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Cap ou pas cap ? ~ #YUBI
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Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Sam 2 Avr - 23:51
Un bras posé sur les épaules de Dambi, je déambule avec ma sœur entre les machines de jeu du Matrix, une sucette coincée dans la bouche, à la recherche de quelque chose de sympa à faire avec ma Bambi. Mais bizarrement, aujourd'hui, rien ne m'inspire. Faire des concours du meilleur score sur Pacman c'est marrant un temps mais là, j'ai envie qu'on fasse autre chose. Quelque chose d'un peu plus fun et original. C'est à ce moment que je remarque le stand de tir à la carabine pas très loin de nous et un sourire apparaît sur mes lèvres. « Dis donc soeurette, ça te dirait que ce soir on s'improvise snipers ? » Je la regarde un sourcil haussé avant de retirer mon bras de ses épaules pour lui attraper la main et l'entraîner à ma suite en esquivant les gens sur notre chemin. Je m'arrête devant le stand, un peu essoufflé par notre course et tends un billet au vendeur en lui demandant : « Pour deux personnes s'il vous plaît ! ». Le type empoche son argent et nous donne les deux armes avant de replonger son nez dans son portable sans plus se soucier de nous. Je passe sa carabine et Dambi et lui explique rapidement mes règles pour notre jeu de ce soir : « Bibi, on a 10 billes chacun. Et avec ça, on a de quoi se faire un super cap pas cap. Celui qui réussi le plus d'objectifs gagne le droit de demander à l'autre de faire le gage qu'il veut ! T'es prête ? » Je regarde un peu partout autour de nous avant de trouver quelque chose d’intéressant. « Alors... Cap ou pas cap de réussir à tirer dans le bide de la grosse peluche là bas, au bout du stand ? » C'est soft pour le moment mais on sait tous les deux que ça va pas tarder à prendre de l'ampleur. De toute façon avec les billes d'air avec lesquelles sont chargées nos carabines, on ne risque pas de faire de mal à quelqu'un, mais on peut toujours foutre un beau bordel !
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki 
Un bras posé sur les épaules de Dambi, je déambule avec ma sœur entre les machines de jeu du Matrix, une sucette coincée dans la bouche, à la recherche de quelque chose de sympa à faire avec ma Bambi. Mais bizarrement, aujourd'hui, rien ne m'inspire. Faire des concours du meilleur score sur Pacman c'est marrant un temps mais là, j'ai envie qu'on fasse autre chose. Quelque chose d'un peu plus fun et original. C'est à ce moment que je remarque le stand de tir à la carabine pas très loin de nous et un sourire apparaît sur mes lèvres. « Dis donc soeurette, ça te dirait que ce soir on s'improvise snipers ? » Je la regarde un sourcil haussé avant de retirer mon bras de ses épaules pour lui attraper la main et l'entraîner à ma suite en esquivant les gens sur notre chemin. Je m'arrête devant le stand, un peu essoufflé par notre course et tends un billet au vendeur en lui demandant : « Pour deux personnes s'il vous plaît ! ». Le type empoche son argent et nous donne les deux armes avant de replonger son nez dans son portable sans plus se soucier de nous. Je passe sa carabine et Dambi et lui explique rapidement mes règles pour notre jeu de ce soir : « Bibi, on a 10 billes chacun. Et avec ça, on a de quoi se faire un super cap pas cap. Celui qui réussi le plus d'objectifs gagne le droit de demander à l'autre de faire le gage qu'il veut ! T'es prête ? » Je regarde un peu partout autour de nous avant de trouver quelque chose d’intéressant. « Alors... Cap ou pas cap de réussir à tirer dans le bide de la grosse peluche là bas, au bout du stand ? » C'est soft pour le moment mais on sait tous les deux que ça va pas tarder à prendre de l'ampleur. De toute façon avec les billes d'air avec lesquelles sont chargées nos carabines, on ne risque pas de faire de mal à quelqu'un, mais on peut toujours foutre un beau bordel !Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Dim 24 Avr - 3:35
Un bras autour de la taille de Yuki, on se baladait bras dessus, bras dessous entre les machines de jeu, sous les yeux admiratifs des autres joueurs. Certains nous connaissaient sous le duo gagnant. On était détenteur presque en globalité des meilleurs scores de toutes les machines du matrix. Les habitués savaient que nous étions frère et sœur malgré nos différences physique. D’autres pensaient sincèrement que nous étions en couple. Chacun sa sucette en bouche, ne repérions qui serait notre prochaine cible et qui serait victime de notre gourou ultime. Je levais mon visage vers mon Yuki, il avait l’air perdu, comme si rien ne l’intéressait. Je fronçais les sourcils, soucieuse de ses désirs et de son angoisse du jeu. Heureusement, ce n’était que passager, car il s’exclamait bien vite qu’il avait une nouvelle idée pour casser la routine quotidienne. Je le fixais de mes grands yeux de biche alors qu’il me parlait de se la jouer snipers. Se rendait-il compte que je n’avais jamais tenue une arme à feu, soit –elle fictive, en main ? J’acquiesçais pourtant vivement de la tête avec enthousiasme parce que quoi que je puisse faire avec mon grand frère, c’était toujours unique et épique. J’attrapais sa main, et je le laissais me porter à travers la foule. Je regardais l’arme qu’il me tendit, perplexe, la retournant dans tous les sens. J’avais déjà joué à des jeux vidéo en ligne avec manette ou souris qui comprenaient des armes, mais jamais encore de la sorte. C’était donc une première. Je l’écoutais avec concentration alors qu’il m’expliquait ses règles du jeu. Je hochais la tête. J’avais compris le principe. En ce qui concernait la réalisation, je n’étais pas certaine. A ce rythme, c’était lui qui allait gagner le jeu, et haut la main, car je n’étais même pas certaine de savoir comme ca marchait. Je repérais la peluche qu’il me montrait. Et je grimaçais en le regardant avec ma moue toute triste. « Mais on va l’éventrer si on tire dedans… » Et lui comme moi, on savait comme quoi c’était sacré les peluches. J’en avais toute une collection, que ce soit au dortoir ou dans ma chambre dans la grande maison. Et j’avais tendance à crisser quand on y touchait. « Ou alors, promet moi qu’on l’achètera après pour la repérer et la remmener a la maison après. » Je le fixais de mes grands yeux de chat dont les asiatiques n’était pas capable pour l’amadouer.
