Page 2 sur 2 • 
1, 2
1, 2You know nothing about girls [Feat Tamalympe]
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Jeu 1 Sep - 19:14
Je lui fais un grand sourire, heureuse de l'entendre accepter ma proposition. J'en ai presque hâte. Il faut dire que moi et les parties de jeu, c'est tout un concept dans ma vie, surtout lorsque je trouve un potentiel partenaire. J'espère qu'il est quand même prêt à me voir sous un autre jour car lorsque je joue j'ai tendance à perdre certains de mes moyens, à devenir une excitée de la vie, à crier pour un rien, sauter de partout ne tenant plus en place, il va me voir sous un tout nouveau jour. J'espère qu'il est assez tenace pour survivre, surtout lorsque je constate qu'il est si aimable, si gentil, il risque de me fuir. Je rigole en hochant négativement de la tête, « mais je suis certaine que tu as bien d'autres qualités », j'en suis même certaine. Il ne faut pas qu'il se rabaisse autant, si l'Américaine la choisit lui, comme proie à avoir, c'est bien pour une raison. Il ne peut le nier. Les Américaines ne choisissent pas n’importe quel étranger, même si lui ne semble absolument pas intéressé par celle-ci. Je suis donc dans l'obligation d'intervenir pour le sortir dans une situation qu'il ne semble guère apprécier. Je me tape sur la tête lorsqu'il me rappelle que ce soir c'est la soirée de fin de voyage et que forcément, la fête va être au rendez-vous. « Aish ! J'avais presque oublié cette soirée. Mais de toute manière tu vas bien la recroiser ce soir, alors je vais devoir, forcément, te rendre à cette femme. Désolée » dis-je en haussant des épaules, un petit sourire narquois au coin des lèvres, « et je ne vais pas te rendre parfait . . . cela n'existe pas, mais à ses yeux tu vas devenir le prince idéal », ou pas. Je lui fais un clin d'oeil quand il m'accepte en tant que professeur, conseillère de femmes. Je vais lui apprendre les bases, progressivement, il va devenir un futur expert en femmes, enfin pas trop quand même. Il faut laisser un peu de secrets. « T'inquiète, comme je suis aimable, je te le fais gratuit si tu veux, quoique . . . cela va juste coûter quelques repas ». Quand même, il faut avoir un minimum le ventre rempli lorsque l'on travaille. C'est un job épuisant, il ne faut pas croire. Je glousse légèrement, voulant faire la vis mystérieuse, « Ahah ! Tu verras bien lorsque l'on sera de retour sur la terre de Séoul. Mais prépare toi à voir un dragon sortir de moi, une furie » dis-je en agitant mes bras en haut, tout en rigolant, laissant le bus nous guider jusqu'à la destination prévue.
La journée passe relativement vite. J'accompagne Tamaki dans divers magasins pour trouver la tenue qui va faire chavirer les cœurs des demoiselles et surtout de l’américaine, malgré sa grande réticence. Après maintes et maintes recherches infructueuses, fatigués de nos pas, on a fini par trouver le magasin parfait pour lui, comme pour moi, de quoi ravir nos pieds si épuisés. Puis, on s'est quittés, chacun devant voguer à ses propres occupations, le soir arrivant rapidement.
Installée devant mon miroir, je tente de rendre mon visage plus attirant, moins fatigué, y mettant de la couleur. Après plusieurs minutes à me maquiller, coiffer et autres détails importants pour une soirée, je suis fin prête, satisfaite du résultat. Ce soir c'est la soirée de fin de voyage et je dois avouer que je me sens quelque peu nostalgique. Les jours sont passés bien trop vite à mon goût, ne me donnant pas assez de temps pour en profiter réellement. Mais je reviendrai, je le sais. J'aime l'Afrique, ce paysage hors du commun, ces animaux sauvages qui gambadent, qu'il est possible de voir. C'est toute une culture. Je suis heureuse quand même d'être venue ici, d'avoir eu cette chance. Un sourire sur les lèvres, je descends rapidement pour rejoindre le groupe, prêt à partir pour la soirée. Je suis très impressionnée par les tenues des femmes présentes comme des hommes, à croire qu'ils se sont tous mis sur leurs trente-et-un. Je me sens un peu seule avec ma tenue si particulière. Lorsque j'aperçois Tamaki, j'accours vers lui, mon nouveau compagnon de voyage et lui donne une petite tape dans le dos. « Yaha Tama', t'as déjà fait chavirer le cœur de certaines femmes ». Je le regarde quelques secondes, de la tête aux pieds et lui fais un clin d'oeil, en avançant mon pouce vers lui, « je t'avais dit que je pouvais faire de toi le prince charmant idéal ». C'est que dans cette tenue il a vraiment un charme fou.
Visage + Tenue
You know nothing about girls
Feat Tamaki - Tamalympe ♥
Je lui fais un grand sourire, heureuse de l'entendre accepter ma proposition. J'en ai presque hâte. Il faut dire que moi et les parties de jeu, c'est tout un concept dans ma vie, surtout lorsque je trouve un potentiel partenaire. J'espère qu'il est quand même prêt à me voir sous un autre jour car lorsque je joue j'ai tendance à perdre certains de mes moyens, à devenir une excitée de la vie, à crier pour un rien, sauter de partout ne tenant plus en place, il va me voir sous un tout nouveau jour. J'espère qu'il est assez tenace pour survivre, surtout lorsque je constate qu'il est si aimable, si gentil, il risque de me fuir. Je rigole en hochant négativement de la tête, « mais je suis certaine que tu as bien d'autres qualités », j'en suis même certaine. Il ne faut pas qu'il se rabaisse autant, si l'Américaine la choisit lui, comme proie à avoir, c'est bien pour une raison. Il ne peut le nier. Les Américaines ne choisissent pas n’importe quel étranger, même si lui ne semble absolument pas intéressé par celle-ci. Je suis donc dans l'obligation d'intervenir pour le sortir dans une situation qu'il ne semble guère apprécier. Je me tape sur la tête lorsqu'il me rappelle que ce soir c'est la soirée de fin de voyage et que forcément, la fête va être au rendez-vous. « Aish ! J'avais presque oublié cette soirée. Mais de toute manière tu vas bien la recroiser ce soir, alors je vais devoir, forcément, te rendre à cette femme. Désolée » dis-je en haussant des épaules, un petit sourire narquois au coin des lèvres, « et je ne vais pas te rendre parfait . . . cela n'existe pas, mais à ses yeux tu vas devenir le prince idéal », ou pas. Je lui fais un clin d'oeil quand il m'accepte en tant que professeur, conseillère de femmes. Je vais lui apprendre les bases, progressivement, il va devenir un futur expert en femmes, enfin pas trop quand même. Il faut laisser un peu de secrets. « T'inquiète, comme je suis aimable, je te le fais gratuit si tu veux, quoique . . . cela va juste coûter quelques repas ». Quand même, il faut avoir un minimum le ventre rempli lorsque l'on travaille. C'est un job épuisant, il ne faut pas croire. Je glousse légèrement, voulant faire la vis mystérieuse, « Ahah ! Tu verras bien lorsque l'on sera de retour sur la terre de Séoul. Mais prépare toi à voir un dragon sortir de moi, une furie » dis-je en agitant mes bras en haut, tout en rigolant, laissant le bus nous guider jusqu'à la destination prévue.La journée passe relativement vite. J'accompagne Tamaki dans divers magasins pour trouver la tenue qui va faire chavirer les cœurs des demoiselles et surtout de l’américaine, malgré sa grande réticence. Après maintes et maintes recherches infructueuses, fatigués de nos pas, on a fini par trouver le magasin parfait pour lui, comme pour moi, de quoi ravir nos pieds si épuisés. Puis, on s'est quittés, chacun devant voguer à ses propres occupations, le soir arrivant rapidement.
Installée devant mon miroir, je tente de rendre mon visage plus attirant, moins fatigué, y mettant de la couleur. Après plusieurs minutes à me maquiller, coiffer et autres détails importants pour une soirée, je suis fin prête, satisfaite du résultat. Ce soir c'est la soirée de fin de voyage et je dois avouer que je me sens quelque peu nostalgique. Les jours sont passés bien trop vite à mon goût, ne me donnant pas assez de temps pour en profiter réellement. Mais je reviendrai, je le sais. J'aime l'Afrique, ce paysage hors du commun, ces animaux sauvages qui gambadent, qu'il est possible de voir. C'est toute une culture. Je suis heureuse quand même d'être venue ici, d'avoir eu cette chance. Un sourire sur les lèvres, je descends rapidement pour rejoindre le groupe, prêt à partir pour la soirée. Je suis très impressionnée par les tenues des femmes présentes comme des hommes, à croire qu'ils se sont tous mis sur leurs trente-et-un. Je me sens un peu seule avec ma tenue si particulière. Lorsque j'aperçois Tamaki, j'accours vers lui, mon nouveau compagnon de voyage et lui donne une petite tape dans le dos. « Yaha Tama', t'as déjà fait chavirer le cœur de certaines femmes ». Je le regarde quelques secondes, de la tête aux pieds et lui fais un clin d'oeil, en avançant mon pouce vers lui, « je t'avais dit que je pouvais faire de toi le prince charmant idéal ». C'est que dans cette tenue il a vraiment un charme fou.
