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Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true
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Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 1:24
Tenue + Ce matin je me suis réveillée dans le lit de Su Ah. On a passé la nuit à discuter d’un peu de tout. Surtout de garçon je dois l’avouer. C’est un sujet qui revient de plus en plus souvent en ce moment sans trop que je ne comprenne pourquoi. Enfin si je sais. La jeune fille est amoureuse. Ma Su est amoureuse … Rien que de me dire j’ai des frissons qui me parcours tout le corps. J’ai peur pour elle et en même temps, je n’ai qu’une envie, l’encourager, l’encourager pour qu’elle soit heureuse avec lui … Je le sais qu’il l’aime aussi, je sais qu’il est le garçon parfait pour elle. Je veux dire … Je le connais assez pour savoir que c’est un garçon qui ne lui fera pas de mal, il ne va pas jouer avec elle, il ne va pas lui dire qu’il l’aime et la laisser le lendemain. Si c’était un plan cul qu’il voulait il ne reviendrait pas sans cesse vers elle. Ils sont attiré l’un par l’autre comme des aimants. C’est plus fort qu’eux, et quand ils sont trop proches ils se repoussent … mais c’est pour mieux s’attirer un peu plus la prochaine fois … Ils sont mignons dans un sens, et ils font mal au cœur, mais ils ont l’air de plutôt bien gérer … Je ne connais pas trop leur histoire, seuls les quelques bribes qu’ils arrivent à me lâcher de temps en temps … Et je ne cherche pas à en savoir d’avantage. Ça viendra avec le temps et je me contente de prendre ce qu’ils me donnent. Et parfois je me demande si un jour, moi aussi, je pourrais parler de ça avec Su Ah. Si j’aurais de quoi lui dire. Quelque chose d’intéressant à lui raconter. Il y a bien Ji Ho, le seul homme actuellement dans ma vie qui réussisse à me sortir mon ex de la tête. Il y a Meilan aussi, avec son sourire doux et ces fou rire qu’on a tous les deux. Mais quand on goûte au plaisir de la chair, c’est surtout doux et calme, avec Ji Ho c’est différent. C’est arrivé très peu souvent, mais chaque fois je regrette. Pas de l’avoir fait avec lui, mais d’avoir craqué encore avec un homme qui n’est pas amoureux de moi.
Ça peut paraitre bête pas vrai ? Je ne suis pas spécialement de la vieille école, ni même fleur bleu ou romantique, mais j’ai l’impression de me perdre en couchant avec des garçons qui ne sont ni mes petits amis, ni même intéressé dans le fait de construire quelque chose avec moi. Meilan est toujours amoureux de son ex, et Ji Ho … c’est Ji Ho. Il n’est pas le genre d’homme à se contenter d’une femme. Je ne sais même pas s’il est capable de tomber amoureux. S’il le fait, je ne pense pas être la fille suffisamment intéressante à son goût pour le faire craquer. Il se fou de tout, et de moi la première je crois. Pourtant on partage beaucoup de choses tous les deux. A commencer par la passion de la mécanique. Je crois que je n’ai jamais passé autant d’heures sur une voiture qu’avec lui. Mes frères se lassent trop rapidement à mon goût et je finis toujours toute seule avec mes bouquins à galérer pour savoir comment se monte le moteur. Alors j’ai finis par rencontrer Ji Ho et il m’apprend, tout ce que je veux savoir, sur les voitures. En échange … enfin au début, c’était le deal. Il m’apprenait ce que je voulais savoir mais en contrepartie il fallait que je l’aide à retaper ces vieilles bagnoles. Maintenant, je crois qu’on en est même plus. On retape juste ces voitures en riant et basta. On profite juste de l’instant présent et le reste on s’en fou un peu. J’ai enfilé un short blanc et débardeur court blanc, histoire d’aller avec mes baskets montante blanches aussi. Ce n’est pas franchement la couleur qu’il faut mettre pour aller dans un garage, mais ça ne pose pas de soucis puisque j’ai une combinaison qui m’attend même là-bas. C’est marrant, la première fois que j’ai laissé des affaires à moi dans son casier j’avais l’impression de laisser des vêtements chez mon petit ami. Vous savez cette sensation que la relation prend un tournant plus sérieux. C’était la même sensation que j’avais. Finalement ces cours avaient quelque chose de plus concret dans notre amitié et c’était rassurant quelque part. Je ne l’imaginais pas tout balancer sur le trottoir et tirer un trait sur moi juste comme ça. Mais j’avais si peu foi en la nature humaine que je pensais que tout était possible.
J’inspirais doucement en avançant vers le garage, j’avais rendez-vous avec Ji Ho, il avait une surprise pour moi apparemment. En arrivant j’aperçu un homme surement là pour demander conseil à Ji Ho, il était plutôt connu dans le quartier pour ses talents de mécano. Je m’avançais vers le bureau du fond « Ji Ho, je suis là. » je pourrais me faire discrète, mais ce n’est pas moi. Une bâche recouvre une voiture et je crève d’envie de voir ce qu’il y a en dessous. Je m’en approche discrètement et tâte la bâche. Je sais qu’il va râler si je la soulève maintenant. L’homme me sourit en m’observe tourner autour de cette voiture. Je lui rends un regard qu’il ne pourrait pas trop déchiffrer. Un fin sourire étire mes lèvres. J’ai l’air de rentrer dans son jeu, comme de m’en foutre. Il a l’air indécis, sans trop savoir sur qu’il pied danser. J’agis comme si je ne le voyais pas, pourtant je sais qu’il me regarde et ça me fait rire. J’agis ainsi seulement parce que je sais que Ji Ho est dans le coin. Je ne risque rien. Je dégage ma nuque et attache mes cheveux dans une queue de cheval basse en rivant mes yeux sur la bâche de la voiture. C’est ça ma surprise ?
Ça peut paraitre bête pas vrai ? Je ne suis pas spécialement de la vieille école, ni même fleur bleu ou romantique, mais j’ai l’impression de me perdre en couchant avec des garçons qui ne sont ni mes petits amis, ni même intéressé dans le fait de construire quelque chose avec moi. Meilan est toujours amoureux de son ex, et Ji Ho … c’est Ji Ho. Il n’est pas le genre d’homme à se contenter d’une femme. Je ne sais même pas s’il est capable de tomber amoureux. S’il le fait, je ne pense pas être la fille suffisamment intéressante à son goût pour le faire craquer. Il se fou de tout, et de moi la première je crois. Pourtant on partage beaucoup de choses tous les deux. A commencer par la passion de la mécanique. Je crois que je n’ai jamais passé autant d’heures sur une voiture qu’avec lui. Mes frères se lassent trop rapidement à mon goût et je finis toujours toute seule avec mes bouquins à galérer pour savoir comment se monte le moteur. Alors j’ai finis par rencontrer Ji Ho et il m’apprend, tout ce que je veux savoir, sur les voitures. En échange … enfin au début, c’était le deal. Il m’apprenait ce que je voulais savoir mais en contrepartie il fallait que je l’aide à retaper ces vieilles bagnoles. Maintenant, je crois qu’on en est même plus. On retape juste ces voitures en riant et basta. On profite juste de l’instant présent et le reste on s’en fou un peu. J’ai enfilé un short blanc et débardeur court blanc, histoire d’aller avec mes baskets montante blanches aussi. Ce n’est pas franchement la couleur qu’il faut mettre pour aller dans un garage, mais ça ne pose pas de soucis puisque j’ai une combinaison qui m’attend même là-bas. C’est marrant, la première fois que j’ai laissé des affaires à moi dans son casier j’avais l’impression de laisser des vêtements chez mon petit ami. Vous savez cette sensation que la relation prend un tournant plus sérieux. C’était la même sensation que j’avais. Finalement ces cours avaient quelque chose de plus concret dans notre amitié et c’était rassurant quelque part. Je ne l’imaginais pas tout balancer sur le trottoir et tirer un trait sur moi juste comme ça. Mais j’avais si peu foi en la nature humaine que je pensais que tout était possible.
J’inspirais doucement en avançant vers le garage, j’avais rendez-vous avec Ji Ho, il avait une surprise pour moi apparemment. En arrivant j’aperçu un homme surement là pour demander conseil à Ji Ho, il était plutôt connu dans le quartier pour ses talents de mécano. Je m’avançais vers le bureau du fond « Ji Ho, je suis là. » je pourrais me faire discrète, mais ce n’est pas moi. Une bâche recouvre une voiture et je crève d’envie de voir ce qu’il y a en dessous. Je m’en approche discrètement et tâte la bâche. Je sais qu’il va râler si je la soulève maintenant. L’homme me sourit en m’observe tourner autour de cette voiture. Je lui rends un regard qu’il ne pourrait pas trop déchiffrer. Un fin sourire étire mes lèvres. J’ai l’air de rentrer dans son jeu, comme de m’en foutre. Il a l’air indécis, sans trop savoir sur qu’il pied danser. J’agis comme si je ne le voyais pas, pourtant je sais qu’il me regarde et ça me fait rire. J’agis ainsi seulement parce que je sais que Ji Ho est dans le coin. Je ne risque rien. Je dégage ma nuque et attache mes cheveux dans une queue de cheval basse en rivant mes yeux sur la bâche de la voiture. C’est ça ma surprise ?
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 2:03 
Mon garage… Oui j’utilise un pronom possessif car bien qu’il soit à mon nom, mon boss ne vient jamais. Contrairement à tous ces endroits où l’on vient faire réparer ses essuies glasses ou faire une vidange, chez nous, on répare des voitures de collection, on les sort de leur tombe, on leur offre une seconde vie et l’on n’ouvre que sur rendez-vous. Bien évidemment, nous avons des délais mais relativement long afin de me laisser le temps d’allier cours et mécanique. Ici c’est un peu l’enfer sur terre, un amas de tôles, de métal, de peinture fraiche, des outils un peu partout sur un sol lisse. J’aime être ici, je me sent… Vivant… Comme-ci… Je ne sais pas, il y avait une autre réalité possible dans ce monde où l’on veut tout, tout de suite. A vrais dire, j’ai emmené moins de femmes ici que dans mon lit. C’est beaucoup plus intime, un monde d’hommes, des passions clairement masculines, un lieu de vice en réalité… Qui n’a jamais fantasmé devant le magnifique cul d’une Shelby Gt 500 ? Devant les courbes oh combien sensuelles d’une Mustang de 1965… Caressé non sans un léger tremblement la carrosserie d’une Gran Torino tout en s’asseyant en s’allongeant à bord d’une Cadillac décapotable de 1974. La mécanique c’est sensuel… C’est comme une belle femme alors… On ne peut pas la partager et pourtant… Figurez-vous qu’il y a cette fille… Su Nah… Celle dont je pensais me débarrasser quand elle s’est ramené ici la première fois. Tu veux de l’aide pour ta caisse ? Ouais… ben vas donc décrasser le moteur de ce tas de poussière que l’on vient de me ramener. Quoi ? Tu as finit ? Hmm… Vas nettoyer les enjoliveurs… Et petit à petit… Malgré des taches pas vraiment très intéressantes, je lui ai montré comment installer son carburateur, jugeant qu’elle l’avait mérité et qu’ainsi, elle disparaitrait totalement.
Elle est revenue plusieurs fois, parfois pour aider, d’autres fois pour des conseils et finalement… je crois que je l’aime bien. Oui… Je sais, m’entendre dire ce genre de chose, cela ne me ressemble pas… La plupart du temps je conchie la race humaine et pour une fois, je fais une exception, n’attendez pas plus de ma part. Alors certes, il est arrivé que l’on couche ensemble… oui… Et d’ailleurs c’est elle qui l’a voulu la première fois avant de disparaitre totalement… Je vous jure… Les femmes et le sexe… Comment leur dire qu’avec moi c’est simplement pour le plaisir et rien d’autre ? L’amour ? Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? Mon père était amoureux de ma mère… Quand elle s’est cassé au Japon parce que la Corée c’était plus sa tasse de thé… C’était utile l’amour… Surtout avec un travail de misère et deux gamins à charges… Si mon père n’aurais pas été amoureux, peut-être qu’il serait encore vivant et qu’il aurait eu une vie heureuse… Vous voulez mon avis ? L’amour c’est juste un truc que l’on a inventé pour que les gens n’aient pas l’impression d’avoir vécu une vie sans intérêt… Rien de plus…
Su Nah semblait comme ça et il avait fallu que j’aille la chercher, pas par pitié ni pour m’excuser mais pour tenter de lui faire passer un message, de lui faire comprendre que dans un garage, dans mon garage, il n’y a pas de limites, pas de règles, pas de code, pas de réalité… C’est une bulle ou personne ne se juge… Ce qu’il se passe ici reste ici… Et je crois qu’elle commence à comprendre. Du coup, ce jour-là, je lui ai demandé de venir. A vrais dire, je me demande encore pourquoi je suis en train de faire ce que je fais, si cette fille est spéciale ou juste parce qu’elle est douée en mécanique. Ainsi, lorsqu’elle arrive avec sa tenue… Assez sexy, je l’ignore totalement, bien trop occupé à discuter prix avec cet homme face à moi. Elle me salut, je ne lui réponds pas… Je suis comme ça… J’aurais tout le temps de la saluer plus tard. Elle fait alors le tour de la voiture bâché… l’homme la fixe avant que je ne sorte quelques billets de mon portefeuille pour les lui donner. Je le regarde alors partir du regard et me retourne vers elle, croisant les bras.