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
Un bras autour de la taille de Yuki, on se baladait bras dessus, bras dessous entre les machines de jeu, sous les yeux admiratifs des autres joueurs. Certains nous connaissaient sous le duo gagnant. On était détenteur presque en globalité des meilleurs scores de toutes les machines du matrix. Les habitués savaient que nous étions frère et sœur malgré nos différences physique. D’autres pensaient sincèrement que nous étions en couple. Chacun sa sucette en bouche, ne repérions qui serait notre prochaine cible et qui serait victime de notre gourou ultime. Je levais mon visage vers mon Yuki, il avait l’air perdu, comme si rien ne l’intéressait. Je fronçais les sourcils, soucieuse de ses désirs et de son angoisse du jeu. Heureusement, ce n’était que passager, car il s’exclamait bien vite qu’il avait une nouvelle idée pour casser la routine quotidienne. Je le fixais de mes grands yeux de biche alors qu’il me parlait de se la jouer snipers. Se rendait-il compte que je n’avais jamais tenue une arme à feu, soit –elle fictive, en main ? J’acquiesçais pourtant vivement de la tête avec enthousiasme parce que quoi que je puisse faire avec mon grand frère, c’était toujours unique et épique. J’attrapais sa main, et je le laissais me porter à travers la foule. Je regardais l’arme qu’il me tendit, perplexe, la retournant dans tous les sens. J’avais déjà joué à des jeux vidéo en ligne avec manette ou souris qui comprenaient des armes, mais jamais encore de la sorte. C’était donc une première. Je l’écoutais avec concentration alors qu’il m’expliquait ses règles du jeu. Je hochais la tête. J’avais compris le principe. En ce qui concernait la réalisation, je n’étais pas certaine. A ce rythme, c’était lui qui allait gagner le jeu, et haut la main, car je n’étais même pas certaine de savoir comme ca marchait. Je repérais la peluche qu’il me montrait. Et je grimaçais en le regardant avec ma moue toute triste. « Mais on va l’éventrer si on tire dedans… » Et lui comme moi, on savait comme quoi c’était sacré les peluches. J’en avais toute une collection, que ce soit au dortoir ou dans ma chambre dans la grande maison. Et j’avais tendance à crisser quand on y touchait. « Ou alors, promet moi qu’on l’achètera après pour la repérer et la remmener a la maison après. » Je le fixais de mes grands yeux de chat dont les asiatiques n’était pas capable pour l’amadouer. Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Sam 7 Mai - 15:24
Les grands yeux de biche de Dambi, c'est tout bonnement impossible d'y résister. Ou alors il faut être quelqu'un de totalement insensible et encore, même là je ne suis pas sûr que son regard tout doux puisse laisser de marbre. Même un chaton ça a l'air agressif à côté d'elle. Je lui souris donc et pince gentiment son nez avant de la prendre contre moi parce que je peux pas résister : « T'en fais pas ma Bibi, on prendra toutes les peluches que tu voudras ! D'ailleurs tu sais quoi ? C'est pas une si bonne idée de tirer dans un pauvre nounours qui a rien demandé à personne. Pour le moment, on va juste s’entraîner à tirer sur les cibles devant nous et quand on sentira qu'on est assez balèzes pour prétendre pouvoir devenir des snipers d'élite de la US army, on s'attaquera à des cibles plus difficiles ! Prête ? » Je relève mes lunettes sur le sommet de mon crâne, cale le fusil contre mon épaule et ferme un œil pour viser le plus justement possible. Pendant quelques secondes, je reste totalement immobile... Puis je tire. En plein dans le mile. Je me redresse en souriant et explique à Dambi : « Quand j'étais petit, tous les ans en été pendant la fête foraine de Séoul, avec mon père on faisait des concours de tire. Et comme le reste de l'année je le voyais pas, je m'entraînais pour pouvoir l'impressionner. » Je recharge ma carabine et commence déjà à me concentrer sur ma prochaine cible quand j'entends des éclats de voix non loin de nous. Je fronce les sourcils et me retourne pour voir une fille tenter de se dégager de la poigne d'un type à l'air louche. Hummm. Apparemment elle n'a vraiment pas envie d'aller avec lui, mais lui n'en a rien à cirer. Et plus elle se débat, plus il semble énervé. Au moment ou je vois le poing du gars se fermer et commencer à se lever, j'arme ma carabine, vise et tire en plein dans son cul. Surpris par l'impact (c'est une bille d'air, ça lui a probablement fait seulement l'effet d'un fort pincement) il se retourne et je lui souris en le saluant de la main, la carabine toujours pointé sur lui. « HE ! C'EST TOI QUI VIENS DE ME TIRER DANS LE CUL ? » me demande t-il, rouge de rage en s'avançant vers moi. « Oui, toutes mes excuses, c'est le vent qui a dévié ma balle de sa trajectoire. En plus je crois que j'étais pas dans le bon sens, qu'est ce que je peux être maladroit ! » Je lui souris de nouveau, ce qui énerve tellement le type qu'il me colle une beigne en pleine tête. Un peu déséquilibré par le coup, je titube au moment où deux agents de police arrivent en fendant la foule et nous interpellent le type et moi en nous disant « Messieurs, vous allez nous suivre au poste ! » Je grimace mais ne rechigne pas. Après tout, je l'ai un peu cherché. Mais c'est pour Dambi que ça m'embête. « Bibi, appelle Cami pour qu'elle vienne te chercher » je lui dis pendant qu'on me passe les menottes. « Et dis lui que je suis au poste pour la bonne cause ! » puis je lui fais un clin d’œil pour ne pas l'inquiéter et accompagne le policier sans faire d'histoire. Inutile d’aggraver mon cas, je viens quand même de tirer sur quelqu'un.
