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no more awkwardness

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Re: no more awkwardness | Mar 25 Aoû - 1:57
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insu&yegi

J’aurai aimé me convaincre du fait que je n’étais pas allée jusqu’au bout de mon acte pour la simple et bonne raison que j’avais peur de faire quelque chose que je regretterai, mais ce n’était pas le cas. Non, je m’étais détournée parce que je voulais le faire mijoter un peu plus. Mon âme de joueuse avait repris le dessus, et je m’étais donc déjà enfoncée dans une spirale de laquelle je ne pourrais plus sortir, et j’en étais bien consciente. Je voulais le faire attendre pour savoir qui de nous deux craquerait en premier, sachant que je pouvais de mon côté très bien tenir la distance. « Tu me connais bien.» lui répondis-je un sourire narquois affiché sur mon minois, puis je bus mon shot juste après lui, histoire de lui montrer que j’étais bel et bien d’humeur joueuse. Je savais que la tequila risquait de me faire passer de l’autre côté, sachant que j’avais déjà bu un peu avant, mais soit, je ne voulais plus me prendre la tête. Finalement, je ne pus m’empêcher de rire à la phrase clichée qu’il dit juste après. Venant de lui, ça ne m’étonnait même pas. Pourtant, il y avait une part de vérité dans ses propos. Si l’on pouvait mesurer à quel point une fille était chaude,  j’aurai surement déjà déréglé la machine dédiée à cet effet en ce moment même. Mais une fille ne montrera jamais à un mec qu’elle a les même envies que lui. Non, elle laissera le garçon gesticuler autour d’elle, lui faisant croire que c’est parce qu’il l’a bien manoeuvré qu’elle a finalement cédé, alors que depuis le début elle était totalement OP. C’était l’attitude que j’adoptais en quelque sorte en ce moment, bien que ce soit difficile à tenir sachant la distance à laquelle il était de moi, si distance il y avait vraiment. Je me laissais d’ailleurs totalement faire quand il décida d’utiliser mon bras pour y faire glisser le sel. Si le fait de sentir sa peau contre la mienne il y a quelques minutes m’avait déjà excité, je ne peux même pas décrire l’effet que sa langue me produisait.

Je pris le sel qu’il avait déjà dirigé vers moi. Ce n’était pas la première fois qu’on jouait à ce petit jeu. Je me souviens d’une soirée chantilly et chocolat qui s’était terminée en jeu coquin. Ce soir c’était différent et pourtant un esprit similaire m’animait. Je fis donc glisser dans un premier temps le sel entre son épaule et le creux de son cou. Je me rapprochais ma tête vers sa nuque. « Tu n’imagines même pas ce que je t’aurais fait si on était seul...» lui susurrai-je à l’oreille avant de lécher langoureusement la partie où les grains de sel s’étaient logés. Puis je bus mon deuxième shot de tequila d’une traite avant de mordre dans le citron immédiatement après. J’avais presque oublié à quel point ça tuait, tellement j’évitais cet alcool depuis longtemps. Ca vous décime le palais, mais une fois que ça vous monte à la tête, vous vous sentez au maximum de vos capacités. C’est précisément dans cet état que je me trouvais en ce moment. Et c’est pour cela que je ne comptais pas m’arrêter sur une si bonne lancée, ce serait trop bête n’est-ce pas? Je répétais l’opération, cette fois-ci après avoir laissé glisser le sel sur son index. Mon regard plein de malice plongé dans le sien, je léchais son doigt avant de suivre de nouveau le même rituel. Oh oui, je jouais. Peut-être même un peu plus que je n’aurais dû. Mais n’était-ce pas donc pas ce que nous recherchions depuis tout à l'heure ? Jouer, sans se préoccuper du reste.