« Su Nah… On ne touche pas… »
Je m’avance vers elle et pose mes mains sur ses épaules avant de les faire remonter le long de son visage pour les poser sur ses yeux. Une fois qu’elle semble avoir compris, je retire mes mains, lui signifiant de rester ainsi alors que je tire d’un coup vif la bâche…
« Ouvres les yeux… »
Si Su Nah a travaillé sur de nombreux modèles… Elle n’en a jamais vu un comme ça… Une Jaguar de 1954 cabriolet… Modèle XK140 en Roadster. L’un des derniers modèles encore existant… Le luxe dans toute sa splendeur bien que ce qui se présente face à elle ressemble plus à une carcasse bosselé qu’à une voiture de sport. Je souris et croise à nouveau les bras.
« Je suis tombé là-dessus il y a trois mois… Et si à la base je ne pensais pas l’acheter car il y a beaucoup trop de travail je me disais qu’on pourrait le faire ensemble… Et genre… Si on le finit un jour… je te le prêterais pour que t’ailles draguer ces types-là qui se mettent du vernis à ongle et du crayon autour des yeux… Ces mâles quoi… »
Oui j’ai des soucis avec les hommes un peu efféminés… Enfin avec 80% des hommes quoi… Mais bon… Je suis comme ça… Elle le sait… Et encore… je me trouve vachement sympa aujourd’hui !
.
Su Nah & Ji Ho ❥ " Mais quel cul ! Non... je parle de la Jaguar là... "
Mon garage… Oui j’utilise un pronom possessif car bien qu’il soit à mon nom, mon boss ne vient jamais. Contrairement à tous ces endroits où l’on vient faire réparer ses essuies glasses ou faire une vidange, chez nous, on répare des voitures de collection, on les sort de leur tombe, on leur offre une seconde vie et l’on n’ouvre que sur rendez-vous. Bien évidemment, nous avons des délais mais relativement long afin de me laisser le temps d’allier cours et mécanique. Ici c’est un peu l’enfer sur terre, un amas de tôles, de métal, de peinture fraiche, des outils un peu partout sur un sol lisse. J’aime être ici, je me sent… Vivant… Comme-ci… Je ne sais pas, il y avait une autre réalité possible dans ce monde où l’on veut tout, tout de suite. A vrais dire, j’ai emmené moins de femmes ici que dans mon lit. C’est beaucoup plus intime, un monde d’hommes, des passions clairement masculines, un lieu de vice en réalité… Qui n’a jamais fantasmé devant le magnifique cul d’une Shelby Gt 500 ? Devant les courbes oh combien sensuelles d’une Mustang de 1965… Caressé non sans un léger tremblement la carrosserie d’une Gran Torino tout en s’asseyant en s’allongeant à bord d’une Cadillac décapotable de 1974. La mécanique c’est sensuel… C’est comme une belle femme alors… On ne peut pas la partager et pourtant… Figurez-vous qu’il y a cette fille… Su Nah… Celle dont je pensais me débarrasser quand elle s’est ramené ici la première fois. Tu veux de l’aide pour ta caisse ? Ouais… ben vas donc décrasser le moteur de ce tas de poussière que l’on vient de me ramener. Quoi ? Tu as finit ? Hmm… Vas nettoyer les enjoliveurs… Et petit à petit… Malgré des taches pas vraiment très intéressantes, je lui ai montré comment installer son carburateur, jugeant qu’elle l’avait mérité et qu’ainsi, elle disparaitrait totalement.
Elle est revenue plusieurs fois, parfois pour aider, d’autres fois pour des conseils et finalement… je crois que je l’aime bien. Oui… Je sais, m’entendre dire ce genre de chose, cela ne me ressemble pas… La plupart du temps je conchie la race humaine et pour une fois, je fais une exception, n’attendez pas plus de ma part. Alors certes, il est arrivé que l’on couche ensemble… oui… Et d’ailleurs c’est elle qui l’a voulu la première fois avant de disparaitre totalement… Je vous jure… Les femmes et le sexe… Comment leur dire qu’avec moi c’est simplement pour le plaisir et rien d’autre ? L’amour ? Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? Mon père était amoureux de ma mère… Quand elle s’est cassé au Japon parce que la Corée c’était plus sa tasse de thé… C’était utile l’amour… Surtout avec un travail de misère et deux gamins à charges… Si mon père n’aurais pas été amoureux, peut-être qu’il serait encore vivant et qu’il aurait eu une vie heureuse… Vous voulez mon avis ? L’amour c’est juste un truc que l’on a inventé pour que les gens n’aient pas l’impression d’avoir vécu une vie sans intérêt… Rien de plus…
Su Nah semblait comme ça et il avait fallu que j’aille la chercher, pas par pitié ni pour m’excuser mais pour tenter de lui faire passer un message, de lui faire comprendre que dans un garage, dans mon garage, il n’y a pas de limites, pas de règles, pas de code, pas de réalité… C’est une bulle ou personne ne se juge… Ce qu’il se passe ici reste ici… Et je crois qu’elle commence à comprendre. Du coup, ce jour-là, je lui ai demandé de venir. A vrais dire, je me demande encore pourquoi je suis en train de faire ce que je fais, si cette fille est spéciale ou juste parce qu’elle est douée en mécanique. Ainsi, lorsqu’elle arrive avec sa tenue… Assez sexy, je l’ignore totalement, bien trop occupé à discuter prix avec cet homme face à moi. Elle me salut, je ne lui réponds pas… Je suis comme ça… J’aurais tout le temps de la saluer plus tard. Elle fait alors le tour de la voiture bâché… l’homme la fixe avant que je ne sorte quelques billets de mon portefeuille pour les lui donner. Je le regarde alors partir du regard et me retourne vers elle, croisant les bras.
« Su Nah… On ne touche pas… »
Je m’avance vers elle et pose mes mains sur ses épaules avant de les faire remonter le long de son visage pour les poser sur ses yeux. Une fois qu’elle semble avoir compris, je retire mes mains, lui signifiant de rester ainsi alors que je tire d’un coup vif la bâche…
« Ouvres les yeux… »
Si Su Nah a travaillé sur de nombreux modèles… Elle n’en a jamais vu un comme ça… Une Jaguar de 1954 cabriolet… Modèle XK140 en Roadster. L’un des derniers modèles encore existant… Le luxe dans toute sa splendeur bien que ce qui se présente face à elle ressemble plus à une carcasse bosselé qu’à une voiture de sport. Je souris et croise à nouveau les bras.
« Je suis tombé là-dessus il y a trois mois… Et si à la base je ne pensais pas l’acheter car il y a beaucoup trop de travail je me disais qu’on pourrait le faire ensemble… Et genre… Si on le finit un jour… je te le prêterais pour que t’ailles draguer ces types-là qui se mettent du vernis à ongle et du crayon autour des yeux… Ces mâles quoi… »
Oui j’ai des soucis avec les hommes un peu efféminés… Enfin avec 80% des hommes quoi… Mais bon… Je suis comme ça… Elle le sait… Et encore… je me trouve vachement sympa aujourd’hui !
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©clever love.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 3:08
Tenue + J’affiche une moue presque boudeuse quand il me dit de ne pas toucher. Sa voix grave et son visage presque inexpressif ne m’aide pas à sa voir ce qui peut se cacher sous cette bâche. Je la fixe en plissant des yeux, incertaines. Je suis sûre que je vais aimer. Je peux déjà deviner un cabriolet, juste parce que la bâche s’affaisse un peu. J’ai vraiment hâte de savoir ce qu’il me cache et je meus d’impatience de soulever le tissu. La patience n’a jamais été mon fort. Vraiment. Je les regarde procéder à un échange, cet homme doit lui avoir vendu une belle voiture pour une bouchée de pain. Comme beaucoup, ils ne savent pas la valeur de ce bout de ferraille. Ils pensent faire une affaire en se débarrassant de la voiture pour le prix d’une bouchée de pain, et bien évidemment Ji Ho se garde bien de leur dire qu’ils pourraient revendre leur bijou dix fois le prix seulement s’ils la retapaient un peu. Et j’étais bien contente qu’il le fasse. Parce que je pouvais toucher ces petits trésors et bosser dessus sans voir le temps passer. Parfois il m’arrive de sortir de son garage à la nuit tombée. Souvent il me ramène et d’autres fois je rentre à pied. Ça n’a rien de dérangeant, j’aime marcher la nuit, avec de la musique et les bonnes chaussures ça faisait un bien fou. Et j’étais toujours détendue en sortant de ce garage. Il avait quelque chose de particulier. L’odeur, l’ambiance, la faible lumière que dégageait cette lampe accrochée négligemment au capot de la voiture. C’était un tout.
Su Ah râlait souvent quand je rentrais avec du cambouis sur le visage et plein les mains. C’est vrai que j’avais un mal fou à l’enlever. Quand je passais des jours entiers avec Ji Ho je pouvais être sûre que la crasse s’incrustait sous ma peau. J’avais beau me faire de jolies ongles manucurés ils finissaient toujours recouvert de noir. Mais je m’en moquais, ça n’avait pas d’importance et toucher une voiture avec des gants c’est comme faire une fellation avec une capote. Vous voyez combien le plaisir est gâché ? C’est frustrant, dérangeant et franchement nase. Et une voiture ça se bichonne, on en prend soin, et entendre son moteur ronronner … ça vaut tous les orgasmes du monde. D’ailleurs en parlant de ça, c’est le soir où on a enfin réussis à faire démarrer la première voiture sur laquelle on a bossé à deux que je me suis jetée sur Ji Ho. C’est vrai je l’avoue c’est moi … Mais je n’ai pas su résister au noir de ses joues, à son débardeur qui laissait voir ses épaules musclés et ses bras … ses bras si finement dessiné. Et puis il noue toujours sa combinaison autour de la taille, lui dessinant un torse en v. Je n’avais même pas l’excuse de l’alcool ce soir-là. Juste … de l’envie pur et simple. L’euphorie d’avoir enfin fait fonctionner ce moteur sur lequel on bossait depuis des jours, peut-être même des semaines, m’était monté à la tête et je l’avais embrassé à en perdre le souffle. J’aurais pu en avoir honte et partir en courant me cacher, mais il avait souri et il m’avait répondu avec la même intensité. Putain, si mes frères apprennent que je me suis envoyé en l’air avec lui ils vont débarquer dans ce garage et tout casser, la gueule de Ji Ho en premier.
Mais comme le jeune vert me le dit si bien, ce garage, son garage, est une bulle hermétique. Personne ne juge, personne ne contrôle personne. On est libre. Et c’est le seul endroit sur terre où je sens combien c’est vrai. Ici je suis libre de tout. J’ai mis du temps à revenir, même après ses explications j’avais besoin de temps pour ne pas trouver ça … bête. J’avais honte dont ne sait quoi … J’avais finis par laisser outre ce que je ressentais et me contenter du plaisir de la mécanique. Et puis j’apprenais tellement avec lui que mes frères en étaient bluffés. J’étais plutôt fière d’être de plus en plus calée sur le sujet et ça se voyait à mon sourire. Je gardais les yeux fermés aussi longtemps qu’il me le demandait et quand il retira la bâche je ne pus retenir un hoquet de surprise devant la merveille qu’il me montrait. « Oh mon dieu Ji Ho t’es sérieux !? Une jagar de 55 !! Y en a presque plus de modèls comme ca !» N’importe qu’elle fille aurait grimacé devant ce tas de ferrailles. Ne lui trouvant que peu d’intérêt. Mais moi je savais, moi je savais quelle beauté elle pouvait cacher. Je m’approchais rapidement de la carcasse pour la sentir vibrer sous mes doigts. Je tournais autour avec des yeux surpris et gourmand. J’étais impatiente de voir ce qu’elle recelait dans ses tripes. J’éclatais de rire à la remarque de Ji Ho « Parce que tu crois qu’un homme va être impressionné de me voir au volant de cette voiture ?! Ils vont surtout aller se remaquiller et fuir mes doigts sales. » J’agitais mes doigts dans sa direction pour lui montrer le cambouis qui partait difficilement, il pouvait le savoir vu qu’il avait les mêmes.