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Dambi & Yuki
Les grands yeux de biche de Dambi, c'est tout bonnement impossible d'y résister. Ou alors il faut être quelqu'un de totalement insensible et encore, même là je ne suis pas sûr que son regard tout doux puisse laisser de marbre. Même un chaton ça a l'air agressif à côté d'elle. Je lui souris donc et pince gentiment son nez avant de la prendre contre moi parce que je peux pas résister : « T'en fais pas ma Bibi, on prendra toutes les peluches que tu voudras ! D'ailleurs tu sais quoi ? C'est pas une si bonne idée de tirer dans un pauvre nounours qui a rien demandé à personne. Pour le moment, on va juste s’entraîner à tirer sur les cibles devant nous et quand on sentira qu'on est assez balèzes pour prétendre pouvoir devenir des snipers d'élite de la US army, on s'attaquera à des cibles plus difficiles ! Prête ? » Je relève mes lunettes sur le sommet de mon crâne, cale le fusil contre mon épaule et ferme un œil pour viser le plus justement possible. Pendant quelques secondes, je reste totalement immobile... Puis je tire. En plein dans le mile. Je me redresse en souriant et explique à Dambi : « Quand j'étais petit, tous les ans en été pendant la fête foraine de Séoul, avec mon père on faisait des concours de tire. Et comme le reste de l'année je le voyais pas, je m'entraînais pour pouvoir l'impressionner. » Je recharge ma carabine et commence déjà à me concentrer sur ma prochaine cible quand j'entends des éclats de voix non loin de nous. Je fronce les sourcils et me retourne pour voir une fille tenter de se dégager de la poigne d'un type à l'air louche. Hummm. Apparemment elle n'a vraiment pas envie d'aller avec lui, mais lui n'en a rien à cirer. Et plus elle se débat, plus il semble énervé. Au moment ou je vois le poing du gars se fermer et commencer à se lever, j'arme ma carabine, vise et tire en plein dans son cul. Surpris par l'impact (c'est une bille d'air, ça lui a probablement fait seulement l'effet d'un fort pincement) il se retourne et je lui souris en le saluant de la main, la carabine toujours pointé sur lui. « HE ! C'EST TOI QUI VIENS DE ME TIRER DANS LE CUL ? » me demande t-il, rouge de rage en s'avançant vers moi. « Oui, toutes mes excuses, c'est le vent qui a dévié ma balle de sa trajectoire. En plus je crois que j'étais pas dans le bon sens, qu'est ce que je peux être maladroit ! » Je lui souris de nouveau, ce qui énerve tellement le type qu'il me colle une beigne en pleine tête. Un peu déséquilibré par le coup, je titube au moment où deux agents de police arrivent en fendant la foule et nous interpellent le type et moi en nous disant « Messieurs, vous allez nous suivre au poste ! » Je grimace mais ne rechigne pas. Après tout, je l'ai un peu cherché. Mais c'est pour Dambi que ça m'embête. « Bibi, appelle Cami pour qu'elle vienne te chercher » je lui dis pendant qu'on me passe les menottes. « Et dis lui que je suis au poste pour la bonne cause ! » puis je lui fais un clin d’œil pour ne pas l'inquiéter et accompagne le policier sans faire d'histoire. Inutile d’aggraver mon cas, je viens quand même de tirer sur quelqu'un. Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Jeu 12 Mai - 3:01
J’étais enthousiaste à l’idée de passer une journée eux jeux d’arcade avec Yuki, mais j’étais loin de me douter qu’elle allait commencer ainsi. Il y avait quelques secondes à peine, mon principal souci était de convaincre mon frangin de ne pas déchiqueter le bidon du joli nounours en peluche. La seconde après, c’était la police qui débarquaient pour l’embarquer. C’était à ne rien y comprendre. Comment nous étions arrivés là ? J’avais des aires de guerrières avec cette réplique en main, mais j’avais tout d’une tendre. Je hochais vivement la tête convaincue qu’il laissait la vie sauve au nounours. « Les cibles rouges, ca me va parfaitement. » je me mettais en garde, visant ce qu’il m’avait indiqué. Je me mis dans la même position que mon frangin, l’imitant à la perfection. Je souris tristement en l’entendant évoquer un souvenir qu’il avait de lui avec son père. Je n’avais jamais connu mes parents et encore moins mon père. Et même dans la famille No, il n’y avait pas de visage paternel qui pouvait prendre le relais. Les seuls visages masculins qui pouvaient s’en rapprocher que je connaissais depuis mon enfance était Nolan et Yuki lui-même. Sans doute une des raisons pour lesquelles j’étais si proche d’eux. « J’aurais bien voulu voir cela. » commentais-je tout de même avec le sourire, car je ne savais pas prendre un air triste avec lui. Je tirais la seconde près après lui, sauf que je ne touchais aucune de mes cibles. Je gonflais les joues en une moue boudeuse. « On dirait que tu es plus doué que moi. » je ne devais pas être faite pour manier les armes. Trop violent pour mes frêles épaules. Des éclats de voix retentirent avant que je n’ai le temps d’armer à nouveau ma carabine. Déjà Yuki était en position pour tirer, mais pas sur le jeu cette fois, mais sur une cible mouvante qui n’était d’autre qu’un homme. Je riais, applaudissant quand je le vis atteindre ce qu’il visait. J’avais déjà lâché ma réplique vu qu’elle m’encombrait plus qu’autre chose. Je sursautais néanmoins quand le vilain monsieur se mit à hurler. Ma tête entrain dans mes épaules, me tassant sur moi-même. Je n’avais pas l’audace du mâle de la fratrie No. Je n’osais répondre d’une telle manière à un homme hurlant plus fort que moi. La panique me gagnait déjà, me tordant le ventre. Je hurlais d’ailleurs en le voyant frapper l’homme qui sera un jour mon mari. -oui j’ai décidé, et puis il avait promis à mon arrivée dans sa famille. Oui oui.- Ma bouche formait un 0 parfait et ma main la cachait bien vite. « Yuki, mon dieu, mon Yuki ! » des agents de police arrivèrent. Je pensais qu’ils allaient nous venir en aide, mais à la place, ils embarquèrent le gumiho. Et ils lui passaient les menottes en plus … j’étais incapable de me protéger moi-même, mais je n’aimais vraiment pas qu’on s’en prenne à quelqu’un à qui je tenais comme à la prunelle de mes yeux. Mon regard se voila d’une lueur nouvelle, et telle une valkyrie partant en guerre, je bondis sur le dos d’un des gendarmes qui attachait Yuki. « Lâchez-le ! Il est innocent ! Le vilain, c’est lui ! ». Je tapais des pieds et de mes petits poings sur le dos du monsieur, hurlant et gigotant. Je ne voulais pas les laisser l’emmener. « Lâchez-le bande de macaque ! » un brin d’audace, un brin de violence. Pour Yuki, j’étais prête à faire même l’impossible. Bien sûr, avec mon poids plume, je n’avais pas pu faire grande chose. Un autre agent m’attrapait par la taille me soulevant aussi facilement que si j’étais une peluche. Pourtant, je bougeais comme une anguille et ils durent se mettre à deux pour me maintenir et me porte jusqu’à la voiture de police à l’arrière de laquelle ils nous installèrent. « On l’embarque aussi celle-là. » avait-il dit à son collègue. Et moi, assise, boudeuse, à l’arrière de la voiture, je fixais Yuki d’un air débité. « Pardon, j’ai pas été assez forte… »
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
