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GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak
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GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 18:58
nom : Gray. prénom : Lydia. âge : Vingt-trois ans. date et lieu de naissance : New York, le 1 novembre 1992. origines : Américaine et canadienne. nationalité : Américaine. cursus universitaire : Aucun. métier : Rédactrice en chef du magazine de mode "Infinity". orientation sexuelle : Bisexuelle. classe sociale : Très aisée. code du règlement : code ok lolo tu veux t'investir ? Je veux rejoindre les Citizens.
Gray Lydia
Style is a way to say who you are without having to speak
Déterminée (★★★✰✰) | Têtue (★★★✰✰) | Ambitieuse (★★★✰✰) | Rêveuse (★★★✰✰) | Intelligente (★★★✰✰) |
Possessive (★★★★✰) | Travailleuse (★★★✰✰) | Curieuse (★★★✰✰) | Tendre (★★★✰✰) | Jalouse (★★★✰✰) |
Rumour has it... Les rumeurs disent que : Lydia aurait eu plus qu’une relation totalement sexuelle/platonique avec Adrian, son ancien collègue de travail quand elle habitait encore à New York. Qu’elle aurait été pistonnée par son ex-patronne afin de devenir rédactrice en chef de la version coréenne du magazine “Infinity”. Qu’elle aurait été mannequin durant son adolescence mais qu’elle aurait fini par arrêter après avoir fait un malaise durant un shooting à cause de sa brusque perte de poids et qu’elle aurait subi une opération aux lèvres afin qu’elles soient plus pulpeuses. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Lydia est considérée par ses proches comme une bosseuse compulsive, presque incapable de ne pas arrêter de travailler pour se détendre. Elle l’assume parfaitement même si elle se rend bien compte que ses amis ou sa famille peuvent se sentir délaissée par moment, mais malgré ça, elle ne peut pas s’empêcher de se noyer dans le travail. Elle aime beaucoup trop son métier. Elle accepte tout de même parfois de faire une pause afin de sortir un peu ou d’aller se promener ou lire. En parlant de lecture, elle adore ça. Si la mode n’avait pas été le rêve de toute sa vie, elle aurait très certainement fini comme éditeur dans une maison d’édition afin de publier les écrits des auteurs amateurs afin qu’ils se fassent connaître. L’un de ses pires défauts doit être la curiosité, elle ne peut pas s’empêcher de fouiner dans les secrets des autres même si elle respecte leur intimité. En fait, elle est plus du genre à poser les questions franchement plutôt qu’à fouiller au sens propre du terme. C’est une jeune femme très douce et très gentille, elle ne fait jamais preuve de violence et ne se met que très rarement au colère, il faudrait vraiment la pousser à bout afin de la faire sortir de ses gonds. Elle est par contre très possessive voir jalouse de tout et n’importe quoi, elle ne peut pas s’en empêcher même si elle sait que son attitude peut-être détestable par moment. Elle est aussi très têtue et déterminée, personne ne peut la faire changer d’avis si elle prend une décision ou si elle a une idée en tête. Lydia ne rêve pas vraiment du grand amour pour le moment. Le mariage, les relations sérieuses.. très peu pour elle. Elle sait qu’avec son travail, elle ne pourrait pas donner toute son attention à la personne qu’elle aime et préfère donc éviter une catastrophe imminente en se contentant de brèves relations ou alors de coups d’un soir afin de ne pas finir totalement frustrée. Elle aime beaucoup regarder des films, des séries etc.. ça l’aide à se détendre après une dure journée au travail ou ça l’occupe quand elle n’a rien à faire. |
This is my story
- Rentre dans cette putain de valise !
