Bae Jordan ♕ Nobody loves you baby the way I do

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Bae Jordan ♕ Nobody loves you baby the way I do | Mar 12 Sep - 23:57

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Bae Jordan

Pourquoi tu ne souris plus ? Quelqu’un pourrait tomber amoureux de ton sourire !

INTELLIGENTE (★★★★★)	FRANCHE (★★★✰✰)	PATIENTE (★★★✰✰)	SUSCEPTIBLE (★★✰✰✰)	DOUCE (★★★★✰)
CONDESENDANTE (★★✰✰✰)	DRÔLE (★★★✰✰)	TÊTUE (★★★✰✰)	CONFIANTE (★★★✰✰)	SENSIBLE (★★★✰✰)

nom : Bae. J'ai pris le nom de mon beau père en étant gamine. Sinon le nom de jeune fille de ma mère est Clark. prénom : Jordan. C'est un prénom mixte à ce qu'on dit, mais j'ai toujours soupçonné ma mère de vouloir un garçon. âge : 23 ans. date et lieu de naissance : le 20 décembre 1995 à Los Angeles. origines : Américaines. nationalité : J'ai gardé la nationalité américaine, mais mon beau père aimerait que je prenne la coréenne. cursus universitaire : Sciences politique et droit métier : Serveuse dans un café pour me faire un peu d'argent de poche. orientation sexuelle : Hétérosexuelle classe sociale : Aisée, mais ça ne m'empêche pas de travailler code du règlement : ok par fluttershy tu veux t'investir ? Evidemment

Rumour has it...

+ Je parle très bien le coréen, mais j’ai gardé mon petit accent américain
+ Je suis secrètement fan des One Direction
+ Je ne sais absolument pas cuisiner, je me fais livrer des plats tout préparés la plupart du temps
+ J’ai un Q.I beaucoup plus élevé que la moyenne
+ J’ai tendance à conduire bien au-dessus des limites de vitesse, mais je ne me suis encore jamais fait prendre.
+ Je déteste le poisson et les fruits de mer.
+ Je suis allergique à l’ananas
+ J’ai déjà volé des fringues dans un magasin de vêtement en étant adolescent juste pour l’adrénaline.
+ Je collectionne tous les objets en rapport avec les licornes, mais je n’en parle à personne.
...

Survole l'avatar, petit coquin.

My character

Hautaine et prétentieuse. Deux mots qui reviennent souvent lorsque l’on parle de moi. Je sais que mon attitude peut paraître froide et détachée, comme si je n’accordais aucune importance aux autres, mais la plupart du temps je suis perdue dans mes pensées, ce n’est pas vraiment voulu. J’ai parfois tendance à regarder quelques personnes de haut quand je me sens jugée, je me braque assez rapidement et je ne suis pas tendre. Pourtant je ne me sens au-dessus de personne en règle générale. Oui je suis la belle fille d’un PDG d’une grande enseigne de mode et je n’ai jamais manqué d’argent, mais je ne suis pas du genre à exposer ce statut. J’ai confiance en moi, et je ne me cache pas. Je n’ai pas honte de qui je suis, et de ce que je suis, ce qui peut me donner un air de peste. Je ne me laisse pas faire et je n’aime pas que l’on me regarde de travers alors qu’on ne sait rien de moi.
J’ai vécu des moments difficiles qui m’ont rendu plus forte et plus courageuse. Je suis tenace, parfois un peu trop bornée. Quand je veux quelque chose je l’obtiens et par moi-même, par mes propres moyens. On pourrait dire que j’ai l’attitude d’une gosse de riche, mais je ne demande jamais rien.
Je suis une bosseuse et bien que mon Q.I me facilite la tâche au niveau de mes études, je passe du temps à travailler mes cours, mais j’ai tendance à me disperser et à avoir du mal à me concentrer sur un seul sujet.
Je suis assez douce en temps normal, je fais preuve d’empathie et de tendresse, je suis même plutôt doué pour écouter les autres.
Je suis une grande blagueuse et c’est un trait de mon caractère que très peu connaisse. J’ai beaucoup de mal à donner ma confiance et je ne baisse pas ma garde facilement. Je passe la plupart de mon temps à rire, parce que j’en ai besoin.
Je suis une personne de confiance et très fidèle en amitié. On peut toujours compter sur moi peu importe le jour ou l’heure. Je me suis toujours défoncé pour les gens que j’aime, ceux qui comptent et qui le mérite. Je montre les crocs quand il le faut et je n’ai pas peur de me frotter à plus fort que moi.

This is my story

Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé.