Visage + Tenue
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Sam 3 Sep - 18:25
Comment ça je vais la recroiser ce soir? Olympe me fait peur quand elle dit ça. Je ne suis pas prêt à recroiser cette hystérique de blonde américaine. Je pensais m’en être débarrassé pour toujours mais visiblement c’était pas le cas. Comment tu sais qu’elle y sera? J’essaye de cacher ma panique, mais j’crois que c’est foutu. Olympe a toutes les cartes en main pour se foutre ouvertement de ma gueule. Putain, il fallait vraiment que j’arrive à me la jouer cool un jour avec les filles, mais c’était pas pour demain. En attendant, j’allais me calmer, et tranquillement discuter avec Olympe durant tout le trajet retour en bus jusqu’à Johannesburg. Des repas? Si c’est que ça, ça va, je t’en payerai des cents et des milles si tu veux. et je souris, alors que le bus démarre et nous quittons la zone sauvage. Le coeur serré, je regarde par la fenêtre le paysage s’éloigner. Décidément, tout me rappelle mon enfance. On ne devrait jamais grandir.
Pour préparer la soirée comme il se doit, Olympe m’entraîne dans des magasins en tout genre pour dénicher la parfaite tenue pour l’occasion. Dire que j’avais déjà prévu la tenue… Voilà qu’elle venait chambouler tous mes plans. Je soupirai un peu, pas très motivé à me faire traîner de magasin en magasin mais finalement, elle eut raison de moi en me menant dans une boutique tout à fait intéressante. Je vais donc regarder dans le rayon costumes homme et après des recherches et plusieurs essayages, je trouve enfin la perle rare. Sous le regard semble-t-il admirateur d’un jeune garçon d’une dizaine d’années, traîné ici par sa mère qui voulait se trouver aussi de jolis vêtements. Je lui souris, gentiment, puis rejoins Olympe après avoir payé. Direction l’hôtel, elle part dans sa chambre, moi dans la mienne et je commence donc à me préparer, car la soirée approche à grands pas. J’enfile mon costume, je tente de coiffer mes cheveux indisciplinés, et après de longues minutes de bataille, j’arrive enfin à un résultat satisfaisant. Je me regarde un dernière fois dans le miroir et zyeute ma montre. Il était temps de descendre pour rejoindre le reste des étudiants. Le bus partait à 20h précises de l’hôtel.
Je descendis rapidement les escaliers et rejoignis alors le reste des élèves. Je discutais un peu avec quelques uns d’entre eux, des camarades de classe, lorsque je me fis surprendre par Olympe, plus excitée que moi à l’idée d’être fringué comme ça. J’étais si peu habitué, je me sentais mal à l’aise mais j’avais, par contre, la plupart des regards féminins sur moi. Gêné, je me racle la gorge à sa première remarque. Ah bon, tu crois? je regarde un peu les filles autour de moi, puis préfère prêter attention à Olympe. Elle était tellement bien habillée ce soir là que j’en fus bouche bée. En fait, elle n’avait pas sorti la tenue pour en mettre plein les yeux, elle avait juste mis une robe noire, simple, mais qui lui allait à merveille. Pourquoi n’était-ce pas son regard à elle que j’attirais, hein? C’était toujours comme ça dans mon cas. Je n’avais jamais les filles qui me plaisaient.
Je la remercie avec le sourire pour son compliment, puis nous montons dans le bus ensemble qui va nous poser au bar que l’université avait privatisé pour l’équipe. Je m’installe à côté d’elle, un trajet de quelques minutes qui nous permet de faire plus ample connaissance. Quand nous arrivâmes sur les lieux, je descendis du bus, suivi de près par Olympe, et pénétrai aussitôt dans le Level Three. Il y faisait bon, le comptoir et le buffet étaient déjà tout prêts. Tout était là pour que l’on puisse passer une des meilleures soirées, avec bien sûr de la musique en fond pour nous mettre dans l’ambiance. Sur une des tables était posée un saladier de punch. Je regarde Olympe et arrange ma cravate. Les lieux sont magnifiques, Yonsei avait du payer une fortune pour privatiser ce bar. Je regarde autour de moi alors que les élèves continuent d’entrer, tandis que moi, j’attrape Olympe par le poignet, doucement, pour l’entraîner vers le saladier de punch. Tu vas me noter, d’accord? A partir de maintenant, tu m’observes et à la fin de la soirée, tu me donnes ma note globale. Ca marche? Elle me sourit, je lui souris aussi. Les jeux commencent! J’attrape un verre posé à côté du saladier. Un peu de punch peut-être? Je la regarde, et tandis qu’elle acquiesce, je commence à lui servir son verre, puis je lui tendis. J’aperçois la blonde américaine entrer dans le bar mais, vu qu’il faisait un peu sombre et que seuls les néons multicolors éclairaient la pièce, j’espérai qu’elle ne me voie pas.
You know nothing about girls
Feat Olympe - Tamalympe ♥
Comment ça je vais la recroiser ce soir? Olympe me fait peur quand elle dit ça. Je ne suis pas prêt à recroiser cette hystérique de blonde américaine. Je pensais m’en être débarrassé pour toujours mais visiblement c’était pas le cas. Comment tu sais qu’elle y sera? J’essaye de cacher ma panique, mais j’crois que c’est foutu. Olympe a toutes les cartes en main pour se foutre ouvertement de ma gueule. Putain, il fallait vraiment que j’arrive à me la jouer cool un jour avec les filles, mais c’était pas pour demain. En attendant, j’allais me calmer, et tranquillement discuter avec Olympe durant tout le trajet retour en bus jusqu’à Johannesburg. Des repas? Si c’est que ça, ça va, je t’en payerai des cents et des milles si tu veux. et je souris, alors que le bus démarre et nous quittons la zone sauvage. Le coeur serré, je regarde par la fenêtre le paysage s’éloigner. Décidément, tout me rappelle mon enfance. On ne devrait jamais grandir.
Pour préparer la soirée comme il se doit, Olympe m’entraîne dans des magasins en tout genre pour dénicher la parfaite tenue pour l’occasion. Dire que j’avais déjà prévu la tenue… Voilà qu’elle venait chambouler tous mes plans. Je soupirai un peu, pas très motivé à me faire traîner de magasin en magasin mais finalement, elle eut raison de moi en me menant dans une boutique tout à fait intéressante. Je vais donc regarder dans le rayon costumes homme et après des recherches et plusieurs essayages, je trouve enfin la perle rare. Sous le regard semble-t-il admirateur d’un jeune garçon d’une dizaine d’années, traîné ici par sa mère qui voulait se trouver aussi de jolis vêtements. Je lui souris, gentiment, puis rejoins Olympe après avoir payé. Direction l’hôtel, elle part dans sa chambre, moi dans la mienne et je commence donc à me préparer, car la soirée approche à grands pas. J’enfile mon costume, je tente de coiffer mes cheveux indisciplinés, et après de longues minutes de bataille, j’arrive enfin à un résultat satisfaisant. Je me regarde un dernière fois dans le miroir et zyeute ma montre. Il était temps de descendre pour rejoindre le reste des étudiants. Le bus partait à 20h précises de l’hôtel.
Je descendis rapidement les escaliers et rejoignis alors le reste des élèves. Je discutais un peu avec quelques uns d’entre eux, des camarades de classe, lorsque je me fis surprendre par Olympe, plus excitée que moi à l’idée d’être fringué comme ça. J’étais si peu habitué, je me sentais mal à l’aise mais j’avais, par contre, la plupart des regards féminins sur moi. Gêné, je me racle la gorge à sa première remarque. Ah bon, tu crois? je regarde un peu les filles autour de moi, puis préfère prêter attention à Olympe. Elle était tellement bien habillée ce soir là que j’en fus bouche bée. En fait, elle n’avait pas sorti la tenue pour en mettre plein les yeux, elle avait juste mis une robe noire, simple, mais qui lui allait à merveille. Pourquoi n’était-ce pas son regard à elle que j’attirais, hein? C’était toujours comme ça dans mon cas. Je n’avais jamais les filles qui me plaisaient.
Je la remercie avec le sourire pour son compliment, puis nous montons dans le bus ensemble qui va nous poser au bar que l’université avait privatisé pour l’équipe. Je m’installe à côté d’elle, un trajet de quelques minutes qui nous permet de faire plus ample connaissance. Quand nous arrivâmes sur les lieux, je descendis du bus, suivi de près par Olympe, et pénétrai aussitôt dans le Level Three. Il y faisait bon, le comptoir et le buffet étaient déjà tout prêts. Tout était là pour que l’on puisse passer une des meilleures soirées, avec bien sûr de la musique en fond pour nous mettre dans l’ambiance. Sur une des tables était posée un saladier de punch. Je regarde Olympe et arrange ma cravate. Les lieux sont magnifiques, Yonsei avait du payer une fortune pour privatiser ce bar. Je regarde autour de moi alors que les élèves continuent d’entrer, tandis que moi, j’attrape Olympe par le poignet, doucement, pour l’entraîner vers le saladier de punch. Tu vas me noter, d’accord? A partir de maintenant, tu m’observes et à la fin de la soirée, tu me donnes ma note globale. Ca marche? Elle me sourit, je lui souris aussi. Les jeux commencent! J’attrape un verre posé à côté du saladier. Un peu de punch peut-être? Je la regarde, et tandis qu’elle acquiesce, je commence à lui servir son verre, puis je lui tendis. J’aperçois la blonde américaine entrer dans le bar mais, vu qu’il faisait un peu sombre et que seuls les néons multicolors éclairaient la pièce, j’espérai qu’elle ne me voie pas.
