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SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux
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SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mar 21 Fév - 22:05
nom : Song. prénom : Da Hye. âge : 21 ans. date et lieu de naissance : née le 21 août 1995 à Séoul. origines : 100% kimchi. nationalité : Coréenne. cursus universitaire : arts plastiques appliqués, design. métier : serveuse à mi-temps à l'Epsilon. orientation sexuelle : hétérosexuelle. classe sociale : Cosette pauvre. code du règlement : ok by shadow tu veux t'investir ? oui 
Je suis née sans mon père. Ça ne parait pas forcément important, car des millions d’enfants sont malheureusement dans le même cas que moi, mais parfois je me dis que s’il avait été là, tout se serait passé différemment. Quand on y pense, c’est sans doute une possibilité infinie de jours qui auraient pu arriver mais n’arriveront jamais. C’est pourquoi j’y pense rarement. A quoi bon ? Ma mère m’a élevée toute seule et je trouve qu’elle s’est très bien débrouillée. De ma naissance à… notre séparation. On vivait seules dans une toute petite maison près d’un parc. C’était assez exigu et parfois, on manquait cruellement d’espace, surtout avec ma sale manie de ramener à la maison tous les animaux abandonnés que je croisais. Mais on y était heureuses. Ce qui n’était pas gagné, déjà à l’époque.
Et puis, quand j’avais six ans, le docteur de ma maman lui a annoncé un mot dégoûtant. Un mot comme « métastase ». Je ne comprenais pas ce que c’était, et ma mère me protégeait de la vérité. Peut-être n’aurait-elle pas du autant me cacher la vérité et aurait mieux fait de me préparer à son départ, à la place. Un jour, j’étais à l’école quand la directrice elle-même est venue me chercher en classe. Elle avait visiblement pleuré mais je n’ai pas tout de suite penser à ma mère jusqu’à ce qu’elle me fasse assoir dans sa voiture et me dise. Da Hye, c’est ta maman… Il va falloir que tu sois très courageuse à partir de maintenant. Courageuse, je pense l’avoir été. Je n’ai pas pleuré à l’enterrement car je sais qu’elle aurait détesté ça. Je n’ai pas pleuré quand on m’a expliqué que j’irais dans une famille d’accueil si ma tante ne voulait pas de moi. Je n’ai pas eu le temps de faire le deuil, de lui dire une dernière fois à quel point je l’aimais et à quel point j’étais heureuse d’avoir eu la meilleure maman du monde. Malheureusement, ma tante a accepté de me récupérer et de m’élever avec son mari et leur fille. Et à mon arrivée chez eux, j’ai compris que la vie avait encore quelques claques à me mettre.
J’ai alors vécu durant de nombreuses années avec cette horrible famille. Ma tante, la soeur de ma mère, ne cessait de se moquer de nous, de notre mode de vie, de sa soeur. Quant à mon oncle, il a rapidement été évincé car ils ont divorcé peu de temps après mon arrivée. Et ma cousine, cette petite peste, ne cessait de me reprocher mon physique, de se moquer de ma nature renfermée et hostile. Elle avait honte d’être vue avec moi à notre arrivée à l’école car j’étais la paria, celle avec qui il ne faut pas trainer. Et ce de mon arrivée dans ma nouvelle école primaire jusqu’à mon entrée au lycée. La vie ne cessait de préserver l’étincelle de l’espoir pour mieux l’étouffer avec mes larmes. Je n’avais pas l’impression d’avoir d’avenir autre qu’un avenir malheureux et solitaire.
C’est au lycée que j’ai rencontré mon sauveur. Kang Killian. Sans doute l’homme de ma vie. Je n’en suis pas amoureuse, non, mais il m’a sauvée et je lui en serais à jamais reconnaissante. Premièrement, il était le seul à accepter de m’approcher et de me parler pour tenter de faire tomber les murs que j’avais mis tant d’années à ériger autour de moi. J’ai fini par l’aimer comme un frère. Jusqu’au jour où j’ai craqué. Je ne pouvais plus supporter les reproches et les moqueries de la femme qui m’avait adoptée et de sa fille. Alors un soir, pendant le diner que j’avais préparé consciencieusement — sans doute en espérant qu’un jour, ces deux monstres viendraient à m’accepter si ce n’est m’aimer —, je me suis levée de table et je suis partie faire mes affaires dans ma chambre. Je ne possédais presque rien et toutes mes affaires rentraient dans un seul sac de sport. Puis je suis partie, sous leurs yeux ébahis et un bol de riz que ma cousine avait jeté à ma tête. Je suis partie et j’ai appelé la seule personne qui m’aiderait à coups sûrs.
