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[18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention ›

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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 18:08
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Il aurait été pathétique de le regretter ? Peut être, sûrement, il n'en savait rien. Il était perdu dans toute cette situation, et ne savait plus où donner de la tête, alors il perdait la sienne entre ses jambes, espérant peut être lui faire perdre pied à elle aussi. Les paroles qu'elle lui glissait s'ancraient dans son esprit. Peut être que d'ici quelques jours il serait un homme minable, comme elle le disait, qui regrettait, ou peut être que non. Il se laissa quelques secondes pour penser à ce qu'elle venait de dire. Puis se laissa convaincre. Seuls les faibles éprouvaient des regrets, parce que les gens forts, les gens réfléchis, ne commettaient que des actions dont ils seraient fiers dans le futur. Et puis, elle continua de parler, et petit à petit il commença à en avoir assez d'entendre sa voix. Oui, il regrettait d'avoir été si gentil avec elle, mais n'avait pas envie de se le laisser rappeler. Il leva un peu la tête pour planter ses yeux dans ceux de la pute, lui jetant un regard noir qui, il espérait, allait lui couper l'envie de parler. Puis, il appuya sur son pelvis pour arrêter ses mouvement. ‹ calme-toi › Sa voix raisonna monotone, quoiqu'un peu agacée. C'était lui qui imposait le rythme, c'était lui qui décidait quand les choses devaient être faite ou non. Il ne voulait qu'une chose, contrôler, l'avoir à sa merci, sans qu'elle ne puisse protester ou se dégager. ‹ et tais-toi, j'en ai marre d'entendre ta voix. ›Et, après avoir attendu une minute ou deux sans rien faire, il replongea sa tête entre ses jambes, lui écartant les cuisses autant qu'il pu pour l'avoir exposée sous son regard. Sa bouche trouva directement son point favoris, comme si c'était sa place, alors que de son pouce valide, il écartait encore plus son sexe. Putain qu'il avait faim. Et il n'allait pas s'arrêter, même si elle le suppliait du contraire. Il allait lui faire vivre une douce torture, parce qu'il avait l'impression que c'était encore la seule chose qu'il pouvait contrôler. Un baiser, deux baiser, trois baiser, et ce fut sa langue qu'il enfonça dans sa chatte. Il la fit tourner une fois, deux fois, pour la ressortir et s'attaquer au bouton présent plus haut. Ce fut entre ses lèvres qu'il le prit, suçota tout doucement avant d'y appuyer du plat de la langue, et il laissa son pouce prendre la relève, alternant les mouvements circulaires avec ceux de haut en bas, abusant de son clito, alors qu'il éloignait son visage d'elle, réalisant que peut être, elle ne méritait pas ce traitement. Mais sous aucun prétexte il n'arrêta ses mouvements, voulant la voir se tortiller sous ses assaults.
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 18:21
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Cela lui semblait dangereux le jeu auquel elle jouait, mais Skyla aimait cet adrénaline qui courait dans ses veines quand elle croisait le regard du jeune homme. Ce n’était pas un homme came, malgré son apparence blasé. Elle savait qu’au moindre écart il pouvait le lui faire payer. Vulgairement ses jambes s’écartèrent et docilement elle se tut. Le maudissant pour se traitement qu’il lui infligeait. Ce n’était pas par ce genre d’homme qu’elle pouvait manquer de confiance en elle, et ce n’était certainement pas à cause de connard comme lui qu’elle allait se rabaisser. Mais elle s’efforçait de croire qu’elle jouait à un jeu, une comédie dont elle était la star. C’était plus facile que de se rendre compte de la triste réalité. Une pute qui se faisait bouffer pour qu’elle le ferme. Elle obéissant pourtant,  et se cambrait sous ses assauts. Quoiqu’on puisse dire il savait y faire, c’était bien ça le souci. Il savait bien trop y faire avec son corps et la façon dont il la dévorait lui donner envie de ‘l’insulter. C’était bien connu, quand on détestait une personne, on la détestait encore plus pour ses qualités évidente. Et Min Se Yun était un amant qui