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Sam 3 Sep - 23:57
Je fronce des sourcils quand je constate que Tamaki n'a pas l'air très sûr de lui quant à sa tenue pourtant si parfaite. Il faut dire que dans une telle tenue, monsieur a énormément de charmes, je suis certaine qu'il va réellement faire chavirer des cœurs ce soir. Il n'y a pas de raison que cela ne soit pas le cas sinon je ne m'appelle pas Olympe. Pourquoi est-ce que des hommes stupides et pas forcément beaux trouvent des femmes à leurs bras, tandis que des hommes mignons et sympathiques comme lui n'en trouvent pas ? C'est le monde à l'envers, à croire que les femmes sont plus attirées par les prétentieux, croyant certainement pouvoir les changer. J'ai beau aimé les films à l'eau de rose, croire au prince charmant, à l'âme sœur, je ne suis pas non plus née de la dernière pluie. « Je ne crois pas, je suis certaine » dis-je en lui donnant une petite tape sur le front, essayant de le réveiller de son aveuglement. S'il n'a pas confiance en lui, il ne va jamais parvenir à son objectif et je ne vais surtout pas parvenir à le décoincer un peu, le poussant en avant. Je pense que je dois déjà travailler ça avec lui, la confiance. C'est quelque chose de primordial s'il veut réussir à plaire, séduire, sans confiance, on arrive à rien. Nous ne nous attardons pas plus que ça et montons dans le bus qui nous attend pour débuter cette fameuse soirée de départ. J'ai hâte d'y être. J'aime les soirées, la musique, et surtout, primordialement, la nourriture qui peut y être exposée. Je sais pertinemment que dans ce type d’événement il y a toujours de quoi grignoter et donc de quoi ravir ma gourmandise. A peine ai-je mis le pied dans le bar que je sens mon corps qui se dandine au rythme de la musique, comme possédé par les notes. Concentrée sur la musique, je suis surprise de me voir être entraînée par mon nouvel ami qui me fait une proposition des plus inattendues. « Te noter ? », je réfléchis quelques secondes et acquiesce avec un sourire. Je pense que cela peut être un bon exercice pour ses débuts de ''connaissances sur la femme''. Bien sûr je vais essayer de ne pas être trop sévère, ni trop sympathique, je me dois de le pousser à aller plus loin sans trop le désespérer.
Je regarde quelques secondes le punch qui se trouve face à moi. « Hum . . . », sincèrement, me connaissant, je ne sais pas si c'est une très bonne idée de boire de l'alcool mais normalement un verre ne devrait pas me tuer . . . en tout cas je ne devrai pas me retrouver saoule n'est-ce pas ? Je n'attends pas plus et accepte d'être servie, grimaçant tout de même et espérant ne pas me retrouver au sol ou perdue je-ne-sais-où à mon réveil. Je n'ai pas le temps de boire une seule goutte qu'une jeune femme me pousse, et se poste devant Tamaki. « Aish » répliquais-je m'apprêtant à sauter sur la personne qui a osé s'interposer, mais je m'arrête de justesse lorsque j'aperçois la fameuse américaine. Encore elle ! Je m'étouffe de rire sachant pertinemment ce que Tamaki pense de cette rencontre infortunée. Je me racle la gorge et fais mine de partir, pour laisser les deux tourtereaux ensemble, mais reviens rapidement, ne pouvant abandonner ce pauvre enfant. Je l'attrape alors brusquement par l'épaule et ébouriffe ses cheveux, « Yah ! Tama, tu m'avais promis une danse, c'est maintenant ou jamais, sinon . . . », je trace une ligne avec mon doigt près de mon cou, et lance un regard à l'américaine, tout sourire. « Désolée, je te le rends tout de suite après promis ! ». Je fais signe à Tamaki, du regard, de fuir, et l'entraîne rapidement avec moi sur la piste, me mêlant à la foule, pour essayer de fuguer, mon verre toujours en main. « Vite, vite . . . si tu ne veux pas l'avoir dans tes pattes soit on fait mine de danser, soit faut trouver une cachette secrète », j'ai l'impression d'être un enfant en parlant comme ça.
You know nothing about girls
Feat Tamaki - Tamalympe ♥
Je fronce des sourcils quand je constate que Tamaki n'a pas l'air très sûr de lui quant à sa tenue pourtant si parfaite. Il faut dire que dans une telle tenue, monsieur a énormément de charmes, je suis certaine qu'il va réellement faire chavirer des cœurs ce soir. Il n'y a pas de raison que cela ne soit pas le cas sinon je ne m'appelle pas Olympe. Pourquoi est-ce que des hommes stupides et pas forcément beaux trouvent des femmes à leurs bras, tandis que des hommes mignons et sympathiques comme lui n'en trouvent pas ? C'est le monde à l'envers, à croire que les femmes sont plus attirées par les prétentieux, croyant certainement pouvoir les changer. J'ai beau aimé les films à l'eau de rose, croire au prince charmant, à l'âme sœur, je ne suis pas non plus née de la dernière pluie. « Je ne crois pas, je suis certaine » dis-je en lui donnant une petite tape sur le front, essayant de le réveiller de son aveuglement. S'il n'a pas confiance en lui, il ne va jamais parvenir à son objectif et je ne vais surtout pas parvenir à le décoincer un peu, le poussant en avant. Je pense que je dois déjà travailler ça avec lui, la confiance. C'est quelque chose de primordial s'il veut réussir à plaire, séduire, sans confiance, on arrive à rien. Nous ne nous attardons pas plus que ça et montons dans le bus qui nous attend pour débuter cette fameuse soirée de départ. J'ai hâte d'y être. J'aime les soirées, la musique, et surtout, primordialement, la nourriture qui peut y être exposée. Je sais pertinemment que dans ce type d’événement il y a toujours de quoi grignoter et donc de quoi ravir ma gourmandise. A peine ai-je mis le pied dans le bar que je sens mon corps qui se dandine au rythme de la musique, comme possédé par les notes. Concentrée sur la musique, je suis surprise de me voir être entraînée par mon nouvel ami qui me fait une proposition des plus inattendues. « Te noter ? », je réfléchis quelques secondes et acquiesce avec un sourire. Je pense que cela peut être un bon exercice pour ses débuts de ''connaissances sur la femme''. Bien sûr je vais essayer de ne pas être trop sévère, ni trop sympathique, je me dois de le pousser à aller plus loin sans trop le désespérer. Je regarde quelques secondes le punch qui se trouve face à moi. « Hum . . . », sincèrement, me connaissant, je ne sais pas si c'est une très bonne idée de boire de l'alcool mais normalement un verre ne devrait pas me tuer . . . en tout cas je ne devrai pas me retrouver saoule n'est-ce pas ? Je n'attends pas plus et accepte d'être servie, grimaçant tout de même et espérant ne pas me retrouver au sol ou perdue je-ne-sais-où à mon réveil. Je n'ai pas le temps de boire une seule goutte qu'une jeune femme me pousse, et se poste devant Tamaki. « Aish » répliquais-je m'apprêtant à sauter sur la personne qui a osé s'interposer, mais je m'arrête de justesse lorsque j'aperçois la fameuse américaine. Encore elle ! Je m'étouffe de rire sachant pertinemment ce que Tamaki pense de cette rencontre infortunée. Je me racle la gorge et fais mine de partir, pour laisser les deux tourtereaux ensemble, mais reviens rapidement, ne pouvant abandonner ce pauvre enfant. Je l'attrape alors brusquement par l'épaule et ébouriffe ses cheveux, « Yah ! Tama, tu m'avais promis une danse, c'est maintenant ou jamais, sinon . . . », je trace une ligne avec mon doigt près de mon cou, et lance un regard à l'américaine, tout sourire. « Désolée, je te le rends tout de suite après promis ! ». Je fais signe à Tamaki, du regard, de fuir, et l'entraîne rapidement avec moi sur la piste, me mêlant à la foule, pour essayer de fuguer, mon verre toujours en main. « Vite, vite . . . si tu ne veux pas l'avoir dans tes pattes soit on fait mine de danser, soit faut trouver une cachette secrète », j'ai l'impression d'être un enfant en parlant comme ça.
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Sam 10 Sep - 16:23
Je trouve mon idée pas mauvaise. En fait, j'avais besoin de savoir où j'en étais d'après son avis. On commençait les cours, non? Donc il fallait bien que je voie où j'en étais dès le départ. Du coup, je commence par lui proposer du punch, mais je la vois hésiter. Aie, déjà un point en moins? J'ignorais tout d'Olympe pour l'instant, mais j'apprenais à la connaître. De ce que je voyais déjà, elle semblait ne pas être très friande d'alcool, néanmoins elle accepta le premier verre sans trop rechigner. Mais elle semble vraiment tendue, alors je la rassure. C'est qu'un verre, t'en fais pas, tu finiras pas bourrée. Et puis au pire, c'est pas avec moi qu'elle risquait quelque chose. Haha.