Killian… J’ai besoin de toi.
Comme je l’ai dit, Killian m’a sauvée. Pas parce que sa famille m’a adoptée, non, mais parce qu’il m’a amenée dans la famille de sa cousine Eun Mi et qu’ils ne m’ont jamais plus demandé de partir. Eun Mi était la petite fille la plus mignonne et la plus gentille qui soit et c’est elle qui a fait fondre mon coeur de pierre. Elle m’a adoptée tout de suite et a aussi calmé la tempête qui faisait rage en moi. Eun Mi, je l’aime d’amour, d’un amour profond et sincère que rien ni personne ne pourra comprendre. Quand je la regarde, je ressens à la fois l’amour qu’éprouve une grande soeur pour sa cadette et celui qu’éprouve un jeune homme qui découvre l’amour. Elle est tout pour moi. Elle et ses parents m’ont tout de suite adorée et m’ont permis de rester chez eux le temps de terminer le lycée et de trouver un appartement. Je n’ai plus jamais eu mal, ni peur. J’étais heureuse. J’ai retrouvé un bonheur que j’avais perdu, celui d’avoir une famille et d’être aimée comme quelqu’un d’à part entière.
Puis, une fois le lycée terminé, j’ai postulé à la Yonsei. La plus grande université de Corée du Sud. Franchement, je n’y croyais pas. Je n’avais pas beaucoup d’espoir en passant les examens d’entrée. Alors quand on a reçu la lettre d’acceptation, Killian était à la maison ce jour-là, et je crois qu’il a hurlé plus fort que moi. Ils se sont tous réjouis pour moi lorsque j’ai reçu ma bourse d’étudiante. Je n’y croyais toujours pas en m’installant dans ma chambre d’étudiante, dans le luxueux dortoir de la fraternité des Pyobeom, les panthères. Certes, je perdais ma douce Eun Mi mais je savais que je la retrouverais bientôt, mais je retrouvais également Killian. Bref, en l’espace de quelques années seulement, j’avais trouvé deux familles. Celle que je considérais comme ma vraie famille, les Kang, et ma famille de coeur, les Pyo.
송다혜
Quand je serais grande, je voudrais être un flan.
EXTRAVAGANTE (★★★✰✰) | INTROVERTIE (★★★✰✰) | SOURIANTE (★★★✰✰) | TÊTUE (★★★✰✰) | GENEREUSE (★★★✰✰) |
IMPULSIVE (★★★★✰) | DRÔLE (★★★✰✰) | VULGAIRE (★★★✰✰) | AIMANTE (★★★✰✰) | FLEMMARDE (★★★✰✰) |
Rumour has it... elle a fait de la chirurgie esthétique à tel point qu'elle est méconnaissable par rapport à la Da Hye d'avant. (VRAI & FAUX : elle a fait de la chirurgie uniquement pour agrandir ses yeux mais n'a rien touché d'autre) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Si Da Hye n'avait pas été élevée dans une famille aussi aimante, peut-être ne serait-elle pas devenue la jeune femme adorable qu'elle est aujourd'hui. Certes, elle a un fort caractère et a tendance à s'imposer dans un groupe en tant que leader, malgré son jeune âge et sa petite carrure. Pourtant, malgré ce comportement de teigne, têtue, capricieuse et souvent — voire même très souvent — de mauvaise humeur, la jeune femme peut se révéler être d'une douceur et d'une gentillesse sans égard. Si vous avez la chance d'avoir Da Hye comme amie, alors soyez sûrs qu'elle sera là pour vous quoi qu'il arrive. Il vous suffira de l'appeler pour qu'elle accourt et vole à votre secours. Il n'y a qu'à voir sa loyauté sans faille envers les Kang qui, pourtant, ne sont pas sa "vraie" famille. Cependant, la jeune femme n'accorde pas sa confiance si facilement, faute de bonnes expériences dans la vie. Elle a surtout peur d'être à nouveau trahie. Cette peur ne fait pas d'elle un personnage renfermé et agressif pour autant. Au contraire, la jeune femme aime tout le monde. Pour autant, elle ne sait pas s'ouvrir aux autres. Parler de son passé, faire confiance avec ses secrets, elle n'y arrive pas. Elle préfère se dire que c'est simplement parce que sa vie privée ne regarde personne d'autres qu'elle et ses meilleurs amis. Avec ses meilleurs amis, Da Hye ne change pas vraiment, si ce n'est qu'elle est vraiment bruyante, elle rit fort, parle fort, elle vit à fond, et elle est surtout très câline. |
This is my story
Tout a commencé avec un mot dégoûtant qui voulait rien dire du tout, un mot comme « métastase », pourquoi pas mammouth pendant qu’on y est.
