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ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself

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ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 14:48
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Ikeda Masao
i don’t have the strength to die

   
#beau parleur
#impulsif
#charmeur
#colérique
#studieux
#party animal
#manipulateur
#audacieux
#vulgaire
#observateur
   
NOM : Ikeda. Le nom de famille de ma mère, parce que mon père fut trop bâtard pour rester avec nous. PRÉNOM : Masao et, si l’on en croit les kanjis, ça voudrait dire « homme gracieux ». J’ai un doute. ÂGE : 27 ans depuis le 3 août. ORIGINES : Japonais de par ma mère. Je n’ai aucune idée d’où vient mon père, mais ce serait coréen. NATIONALITÉ : Japonaise. CLASSE SOCIALE : Médiocre, mais je m’en sors. ORIENTATION SEXUELLE : J’ai un penchant pour les boobs. CURSUS UNIVERSITAIRE : Étudiant en pharmacologie. MÉTIER : Je vends de la drogue un jour, comme je peux être DJ le soir d’après. Je prends ce qui passe. Code du règlement : c’est encore Baymax, le film que j’ai pas vu? TU VEUX T'INVESTIR? : j’veux foutre la merde chez mes requins ♥️

    “ Rumour has it : il aurait une collection de voitures anciennes qu’il a lui-même retapées (f. même s’il adore les bagnoles, il n’a même pas les moyens d’en avoir une seule.) + il a dû redoubler plusieurs classes parce qu’il est exécrable en cours. on se demande d’ailleurs comment il a fait pour entrer en pharmaco. (f. il n’a pas redoublé. il aurait dû être plus avancé dans ses études, mais a dû arrêter un bon moment, ce qui a retardé son parcours.) + il se droguerait en permanence, c’est pourquoi il a également choisi ce domaine d’étude. (v&f. c’est vrai qu’il se drogue, mais il a choisit ce cursus parce que ça l’intéresse vraiment.) + il est semi-aveugle de l’œil droit. (v) + il a passé un an en prison. (v, son ancienne copine a porté des accusations d’agression sexuelle à son égard, et comme elle était mineure à ce moment, le juge l’a reconnu coupable.) + la plupart de ses tatouages on été fait en prison (v. ils ont tous une signification particulière.) + il est extrêmement pudique et les contacts humains le rendent affreusement mal-à-l’aise. (f. vous pensiez quoi?) + il fait de la boxe pour s’empêcher de défoncer qui que ce soit. (v. gare à vos fesses.)

“ Caractère : Le premier conseil que je vous offre, c’est de ne pas trop me faire confiance. C’est plus pour vous que pour moi, mh. Parce que même si je vous le dis à l’avance, je trouverai tout de même le moyen de vous faire tomber en amour avec ma personne. Mon côté manipulateur est bien développé et je ne me rends pratiquement plus compte de son utilisation. C’est inné. Comme si ça avait toujours fait partie de ma personne alors qu’au final, c’est un côté que je me suis créé avec le temps. Côté manipulateur qui s’est développé en même temps que mon côté impulsif, comme si les deux venaient toujours de pair. C’est satisfaisant de ne jamais savoir ce qui nous attend. De toujours se laisser bercer par l’inconnu. Je n’aime pas calculer les choses à l’avance, je préfère faire la première chose qui me passe par la tête – sauf si, bien entendu, je décide moi-même de planifier tout à l’avance. Paradoxal? Pas du tout. J’ai également ce goût prononcé pour l’aventure, cette audace que peu de gens apprécie. J’aime repousser mes limites, les limites en général. Je vous traînerai aussi loin que possible, je braverai tous les dangers. Vous protéger? Peut-être que je le ferai, si j’ai une bonne estime de vous. Je ne me gênerai pas pour vous laisser crever si je vois que vous n’en valez pas la peine.