Et puis, Olympe disparaît de mon champ de vision après qu'une fusée blonde lui ait rentré dedans. Je fronce alors les sourcils et me retrouve face à un visage familier: l'américaine. Je m'apprête à lui gueuler dessus, dans sa langue, lorsqu'Olympe lui sauve la mise en posant une main sur mon épaule. Elle m'ébouriffe même les cheveux, je regarde alors en l'air, essayant de voir si j'étais décoiffé, tandis que la sango me rappelle que je lui avais promis une fausse danse. Elle me menace, j'en rigole, puis nous allons vers la piste de danse sans trop perdre de temps. Elle a raison, si je ne veux pas me retrouver avec la blonde collée aux bask, je ferais mieux d'écouter Olympe et de faire mine de danser (ou de savoir danser aussi). Mais je suis un piètre danseur. Malédiction. Je voudrais bien danser mais... Euh, attends, comment faut faire là? J'avais envie de rire. Une chanson un peu rythmée, alors je pouvais me permettre de prendre Olympe par la main et de la faire danser comme sur un rythme de salsa. Le but c'était quand même de décourager l'américaine, alors je me montrais un minimum complice avec la brune mais elle ne devait pas avoir les mêmes idées que moi. Je sais que son but, c'était de me caser avec la blondinette.
Et puis, finalement, je me laisse entraîner par la musique. Finalement, danser ce n'est pas si mal mais j'ai encore beaucoup de progrès à faire. Du coup, quand je me rappelle que je suis un nul né, je m'arrête et me gratte la nuque. Rah, laisse tomber, je suis en train de me ridiculiser. Mais je tourne la tête pour voir si mon prédateur est parti ou non. Je ne la vois plus, en tout cas, le coin punch est envahi de têtes que je ne connais pas. Allons nous cacher! J'attrape son poignet et l'entraîne avec moi à travers la foule de gens lorsque mon professeur de sciences m'arrête. Tamaki, quel plaisir de te voir ici! Je m'arrête. Bien accompagné à ce que je vois. je tourne la tête vers Olympe et acquiesce avant de sourire, bêtement. Je voulais te féliciter pour ton premier semestre, tu as été brillant! J'acquiesce à nouveau avant de lui répondre un "merci" bref, accompagné d'un sourire. Mais je lui fais comprendre que je suis pressé et aussitôt, il s'écarte et nous laisse passer. Je m'aventure avec elle à travers la foule et on arrive finalement à un coin plutôt tranquille, non loin d'une fontaine à punch. ENCORE! Je me ressers un verre pour faire passer ma soif tout en regardant autour de moi, comme apeuré qu'elle revienne à la charge.
Tu veux que je fasse quoi avec une fille pareille? Que je finisse la soirée avec elle à l'hôtel? demandai-je en retournant près d'Olympe. Ca me laissait perplexe qu'elle ne voie pas la même chose que moi. Il était clair que cette folle voulait me manger tout cru. Tiens, la voilà qui revient à la charge survenant de nulle part, décidément, elle ne lâchait pas l'affaire. Elle me demande une danse et je ne peux m'empêcher de lever les yeux au ciel; fallait faire un peu d'efforts. Ok then, come with me. je donne mon verre de punch à Olympe et lui chuchote de me regarder attentivement afin de me noter. Je prends l'américaine par la main et l'entraîne sur la piste. Elle semblait contente que je lui donne enfin un peu d'attention, et c'était marrant de la voir. Elle riait aux éclats, elle était heureuse. Depuis quand je rendais une fille heureuse, moi? Pourvu qu'Olympe ne loupe pas une miette de ce moment, je crois que je dansais mieux que toute à l'heure.
You know nothing about girls
Feat Olympe - Tamalympe ♥
Je trouve mon idée pas mauvaise. En fait, j'avais besoin de savoir où j'en étais d'après son avis. On commençait les cours, non? Donc il fallait bien que je voie où j'en étais dès le départ. Du coup, je commence par lui proposer du punch, mais je la vois hésiter. Aie, déjà un point en moins? J'ignorais tout d'Olympe pour l'instant, mais j'apprenais à la connaître. De ce que je voyais déjà, elle semblait ne pas être très friande d'alcool, néanmoins elle accepta le premier verre sans trop rechigner. Mais elle semble vraiment tendue, alors je la rassure. C'est qu'un verre, t'en fais pas, tu finiras pas bourrée. Et puis au pire, c'est pas avec moi qu'elle risquait quelque chose. Haha.
Et puis, Olympe disparaît de mon champ de vision après qu'une fusée blonde lui ait rentré dedans. Je fronce alors les sourcils et me retrouve face à un visage familier: l'américaine. Je m'apprête à lui gueuler dessus, dans sa langue, lorsqu'Olympe lui sauve la mise en posant une main sur mon épaule. Elle m'ébouriffe même les cheveux, je regarde alors en l'air, essayant de voir si j'étais décoiffé, tandis que la sango me rappelle que je lui avais promis une fausse danse. Elle me menace, j'en rigole, puis nous allons vers la piste de danse sans trop perdre de temps. Elle a raison, si je ne veux pas me retrouver avec la blonde collée aux bask, je ferais mieux d'écouter Olympe et de faire mine de danser (ou de savoir danser aussi). Mais je suis un piètre danseur. Malédiction. Je voudrais bien danser mais... Euh, attends, comment faut faire là? J'avais envie de rire. Une chanson un peu rythmée, alors je pouvais me permettre de prendre Olympe par la main et de la faire danser comme sur un rythme de salsa. Le but c'était quand même de décourager l'américaine, alors je me montrais un minimum complice avec la brune mais elle ne devait pas avoir les mêmes idées que moi. Je sais que son but, c'était de me caser avec la blondinette.
Et puis, finalement, je me laisse entraîner par la musique. Finalement, danser ce n'est pas si mal mais j'ai encore beaucoup de progrès à faire. Du coup, quand je me rappelle que je suis un nul né, je m'arrête et me gratte la nuque. Rah, laisse tomber, je suis en train de me ridiculiser. Mais je tourne la tête pour voir si mon prédateur est parti ou non. Je ne la vois plus, en tout cas, le coin punch est envahi de têtes que je ne connais pas. Allons nous cacher! J'attrape son poignet et l'entraîne avec moi à travers la foule de gens lorsque mon professeur de sciences m'arrête. Tamaki, quel plaisir de te voir ici! Je m'arrête. Bien accompagné à ce que je vois. je tourne la tête vers Olympe et acquiesce avant de sourire, bêtement. Je voulais te féliciter pour ton premier semestre, tu as été brillant! J'acquiesce à nouveau avant de lui répondre un "merci" bref, accompagné d'un sourire. Mais je lui fais comprendre que je suis pressé et aussitôt, il s'écarte et nous laisse passer. Je m'aventure avec elle à travers la foule et on arrive finalement à un coin plutôt tranquille, non loin d'une fontaine à punch. ENCORE! Je me ressers un verre pour faire passer ma soif tout en regardant autour de moi, comme apeuré qu'elle revienne à la charge.
Tu veux que je fasse quoi avec une fille pareille? Que je finisse la soirée avec elle à l'hôtel? demandai-je en retournant près d'Olympe. Ca me laissait perplexe qu'elle ne voie pas la même chose que moi. Il était clair que cette folle voulait me manger tout cru. Tiens, la voilà qui revient à la charge survenant de nulle part, décidément, elle ne lâchait pas l'affaire. Elle me demande une danse et je ne peux m'empêcher de lever les yeux au ciel; fallait faire un peu d'efforts. Ok then, come with me. je donne mon verre de punch à Olympe et lui chuchote de me regarder attentivement afin de me noter. Je prends l'américaine par la main et l'entraîne sur la piste. Elle semblait contente que je lui donne enfin un peu d'attention, et c'était marrant de la voir. Elle riait aux éclats, elle était heureuse. Depuis quand je rendais une fille heureuse, moi? Pourvu qu'Olympe ne loupe pas une miette de ce moment, je crois que je dansais mieux que toute à l'heure.
