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you're the deer in the headlights

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you're the deer in the headlights | Sam 14 Juil - 16:53
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deer in the headlights
feat mok chul hei

Plus qu’une danse, c’est ce qu’il reste. Ce qui te sépare de la bonne nuit de sommeil que tu veux pour te reposer parce que ces derniers jours, tu es fatiguée Eunha. Tu travailles d’arrache pied, que ce soit à la boutique ou au club, et quand tu ne travailles pas, tu es à l’école, ou tu révises. Tu n’as pas beaucoup de temps libre mais demain, c’est Dimanche, et tu comptes bien te faire une grâce matinée bien méritée. Mais avant ça, tu as encore une danse à faire. Ce soir, la paye n’est pas mauvaise, même avec la fatigue tu arrives à émerveiller ces hommes, à voir leurs yeux briller pour toi. Tu ne fais rien de vulgaire, le pole-dance est une danse sensuelle et tout ce qu’il y a de plus artistique, c’est simplement les filles faciles qui rendent ça vulgaire. Mais toi, tu n’es pas de ces filles à vouloir plus que ce qu’ils te payent, à prendre presque le job des prostituées pour avoir plus d’argent encore. Pour toi, ça s’arrête là. Il n’y a jamais rien de plus. Tu ne les laisses même pas te toucher, tu n’as pas le droit d’avoir de relation ni avec les clients, ni avec les autres employés de la boite parce que le patron te surveille de près. Alors tu es prudente, mais de toute façon, tu n’as jamais eu envie d’aller plus loin.

Ton corps glisse aisément sur cette barre, tu virevoltes telle une fée, tes jambes interminables s’enroulent aisément autour, tu impressionnes et tu ne comptes plus les billets voler alors que tes cheveux volent au rythme que tu donnes à ta danse. Tes mains agrippent la barre, tu bouges ton bassin contre avec lenteur mais sensualité. Et tu enchaines les mouvements, jusqu’à la fin de ton tour. Rapidement, tu ramasses les billets et tu disparais, filant dans ta loge pour pouvoir te changer. Tu ranges tes habits dans ton sac, les filles arrivent au fur et à mesure pour faire comme toi, se changer et partir de la boite. Il est 5h30, la soirée est passée plutôt vite, et c’est tant mieux. Tu sens les regards jaloux des autres danseuses se poser sur toi quand tu sors de ta cabine et toi, tu baisses la tête, les ignorant en mettant ton sac sur son épaule. Tu quittes les loges rapidement et tu commences à compter les billets dans ta main à mesure que tu avances vers la sortie de la boite mais tu te fais soudainement arrêter par le patron qui te bloque contre le mur. Tu sursautes, faisant tomber quelques billets mais il se baisse pour te les ramasser. Et il remonte, son regard s’attardant sur tes belles jambes nues alors que tu portes un short en jean. « Le butin fut bon ce soir? » qu’il te demande en souriant. Tu acquiesces plusieurs fois, mal à l’aise. Et il glisse sa main dans tes cheveux, attrapant une mèche qu’il tortille autour de son doigt. « Tu as bien dansé. C’est mérité. » Il jongle du regard entre tes cheveux et tes yeux, avant de sourire. « Bonne soirée princesse. » Et il se recule, te permettant de récupérer un peu ton souffle et une respiration normale. Ton coeur bat la chamade, mais tu commences à avoir l’habitude de ces échanges avec lui. Tu remets ton sac sur ton épaule et continues de compter les billets. Tu passes l’entrée de la boite, encore gardée par les trois videurs, à qui tu adresses un joli sourire et un signe de la main avant de filer vers le parking où ta voiture t’attend. Tu finis de compter les billets quand tu arrives enfin à ta Suzuki, et alors que tu esquisses un sourire, tu sens soudainement quelqu’un t’agripper le poignet férocement, faisant à nouveau tomber tous les billets. Il te force à lui faire face et te plaque violemment contre ta voiture avant de plaquer aussitôt sa main sur ta bouche. Tu ne vois pas bien son visage, pourtant, à la lumière du réverbère, il te semble reconnaître un client de ce soir, qui t’a demandé plusieurs fois si tu faisais des heures supp, sous-entendant qu’il aurait bien aimé coucher avec toi. Tu essayes de te débattre comme tu peux alors qu’il vient murmurer à ton oreille. « Si tu veux pas faire des heures supp, je vais te forcer à les faire. » Et de sa main libre, il commence à baisser sa braguette. Tes yeux s’écarquillent. La soirée va tourner au cauchemar, tu le sens.  
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Re: you're the deer in the headlights | Dim 22 Juil - 4:21
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deer in the headlights
feat kang eun ha

