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1, 2dusk till dawn.
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Re: dusk till dawn. | Mer 17 Jan - 2:38
Et elle parle, parle et parle, encore et encore, et toujours pour se plaindre. Personne ne lui a jamais dit qu’elle était chiante, dans son genre ? Mais on l’aime quand même, après tout. Enfin, pas moi ! Non, pas moi, je ne l’aime pas. Je ne l’aime plus… Bref, elle est chiante, quoi. Mes doigts aimeraient tellement se plaquer contre sa bouche juste pour faire un peu de silence mais Jihye trouverait le moyen de me lécher la paume pour se libérer et, en vérité, je n’ai pas vraiment envie qu’elle se taise. Le silence est bien appréciable, seulement quand elle n’est pas là. Une Jihye silencieuse, c’est un peu triste, je m’en souviens. Je n’ai jamais aimé ça. Quand j’y pense, je suis vraiment un putain de cinglé. Je soupire intérieurement avant de coller mes mains à ses seins pour leur donner un peu d’amour, puis laisse mon corps s’allonger sur le reste du banc, les bras derrière la tête. Au diable, le froid, je peux très bien m’en sortir, mon sang s’habitue. « Je te le donnerais, t’inquiète. » Si elle y tient. On pourra le regarder ensemble, si elle veut, mais ça, je ne lui dis pas. Ça attendra un peu. « Et j’te ferais dire qu’on est pas mariés, alors je risque pas grand chose. »
Ma tête se penche légèrement à la petite réflexion qui passe soudain de neurone en neurone. « Quoique-- Si en fait, on est mariés, j’avais oublié. » C’est même elle qui m’y avait forcé. Alors peut-être que mon absence de ces dernières années a fait office de divorce mais je n’ai jamais rien signé qui rende notre séparation officielle. « Alors arrête de te plaindre, y en a tellement qui aimeraient m’épouser. » C’est faux. Enfin, je pense que c’est faux. Ça serait dommage pour ces filles-là, en tout cas. Y en a qu’une qui aura le droit de me passer la bague au doigt. Et donc, rien que pour embêter cette chanceuse, juste encore un peu, je tente de l’agacer par des coups répétés de mon genou contre sa cuisse.
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Et elle parle, parle et parle, encore et encore, et toujours pour se plaindre. Personne ne lui a jamais dit qu’elle était chiante, dans son genre ? Mais on l’aime quand même, après tout. Enfin, pas moi ! Non, pas moi, je ne l’aime pas. Je ne l’aime plus… Bref, elle est chiante, quoi. Mes doigts aimeraient tellement se plaquer contre sa bouche juste pour faire un peu de silence mais Jihye trouverait le moyen de me lécher la paume pour se libérer et, en vérité, je n’ai pas vraiment envie qu’elle se taise. Le silence est bien appréciable, seulement quand elle n’est pas là. Une Jihye silencieuse, c’est un peu triste, je m’en souviens. Je n’ai jamais aimé ça. Quand j’y pense, je suis vraiment un putain de cinglé. Je soupire intérieurement avant de coller mes mains à ses seins pour leur donner un peu d’amour, puis laisse mon corps s’allonger sur le reste du banc, les bras derrière la tête. Au diable, le froid, je peux très bien m’en sortir, mon sang s’habitue. « Je te le donnerais, t’inquiète. » Si elle y tient. On pourra le regarder ensemble, si elle veut, mais ça, je ne lui dis pas. Ça attendra un peu. « Et j’te ferais dire qu’on est pas mariés, alors je risque pas grand chose. »Ma tête se penche légèrement à la petite réflexion qui passe soudain de neurone en neurone. « Quoique-- Si en fait, on est mariés, j’avais oublié. » C’est même elle qui m’y avait forcé. Alors peut-être que mon absence de ces dernières années a fait office de divorce mais je n’ai jamais rien signé qui rende notre séparation officielle. « Alors arrête de te plaindre, y en a tellement qui aimeraient m’épouser. » C’est faux. Enfin, je pense que c’est faux. Ça serait dommage pour ces filles-là, en tout cas. Y en a qu’une qui aura le droit de me passer la bague au doigt. Et donc, rien que pour embêter cette chanceuse, juste encore un peu, je tente de l’agacer par des coups répétés de mon genou contre sa cuisse.