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Lun 12 Sep - 19:53
Je fais un rapide sourire à Tamaki, ne semblant quand même pas très rassurée. Il ne sait pas à quel point je suis une femme sensible quand il s'agit d'alcool et que même un verre peut avoir le don de me faire monter en puissance, mais je ne dis rien, espérant ne pas faire d'erreur au cours de cette soirée. Je ne dois pas montrer ce côté plus folle de moi, déjà que je le suis, il ne faut pas en rajouter une couche. Bon il arrive que je sois d'un calme olympien, enfin si on joue avec mon prénom, ça va plutôt dans un sens négatif. J'éloigne juste un peu le verre, au risque de le boire d'une seule traite, ce qui est ma spécificité aussi. Il faut dire que l'alcool c'est comme de l'eau, ça coule comme de l'eau, ça étanche comme de l'eau, mais après, ça fait pas les mêmes effets, absolument pas. De toute manière je n'ai pas le temps de boire puisque mon action est magnifiquement coupé par l'américaine, qui, encore une fois, ne cesse de le poursuivre. Pauvre homme. Il n'a décidément pas de chance. Même si elle m'a l'air fort sympathique et ne semble pas vouloir faire de lui sa proie fatale, je ressens bien que lui, il ne veut en aucun cas s'amuser à un tel jeu. Alors je l'éloigne, sur la piste, pour essayer de nous faufiler dans la masse, comme une cachette, secrète. Je me retrouve donc face à lui, son visage semblant de plus en plus décontenancée. Pourquoi il a cette tête ? Il ne va pas bien ? Il est malade ? Il . . . je comprends alors la source du problème quand il hésite, au niveau de ses bras et de ses pieds. Je lui donne une petite tape sur l'épaule, pour le rassurer. « Oh mais, ne te prends pas la tête pour ça. Aujourd'hui on danse comme on veut, on fait ce qu'on veut, alors tu peux m'écraser les pieds, me tirer les bras, pas de souci. Mais . . . je vais quand même te montrer, tu apprendras, ça s'apprend ». Je lui prends la main, la serrant contre ma paume pour essayer de lui faire son perdre angoisse que je ressens aussi, en tant que partenaire de danse. « Regarde, c'est comme ça . . . tu vois que tu peux le faire, tu te débrouilles très bien ». Je lui fais un grand sourire, heureuse de lui apprendre les pas. Franchement, pour un débutant, je trouve qu'il sait mieux danser que les autres hommes qui nous entourent. Je lui donne une petite tape sur le front quand il finit par abandonner, semblant frustré de ses maigres capacités, alors que c'est juste une mauvaise confiance en lui. « Mais non arrête de dire des bêtises, si je dois t'avoir en élève, ça serait avec plaisir ».
En s'éloignant de la piste, on croise, de nouveau, une personne qui interpelle Tamaki, mais fort heureusement celui-ci fait bien comprendre que ce n'est pas le moment de déranger encore une fois. Je ne me rends même pas compte que Tamaki m'a pris le bras, jusqu'à ce que je ressens une certaine pression du poignet et rougis légèrement par tant de proximité. Tous les deux, on finit par se poser, dans un coin semblant paisible, à l'abri des regards, reprenant pour sa part un autre verre. « Yah ! Fais attention, tu vas boire trop vite et tu vas ressembler à un déchet ! ». Je m’esclaffe quand il me demande s'il devrait coucher avec elle ? J'ai l'impression d'être avec une femme qui me demande la même chose, mais pour un homme. Je n'ai pas le temps de répondre qu'encore une fois, l'américaine apparaît. Elle n'abandonne pas. J'esquisse un sourire, le laissant avancer jusqu'à la piste avec elle, pris au piège. Je le regarde au loin, essayant d'examiner la scène, buvant mon verre, petit à petit, et prenant ensuite le verre de Tamaki, d'une traite, cette fois-ci, sans même m'en rendre compte. En une fraction de seconde, mon esprit se disperse, dans l'au-delà. Je pars, je me noie, je ne suis plus ici, je ne suis plus là. Je vois alors, brusquement, un visage familier qui s'approche de moi. Je souris, bêtement. Et je rigole, sans savoir pourquoi. Je rigole, jusqu'à en perdre mes poumons. Je m'étouffe. Reprends calmement. Je montre les deux verres vides, tout en grimaçant, « oups », dis-je en mettant ma main devant ma bouche. « OPPAAAAAA », je secoue mes jambes, mécontente. Depuis quand je l'appelle Oppa, déjà ? « Je . . . t'azavais diche . . . Que jeche dchois pas bchoire ». Je me frotte les yeux, le visage. Je ne sais pas vraiment où je suis. Olympe et l'alcool c'est mauvais, surtout deux, et surtout quand un est bu si rapidement. Ça monte vite chez Olympe. Pire que vite. Enfin chez moi. « Oppa, les princes charmantes est-ce que ça existe ? Parce qu'ils disent tous ça, mais en vrai, ce ne sont pas des glaces à la menthe . . . oppa . . . toi tu veux pas être mon prince charmant ? ». Je le fixe quelques secondes, mon regard plongeant dans le sien et me ressaisis, « je veux appeler Jung-hwa oppa !!!! »,
You know nothing about girls
Feat Tamaki - Tamalympe ♥
Je fais un rapide sourire à Tamaki, ne semblant quand même pas très rassurée. Il ne sait pas à quel point je suis une femme sensible quand il s'agit d'alcool et que même un verre peut avoir le don de me faire monter en puissance, mais je ne dis rien, espérant ne pas faire d'erreur au cours de cette soirée. Je ne dois pas montrer ce côté plus folle de moi, déjà que je le suis, il ne faut pas en rajouter une couche. Bon il arrive que je sois d'un calme olympien, enfin si on joue avec mon prénom, ça va plutôt dans un sens négatif. J'éloigne juste un peu le verre, au risque de le boire d'une seule traite, ce qui est ma spécificité aussi. Il faut dire que l'alcool c'est comme de l'eau, ça coule comme de l'eau, ça étanche comme de l'eau, mais après, ça fait pas les mêmes effets, absolument pas. De toute manière je n'ai pas le temps de boire puisque mon action est magnifiquement coupé par l'américaine, qui, encore une fois, ne cesse de le poursuivre. Pauvre homme. Il n'a décidément pas de chance. Même si elle m'a l'air fort sympathique et ne semble pas vouloir faire de lui sa proie fatale, je ressens bien que lui, il ne veut en aucun cas s'amuser à un tel jeu. Alors je l'éloigne, sur la piste, pour essayer de nous faufiler dans la masse, comme une cachette, secrète. Je me retrouve donc face à lui, son visage semblant de plus en plus décontenancée. Pourquoi il a cette tête ? Il ne va pas bien ? Il est malade ? Il . . . je comprends alors la source du problème quand il hésite, au niveau de ses bras et de ses pieds. Je lui donne une petite tape sur l'épaule, pour le rassurer. « Oh mais, ne te prends pas la tête pour ça. Aujourd'hui on danse comme on veut, on fait ce qu'on veut, alors tu peux m'écraser les pieds, me tirer les bras, pas de souci. Mais . . . je vais quand même te montrer, tu apprendras, ça s'apprend ». Je lui prends la main, la serrant contre ma paume pour essayer de lui faire son perdre angoisse que je ressens aussi, en tant que partenaire de danse. « Regarde, c'est comme ça . . . tu vois que tu peux le faire, tu te débrouilles très bien ». Je lui fais un grand sourire, heureuse de lui apprendre les pas. Franchement, pour un débutant, je trouve qu'il sait mieux danser que les autres hommes qui nous entourent. Je lui donne une petite tape sur le front quand il finit par abandonner, semblant frustré de ses maigres capacités, alors que c'est juste une mauvaise confiance en lui. « Mais non arrête de dire des bêtises, si je dois t'avoir en élève, ça serait avec plaisir ».En s'éloignant de la piste, on croise, de nouveau, une personne qui interpelle Tamaki, mais fort heureusement celui-ci fait bien comprendre que ce n'est pas le moment de déranger encore une fois. Je ne me rends même pas compte que Tamaki m'a pris le bras, jusqu'à ce que je ressens une certaine pression du poignet et rougis légèrement par tant de proximité. Tous les deux, on finit par se poser, dans un coin semblant paisible, à l'abri des regards, reprenant pour sa part un autre verre. « Yah ! Fais attention, tu vas boire trop vite et tu vas ressembler à un déchet ! ». Je m’esclaffe quand il me demande s'il devrait coucher avec elle ? J'ai l'impression d'être avec une femme qui me demande la même chose, mais pour un homme. Je n'ai pas le temps de répondre qu'encore une fois, l'américaine apparaît. Elle n'abandonne pas. J'esquisse un sourire, le laissant avancer jusqu'à la piste avec elle, pris au piège. Je le regarde au loin, essayant d'examiner la scène, buvant mon verre, petit à petit, et prenant ensuite le verre de Tamaki, d'une traite, cette fois-ci, sans même m'en rendre compte. En une fraction de seconde, mon esprit se disperse, dans l'au-delà. Je pars, je me noie, je ne suis plus ici, je ne suis plus là. Je vois alors, brusquement, un visage familier qui s'approche de moi. Je souris, bêtement. Et je rigole, sans savoir pourquoi. Je rigole, jusqu'à en perdre mes poumons. Je m'étouffe. Reprends calmement. Je montre les deux verres vides, tout en grimaçant, « oups », dis-je en mettant ma main devant ma bouche. « OPPAAAAAA », je secoue mes jambes, mécontente. Depuis quand je l'appelle Oppa, déjà ? « Je . . . t'azavais diche . . . Que jeche dchois pas bchoire ». Je me frotte les yeux, le visage. Je ne sais pas vraiment où je suis. Olympe et l'alcool c'est mauvais, surtout deux, et surtout quand un est bu si rapidement. Ça monte vite chez Olympe. Pire que vite. Enfin chez moi. « Oppa, les princes charmantes est-ce que ça existe ? Parce qu'ils disent tous ça, mais en vrai, ce ne sont pas des glaces à la menthe . . . oppa . . . toi tu veux pas être mon prince charmant ? ». Je le fixe quelques secondes, mon regard plongeant dans le sien et me ressaisis, « je veux appeler Jung-hwa oppa !!!! »,
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Sam 17 Sep - 10:54
Je me faisais du mal, enfin, du moins, je me forçais vraiment à ce moment précis. Bon, je savais à peu près danser de ce que disait Olympe, mais fallait-il encore apprécier la compagnie du binôme, et l'américaine avait beau être très belle, blonde, un joli nez et des yeux clairs, elle ne me plaisait pas mentalement. Soit, je dansais quand même avec pour lui faire plaisir, et elle riait aux éclats. Elle m'avait même demandé à ce que je la fasse danser de la même façon que j'avait fait danser Olympe, alors je la pris par la main et la fis tourner, retourner, virevolter, comme si j'avais fait ça toute ma vie.