savait donner du plaisir à une femme. C’était sûrement jouissif pour lui de la voir se cambrer de cette façon, de la voir lui jeter des regards noirs pour retenir toute supplique. Oh non Skyla ne lui ferait pas ce plaisir. Non seulement parce que sa fierté l’empêchait d’avoir envie de le supplier de la faire jouir, mais aussi parce qu’il lui avait demandé de la fermer. Et c’est ce qu’elle faisait, en toute bonne chienne qu’elle était. Elle oscillait entre son envie de se jeter sur lui et celle de le repousser avec ses pieds pour l’empêcher d’avoir ce pouvoir sur elle. C’était sous ses cils noirs qu’elle lui jetait un regard torve. Elle n’avait pas peur des conséquences, tout ce qu’elle voulait à vrai dire c’était jouir. Parce qu’au final elle serait bien sotte de ne pas se saisir des bienfaits de son métier. Aucun des clients qu’elle a pu avoir ces derniers jours ne lui avaient véritablement donné d’orgasme. Elle avait su simuler si bien qu’ils étaient venus beaucoup trop vite. C’est en fixant Ye Sun qu’elle tentait de se retenir mais ses mains venaient d’elle-même tirer sur ses tétons durcis. Et son bassin qu’elle tentait de clouer au lit cherchait parfois dans un soubresaut plus de contact. Que sa langue fouille en elle, et que ses doigts s’agitent plus fort. Elle était proche de l’orgasme et la seule supplique qu’elle fut capable de souffler entre ses lèvres en serrant les draps de ses poings faibles fut « Connard … » en gémissant plus fort. Elle avait su rester silencieuse au cours de cette torture mais c’était presque impossible pour elle ne pas crier quand le plaisir monta. Si elle restait trop silencieuse, elle ne pourrait pas jouir et c’était peut-être ce qu’il voulait. Qu’elle jouisse fort pour montrer combien il était doué, ou bien sa voix l’énerverait et il lui intimerait de se la fermer ou pire encore, il cesserait tout supplice pour se délecter de la voir ainsi frustrée. Elle serait punie de son audace et n’aurait d’autres solutions que de le supplier de la baiser et elle ne pourrait se contenter que si son client devenait magnanime avec elle. Oh qu’elle le détestait d’être ainsi fait … mais bon sang que c’était bon ! Un long râle s’échappa de sa gorge alors que le plaisir pointait dangereusement le bout de son nez et qu’elle se redressait sur les coudes en grimaçant.
 
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 19:38
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Et à mesure qu'il passait sa langue sur son sexe, il sentait son pantalon se resserrer sur sa bite qui commençait à durcir. C'était agréable, c'était silencieux. Il la sentait juste bouger sous ses ministrations. Mais il s'arrêta, elle avait tout gâcher. Elle avait gâché son plaisir, elle avait gâché leur petit jeu. Elle ne s'était tout simplement pas tut comme il l'avait demandé. Il se demanda si cela avait été trop compliqué pour elle, de simplement fermer sa gueule de sale traînée, et en conclut que oui. Il s'éloigna d'elle. Il n'allait plus lui faire plaisir, il n'allait pas continuer sa douce souffrance alors qu'elle venait de tout foutre en l'air. Une simple moue agacé vint égayer son visage, alors qu'il se redressa, à genoux, pour observer la jeune femme qui respirait fort, qui lâcha un dernier râle. Tout était fini maintenant. Il avait la trique, sa bite tendait son pantalon, mais il n'avait pas supporté l'affront. Et puis, elle était conne, aussi. Elle aurait pu dire n'importe quoi, et il l'aurait laissé passer, une fois, mais elle l'avait insulté, et cela lui était insupportable. ‹ qu'est ce que tu viens de me dire, là ? › Il n'avait pas réellement besoin qu'elle lui répète, il n'avait même pas envie d'entendre ce mot sortir de sa bouche dégueulasse. Il essuya la sienne, d'ailleurs, parce qu'il n'allait sûrement pas recommencer. Il se demanda comment il devrait la punir, ce qu'il devrait faire pour lui faire payer l'affront. Putain. La jeter par la fenêtre semblait une si bonne idée, maintenant, elle qui avait dit qu'il aurait du le faire avec l'autre conne, peut être pourrait-elle en profiter, mais cela semblait exagéré. ‹ retourne toi. › Il lui laissa à peine le temps de s'executer, il la retourna lui même, la foutant sur le ventre avant de lui relever les hanches pour qu'elle s'appuie sur ses genoux. Comme ça, c'était bien, elle avait vraiment l'air d'une chienne. Et, à peine cinq seconde après, il la fessa, sans prévenir, et fort, regardant la chaire onduler après l'impact avec un petit sourire. Il fut un peu déçu de ne pas avoir pu le faire de toutes ses forces, ne pouvant pas utiliser sa main dominante. ‹ j'espère que t'as compris pourquoi t'as eu ça, et que tu recommenceras pas. › Il la retourna de nouveau, la laissant s'asseoir sur ses fesses. Il déboutonna son pantalon. ‹ maintenant suce moi j'en ai marre. ›