Je me penchais en avant pour admirer ses courbes et sa ligne droite. La carrosserie est abîmée ici et là, mais rien qu’on ne peut pas redresser. Ça va être un bijou. « Toi ma jolie on va prendre soin de toi … tu vas être belle. » lui murmurais-je en laissant mes doigts trainer sur les arrêtes de son capot. « Et le moteur est dans quel état ? » Je pose me regard sur Ji Ho en me penchant doucement en avant pour m’appuyer sur le capot, je sens que cette voiture ma faire de moi une femme comblée « En tout cas je note que tu es prêt à me prêter ce petit bijou une fois réparé. J’apprécie l’attention. » Je souris amusée en me redressant et m’approche du jeune homme pour avoir le même point de vu que lui sur notre futur bébé. « On va l’appeler comment celle-là ? » Oui, j’étais sérieuse. Je donnais toujours un nom au voiture qu’on réparait, après tout on passait du temps avec elles, on finissait toujours par s’attacher.
Su Ah râlait souvent quand je rentrais avec du cambouis sur le visage et plein les mains. C’est vrai que j’avais un mal fou à l’enlever. Quand je passais des jours entiers avec Ji Ho je pouvais être sûre que la crasse s’incrustait sous ma peau. J’avais beau me faire de jolies ongles manucurés ils finissaient toujours recouvert de noir. Mais je m’en moquais, ça n’avait pas d’importance et toucher une voiture avec des gants c’est comme faire une fellation avec une capote. Vous voyez combien le plaisir est gâché ? C’est frustrant, dérangeant et franchement nase. Et une voiture ça se bichonne, on en prend soin, et entendre son moteur ronronner … ça vaut tous les orgasmes du monde. D’ailleurs en parlant de ça, c’est le soir où on a enfin réussis à faire démarrer la première voiture sur laquelle on a bossé à deux que je me suis jetée sur Ji Ho. C’est vrai je l’avoue c’est moi … Mais je n’ai pas su résister au noir de ses joues, à son débardeur qui laissait voir ses épaules musclés et ses bras … ses bras si finement dessiné. Et puis il noue toujours sa combinaison autour de la taille, lui dessinant un torse en v. Je n’avais même pas l’excuse de l’alcool ce soir-là. Juste … de l’envie pur et simple. L’euphorie d’avoir enfin fait fonctionner ce moteur sur lequel on bossait depuis des jours, peut-être même des semaines, m’était monté à la tête et je l’avais embrassé à en perdre le souffle. J’aurais pu en avoir honte et partir en courant me cacher, mais il avait souri et il m’avait répondu avec la même intensité. Putain, si mes frères apprennent que je me suis envoyé en l’air avec lui ils vont débarquer dans ce garage et tout casser, la gueule de Ji Ho en premier.
Mais comme le jeune vert me le dit si bien, ce garage, son garage, est une bulle hermétique. Personne ne juge, personne ne contrôle personne. On est libre. Et c’est le seul endroit sur terre où je sens combien c’est vrai. Ici je suis libre de tout. J’ai mis du temps à revenir, même après ses explications j’avais besoin de temps pour ne pas trouver ça … bête. J’avais honte dont ne sait quoi … J’avais finis par laisser outre ce que je ressentais et me contenter du plaisir de la mécanique. Et puis j’apprenais tellement avec lui que mes frères en étaient bluffés. J’étais plutôt fière d’être de plus en plus calée sur le sujet et ça se voyait à mon sourire. Je gardais les yeux fermés aussi longtemps qu’il me le demandait et quand il retira la bâche je ne pus retenir un hoquet de surprise devant la merveille qu’il me montrait. « Oh mon dieu Ji Ho t’es sérieux !? Une jagar de 55 !! Y en a presque plus de modèls comme ca !» N’importe qu’elle fille aurait grimacé devant ce tas de ferrailles. Ne lui trouvant que peu d’intérêt. Mais moi je savais, moi je savais quelle beauté elle pouvait cacher. Je m’approchais rapidement de la carcasse pour la sentir vibrer sous mes doigts. Je tournais autour avec des yeux surpris et gourmand. J’étais impatiente de voir ce qu’elle recelait dans ses tripes. J’éclatais de rire à la remarque de Ji Ho « Parce que tu crois qu’un homme va être impressionné de me voir au volant de cette voiture ?! Ils vont surtout aller se remaquiller et fuir mes doigts sales. » J’agitais mes doigts dans sa direction pour lui montrer le cambouis qui partait difficilement, il pouvait le savoir vu qu’il avait les mêmes.
Je me penchais en avant pour admirer ses courbes et sa ligne droite. La carrosserie est abîmée ici et là, mais rien qu’on ne peut pas redresser. Ça va être un bijou. « Toi ma jolie on va prendre soin de toi … tu vas être belle. » lui murmurais-je en laissant mes doigts trainer sur les arrêtes de son capot. « Et le moteur est dans quel état ? » Je pose me regard sur Ji Ho en me penchant doucement en avant pour m’appuyer sur le capot, je sens que cette voiture ma faire de moi une femme comblée « En tout cas je note que tu es prêt à me prêter ce petit bijou une fois réparé. J’apprécie l’attention. » Je souris amusée en me redressant et m’approche du jeune homme pour avoir le même point de vu que lui sur notre futur bébé. « On va l’appeler comment celle-là ? » Oui, j’étais sérieuse. Je donnais toujours un nom au voiture qu’on réparait, après tout on passait du temps avec elles, on finissait toujours par s’attacher.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 13:37
Su Nah n’est pas le genre de fille avec qui je passe du temps, du moins, c’est ce que je croyais à la base, m’expliquant à moi-même qu’une fois que je lui aurais donné les informations dont elle avait besoin, elle débarrasserait le planché aussi rapidement que mes clients lorsque je leur remet les clefs de leurs nouvelles voitures. Pourtant, elle était revenue, elle avait soif d’apprendre et si je ne suis pas spécialement fait pour être enseignant du fait de mon absence totale de patience, je crois bien que je lui plais ou tout du moins, que le monde dans lequel je vis l’attire. A vrais dire, je ne sais rien de Su Nah, à part que son père était pilote, qu’elle a deux frères… Ou trois ? Je ne sais plus bien et qu’elle a fait le tour du monde. A vrais dire, je crois que c’est à peu près tout car jamais je ne lui ai demandé quoi que ce soit. Après il y a ces choses que l’on comprend d’un regard, le fait qu’elle est triste, malheureuse, que quelque chose l’empêche d’avancer de l’avant… Oui, c’est certain… Douleur familiale ? Non… Amour… J’en suis certain… Au vue de sa façon de réagir quand on a couché ensemble… C’est probablement cela. La fille se jette sur moi et a ensuite des regrets… Je veux bien ne pas être un professionnel des relations amoureuses mais ce n’est pas un peu étrange ? Tout ce que je sais, c’est que désormais, elle est là, qu’elle passe de plus en plus souvent et que finalement je me suis adapté à sa présence.
Pourtant, ce jour-là, je compte bien l’épater et j’ai largement ce qu’il faut pour cela. Sur l’échelle de la superficialité de mes collègues, je crois que cette carcasse actuellement bâché doit valoir l’équivalent d’une montre Cartier de par sa rareté et sa beauté. Oh je ne parle pas du prix, simplement de la symbolique. A vrais dire, elle ne m’a pas couté grand-chose, les gens sont souvent intéressés lorsqu’il s’agit d’un véhicule que même les collectionneurs ne veulent plus à cause de son état. Dans ce cas, on vient me voir, on négocie et désormais… Elle est mienne…. Cette Jaguar… Celle pour laquelle je demande à Su Nah de fermer les yeux, voulant lui offrir une surprise qu’elle ne sera pas prête d’oublier. Ainsi, je tire la bâche, la laisse découvrir ce dont il s’agit. Elle ressemble à une gamine qui vient de découvrir son cadeau de noël. Elle me demande si je suis sérieux, trouvant immédiatement la date de construction de ce petit monstre tout en me rappelant qu’il n’y en a presque plus en circulation. Pourtant, je hoche simplement la tête, j’ai du mal à m’extasier de manière aussi bruyante alors je la laisse parler et regarder ce qui ressemble plus à un tas de ferraille actuellement qu’à une auto. Tel un œnologue qui s’apprête à gouter un grand cru, elle s’approche de l’épave, la touche, la caresse, ressent les vibrations… La passé de cet engin motorisé… Alors que je lui propose de bosser avec moi sur la remise en état de cette Jaguar, lui proposant de la lui prêter pour les fois où elle aura envie de draguer. Elle tente un brin d’humour alors que je la fixe, esquissant un léger sourire.
« Je parle de quand elle sera entièrement remise en état… Lustré… Pomponné… Parfaite ! Comme si j’allais te laisser sortir au volant d’une voiture qui n’est pas terminé… »
Su Nah se penche alors, j’ai un peu peur pour sa tenue blanche au vue de la saleté de cette épave… Boarf au pire, un petit coup sous le jet à haute pression et elle sera propre comme un sous neuf. Elle lui parle, je trouve ça vraiment sexy les femmes qui s’adressent à leur voiture ainsi, leur disant des mots d’amour, leur faisant des promesses. Je la laisse faire alors qu’elle caresse le capot comme elle le ferait avec le torse d’un homme. Ça a un côté érotique qui me plait bien même si Su Nah n’en maitrise pas encore toutes les ficelles. Quand elle me parle du moteur, je fais une légère mine gênée… Dans quel état…
« Hmm… Mort de chez mort…. Pour la plupart des pièces je sais ou aller mais… Le moteur en lui-même… Il va falloir le démonter entièrement… Voir ce qu’on peut garder… Enfin… A mon avis, c’est le plus gros du travail. On va devoir utiliser des pièces d’autres caisses d’années similaires car Jaguar ne produit plus ces pièces, même pour les collectionneurs… »
Et oui, sinon je n’aurais pas pu l’avoir pour une bouchée de pain. Ce genre de caisse, c’est celle sur laquelle vous passez plusieurs années, qui vous donne un but dans la vie. Elle parle, me remercie, je l’écoute à moitié, observant mon nouveau bébé alors qu’elle me demande si j’ai trouvé un nom à cette voiture. J’esquisse alors un grand sourire.
« Su Nah… On va l’appeler Su Nah… Elle est fougueuse… capricieuse, démontrant un besoin d’attention très certain, ses courbes sont fines, son habitacle… Plutôt pas mal… Lorsqu’elle sera lancée, ce sera une véritable lionne… Et puis… j’aime son joli petit cul. »
De qui je parle ? De Su Nah la mécanicienne ou de Su Nah la voiture ? Je crois que c’est les deux en fait… Je n’avais pas l’intention de donner un nom à cette jaguar mais si elle y tient, c’est fait. Je m’approche alors de nouveau de la voiture passe mon doigt sur le capos le ressortant plein de cambouis et vas chercher du papier de verre pour le lui tendre.
« Va falloir frotter pour enlever d’abord la rouille… Je ne bosse pas sur un truc aussi crade… A moins que tu ne veuilles qu’on commence par regarder le moteur ? Que l’on… soulève le capot pour…. y mettre les doigts et décoller en direction du septième ciel ? »
Est-ce que je parle de sexe ou de bagnole ? Pour moi… C’est la même chose… Alors ne soyez pas surpris, je sais que Su Nah perds parfois le fil mais… Je suis comme ça… Et si vous me demander si je préfère coucher avec une fille ou démarrer une caisse que je viens de retaper… Je dirais que je suis incapable de répondre à cette question… Les deux sont orgasmiques n’est-ce pas ?
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Su Nah & Ji Ho ❥ " Mais quel cul ! Non... je parle de la Jaguar là... "
Su Nah n’est pas le genre de fille avec qui je passe du temps, du moins, c’est ce que je croyais à la base, m’expliquant à moi-même qu’une fois que je lui aurais donné les informations dont elle avait besoin, elle débarrasserait le planché aussi rapidement que mes clients lorsque je leur remet les clefs de leurs nouvelles voitures. Pourtant, elle était revenue, elle avait soif d’apprendre et si je ne suis pas spécialement fait pour être enseignant du fait de mon absence totale de patience, je crois bien que je lui plais ou tout du moins, que le monde dans lequel je vis l’attire. A vrais dire, je ne sais rien de Su Nah, à part que son père était pilote, qu’elle a deux frères… Ou trois ? Je ne sais plus bien et qu’elle a fait le tour du monde. A vrais dire, je crois que c’est à peu près tout car jamais je ne lui ai demandé quoi que ce soit. Après il y a ces choses que l’on comprend d’un regard, le fait qu’elle est triste, malheureuse, que quelque chose l’empêche d’avancer de l’avant… Oui, c’est certain… Douleur familiale ? Non… Amour… J’en suis certain… Au vue de sa façon de réagir quand on a couché ensemble… C’est probablement cela. La fille se jette sur moi et a ensuite des regrets… Je veux bien ne pas être un professionnel des relations amoureuses mais ce n’est pas un peu étrange ? Tout ce que je sais, c’est que désormais, elle est là, qu’elle passe de plus en plus souvent et que finalement je me suis adapté à sa présence.