Ou pas. A la fin de la musique, elle me sauta au cou en riant et en me répétant qu'elle avait adoré. Elle déposa un bisou sur ma joue et glissa son numéro dans la poche de ma veste de costume. Forcément, fallait bien qu'on y arrive à ce moment-là. Alors je lui souris, et la voilà partie avec ses copines, pour profiter du reste de la soirée, tandis que moi, je retournai auprès d'Olympe qui semblait différente. Je la vois se frotter les yeux, secouer les jambes, se comporter bizarrement. Aussitôt que j'entends sa voix aigüe m'appeler "oppa", j'approche d'elle à grands pas et lui prends le verre des mains, MON verre, qu'elle avait séché semblait-il. Ah... D'accord. lâchai-je en levant les yeux vers elle.
Olympe était bourrée mais elle avait bu quoi? Deux verres? Allez, peut-être trois? Les filles qui finissaient vite bourrées comme ça me faisaient marrer. Du coup, j'esquissai un sourire avant de me baisser pour me mettre à sa hauteur et la regarder, un large sourire aux lèvres. On est bourré on dirait? sur un ton provocateur. Je lui prends des mains le verre qu'elle tient et le pose sur un comptoir, non loin, alors qu'elle se met à me parler des princes charmants qui existent ou pas. Non les princes charmants ça n'... elle me coupe la parole, elle me demande si je veux bien être le sien. Alors je la regarde dans les yeux. Moi, ton prince charmant? Je me pointe du doigt, étonné, perturbé. Olympe était-elle en train de me faire des avances?
Ca, c'était ma chance. Toutes les filles que j'appréciais attendaient forcément d'avoir plusieurs verres dans le nez pour se révéler. J'avais envie de pleurer. Pourquoi ne s'exprimaient-elles pas simplement quand elles étaient sobres? La plupart avait honte d'avouer une certaine attirance pour moi. J'étais Tamaki, après tout. Le largué, le puceau, le mec qui fait que geeker. Sauf qu'en fait, je m'étais trompé. Olympe parlait d'un autre mec, un certain Jung Hwa que je ne connaissais pas.
C'est qui lui? demandai-je à Olympe alors que je me servis un autre verre d'alcool. Je ne la lâchai pas du regard. Je le connais pas moi. rajoutai-je en me rapprochant d'elle. Elle tenait à peine debout, la soirée allait sûrement s'écourter. Il fallait que je la tienne de ma main libre pour lui éviter la chute. On va rentrer à l'hôtel. BRAVO! Ca faisait tout juste une heure qu'on était là et il fallait déjà qu'on rentre. Alors je bus mon verre d'alcool d'une traite et pris Olympe avec moi. Je passai son bras sur mes épaules et l'entraînai jusqu'à l'extérieur, un peu d'air frais devrait déjà lui faire du bien. Ca va?
You know nothing about girls
Feat Olympe - Tamalympe ♥
Je me faisais du mal, enfin, du moins, je me forçais vraiment à ce moment précis. Bon, je savais à peu près danser de ce que disait Olympe, mais fallait-il encore apprécier la compagnie du binôme, et l'américaine avait beau être très belle, blonde, un joli nez et des yeux clairs, elle ne me plaisait pas mentalement. Soit, je dansais quand même avec pour lui faire plaisir, et elle riait aux éclats. Elle m'avait même demandé à ce que je la fasse danser de la même façon que j'avait fait danser Olympe, alors je la pris par la main et la fis tourner, retourner, virevolter, comme si j'avais fait ça toute ma vie.
Ou pas. A la fin de la musique, elle me sauta au cou en riant et en me répétant qu'elle avait adoré. Elle déposa un bisou sur ma joue et glissa son numéro dans la poche de ma veste de costume. Forcément, fallait bien qu'on y arrive à ce moment-là. Alors je lui souris, et la voilà partie avec ses copines, pour profiter du reste de la soirée, tandis que moi, je retournai auprès d'Olympe qui semblait différente. Je la vois se frotter les yeux, secouer les jambes, se comporter bizarrement. Aussitôt que j'entends sa voix aigüe m'appeler "oppa", j'approche d'elle à grands pas et lui prends le verre des mains, MON verre, qu'elle avait séché semblait-il. Ah... D'accord. lâchai-je en levant les yeux vers elle.
Olympe était bourrée mais elle avait bu quoi? Deux verres? Allez, peut-être trois? Les filles qui finissaient vite bourrées comme ça me faisaient marrer. Du coup, j'esquissai un sourire avant de me baisser pour me mettre à sa hauteur et la regarder, un large sourire aux lèvres. On est bourré on dirait? sur un ton provocateur. Je lui prends des mains le verre qu'elle tient et le pose sur un comptoir, non loin, alors qu'elle se met à me parler des princes charmants qui existent ou pas. Non les princes charmants ça n'... elle me coupe la parole, elle me demande si je veux bien être le sien. Alors je la regarde dans les yeux. Moi, ton prince charmant? Je me pointe du doigt, étonné, perturbé. Olympe était-elle en train de me faire des avances?
Ca, c'était ma chance. Toutes les filles que j'appréciais attendaient forcément d'avoir plusieurs verres dans le nez pour se révéler. J'avais envie de pleurer. Pourquoi ne s'exprimaient-elles pas simplement quand elles étaient sobres? La plupart avait honte d'avouer une certaine attirance pour moi. J'étais Tamaki, après tout. Le largué, le puceau, le mec qui fait que geeker. Sauf qu'en fait, je m'étais trompé. Olympe parlait d'un autre mec, un certain Jung Hwa que je ne connaissais pas.
C'est qui lui? demandai-je à Olympe alors que je me servis un autre verre d'alcool. Je ne la lâchai pas du regard. Je le connais pas moi. rajoutai-je en me rapprochant d'elle. Elle tenait à peine debout, la soirée allait sûrement s'écourter. Il fallait que je la tienne de ma main libre pour lui éviter la chute. On va rentrer à l'hôtel. BRAVO! Ca faisait tout juste une heure qu'on était là et il fallait déjà qu'on rentre. Alors je bus mon verre d'alcool d'une traite et pris Olympe avec moi. Je passai son bras sur mes épaules et l'entraînai jusqu'à l'extérieur, un peu d'air frais devrait déjà lui faire du bien. Ca va?
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Dim 18 Sep - 14:05
Je n'arrive plus à centrer mon regard sur quelque chose de précis, celui-ci devenant de plus en plus flou et faisant d'étranges mouvements incompréhensibles. Pourtant, je ne bouge pas, en tout cas, je ne semble pas être en mouvement mais ma tête, elle, elle bouge. Sans cesse. Je me doute alors que mon esprit est désormais ailleurs, perdu dans les limbes de l'alcool. Je n'ai plus conscience de tout ce qui m'entoure, ma langue se déliant, machinalement. Tamaki, qui est désormais près de moi et non plus collé à cette Américaine, constate rapidement mon état et semble même faire une petite ironie concernant mon alcoolémie. Je pointe mon doigt vers lui, esquissant un sourire, et réponds de manière sèche, « Vouii ». Oui je suis totalement saoule, mais ce n'est pas de ma faute, je suis une petite nature qui tient très peu les liquides brûlants. Je finis alors par lui parler de princes charmants, entrant dans mes pauvres illusions, lui demandant, sérieusement, s'il veut devenir mon prince charmant. Je le regarde, les yeux écarquillés, attendant sa réponse, prête à lui sauter au cou en cas de oui. Bien sûr je me doute bien qu'il ne va pas répondre à cette question, si idiote soit-elle. Tamaki semble surpris que je le désigne comme prince charmant, et je finis donc par croiser les bras, prenant un air quelque peu vexé. Je comprends bien qu'il ne veut pas être mon prince charmant. Quelle déception. « Oublie ! Tu veux même pas l'être je suis sûre, parce que c'est Moi, Olympe », dis-je en donnant quelques coups près de ma poitrine. Parce que Olympe c'est une véritable catastrophe ambulante, c'est la fille quelque peu folle qui terrorise certaines personnes, qui n'a aucune honte et qui est sans gêne, la fille que l'on ne regarde qu'à travers un survêtement bien trop grand. Mais Olympe, elle n'est pas que ça, je ne suis pas que ça. Et pourtant . . . Je réclame alors mon meilleur ami, désireuse de le voir, lui qui a toujours été présent pour moi, malgré nos quelques chamailleries bien enfantines. C'est le seul homme qui peut, pour le moment, me consoler dans mon grand désespoir. J'ouvre grand la bouche, plaquant mes deux mains contre celle-ci, l'air choqué. « Tu connais pas Jung-Hwa Oppa ? ». Je hoche négativement de la tête, « C'est le meilleur ami de moi . . . il est cool Jung Hwa. Tu dois être son ami aussi, d'accord ? ».
