sombre
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal


Misery

Invité
Invité
Anonymous
 
Misery | Dim 3 Mai - 12:00
Citer EditerSupprimer

Kim Seung Woo
it would have been simpler than we ever existed
Nom : Kim, alignements de lettres formant le top un des noms de famille  les plus courant de Corée. Je n'ai pas de fierté particulière à le porter, ni même un sentiment particulier à ce sujet. Prénom(s) : Seung Woo, prénom que je n'affectionne pas particulièrement. Homme de peu de mot, il me semble bien trop , et inutilement long. Surnom(s) : Sun, voilà qui est mieux, clair, net et concis. Si j'avais eu le choix, c'est ce patronyme là que j'aurai choisi. Âge : Dans la chaleur printanière, il me fut permis de fêter mes vingt cinq ans cette année. Date et lieu de naissance : Dans un hôpital plus ou moins réputé de Séoul, dans la banalité d'un quatorze Février Origines : Mes origines sont exclusivement coréennes, et s'il y avait la moindre petite trace d'une autre ethnie, je serais ravi d'en être informé, car j'ai toujours cru que le métissage était l'avenir de l'humanité. Nationalité : Coréenne, je n'ai pas eu la chance de naître  en une famille offrant la double nationalité Cursus universitaire : Médecine, oui, je rêve de devenir médecin, un grand médecin, du genre de ceux qu'on voit à la télé et qui sauvent des vies. Pas les médecins qu'on voit dans des pubs pour du dentifrices ou des panneaux pour de la chirurgie by Gangnam. Métier : Violoniste dans un orchestre, parce que oui, je suis un homme qui aime gratter des cordes avec un bâton Orientation sexuelle : Hétérosexuel, j'aurai aimé être autre chose, être un peu plus singulier, mais je ne suis finalement qu'un type banal souriant mais un peu chiant.   Classe sociale : Modeste, je ne roule pas sur l'or, sans pour autant couler sous les dettes. Tu veux t'investir dans une fraternité ? Cheonlyong, non pas par réel choix, mais parce que pour ma vie sociale, c'était presque indispensable.   score du questionnaire le staff se chargera d'écrire ici ton résultat ♡
IDENTITY CARD
Il parait que...
C'est assez étrange quand on y pense, mais depuis que je suis enfant, j'ai toujours cru que l'important dans la vie, c'était de faire en sorte de ne jamais provoquer la colère de la gente féminine. Probablement parce que depuis que je suis né, j'ai vu mon père se faire frapper à coup de claquettes par ma mère, lorsqu'il rentrait après le dîner avec un coup dans le nez, ou lorsqu'il offrait à ma mère des canards en plastiques pour le bain et des cuiseurs de riz pour son anniversaire. Il faut aussi savoir que ma mère, pour ne jamais oublier à quel point mon père était frustrant, collectionnait ces objets depuis des années. De fait, la petite maison familiale est remplie de canards en plastique de toutes sortes un peu partout, jardin compris, ainsi qu'une collection interminable des fameux cuiseurs de riz disposés par années dans des meubles ouverts de la cuisine et salle à manger.
Dis nous qui tu es !
Pour tout vous dire, je ne sais pas réellement ce que je peux dire à propos de moi, déjà, parce que je n'aime pas vraiment parler, de manière générale, mais aussi parce que je n'ai strictement aucune idée de quel caractère je peux être affublé. Par contre... Si vous demandiez à mes amis de me décrire, et j'en ai pas beaucoup donc je pense qu'ils seront tous unanimes à mon sujet...

En premier lieu, ils dirons que je suis quelqu'un d'assez silencieux, ne sachant aligner plus de mots que nécessaire, sujet, verbe, complément, et c'est tout. J'ai un air assez stoïque sur le visage, ne souriant que lorsque mes émotions prennent réellement le dessus. En fait, je ne suis pas très expressif en général, il n'y a que mes yeux, qui trahissent vraiment mes humeurs. Imaginez que vous veniez avec ma bande d'amis et moi-même quelque part, et qu'une chose extrêmement drôle se passe. Vous hurleriez de rire, limite à vous pisser dessus. Moi je n'esquisserais qu'un large sourire. Et là, Ye Eun vous dirait "T'inquiète gros, il est au max."

Ensuite, ils vous parleront très certainement du fait que je sois tête en l'air, avec énormément d'insécurité. Ils vous diront que j'ai des tares qu'on ne voit que chez les nourrissons, les bambins tout au plus. Ils vous dirons à quel point je suis resté un enfant, incapable de ne pas se brûler avec une casserole sur le feu, des portes, et j'en passe. Ils vous diront également que je suis craintif, ça va de pair avec l'insécurité. Que j'ai du mal à adresser la parole au sexe opposé, hors mis celles que je connais depuis déjà des années (genre, avant que je prenne conscience qu'elles ne possèdent pas de pénis). Qu'il m'est impossible de refuser quoique ce soit. Que je suis bien trop gentil, particulièrement naïf. Un chiot abandonné quoi...

