'embrassant des plus sensuellement tout en le poussant contre cette chaise carrée cousiné, le chevauchant. Je laissais ma bouche et mes mains faire leur travail, occupant In Ha, lui faisant à la fois plaisir et désirer mon corps tout entier. Je souriais en coin en le sentant répondre, se montrant également sensuelle, ce qui me fit lui mordre sa lèvre inférieur avec un désir palpable.

Relâchant sa lèvre, je m'attardais à ses abdominaux que je dessinais avec mes doigts. Je souris en coin en voyant que je lui provoquais des frissons et je continuais mon jeu, sans m'en lasser, lui répondant néanmoins.

« Oh... Mais je te crois... Il y a du travail là-dedans. »

Souriant toujours en coin, je glissais ma main dans son pantalon, allant jouer avec sa belle bosse. Le pauvre devait être si serrer dans ce petit espace. Soudainement, je retins ma respiration lorsqu'il s,avança ver le haut de mon ventre, l'embrassant. J'échappais un léger soupir avant de poser mes mains dans sa chevelure lorsqu'il s'attardait à l'un de mes seins, s'amusant avec sa langue sur l'un de mes boutons de chair. J'échappais un petit gémissement de plaisir, appréciant ce traitement. Même s'il caressait mon autre sein de sa main, cette seule sensation me chatouillait le bas ventre. Je frémissais de plaisir soupirant à chaque coup de langue bien placer. Bordel qu'il savait s'y prendre. Même quand il utilisait sa langue tout court. D'ailleurs, il la laissa traîner sur ma clavicule, ma mâchoire jusqu'à mes lèvres qu'il embrassa avec une envie qui me fit sourire. Lui autant que moi, étions échauffer en ce moment. Just like animals.

Soudain, In Ha me cala contre lui, me levant avec lui. Automatiquement, je passais mes jambes autour des siennes, me calant le bas de mon ventre contre le sien, lui mordillant doucement sa lèvre avant qu'il ne se détache de moi. J'affichais une moue lorsque tout s'arrêta. Ouais bon, la protection d'Abord. Je ne voulais en aucun cas tomber enceinte. Erff... Les mômes, j'en voulaient pas.

« Oh un bureau... J'ai toujours voulu baiser sur u  bureau. »

Je me mis doucement à rire avant de lui prendre sa nuque, me levant sur la pointe de mes pieds. Je posais mes lèvres contre les siennes avant de prendre sa chemise et de l'enfiler, boutonnant pour dissimuler ma poitrine, quoique mon derrière n'était pas superbement camouflé. Un seul mouvement vers l'avant et bonjour le soleil levant. Je parie qu'In Ha aura un plaisir fou à mater le petit coquin alors que moi, je devrais attendre. Pfff, l'injustice ! Prenant mes affaires, j'ouvris le rideaux et regarda autour, sentant les mains de mon acolyte sur mes hanches. Hmm, ses mains chaudes bon sang, il procurait un fort sentiment de réconfort.

Nous sortîmes de notre petite cabine tout en empruntant la sortie des employés. Nous longeâmes les corridors, tels des espions. Je me sentais littéralement dans le film James Bond là. Cette petite aventure était fort excitante. On riait comme des gamins, ayant peur de se faire prendre. Ouais, les gardes de sécurités devaient être quelque part hein, et je crois qu'ils aimeraient bien nous surprendre, surtout dans mon habit actuel.

Nous arrivâmes enfin devant l’ascenseur et entrâmes à tour de rôle. Je fit face à In Ha et celui-ci me fit reculer contre la vitre, m'embrassant avec un désir fou dont je partageais avec lui. Je participais à son baiser avec fougue, laissant mes mains lui caresser sa peau nue, laissant mes ongles lui pénétrer la peau de son dos lorsque je le sentis me titiller au niveau de mon intimité. Je relâchais un soupir près de son oreille pour l'exciter également. Les portes ne s'attardèrent pas à s'ouvrir sur le septième étage. Bordel, déjà ?! Il avait raison, le plaisir était trop court à mon goût.

Je lui agrippais ses fesses pour sentir le bas de son ventre contre le mien, sentant sa bosse frôler mon intimité. Je souris en coin avant de me détacher de lui, appuyant sur le bouton pour garder les portes ouvertes. Je lui pris sa main, le tirant avec moi sur l'étage où son bureau était. Je le tirais vers moi et le plaqua solidement au mur, lui embrassant son torse avec envie, laissant ma main glisser à nouveau dans son pantalon, plus particulièrement son boxeur, massant directement son membre qui devenait de plus en plus dur sous mes caresses. Je le relâchais, histoire de le faire baver un peu et lui jeta un regard de défi, m'éloignant de lui en reculant, sans le quitter des yeux. Je passais ma langue sur mes lèvres, déboutonnant quelques boutons pour lui montrer le début de ma poitrine voluptueuse. Levant mon indexe pour lui faire signe de venir, je continuais à reculer, passant une main sur ma cuisse en remontant légèrement sa chemise que je portais. Je me mordillais la lèvre inférieur, joueuse.

« Ça se joue à deux mon chaton... »