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Re: no more awkwardness | Mar 25 Aoû - 18:38
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insu&yegi
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Dieu que cette fille me rendra dingue. Elle a juste cette façon de me regarder quand elle a envie de moi et ça pourrait me mettre à genou. Je m’en fou d’être celui qui court après. Je m’en fou d’être celui qui est esclave de ses envies. C’est encore plus érotique de la voir me dominer. Ça lui va bien. Tellement bien. Et j’aime à croire que ça nous va bien. Je la laisse approcher, glissant ma main sur ses hanches. Remontant dans le creux de ses reins je me retiens de mordiller sa peau fine. Mais je préfère de loin la laisser glisser sa langue sur ma peau et penche même la tête pour lui laisser un meilleur accès. Je frissonne en fermant les yeux. Oh oui je sais de quoi elle est capable, et rien que d’y penser j’ai envie d’elle. Et la foule ? Je m’en fou. J’ai envie de l’allonger dans cette banquette et de l’embrasser à en perdre mon souffle. J’ai déjà envie de l’entrainer chez moi pour la mettre nue dans mon lit. Redécouvrir son corps qui doit avoir un peu changé depuis le temps. La laissant s’éloigner à contre cœur je la regarde faire son petit manège la gorge sèche. Je suis chacun des mouvements de ses lèvres sur son doigt, replongeant dans des souvenirs que m’apparaissent tout à coup si frais. Pourquoi on a rompu déjà ? Ah oui. L’engagement. Putain. Quand je la vois s’amuser comme elle le fait, à ma torture, j’ai envie de lui dire d’arrêter, je fronce d’ailleurs mes sourcils pour lui montrer mon mécontentement. Mais bien vite je laisse place à un sourire joueur. J’attrape son poignet et tire soudainement vers moi pour venir sucer son index recouvrant mes lèvres là où ses les siennes se sont perdues. Ma langue s’amuse à taquiner le bout de son doigt, comme j’ai toujours su la taquiner. Ailleurs. Sur son corps. A des endroits beaucoup plus réceptifs. M’approchant un peu plus d’elle je viens déposer un baiser dans le creux de sa paume. Un autre sur son poignet. Suivant la courbe de son bras en remontant jusqu’à son épaule. J’attrape un shot de tequila pour humidifier mes lèvres que je viens perdre dans le creux de son cou. Et déjà un bras possessif se perd dans le creux de son dos pour la tirer vers moi. je remonte à sa mâchoire déposant des baisers mouillés en perle sur sa peau. Je frôle ses lèvres sans jamais venir l’embrasser. J’ai envie de la faire craquer. J’ai envie de la faire céder. Ma main libre se perd sous son bustier, pour venir griffer ses hanches et son ventre que je dévoile doucement. Toujours en respectant les limites … je souris contre sa peau et inspire l’odeur de son parfum qui me fait frémir. Je remonte jusqu’à son visage en glissant un shot de vodka entre nous. Je fixe son regard avec un sourire joueur et fait glisser l’alcool sur sa peau, mouillant quelque peu son bustier. Mes voilà déjà mes lèvres qui viennent se perdre sur sa peau. Je bois le liquide qui coule sur sa peau avec délice et aspire avec ma langue, taquinant le creux entre ses seins avant de remonter à son cou. J’aime le choix de la banquette dans le coin de la salle. Et les gens sont tellement tous occupé avec leur propre jeu qu’ils ne font pas attention à nous. Et moi je veux la rendre dingue. Et moi je veux l’allumer, la faire s’embraser. Mes doigts se crispent sur ses hanches quand dans mon pantalon, je me sens déjà devenir à l’étroit. Est-ce utile de préciser que j’ai rien fait depuis presque un mois et demi ?

