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Mes toiles | Jun wan
Lim Ha Rin
❝ SCHOOL MASTER ✎ I MAKE THE RULE

Pseudo : Mawii
Célébrité : Lee Se Young
Messages : 23
Âge : 32
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Mes toiles | Jun wan | Sam 9 Sep - 2:58 Citer EditerSupprimer
@CHA JUN WAN
Enfin, ce jour est arrivé. J’ai travaillé très fort, jour et nuit, mes congés et temps libre afin d’avoir des toiles potentielles. J’ai peinturé énormément de toiles, recommencer d’autres, jeter certain et abandonner d’autres afin d’être satisfaite de mon travail. Le travail de lemon va être officiellement récompensé. J’ai su – il n’y a pas si longtemps – une petite exposition pour les artistes amateurs. C’était une chance pour moi de me faire connaître en tant qu’artiste et de me faire un nom. Des acheteurs vont pouvoir acheter les œuvres qui les intéressent. Peut-être, ils pourront demander à certains artistes de faire davantage de toiles pour éventuellement faire une véritable exposition ? Je ne sais pas et c’est une chance pour moi d’y aller. Une chance pour moi, car j’ai travaillé énormément dur afin d’être fière de mes peintures. Il a eu des hauts et des bas. Des querelles avec un personnage bizarre, mais aussi le syndrome de la page blanche. Pourtant, j’ai réussi à tout finir à temps. Mon inscription faite, il ne manquait plus qu’à faire le trajet pour tout exposer sur les murs. Cependant, ça ne sera pas une mince tâche à faire. Choisissant certaines de mes œuvres, il manque plus qu’un détail monumental : le transport. Je suis dans un appartement, je voyage en taxi et en bus. Je n’ai pas les moyens pour avoir un permis de conduire et une voiture. Qu’est-ce que je fais ? C’est hors de question que je marche jusqu’au lieu de l’exposition et hors de question d’arriver en retard. Il fallait trouver une solution.
Appeler un foutu taxi.
Un chauffeur qui pourra m’aider à tout mettre dans la voiture sans une égratignure, enfin, je l’espère. Ma vie serait totalement détruite si jamais une peinture est endommagée. Ce sont mes bébés. À défaut d’avoir des animaux de compagnie, à défaut d’avoir une vie de famille, ses toiles sont mes toiles. Je suis fière de les montrer, mais davantage si elles pouvaient voler de leurs propres ailes ! Qu’est-ce que je ferai avec une collection de peintures dans mon petit appartement ? Voilà. Ceci dit, deux ou trois à la fois en dessous des bras, je descends mon immeuble avec mes créations. J’ignore si le taxi est à l’heure où je ne sais quoi, mais je suis stressée. Stressée d’arriver en retard, stressée, car je suis excitée d’arriver sur les lieux et de tout installer. Toutefois, en arrivant en bas, je ne vois pas ma voiture en question. Je fronce les sourcils avant de tout déposer délicatement pour prendre mon téléphone. Il ne va pas être en retard, pas vrai ? Jusqu’à temps que je reçois une notification comme quoi qu’il vient tout juste d’arriver. Hein ? Je regarde autour et je vois justement un homme venir à ma rencontre en traversant la rue. « Mais vous ne pouvez pas venir de ce côté ? » Fis-je en lui grimaçant d’incompréhension. Normalement, on s’installe devant l’immeuble en question pour ne pas traverser la rue, pas l’inverse. Enfin, je le vois retourner à sa voiture et tenter sa démarche pour se stationner près de moi. Non, mais. Je me retrouve avec un abruti maintenant ? Ce n’est pas la bonne journée ! Bon, peu importe, on fera avec lui, je n’ai pas le temps de me casser la tête et de changer de taxi.
Je l’aide à rentrer mes toiles avec délicatesse avant de lui demander d’attendre pour chercher les autres. Je fais ça pour au moins deux ou trois voyages. C’était quoi l’idée d’apporter au moins dix de mes œuvres ? Je veux être certaine que mes peintures puissent intéresser quelqu’un et autant mettre les chances de mon côté avec mes meilleurs paysages. Officiellement, dans la voiture, je commence à manquer d’air sous le stress. J’essaie d’anticiper comment la soirée allait se dérouler et en même temps, je ne veux pas être déçue. Je sais néanmoins que le chauffard essayait de me faire la conversation, mais j’étais trop occupée à parler à moi-même. Est-ce que j’ai bien fermé chez moi ? Je n’ai rien laissé sur le feu ? Ai-je verrouillé la porte ? Est-ce que j’ai fait le bon choix ? Suis-je bien habillée ? Je continue comme ça jusqu’à temps qu’on arrive à la destination.
Arrivée là-bas, mon chauffeur a eu l’intelligence de me dire qu’il devait me laisser. « Hein ? » Fut ma réponse avant de m’expliquer qu’il a un autre client. J’essaie de comprendre ce chauffeur, mais je ne veux pas le comprendre en même temps. Je vais avoir un mal de crâne et le temps commence à jouer contre moi. Alors, mes toiles soigneusement déposées contre le lampadaire, j’essaie de prendre autant que possible. Toutefois, ce n’est pas une très bonne idée de faire un voyage de paresseux. Un accident est si vite arrivé. Je lève ma tête en soupirant avant de faire signe à la première personne que je croise : « Excusez-moi ! Pouvez-vous m’aider ? » Malheureusement, je n’ai pas réalisé que c’était cette fameuse petite étoile. Qu’est-ce qu’il fiche ici ?