« Ma vraie famille n’est pas celle que vous croyez. »
Je suis née sans mon père. Ça ne parait pas forcément important, car des millions d’enfants sont malheureusement dans le même cas que moi, mais parfois je me dis que s’il avait été là, tout se serait passé différemment. Quand on y pense, c’est sans doute une possibilité infinie de jours qui auraient pu arriver mais n’arriveront jamais. C’est pourquoi j’y pense rarement. A quoi bon ? Ma mère m’a élevée toute seule et je trouve qu’elle s’est très bien débrouillée. De ma naissance à… notre séparation. On vivait seules dans une toute petite maison près d’un parc. C’était assez exigu et parfois, on manquait cruellement d’espace, surtout avec ma sale manie de ramener à la maison tous les animaux abandonnés que je croisais. Mais on y était heureuses. Ce qui n’était pas gagné, déjà à l’époque.
Et puis, quand j’avais six ans, le docteur de ma maman lui a annoncé un mot dégoûtant. Un mot comme « métastase ». Je ne comprenais pas ce que c’était, et ma mère me protégeait de la vérité. Peut-être n’aurait-elle pas du autant me cacher la vérité et aurait mieux fait de me préparer à son départ, à la place. Un jour, j’étais à l’école quand la directrice elle-même est venue me chercher en classe. Elle avait visiblement pleuré mais je n’ai pas tout de suite penser à ma mère jusqu’à ce qu’elle me fasse assoir dans sa voiture et me dise. Da Hye, c’est ta maman… Il va falloir que tu sois très courageuse à partir de maintenant. Courageuse, je pense l’avoir été. Je n’ai pas pleuré à l’enterrement car je sais qu’elle aurait détesté ça. Je n’ai pas pleuré quand on m’a expliqué que j’irais dans une famille d’accueil si ma tante ne voulait pas de moi. Je n’ai pas eu le temps de faire le deuil, de lui dire une dernière fois à quel point je l’aimais et à quel point j’étais heureuse d’avoir eu la meilleure maman du monde. Malheureusement, ma tante a accepté de me récupérer et de m’élever avec son mari et leur fille. Et à mon arrivée chez eux, j’ai compris que la vie avait encore quelques claques à me mettre.
« Mon seul rêve, c’est sortir de cet enfer. »
J’ai alors vécu durant de nombreuses années avec cette horrible famille. Ma tante, la soeur de ma mère, ne cessait de se moquer de nous, de notre mode de vie, de sa soeur. Quant à mon oncle, il a rapidement été évincé car ils ont divorcé peu de temps après mon arrivée. Et ma cousine, cette petite peste, ne cessait de me reprocher mon physique, de se moquer de ma nature renfermée et hostile. Elle avait honte d’être vue avec moi à notre arrivée à l’école car j’étais la paria, celle avec qui il ne faut pas trainer. Et ce de mon arrivée dans ma nouvelle école primaire jusqu’à mon entrée au lycée. La vie ne cessait de préserver l’étincelle de l’espoir pour mieux l’étouffer avec mes larmes. Je n’avais pas l’impression d’avoir d’avenir autre qu’un avenir malheureux et solitaire.
C’est au lycée que j’ai rencontré mon sauveur. Kang Killian. Sans doute l’homme de ma vie. Je n’en suis pas amoureuse, non, mais il m’a sauvée et je lui en serais à jamais reconnaissante. Premièrement, il était le seul à accepter de m’approcher et de me parler pour tenter de faire tomber les murs que j’avais mis tant d’années à ériger autour de moi. J’ai fini par l’aimer comme un frère. Jusqu’au jour où j’ai craqué. Je ne pouvais plus supporter les reproches et les moqueries de la femme qui m’avait adoptée et de sa fille. Alors un soir, pendant le diner que j’avais préparé consciencieusement — sans doute en espérant qu’un jour, ces deux monstres viendraient à m’accepter si ce n’est m’aimer —, je me suis levée de table et je suis partie faire mes affaires dans ma chambre. Je ne possédais presque rien et toutes mes affaires rentraient dans un seul sac de sport. Puis je suis partie, sous leurs yeux ébahis et un bol de riz que ma cousine avait jeté à ma tête. Je suis partie et j’ai appelé la seule personne qui m’aiderait à coups sûrs.
Killian… J’ai besoin de toi.