Posté devant l’entrée de ce club, tu attends. Qu’est-ce que tu attends exactement ? Rien de particulier, tu fais juste ton boulot, attendre et surveiller. Tu dois également vérifier que les nouveaux venus ne sont pas juste des fouteurs de merde et ne risquent pas de déranger tout le monde à l’intérieur pour enfin se faire expulser sans aucune chance de s’expliquer. Pour beaucoup, videur ce n’est pas un métier de rêve, trop de videurs sont mal vus, juste comme des gorilles froids prêts à mettre des coups si nécessaire. Toi, tu n’as jamais vu le boulot comme ça, protéger autrui, c’est un peu ta vocation finalement. Avec ce qu’il t’est arrivé, tu pourrais avoir envie d’éviter les situations stressantes, mais t’en as choisis autrement et de toute façon, ce n’est pas comme s’il te restait quelqu’un pour questionner tes choix. Tu as tout perdu il y a déjà quelques années, alors quitte à ne plus rien avoir, autant protéger ce que les autres ont. Si le boss t’a engagé, il y a maintenant 2 ans, ce n’est certainement pas pour ton physique. Tu es musclé, là n’est pas le problème, mais pour certains, tu pourrais être tout sauf une réelle menace. Si ce soir, tu te trouves devant ce bâtiment, c’est pour cette aura que tu dégages. Ton aura et ton regard. Ton passé ne t’a certainement pas laissé sans cicatrices et ça se ressent à ta manière d’être, c’est bien simple, tu n’as pas besoin d’en imposer physiquement pour faire peur. Généralement, les gens n’insistent pas avec toi, un coup d’œil de ta part leur suffit. Et s’il faut en venir aux mains, la plupart du temps, ils ne s’attendent pas à ce que tu sois aussi doué pour te battre. C’est ça d’avoir grandi à la dure, tu ne te laisses pas et ne te laisseras jamais marcher sur les pieds.

Comme toujours, ce soir tu te tiens droit devant la porte principale et tu regardes les gens entrer et sortir. Alcoolisés en entrant et ivres morts en sortant ou alors entrant sobres et ressortant un peu plus joyeux, des étoiles pleins les yeux après le spectacle auxquels ils ont eu droit. Il faut dire que les danseuses du patron sont douées, très douées. Mais généralement, une d’entre elles se démarque et ça même toi, tu l’as bien remarqué. Non pas qu’elle t’ai tapé dans l’œil, mais elle dégage elle aussi cette aura, comme si elle avait vécu un évènement qui n’aurait jamais dû se produire et ça suffit à la démarquer des autres, la rendre un peu spéciale et c’est ce qui fait que tu te souviens d’elle. Souvent, tes collègues la regardent passer et discutent après entre eux, ne tarissant pas d’éloges sur son corps de rêve et son agilité féline sur la barre. De ton côté, ce n’est pas que tu t’en fiches, mais tu n’as généralement rien à ajouter à leur conversation et comme toujours, tu restes dans ton coin, silencieux. En parlant du loup, la voilà qui sort du bâtiment, toujours avec cette délicatesse et cette fragilité que tu perçois chez elle. Non pas qu’elle paraisse faible, mais tu aurais trop peur de la casser si tu la touchais, comme tu le fais bien souvent. Si sa sortie du bâtiment te paraissait normale, celle du client qui lui succède en revanche.. Il semble la suivre et ça tu n’aimes pas vraiment. Si le patron apprend que sa petite favorite à été touchée, il risque d’entrer dans une rage folle et tu n’as aucune envie que ça te retombe dessus alors tu préviens brièvement ton collègue de garde que tu vas jeter un œil sur la situation et tu les suis jusqu’à ce parking bien trop sombre où elle gare sa voiture. Le problème, c’est que tu les as perdus de vue, alors tu scrutes un peu toutes les voitures pour essayer de les apercevoir. Gagné. Ils sont un peu plus loin, mais lorsque tu te rends compte de la scène qui se déroule devant tes yeux, ton sang ne fait qu’un tour. Comment cet homme peut se comporter comme un porc à ce point. Rapidement, tu te retrouves à leurs côtés et tu l’attrapes par le collet jetant un bref coup d’œil à la fille, pour voir si elle va bien. Elle semble effrayée au possible et pâlit à vue de nez, de quoi t’énerver plus que tu ne l’étais déjà. S’il y a bien quelque chose que tu ne supportes pas, c’est que l’on s’en prenne aux autres. Alors que tu pousses doucement la préférée, tu plaques violemment cet homme, face contre la voiture. Il gémit de douleur et se débat, mais son taux d’alcool ne joue pas en sa faveur, il est mou et gigote maladroitement. « Pathétique.. » marmonnes-tu avant de le laisser tomber au sol et lui asséner un coup bien placé dans ses bijoux de famille. « Ça t’apprendra à vouloir la sortir n’importe où enfoiré. » Avec tout ça, tu en as presque oublié la fille qui se tient derrière toi. Tu te retournes te souvenant soudainement de son existence et tu plonges ton regard dans le sien, mais cette fois-ci, sans aucune colère et presque avec une certaine douceur que peu connaissent. « Ça va ? »
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Re: you're the deer in the headlights | Dim 29 Juil - 20:59
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deer in the headlights
feat mok chul hei