Enfin, ce jour est arrivé. J’ai travaillé très fort, jour et nuit, mes congés et temps libre afin d’avoir des toiles potentielles. J’ai peinturé énormément de toiles, recommencer d’autres, jeter certain et abandonner d’autres afin d’être satisfaite de mon travail. Le travail de lemon va être officiellement récompensé. J’ai su – il n’y a pas si longtemps – une petite exposition pour les artistes amateurs. C’était une chance pour moi de me faire connaître en tant qu’artiste et de me faire un nom. Des acheteurs vont pouvoir acheter les œuvres qui les intéressent. Peut-être, ils pourront demander à certains artistes de faire davantage de toiles pour éventuellement faire une véritable exposition ? Je ne sais pas et c’est une chance pour moi d’y aller. Une chance pour moi, car j’ai travaillé énormément dur afin d’être fière de mes peintures. Il a eu des hauts et des bas. Des querelles avec un personnage bizarre, mais aussi le syndrome de la page blanche. Pourtant, j’ai réussi à tout finir à temps. Mon inscription faite, il ne manquait plus qu’à faire le trajet pour tout exposer sur les murs. Cependant, ça ne sera pas une mince tâche à faire. Choisissant certaines de mes œuvres, il manque plus qu’un détail monumental : le transport. Je suis dans un appartement, je voyage en taxi et en bus. Je n’ai pas les moyens pour avoir un permis de conduire et une voiture. Qu’est-ce que je fais ? C’est hors de question que je marche jusqu’au lieu de l’exposition et hors de question d’arriver en retard. Il fallait trouver une solution.
Appeler un foutu taxi.
Un chauffeur qui pourra m’aider à tout mettre dans la voiture sans une égratignure, enfin, je l’espère. Ma vie serait totalement détruite si jamais une peinture est endommagée. Ce sont mes bébés. À défaut d’avoir des animaux de compagnie, à défaut d’avoir une vie de famille, ses toiles sont mes toiles. Je suis fière de les montrer, mais davantage si elles pouvaient voler de leurs propres ailes ! Qu’est-ce que je ferai avec une collection de peintures dans mon petit appartement ? Voilà. Ceci dit, deux ou trois à la fois en dessous des bras, je descends mon immeuble avec mes créations. J’ignore si le taxi est à l’heure où je ne sais quoi, mais je suis stressée. Stressée d’arriver en retard, stressée, car je suis excitée d’arriver sur les lieux et de tout installer. Toutefois, en arrivant en bas, je ne vois pas ma voiture en question. Je fronce les sourcils avant de tout déposer délicatement pour prendre mon téléphone. Il ne va pas être en retard, pas vrai ? Jusqu’à temps que je reçois une notification comme quoi qu’il vient tout juste d’arriver. Hein ? Je regarde autour et je vois justement un homme venir à ma rencontre en traversant la rue. « Mais vous ne pouvez pas venir de ce côté ? » Fis-je en lui grimaçant d’incompréhension. Normalement, on s’installe devant l’immeuble en question pour ne pas traverser la rue, pas l’inverse. Enfin, je le vois retourner à sa voiture et tenter sa démarche pour se stationner près de moi. Non, mais. Je me retrouve avec un abruti maintenant ? Ce n’est pas la bonne journée ! Bon, peu importe, on fera avec lui, je n’ai pas le temps de me casser la tête et de changer de taxi.
Je l’aide à rentrer mes toiles avec délicatesse avant de lui demander d’attendre pour chercher les autres. Je fais ça pour au moins deux ou trois voyages. C’était quoi l’idée d’apporter au moins dix de mes œuvres ? Je veux être certaine que mes peintures puissent intéresser quelqu’un et autant mettre les chances de mon côté avec mes meilleurs paysages. Officiellement, dans la voiture, je commence à manquer d’air sous le stress. J’essaie d’anticiper comment la soirée allait se dérouler et en même temps, je ne veux pas être déçue. Je sais néanmoins que le chauffard essayait de me faire la conversation, mais j’étais trop occupée à parler à moi-même. Est-ce que j’ai bien fermé chez moi ? Je n’ai rien laissé sur le feu ? Ai-je verrouillé la porte ? Est-ce que j’ai fait le bon choix ? Suis-je bien habillée ? Je continue comme ça jusqu’à temps qu’on arrive à la destination.
Arrivée là-bas, mon chauffeur a eu l’intelligence de me dire qu’il devait me laisser. « Hein ? » Fut ma réponse avant de m’expliquer qu’il a un autre client. J’essaie de comprendre ce chauffeur, mais je ne veux pas le comprendre en même temps. Je vais avoir un mal de crâne et le temps commence à jouer contre moi. Alors, mes toiles soigneusement déposées contre le lampadaire, j’essaie de prendre autant que possible. Toutefois, ce n’est pas une très bonne idée de faire un voyage de paresseux. Un accident est si vite arrivé. Je lève ma tête en soupirant avant de faire signe à la première personne que je croise : « Excusez-moi ! Pouvez-vous m’aider ? » Malheureusement, je n’ai pas réalisé que c’était cette fameuse petite étoile. Qu’est-ce qu’il fiche ici ?
vmicorum.
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