« C’est vous ma vraie famille. »
Comme je l’ai dit, Killian m’a sauvée. Pas parce que sa famille m’a adoptée, non, mais parce qu’il m’a amenée dans la famille de sa cousine Eun Mi et qu’ils ne m’ont jamais plus demandé de partir. Eun Mi était la petite fille la plus mignonne et la plus gentille qui soit et c’est elle qui a fait fondre mon coeur de pierre. Elle m’a adoptée tout de suite et a aussi calmé la tempête qui faisait rage en moi. Eun Mi, je l’aime d’amour, d’un amour profond et sincère que rien ni personne ne pourra comprendre. Quand je la regarde, je ressens à la fois l’amour qu’éprouve une grande soeur pour sa cadette et celui qu’éprouve un jeune homme qui découvre l’amour. Elle est tout pour moi. Elle et ses parents m’ont tout de suite adorée et m’ont permis de rester chez eux le temps de terminer le lycée et de trouver un appartement. Je n’ai plus jamais eu mal, ni peur. J’étais heureuse. J’ai retrouvé un bonheur que j’avais perdu, celui d’avoir une famille et d’être aimée comme quelqu’un d’à part entière.
Puis, une fois le lycée terminé, j’ai postulé à la Yonsei. La plus grande université de Corée du Sud. Franchement, je n’y croyais pas. Je n’avais pas beaucoup d’espoir en passant les examens d’entrée. Alors quand on a reçu la lettre d’acceptation, Killian était à la maison ce jour-là, et je crois qu’il a hurlé plus fort que moi. Ils se sont tous réjouis pour moi lorsque j’ai reçu ma bourse d’étudiante. Je n’y croyais toujours pas en m’installant dans ma chambre d’étudiante, dans le luxueux dortoir de la fraternité des Pyobeom, les panthères. Certes, je perdais ma douce Eun Mi mais je savais que je la retrouverais bientôt, mais je retrouvais également Killian. Bref, en l’espace de quelques années seulement, j’avais trouvé deux familles. Celle que je considérais comme ma vraie famille, les Kang, et ma famille de coeur, les Pyo.
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mar 21 Fév - 22:07
COUCOUUUUUUUUUUUU
ptn ... elle est tellement belle
REBIENVENUE !!!! :bang:
tu dois venire chez les Pyos car chez les Pyos on a des mexicains apparemment :bago: :bago:
OK je sors ... :porte: :porte: :porte:
ptn ... elle est tellement belle
REBIENVENUE !!!! :bang:
tu dois venire chez les Pyos car chez les Pyos on a des mexicains apparemment :bago: :bago:
OK je sors ... :porte: :porte: :porte:
La Doyenne
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mar 21 Fév - 22:16
Ouais, tu sors
Rebienvenue
Seo Min Ki a écrit:COUCOUUUUUUUUUUUU
ptn ... elle est tellement belle
REBIENVENUE !!!! :bang:
tu dois venire chez les Pyos car chez les Pyos on a des mexicains apparemment :bago: :bago:
OK je sors ... :porte: :porte: :porte:
Ouais, tu sors
Rebienvenue
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mar 21 Fév - 22:27
Tain j'savais pas
faut que je vienne alors, t'as raison
HUEHUEHUEHUEHUE
:bang:
bouh, ma belle brésilienne
merci, grain de riiz
Seo Min Ki a écrit:tu dois venire chez les Pyos car chez les Pyos on a des mexicains apparemment :bago: :bago:
Tain j'savais pas
faut que je vienne alors, t'as raison
Shim Sang Hoon a écrit:ILOVEYOU
HUEHUEHUEHUEHUE
:bang:
Hasegawa Nora a écrit:Hihihihihihi bouuuuh
bouh, ma belle brésilienne
Il Ho Chull a écrit:Rebienvenue
merci, grain de riiz
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mer 22 Fév - 3:51
Recoucou par ici ma biche 
Bon courage pour cette fiche, du love
Bon courage pour cette fiche, du love
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mer 22 Fév - 3:57
tu reboots ton perso ?
en tout cas bon reboot ou recommencement yésaispas
en tout cas bon reboot ou recommencement yésaispas
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Mer 22 Fév - 12:26
C'quoi cette pré propa pyo sournoise là
Le visage de ton avatar me dit trop quelque chose mais j'arrive pas à la replacer :oo
Elle est belle en tout cas *-*
Edit : c'est écrit dessus : Exid.
Voilà maggle.
Le visage de ton avatar me dit trop quelque chose mais j'arrive pas à la replacer :oo
Elle est belle en tout cas *-*
Edit : c'est écrit dessus : Exid.
Voilà maggle.
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Re: SONG DA HYE — n'oubliez jamais d'être heureux | Jeu 23 Fév - 9:34
Re bae 
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