Pourtant, ce jour-là, je compte bien l’épater et j’ai largement ce qu’il faut pour cela. Sur l’échelle de la superficialité de mes collègues, je crois que cette carcasse actuellement bâché doit valoir l’équivalent d’une montre Cartier de par sa rareté et sa beauté. Oh je ne parle pas du prix, simplement de la symbolique. A vrais dire, elle ne m’a pas couté grand-chose, les gens sont souvent intéressés lorsqu’il s’agit d’un véhicule que même les collectionneurs ne veulent plus à cause de son état. Dans ce cas, on vient me voir, on négocie et désormais… Elle est mienne…. Cette Jaguar… Celle pour laquelle je demande à Su Nah de fermer les yeux, voulant lui offrir une surprise qu’elle ne sera pas prête d’oublier. Ainsi, je tire la bâche, la laisse découvrir ce dont il s’agit. Elle ressemble à une gamine qui vient de découvrir son cadeau de noël. Elle me demande si je suis sérieux, trouvant immédiatement la date de construction de ce petit monstre tout en me rappelant qu’il n’y en a presque plus en circulation. Pourtant, je hoche simplement la tête, j’ai du mal à m’extasier de manière aussi bruyante alors je la laisse parler et regarder ce qui ressemble plus à un tas de ferraille actuellement qu’à une auto. Tel un œnologue qui s’apprête à gouter un grand cru, elle s’approche de l’épave, la touche, la caresse, ressent les vibrations… La passé de cet engin motorisé… Alors que je lui propose de bosser avec moi sur la remise en état de cette Jaguar, lui proposant de la lui prêter pour les fois où elle aura envie de draguer. Elle tente un brin d’humour alors que je la fixe, esquissant un léger sourire.
« Je parle de quand elle sera entièrement remise en état… Lustré… Pomponné… Parfaite ! Comme si j’allais te laisser sortir au volant d’une voiture qui n’est pas terminé… »
Su Nah se penche alors, j’ai un peu peur pour sa tenue blanche au vue de la saleté de cette épave… Boarf au pire, un petit coup sous le jet à haute pression et elle sera propre comme un sous neuf. Elle lui parle, je trouve ça vraiment sexy les femmes qui s’adressent à leur voiture ainsi, leur disant des mots d’amour, leur faisant des promesses. Je la laisse faire alors qu’elle caresse le capot comme elle le ferait avec le torse d’un homme. Ça a un côté érotique qui me plait bien même si Su Nah n’en maitrise pas encore toutes les ficelles. Quand elle me parle du moteur, je fais une légère mine gênée… Dans quel état…
« Hmm… Mort de chez mort…. Pour la plupart des pièces je sais ou aller mais… Le moteur en lui-même… Il va falloir le démonter entièrement… Voir ce qu’on peut garder… Enfin… A mon avis, c’est le plus gros du travail. On va devoir utiliser des pièces d’autres caisses d’années similaires car Jaguar ne produit plus ces pièces, même pour les collectionneurs… »
Et oui, sinon je n’aurais pas pu l’avoir pour une bouchée de pain. Ce genre de caisse, c’est celle sur laquelle vous passez plusieurs années, qui vous donne un but dans la vie. Elle parle, me remercie, je l’écoute à moitié, observant mon nouveau bébé alors qu’elle me demande si j’ai trouvé un nom à cette voiture. J’esquisse alors un grand sourire.
« Su Nah… On va l’appeler Su Nah… Elle est fougueuse… capricieuse, démontrant un besoin d’attention très certain, ses courbes sont fines, son habitacle… Plutôt pas mal… Lorsqu’elle sera lancée, ce sera une véritable lionne… Et puis… j’aime son joli petit cul. »
De qui je parle ? De Su Nah la mécanicienne ou de Su Nah la voiture ? Je crois que c’est les deux en fait… Je n’avais pas l’intention de donner un nom à cette jaguar mais si elle y tient, c’est fait. Je m’approche alors de nouveau de la voiture passe mon doigt sur le capos le ressortant plein de cambouis et vas chercher du papier de verre pour le lui tendre.
« Va falloir frotter pour enlever d’abord la rouille… Je ne bosse pas sur un truc aussi crade… A moins que tu ne veuilles qu’on commence par regarder le moteur ? Que l’on… soulève le capot pour…. y mettre les doigts et décoller en direction du septième ciel ? »
Est-ce que je parle de sexe ou de bagnole ? Pour moi… C’est la même chose… Alors ne soyez pas surpris, je sais que Su Nah perds parfois le fil mais… Je suis comme ça… Et si vous me demander si je préfère coucher avec une fille ou démarrer une caisse que je viens de retaper… Je dirais que je suis incapable de répondre à cette question… Les deux sont orgasmiques n’est-ce pas ?
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©clever love.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 18:01
Vous trouvez ça bizarre que je m’occupe plus d’une voiture que de me faire des amis ? J’ai passé plus du temps à bichonner un moteur de voiture qu’à boire un verre avec d’autres personnes. J’ai jamais été très ouverte avec les autres, je ne les fuis pas, j’adore même leur parler, et passer du temps avec eux, mais si il y a un choix à faire, je crois que préfère me salir les mains. Une voiture ne vous prend jamais la tête, oh ça leur arrive d’être capricieuse, de ne pas fonctionner sans que je sache vraiment pourquoi. Mais c’est simple et je finis toujours par trouver ce qui cloche. Avec les autres c’est différent. Je sais jamais vraiment ce qui va tourner dans leur tête ou bien comment ils vont réagir et c’est assez flippant je dois l’avouer. Je ne suis pas spécialement une maniaque du contrôle, mais j’aime savoir les options qui s’offrent à moi. Les surprises je déteste ça. Parce que je ne sais jamais comment rebondir, comment encaisser, comment … agir pour que ça aille. Je suis pourtant sociable, c’est ça qui est paradoxal. Mais il n’y a qu’à regarder ma relation avec Ji Ho. Je passe mon temps à fuir et à lui courir après. Une vraie girouette. Quand je pense avoir le contrôle je sais me montrer douce et attentionné. Assez pour me sentir proche de lui. Mais dès que quelques choses dérapent, dès qu’un imprévu surgit je fuis. Loin. Longtemps. Coucher avec lui n’avait pas été prémédité. Ni la première fois, ni la deuxième, ni même la troisième … et je détestais ce sentiment. Celui de ne pas savoir. Je rêvais de liberté mais j’étais incapable de la concevoir en me jetant dans le vide. J’avais besoin qu’on me rassure, qu’on me dise que tout irait bien. Même si c’était un mensonge. Je voulais juste croire que demain tout ira bien. Et c’est ce qu’il a fait. C’est surement pour ça que j’apprécie Ji Ho. Contrairement à moi il ne se prend pas la tête. Il agit normalement, sans se soucier de rien. Et c’est peut être cette folie qui manque à ma vie. Je suis tête brûlée, j’adore l’adrénaline, les décisions prises sur un coup de tête, mais tout ça, tout ça j’arrive à le maitriser parce que je suis celle qui le décide. Je vous jure, parfois je me saoule à être aussi … chiante.
Je lève mon regard vers Ji Ho en arquant un sourcil « Je sais. Mais même avec une belle bagnole ils vont fuir. Les mecs d’aujourd’hui n’aiment pas quand c’est la fille qui contrôle. Ça vous retire un certain charme. » Confessais-je dans une moue déçue. Mais je mentais un peu. On aime les hommes macho, enfin moi, j’adore ça. Ceux qui sont possessif, jaloux, qui font des compromis pour vous mais qui débarque pour vous emmener dieux sait où parce qu’ils en ont envie. Un homme qui sait ce qu’il veut est beaucoup plus sexy qu’un homme avec juste de la thune. C’est charismatique et diablement attirant … Je craque facilement pour ce genre d’homme mais ce sont malheureusement eux les plus … joueurs. Alors je ne me lance jamais dans ce genre d’histoire. Ça ne vaut pas le coup. La voiture est vraiment en piteux états. Comment des gens peuvent-ils la laissé si … mal en point ? Ils ont dut la laisser crever dans un coin de leur garage sans se préoccuper d’elle. Bon sang s’ils savaient le trésor que recèle cette voiture ! Les gens ne voient plus que par la technologie en oubliant les merveilles du passé ! Je fronce les sourcils en réfléchissant quand Ji Ho me parle du moteur. Merde. A ce point ça risque d’être dur de la réparer. On va débourser des sommes folles pour avoir des pièces. « Hum, j’irais demander à Jun pour voir s’il n’a pas des pièces à nous refiler. Il arrive toujours à dégoter des merveilles. Mais c’est vrai que c’est la modèle le plus vieux qu’on ait eut à bosser. » Jun c’est un ami à mon frère, je le connais vaguement, assez pour lui demander des services. Il arrive toujours à répondre à mes exigences sans que je ne sache comment il fait pour trouver des pièces adéquates. Il gère une casse à la sortie de la ville, une vraie ile aux trésors. Plusieurs j’ai eu recours à lui et j’espère que cette fois-ci encore il pourra m’aider, même si je crains devoir me rabattre sur le plan B, à savoir, des pièces d’autres modèles qui pourraient correspondre.
« Su Nah ? » je le regarde surprise quand il me fait la description parfaite de cette voiture, c’est exactement comme ça que je la voyais aussi mais je n’aurais cru qu’il l’applique à moi. « Un besoin d’attention très certain ? » c’est quoi ces conneries de psy à deux balles ? J’esquisse un sourire devant l’absurdité de ses propos et pour cacher mon trouble je rejette une mèche de cheveux par-dessus mon épaule en prenant un air assuré. « Evidemment que tu aimes son jolie petit cul ! » Qui ne l’aimerait pas ? Je passe devant lui l’air de rien et va mater le cul de cette bagnole avant de lâcher un « T'es magnifique bébé ! » avant de rire légèrement. Entre nous, je n’aurais jamais pu blaguer avec lui il y a quelques mois de ça, mais depuis qu’on se connait il a réussi à me mettre à l’aise et finalement je me sens plutôt bien. J’attrape le papier qu’il me tend le fixe un instant « Yah ! » Je le repousse au niveau de la tempe avec deux doigts et prends un air sérieux pour lui dire « Pervers ! » Je lui colle son papier de verre sur le torse avant de me détourner.
« J’ai envie de m’occuper de la carrosserie d’abord. Le moteur ça va être un vrai bordel. Mieux vaut s’en occuper après la fermeture du garage. Je déteste qu’on me coupe en plus ébat. » Qui de nous deux est le plus pervers concernant les voitures ? On se vaut je crois bien. Je m’avance vers le casier et retire mon débardeur, j’ouvre la porte en métal en en sort ma combinaison bleu que j’enfile après avoir retiré mon short rapidement. Pas de pudeur, ce n’est pas un show que je lui fais. Je boutonne jusqu’à la poitrine et remonte une jambe jusqu’au genou pour être plus à l’aise. Je remonte aussi mes manches et rattache mes cheveux correctement. J’attrape mon masque de protection qui me couvre le bas du visage et attrape la machine à poncer. Le papier de verre me tue trop. Et cette machine est idéale pour les grandes surfaces. « Je commence par l’arrière si ça te dérange pas ? Comme ça tu peux bosser ce que tu veux. » Avec moi ou autre chose, on ne se collait pas forcément pour bosser, seulement quand il touchait à une mécanique particulière j’étais toujours penchée sur son épaule à regarder ce qu’il faisait. Histoire d’apprendre.