J’étais enthousiaste à l’idée de passer une journée eux jeux d’arcade avec Yuki, mais j’étais loin de me douter qu’elle allait commencer ainsi. Il y avait quelques secondes à peine, mon principal souci était de convaincre mon frangin de ne pas déchiqueter le bidon du joli nounours en peluche. La seconde après, c’était la police qui débarquaient pour l’embarquer. C’était à ne rien y comprendre. Comment nous étions arrivés là ? J’avais des aires de guerrières avec cette réplique en main, mais j’avais tout d’une tendre. Je hochais vivement la tête convaincue qu’il laissait la vie sauve au nounours. « Les cibles rouges, ca me va parfaitement. » je me mettais en garde, visant ce qu’il m’avait indiqué. Je me mis dans la même position que mon frangin, l’imitant à la perfection. Je souris tristement en l’entendant évoquer un souvenir qu’il avait de lui avec son père. Je n’avais jamais connu mes parents et encore moins mon père. Et même dans la famille No, il n’y avait pas de visage paternel qui pouvait prendre le relais. Les seuls visages masculins qui pouvaient s’en rapprocher que je connaissais depuis mon enfance était Nolan et Yuki lui-même. Sans doute une des raisons pour lesquelles j’étais si proche d’eux. « J’aurais bien voulu voir cela. » commentais-je tout de même avec le sourire, car je ne savais pas prendre un air triste avec lui. Je tirais la seconde près après lui, sauf que je ne touchais aucune de mes cibles. Je gonflais les joues en une moue boudeuse. « On dirait que tu es plus doué que moi. » je ne devais pas être faite pour manier les armes. Trop violent pour mes frêles épaules. Des éclats de voix retentirent avant que je n’ai le temps d’armer à nouveau ma carabine. Déjà Yuki était en position pour tirer, mais pas sur le jeu cette fois, mais sur une cible mouvante qui n’était d’autre qu’un homme. Je riais, applaudissant quand je le vis atteindre ce qu’il visait. J’avais déjà lâché ma réplique vu qu’elle m’encombrait plus qu’autre chose. Je sursautais néanmoins quand le vilain monsieur se mit à hurler. Ma tête entrain dans mes épaules, me tassant sur moi-même. Je n’avais pas l’audace du mâle de la fratrie No. Je n’osais répondre d’une telle manière à un homme hurlant plus fort que moi. La panique me gagnait déjà, me tordant le ventre. Je hurlais d’ailleurs en le voyant frapper l’homme qui sera un jour mon mari. -oui j’ai décidé, et puis il avait promis à mon arrivée dans sa famille. Oui oui.- Ma bouche formait un 0 parfait et ma main la cachait bien vite. « Yuki, mon dieu, mon Yuki ! » des agents de police arrivèrent. Je pensais qu’ils allaient nous venir en aide, mais à la place, ils embarquèrent le gumiho. Et ils lui passaient les menottes en plus … j’étais incapable de me protéger moi-même, mais je n’aimais vraiment pas qu’on s’en prenne à quelqu’un à qui je tenais comme à la prunelle de mes yeux. Mon regard se voila d’une lueur nouvelle, et telle une valkyrie partant en guerre, je bondis sur le dos d’un des gendarmes qui attachait Yuki. « Lâchez-le ! Il est innocent ! Le vilain, c’est lui ! ». Je tapais des pieds et de mes petits poings sur le dos du monsieur, hurlant et gigotant. Je ne voulais pas les laisser l’emmener. « Lâchez-le bande de macaque ! » un brin d’audace, un brin de violence. Pour Yuki, j’étais prête à faire même l’impossible. Bien sûr, avec mon poids plume, je n’avais pas pu faire grande chose. Un autre agent m’attrapait par la taille me soulevant aussi facilement que si j’étais une peluche. Pourtant, je bougeais comme une anguille et ils durent se mettre à deux pour me maintenir et me porte jusqu’à la voiture de police à l’arrière de laquelle ils nous installèrent. « On l’embarque aussi celle-là. » avait-il dit à son collègue. Et moi, assise, boudeuse, à l’arrière de la voiture, je fixais Yuki d’un air débité. « Pardon, j’ai pas été assez forte… »
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Lun 13 Juin - 1:00
Je pense que lorsqu'on va au Matrix, on a plusieurs scénarios en tête de comment peut se terminer notre petite escapade : on peut rentrer chez soi super content parce qu'on a explosé son record perso, voir même celui des autres sur Pacman, on peut aussi s'en aller dépité parce qu'on a dépensé tout son argent dans les attrapes surprises ou encore, on peut partir épuisé d'avoir danser comme un épileptique en jouant à Just Dance. Bref en soit, ce ne sont pas des scénarios qui sortent vraiment du commun, c'est même la base, le but quand on va aux arcades. Mais finir au poste après avoir tiré une balle d'air dans le cul d'un mec qui nous aura par la suite foutu un méchant pain dans la gueule, ça j'admets que c'est plutôt inédit comme situation. Moi ça ne me gène pas spécialement d'aller au poste. J'en tire pas une satisfaction personnelle non plus, mais c'est pas vraiment la première fois que j'y vais. A chaque fois je m'en tire avec un simple avertissement de la part des policiers parce que c'est jamais bien méchant (la dernière fois, c'était parce que j'avais foutu le feu à un sac pour prouver à des touristes sur le point de se faire pigeonner dans une boutique de luxe que ce n'était pas du cuir mais du faux. Bizarrement, le propriétaire de la boutique n'a pas trouvé le geste très honorable lui...) mais là, je suis quand même embêté parce que je laisse Dambi toute seule et que je... J'écarquille les yeux en voyant ma petite sœur se battre limite avec les agents de police pour les obliger à me libérer. Dites donc, elle a le feu en elle ma Bibi ce soir ! Même si la situation ne devrait pas s'y prêter, je ne peux pas m'empêcher de rire en voyant qu'elle donne du fil à retordre à des hommes beaucoup plus imposants et entraînés qu'elle, alors que franchement, Dambi, c'est un poids plume quoi. Ils nous conduisent jusqu'à la voiture et installent ma sœur adorée à côté de moi. Elle s'excuse et je regrette vraiment d'avoir les mains menottées derrière le dos parce que c'est le genre de moment où je veux vraiment la prendre dans mes bras et la serrer très fort pour la rassurer. Faute de mieux, je gigote sur mon siège pour me rapprocher le plus près possible d'elle et pose mon front contre le sien. « T'en fais pas ma Bibi, c'est moi qui suis désolé d'avoir foutu en l'air note soirée rien que tous les deux, tout ça pour un pauvre type qui en valait pas la peine. » Je réfléchis deux secondes avant de sourire en demandant « N'empêche... il l'avait quand même bien mérité. Et puis franchement t'as vu la tête qu'il a tiré quand il a reçu la bille d'air en plein dans son... » « Hé derrière ! » nous apostrophe l'agent de police au volant qui a pas l'air très malin « pas de bavardages hein ! C'est pas la récré, on vous emmène au poste là » « Désolé monsieur l'agent, c'est ma sœur, elle doit me calmer parce que je fais une crise de lycanthropie... » « De quoi ? » Je vois l'agent froncer les sourcils dans le rétroviseur et me penche rapidement à l'oreille de Dambi pour y murmurer : « Cap ou pas cap de me faire passer pour un loup garou ? » Et comme je veux quand même jouer le jeu - mon jeu – je commence à remuer dans tous les sens en poussant des gémissements, comme si mon corps était en train de muter. « Qu'est ce qu'il se passe là ? Il nous fait quoi lui ? » commence à paniquer l'agent « C'est la pleine lune... elle me... elle me... » Je pousse un nouveau gémissement qui ressemble presque à un cri de bête blessée et fais rapidement un clin d’œil à Dambi pour qu'elle voit que je joue et que j'ai très envie qu'elle joue avec moi.