Ils vous diront en plus, que j'ai la manie bizarre de ne jamais comprendre les relations interpersonnelles, que j'ai cette tronche de poisson chat, regard vitreux quand on me parle de sentiments, de choses dont je n'arrive pas à percer le sens. Ils vous diront qu'au début, vous gratterez la surface, mais qu'il n'y aurait toujours rien, le néant infini. Mais ils vous diront que paradoxalement, j'ai le sens de l'amitié, que je sais ce que c'est. Ils vous diront que je suis quelqu'un de sociable, malgré des paroles qui manquent. Que je ne laisse jamais quelqu'un dans le flou total, que je répond toujours, même si ce n'est que d'une syllabe. Ils vous diront que j'aime le monde, que j'ai du mal à haïr qui que ce soit, même si certains auraient, ou pourraient le mériter au fond.

Ils vous diront que je suis quelqu'un de compétitif, bien que je ne sois pas très combatif. Une crevette incapable de serrer le point, même pas assez charismatique pour m'en sortir avec une joute orale efficace. Ils vous diront également que j'ai un côté territorial, pour ne pas dire jaloux, et pour me qualifier encore une fois, d'animal sauvage. Ils vous diront aussi que j'ai un côté chiant, aberrant, parce que justement je suis moi, et que je me laisse aller comme un enfant, qu'ils sont obligés de prendre soin de moi comme si j'avais cinq ans, comme si je n'en étais pas capable, au fond. Obligés de me préparer des tenues pour chaque jours de la semaine, avec un rappel journalier sur des post-its collés sur mon armoire. Ils vous diront que je ne sais rien faire à manger que des nouilles instantanées, et pour tout dire, ils n'auront pas tord. Pas plus que s'ils vous disent que je fais parti des malchanceux aux lacets perpétuellement défaits bien que je passe mon temps à les nouer.

Mais ils vous diront qu'il ne faut pas s'inquiéter pour moi, parce que je suis intelligent, et qu'étrangement, dans la branche universitaire que j'ai choisi, j'excelle, que tout ce qui ne me réussit pas dans ma vie quotidienne je le rattrape là bas. Qu'un jour je serai bon médecin, parce que je suis quelqu'un qui écoute, observe, est comprend. Parce que je veux faire du bien au monde, que je suis patient et persévérant.

POPS
Hey  :hi: Pour tout dire, je ne sais pas trop quoi dire sur moi, à par que je viens du Sud de la France, que je fais du RP depuis plus de dix ans, et que j'ai un attrait profond pour les descriptifs un peu particuliers.
Si ton personnage est inventé, remplis ce petit code :
Code:
<taken>Park Bo Gum</taken> ⇝ [url=http://www.shaketheworld.net/u1910]Kim Seung Woo[/url]




Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 12:00
Citer EditerSupprimer

It's my life...
Sous l'air de Blooming story

At the beginning... Au plus loin que je puisse me souvenir, il y a toujours eu deux protagonistes principaux dans l'aventure banale qui est ma vie. Ye Eun, fille bien trop énergique pour moi, et Han Ja, garçon à qui, même dans mes rêves les plus fous, n'arriverais jamais à égaler. Nous sommes tous les trois nés dans la même année,  dans le même hôpital, et élevés dans la même immense maison que les anciens propriétaires avaient transformés en trois petits appartements chaleureux. Aussi, inutile de vous dire que nous étions prédestinés à devenirs amis, passer nos journées et même parfois nos nuits ensembles. Et pourtant, bien que nos éducations furent indéniablement similaires, nos personnalités détonnaient  les uns des autres, amenant nos parents respectifs à penser que nous nous complétions. Mais... ici il n'est pas question de ce nous, mais plutôt de moi, et moi seulement, alors par où pourrais-je commencer ? Par où pourrais-je commencer... 