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Re: dusk till dawn. | Mer 17 Jan - 6:51
Un son étouffé m’échappe lorsque deux étrangères viennent rendre visite à mes collines personnelles. Mais ça va pas ou quoi, là ?! Ma mâchoire tombe légèrement, mes sourcils se froncent ; je ne crois pas être suffisamment retournée pour qu’il capte à quel point je suis outrée par ce geste. Bon, en vrai, je m’en fous qu’on me palpe les seins mais, eh, quand même ! Tout ça pour s’allonger ensuite… Ce mec est un vrai goujat. Pourquoi est-ce que je lui parle déjà ? Je devrais peut-être jouer au roi du silence, on verra qui sera le plus saoulé ensuite… Pfff… Je croise les bras, sans prendre la peine de le regarder quand il répond. Ah, y’a une petite rayure sur le banc… Si j’étais un rongeur, je crois que mes oreilles auraient frétillé à l’entente du mariés. Nous, mariés ? Ca y’est, le voilà reparti dans son délire… Aaaaah, mais oui ! Un petit sourire pare mes lèvres en repensant à ces souvenirs d’enfance. Monsieur Teddybear est encore à la maison, je suis pas sûre que lui se souvienne de ce garçon trop relou qui pensait qu’à jouer toute la journée. « Tu vois. Maintenant tu risques la prison. Je me ferais un plaisir de t’y jeter et de te narguer de l’extérieur avec mon beau planétarium. » Bon, finalement je n’arrive pas à me la fermer, tant pis. Mais eh, j’ai réussi à ne pas le regarder du tout ! Et je voulais l’ignorer jusqu’au bout, mais tant pis, il est trop chiant. Après lui avoir asséner une doucereuse gifle sur l’intérieur de la cuisse, je recule mes fesses pour me planter sur son ventre. Bon, j’appuie pas trop fort pasque je n’ai pas envie qu’il meurt, mais étouffe toi bien mon petit. Et moi, pendant ce temps là, je me lance dans une attaque aux index-mitraillettes pour d’incessants pouic-pouic dans ses coucougnettes. Voilà, ça c’est pour le pelotage gratuit. Je ne lui fais pas mal bien sûr, mais j'appuie suffisamment fort pour être sûr que ce soit très très chiant. « Je doute que l’une d’entre elles voudrait épouser un eunuque. » C’est qui qui va agacer l’autre plus fort maintenant. « Ding, ding, ding, ding, » un ding pour chaque index dans une de ses couilles. « c’est la chanson des bouleuh de Jaesoo wouhou. » Ah, cette douce mélodie.