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
Je pense que lorsqu'on va au Matrix, on a plusieurs scénarios en tête de comment peut se terminer notre petite escapade : on peut rentrer chez soi super content parce qu'on a explosé son record perso, voir même celui des autres sur Pacman, on peut aussi s'en aller dépité parce qu'on a dépensé tout son argent dans les attrapes surprises ou encore, on peut partir épuisé d'avoir danser comme un épileptique en jouant à Just Dance. Bref en soit, ce ne sont pas des scénarios qui sortent vraiment du commun, c'est même la base, le but quand on va aux arcades. Mais finir au poste après avoir tiré une balle d'air dans le cul d'un mec qui nous aura par la suite foutu un méchant pain dans la gueule, ça j'admets que c'est plutôt inédit comme situation. Moi ça ne me gène pas spécialement d'aller au poste. J'en tire pas une satisfaction personnelle non plus, mais c'est pas vraiment la première fois que j'y vais. A chaque fois je m'en tire avec un simple avertissement de la part des policiers parce que c'est jamais bien méchant (la dernière fois, c'était parce que j'avais foutu le feu à un sac pour prouver à des touristes sur le point de se faire pigeonner dans une boutique de luxe que ce n'était pas du cuir mais du faux. Bizarrement, le propriétaire de la boutique n'a pas trouvé le geste très honorable lui...) mais là, je suis quand même embêté parce que je laisse Dambi toute seule et que je... J'écarquille les yeux en voyant ma petite sœur se battre limite avec les agents de police pour les obliger à me libérer. Dites donc, elle a le feu en elle ma Bibi ce soir ! Même si la situation ne devrait pas s'y prêter, je ne peux pas m'empêcher de rire en voyant qu'elle donne du fil à retordre à des hommes beaucoup plus imposants et entraînés qu'elle, alors que franchement, Dambi, c'est un poids plume quoi. Ils nous conduisent jusqu'à la voiture et installent ma sœur adorée à côté de moi. Elle s'excuse et je regrette vraiment d'avoir les mains menottées derrière le dos parce que c'est le genre de moment où je veux vraiment la prendre dans mes bras et la serrer très fort pour la rassurer. Faute de mieux, je gigote sur mon siège pour me rapprocher le plus près possible d'elle et pose mon front contre le sien. « T'en fais pas ma Bibi, c'est moi qui suis désolé d'avoir foutu en l'air note soirée rien que tous les deux, tout ça pour un pauvre type qui en valait pas la peine. » Je réfléchis deux secondes avant de sourire en demandant « N'empêche... il l'avait quand même bien mérité. Et puis franchement t'as vu la tête qu'il a tiré quand il a reçu la bille d'air en plein dans son... » « Hé derrière ! » nous apostrophe l'agent de police au volant qui a pas l'air très malin « pas de bavardages hein ! C'est pas la récré, on vous emmène au poste là » « Désolé monsieur l'agent, c'est ma sœur, elle doit me calmer parce que je fais une crise de lycanthropie... » « De quoi ? » Je vois l'agent froncer les sourcils dans le rétroviseur et me penche rapidement à l'oreille de Dambi pour y murmurer : « Cap ou pas cap de me faire passer pour un loup garou ? » Et comme je veux quand même jouer le jeu - mon jeu – je commence à remuer dans tous les sens en poussant des gémissements, comme si mon corps était en train de muter. « Qu'est ce qu'il se passe là ? Il nous fait quoi lui ? » commence à paniquer l'agent « C'est la pleine lune... elle me... elle me... » Je pousse un nouveau gémissement qui ressemble presque à un cri de bête blessée et fais rapidement un clin d’œil à Dambi pour qu'elle voit que je joue et que j'ai très envie qu'elle joue avec moi.Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Jeu 18 Aoû - 3:17
Quand mon grand frère m’avait proposé de passer une journée rien que tous les deux, j’avais été la plus heureuse des gamines. Avoir mon oppa rien que pour moi le temps d’une journée, c’était comme un rêve. Quand on vivait dans une famille où il n’y avait que des filles et un garçon, forcément, on se battait toute un peu pour être sa préférée. Et malheureusement pour moi, j’avais l’étiquette de l’étrangère. Apres tout, je n’avais pas le même sang qu’eux, même si on formait une famille. Il n’était pas rare de me sentir trop différente. Et mes cheveux blonds et mes grands yeux de biches qui faisaient de moi un être unique parmi les asiatiques, ne faisait que pousser à l’extrême ma différence. Je ne pouvais pas me fondre dans le moule, même si je le voulais. Alors si Yuki estimait que j’étais digne d’intérêt, j’étais aux anges. Pourtant, j’étais loin de m’être imaginé finir au poste de police, même si ce n’était pas la première fois en soi. Mais c’était une vie, une autre époque. Je ne voulais pas les laisser emmener mon oppa sans me battre, alors je fis une tentative plutôt désastreuse de les arrêter. Tout ce que je récoltais, c’était de me faire embarquer avec, mais ce n’étais pas grave, je pouvais ainsi rester avec Yuki. Et même si notre journée se déroulait au commissariat au lieu des jeux d’arcades, ca m’allait très bien aussi. J’étais quand même toute penaude, assis sur mon siège, aux côtés de mon frère, les yeux baissés sur mes doigts qui chipotait les pans de mon pull. S’ils avaient pensé à menotter le garçon, ils s’étaient dit que la frêle jeune fille n’en avait pas besoin. Il arrivait quand même à me réconforter les mains attachées, en me touchant simplement de son front contre le mien. Je souris au travers de mes larmes. Je hochais de la tête. Oh ca oui ! il l’avait bien mérité le vilain méchant pas beau ! J’émis un petit rire à l’évocation du souvenir de la grimace du type. On se fait réprimander, et moi, dans un soupçon d’audace, je lui tire la langue. Il m’a peut etre pas vu. Apres tout, il doit regarder la route pour pas avoir d’accident. J’écarquillais les yeux en entendant