Je lève mon regard vers Ji Ho en arquant un sourcil « Je sais. Mais même avec une belle bagnole ils vont fuir. Les mecs d’aujourd’hui n’aiment pas quand c’est la fille qui contrôle. Ça vous retire un certain charme. » Confessais-je dans une moue déçue. Mais je mentais un peu. On aime les hommes macho, enfin moi, j’adore ça. Ceux qui sont possessif, jaloux, qui font des compromis pour vous mais qui débarque pour vous emmener dieux sait où parce qu’ils en ont envie. Un homme qui sait ce qu’il veut est beaucoup plus sexy qu’un homme avec juste de la thune. C’est charismatique et diablement attirant … Je craque facilement pour ce genre d’homme mais ce sont malheureusement eux les plus … joueurs. Alors je ne me lance jamais dans ce genre d’histoire. Ça ne vaut pas le coup. La voiture est vraiment en piteux états. Comment des gens peuvent-ils la laissé si … mal en point ? Ils ont dut la laisser crever dans un coin de leur garage sans se préoccuper d’elle. Bon sang s’ils savaient le trésor que recèle cette voiture ! Les gens ne voient plus que par la technologie en oubliant les merveilles du passé ! Je fronce les sourcils en réfléchissant quand Ji Ho me parle du moteur. Merde. A ce point ça risque d’être dur de la réparer. On va débourser des sommes folles pour avoir des pièces. « Hum, j’irais demander à Jun pour voir s’il n’a pas des pièces à nous refiler. Il arrive toujours à dégoter des merveilles. Mais c’est vrai que c’est la modèle le plus vieux qu’on ait eut à bosser. » Jun c’est un ami à mon frère, je le connais vaguement, assez pour lui demander des services. Il arrive toujours à répondre à mes exigences sans que je ne sache comment il fait pour trouver des pièces adéquates. Il gère une casse à la sortie de la ville, une vraie ile aux trésors. Plusieurs j’ai eu recours à lui et j’espère que cette fois-ci encore il pourra m’aider, même si je crains devoir me rabattre sur le plan B, à savoir, des pièces d’autres modèles qui pourraient correspondre.
« Su Nah ? » je le regarde surprise quand il me fait la description parfaite de cette voiture, c’est exactement comme ça que je la voyais aussi mais je n’aurais cru qu’il l’applique à moi. « Un besoin d’attention très certain ? » c’est quoi ces conneries de psy à deux balles ? J’esquisse un sourire devant l’absurdité de ses propos et pour cacher mon trouble je rejette une mèche de cheveux par-dessus mon épaule en prenant un air assuré. « Evidemment que tu aimes son jolie petit cul ! » Qui ne l’aimerait pas ? Je passe devant lui l’air de rien et va mater le cul de cette bagnole avant de lâcher un « T'es magnifique bébé ! » avant de rire légèrement. Entre nous, je n’aurais jamais pu blaguer avec lui il y a quelques mois de ça, mais depuis qu’on se connait il a réussi à me mettre à l’aise et finalement je me sens plutôt bien. J’attrape le papier qu’il me tend le fixe un instant « Yah ! » Je le repousse au niveau de la tempe avec deux doigts et prends un air sérieux pour lui dire « Pervers ! » Je lui colle son papier de verre sur le torse avant de me détourner.
« J’ai envie de m’occuper de la carrosserie d’abord. Le moteur ça va être un vrai bordel. Mieux vaut s’en occuper après la fermeture du garage. Je déteste qu’on me coupe en plus ébat. » Qui de nous deux est le plus pervers concernant les voitures ? On se vaut je crois bien. Je m’avance vers le casier et retire mon débardeur, j’ouvre la porte en métal en en sort ma combinaison bleu que j’enfile après avoir retiré mon short rapidement. Pas de pudeur, ce n’est pas un show que je lui fais. Je boutonne jusqu’à la poitrine et remonte une jambe jusqu’au genou pour être plus à l’aise. Je remonte aussi mes manches et rattache mes cheveux correctement. J’attrape mon masque de protection qui me couvre le bas du visage et attrape la machine à poncer. Le papier de verre me tue trop. Et cette machine est idéale pour les grandes surfaces. « Je commence par l’arrière si ça te dérange pas ? Comme ça tu peux bosser ce que tu veux. » Avec moi ou autre chose, on ne se collait pas forcément pour bosser, seulement quand il touchait à une mécanique particulière j’étais toujours penchée sur son épaule à regarder ce qu’il faisait. Histoire d’apprendre.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Mar 26 Aoû - 19:54
Coucher avec Su Nah ? Oui c’est arrivé plusieurs fois et le plus souvent c’est intense, puissant, violent et toujours dans ce garage ou dans une bagnole, il y a ici un petit quelque chose qui nous pousse à se donner l’un à l’autre mais jamais directement, après un effort, une avancée mécanique et si au départ elle avait besoin que je la rassure, je sais que maintenant ça va mieux ou tout du moins qu’elle essaye de vivre comme moi… De se moquer de tout, d’oublier les sentiments, la volonté d’être en couple ou le regard des autres. Je sais qu’elle aimerait me ressembler, pouvoir agir de cette manière mais c’est plus compliqué qu’il n’y parait. La base c’est une déception amoureuse et ensuite un choix : Celui de ne jamais recommencer, pas d’essayer de trouver quelqu’un d’autre… Juste être seul et apprécier ce choix. Petit à petit, d’emmerdeuse de service elle est passé au rôle de fille avec qui j’aime passer du temps. Est-on proche alors que l’on ne sait rien de l’autre ? Ou des amis ? Je ne sais pas trop, je préfère ne pas mettre de nom sur ce qui nous lie, disons juste que c’est spéciale, que c’est juste entre elle et moi… Je lui propose alors de conduire cette bagnole pour draguer quand elle sera réparée et sa réponse m’amuse. Une fille qui conduit ce genre de bagnole ? La fille qui contrôle ? J’esquisse un sourire.
« Une femme qui conduit ce genre de bagnole, ça la rend sexy à souhait. Bon… Bien évidemment… Il faut qu’elle ait la classe… Après… ce n’est pas parce que la femme conduit qu’elle a le contrôle. Il y a tout un tas de moyen de lui faire perdre pied en voiture… »
Oui je suis un gros macho et je pense que ça lui plait, j’aime décider, je ne fais aucune concession, j’obtiens ce que je veux quand je le veux même si ça doit prendre du temps. Peu importe les moyens à utiliser… Je ne suis pas le genre de type à me morfondre, à regretter ou quoi que ce soit. Ainsi, je lui parle du moteur de cette magnifique jaguar et elle semble presque déçue, évoque Jun alors que je réfléchis un instant. Les casses c’est utile surtout quand un bourgeois se mange un arbre avec une bagnole de collection. Elle avoue alors que c’est le modèle le plus vieux sur lequel on est bossé. Je réfléchis, faisant l’inventaire dans ma taire avant de lui répondre avec toujours ce ton monocorde qui me caractérise.
« Même en casse, on va avoir du mal, c’est aussi ça l’intérêt… Tu as déjà fabriqué des pièces toi-même ? Te rendre dans un entrepôt, jouer les maquettistes, reproduire aveux une exactitude perfectionniste une pièce, c’est… Grisant… Les chances de réussite sont inférieures à 1% et c’est ce qui donne une telle valeur au premier vrombissement d’un moteur ancien. »
Et oui Su Nah, il te reste encore beaucoup à apprendre même si je suis certain qu’on pourrait t’embaucher des demains si tu le souhaitais. Elle me demande alors, de donner un nom à cette bagnole. Su Nah… ça me parait bien. Elle semble surprise d’un tel honneur alors que j’explique ce choix. Elle n’aime clairement pas m’entendre dire qu’elle a besoin d’attention. Mais de qui suis-je en train de parler à cet instant ? Elle continue alors en jugeant la jaguar magnifique. C’est moi ou elle se fait des compliments toute seule ? Ah oui… on parle de la voiture.
« Un besoin d’attention très certain… Bien évidemment, elle doit être chouchouté sinon… Elle tombera en panne encore et encore… terminera dans l’oubli… On ne peut la confier à n’importe qui… »
Je ne joue pas les psys, à vrais dire, Su Nah est venue à la base dans ce garage pour que je l’aide question mécanique, n’est-ce pas une volonté d’attention de sa part ? Je lui donne alors le papier de verre qu’elle me rend en me traitant de pervers. Mademoiselle prend de l’assurance, me dit qu’elle a envie de s’occuper de la carrosserie, que le moteur ce sera au moment de la fermeture, n’appréciant pas être dérangé en plein ébat. C’est excitant de l’entendre parler ainsi de mécanique. Elle se dirige alors vers le casier, je la fixe enlever son débardeur appréciant cette dentelle blanche et pure en plein milieu de toute cette crasse ambiante, son short en fait de même… Sacré shorty alors qu’elle enfile sa combinaison bleu avec une certaine classe, enfile son masque et vient récupérer la ponceuse. Je la laisse faire et quand elle l’allume, je tire le câble pour que celle-ci ne puisse fonctionner.
« Papier de verre uniquement… Quand je te dis qu’on va y passer des mois et des mois… je ne plaisante pas… D’abord on détartre, ensuite on ponce… Ces bagnoles sont pleines de plombs… Si tu ponces tu risques surtout d’intoxiquer le garage… »
Je m’approche d’elle et pose la feuille contre son torse alors qu’elle m’offre une jolie vu sur son décolleté. Trop propre pour être excitant… Ainsi, je m’avance vers elle et pose ma main dans son dos pour qu’elle se penche en avant. Je pose ma main libre sur la sienne et commence à faire un geste en forme de cercle pour lui montrer comment bien poncer avec le papier de verre.
« Tu vois… Ce n’est pas difficile, tu caresses la voitures, frottes pas comme une forcenée… C’est le même geste qu’une main sur un sein mais… ça ne doit pas trop te parler… C’est plus un truc de mec… »
Je me met à côté d’elle, prenant également une feuille et fait également mes rotations pour que l’on avance ensemble. Peu à peu, la rouille s’enlève pour offrir une surface de plus en plus lisse mais nous sommes loin d’avoir terminé…
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Su Nah & Ji Ho ❥ " Mais quel cul ! Non... je parle de la Jaguar là... "
Coucher avec Su Nah ? Oui c’est arrivé plusieurs fois et le plus souvent c’est intense, puissant, violent et toujours dans ce garage ou dans une bagnole, il y a ici un petit quelque chose qui nous pousse à se donner l’un à l’autre mais jamais directement, après un effort, une avancée mécanique et si au départ elle avait besoin que je la rassure, je sais que maintenant ça va mieux ou tout du moins qu’elle essaye de vivre comme moi… De se moquer de tout, d’oublier les sentiments, la volonté d’être en couple ou le regard des autres. Je sais qu’elle aimerait me ressembler, pouvoir agir de cette manière mais c’est plus compliqué qu’il n’y parait. La base c’est une déception amoureuse et ensuite un choix : Celui de ne jamais recommencer, pas d’essayer de trouver quelqu’un d’autre… Juste être seul et apprécier ce choix. Petit à petit, d’emmerdeuse de service elle est passé au rôle de fille avec qui j’aime passer du temps. Est-on proche alors que l’on ne sait rien de l’autre ? Ou des amis ? Je ne sais pas trop, je préfère ne pas mettre de nom sur ce qui nous lie, disons juste que c’est spéciale, que c’est juste entre elle et moi… Je lui propose alors de conduire cette bagnole pour draguer quand elle sera réparée et sa réponse m’amuse. Une fille qui conduit ce genre de bagnole ? La fille qui contrôle ? J’esquisse un sourire.
« Une femme qui conduit ce genre de bagnole, ça la rend sexy à souhait. Bon… Bien évidemment… Il faut qu’elle ait la classe… Après… ce n’est pas parce que la femme conduit qu’elle a le contrôle. Il y a tout un tas de moyen de lui faire perdre pied en voiture… »
Oui je suis un gros macho et je pense que ça lui plait, j’aime décider, je ne fais aucune concession, j’obtiens ce que je veux quand je le veux même si ça doit prendre du temps. Peu importe les moyens à utiliser… Je ne suis pas le genre de type à me morfondre, à regretter ou quoi que ce soit. Ainsi, je lui parle du moteur de cette magnifique jaguar et elle semble presque déçue, évoque Jun alors que je réfléchis un instant. Les casses c’est utile surtout quand un bourgeois se mange un arbre avec une bagnole de collection. Elle avoue alors que c’est le modèle le plus vieux sur lequel on est bossé. Je réfléchis, faisant l’inventaire dans ma taire avant de lui répondre avec toujours ce ton monocorde qui me caractérise.
« Même en casse, on va avoir du mal, c’est aussi ça l’intérêt… Tu as déjà fabriqué des pièces toi-même ? Te rendre dans un entrepôt, jouer les maquettistes, reproduire aveux une exactitude perfectionniste une pièce, c’est… Grisant… Les chances de réussite sont inférieures à 1% et c’est ce qui donne une telle valeur au premier vrombissement d’un moteur ancien. »
Et oui Su Nah, il te reste encore beaucoup à apprendre même si je suis certain qu’on pourrait t’embaucher des demains si tu le souhaitais. Elle me demande alors, de donner un nom à cette bagnole. Su Nah… ça me parait bien. Elle semble surprise d’un tel honneur alors que j’explique ce choix. Elle n’aime clairement pas m’entendre dire qu’elle a besoin d’attention. Mais de qui suis-je en train de parler à cet instant ? Elle continue alors en jugeant la jaguar magnifique. C’est moi ou elle se fait des compliments toute seule ? Ah oui… on parle de la voiture.