J'avais sept ans, assis dans l'herbe du jardin, le regard dans le vide, un cône de glace à moitié fondu dans la main. Je ne savais pas trop à quoi je pensais à ce moment là, sans doute à rien, pour pas changer. Mais le fait est que j'avais de plus en plus de mal avec la sensation de la glace fondue entre mes doigts, rendant ma main poisseuse sous le soleil chaud de l'été. Ma mère était partie au marché, me donnant une glace pour m'occuper, et mon père, quant à lui, en bon col blanc, était parti travailler depuis ce que je pensais à l'époque, être une éternité. Et je crois que c'est là, que tout a vraiment commencé entre nous. Ye Eun était arrivée la première, elle m'a observé sans rien dire pendant un moment, les sourcils froncés. Qu'est-ce qu'elle était moche, soit dit en passant. (Par malheur), nos regards se sont croisés, et c'est là qu'elle a commencé à pester. "C'est du gâchis ! Si t'en voulais pas fallait la donner !" J'ai gonflé mes joues, en hamster blessé "De quoi ?" Elle m'a donné une tape derrière la tête. "Ta glace ! Mais qu'est-ce que t'es bête toi !" J'ai regardé la dite friandise un instant, avant de lui tendre, timidement. Et croyez-le ou non, mais elle l'a mangé. "C'est pas bon." Avait-elle dit après en avoir fait qu'une bouchée. Vexé alors, d'abord à cause de son commentaire et en suite, parce que du coup, je n'avais plus de glace (oui parce qu'en fait j'en voulais) je me suis mis à pleurer. Inconsolable. C'est alors qu'Han Ja est arrivé, en chevalier servant, comme à son habitude. Il s'était jeté sur la gamine sans ménagement, les deux roulants parterre pendant que moi, je pleurais encore. "Toujours tu fais pleurer Seung Woo !" Elle a hurlé "Il pleure tout le temps ce bébé !" Il fallut près de cinq minutes de cris et de pleurs, pour que l'une des mères des deux enfants n'intervienne, les séparant d'un coup d'un seul, demandant le pourquoi du comment.  Han Ja accusa Ye Eun d'avoir volé le cône, et comme d'habitude, elle se fit punir pour une chose qu'elle n'avait pas réellement fait. C'était un jour comme un autre, comme il y en avait des milliers à l'époque...

C'est à mes onze ans que j'ai compris ce que je voulais faire à l'avenir. Lorsqu'elle est tombée malade. Une maladie pas vraiment drôle, une maladie difficile à guérir, l'obligeant à rester au lit, sous surveillance médicale régulière. Han Ja et moi allions la voir tous les soirs après l'école, après tout, malgré son mauvais caractère, Ye Eun avait toujours été notre amie la plus chère. Mais un soir, je me suis retrouvé seul avec elle, Han Ja étant parti au cinéma avec sa mère et son père, leur soirée familiale mensuelle obligatoire. C'était la première fois que j'étais réellement seul avec elle, aussi, je n'avais pas vraiment su quoi lui dire. Alors je suis resté silencieux, allongé à côté d'elle, dans son lit. Elle ne disait rien, elle fixait le plafond, et pour la première fois, je décelai en elle, un côté fragile qui avant, n'avait jamais semblé exister. Je l'ai entendu renifler, pour une fois, ce n'était pas moi qui pleurait. Elle a posé son regard bouffi vers moi, et, habituellement moche, je l'ai trouvé plutôt jolie. "J'pleurs pas ok ?" D'expérience, je savais qu'il ne fallait jamais contrarier une fille, alors j'ai acquiescé d'un signe insistant de la tête. Mais là, elle a éclaté en sanglots, mon coeur a raté un battement. Sa mère m'avait dit un jour, que si elle ne guérissait pas, elle pourrait partir, ne plus jamais revenir, et quelque part, ça me terrifiais.  "Je vais devenir médecin, et je te guérirais. Je te le promet..."Et là, ses doigts ont glissés entre les miens, et on a arrêté de parler. Mon coeur lui, a fait un truc que je ne saurais pas expliqué. Du moins, pas à l'époque, trop jeune, j'étais beaucoup trop jeune. Mais le fait est, que j'avais du mal à le faire taire, tellement il grondait dans ma poitrine...

Mon coeur s'est brisé pour la première fois à quinze ans. Je revenais de mon cours de violon, la nuit tombée depuis des heures déjà. Rejoins par Han Ja, qui lui aussi sortait d'un cours du soir. Et c'est là qu'on l'a vue... Sous la lumière d'un lampadaire, le visage levé, les lèvres entrelacées avec celles d'un garçon ne venant même pas du même quartier. Ma main s'était alors serrées autour de la hanse de mon étui à violon, mes lèvres se sont pincées, mes sourcils se sont légèrement arqués. J'ai compris que depuis tout ce temps, je l'aimais. Et alors que je comprenais enfin, on me l'enlevait. Han Ja, d'abord excité, s'était esclaffé, et lorsqu'il s'était tourné vers moi, il a compris de suite. Il a posé une main sur mon épaule, mais ne m'a rien dit. Après ce soir là, j'ai eu un passage à vide, où nos soirées étaient quelques peu différentes. Je n'arrivais pas à m'empêcher de penser que quelqu'un avait touché ses lèvres. Aussi je restai silencieux la plupart du temps, mais elle ne le voyait pas, comme c'était une habitude chez moi. La frustration a fini par passer, probablement parce qu'elle avait fini par le quitter, ou tout simplement, parce que j'avais pris l'habitude, de ne pas être celui qui la faisait vibrer.