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 19:55
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 20:38
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 20:55
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 21:36
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 21:51
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 22:11
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Dim 5 Fév - 22:26
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 Tout son corps encaisse le coup, comme si soudainement elle réalisait qu’elle l’lavait malmené. Si elle se sentait puissante l’instant d’avant, elle était désormais épuisée de fatigue, un contre coup pas si désagréable que ça d’un orgasme puissant. Allongée sur le lit, elle reprend son souffle misérablement en fixant le plafond avec un sourire satisfait sur les lèvres. Elle ferme les yeux légèrement pour savourer cet instant de quiétude qui la saisit. Elle entend le bruit spongieux du préservatif jeté au sol et étouffe un petit rire. Elle voudrait pouvoir rouler sur le côté pour mieux se coucher et s’endormir, mais tout son corps refuse de bouger. Elle est bien finalement, ainsi allongée à demi consciente de ce qui l’entoure. Elle est d’ordinaire plus en alerte avec ses clients mais elle sait que Ye Sun s’était finalement calmé. Le silence dans la chambre et le bruit de leur respiration saccadée en était la preuve. Il n’y avait plus de pute ni d’ordre qui se faisait entendre, elle n’était peut-être même plus obligée de se taire mais elle respectait ce silence. Sa tête était surtout très lourde et elle la portait difficilement. Heureusement qu’elle s’enfonçait délicieusement dans les oreillers luxueux du lit. Ils n’avaient même pas prit la peine de le défaire et il restait presque intact. Elle fut surprise de son merci, et cru même l’avoir rêvé, mais elle ne le montra pas. Quand il lui demanda si ça allait, elle tourna son visage vers lui avec un petit sourire doux et acquiesça. « Parfaitement bien. » c’était là un compliment détourné qu’elle lui faisait. Elle mordilla sa lèvre et ajouta « Et toi ? » sa voix était cassée d’avoir trop crié, d’avoir trop peu parlé aussi mais ça encore elle s’en accommodait. Elle ne cachait pas son corps nu, elle n’en avait ni honte, ni réellement conscience à vrai dire. Elle se penche vers la table de lui et lui sort une bouteille d’eau qu’elle lui ouvre, puis lui tends poliment en s’asseyant sur ses talons. Leur souffle échevelé et leur ébats bruyants et fougueux lui avait, tout comme à elle, sûrement asséché la gorge et elle-même ne dirait pas non à une gorgée. Son ventre se met à gargouiller tant elle a faim, mais elle ne dit rien, se contentant de suivre les envies de son client. Peut-être qu’il va partir. Peut-être qu’il va dormir un peu. Ou bien lui demander un massage. Elle ne sait pas s’il a encore besoin de vider son sac ou simplement d’être écouté ? Elle se tient à sa disposition avec ce sourire doux et remplie de promesses. Vu la somme qu’il avait payé, elle était à lui pour encore un moment. C’était lui qui décidait après tout. « Tu as besoin de quelques choses … ? » demande-t-elle en restant légèrement en retrait, comme pour lui prouver qu’elle savait où était sa place. Si elle lui laissait le temps, il pouvait même recoucher avec elle. Et pour tout avouer elle préférait l’avoir en client que de retourner en bas et devoir enjôler quelques jolis portefeuilles.
 
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | 
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