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Re: no more awkwardness | Mer 26 Aoû - 2:07
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Souvent, à trop vouloir jouer, on finissait par perdre. Dans le cas d’espèce, j’avais fini par me prendre à mon propre piège. J’avais voulu jouer avec lui, le chauffer, le titiller, l’exciter, pour voir comment il réagirait, pensant que j’aurais pu de mon côté contrôler mes élans, mais en fin de compte c’était moi qui était de nouveau totalement séduite. Ca avait déjà été le cas auparavant, mais je pensais pouvoir lui résister cette fois-ci... Mais j’ai eu tord. Complètement tord. J’étais maintenant coincée dans quelque chose qui me dépassait totalement, et dont je ne maitrisais plus les issues. Ce que j’avais oublié, c’était qu’autant je savais ce qui pouvait le faire vibrer, mais il en était aussi de même pour lui à mon égard. Sentir ses baisers sur ma peau et ses mains parcourir mon corps... il avait cette façon de me toucher qui pouvait décupler mon désir en un instant. Entre ses bras, j’étais comme captive, mais je ne voulais pas m’échapper. Non, je voulais rester et le laisser faire ce qu’il voulait de mon corps. Tout doucement, à chaque centimètre de peau qu’il conquérait, je me sentais faillir un peu plus. Pourtant, une part de moi ne voulait toujours pas céder complètement.  Même lorsque ses lèvres frôlaient les miennes, je me retenais pour ne pas l’embrasser, alors que j’en avais clairement l’envie. Cependant, lorsque je sentis les quelques gouttes d’alcool perler sur ma peau, et ses lèvres sur mon bustier, tous mes sens étaient de nouveau en éveil. Ma respiration s’accentuait. Je sentais la sienne sur mon cou, ses doigts déjà placés là où il le fallait. C’était bon. J’étais à lui. J’étais sienne. Je ne voulais plus me desserrer de l’étreinte, au contraire, je voulais la resserrer. A mon tour, je me rapprochais encore un peu plus de lui, passant la main sous son haut. Je dégageai finalement mon cou pour pouvoir l’avoir en face de moi. Je plongeais ensuite mon regard dans le sien. Il n’avait jamais été aussi intense. Le sourire malicieux que j’affichais lui montrait clairement ce que je m’apprêtais à faire. Tout en continuant de le caresser sensuellement sous son haut, je me rapprochais doucement, jusqu’à frôler de nouveau ses lèvres. Oh oui, on ne faisait que se frôler depuis un moment, mais j’en voulais plus. Il m’avait donné envie d’en avoir plus. Je ne voulais plus m’arrêter là. Je ne voulais plus simplement jouer. Je voulais aller plus loin. J’allais aller plus loin. Je n’arrivais plus à me retenir. Le désir qu’il avait provoqué en moi m’avait rendu complètement folle. Je fermais alors les yeux, et sans plus me retenir, je l’embrassais. C’était d’abord un baiser timide, plein de retenu.  Puis, commençant à réaliser mon acte, je finis par l’embrasser plus fougueusement, comme si j’assumais enfin pleinement ce que je faisais. Ma main remontait, jusqu’à atteindre sa nuque que je caressais tout aussi sensuellement, pour accompagner les mouvements de langue dans sa bouche. Si je pouvais, j’en aurais fait plus, mais le fait que bien qu’isolés, nous soyons dans un lieu public, m’empêchait de réaliser complètement ce qui me passait par l’esprit. C’était peut-être un signe, pour nous empêcher d’aller plus loin. Pourtant, mon corps n’était pas de cet avis. Etait-il trop tard pour revenir en arrière et tout arrêter ? Ca semblait presque impossible.  






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Re: no more awkwardness | Sam 5 Sep - 17:17
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La chaleur entre nous venait d’exploser mon bas ventre. Si elle pensait que je pouvais décemment me retenir comme ça pendant des heures elle se trompait. Je voulais bien jouer avec le feu, mais je me brûlais là. Je brûlais littéralement. Et elle le sait que je m’enflamme rapidement. Trop rapidement. Je dois prendre sur moi. Alors je tente de calmer le jeu dans ma tête, et surtout celui dans mon pantalon. Je glisse mes doigts sur sa peau et glisse dans le creux de ses reins. Je remonte doucement dans son dos alors qu’elle frôle mes lèvres avec délice. Puis avec plus de passion. Putain. Ses lèvres. J’en avais presque oublié le goût. Le goût délicieux. Je souris dans notre baiser face à sa fougue. Son regard, son sourire. Putain elle savait jouer avec moi. Et je savais que j’avais gagné. Dès l’instant où elle avait commencé à flirter avec moi. Je suis le vainqueur de l’histoire et je compte bien en profiter. Finalement les bonnes vieilles habitudes reviennent. Peu de dialogue, mais beaucoup d’intensité dans la façon qu’on a de se regarder et de se toucher. Je réponds à son baiser avec la même folie, sans aucune gêne et glisse jusque dans son cou en frissonnant. J’ai envie d’elle putain, si elle pense que c’est la foule qui va me gêner c’est qu’elle a oublié comment j’étais. « T’aurais pas dû mettre un jean. » lui susurrais-je à l’oreille, m’imaginant déjà glisser une main entre ses cuisses. Je me contentais de griffer la peau nue de son ventre alors que je l’attirais à nouveau pour l’embrasser. Je voulais reprendre le dessus, c’était bien ce à quoi nous jouions depuis quelques minutes. Me redressant je l’attirais à moi pour la faire glisser sous mon corps sur cette banquette suffisamment grande pour nous. « tu te souviens » lui murmurais-je en glissant mes lèvres