« C’est qui mon père ? »

Une question qui restait sans réponse. Ma mère n’avait jamais voulu me donner son nom. Mes copines avaient toutes un papa et j’étais la seule à n’avoir qu’un parent. Je me sentais un peu mise à l’écart. Les autres élèves traitaient ma mère de beaucoup de noms, pas vraiment très jolis et je ne trouvais pas ça juste. Elle trimait, elle enchainait deux boulots pour subvenir à mes besoins. Je ne la voyais pas souvent. Je la rejoignais après l’école au restaurant où elle travaillait pour faire mes devoirs et pour diner. C’était ma petite routine et ça me plaisait. J’avais le droit à mon milkshake une demi-heure avant la fin de son service. C’est sûrement pour cette raison que je n’ai jamais appris à cuisiner.
Le week-end elle travaillait comme caissière dans un supermarché. Je restais la plupart du temps à l’appartement, mais de temps en temps elle m’autorisait à passer l’après-midi chez quelques-uns de mes amis. Je n’avais pas à me plaindre.

« J’ai rencontré quelqu’un. »

Cette phrase m’avait un peu choqué quand elle l’avait prononcé. Je n’avais que dix ans et je n’étais pas prête à ce qu’un homme s’immisce dans nos vies, en plus il venait d’un autre pays. Elle avait dit que ça avait été le coup de foudre quand elle lui avait servi son café. Ça sonnait comme dans un film romantique, mais elle le méritait après tout ce qu’elle avait vécu. Bae Jae Hwa. Il était assez impressionnant, il dégageait un charisme qui m’avait longtemps intimidé. Il avait beaucoup d’argent et nous avons démangé dans sa belle maison dans l’un des plus beaux quartiers de Los Angeles. Je me suis retrouvé inscrite dans les écoles les plus huppées de la ville. J’avais un uniforme tout neuf et les cours étaient beaucoup plus intéressant. Ma mère semblait heureuse et c’était le plus important.

« Je vais prendre ton nom. »

J’avais quinze ans que je lui ai annoncé que je voulais moi aussi prendre son nom, faire partie intégrante de la famille. Il s’était toujours bien occupé de moi et il était le seul père que je n’avais jamais connu. C’était important pour moi. J’étais major de promo, je me retrouvais toujours en haut des listes pour les résultats. Je voulais qu’il soit fier de moi, qu’il ne regrette pas sa fille adoptive. J’avais enfin une véritable famille.

« Je t’en supplie laisse-moi y aller. »

Il y avait une soirée au travail de Jae Hwa le même soir que le bal de promo et il voulait vraiment que je vienne avec lui, mais le quater back de l’équipe de football m’avait demandé d’être sa cavalière et je ne pouvais pas lui dire non, je ne pouvais pas louper cette occasion. Il m’avait donné la permission de minuit. Je n’avais jamais loupé un seul couvre-feu, parce que j’étais bien élevée. J’avais choisi ma robe avec ma mère, elle avait coiffé mes longs cheveux roux et légèrement maquillée. Je ne m’étais jamais senti aussi belle. Je craquais sur lui depuis de longs moi et je ne pensais pas qu’il m’ait remarqué. Je me disais que c’était un peu le plus beau jour de ma vie. Je ne savais pas que ça allait devenir mon pire cauchemar.

« Au secours viens me chercher. »

Je m’étais réveillée nauséeuse et frigorifiée sur le terrain de football. Ma robe était déchirée et chacun de mes muscles me faisaient souffrir. Je savais que quelque chose s’était passé mais je ne savais pas quoi exactement. J’étais seule et personne pour me venir en aide. Je cherchais mon téléphone pour appeler mon beau père, pour qu’il vienne me chercher. Il m’a emmené à l’hôpital, juste pour être sûr que je n’avais rien de grave. Il pensait que j’avais trop bu, mais je n’avais pris qu’un verre et il ne devait pas y avoir d’alcool.
Alors apprendre qu’on s’est fait violer après avoir été drogué par un type à qui on faisait confiance, ça vous laisse des traces.

« On déménage. »

Voilà ce qu’il avait dit. Rien de plus. Et j’avais pris l’avion pour la Corée du Sud. Son pays d’origine. J’avais dix-sept ans et je débarquais dans un endroit que je ne connaissais pas. Il avait tenu à m’apprendre la langue depuis des années et je ne regrettais pas son enseignement. Il m’avait éloigné de tous mes problèmes et de tout ce qui aurait pu me détruire. J’ai repris ma vie comme si jamais rien n’était arrivé et je me suis encore retrouvé dans la meilleure université de pays. J’étudie le droit et je suis plutôt doué. Je me suis trouvé un petit boulot de serveuse dans un café parce que je ne voulais plus vivre à ses crochets. Je voulais me payer mes vêtements moi-même. Je me suis bien adaptée à la vie ici, même si les regards se font parfois un peu trop insistant.