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Un son étouffé m’échappe lorsque deux étrangères viennent rendre visite à mes collines personnelles. Mais ça va pas ou quoi, là ?! Ma mâchoire tombe légèrement, mes sourcils se froncent ; je ne crois pas être suffisamment retournée pour qu’il capte à quel point je suis outrée par ce geste. Bon, en vrai, je m’en fous qu’on me palpe les seins mais, eh, quand même ! Tout ça pour s’allonger ensuite… Ce mec est un vrai goujat. Pourquoi est-ce que je lui parle déjà ? Je devrais peut-être jouer au roi du silence, on verra qui sera le plus saoulé ensuite… Pfff… Je croise les bras, sans prendre la peine de le regarder quand il répond. Ah, y’a une petite rayure sur le banc… Si j’étais un rongeur, je crois que mes oreilles auraient frétillé à l’entente du mariés. Nous, mariés ? Ca y’est, le voilà reparti dans son délire… Aaaaah, mais oui ! Un petit sourire pare mes lèvres en repensant à ces souvenirs d’enfance. Monsieur Teddybear est encore à la maison, je suis pas sûre que lui se souvienne de ce garçon trop relou qui pensait qu’à jouer toute la journée. « Tu vois. Maintenant tu risques la prison. Je me ferais un plaisir de t’y jeter et de te narguer de l’extérieur avec mon beau planétarium. » Bon, finalement je n’arrive pas à me la fermer, tant pis. Mais eh, j’ai réussi à ne pas le regarder du tout ! Et je voulais l’ignorer jusqu’au bout, mais tant pis, il est trop chiant. Après lui avoir asséner une doucereuse gifle sur l’intérieur de la cuisse, je recule mes fesses pour me planter sur son ventre. Bon, j’appuie pas trop fort pasque je n’ai pas envie qu’il meurt, mais étouffe toi bien mon petit. Et moi, pendant ce temps là, je me lance dans une attaque aux index-mitraillettes pour d’incessants pouic-pouic dans ses coucougnettes. Voilà, ça c’est pour le pelotage gratuit. Je ne lui fais pas mal bien sûr, mais j'appuie suffisamment fort pour être sûr que ce soit très très chiant. « Je doute que l’une d’entre elles voudrait épouser un eunuque. » C’est qui qui va agacer l’autre plus fort maintenant. « Ding, ding, ding, ding, » un ding pour chaque index dans une de ses couilles. « c’est la chanson des bouleuh de Jaesoo wouhou. » Ah, cette douce mélodie.Invité
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Re: dusk till dawn. | Sam 10 Fév - 7:16
Aussi loin que je me souvienne, notre relation a toujours été conflictuelle. Mais d’une jolie façon. Entre ces moments où je voulais à tout prix la faire sourire, où je séchais ses larmes et les longues journées chargées de chamailleries incessantes, on a toujours été ces deux amis d’enfance qui se cherchent des noises pour s’enlacer ensuite. Et puis les années nous ont séparés, on s’est retrouvés, et voilà que la vie reprend son cours. Je l’embête, elle me m’embête, je la charrie, elle me charrie. Je préfère ne pas me l’avouer totalement mais j’adore ça. Je dois être bizarre. Ou alors, c’est elle qui est bizarre. Peu importe, au fond. La claque qu’elle ose donner à ma cuisse me tire de mes réflexions et ses fesses viennent soudain écraser mon pauvre ventre innocent. Elle est légère mais mes abdos ne sont quand même pas d’accord. Je râle pour montrer mon mécontement après la démonstration exagérée de la pression que subit mon estomac.Un truc du genre… “urgh”, tout gracieux. Mais Jihye ne s’arrête pas en si bon chemin et se met à attaquer mes bijoux de famille, la prunelle de mes yeux, les reines de mon anatomie. Ça va, ça fait pas mal, faut pas déconner. Mais putain ce que c’est chiant. Jiji dans toute sa fucking splendeur. Mais ce n’est que le juste retour des choses, j’en ai bien conscience, car je suis celui qui l’a si bien provoqué. Et alors ?