le long de sa mâchoire, glissant jusqu’à son cou que je dévore avant de descendre à sa poitrine que je taquine à travers le tissu. C’est dingue cette facilité que j’ai de trouver la pointe durcie de ses seins. Je glisse sur son ventre que je mordille au passage et fait sauté le bouton de son jean en balayant mon souffle sur son bas ventre. Je remontre sur son ventre et viens taquiner son nombril de ma langue en embrassant ensuite sa peau. Sa peau perlée de sueur salée que je dévore avec plaisir. Attrapant un verre de vodka je repli son haut en remontant lentement jusqu’à la limite de ses seins. Je verse l’alcool doucement avant de venir le récupérer à coup de langue taquine. Je ris contre sa peau et balaye mon souffle pour la faire frissonner. Je m’allonge sur elle avant de venir me saisir de ses lèvres que j’embrasse sans demander la permission alors que ma main se perd sous son haut avec indécence. Indécence que je cache habilement. Mais ce n’est pas suffisant. J’en veux encore plus. Je frissonne et me redresse, les deux mains posés de chaque côté de son visage. « Ye Gi … » murmurais-je sans être sûr qu’elle n’ait pu l’entendre. Elle pourra au moins le lire sur mes lèvres. Je lui vole un dernier baiser et descend de cette banquette en tentant de cacher mon excitation bien à l’étroit dans ce jean. Je lui lance un regard amusé avant de boire cul sec le dernier verre sur la table et m’éloigne sans rien ajouter. J’ai besoin d’air et j’ai surtout besoin d’elle. Elle me suivra si elle veut que la nuit continue en beauté. Une fois dehors je rejette ma tête en arrière en inspirant longuement. J’oublie que le commissariat est à deux pas. J’oublie pour ne pas foutre ma soirée en l’air. Et je l’attends, un sourire amusé aux lèvres, adossé à ce réverbère qui me soutient à peine.

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Re: no more awkwardness | Lun 7 Sep - 19:48
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Je tremblais. Je frissonnais. J’étais toute émoustillée. Mon corps frissonnait de plaisir, et chaque frôlement de sa peau sur la mienne me procurait un plaisir que je ne saurais décrire. J’avais fait preuve d’une certaine pudeur jusqu’alors, essayant de me retenir, mais j’étais contente de constater qu’il avait décider d’en faire autrement. J’avais l’impression qu’on avait enfin pleinement retrouvé nos habitudes et nos automatismes passés. Je me laissais totalement faire. Il est vrai que j’avais cette image de fille brusque au fort caractère qui me collait à la peau, mais quand on savait m’apprivoiser comme il le faisait, je savais aussi me faire plus petite, me laissant guider surtout par ses impulsions.  « Tu te souviens. » Oh oui je me souvenais de toutes nos parties de jambes en l’air, et pas qu’un peu. Sans exagérer, c’était l’un des mecs avec qui j’avais été le plus en phase physique, et il me le prouvait encore aujourd’hui. Ses caresses et ses baisers m’avaient manqués, et je ne pouvais que m’en délecter un peu plus à chaque instant. Je lui rendais ses baisers avec la même passion, et mes mains se perdirent dans d’innombrables caresses sous son haut. J’étais tout aussi frustrée que lui de ne pas pouvoir en faire plus, mais en même temps je pensais que c’était peut-être préférable pour le moment. Je me retenais en réprimant des petits gémissements que j’aurais laissé échapper en temps normal. Quand il prit mon visage au creux de ses mains, mon regard plongé dans le mien, je comprenais de nouveau pourquoi il était si dur pour moi de lui résister. Finalement, le laissant desserrer l’étreinte puis s’en aller, j’en profitais pour me redresser et me ventiler un peu. J’avais tellement chaud. Je remis mon bouton de jean pour m’adossait de nouveau sur la banquette. L’excitation s’étant envolée, je reprenais peu à peu mes esprits. Je ne savais pas quoi penser de ce qui venait de se passer. Je ne regrettais pas d’avoir succomber à la tentation, mais en même temps, je me souvenais que l’objet de mon invitation de base était tout autre. Si je lui avais envoyé ce message, c’est parce que je voulais rompre le malaise entre nous et essayer de faire en sorte que l’on devienne ami. Se sauter dessus, de cette manière, n’allait en rien arranger mon cas. Passant la main dans mes cheveux pour les dégager de mon visage, je lâchai un soupir exprimant le fait que je n’étais pas en mesure de gérer toute la complexité de la situation. Et disons que les shots de tequila ne m’aidait pas non plus à y voir plus clair. Me relevant finalement, je sortie du bar pour le rejoindre. Le voyant adossé sur le réverbère, je me rapprochais de lui, tout en laissant une certaine distance entre nous. « In Su... » Je ne savais pas vraiment par où commencer, qu’est-ce que je voulais réellement lui dire. Je continuais à le fixer, laissant ma phrase en suspens, puis je finis pas rire nerveusement. « Tu vas me trouver bête mais... » Je me stoppais de nouveau. J’essayais de nouveau de chercher mes mots, sans vraiment les trouver, l’alcool, en plus de l’appréhension, n’aidant une nouvelle fois pas. Je finis par me rapprocher complètement de lui,  et je passai les mains autour de son cou. « Tu penses qu’on sera ami, un jour ? » Non pas que c’était ce qui m’importait le plus à l’instant t. Pour le moment, j’avais purement et simplement envie de lui. Mais je savais qu’une fois cet épisode passé, la question se poserait peut-être une nouvelle fois.