« Un besoin d’attention très certain… Bien évidemment, elle doit être chouchouté sinon… Elle tombera en panne encore et encore… terminera dans l’oubli… On ne peut la confier à n’importe qui… »
Je ne joue pas les psys, à vrais dire, Su Nah est venue à la base dans ce garage pour que je l’aide question mécanique, n’est-ce pas une volonté d’attention de sa part ? Je lui donne alors le papier de verre qu’elle me rend en me traitant de pervers. Mademoiselle prend de l’assurance, me dit qu’elle a envie de s’occuper de la carrosserie, que le moteur ce sera au moment de la fermeture, n’appréciant pas être dérangé en plein ébat. C’est excitant de l’entendre parler ainsi de mécanique. Elle se dirige alors vers le casier, je la fixe enlever son débardeur appréciant cette dentelle blanche et pure en plein milieu de toute cette crasse ambiante, son short en fait de même… Sacré shorty alors qu’elle enfile sa combinaison bleu avec une certaine classe, enfile son masque et vient récupérer la ponceuse. Je la laisse faire et quand elle l’allume, je tire le câble pour que celle-ci ne puisse fonctionner.
« Papier de verre uniquement… Quand je te dis qu’on va y passer des mois et des mois… je ne plaisante pas… D’abord on détartre, ensuite on ponce… Ces bagnoles sont pleines de plombs… Si tu ponces tu risques surtout d’intoxiquer le garage… »
Je m’approche d’elle et pose la feuille contre son torse alors qu’elle m’offre une jolie vu sur son décolleté. Trop propre pour être excitant… Ainsi, je m’avance vers elle et pose ma main dans son dos pour qu’elle se penche en avant. Je pose ma main libre sur la sienne et commence à faire un geste en forme de cercle pour lui montrer comment bien poncer avec le papier de verre.
« Tu vois… Ce n’est pas difficile, tu caresses la voitures, frottes pas comme une forcenée… C’est le même geste qu’une main sur un sein mais… ça ne doit pas trop te parler… C’est plus un truc de mec… »
Je me met à côté d’elle, prenant également une feuille et fait également mes rotations pour que l’on avance ensemble. Peu à peu, la rouille s’enlève pour offrir une surface de plus en plus lisse mais nous sommes loin d’avoir terminé…
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Jeu 28 Aoû - 0:39
Tenue + J’ai tellement si peu d’expérience avec les hommes que je ne sais pas vraiment ce qui pourrait leur plaire. Et je n’imagine pas franchement un homme baver sur une femme au volant d’une voiture de collectionner. Non pour dire vrai je ne vois pas un homme baver sur moi au volant d’une voiture de collection … Ils pourront peut être à la limite s’arrêter un instant sur la jolie carrosserie dans laquelle je suis, mais je ne pense pas qu’ils me trouvent un quelconque intérêt à vrai dire. Je ne devrais sûrement pas me dévaloriser à ce point mais c’est plus facile de se dire qu’on est moche et plaire, que l’inverse. Descendre de son petit nuage ça a quelque chose de difficile. Mais je préfère croire Ji Ho, après tout il n’aura aucun intérêt à mentir. Et sa dernière phrase m’arrache un rire. Je me tourne vers lui le regard qui en dit long, un sourcil arqué et un sourire aux lèvres. Il a raison, dans une voiture on peut relativement bien prendre son pied … Je crois que la plus part des fois où j’ai couché avec lui, on s’est retrouvé à l’arrière d’une voiture où sur un capot que nous venions juste de lustrer. C’était … carrément grisant … Et ce n’est pas aussi inconfortable qu’on peut le croire, c’est même plutôt érotique l’odeur du cuir, nos corps en sueur qui se perdre sur les sièges. C’est juste … fou, et tellement bon. Merde, je sens que le jour où on va finir cette voiture, on va vouloir fêter ça. Un sourire satisfait apparait sur mes lèvres que je mordille, taquine. Ouais, on fêtera ça …
Fabriqué des pièces moi-même ? Non, je dois avouer que je n’ai jamais fait ça. Et la satisfaction qui en ressort doit être grande. Je ne me serais jamais vu le faire mais avec Ji Ho tout est tellement possible au final … J’ai envie de voir les choses en grand et je sais qu’il est le meilleur professeur pour ça. Je lui souris maintenant impatiente de voir ce qu’il serait capable de faire et surtout de m’apprendre. J’imagine déjà le visage de mes frères quand je leur dirais ce qu’on va faire avec Ji Ho. Elle tombera en panne encore et encore… terminera dans l’oubli… On ne peut la confier à n’importe qui… Vraiment ? Ça fonctionne comme ça ? Pour moi aussi ? Me confier à n’importe qui … Cette phrase me fait un écho désagréable au cœur. Il a raison. Mais cette voiture a vraiment besoin qu’on prenne soin d’elle. Elle a l’air d’avoir vécu des choses difficiles et d’être passés par des épreuves … mais elle reste debout, elle est là, devant nous, peinant pour être en vie mais résistant encore et encore. « Elle a du caractère » murmurais-je en regardant la voiture. J’esquisse un sourire fier en me promettant d’en prendre soin et de lui redonner vie. Elle va être belle. Tout le monde va nous l’envier … et je l’imagine déjà, au paroxysme de sa beauté. Une reine.
Après un cours sur le ponçage je dois bien me rendre à l’évidence que Ji Ho ne me laissera pas faire avec ma super machine. Je retins un soupir sous mon masque avant de le voir approcher et se mettre derrière moi pour me montrer les gestes à faire. Je suis les mouvements qu’il m’indique. Il sent l’huile de moteur. Ça pourrait rebuter certaine fille mais je trouve ça plutôt sexy à vrai dire. Mes yeux se plissent rieur alors que je croise son regard. Je suis ses indications et me mets à poncer cette carrosserie. Comme une main sur un sein. Je descends mon masque pour m’éviter la voix de dark vador quand je parle. « Qu’est-ce qui te fait croire que je ne connais pas … ce truc de mec ? » demandais-je un sourire amusée ourlé sur mes lèvres. C’est vrai quoi. J’ai peut-être déjà couché avec une fille, pourquoi penserait-il que je suis aussi sage ? « Je connais même plutôt bien. » ajoutais-je la voix en suspens, comme si j’étais la pro du pelotage de nibard. Je me concentre sur ma tâche l’air de rien avant de rire légèrement en montant mon regard vers lui. je me penche en avant pour être au plus près de la tôle et constate « Ils sont vraiment salaud … t’as toutes les bosses qu’elle a. » Comme si je parlais d’une femme battue. « Hum Ji, viens voir s’il te plait. » Je lui fais signe d’approcher et lui montre un morceau de tôle arraché sur le bas de la voiture. « On fait comment dans ce cas là ? Il ne doit plus exister de modèle non ? » J’esquisse une moue réfléchie et m’accroupie pour constater l’étendue des dégâts.
Fabriqué des pièces moi-même ? Non, je dois avouer que je n’ai jamais fait ça. Et la satisfaction qui en ressort doit être grande. Je ne me serais jamais vu le faire mais avec Ji Ho tout est tellement possible au final … J’ai envie de voir les choses en grand et je sais qu’il est le meilleur professeur pour ça. Je lui souris maintenant impatiente de voir ce qu’il serait capable de faire et surtout de m’apprendre. J’imagine déjà le visage de mes frères quand je leur dirais ce qu’on va faire avec Ji Ho. Elle tombera en panne encore et encore… terminera dans l’oubli… On ne peut la confier à n’importe qui… Vraiment ? Ça fonctionne comme ça ? Pour moi aussi ? Me confier à n’importe qui … Cette phrase me fait un écho désagréable au cœur. Il a raison. Mais cette voiture a vraiment besoin qu’on prenne soin d’elle. Elle a l’air d’avoir vécu des choses difficiles et d’être passés par des épreuves … mais elle reste debout, elle est là, devant nous, peinant pour être en vie mais résistant encore et encore. « Elle a du caractère » murmurais-je en regardant la voiture. J’esquisse un sourire fier en me promettant d’en prendre soin et de lui redonner vie. Elle va être belle. Tout le monde va nous l’envier … et je l’imagine déjà, au paroxysme de sa beauté. Une reine.
Après un cours sur le ponçage je dois bien me rendre à l’évidence que Ji Ho ne me laissera pas faire avec ma super machine. Je retins un soupir sous mon masque avant de le voir approcher et se mettre derrière moi pour me montrer les gestes à faire. Je suis les mouvements qu’il m’indique. Il sent l’huile de moteur. Ça pourrait rebuter certaine fille mais je trouve ça plutôt sexy à vrai dire. Mes yeux se plissent rieur alors que je croise son regard. Je suis ses indications et me mets à poncer cette carrosserie. Comme une main sur un sein. Je descends mon masque pour m’éviter la voix de dark vador quand je parle. « Qu’est-ce qui te fait croire que je ne connais pas … ce truc de mec ? » demandais-je un sourire amusée ourlé sur mes lèvres. C’est vrai quoi. J’ai peut-être déjà couché avec une fille, pourquoi penserait-il que je suis aussi sage ? « Je connais même plutôt bien. » ajoutais-je la voix en suspens, comme si j’étais la pro du pelotage de nibard. Je me concentre sur ma tâche l’air de rien avant de rire légèrement en montant mon regard vers lui. je me penche en avant pour être au plus près de la tôle et constate « Ils sont vraiment salaud … t’as toutes les bosses qu’elle a. » Comme si je parlais d’une femme battue. « Hum Ji, viens voir s’il te plait. » Je lui fais signe d’approcher et lui montre un morceau de tôle arraché sur le bas de la voiture. « On fait comment dans ce cas là ? Il ne doit plus exister de modèle non ? » J’esquisse une moue réfléchie et m’accroupie pour constater l’étendue des dégâts.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Ven 29 Aoû - 2:30
Le principal problème de Su Nah c’est clairement le fait qu’elle manque de confiance en elle. Pour être sincère, je ne couche pas avec n’importe qui et une fille qui ne me plairait pas et qui me ferait signe de la rejoindre dans la douche, disons juste que je ferais celui qui ne l’a pas vue. Pourtant, je ne lui donne pas plus d’importance que cela, ce n’est pas qu’elle ne me plait pas, c’est juste que faire des compliments, ce n’est pas vraiment mon truc, jugeant que si je la laisse bosser avec moi c’est qu’elle me plait bien plus qu’elle ne peut l’imaginer. Je lui propose alors de faire des pièces par nous-même et remarque dans ses yeux toute une flopée d’étoiles. Su Nah aime la nouveauté, se dépasser, découvrir un peu plus les tréfonds de mon monde fait de carcasses et d’acier. Je tente alors de lui expliquer qu’il y a peu de chances que cela fonctionne mais elle ne dit rien, elle sait qu’ensemble, on trouvera forcément un moyen d’y arriver.
Je décide alors de choisir moi-même le nom que l’on va donner à cette voiture et il est claire et net qu’elle n’apprécie pas l’une de mes comparaisons. Je tente alors de lui expliquer ce que je veux dire pas « besoin d’attention ». Oui, une caisse ou bien une fille comme elle, il faut savoir en prendre soin, la pomponner, lui montrer qu’on l’aime et ne jamais au grand jamais la laisser au garage. Elle semble alors comprendre bien qu’elle se montre une nouvelle fois silencieuse. C’est alors qu’elle me répond que notre jaguar a du caractère. Tiens, étrangement, cela me rappelle quelqu’un… J’esquisse donc un sourire et la regarde prendre la ponceuse, bien décidée à commencer sans moi, comme si elle voulait déshabiller cette déesse sans même penser au fait qu’on n’arrache pas les vêtement d’une top modèle de peur de ne jamais pouvoir la rembourser. Je lui explique alors notre petit soucis, ayant bien fait attention de couper l’électricité, lui redonnant son papier de verre. Elle râle, me disant qu’elle a du mal à s’en servir mais n’est-ce pas tout simplement un manque d’habitude. La métaphore que j’utilise est parfaitement compréhensible pour un homme ainsi, j’espère ne pas trop la rabaisser en la lui faisant comprendre mais… Comment dire… On dirait que j’ai touché sa fierté et la voilà qui tente de m’expliquer que je ne peux rien dire parce que je ne la connais pas suffisamment, elle avoue donc connaitre plutôt bien. Tiens donc Su Nah serait bisexuelle ? Etrangement, j’au di mal à le croire. Pas que je la prends pour une sainte, en aucune façon à vrais dire mais… C’est juste… Difficile à croire…
« Bon et bien… Mademoiselle la professionnelle du pelotage de seins… Va falloir revoir deux ou trois trucs… »
Je pose alors, sans la moins émotion, l’une de mes mains sur sa poitrine et masse violemment son sein avant de la fixer.