Les mots. La langue. Les utiliser à mon avantage. Je suis un beau parleur et je le sais. J’arriverai à vous faire avaler tout ce que je veux en détournant mes phrases ou en vous crachant directement la vérité en pleine face. Je peux aussi bien passer par milles détours pour vous dire la plus simple des choses. Je ne lésinerai d’ailleurs pas sur l’emploi des mots. Je ne couvrirai jamais mes paroles d’un velours si je peux être vulgaire et faire passer mon message. Je n’hésiterai également pas à vous charmer, que ce soit parce que j’en ai réellement envie ou tout simplement parce que je veux vous voir tomber dans mes filets. J’aime jouer. J’aime voir les gens perdre leurs moyens, les voir patauger pour se sortir de leurs merdiers sans même les aider. N’allez pas penser que je ne suis qu’un sans cœur. Je tiens comme à la prunelle de mes yeux au peu de gens qui ont réussi à faire partie de mon groupe d’amis. Je donnerais tout pour eux, quitte à me mettre dans la merde à leur place. Je sais sur qui compter et je ne donne pas ma confiance facilement. Tout comme je ne pardonne que très rarement.

J’ai peut-être l’air trop vieux pour être un étudiant, je vous l’accorde. J’ai mes raisons, mon passé, qui font en sorte que je suis toujours ici. Ça ne m’empêche pas de prendre mes études à cœur et de m’appliquer du mieux possible. Qui sait, peut-être que je pourrai décrocher un job de rêve. Ce n’est pas parce que je m’applique au niveau de mes études que je suis aussi responsable dans la vie de tous les jours. Vous me cherchez? Je serai probablement en train d’avaler quelques shooters à une fête. Je ne manque jamais une occasion de m’amuser, de me défoncer dans la gueule dans tous les sens possibles. J’ai fait des bêtises et je l’assume. Ça ne m’empêche pas de me tenir près de ces derniers. Je ne me retiendrai jamais de faire quoi que ce soit, même si ça me replonge en taule. Au moins, j’aurai profité.

“ Once upon a time :La fumée est lentement expulsée par ses narines, l’air emplissant de nouveau ses poumons. Sa main tremblante se pose sur la rambarde. Seule la fine lueur rougeâtre de sa cigarette se distingue dans la noirceur ambiante. S’il avait su que ses actions le mèneraient ici, il n’aurait jamais sauté le cap. Mais à quoi bon tenter de réparer les pots cassés alors que c’est parfaitement inutile…? Il laisse le mégot tomber au sol. Pose son pied sur ce dernier. Le tison meurt. Il entre dans l’appartement, attrape sa valise et sort sans faire de bruit, sans laisser de trace ni même de note.

Ça, c’est le seul souvenir que j’ai de mon père. Le pire, c’est que c’est ma mère qui me l’a raconté, donc ce n’est pas réellement un souvenir. Vous vous doutez donc que je n’ai jamais eu de figure paternelle stable dans mon entourage. Ma mère, aussi douce en tendre qu’elle puisse être, n’a jamais trouvé le moyen de dire non à qui que ce soit. Un nouveau copain une semaine. La relation durait quelques mois, jusqu’à ce que ça éclate et qu’elle ramène un autre homme à la maison. Même si elle tentait de rendre ma vie plus simple, plus joyeuse, elle ne passait que très peu de temps avec moi. Si elle n’était pas au travail, survivant sur un salaire de crève-faim, elle s’envoyait en l’air dans sa chambre quand je m’amusais dans le salon. Une famille dysfonctionnelle, c’est tout ce que j’ai connu pendant trop longtemps. D’ailleurs, le terme « famille » ne s’applique pas vraiment. Je n’ai pas de famille.