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Re: no more awkwardness | Mer 16 Sep - 16:03
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L’air frais eu le mérite de me remettre les idées un peu dans le bon ordre. Il fallait que je m’éloigne d’elle où j’allais avoir du mal à me contenter de simple baisers sur une banquette. J’étais déjà bien à l’étroit dans mon pantalon et j’avais besoin de me soulager. La pression de mon jean me faisait grimacer et tentant de me faire discret, je glissais une main dans mon calbute pour redresser mon anaconda. Non mais sérieux fallait pas trop m’en demander. L’alcool qui coulait dans mes veines me montait à la tête rapidement. Trop rapidement. Et on pourra retourner à l’intérieure si elle le veut, mais je risque de ne pas avoir envie de danser ni de discuter dans ce boucan infernal. Je suis ce genre de mec, ce n’est pas ma faute. Une jolie fille bustier, qui plus est mon ex, et que je connais que trop bien, on ne peut pas me demander de rester sage. C’est comme nous foutre devant un McDo bien gras ; le sandwich qu’on préfère, et nous demander d’attendre. Bien sûr on a le droit de toucher et renifler l’odeur alléchante. Mais consommer, oh la non mon ami, ça c’est interdit. J’inspire longuement l’air frais avant de voir la miss revenir dans un état pas beaucoup plus frais que le mien. Je ne bouge pas quand elle arrive, je n’ai pas la foi. Je la laisse approcher lentement et la fixe. Son expression est différente. Je penche la tête sur le côté et tente de la déchiffrer, je n’ai jamais été très pour ça en temps normal, alors ce soir risque d’être plus compliqué encore. Je fronce les sourcils, concentré, mais je n’ai pas besoin de me torturer bien longtemps que la voilà me demander ce qui la tracassait. Je la fixe surpris de cette question et ne peux m’empêcher de penser que c’est vraiment des questions de filles, un peu à la con disons-le. Je ne sais pas vraiment quoi dire sur le coup. Je n’ai pas envie de lui lâcher un non brusque alors qu’on pourrait l’être … le seul truc c’est que j’ai envie d’elle. Est-ce qu’on couche avec ses amis ? « J’en sais rien » avouais-je le plus sincèrement possible. « C’est juste que … » je cherche mes mots bien que ce soit difficile à cet instant « on ne couche pas avec ses amis … encore moins si c’est des ex. » mais c’est con. Je veux dire, on n’est pas obligé de se cantonner à des cases. J’ai l’impression d’être à la sécu. Si elle est mon ex, elle ne peut pas être mon ami ? Genre ce n’est pas cumulable ? Putain même à McDo c’est plus cool les promotions. Je tends une main vers elle pour l’approche de moi et glisse mes paumes chaudes sur ses hanches « Mais ça veut pas dire que je ne veux pas … » assurais-je avec un sourire en coin. Je cale ma tête en arrière contre le réverbère et la fixe en passant une main dans ses cheveux. « C’est ce que tu veux de moi Ye Gi ? Qu’on soit ami ? » Je l’avoue, vu l’état dans lequel j’étais ça me dérangeait. Je veux dire, on s’est allumé pendant un long moment, alors la voir me friendzoner comme ça … c’est violent. Mais je comprends. Je ne cherche même pas à l’allumer en disant ça, ni à la faire changer d’avis, mais faut avouer que je défends ma cause «  J’ai envie de toi … » murmurais-je en glissant mon regard sur ses lèvres et son décolleté. « Mais si tu préfères qu’on soit ami, alors on peut rester ami. » mes doigts, vils et cruelles, se glissent dans le creux de ses reins que je caresse doucement. Je presse son bassin un peu plus contre le mien et lui sourit innocemment. Je plisse mes yeux doucement pour mieux l’observer, la tête toujours appuyé contre ce poteau.