« T’es juste contente de pouvoir les toucher, sale perverse. » Je rirais presque de sa chanson ridicule si je n’étais pas trop occupé à gigoter mon bassin dans l’espoir que la rafale de pouic-pouic ne cesse. Il faut riposter. Je me redresse aussi vite que possible, mon torse rencontrant de nouveau son dos et mes bras retrouvant leur place autour de sa taille. Je le répète, c’est un poids plume, Jiji. La maintenant donc tout contre moi, je parviens à me lever du banc en l’emportant dans mon étreinte. Mes doigts se faufilent alors sous ses vêtements pour lui asséner quelques chatouilles, un peu comme si j’avais dix ans. Ben quoi, c’est bien de rester jeune dans sa tête. Je la lâche finalement avant de me prendre un coup de coude et lui offre un petit sourire en coin. « Tu mériterais pire que ça, tu sais. »
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Aussi loin que je me souvienne, notre relation a toujours été conflictuelle. Mais d’une jolie façon. Entre ces moments où je voulais à tout prix la faire sourire, où je séchais ses larmes et les longues journées chargées de chamailleries incessantes, on a toujours été ces deux amis d’enfance qui se cherchent des noises pour s’enlacer ensuite. Et puis les années nous ont séparés, on s’est retrouvés, et voilà que la vie reprend son cours. Je l’embête, elle me m’embête, je la charrie, elle me charrie. Je préfère ne pas me l’avouer totalement mais j’adore ça. Je dois être bizarre. Ou alors, c’est elle qui est bizarre. Peu importe, au fond. La claque qu’elle ose donner à ma cuisse me tire de mes réflexions et ses fesses viennent soudain écraser mon pauvre ventre innocent. Elle est légère mais mes abdos ne sont quand même pas d’accord. Je râle pour montrer mon mécontement après la démonstration exagérée de la pression que subit mon estomac.Un truc du genre… “urgh”, tout gracieux. Mais Jihye ne s’arrête pas en si bon chemin et se met à attaquer mes bijoux de famille, la prunelle de mes yeux, les reines de mon anatomie. Ça va, ça fait pas mal, faut pas déconner. Mais putain ce que c’est chiant. Jiji dans toute sa fucking splendeur. Mais ce n’est que le juste retour des choses, j’en ai bien conscience, car je suis celui qui l’a si bien provoqué. Et alors ?« T’es juste contente de pouvoir les toucher, sale perverse. » Je rirais presque de sa chanson ridicule si je n’étais pas trop occupé à gigoter mon bassin dans l’espoir que la rafale de pouic-pouic ne cesse. Il faut riposter. Je me redresse aussi vite que possible, mon torse rencontrant de nouveau son dos et mes bras retrouvant leur place autour de sa taille. Je le répète, c’est un poids plume, Jiji. La maintenant donc tout contre moi, je parviens à me lever du banc en l’emportant dans mon étreinte. Mes doigts se faufilent alors sous ses vêtements pour lui asséner quelques chatouilles, un peu comme si j’avais dix ans. Ben quoi, c’est bien de rester jeune dans sa tête. Je la lâche finalement avant de me prendre un coup de coude et lui offre un petit sourire en coin. « Tu mériterais pire que ça, tu sais. »
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Re: dusk till dawn. | Mar 13 Fév - 20:54
Ca secoue en haute mer dis donc ! Ses tentatives de gigotement pour échapper à mes agaçantes attaques me font pouffer. « Toucher, goûter… Elles n’ont plus de secrets pour moi presque ! » Ha ha ha ! C’est que je me fais trop rire, je suis beaucoup trop drôle en fait. En attendant, ça tangue, ça tangue, mais je ne cède pas ; après tout, je n’ai peut-être pas la force nécessaire pour asséner un coup de poing à qui que ce soit (enfin, peut-être, mais je crois que ce qui me manque surtout c’est la volonté de faire mal), mais je doute que mou-du-genou Jaesoo puisse rivaliser avec jambes-de-danseuse Jihye. Tant pis pour lui, il aurait dû m’écouter à l’époque… Peut-être que je devrais refaire son éducation sportive aujourd’hui ? Rien n’est perdu… Et je me rends compte que cette inattention me coûte mon trône, car voilà que je sens une soudaine chaleur contre mon dos. Flûte, j’aurais peut-être dû faire de la lutte ou du catch, car là tout ce que je