Je me relève doucement, avec l'aide de Tamaki, me mettant difficilement sur mes deux jambes. Je tente de marcher droit, mais avec de grandes difficultés. Lorsque l'on ne voit pas très bien c'est difficile de suivre la route tracée, mais heureusement que j'ai mon partenaire pour pouvoir m'aider. Je pense que je n'aurai pu me relever sans son aide. Je fais une petite moue quand même lorsque nous sortons dehors, me permettant de respirer de l'ai frais. « Mais c'est nuuuullleeeee ! Moi je veux retourner là bas ! Retournons dedans ! Allez ! Je veux encore m'amuser ! ». Je fais une toute petite tête, clignant plusieurs fois des yeux et essayant de me détacher de son emprise. « Et je vais bien, regarde, je peux tenir debout ». Je m'éloigne rapidement de lui mais tombe au sol avant même d'avoir pu montrer quoique ce soit. « Aïe ». Je me mords la lèvre supérieure, mon regard se tournant vers Tamaki, « désolée . . . à cause de moi tu ne peux plus t'amuser. Je suis aussi nouille qu'une nouille ». J'inspire et hausse des épaules, « je crois que c'est mieux de rentrer oui ». Je me relève difficilement, avec de nouveau l'aide de Tamaki. « C'est loin chez nous ? ». Je marche lentement à petits pas, près de Tamaki, déjà pressée d'arriver à destination.
You know nothing about girls
Feat Tamaki - Tamalympe ♥
Je n'arrive plus à centrer mon regard sur quelque chose de précis, celui-ci devenant de plus en plus flou et faisant d'étranges mouvements incompréhensibles. Pourtant, je ne bouge pas, en tout cas, je ne semble pas être en mouvement mais ma tête, elle, elle bouge. Sans cesse. Je me doute alors que mon esprit est désormais ailleurs, perdu dans les limbes de l'alcool. Je n'ai plus conscience de tout ce qui m'entoure, ma langue se déliant, machinalement. Tamaki, qui est désormais près de moi et non plus collé à cette Américaine, constate rapidement mon état et semble même faire une petite ironie concernant mon alcoolémie. Je pointe mon doigt vers lui, esquissant un sourire, et réponds de manière sèche, « Vouii ». Oui je suis totalement saoule, mais ce n'est pas de ma faute, je suis une petite nature qui tient très peu les liquides brûlants. Je finis alors par lui parler de princes charmants, entrant dans mes pauvres illusions, lui demandant, sérieusement, s'il veut devenir mon prince charmant. Je le regarde, les yeux écarquillés, attendant sa réponse, prête à lui sauter au cou en cas de oui. Bien sûr je me doute bien qu'il ne va pas répondre à cette question, si idiote soit-elle. Tamaki semble surpris que je le désigne comme prince charmant, et je finis donc par croiser les bras, prenant un air quelque peu vexé. Je comprends bien qu'il ne veut pas être mon prince charmant. Quelle déception. « Oublie ! Tu veux même pas l'être je suis sûre, parce que c'est Moi, Olympe », dis-je en donnant quelques coups près de ma poitrine. Parce que Olympe c'est une véritable catastrophe ambulante, c'est la fille quelque peu folle qui terrorise certaines personnes, qui n'a aucune honte et qui est sans gêne, la fille que l'on ne regarde qu'à travers un survêtement bien trop grand. Mais Olympe, elle n'est pas que ça, je ne suis pas que ça. Et pourtant . . . Je réclame alors mon meilleur ami, désireuse de le voir, lui qui a toujours été présent pour moi, malgré nos quelques chamailleries bien enfantines. C'est le seul homme qui peut, pour le moment, me consoler dans mon grand désespoir. J'ouvre grand la bouche, plaquant mes deux mains contre celle-ci, l'air choqué. « Tu connais pas Jung-Hwa Oppa ? ». Je hoche négativement de la tête, « C'est le meilleur ami de moi . . . il est cool Jung Hwa. Tu dois être son ami aussi, d'accord ? ». Je me relève doucement, avec l'aide de Tamaki, me mettant difficilement sur mes deux jambes. Je tente de marcher droit, mais avec de grandes difficultés. Lorsque l'on ne voit pas très bien c'est difficile de suivre la route tracée, mais heureusement que j'ai mon partenaire pour pouvoir m'aider. Je pense que je n'aurai pu me relever sans son aide. Je fais une petite moue quand même lorsque nous sortons dehors, me permettant de respirer de l'ai frais. « Mais c'est nuuuullleeeee ! Moi je veux retourner là bas ! Retournons dedans ! Allez ! Je veux encore m'amuser ! ». Je fais une toute petite tête, clignant plusieurs fois des yeux et essayant de me détacher de son emprise. « Et je vais bien, regarde, je peux tenir debout ». Je m'éloigne rapidement de lui mais tombe au sol avant même d'avoir pu montrer quoique ce soit. « Aïe ». Je me mords la lèvre supérieure, mon regard se tournant vers Tamaki, « désolée . . . à cause de moi tu ne peux plus t'amuser. Je suis aussi nouille qu'une nouille ». J'inspire et hausse des épaules, « je crois que c'est mieux de rentrer oui ». Je me relève difficilement, avec de nouveau l'aide de Tamaki. « C'est loin chez nous ? ». Je marche lentement à petits pas, près de Tamaki, déjà pressée d'arriver à destination.
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Mar 20 Sep - 22:41
Elle était sérieuse là de me dire à moi que je la voulais pas parce qu'elle était Olympe? Haha, si elle savait. Je la trouvais géniale cette fille, pas moche, elle me correspondait totalement et voilà qu'elle me balance à la figure que je veux pas être son prince charmant parce qu'elle était... différente. C'était vrai d'un côté mais moi aussi j'étais différent, nous étions tous les deux des borderlines, mais ça me convenait, et elle aussi, je supposais? Enfin bref, je lui fis un signe de la main. Tu dis n'importe quoi. j'étais pressé d'aller dehors, mais je préférai lui demander d'abord qui était ce Junghwa dont elle parlait. Quand elle m'expliqua qu'il s'agissait de son meilleur ami, je marquai un arrêt. L'amitié garçon/fille existait-elle vraiment? Remarquez, je considérais Joo Hee comme ma plus chère amie et il n'y avait jamais eu de malentendus entre elle et moi, cela faisait longtemps qu'elle était avec Jihoon en plus.
Mais moi ce Junghwa je le connaissais pas, alors je me méfiais quand même. Si ça se trouvait c'était son copain mais elle voulait pas me le dire et le faire passer pour son meilleur ami. En plus, elle était bourrée, donc elle pouvait en dire des conneries. Je l'entraînai dehors pour lui faire prendre l'air, je savais que ça pouvait lui faire le plus grand des biens, mais voilà qu'elle insista pour retourner à l'intérieur. Tu peux tenir debout, t'es s... et à l'instant où j'allais achever ma question, elle tomba par terre. J'ouvris mes mains, en l'air. Je t'en demandais pas tant pour me donner raison, mais bon... Et après un petit soupir, je m'approchai d'elle pour lui tendre ma main qu'elle attrapa. Faut rester positifs, on a passé un bon petit moment, et une bonne journée aussi. Une fois debout, je regardai si elle ne s'était pas tachée la robe sur le fessier puis me remis tout de suite devant elle, l'air de rien. Non, j'en avais pas profité pour regarder ses fesses, j'suis innocent et pure comme mec moi.
Je voyais la façon dont elle se tenait. Rentrer à l'hôtel, ok, mais fallait que je la porte sur le dos sinon, elle ferait même pas 3 mètres sans se viander. Alors qu'elle partit devant sans même chercher à comprendre, je me plaçai aussitôt devant elle et posai mes mains sur ses épaules pour l'arrêter. Attends. Et sans perdre une minute, je me tournai pour ensuite m'accroupir devant elle. Allez, grimpe sur mon dos, ça sera mieux. En plus, elle portait des talons et l'hôtel était pas vraiment à côté. L'avantage là-dedans, c'était que cette ballade nocturne allait lui permettre de décuver un peu. Si tu sens que tu vas vomir, tu me préviens avant... Que tu ne me vomisses pas sur mon costume tout neuf. Ce serait... bête. déclarai-je avec une moue alors que je posai mes mains sous ses genoux pour la porter. Ainsi commença notre virée nocturne en direction de l'hôtel.
Au fait, tu sais... Toute à l'heure, quand tu m'as demandé si je voulais être ton prince charmant... Mais pourquoi je parlais de ça moi, maintenant? J'ai pas dit non... Je crois que tu as mal compris. et je marquai un petit arrêt avant de reprendre, et d'achever: J'serais plutôt le bouffon du roi moi et c'était vrai, j'avais pas du tout la personnalité d'un prince charmant. Il me restait encore tout à apprendre. D'ailleurs, il me restait à savoir combien elle m'avait noté, ce soir. Au fait, c'est quoi ma note alors?