Yuki parler de sa lycantropie manquant de m’étouffer de rire. Je tentais de garder mon sérieux. « Cap. » murmurais-je soudainement enthousiasme. Mes larmes étaient déjà oublié face à ce nouveau jeu. Le clin d’œil du gumiho était comme le déclencheur pour marquer le début du jeu. Je plaquais mes mains sur ma bouche formant en rond, prenant un air paniqué. Je tendis ensuite mes mains vers les épaules du pseudo loup, essayant de le maintenir au fond du siège. « Monsieur l’agent, il faut que vous vous arrêtez. Il va bientôt se transformer et quand il devient une bête poilue, il devient incontrôlable, surtout dans une voiture. Il faut le faire descendre. » le policier parut paniqué et fit crier les freins pour s’arrêter. L’autre le traitait d’idiot, lui demandant comment il pouvait croire ce genre d’histoire débile. « Mais c’est vrai ! AIE ! » Hurlais-je soudain, reprenant ma main pour la maintenir contre mon buste, chouinant. « Vilain chien ! Tu m’as mordu, tu mérites la fessée ! » dis-je d’une petite voix autoritaire en pointant un doigt accusateur vers yuki entrain de pousser des cris bestiaux. Qu’est ce qu’il ne fallait pas faire dans cette famille, mh ?
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
Quand mon grand frère m’avait proposé de passer une journée rien que tous les deux, j’avais été la plus heureuse des gamines. Avoir mon oppa rien que pour moi le temps d’une journée, c’était comme un rêve. Quand on vivait dans une famille où il n’y avait que des filles et un garçon, forcément, on se battait toute un peu pour être sa préférée. Et malheureusement pour moi, j’avais l’étiquette de l’étrangère. Apres tout, je n’avais pas le même sang qu’eux, même si on formait une famille. Il n’était pas rare de me sentir trop différente. Et mes cheveux blonds et mes grands yeux de biches qui faisaient de moi un être unique parmi les asiatiques, ne faisait que pousser à l’extrême ma différence. Je ne pouvais pas me fondre dans le moule, même si je le voulais. Alors si Yuki estimait que j’étais digne d’intérêt, j’étais aux anges. Pourtant, j’étais loin de m’être imaginé finir au poste de police, même si ce n’était pas la première fois en soi. Mais c’était une vie, une autre époque. Je ne voulais pas les laisser emmener mon oppa sans me battre, alors je fis une tentative plutôt désastreuse de les arrêter. Tout ce que je récoltais, c’était de me faire embarquer avec, mais ce n’étais pas grave, je pouvais ainsi rester avec Yuki. Et même si notre journée se déroulait au commissariat au lieu des jeux d’arcades, ca m’allait très bien aussi. J’étais quand même toute penaude, assis sur mon siège, aux côtés de mon frère, les yeux baissés sur mes doigts qui chipotait les pans de mon pull. S’ils avaient pensé à menotter le garçon, ils s’étaient dit que la frêle jeune fille n’en avait pas besoin. Il arrivait quand même à me réconforter les mains attachées, en me touchant simplement de son front contre le mien. Je souris au travers de mes larmes. Je hochais de la tête. Oh ca oui ! il l’avait bien mérité le vilain méchant pas beau ! J’émis un petit rire à l’évocation du souvenir de la grimace du type. On se fait réprimander, et moi, dans un soupçon d’audace, je lui tire la langue. Il m’a peut etre pas vu. Apres tout, il doit regarder la route pour pas avoir d’accident. J’écarquillais les yeux en entendant Yuki parler de sa lycantropie manquant de m’étouffer de rire. Je tentais de garder mon sérieux. « Cap. » murmurais-je soudainement enthousiasme. Mes larmes étaient déjà oublié face à ce nouveau jeu. Le clin d’œil du gumiho était comme le déclencheur pour marquer le début du jeu. Je plaquais mes mains sur ma bouche formant en rond, prenant un air paniqué. Je tendis ensuite mes mains vers les épaules du pseudo loup, essayant de le maintenir au fond du siège. « Monsieur l’agent, il faut que vous vous arrêtez. Il va bientôt se transformer et quand il devient une bête poilue, il devient incontrôlable, surtout dans une voiture. Il faut le faire descendre. » le policier parut paniqué et fit crier les freins pour s’arrêter. L’autre le traitait d’idiot, lui demandant comment il pouvait croire ce genre d’histoire débile. « Mais c’est vrai ! AIE ! » Hurlais-je soudain, reprenant ma main pour la maintenir contre mon buste, chouinant. « Vilain chien ! Tu m’as mordu, tu mérites la fessée ! » dis-je d’une petite voix autoritaire en pointant un doigt accusateur vers yuki entrain de pousser des cris bestiaux. Qu’est ce qu’il ne fallait pas faire dans cette famille, mh ? Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Ven 16 Sep - 0:31
J'avoue que le coup de la transformation en loup garou dans une voiture de police, c'est un peu ambitieux et surtout je sais pas du tout d'où ça me vient. J'ai pas souvenir d'avoir regardé un film fantastique ces derniers temps ni d'avoir entendu quelqu'un spoiler les derniers épisodes de Teen Wolf, et le pire c'est que je suis même pas à 100% sûr qu'on soit un jour de pleine lune. Mais c'est pas grave, le plus important c'est que malgré tout, Dambi et moi on puisse s'amuser. Je continus à pousser mes grognements de type sur le point de se transformer en véritable bête féroce et retiens un sourire ravi en entendant la petite voix de ma sœur répondre à mon défi. Génial, la fête peut commencer ! Je rejette la tête en arrière pour la plaquer contre le dossier et lâche un gémissement de douleur avant de faire des bruits de craquements avec ma bouche en me penchant subitement de nouveau en avant, comme si ma colonne vertébrale mutait pour me faire prendre ma forme canine. En plus, sans vouloir me vanter, j'ai vraiment un don pour imiter le son des craquements, le fruit de nombreuses heures d'entraînement quand j'étais plus petit et que je voulais faire croire à Cami qu'elle me cassait le nez quand elle me faisait