De ce que tu avais pu compter jusque là, effectivement, le butin fut bon ce soir. Merci ton corps, merci ton déhanché, merci ta grâce, sans ça, tu n’aurais pas tant de billets entre les mains. Si tu les as, c’est parce que tu plais. C’est parce que tu sais exactement comment faire briller les yeux de ces hommes. Si ça te dégoûte? Parfois oui, parce que tu sais qu’ils sont nombreux à s’imaginer te faire des saletés mais tu essayes de mettre ces pensées de côté, auquel cas, tu ne saurais pas danser. Tu serais incapable de faire ce que t’as fait ce soir. Mais parfois, faire ce métier présente plus de risques qu’on ne le pense. Ça ne t’était encore jamais arrivé avant mais ce soir, c’est bien une première: tu es suivie. Tu entends des pas derrière toi alors tu te tournes une première fois mais, aveuglée par le réverbère juste au-dessus de toi, tu ne vois pas à plus de 3 mètres. Tu fronces les sourcils et reprends ta marche jusqu’à ta voiture, et là, les pas reprennent. Tu n’y fais plus attention malheureusement, trop concentrée à compter les billets lorsque tu te fais surprendre, et ce serait mentir de dire que tu n’as pas eu peur. Ton coeur se met à battre à fond dans ta poitrine alors qu’un inconnu te plaque violemment contre ta voiture. Une main plaquée sur ta bouche, l’autre s’occupe de baisser sa braguette, avant de s’attaquer à celle de ton short. Alors c’est comme ça que tu vas retrouver cette sensation entre tes cuisses? Presque 10 ans après? Par un viol? Tu es terrorisée, paralysée par la peur. Tu ne parviens pas vraiment à te débattre, en fait, tu es totalement impuissante parce qu’il use de toute sa force pour te bloquer.

Mais rapidement, quelqu’un vient à ta rescousse. Quelqu’un qui saisit de ton assaillant par le col, mais tu le reconnais bien vite. C’est le videur à l’entrée de la boite. Le mignon… Celui que tu regardes toujours différemment des autres parce que, ben, faut dire les choses telles qu’elles sont, il est à ton goût. Tu as toujours eu un faible pour son regard ténébreux mais là, tu n’as pas le temps d’y penser. Tu te contentes de reculer quand il t’écarte doucement, le regardant plaquer l’inconnu contre la voiture avec une violence que tu n’avais encore jamais vu. T’as presque mal pour ton agresseur. Tu serres les dents, rentrant légèrement ta tête dans tes épaules. Chul Hei se charge de le terminer en lui mettant un coup de pied dans l’entrejambe. Et alors qu’il se tourne vers toi pour savoir si tu vas bien, toi, tu regardes le client partir en courant, manquant de tomber plusieurs fois dans sa course tant il était éméché. Il puait l’alcool à des kilomètres, t’as encore son odeur sur lui. T’as la gerbe. Tu secoues alors la tête légèrement, reprenant tes esprits, puis reposes ton regard perdu sur le videur qui vient de te sauver la mise. Tu gardes la bouche légèrement entrouverte, laissant passer ta respiration saccadée. Tu acquiesces plusieurs fois. « Oui… Oui, ça va. » tu baisses les yeux au sol, tes billets sont éparpillés sur le goudron. Tu pousses un soupir et t’abaisses alors pour les ramasser pour la deuxième fois, ramenant tes cheveux sur ton épaule droite alors que tu ramasses les derniers billets, aidée par Chul Hei. Tu te redresses, un petit sourire timide aux lèvres. « Merci beaucoup. » que tu lui adresses, baissant la tête alors que tu prends les billets qu’il te tend. Mais en baissant la tête, tu remarques encore la braguette de ton short en jean baissée. Tes joues deviennent rouges aussitôt et tu tournes immédiatement le dos à ton héros. « Oh mince. Pardon. » Quelle idiote. Tu remontes vites la braguette de ton short et remets le bouton, avant de te tourner doucement vers Chul Hei, terriblement gênée. Mais t’y es pour rien toi, c’est pas ta faute. Et il est assez intelligent pour le comprendre ça, Chul. « Je… Je vais y aller. Je suis désolée pour la gêne occasionnée. Je ferai plus attention la prochaine fois. » Tu te penches légèrement pour le saluer. Comme si c’était de ta faute… mais t’es ce genre de fille à tout prendre pour ta poire, et à te mettre plus de pression que tu ne devrais.  
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Re: you're the deer in the headlights | Mar 21 Aoû - 18:33
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deer in the headlights
feat kang eun ha