Poussant de toutes ses forces, Lydia tenta une nouvelle fois de ranger une énième paire de chaussures dans l’objet avant de pousser un cri d’exaspération. Se laissant tomber sur son lit, elle jeta un regard noir à sa valise avant de soupirer. Elle se félicita intérieurement d’avoir expédiée en avance le reste de sa garde-robe. Auquel cas, elle aurait très certainement mis des heures voir des jours à tout ranger dans des valises au lieu des cartons. Elle tourna la tête vers le réveil posé sur sa table de chevet. Huit heures sept du matin. Elle s’était levée tôt aujourd’hui pour procéder aux derniers préparatifs avant son départ définitif de son loft. Après un an d’attente, le jour était enfin arrivé ; elle partait pour la Corée. Cela avait été une décision prise sur un coup de coeur. Alors qu’elle avait été invité là-bas pour un défilé renommé de mode sur lequel elle devait écrire un article pour le magasine “Infinity”, elle était tombée sous le charme du pays après quelques jours passés sur place. Cela la changeait tellement de sa routine new-yorkaise qu’elle s’était immédiatement vue emménager là-bas. Et rapidement, cette idée devint vite un véritable projet pour lequel Lydia travailla sans relâche, au grand désespoir de ses parents qui ne comprenaient pas sa décision. Elle ne saurait dire combien de fois sa mère avait tentée durant l’année qui s’était écoulée de la faire changer d’avis, usant tout les prétextes possibles et inimaginables afin qu’elle reste aux États-Unis. Mais la jeune femme qui était aussi têtue que sa génitrice avait tenu bon et s’était préparée pour son futur déménagement. Elle avait passé plus de cinq heures par jour à apprendre la langue en profondeur, s’était renseignée sur les coutumes, les lieux et surtout, sur les bureaux coréens du magasine de mode pour lequel elle travaillait déjà.
A son plus grand soulagement, la patronne avait presque immédiatement acceptée qu’elle rejoigne ses rangs en tant que rédactrice. Lydia avait déjà trois ans de pratique dans ce métier, il était évidant donc qu’elle était compétente pour se travail là. Cela avait retiré un gros poids des épaules de la jeune femme qui s’était imaginée devoir travailler dans un bar quelconque afin de pouvoir combler ses fins de mois. Si elle avait fini comme ça, ses parents n’auraient jamais acceptés de la laisser partir. Elle n’en aurait pas été fâchée, elle était toujours touchée de voir à quel point ils tenaient à elle et voulaient la protéger malgré le fait qu’elle était une adulte maintenant. Ses parents étaient les personnes auxquelles elle tenait le plus au monde. Ils s’étaient toujours occupés d’elle merveilleusement bien et ce, depuis qu’elle était petite. Elle n’avait pas un seul souvenir négatif de son enfance, disputes d’adultes mis-à-part car cela ne la regardait pas à l’époque, même si elle s’inquiétait évidemment à leur sujet. Elle savait que malgré leurs protestations, ils ne l’empêcheraient pas de partir même si ils en étaient chagrinés. Ils ne l’avaient jamais empêchée de suivre ses rêves. Lydia se rappela en souriant de ses caprices quand elle était gamine et qu’elle voulait absolument quelque chose. Ils avaient toujours cédés, même quand ce qu’elle voulait été démesuré. Elle pouvait affirmer qu’elle était une enfant gâtée à cette époque, et elle n’en aimait que plus ses parents. Ils étaient les personnes les plus aimantes et gentilles du monde. Elle était fière et heureuse d’être leur fille.
Se levant de son lit, elle attrapa la paire de chaussure qu’elle lança sur le matelas. Elle arriva du premier coup à fermer sa valise après ce geste. Soupirant à nouveau, Lydia traîna l’objet bien lourd jusqu’au salon qu’elle abandonna près du canapé, l’un des seuls meubles restant dans la pièce. Jetant un coup d’oeil autour d’elle, elle eut un léger pincement au coeur en voyant tout ses cadres, ses objets et ses décorations enlevées. Les murs étaient totalement nus, il n’y avait plus une seule plante ou décoration personnelle. Rien n’aurait pu dire que quelqu’un avait vécu ici. Malgré sa joie de déménager vers l’inconnu, la jeune femme était triste de quitter sa ville natale. Elle n’aurait jamais pensée quitter New York un jour, et surtout pas pour l’Asie. Mais comme l’amour, les coups de foudre ne se contrôlent pas, et celui-ci