You know nothing about girls
Feat Olympe - Tamalympe ♥
Elle était sérieuse là de me dire à moi que je la voulais pas parce qu'elle était Olympe? Haha, si elle savait. Je la trouvais géniale cette fille, pas moche, elle me correspondait totalement et voilà qu'elle me balance à la figure que je veux pas être son prince charmant parce qu'elle était... différente. C'était vrai d'un côté mais moi aussi j'étais différent, nous étions tous les deux des borderlines, mais ça me convenait, et elle aussi, je supposais? Enfin bref, je lui fis un signe de la main. Tu dis n'importe quoi. j'étais pressé d'aller dehors, mais je préférai lui demander d'abord qui était ce Junghwa dont elle parlait. Quand elle m'expliqua qu'il s'agissait de son meilleur ami, je marquai un arrêt. L'amitié garçon/fille existait-elle vraiment? Remarquez, je considérais Joo Hee comme ma plus chère amie et il n'y avait jamais eu de malentendus entre elle et moi, cela faisait longtemps qu'elle était avec Jihoon en plus.
Mais moi ce Junghwa je le connaissais pas, alors je me méfiais quand même. Si ça se trouvait c'était son copain mais elle voulait pas me le dire et le faire passer pour son meilleur ami. En plus, elle était bourrée, donc elle pouvait en dire des conneries. Je l'entraînai dehors pour lui faire prendre l'air, je savais que ça pouvait lui faire le plus grand des biens, mais voilà qu'elle insista pour retourner à l'intérieur. Tu peux tenir debout, t'es s... et à l'instant où j'allais achever ma question, elle tomba par terre. J'ouvris mes mains, en l'air. Je t'en demandais pas tant pour me donner raison, mais bon... Et après un petit soupir, je m'approchai d'elle pour lui tendre ma main qu'elle attrapa. Faut rester positifs, on a passé un bon petit moment, et une bonne journée aussi. Une fois debout, je regardai si elle ne s'était pas tachée la robe sur le fessier puis me remis tout de suite devant elle, l'air de rien. Non, j'en avais pas profité pour regarder ses fesses, j'suis innocent et pure comme mec moi.
Je voyais la façon dont elle se tenait. Rentrer à l'hôtel, ok, mais fallait que je la porte sur le dos sinon, elle ferait même pas 3 mètres sans se viander. Alors qu'elle partit devant sans même chercher à comprendre, je me plaçai aussitôt devant elle et posai mes mains sur ses épaules pour l'arrêter. Attends. Et sans perdre une minute, je me tournai pour ensuite m'accroupir devant elle. Allez, grimpe sur mon dos, ça sera mieux. En plus, elle portait des talons et l'hôtel était pas vraiment à côté. L'avantage là-dedans, c'était que cette ballade nocturne allait lui permettre de décuver un peu. Si tu sens que tu vas vomir, tu me préviens avant... Que tu ne me vomisses pas sur mon costume tout neuf. Ce serait... bête. déclarai-je avec une moue alors que je posai mes mains sous ses genoux pour la porter. Ainsi commença notre virée nocturne en direction de l'hôtel.
Au fait, tu sais... Toute à l'heure, quand tu m'as demandé si je voulais être ton prince charmant... Mais pourquoi je parlais de ça moi, maintenant? J'ai pas dit non... Je crois que tu as mal compris. et je marquai un petit arrêt avant de reprendre, et d'achever: J'serais plutôt le bouffon du roi moi et c'était vrai, j'avais pas du tout la personnalité d'un prince charmant. Il me restait encore tout à apprendre. D'ailleurs, il me restait à savoir combien elle m'avait noté, ce soir. Au fait, c'est quoi ma note alors?
Invité
Invité
Re: You know nothing about girls [Feat Tamalympe] | Mer 21 Sep - 0:21
Je regarde quelques secondes le dos de Tamaki, hésitante à attraper celui-ci par le cou. Je ne sais vraiment pas si c'est une bonne idée que de monter sur son dos. Non pas que je n'ai pas confiance en lui mais dans mon état actuel, il semble difficile de rester sur le dos d'une personne, sans faire de bêtise. Mais cela peut aussi être un moyen de me calmer. Après plusieurs secondes à contempler le dos de Tamaki, je finis par me lancer, l'attrapant et me mettant sur son dos. Je glousse légèrement, trouvant cela presque mignon. C'est la première fois que je me fais porter par un inconnu, enfin, inconnu devenu ami, mais depuis très peu de temps. Je me tiens fermement à lui, un petit sourire aux lèvres, mon visage posé sur son épaule, mes bras se balançant dans le vide. « Merciiiiii! PROMIS !! Si je vomis . . je . . .te dis ». Je tente de formuler ma phrase correctement avec quelques difficultés tout de même. On commence alors à marcher, au début dans un certain silence, écoutant les bruits de la nuit puis, Tamaki se met à parler, me disant quelque chose de perturbant. Je fronce des sourcils, ne me souvenant même plus des secondes juste avant. « J'ai dit ça moi ? Oh . . . », je me frotte d'une main les cheveux, essayant de me rappeler et donne une petite tape sur le haut du crâne de Tamaki, « Aish, oui je me souviens un peu . . . je crois ». ça reste flou, mais étant encore sous l'emprise de l'alcool j'ai encore quelques souvenirs. « Ce n'est pas grave tu sais. Personne ne veut devenir mon prince charmant, parce que je me suis pas . . . encore gransformée en frincesse ». Je hoquette plusieurs fois et rigole. « Mais si toi t'es le bouffon alors moi je suis une souillon et alors, on peut être amis ». Parce qu'il ne faut pas que lui ait un niveau trop élevé, sachant que je ne suis encore qu'au bas de l'échelle. M'enfin, cela ne reste que du fictif, dans la vraie vie, ce n'est pas la même chose. Je lui donne une petite tape sur la joue, tout en approchant mon visage du sien, pour le fixer quelques secondes, essayant de réfléchir sur sa dernière question. « hum . . . tu veux savoir ta note ? ». Je réfléchis encore un peu et rigole, « tu sauras pas nananana ! Quand tu seras plus sage je te la donnerai », et surtout j'aurai le temps d'oublier. Je pose de nouveau mon menton contre son épaule, et ferme les yeux, « Aish. Je vais dormir un peu sur ton épaule oppa, parce que sinon je risque de vomir ». A peine ai-je prononcé ses mots que je m'endors, presque, sur son épaule, tombant dans les bras de Moprhée, enfin . . . de Tamaki.
You know nothing about girls
Feat Tamaki - Tamalympe ♥
Je regarde quelques secondes le dos de Tamaki, hésitante à attraper celui-ci par le cou. Je ne sais vraiment pas si c'est une bonne idée que de monter sur son dos. Non pas que je n'ai pas confiance en lui mais dans mon état actuel, il semble difficile de rester sur le dos d'une personne, sans faire de bêtise. Mais cela peut aussi être un moyen de me calmer. Après plusieurs secondes à contempler le dos de Tamaki, je finis par me lancer, l'attrapant et me mettant sur son dos. Je glousse légèrement, trouvant cela presque mignon. C'est la première fois que je me fais porter par un inconnu, enfin, inconnu devenu ami, mais depuis très peu de temps. Je me tiens fermement à lui, un petit sourire aux lèvres, mon visage posé sur son épaule, mes bras se balançant dans le vide. « Merciiiiii! PROMIS !! Si je vomis . . je . . .te dis ». Je tente de formuler ma phrase correctement avec quelques difficultés tout de même. On commence alors à marcher, au début dans un certain silence, écoutant les bruits de la nuit puis, Tamaki se met à parler, me disant quelque chose de perturbant. Je fronce des sourcils, ne me souvenant même plus des secondes juste avant. « J'ai dit ça moi ? Oh . . . », je me frotte d'une main les cheveux, essayant de me rappeler et donne une petite tape sur le haut du crâne de Tamaki, « Aish, oui je me souviens un peu . . . je crois ». ça reste flou, mais étant encore sous l'emprise de l'alcool j'ai encore quelques souvenirs. « Ce n'est pas grave tu sais. Personne ne veut devenir mon prince charmant, parce que je me suis pas . . . encore gransformée en frincesse ». Je hoquette plusieurs fois et rigole. « Mais si toi t'es le bouffon alors moi je suis une souillon et alors, on peut être amis ». Parce qu'il ne faut pas que lui ait un niveau trop élevé, sachant que je ne suis encore qu'au bas de l'échelle. M'enfin, cela ne reste que du fictif, dans la vraie vie, ce n'est pas la même chose. Je lui donne une petite tape sur la joue, tout en approchant mon visage du sien, pour le fixer quelques secondes, essayant de réfléchir sur sa dernière question. « hum . . . tu veux savoir ta note ? ». Je réfléchis encore un peu et rigole, « tu sauras pas nananana ! Quand tu seras plus sage je te la donnerai », et surtout j'aurai le temps d'oublier. Je pose de nouveau mon menton contre son épaule, et ferme les yeux, « Aish. Je vais dormir un peu sur ton épaule oppa, parce que sinon je risque de vomir ». A peine ai-je prononcé ses mots que je m'endors, presque, sur son épaule, tombant dans les bras de Moprhée, enfin . . . de Tamaki. Contenu sponsorisé
Page 2 sur 2 • 1, 2
1, 2