T’es en rogne. Tu ne supportes pas l’injustice et encore moins ceux qui s’en prennent à plus faible qu’eux. Ce mec, tu aurais largement pu l’amocher plus sévèrement, mais tu n’avais pas d’autre choix que de lui donner une simple leçon au risque de te faire renvoyer et peut-être même finir en taule. Tu ne peux pas éclater la première personne qui fait quelque chose que tu n’approuves pas, t’as déjà un casier et c’est suffisant. Une épée Damoclès pèse au-dessus de ton crâne, te bridant constamment et tu ne le sais que trop donc tu évites les débordements. Ce vicelard à de toute façon retenu la leçon vu la manière dont il s’enfuit la queue entre les jambes, sans mauvais jeux de mots. Ta colère ne semble pas vouloir retomber et t’es à deux doigts d’insulter la première personne qui passera devant toi, mais la présence d’Eunha te reviens juste à temps et tu te retournes étrangement plus calme. Elle semble secouée et c’est compréhensible. Si tu n’avais pas été là, si tu n’avais pas décidé de les suivre, elle serait à la merci de cet homme. Cette pensée ravive ta colère et tu sers les dents tandis qu’elle t’affirme aller bien. Il est visible qu’elle ne va clairement pas bien, mais tu ne peux pas la forcer à dire que la situation l’a plus choqué qu’elle ne l’admet. Tu sais que le patron va entrer dans une rage folle en apprenant que sa petite vierge préférée à failli ne plus l’être et tu as tout sauf envie de l’appeler, mais tu n’as pas vraiment le choix alors tu sors ton téléphone, près à passer ce coup de fil.

Tu étais prêt à appeler le boss, mais soudain elle se baisse pour ramasser ses billets et tu ressens un petit pincement au cœur. C’est injuste qu’elle ait eu à subir ça. Tu te retrouves rapidement accroupi à ses côtés pour récolter les quelques restes de son butin de ce soir et les lui tends, sauf qu’au moment de lui rendre cet argent, tes yeux sont malencontreusement attirés par son short ou plutôt sa braguette grande ouverte. Restes calme Chulhei, ce n’est pas vraiment le moment d’être gêné. Tu diriges rapidement son regard vers son visage ne voulant pas la mettre mal à l’aise et tu te grattes la gorge ne sachant pas trop s’il faut lui dire ou faire comme si de rien n’était. Hésitation qui ne dure pas vu qu’au moment de te remercier, elle repère elle aussi ce petit… Désagrément et tu tournes la tête cherchant à éviter son regard. Cette situation est gênante pour toi, c’est sûr, mais alors pour elle tu ne préfères pas l’imaginer. Étrangement, cette gêne s’évanouit vite lorsqu’elle adresse un petit « oh mince pardon » assez mignon. Tu t’attendais à toutes les réactions sauf à celle-ci, qui, tu dois l’avouer t’amuses un peu. « Pas de problème. » Lui réponds-tu réprimant un petit sourire attendrit. Ce n'est pas ton genre d’être aussi gentil, en général les remerciements, tu les fuis comme la peste alors tu reprends un air sérieux, presque trop froid et tu récupères ton téléphone tout en lui attrapant l’épaule quand elle s’apprête à partir. « Non, tu bouges pas, je vais appeler le boss et te ramener. » C’est sans appel, elle ne partira pas d’ici sans toi. Lorsque ton téléphone sonne en attente de la réponse du patron tu fais moins le fier, tu sais que tu vas en prendre plein la gueule et t’en est pas trop heureux. « Âllo ? » Sa voix résonne à l’autre bout du fil et toi, tu ne prends pas de gants, tu lui balances la situation comme ça. Préparer le terrain, tu ne connais pas. « QUOI ?! J’ESPÈRE QUE TU AS REFAIT LE PORTRAIT À CET ESPÈCE DE PETIT ENFOIRÉ DE MES DEUX. COMMENT T’AS PU JUSTE LAISSER CA COMMENCER ?! » Ça y est, il braille et tu décales ton oreille du téléphone, ennuyé. C’était prévisible. Tandis qu’il continue de déblatérer un flot d’insultes toutes plus belles les unes que les autres, tu poses ton regard sur la brunette en face de toi. Elle semble mal à l’aise, mais tu préfères ne pas relever. « À partir d’aujourd’hui, je te confie sa protection Chulhei et c’est pas une proposition. » Quoi ? T’as mal entendu, ce n’est pas possible, comment ça sa protection ? Tu vas devoir la coller comme un petit chien ? Manque plus que ça. Ton exaspération commence à se faire ressentir. « Quoi ? Mais boss, j’ai une vie vous sav… » Il a raccroché. Super. Comment tu lui annonces ça maintenant ?
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Re: you're the deer in the headlights | 
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