était tombé sur la ville de Séoul. En parlant de coups de foudre, Lydia attrapa son téléphone portable, son doigt survolant un nom dans sa liste de contact. A son arrivée à Infinity, elle avait rapidement sympathisé avec un de ses collègues, Adrian. Un beau gars, du genre propre sur lui avec des tonnes d’ambitions, de l’humour à revendre et beaucoup de talent dans son domaine. Ils s’étaient vite découverts une attirance l’un pour l’autre, purement sexuelle certes, mais qui les avaient beaucoup rapprochés. Ils avaient eu un coup de foudre “plan cul” comme aimait dire le jeune homme. Lydia et lui avaient souvent été soupçonnés d’être en couple par leurs collègues du magasine, mais ils n’avaient jamais dépassés le stade de l’amitié. Amitié qui s’est fracassée en morceau quand le jeune homme a apprit le départ prochain et secret de la blonde une semaine plus tôt. Elle n’avait pas assurée sur ce coup-là, elle n’avait même pas pensée à le prévenir de son déménagement jusqu’à ce que la patronne fasse un pot de départ surprise. Adrian avait été blessé en découvrant qu’elle planifiait cela depuis un an et elle ne pouvait pas l’en blâmer. Il n’avait pas assisté à sa petite fête de départ et elle ne lui en avait pas voulu, ni n’avait essayé de le faire rester. Cela n’aurait fait qu’empirer les choses entre eux, et elle ne voulait pas partit définitivement en froid avec lui. Durant les jours qui ont suivit, Lydia avait été trop occupé par l’envoi des cartons jusqu’en Corée et par la vente de son loft pour le contacter, enfin, c’est ce qu’elle se disait pour ne pas culpabiliser.
En soupirant une énième fois, la jeune femme enfila ses talons en rangeant son téléphone. Elle n’aurait pas le courage d’affronter son ami à deux heures à peine de son départ. Retournant dans sa chambre, elle s’immobilisa sur le seuil, sentant qu’elle craquerait pour de bon si elle faisait un pas de plus. Son lit était habillé d’un drap blanc recouvert d’une couette de la même couleur qui elle-même était assortie aux coussins. L’agence immobilière qui s’était chargée de la vente lui avait conseillé de retirer tout ce qui pouvait donner une touche trop personnelle à l’endroit. Il n’y avait donc plus rien dans cette pièce ou dans le reste du loft qui représentait Lydia d’une façon ou d’une autre. Adieu les magasines de modes posés en vrac sur le bureau, les posters de films et les photos souvenirs accrochées sur les murs, le tapis parme et le fauteuil style rococo. Au revoir les coussins de fourrure violette, les cadres posés sur la commode et la guirlande lumineuse au-dessus de l’armoire. Tout était triste et froid, à trois mille lieux de ce qu’était sa chambre il y a de cela quelques jours. La jeune femme secoua la tête et ferma la porte de sa chambre, ne voulant pas s’attarder plus longtemps ici. Elle avait encore quelques petites choses à faire avant de partir définitivement. Après avoir enfilé sa veste, elle attrapa sa valise d’une main, les clés de l’endroit dans l’autre et quitta les lieux.
Les deux heures qui suivirent furent les plus longues et les plus courtes de sa vie. Lydia partit dire au revoir à ses parents, à sa meilleure amie. Elle passa devant son école, puis le collège, le lycée et l’université qu’elle avait fréquentée. Elle se rappela avec nostalgie chacun des profs qu’elle avait eu, se souvint des ateliers coutures auxquelles elle avait participé, des cours aussi longs que barbants mais qui lui avaient été d’une grande aide. Elle prit aussi un dernier café dans son bar favori dans lequel elle avait passé des heures et des heures à commérer, se promena une dernière fois à Central Park pour s’asseoir sur le banc sur lequel elle observait les gens et lisait, et s’arrêta enfin durant plusieurs minutes devant les bureaux Infinity. Derrière les portes vitrées, elle pouvait voir ses collègues marcher rapidement d’un point à un autre. Il n’y avait jamais le temps pour diverger là-bas, tout allait à pleine vitesse. Malgré ça, Lydia avait adoré travailler ici et se noyer dans le boulot. Elle espérait que ça serait pareil pour les bureaux coréens. Un peu avant dix-heures, la jeune femme attendait dans la salle d’embarquement que son vol soit annoncé. Une demi-heure plus tard, elle était dans l’avion et disait au revoir silencieusement à New York.