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Re: no more awkwardness | Mer 16 Sep - 19:30
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J’avoue que j’ai toujours eu tendance à me moquer des filles qui s’épanchaient sur leurs états d’âme et qui n’arrivaient pas à mettre au clair leurs relations avec les mecs. Pour moi, tout avait toujours été noir ou blanc, et il n’y avait jamais eu d’entre deux. Je n’adressais plus la parole à la majorité de mes exs, et pour le peu d’entre ceux à qui je parlais encore... je n’avais plus aucune attirance particulière envers eux. Du coup, me retrouver à réfléchir à ce genre de choses devant lui m’était difficile, sachant que je n’avais jamais eu à expérimenter ce genre de cas par le passé. Et sa première réponse ne m’aidait pas non plus à y voir plus clair... Il n’en savait rien ? Nous voilà bien avancé. J’avoue que je comptais un peu sur lui pour alléger ma réflexion. Cependant, il marquait un point ; les amis n’étaient pas censé coucher ensemble. Pourtant, même si je voulais que l’on reste ami, je ne pouvais m’empêcher de le désirer ardemment sur le moment. Même si sentir enfin l’air frais me permettait de m’alléger en quelque sorte de l’excitation passée, mes intentions n’avaient pas changées. Mais ce dilemme entre ma raison et mes pulsions corporelles me poussaient à me poser quelques questions avant de me lancer tête baissée dans ce qui était loin de m’être inconnu. Enfin, réflexion... c’était un bien grand mot. Alcoolisée comme j’étais, je n’étais pas non plus en mesure de produire le raisonnement le plus poussé qu’il soit. Toujours les mains autour de son cou, je le laisse ses doits parcourir cette zone de mon corps qu’il a déjà mainte fois explorée. C’est notamment ces sensations qui m’empêchaient d’émettre un jugement clair et définitif sur ce que je voulais vraiment. En clair, je n’en savais rien, et je n’en saurai surement pas plus. Et l’entendre dire qu’il avait envie de moi n’arrangeait pas les choses. Je ne savais pas vraiment quoi déceler de son sourire innocent. Je perdais mes yeux dans les siens, comme pour tenter d’arrêter le temps afin de ne pas avoir à lui répondre. Mais je ne pouvais pas y échapper comme ça, n’est-ce pas ? Et puis c’est moi qui ai eu la merveilleuse idée de lance ce sujet, donc... « Ce n’est pas que je préfère que l’on soit ami... » commençai-je par dire, sans vraiment savoir ce que j’allais ajouter par la suite. J’allai plutôt parler au flot de mes pensées. « C’est jute que... j’ai peur qu’après ce soir, on reprenne nos distances, comme avant. » Parce qu’il ne fallait pas oublié qu’après notre rupture, on a eu notre lot de maladresses et de moments de froid... et ça, c’était quelque chose que je ne voulais plus expérimenter de nouveau. Enfin, ce n’était pas en quelques minutes que l’on allait trouver une solution, et ce n’était surtout pas parce que je lui quémandais une hypothétique amitié ce soir que tout se passerait comme je le voudrais dans le futur. Et puis, si je voulais vraiment que l’on reste ami, sans aller plus loin ce soir, je n’aurai même pas hésité à le lui dire avant. Alors, le fait même que j’hésite montrait que j’en voulais plus, et je ne m’en cachais même plus. « Laisse tomber, c’est l’alcool qui me fait me poser des questions bêtes. » fini-je par lui dire en riant, tout en resserrant l’étreinte. Me sentir aussi près de lui à ce moment me faisait réaliser que je ne voulais qu’une chose, et que je n’allais pas le laisser filer ce soir.  D’ailleurs, je préférais largement le calme et le silence que nous proposait la rue à cette heure-ci, plutôt que le bruit, l’agitation et la chaleur à l’intérieur du bar. Le regard malicieux, je me pinçai légèrement les lèvres. « On est quand même mieux là... même s’il fait un peu plus froid. ».  Je continuai à caresser son cou, tout en passant parfois la main dans ses cheveux. « J’ai besoin que tu me réchauffes... » lui susurrai-je finalement, avant de l'embrasser. Plus de questions, plus d’hésitations. Je savais ce que je voulais, et j’allais l’avoir.