« Tu vois ce que tu lui fait ? »
Alors je masse doucement, sensuellement, avec envie son sein avant de me retirer jugeant qu’elle a compris désormais qu’il faut qu’elle se calme un petit peu. Si j’ai envie d’elle ? Sa poitrine est parfaite mais encore ? Disons que j’aime les femmes qui prennent les devants. Elle se remet alors au travail et parle à nouveau à notre voiture, me faisant remarquer que l’ancien propriétaire n’est pas un enfant cœur pour avoir osé traiter une beauté pareille ainsi. C’est alors qu’elle me demande de venir voir. Je m’avance alors qu’elle me montre un morceau de tôle arraché, me disant qu’il n’y a probablement plus de pièce pour ce genre de choses. Je pousse alors un soupir et esquisse finalement un sourire avant de lui prendre le poignet pour qu’elle me suive.
« Tout se prépare ma belle… »
Je l’emmène avec moi vers le fond du garage, devant une porte fermée à clef qu’elle a du toujours prendre pour un placard à balaise. Je l’ouvre alors en grand et la laisse regarder. Cette salle, plutôt petite contient tout un paquet de tôle et autres capots de vieux modèles. Ma petite collection que je tiens désormais depuis cinq ans. A chaque fois que je suis allé à la casse, j’ai ramené des petites choses et petit à petit, elles se sont faites plus nombreuses… Jusqu’à ce qu’on puisse y trouver quelques raretés et en particulier la taule qui nous convient. Je sais que découvrir ma petite caverne d’Ali Baba lui plait alors, sans un mot, je la plaque contre une série de capots empilés les uns contre les autres contre le mur, lui offrant un baiser puissant, collant mon corps contre le mien… je sais que habituellement… je laisse faire mais avec sa tenue et son masque qui tombe… Elle me plait divinement… Bien plus qu’une nana qui débarquerait en porte jarretelle dans mon garage…
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Su Nah & Ji Ho ❥ " Mais quel cul ! Non... je parle de la Jaguar là... "
Le principal problème de Su Nah c’est clairement le fait qu’elle manque de confiance en elle. Pour être sincère, je ne couche pas avec n’importe qui et une fille qui ne me plairait pas et qui me ferait signe de la rejoindre dans la douche, disons juste que je ferais celui qui ne l’a pas vue. Pourtant, je ne lui donne pas plus d’importance que cela, ce n’est pas qu’elle ne me plait pas, c’est juste que faire des compliments, ce n’est pas vraiment mon truc, jugeant que si je la laisse bosser avec moi c’est qu’elle me plait bien plus qu’elle ne peut l’imaginer. Je lui propose alors de faire des pièces par nous-même et remarque dans ses yeux toute une flopée d’étoiles. Su Nah aime la nouveauté, se dépasser, découvrir un peu plus les tréfonds de mon monde fait de carcasses et d’acier. Je tente alors de lui expliquer qu’il y a peu de chances que cela fonctionne mais elle ne dit rien, elle sait qu’ensemble, on trouvera forcément un moyen d’y arriver.
Je décide alors de choisir moi-même le nom que l’on va donner à cette voiture et il est claire et net qu’elle n’apprécie pas l’une de mes comparaisons. Je tente alors de lui expliquer ce que je veux dire pas « besoin d’attention ». Oui, une caisse ou bien une fille comme elle, il faut savoir en prendre soin, la pomponner, lui montrer qu’on l’aime et ne jamais au grand jamais la laisser au garage. Elle semble alors comprendre bien qu’elle se montre une nouvelle fois silencieuse. C’est alors qu’elle me répond que notre jaguar a du caractère. Tiens, étrangement, cela me rappelle quelqu’un… J’esquisse donc un sourire et la regarde prendre la ponceuse, bien décidée à commencer sans moi, comme si elle voulait déshabiller cette déesse sans même penser au fait qu’on n’arrache pas les vêtement d’une top modèle de peur de ne jamais pouvoir la rembourser. Je lui explique alors notre petit soucis, ayant bien fait attention de couper l’électricité, lui redonnant son papier de verre. Elle râle, me disant qu’elle a du mal à s’en servir mais n’est-ce pas tout simplement un manque d’habitude. La métaphore que j’utilise est parfaitement compréhensible pour un homme ainsi, j’espère ne pas trop la rabaisser en la lui faisant comprendre mais… Comment dire… On dirait que j’ai touché sa fierté et la voilà qui tente de m’expliquer que je ne peux rien dire parce que je ne la connais pas suffisamment, elle avoue donc connaitre plutôt bien. Tiens donc Su Nah serait bisexuelle ? Etrangement, j’au di mal à le croire. Pas que je la prends pour une sainte, en aucune façon à vrais dire mais… C’est juste… Difficile à croire…
« Bon et bien… Mademoiselle la professionnelle du pelotage de seins… Va falloir revoir deux ou trois trucs… »
Je pose alors, sans la moins émotion, l’une de mes mains sur sa poitrine et masse violemment son sein avant de la fixer.
« Tu vois ce que tu lui fait ? »
Alors je masse doucement, sensuellement, avec envie son sein avant de me retirer jugeant qu’elle a compris désormais qu’il faut qu’elle se calme un petit peu. Si j’ai envie d’elle ? Sa poitrine est parfaite mais encore ? Disons que j’aime les femmes qui prennent les devants. Elle se remet alors au travail et parle à nouveau à notre voiture, me faisant remarquer que l’ancien propriétaire n’est pas un enfant cœur pour avoir osé traiter une beauté pareille ainsi. C’est alors qu’elle me demande de venir voir. Je m’avance alors qu’elle me montre un morceau de tôle arraché, me disant qu’il n’y a probablement plus de pièce pour ce genre de choses. Je pousse alors un soupir et esquisse finalement un sourire avant de lui prendre le poignet pour qu’elle me suive.
« Tout se prépare ma belle… »
Je l’emmène avec moi vers le fond du garage, devant une porte fermée à clef qu’elle a du toujours prendre pour un placard à balaise. Je l’ouvre alors en grand et la laisse regarder. Cette salle, plutôt petite contient tout un paquet de tôle et autres capots de vieux modèles. Ma petite collection que je tiens désormais depuis cinq ans. A chaque fois que je suis allé à la casse, j’ai ramené des petites choses et petit à petit, elles se sont faites plus nombreuses… Jusqu’à ce qu’on puisse y trouver quelques raretés et en particulier la taule qui nous convient. Je sais que découvrir ma petite caverne d’Ali Baba lui plait alors, sans un mot, je la plaque contre une série de capots empilés les uns contre les autres contre le mur, lui offrant un baiser puissant, collant mon corps contre le mien… je sais que habituellement… je laisse faire mais avec sa tenue et son masque qui tombe… Elle me plait divinement… Bien plus qu’une nana qui débarquerait en porte jarretelle dans mon garage…
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Dim 31 Aoû - 3:44
Tenue + Ma main s’est crispée sur la portière quand je l’ai senti chopper mon sein aussi brusquement. Il m’a fait mal et si c’était ce qu’il voulait me montrer j’ai bien saisie le message. Je suis obligée de me retenir pour ne pas lui ne mettre une bien que ça me démange violemment la paume. Je déteste cette liberté qu’il a prit avec moi. Même s’il se montre plus doux par la suite, le geste est déplacé et j’ai plus envie de l’encastrer dans le mur que d’apprécier sa caresse soudaine. Je suis même frustrée qu’il se retire, pas parce que ça me plaisait mais parce que je voulais le repousser moi-même. Lui montrer que je n’étais pas d’accord. Je me sens … mal à l’aise maintenant. Pourtant ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’il me touchait. Mais jamais aussi … soudainement. Il le sait pourtant que je suis … que je suis réticente à ce genre d’attouchement. Quelle femme aimerait se faire tripoter le sein aussi brusquement et sans prévenir ? Pas moi personnellement. Il s’attendait à quoi ? Que je le regarde en souriant et en déboutonnant ma tenue ? Il n’avait même pas l’air pervers, juste … son petit côté arrogant et c’est peut-être pour ça que je ne l’ai pas giflé. Il n’a pas fait ça pour me peloter et me toucher, juste pour me donner une leçon. Mais merde, y a d’autres façons de le faire. Je retins un soupir de frustration en frottant un peu plus fort sur la carrosserie au risque de l’abîmer. Il m’énerve, sérieux c’est quoi ce comportement ? Je trouve ça déplacé. Vraiment. Et j’aimerais lui faire comprendre, lui dire mais je n’y arrive pas. Je maintiens mon masque sur le bas de mon visage en soupirant. Abruti. Je calme mes gestes pour éviter une remarque de sa part. Il va faire quoi ? Me prendre la fesse et la broyer sous sa poigne ? Laissez-moi rire.
Puis cette tôle m’énerve. C’est dommage si je ne peux pas arranger cet accroc. Elle est si belle comme voiture, je n’ai pas envie qu’elle soit gâchée, ou qu’elle soit abîmée, même si ça se voit à peine. J’ai toujours été perfectionniste mais encore plus avec les voitures. C’est comme ça, j’aime les savoir en bonne santé et que ça ne soit pas qu’une façade. Ji Ho s’empare de mon poignet et me guide vers l’arrière de la pièce où il entrepose toutes ses affaires. Une caverne aux merveilles. C’est dingue. Cet endroit me fascine et si j’affichais un air boudeur j’oublie vite l’incident de tout à l’heure. Je ne suis pas rancunière, surtout face à toutes ces merveilles. Et alors que je m’apprêtais à voir ce qui s’offrait à moi je sens Ji Ho se jeter sur moi et m’embrasser. Brusquement. Ça me fait mal d’ailleurs, sa bouche me happe et je sens son corps se presser contre le mien. Mon masque nous gêne et appuie sur mes clavicules. J’aime sa fougue d’ordinaire, elle me grise, mais pour le coup c’est trop soudain. Si encore il avait prit le temps de me prendre dans ses bras, rien qu’une seconde, ça aurait suffit pour que je l’embrasse sans le repousser ou sans me sentir oppressée. Je ne demande pas du romantisme et de l’attention, mais juste … j’en sais rien, un minimum quoi. Histoire que je ne sois pas surprise. Je finis par le repousser même si sa force dépasse largement la mienne. Il faut dire que lui mordre la lèvre inférieure juste assez pour lui faire légèrement mal a été une bonne idée. « Putain mais t’es malade Ji Ho ?! » Je le regard avec mes yeux couleur orages.
J’ai le souffle court et la voix rauque. « Tu sais que je déteste quand tu fais ça ! » lui lançais-je en passant une main dans mes cheveux. Sur le bord de mes lèvres une goutte de sang perle et je crois que ça lui appartient. J’ai envie de m’excuser mais il m’agace et je suis un peu sur les nerfs. Je n’ai pas voulu lui faire mal, c’est juste une réaction de surprises. D’auto défense on va dire. Il ne m’a pas agressé ou quoi, juste que je ne m’y attendais pas. Je devrais me sentir flatter qu’un homme comme lui se perdre en me voyant, qu’il ait envie de moi ou qu’il veuille m’embrasser … mais il sait aussi comment je suis. Et si désormais il n’a plus besoin de me prendre avec des pincettes, il peut tout aussi bien faire un minimum attention à moi … Je n’ai pas envie qu’on s’engueule ou qu’il se fâcher mais je crois qu’en le repoussant comme je l’ai fais en étant un peu paniquée et énervée, j’ai peur d’avoir touché sa corde sensible. Plusieurs options s’offrent à moi, soit il reprend notre activité comme si de rien n’était, soit il me saute dessus. Et je ne sais pas ce qui me ferait le plus bizarre. Je m’essuie la bouche en réprimant une grimace de dégoût en voyant la petite tâche de sang sur mon doigt. Je lève mon regard vers lui en mordillant le bout de mon doigt.
Puis cette tôle m’énerve. C’est dommage si je ne peux pas arranger cet accroc. Elle est si belle comme voiture, je n’ai pas envie qu’elle soit gâchée, ou qu’elle soit abîmée, même si ça se voit à peine. J’ai toujours été perfectionniste mais encore plus avec les voitures. C’est comme ça, j’aime les savoir en bonne santé et que ça ne soit pas qu’une façade. Ji Ho s’empare de mon poignet et me guide vers l’arrière de la pièce où il entrepose toutes ses affaires. Une caverne aux merveilles. C’est dingue. Cet endroit me fascine et si j’affichais un air boudeur j’oublie vite l’incident de tout à l’heure. Je ne suis pas rancunière, surtout face à toutes ces merveilles. Et alors que je m’apprêtais à voir ce qui s’offrait à moi je sens Ji Ho se jeter sur moi et m’embrasser. Brusquement. Ça me fait mal d’ailleurs, sa bouche me happe et je sens son corps se presser contre le mien. Mon masque nous gêne et appuie sur mes clavicules. J’aime sa fougue d’ordinaire, elle me grise, mais pour le coup c’est trop soudain. Si encore il avait prit le temps de me prendre dans ses bras, rien qu’une seconde, ça aurait suffit pour que je l’embrasse sans le repousser ou sans me sentir oppressée. Je ne demande pas du romantisme et de l’attention, mais juste … j’en sais rien, un minimum quoi. Histoire que je ne sois pas surprise. Je finis par le repousser même si sa force dépasse largement la mienne. Il faut dire que lui mordre la lèvre inférieure juste assez pour lui faire légèrement mal a été une bonne idée. « Putain mais t’es malade Ji Ho ?! » Je le regard avec mes yeux couleur orages.