Poussant de toutes ses forces, Lydia tenta une nouvelle fois de ranger une énième paire de chaussures dans l’objet avant de pousser un cri d’exaspération. Se laissant tomber sur son lit, elle jeta un regard noir à sa valise avant de soupirer. Elle se félicita intérieurement d’avoir expédiée en avance le reste de sa garde-robe. Auquel cas, elle aurait très certainement mis des heures voir des jours à tout ranger dans des valises au lieu des cartons. Elle tourna la tête vers le réveil posé sur sa table de chevet. Huit heures sept du matin. Elle s’était levée tôt aujourd’hui pour procéder aux derniers préparatifs avant son départ définitif de son loft. Après un an d’attente, le jour était enfin arrivé ; elle partait pour la Corée. Cela avait été une décision prise sur un coup de coeur. Alors qu’elle avait été invité là-bas pour un défilé renommé de mode sur lequel elle devait écrire un article pour le magasine “Infinity”, elle était tombée sous le charme du pays après quelques jours passés sur place. Cela la changeait tellement de sa routine new-yorkaise qu’elle s’était immédiatement vue emménager là-bas. Et rapidement, cette idée devint vite un véritable projet pour lequel Lydia travailla sans relâche, au grand désespoir de ses parents qui ne comprenaient pas sa décision. Elle ne saurait dire combien de fois sa mère avait tentée durant l’année qui s’était écoulée de la faire changer d’avis, usant tout les prétextes possibles et inimaginables afin qu’elle reste aux États-Unis. Mais la jeune femme qui était aussi têtue que sa génitrice avait tenu bon et s’était préparée pour son futur déménagement. Elle avait passé plus de cinq heures par jour à apprendre la langue en profondeur, s’était renseignée sur les coutumes, les lieux et surtout, sur les bureaux coréens du magasine de mode pour lequel elle travaillait déjà.
A son plus grand soulagement, la patronne avait presque immédiatement acceptée qu’elle rejoigne ses rangs en tant que rédactrice. Lydia avait déjà trois ans de pratique dans ce métier, il était évidant donc qu’elle était compétente pour se travail là. Cela avait retiré un gros poids des épaules de la jeune femme qui s’était imaginée devoir travailler dans un bar quelconque afin de pouvoir combler ses fins de mois. Si elle avait fini comme ça, ses parents n’auraient jamais acceptés de la laisser partir. Elle n’en aurait pas été fâchée, elle était toujours touchée de voir à quel point ils tenaient à elle et voulaient la protéger malgré le fait qu’elle était une adulte maintenant. Ses parents étaient les personnes auxquelles elle tenait le plus au monde. Ils s’étaient toujours occupés d’elle merveilleusement bien et ce, depuis qu’elle était petite. Elle n’avait pas un seul souvenir négatif de son enfance, disputes d’adultes mis-à-part car cela ne la regardait pas à l’époque, même si elle s’inquiétait évidemment à leur sujet. Elle savait que malgré leurs protestations, ils ne l’empêcheraient pas de partir même si ils en étaient chagrinés. Ils ne l’avaient jamais empêchée de suivre ses rêves. Lydia se rappela en souriant de ses caprices quand elle était gamine et qu’elle voulait absolument quelque chose. Ils avaient toujours cédés, même quand ce qu’elle voulait été démesuré. Elle pouvait affirmer qu’elle était une enfant gâtée à cette époque, et elle n’en aimait que plus ses parents. Ils étaient les personnes les plus aimantes et gentilles du monde. Elle était fière et heureuse d’être leur fille.