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Re: no more awkwardness | Mer 16 Sep - 20:23
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Je la laisse s’exprimer parce que je ne sais pas quoi lui dire. Je la trouve presque mignonne à réagir comme ça. J’ai l’esprit trop high pour réellement saisir ce qu’elle veut dire, mais ça me fait sourire de voir qu’elle veut se rapprocher de moi. Et pas seulement pour du sexe. Je n’ai pas l’habitude d’être ami avec mes ex, avec les filles en générale. Ce n’est pas que je n’y crois pas. C’est juste que les filles que j’aime côtoyer, elles sont généralement les filles pour qui je ressens une attirance physique. Ca complique fortement les choses. Je frissonne quand elle me caresse la nuque, ça me fait du bien, vraiment du bien. Je ferme les yeux et me contente de sourire en coin. Elle bafouille, se perd dans ses explications, et je la sens se rapprocher de moi, doucement, assez pour me faire comprendre que cette question sortie de nulle part est à oublier. Et moi je l’oubli. Je l’oublie parce que c’est plus simple. Je ne suis pas du genre à réfléchir ou à me prendre la tête. On verra demain comment ça sera. Si ça se trouve c’est elle qui ne voudra qu’on se parle ; après tout, c’était souvent elle qui faisait demi au bout du couloir quand elle me voyait. Je glisse une main à ses fesses pour la presser un peu plus contre moi. ses lèvres viennent me trouver à nouveau et sa supplique me fait frissonner. Mon bras vient se referme sur la cambrure de ses reins. Je la presse contre moi en l’embrassant soudain avec une pudeur envolé. Ma langue joue avec la sienne et mes lèvres dévorent les siennes avec avidité. Ma main qui caressait ses fesses vient se perdre dans sa nuque que je caresse doucement. Elle est bloquée dans l’étau de mes bras et je lui promets la plus douce des tortures. Mes lèvres glissent sur sa mâchoire et le creux de son cou où je lui murmure « J’ai envie de toi Ye Gi, je ne sais pas si ça fait de moi autre chose que ton ami, mais là, tout de suite j’ai envie de retrouver ce qu’on avait … » et elle sait que je fais référence à nos nuits torrides, à nos matins calmes. On s’enlaçait, retrouvant nos souffles. Allongés sur le dos. Le regard dans le vague. La simple chaleur de l’autre nous faisait du bien. Son parfum. La douceur de sa peau. Je ne pouvais pas être amoureux d’elle, mais elle m’obsédait à sa manière. Je remonte à son visage, que j’observe à la dérober. Je dégage les mèches qui se perdent sur ses yeux et lui caresse la joue. « Je vais rien te promettre, mais si demain tu veux qu’on arrête de se fuir, alors on arrêtera de se fuir. » c’est tout … je viens l’embrasser, presque tendrement. Dire qu’il y a quelques minutes j’avais une main qui se glissait dans sa culotte. J’inversais nos positions pour la plaquer contre le poteau et soupira bruyamment contre ses lèvres. « On peut aller chez toi ? Chez moi c’est pas possible ce soir … et je me vois pas attendre » Chaque phrase était entrecoupée de baisers et de bout de peau que je mordille sous mes dents. Je finis ma phrase en lâchant d’ailleurs un petit rire pressé en me collant à elle pour qu’elle se rende compte de la torture qu’elle m’infligeait. Si je pouvais, je la prendrais là, toute de suite, maintenant, mais bon sang attendre me grisait encore plus. Mêlant mon souffle au sien je viens taquiner son corps d’une main habile pour la faire céder plus vite. Et on s’en fou si c’est en dortoir, il y a aura bien une chambre de libre quelque part … Pressant son bassin contre le sien, je lui susurrais, la taquinant un brin sur sa question précédente « laisse-moi te montrer à quel point je veux être ton ami … »


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Re: no more awkwardness | 
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Une petite réponse rapide

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