des pichenettes. Dambi, totalement dans son rôle, pose ses mains sur mes épaules comme pour me maintenir en place et je fais mine de me débattre sans vraiment le faire pour ne pas risquer de lui faire mal. Je me mords la lèvre pour ne pas être tenté de rire en l'entendant faussement paniquer et demander à l'agent de s'arrêter. A cet instant, franchement, je ne crois pas une seule seconde que l'un des deux policiers puisse gober un traître mot de ce que leur raconte Dambi. Et pourtant, la preuve que le monde est plein de surprises : le conducteur de la voiture, pris de peur, enfonce violemment la pédale de frein. Par réflexe, je tente de passer mon bras devant le corps de ma sœur pour ne pas qu'elle se cogne contre le dossier du siège devant elle à cause de la puissance du choc mais comme j'en suis incapable à cause des menottes à mes poignets, c'est tout mon corps que je place en bouclier en me laissant tout bêtement tomber sur ses genoux. Les deux policiers commencent à se disputer devant nous et j'en profite pour relever le menton vers Dambi et lui demander en chuchotant « Rien de cassé ? » Mais tout à l'air d'aller, alors je dépose un petit bisou sur sa main et elle en profite pour prétendre que je l'ai mordu. La vache, ça devient de plus en plus difficile de ne pas rire. Pour dissimuler mon fou rire, je commence à gigoter comme si j'étais pris d'une crise d'épilepsie et hurle « LA MEUTE M'APPELLE ! LA MEUTE M'APPELLE ! GRRRRRRRRRRR! » Ça devient de plus en plus ridicule et je sens que le policier sur le siège passager commence à en avoir marre parce qu'il se retourne vers nous et lâche : « Bon ça commence à bien faire derrière, vous allez finir par vous calmer oui ? » Mais non, je ne me calme pas, au contraire même : je roule sur la banquette et me laisse tomber sur le sol de la voiture en disant : « PARDONNE MOI BIBI, PARDONNE MOIIIII ! » Et je me mets à faire plein de bisous sur ses chevilles et ses mollets en grognant pour prétendre que je la mords violemment. Bon maintenant j'espère juste que je ne vais pas me prendre un coup de pied dans la tête ou pire, un coup de taser, ça serait quand même dommage de finir électrocuté ou avec un coquard !
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
J'avoue que le coup de la transformation en loup garou dans une voiture de police, c'est un peu ambitieux et surtout je sais pas du tout d'où ça me vient. J'ai pas souvenir d'avoir regardé un film fantastique ces derniers temps ni d'avoir entendu quelqu'un spoiler les derniers épisodes de Teen Wolf, et le pire c'est que je suis même pas à 100% sûr qu'on soit un jour de pleine lune. Mais c'est pas grave, le plus important c'est que malgré tout, Dambi et moi on puisse s'amuser. Je continus à pousser mes grognements de type sur le point de se transformer en véritable bête féroce et retiens un sourire ravi en entendant la petite voix de ma sœur répondre à mon défi. Génial, la fête peut commencer ! Je rejette la tête en arrière pour la plaquer contre le dossier et lâche un gémissement de douleur avant de faire des bruits de craquements avec ma bouche en me penchant subitement de nouveau en avant, comme si ma colonne vertébrale mutait pour me faire prendre ma forme canine. En plus, sans vouloir me vanter, j'ai vraiment un don pour imiter le son des craquements, le fruit de nombreuses heures d'entraînement quand j'étais plus petit et que je voulais faire croire à Cami qu'elle me cassait le nez quand elle me faisait des pichenettes. Dambi, totalement dans son rôle, pose ses mains sur mes épaules comme pour me maintenir en place et je fais mine de me débattre sans vraiment le faire pour ne pas risquer de lui faire mal. Je me mords la lèvre pour ne pas être tenté de rire en l'entendant faussement paniquer et demander à l'agent de s'arrêter. A cet instant, franchement, je ne crois pas une seule seconde que l'un des deux policiers puisse gober un traître mot de ce que leur raconte Dambi. Et pourtant, la preuve que le monde est plein de surprises : le conducteur de la voiture, pris de peur, enfonce violemment la pédale de frein. Par réflexe, je tente de passer mon bras devant le corps de ma sœur pour ne pas qu'elle se cogne contre le dossier du siège devant elle à cause de la puissance du choc mais comme j'en suis incapable à cause des menottes à mes poignets, c'est tout mon corps que je place en bouclier en me laissant tout bêtement tomber sur ses genoux. Les deux policiers commencent à se disputer devant nous et j'en profite pour relever le menton vers Dambi et lui demander en chuchotant « Rien de cassé ? » Mais tout à l'air d'aller, alors je dépose un petit bisou sur sa main et elle en profite pour prétendre que je l'ai mordu. La vache, ça devient de plus en plus difficile de ne pas rire. Pour dissimuler mon fou rire, je commence à gigoter comme si j'étais pris d'une crise d'épilepsie et hurle « LA MEUTE M'APPELLE ! LA MEUTE M'APPELLE ! GRRRRRRRRRRR! » Ça devient de plus en plus ridicule et je sens que le policier sur le siège passager commence à en avoir marre parce qu'il se retourne vers nous et lâche : « Bon ça commence à bien faire derrière, vous allez finir par vous calmer oui ? » Mais non, je ne me calme pas, au contraire même : je roule sur la banquette et me laisse tomber sur le sol de la voiture en disant : « PARDONNE MOI BIBI, PARDONNE MOIIIII ! » Et je me mets à faire plein de bisous sur ses chevilles et ses mollets en grognant pour prétendre que je la mords violemment. Bon maintenant j'espère juste que je ne vais pas me prendre un coup de pied dans la tête ou pire, un coup de taser, ça serait quand même dommage de finir électrocuté ou avec un coquard !Invité
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Re: Cap ou pas cap ? ~ #YUBI | Sam 15 Oct - 15:01