Se levant de son lit, elle attrapa la paire de chaussure qu’elle lança sur le matelas. Elle arriva du premier coup à fermer sa valise après ce geste. Soupirant à nouveau, Lydia traîna l’objet bien lourd jusqu’au salon qu’elle abandonna près du canapé, l’un des seuls meubles restant dans la pièce. Jetant un coup d’oeil autour d’elle, elle eut un léger pincement au coeur en voyant tout ses cadres, ses objets et ses décorations enlevées. Les murs étaient totalement nus, il n’y avait plus une seule plante ou décoration personnelle. Rien n’aurait pu dire que quelqu’un avait vécu ici. Malgré sa joie de déménager vers l’inconnu, la jeune femme était triste de quitter sa ville natale. Elle n’aurait jamais pensée quitter New York un jour, et surtout pas pour l’Asie. Mais comme l’amour, les coups de foudre ne se contrôlent pas, et celui-ci était tombé sur la ville de Séoul. En parlant de coups de foudre, Lydia attrapa son téléphone portable, son doigt survolant un nom dans sa liste de contact. A son arrivée à Infinity, elle avait rapidement sympathisé avec un de ses collègues, Adrian. Un beau gars, du genre propre sur lui avec des tonnes d’ambitions, de l’humour à revendre et beaucoup de talent dans son domaine. Ils s’étaient vite découverts une attirance l’un pour l’autre, purement sexuelle certes, mais qui les avaient beaucoup rapprochés. Ils avaient eu un coup de foudre “plan cul” comme aimait dire le jeune homme. Lydia et lui avaient souvent été soupçonnés d’être en couple par leurs collègues du magasine, mais ils n’avaient jamais dépassés le stade de l’amitié. Amitié qui s’est fracassée en morceau quand le jeune homme a apprit le départ prochain et secret de la blonde une semaine plus tôt. Elle n’avait pas assurée sur ce coup-là, elle n’avait même pas pensée à le prévenir de son déménagement jusqu’à ce que la patronne fasse un pot de départ surprise. Adrian avait été blessé en découvrant qu’elle planifiait cela depuis un an et elle ne pouvait pas l’en blâmer. Il n’avait pas assisté à sa petite fête de départ et elle ne lui en avait pas voulu, ni n’avait essayé de le faire rester. Cela n’aurait fait qu’empirer les choses entre eux, et elle ne voulait pas partit définitivement en froid avec lui. Durant les jours qui ont suivit, Lydia avait été trop occupé par l’envoi des cartons jusqu’en Corée et par la vente de son loft pour le contacter, enfin, c’est ce qu’elle se disait pour ne pas culpabiliser.
En soupirant une énième fois, la jeune femme enfila ses talons en rangeant son téléphone. Elle n’aurait pas le courage d’affronter son ami à deux heures à peine de son départ. Retournant dans sa chambre, elle s’immobilisa sur le seuil, sentant qu’elle craquerait pour de bon si elle faisait un pas de plus. Son lit était habillé d’un drap blanc recouvert d’une couette de la même couleur qui elle-même était assortie aux coussins. L’agence immobilière qui s’était chargée de la vente lui avait conseillé de retirer tout ce qui pouvait donner une touche trop personnelle à l’endroit. Il n’y avait donc plus rien dans cette pièce ou dans le reste du loft qui représentait Lydia d’une façon ou d’une autre. Adieu les magasines de modes posés en vrac sur le bureau, les posters de films et les photos souvenirs accrochées sur les murs, le tapis parme et le fauteuil style rococo. Au revoir les coussins de fourrure violette, les cadres posés sur la commode et la guirlande lumineuse au-dessus de l’armoire. Tout était triste et froid, à trois mille lieux de ce qu’était sa chambre il y a de cela quelques jours. La jeune femme secoua la tête et ferma la porte de sa chambre, ne voulant pas s’attarder plus longtemps ici. Elle avait encore quelques petites choses à faire avant de partir définitivement. Après avoir enfilé sa veste, elle attrapa sa valise d’une main, les clés de l’endroit dans l’autre et quitta les lieux.
Les deux heures qui suivirent furent les plus longues et les plus courtes de sa vie. Lydia partit dire au revoir à ses parents, à sa meilleure amie. Elle passa devant son école, puis le collège, le lycée et l’université qu’elle avait fréquentée. Elle se rappela avec nostalgie chacun des profs qu’elle avait eu, se souvint des ateliers coutures auxquelles elle avait participé, des cours aussi longs que barbants mais qui lui avaient été d’une grande aide. Elle prit aussi un dernier café dans son bar favori dans lequel elle avait passé des heures et des heures à commérer, se promena une dernière fois à Central Park pour s’asseoir sur le banc sur lequel elle observait les gens et lisait, et s’arrêta enfin durant plusieurs minutes devant les bureaux Infinity. Derrière les portes vitrées, elle pouvait voir ses collègues marcher rapidement d’un point à un autre. Il n’y avait jamais le temps pour diverger là-bas, tout allait à pleine vitesse. Malgré ça, Lydia avait adoré travailler ici et se noyer dans le boulot. Elle espérait que ça serait pareil pour les bureaux coréens. Un peu avant dix-heures, la jeune femme attendait dans la salle d’embarquement que son vol soit annoncé. Une demi-heure plus tard, elle était dans l’avion et disait au revoir silencieusement à New York.