A mes dix huit ans, on a enfin quitté le lycée, mais loin de nous l'idée de nous séparer. Nous avons choisi la même Université. Mais malgré tout, nos vies allaient changer. Elle a voulu que je m'inscrive dans une fraternité, histoire que je tente de m'intégrer par moi-même, alors c'est ce que j'ai fait. Han Ja, lui, charismatique de nature, s'était déjà forgé une réputation, formé un cercle plus large d'amis autour de lui. Ye Eun elle, resplendissait. Et même en cherchant bien, je ne pouvais plus affirmer qu'elle était moche. Jamais. Elle hantait toujours mes pensées les plus profondes. Non pas que ça me dérangeait, mais quand même, j'espérais un peu qu'elle disparaisse. Rien qu'une seconde, une seule minuscule seconde, histoire de souffler.

C'était le soir de mes vingt ans. Une soirée banale avec Ye Eun et Han Ja. Ils aimaient faire la fête, ils la faisaient même pour moi, malgré le fait que je sois avec eux. Un karaoke d'abord, des bars ensuite. Et moi, je n'avais d'yeux que pour elle, non pas que je m'en foutais d'Han Ja, mais elle était là, elle. Vers une heure du matin, Han Ja a voulu partir, parce qu'une fille lui avait fait de l'oeil, et du coup, il fallait qu'il y aille, c'était une évidence. Ye Eun avait un coup dans l'nez, elle faisait ça parfois, bien que je n'appréciais pas. Elle me disait souvent "T'as rien à dire toi !" Je levais les yeux au ciel Ouais je sais merci Et vu qu'elle ne tenait pas debout, je l'ai ramené au dortoir, mon chez moi. Je lui ai enlevé ses chaussures, l'ai allongée dans mon lit, me suis posé à ses côtés. Il n'y avait pas de mal, depuis petits on le faisait, et ça ne nous avait jamais perturbé. Et alors elle a pris ma main, elle ne l'avait plus fait depuis nos onze ans. J'ai avalé ma salive avec difficulté. Je me suis tourné vers elle, l'étudiante semblait avoir repris ses esprits. "Tu t'souviens ?" Je me suis redressé. "Que t'as failli mourir ?" Elle a soupiré. "Non imbécile. Qu'on a déjà fait ça avant. Une fois." Mais bien entendu, que je m'en souvenais. Et alors, il s'est passé quelque chose à ce moment là, son regard a plongé dans le mien, un regard que je n'avais jamais vu auparavant, et dont je désespérais ne jamais avoir pour moi. Mais alors que je me sentais prêt, elle s'est soudainement redressée. Pas réellement pour faire ce que j'avais tant espéré. Elle vomissait...

Et maintenant, rien a changé. J'ai juste vieilli de quelques années, j'ai un peu abandonné l'idée d'un jour pouvoir former un couple avec Ye Eun. Mais je ne désespère pas de trouver quelqu'un un jour, quand je l'aurai oubliée. Et oui je sais, j'avais dit que je ne parlerais pas de notre histoire, à Han Ja, Ye Eun et moi. Mais réfléchissez un instant, analysez. Comment ne pas parler d'elle, alors que tout ce que j'ai fait depuis que nous sommes nés, c'est pour elle...
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 12:27
Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous
amuse toi bien ici !!
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 12:39
Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous :plz:
quel bon choix de vava :cute:
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 13:13
Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous :heart: à mon désarroi cette fiche est encore trop vide d'infos :hansa: hâte d'en savoir plus sur ton monsieur, bon courage pour ta fiche :06: et quel bon choix d'avatar :bave:
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 13:16
Citer EditerSupprimer
ce choix d'avatar :faint: :plz:
bienvenue ici :heart: et bon courage pur ta fiche :hug:
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 13:17
Citer EditerSupprimer
Vous apparaissez trop vite sur cette fiche purée ! :oo:

Merciiiiii :bang2: :han:
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 13:30
Citer EditerSupprimer
ce choix d'avatar :heart:
bienvenue par ici :hot:
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Kong Yeong Hun
Misery Tumblr_inline_mwbop7PDN21r8evev

Pseudo : Helvia
Célébrité : Lee Ju Yeon (THE BOYZ)
Messages : 26375
Âge : 25
 http://www.shaketheworld.net/t25924-kong-yeong-hun-dancing-till-http://www.shaketheworld.net/t25944p20-kong-yeong-hunhttp://www.shaketheworld.net/t20742-helvia-shall-we
Re: Misery | Dim 3 Mai - 13:43
Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous :heart:
Bon courage pour ta fiche :plz:

________________________________

head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: Misery | Dim 3 Mai - 20:12
Citer EditerSupprimer
Voila je peux enfin passer, bienvenue ici :06:
Contenu sponsorisé
 
Re: Misery | 
Citer EditerSupprimer

Une petite réponse rapide