peux faire, c’est être soulevé comme si je n’avais en fait jamais été une réelle gêne ! « Hiiiiii ! » Une espèce de cri débile m’échappe alors que mes fesses voyagent dans les airs. Je reste recroquevillée un bref instant alors que je suis soulevée, avant de me raidir d’un coup quand il commence à me chatouiller. Je m’esclaffe et me tortille, histoire de tenter, un peu vainement, d’échapper à ces doigts maléfiques. En plus, à cause de lui, mes poils se hérissent. C’est qu’il fait rentrer l’air glacé sous mes vêtements, le saligaud ! Libérée de manière inattendue, ma gestuelle pour le moins mouvementée me fait avancer de quelques pas et je trébuche légèrement avant de me reprendre. Je me retourne, juste histoire de lui asséner d’inefficaces coups de poing dans le ventre. « Satan ! C’est toi qui mériterais de brûler en enfer ! » Je fais une moue qui se veut furibonde alors que je lui assène un dernier et magistral crochet, accompagné d’un tout aussi magistral hyaah! sensé rassembler tout mon chi dans ce coup final. C’est ce moment que je choisis pour plonger sur lui et l’attraper par la taille, la tête contre son pelvis. Mais allez, tombe là ! Vu que je ne le fais reculer que de quelques pas, j’arrête de forcer et reste dans cette position. Les bras ballants, je ne sais pas comment est-ce que je réussis à trouver cette position en L confortable. « C’est pas juste. Tu veux pas faire exprès de tomber ? » Eh, je suis la plus jeune, il pourrait faire un geste et me laisser gagner quand même.
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Ca secoue en haute mer dis donc ! Ses tentatives de gigotement pour échapper à mes agaçantes attaques me font pouffer. « Toucher, goûter… Elles n’ont plus de secrets pour moi presque ! » Ha ha ha ! C’est que je me fais trop rire, je suis beaucoup trop drôle en fait. En attendant, ça tangue, ça tangue, mais je ne cède pas ; après tout, je n’ai peut-être pas la force nécessaire pour asséner un coup de poing à qui que ce soit (enfin, peut-être, mais je crois que ce qui me manque surtout c’est la volonté de faire mal), mais je doute que mou-du-genou Jaesoo puisse rivaliser avec jambes-de-danseuse Jihye. Tant pis pour lui, il aurait dû m’écouter à l’époque… Peut-être que je devrais refaire son éducation sportive aujourd’hui ? Rien n’est perdu… Et je me rends compte que cette inattention me coûte mon trône, car voilà que je sens une soudaine chaleur contre mon dos. Flûte, j’aurais peut-être dû faire de la lutte ou du catch, car là tout ce que je peux faire, c’est être soulevé comme si je n’avais en fait jamais été une réelle gêne ! « Hiiiiii ! » Une espèce de cri débile m’échappe alors que mes fesses voyagent dans les airs. Je reste recroquevillée un bref instant alors que je suis soulevée, avant de me raidir d’un coup quand il commence à me chatouiller. Je m’esclaffe et me tortille, histoire de tenter, un peu vainement, d’échapper à ces doigts maléfiques. En plus, à cause de lui, mes poils se hérissent. C’est qu’il fait rentrer l’air glacé sous mes vêtements, le saligaud ! Libérée de manière inattendue, ma gestuelle pour le moins mouvementée me fait avancer de quelques pas et je trébuche légèrement avant de me reprendre. Je me retourne, juste histoire de lui asséner d’inefficaces coups de poing dans le ventre. « Satan ! C’est toi qui mériterais de brûler en enfer ! » Je fais une moue qui se veut furibonde alors que je lui assène un dernier et magistral crochet, accompagné d’un tout aussi magistral hyaah! sensé rassembler tout mon chi dans ce coup final. C’est ce moment que je choisis pour plonger sur lui et l’attraper par la taille, la tête contre son pelvis. Mais allez, tombe là ! Vu que je ne le fais reculer que de quelques pas, j’arrête de forcer et reste dans cette position. Les bras ballants, je ne sais pas comment est-ce que je réussis à trouver cette position en L confortable. « C’est pas juste. Tu veux pas faire exprès de tomber ? » Eh, je suis la plus jeune, il pourrait faire un geste et me laisser gagner quand même.Contenu sponsorisé
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