About me
Je suis...
Masolita
Bon je vais essayer de faire court. J'ai dix-sept ans, dix-huit en janvier donc rappelez-vous en ! 
Je vis dans le sud de la France, dans une résidence un peu paumée. Hm.. je suis passionnée par ls livres et j'aimerais en faire mon métier. Si non j'adorerais voyager au Japon et aux Etats-Unis, voir y habiter un jour si je peux. Je suis fan de la série THE 1OO, j'adore regarder des animes/dramas et j'écoute de la musique H24. Voilà.. 
Je vis dans le sud de la France, dans une résidence un peu paumée. Hm.. je suis passionnée par ls livres et j'aimerais en faire mon métier. Si non j'adorerais voyager au Japon et aux Etats-Unis, voir y habiter un jour si je peux. Je suis fan de la série THE 1OO, j'adore regarder des animes/dramas et j'écoute de la musique H24. Voilà.. Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u911][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>LASWICK MARINA (MANNEQUIN)</upper></taken> ✎ <lower>gray lydia</lower>
Supprimez le code inutile 
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Re: GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 19:01
Hello Hello ! ~
Oulala, quelle splendide occidentale
et j'aime bien son nom, ça a du style dans la mode ! Mon dc Sora fait des études là dedans, et travaille comme assistante chez Vogue, je viendrais te gratter un lien ma belle
Fiiighting avec ce perso
Oulala, quelle splendide occidentale
et j'aime bien son nom, ça a du style dans la mode ! Mon dc Sora fait des études là dedans, et travaille comme assistante chez Vogue, je viendrais te gratter un lien ma belle Fiiighting avec ce perso
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Re: GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 19:30
Bienvenue par ici 
Bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
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Re: GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 19:42
Rebienvenue je crois , courage pour la fiche
, courage pour la fiche Invité
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Re: GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 21:01
Marina Laswick, une beauté
re-bienvenue donc, j'attends que tu fasses ta fiche de lien pour venir y déposer ma petite patte
re-bienvenue donc, j'attends que tu fasses ta fiche de lien pour venir y déposer ma petite patte
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Re: GRAY LYDIA ✿ Style is a way to say who you are without having to speak | Mer 20 Juil 2016 - 23:28
MASOOOOOOOOLIIIIIIIIIIIITAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
OHGOD JE SUIS HEUREUSE QUE TU SOIS LA !
alala, j'ai même pas eu besoin de te pousser à venir, tu es venue de toi même, c'est juste magnifique
toi et moi, toi + moi, enfin bref, on est deux âmes qui se comprennent qu'avec un "je" et tu le sais
je suis super contente que tu sois la, on va pouvoir rp ensemble de nouveau, et puis comme ça, tu t’ennuieras moins ma belle je te le redis, mais ton avatar est une pure bombe, et ton perso une pure merveille **
puis c'est pas comme si j'avais choisi son nom et son prénom non plus //tousse
possessive et jalouse... je crois que nos persos vont s'entendre en tout cas, il nous faudra obligatoirement des liens du tonnerre avec mes comptes, et je demande pas, j'exige. 
sur ce, bienvenue beauty
OHGOD JE SUIS HEUREUSE QUE TU SOIS LA !
alala, j'ai même pas eu besoin de te pousser à venir, tu es venue de toi même, c'est juste magnifique
toi et moi, toi + moi, enfin bref, on est deux âmes qui se comprennent qu'avec un "je" et tu le sais je suis super contente que tu sois la, on va pouvoir rp ensemble de nouveau, et puis comme ça, tu t’ennuieras moins ma belle
je te le redis, mais ton avatar est une pure bombe, et ton perso une pure merveille ** possessive et jalouse... je crois que nos persos vont s'entendre
en tout cas, il nous faudra obligatoirement des liens du tonnerre avec mes comptes, et je demande pas, j'exige. sur ce, bienvenue beauty
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