Yuki m’avait promis une journée où lui et moi, on s’amuserait. Et il comptait bien tenir sa promesse, trouvant même un moyen de s’amuser alors que la police nous conduisait au poste. L’idée de la transformation en loup-garou, c’était une idée de génie. Mon grand frère, c’était le meilleur en question de rigolade. On ne s’ennuyait jamais avec lui. Je me retiens de rire en l’entendant pousser des grognements de chiens enragés. Je jouais mon rôle du mieux que je le pouvais pour soutenir Yuki dans le délire dans lequel il était parti. Apres tout, il m’avait mise au défi, et je ne refusais jamais un défi. Je devais même avouer, qu’un instant, je crus moi-même qu’il était entrain de se transformer, tels ses bruits de craquement d’os pouvaient paraitre réels. Il était bon acteur, non ? Le meilleur, je vous dis. J’arrive a convaincre que notre supercherie est bel et bien réelle à un des deux agents de police, qui prit de panique, appuis sur le frein. La voiture s’arrêta nettement et failli me projeter en avant. LE choc fut amortit par un énorme coussin qui apparut devant moi, absorbant l’impact. Il me fallut un moment de réflexion pour me rendre compte qu’il s’agissait de Yuki qui s’était jeté corps et âme entre l’obstacle et moi. je baisse le regard sur lui, caresser doucement sa joue tout en hochant la tête, et chuchotant inquiète. « Oui ca va, mais toi ? Rien de cassé ? » Voyant que tout allait bien, je fis mine qu’il m’avait mordu, me mordant la lèvre inférieure pour me retenir d’éclater de rire. Je sursautais néanmoins en l’entendant hurler d’un coup que la meute l’appel. Quand le policier côté passager décida de s’en mêler pour nous calmer, ne croyant pas une seule seconde à notre histoire. Je le fixais, prenant mon plus beau regard de cockers larmoyant, presque suppliant pour qu’il craque. C’est la que mon frangin roulait à terre, me demandant de le pardonner. Je ne compris pas de suite, mais la suite était limpide. Il me picorait les jambes de bisous pour simuler des morsures. Je ne pus m’empêcher de secouer les gens dans tous les sens, donnant des coups de pieds dans le siège conducteur, évitant néanmoins la tête du gumiho. Il manquerait plus que je le blesse. « Arrêtes ca, Yuki ! » le suppliais-je alors que ma voix essayait d’être crédible en gémissant de douleur et mes rires qui s’y mélangeaient, ne pouvait m’empêcher de rire aux chatouilles qu’il m’infligeait. « Ouvres les portes ! Laisses les partir ! J’ai des gosses, je ne veux pas être blessé à cause d’un loup garou se transformer sur la banquette arrière. » Hurlait-il à son partenaire complétement paniqué, et surtout crédule de croire à une histoire pareille. L’autre homme ne savait s’il devait le frapper ou lui rire au nez. Il n’eut pas le temps de décider, car le premier déverrouilla les portes. Je tapotais l’épaule de Yuki pour lui montrer son geste. Il était peut etre temps pour nous de partir ?
Cap ou pas cap ?
Dambi & Yuki
Yuki m’avait promis une journée où lui et moi, on s’amuserait. Et il comptait bien tenir sa promesse, trouvant même un moyen de s’amuser alors que la police nous conduisait au poste. L’idée de la transformation en loup-garou, c’était une idée de génie. Mon grand frère, c’était le meilleur en question de rigolade. On ne s’ennuyait jamais avec lui. Je me retiens de rire en l’entendant pousser des grognements de chiens enragés. Je jouais mon rôle du mieux que je le pouvais pour soutenir Yuki dans le délire dans lequel il était parti. Apres tout, il m’avait mise au défi, et je ne refusais jamais un défi. Je devais même avouer, qu’un instant, je crus moi-même qu’il était entrain de se transformer, tels ses bruits de craquement d’os pouvaient paraitre réels. Il était bon acteur, non ? Le meilleur, je vous dis. J’arrive a convaincre que notre supercherie est bel et bien réelle à un des deux agents de police, qui prit de panique, appuis sur le frein. La voiture s’arrêta nettement et failli me projeter en avant. LE choc fut amortit par un énorme coussin qui apparut devant moi, absorbant l’impact. Il me fallut un moment de réflexion pour me rendre compte qu’il s’agissait de Yuki qui s’était jeté corps et âme entre l’obstacle et moi. je baisse le regard sur lui, caresser doucement sa joue tout en hochant la tête, et chuchotant inquiète. « Oui ca va, mais toi ? Rien de cassé ? » Voyant que tout allait bien, je fis mine qu’il m’avait mordu, me mordant la lèvre inférieure pour me retenir d’éclater de rire. Je sursautais néanmoins en l’entendant hurler d’un coup que la meute l’appel. Quand le policier côté passager décida de s’en mêler pour nous calmer, ne croyant pas une seule seconde à notre histoire. Je le fixais, prenant mon plus beau regard de cockers larmoyant, presque suppliant pour qu’il craque. C’est la que mon frangin roulait à terre, me demandant de le pardonner. Je ne compris pas de suite, mais la suite était limpide. Il me picorait les jambes de bisous pour simuler des morsures. Je ne pus m’empêcher de secouer les gens dans tous les sens, donnant des coups de pieds dans le siège conducteur, évitant néanmoins la tête du gumiho. Il manquerait plus que je le blesse. « Arrêtes ca, Yuki ! » le suppliais-je alors que ma voix essayait d’être crédible en gémissant de douleur et mes rires qui s’y mélangeaient, ne pouvait m’empêcher de rire aux chatouilles qu’il m’infligeait. « Ouvres les portes ! Laisses les partir ! J’ai des gosses, je ne veux pas être blessé à cause d’un loup garou se transformer sur la banquette arrière. » Hurlait-il à son partenaire complétement paniqué, et surtout crédule de croire à une histoire pareille. L’autre homme ne savait s’il devait le frapper ou lui rire au nez. Il n’eut pas le temps de décider, car le premier déverrouilla les portes. Je tapotais l’épaule de Yuki pour lui montrer son geste. Il était peut etre temps pour nous de partir ? Contenu sponsorisé