J’ai le souffle court et la voix rauque. « Tu sais que je déteste quand tu fais ça ! » lui lançais-je en passant une main dans mes cheveux. Sur le bord de mes lèvres une goutte de sang perle et je crois que ça lui appartient. J’ai envie de m’excuser mais il m’agace et je suis un peu sur les nerfs. Je n’ai pas voulu lui faire mal, c’est juste une réaction de surprises. D’auto défense on va dire. Il ne m’a pas agressé ou quoi, juste que je ne m’y attendais pas. Je devrais me sentir flatter qu’un homme comme lui se perdre en me voyant, qu’il ait envie de moi ou qu’il veuille m’embrasser … mais il sait aussi comment je suis. Et si désormais il n’a plus besoin de me prendre avec des pincettes, il peut tout aussi bien faire un minimum attention à moi … Je n’ai pas envie qu’on s’engueule ou qu’il se fâcher mais je crois qu’en le repoussant comme je l’ai fais en étant un peu paniquée et énervée, j’ai peur d’avoir touché sa corde sensible. Plusieurs options s’offrent à moi, soit il reprend notre activité comme si de rien n’était, soit il me saute dessus. Et je ne sais pas ce qui me ferait le plus bizarre. Je m’essuie la bouche en réprimant une grimace de dégoût en voyant la petite tâche de sang sur mon doigt. Je lève mon regard vers lui en mordillant le bout de mon doigt.
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Re: Im Ji Honey + I know it sounds lame, but it's so true | Sam 6 Sep - 17:04
Je sais que je suis quelque peu brute de décoffrage, surtout avec Su Nah, pas que je ne la respecte pas, bien au contraire, pas que je la prenne pour une poupée que je peux avoir quand j’en ai envie, que je touche sans un mot, qui se laisse faire. Non, Su Nah est l’une des rares personnes que j’apprecie vraiment et si je me comporte ainsi, c’est pour le lui montrer. Les relations ou tout du moins celles en rapport avec l’amitié voir un peu plus ne sont pas vraiment ma tasse de thé. Seulement, bien que je m’entende plutôt bien avec elle, il y a des choses qu’elle doit comprendre, après tout, c’est elle qui m’a demandé de lui enseigner ce que je savais concernant la mécanique, et rien de mieux qu’un exemple quelque peu douloureux pour faire passer le message. Quand on dit à un enfant de ne pas mettre ses doigts dans l’entrebâillement d’une porte, il continue à le faire jusqu’à ce qu’il se pince violemment et qu’il comprenne pourquoi il ne faut pas faire ceci ou cela. Ici, c’est pareil, on doit agir d’une certaine manière face à ce genre d’automobile comme lorsque l’on fait l’amour à une femme : Il faut faire attention ! Ainsi, je presse violemment sa poitrine ce qui ne semble absolument pas lui plaire puis la masse avec un peu plus de douceur. J’aime les seins de Su Nah, un véritable petit chef d’œuvre mais tout est là pour me signifier qu’elle n’a absolument pas l’intention de se laisser utiliser comme exemple. La voir ne rien dire, remarquer dans son regard toute la gêne qu’à provoquer mon geste puis enfin la voir frotter comme si sa vie en dépendait… Elle se rend alors compte qu’un morceau de tôle est manquante et semble déçue, me disant qu’il y a peu de chances de trouver ce genre de chose et de cette année très précisément à la casse.
Ainsi, je me décide à lui montrer ma pièce secrète contenant tout un tas de relique du passé, stockés pour ce genre d’occasions, elle semble surprise mais en même temps, admirative, pourtant, à cet instant, je la plaque contre le mur, l’embrassant avec envie. Je ne sais pas bien pourquoi j’ai fait cela, si c’est pour la provoquer, la tester ou si c’est parce que je ne pouvais pas me retenir en la voyant si joyeuse mais une nouvelle fois, cela ne lui plait pas du tout. Elle me repousse brusquement, en me traitant de malade tout en me jetant un regard noir. Elle me fatigue à tout prendre au premier degré mais en même temps, je la comprends, j’agirais probablement de la même façon si les rôles étaient inversés. Elle me dit alors que je sais qu’elle déteste quand j’agis ainsi. Je hausse les épaules ne disant rien, remarquant une goutte de sang sur sa lèvre. Je passe alors mon doigt sur les miennes et me rend compte que mademoiselle m’a mordu. Je fronce les sourcilles puis la laisse sur place en allant regardant les tôles. A vrais dire, je ne sais pas trop comment réagir, je commence à prendre un peu trop de liberté avec elle et j’ai bien l’impression que je cherche à me rapprocher d’elle. Cela ne me plait pas étant donné que je préfère des relations simples à des histoires d’amour compliqué ou dans le genre ou l’on se dit ce que l’on doit faire, ou on perd une certaine notion du mot « liberté. Je fixe les plaques et en trouve une avant de faire un signe à Su Nah pour qu’elle me rejoigne.
« Celle-ci est parfaite… Il faudra la repeindre avec une peinture spéciale d’époque mais… C’est exactement la même matière… »
Je sors l’objet et le soulève pour le mettre de côté avant de tourner le visage dans la direction de mademoiselle casse pied… Je la regarde droit dans les yeux, ne dis rien et me relève tout en la fixant avant de m’approcher d’elle pour la prendre dans mes bras tout en caressant ses cheveux.
« Euh… Pardon… Pour tout à l’heure… Pour le pelotage de nibards et… Ce baiser… Je t’aime bien Su Nah mais dès fois… Ben… J’agis comme toi comme je le ferais avec un pote même si je n’embrasse pas mes potes et qu'ils sont pas aussi sexy que toi... enfin bref…. Ce n’était pas cool de ma part et je m’en excuse. »
Moi ? M’excuser ? Woaw… C’est que vraiment je tiens à elle, ou tout du moins que bosser tout seul dans mon garage est plus moins amusant quand elle n’est pas là. Je la garde contre moi un instant avant de la repousser doucement pour prendre la plaque de tôle et sort de la pièce pour retourner devant la voiture que je fixe.
« On n'aura pas le temps de changer la tôle et de toute façon tant que ça n’est pas réparé… ça ne sert à rien…. Alors… J’ai une idée… »
Je prends doucement sa main et contourne le véhicule avant d’ouvrir l’une des portières qui se met à grincer alors que je m’assoit sur le siège du conducteur, la laissant me rejoindre sur l’autre siège.
« Tu imagines l’impression qu’on aura en la conduisant ? C’est… Grisant… »
Je commence à me demander ou je veux en venir… En fait je ne sais pas, c’est comme-ci soudainement, j’avais envie de lui plaire mais que je ne pouvais m’empêcher de jouer mon propre rôle de type qui ne sait pas ce qu’il veut et qui change d’attitude comme il change de véhicules.
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Su Nah & Ji Ho ❥ " Mais quel cul ! Non... je parle de la Jaguar là... "
Je sais que je suis quelque peu brute de décoffrage, surtout avec Su Nah, pas que je ne la respecte pas, bien au contraire, pas que je la prenne pour une poupée que je peux avoir quand j’en ai envie, que je touche sans un mot, qui se laisse faire. Non, Su Nah est l’une des rares personnes que j’apprecie vraiment et si je me comporte ainsi, c’est pour le lui montrer. Les relations ou tout du moins celles en rapport avec l’amitié voir un peu plus ne sont pas vraiment ma tasse de thé. Seulement, bien que je m’entende plutôt bien avec elle, il y a des choses qu’elle doit comprendre, après tout, c’est elle qui m’a demandé de lui enseigner ce que je savais concernant la mécanique, et rien de mieux qu’un exemple quelque peu douloureux pour faire passer le message. Quand on dit à un enfant de ne pas mettre ses doigts dans l’entrebâillement d’une porte, il continue à le faire jusqu’à ce qu’il se pince violemment et qu’il comprenne pourquoi il ne faut pas faire ceci ou cela. Ici, c’est pareil, on doit agir d’une certaine manière face à ce genre d’automobile comme lorsque l’on fait l’amour à une femme : Il faut faire attention ! Ainsi, je presse violemment sa poitrine ce qui ne semble absolument pas lui plaire puis la masse avec un peu plus de douceur. J’aime les seins de Su Nah, un véritable petit chef d’œuvre mais tout est là pour me signifier qu’elle n’a absolument pas l’intention de se laisser utiliser comme exemple. La voir ne rien dire, remarquer dans son regard toute la gêne qu’à provoquer mon geste puis enfin la voir frotter comme si sa vie en dépendait… Elle se rend alors compte qu’un morceau de tôle est manquante et semble déçue, me disant qu’il y a peu de chances de trouver ce genre de chose et de cette année très précisément à la casse.
Ainsi, je me décide à lui montrer ma pièce secrète contenant tout un tas de relique du passé, stockés pour ce genre d’occasions, elle semble surprise mais en même temps, admirative, pourtant, à cet instant, je la plaque contre le mur, l’embrassant avec envie. Je ne sais pas bien pourquoi j’ai fait cela, si c’est pour la provoquer, la tester ou si c’est parce que je ne pouvais pas me retenir en la voyant si joyeuse mais une nouvelle fois, cela ne lui plait pas du tout. Elle me repousse brusquement, en me traitant de malade tout en me jetant un regard noir. Elle me fatigue à tout prendre au premier degré mais en même temps, je la comprends, j’agirais probablement de la même façon si les rôles étaient inversés. Elle me dit alors que je sais qu’elle déteste quand j’agis ainsi. Je hausse les épaules ne disant rien, remarquant une goutte de sang sur sa lèvre. Je passe alors mon doigt sur les miennes et me rend compte que mademoiselle m’a mordu. Je fronce les sourcilles puis la laisse sur place en allant regardant les tôles. A vrais dire, je ne sais pas trop comment réagir, je commence à prendre un peu trop de liberté avec elle et j’ai bien l’impression que je cherche à me rapprocher d’elle. Cela ne me plait pas étant donné que je préfère des relations simples à des histoires d’amour compliqué ou dans le genre ou l’on se dit ce que l’on doit faire, ou on perd une certaine notion du mot « liberté. Je fixe les plaques et en trouve une avant de faire un signe à Su Nah pour qu’elle me rejoigne.
« Celle-ci est parfaite… Il faudra la repeindre avec une peinture spéciale d’époque mais… C’est exactement la même matière… »
Je sors l’objet et le soulève pour le mettre de côté avant de tourner le visage dans la direction de mademoiselle casse pied… Je la regarde droit dans les yeux, ne dis rien et me relève tout en la fixant avant de m’approcher d’elle pour la prendre dans mes bras tout en caressant ses cheveux.
« Euh… Pardon… Pour tout à l’heure… Pour le pelotage de nibards et… Ce baiser… Je t’aime bien Su Nah mais dès fois… Ben… J’agis comme toi comme je le ferais avec un pote même si je n’embrasse pas mes potes et qu'ils sont pas aussi sexy que toi... enfin bref…. Ce n’était pas cool de ma part et je m’en excuse. »
Moi ? M’excuser ? Woaw… C’est que vraiment je tiens à elle, ou tout du moins que bosser tout seul dans mon garage est plus moins amusant quand elle n’est pas là. Je la garde contre moi un instant avant de la repousser doucement pour prendre la plaque de tôle et sort de la pièce pour retourner devant la voiture que je fixe.
« On n'aura pas le temps de changer la tôle et de toute façon tant que ça n’est pas réparé… ça ne sert à rien…. Alors… J’ai une idée… »
Je prends doucement sa main et contourne le véhicule avant d’ouvrir l’une des portières qui se met à grincer alors que je m’assoit sur le siège du conducteur, la laissant me rejoindre sur l’autre siège.
« Tu imagines l’impression qu’on aura en la conduisant ? C’est… Grisant… »
Je commence à me demander ou je veux en venir… En fait je ne sais pas, c’est comme-ci soudainement, j’avais envie de lui plaire mais que je ne pouvais m’empêcher de jouer mon propre rôle de type qui ne sait pas ce qu’il veut et qui change d’attitude comme il change de véhicules.
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