Mon éducation se fit principalement à l’école, non pas par les professeurs, mais bien par mes amis. J’étais influençable, tellement crédule. On me faisait faire tout ce qu’on voulait et je me retrouvais bien souvent dans la merde. Je n’ai jamais compté le nombre de fois où ma mère dû se pointer à l’école pour remettre la situation en ordre, un air découragé sur le visage. Et je savais que cet air découragé ferait place à la colère dès que je reviendrais à la maison. Que je me mangerais quelques coups. Qu’elle m’enfermerait dans ma chambre jusqu’au lendemain matin. Avec un peu de recul, je me demande si ce n’était pas du masochisme que de me laisser trimballer ainsi de tout bord tous côtés. De me laisser faire si docilement, d’encaisser sans dire un seul mot. Si je lui en veux? Pas vraiment. C’est bien grâce à ma mère que je suis devenu ce que je suis.

Si l’on met mes écarts de conduite de côté, je n’étais qu’un jeune homme banal qui n’avait que très peu d’ambition. Je prenais n’importe quel petit boulot possible, séchait mes cours autant que possible, parce que, de toute façon, ça ne m’intéressait pas vraiment. Je me pointais aux examens, m’en tirait avec des notes au-dessus de la moyenne, et basta. Je préférais courir les jupes plutôt que de m’asseoir sur un banc d’école toute la journée. C’est de cette façon que je connus ma première copine stable. J’avais tout juste vingt ans, à l’époque. Elle en avait quinze. Quinze ans, mais tellement mature pour son âge, tellement allumée. Je l’ai quittée un peu rudement quand j’ai déménagé. Je changeais de pays, j’allais étudier en pharmacologie. Je changeais littéralement de monde et elle ne pouvait pas me suivre. C’est ce que je croyais.

22 ans. On cogne à ma porte. Je m’attends à voir un de mes amis, mais non. La police. On me dit que je suis en état d’arrestation, que tout ce que je dis pourra être porté contre moi. Et pourtant, je ne comprends absolument pas pourquoi on vient me chercher dans mon petit appartement miteux. Pourquoi on me traîne à l’aéroport, qu’on me ramène au Japon. Agression sexuelle. Cette garce a monté un dossier sur moi pendant tout ce temps, profitant du fait que je n’étais plus dans le décor pour agir. On me passa un interrogatoire interminable et, faute de cohésion avec l’histoire de mon ex et de preuves prouvant mon innocence, on me mit derrière les barreaux. 1 an. Une longue année où j’ai tourné en rond dans mon unité, où je me suis mis des détenus à dos faute d’habileté relationnelle. 3 semaines de cette année furent libératrices. Je me fis un ami que jamais je ne pourrai oublier, un allié d’une puissance insoupçonnée. À ma libération, Shin se trouvait à la porte, prêt à poursuivre cette aventure. Ensemble.

Mon retour à l’université fut plus ardu que je ne l’aurais cru. J’avais changé. Tellement que mes anciens amis ne me reconnaissaient que très peu et préféraient couper les ponts. Qu’est-ce que ça pouvait me faire? La solitude, pour un homme qui en mange, ce n’est rien. J’avais l’habitude. J’ai toujours été seul, et même encore, aujourd’hui, je le suis.

J’expulse lentement la fumée par mes narines, l’air emplissant de nouveau mes poumons. Ma main tremblante se pose sur la rambarde. Seule la fine lueur rougeâtre de ma cigarette se distingue dans la noirceur ambiante. Si j’avais su que mes actions me mèneraient ici, je n’aurais jamais sauté le cap. Mais à quoi bon tenter de réparer les pots cassés alors que c’est parfaitement inutile…? Je ferai face aux conséquences, peu importe lesquelles. Je ne me sauverai pas comme un lâche, pas comme mon père lorsque j’avais à peine quelques heures. Au contraire. Je suis retourné en Corée pour poursuivre mes études suite à cette arrestation, oui. Mais également pour le retrouver lui. C’est ridicule de se dire que je cherche une personne qui ne me connait absolument pas et qui se fiche probablement de qui je suis. Mais j’ai besoin de savoir. Même à 27 ans, peut-être que j’ai tout simplement besoin d’une vraie figure paternelle pour retourner sur le droit chemin.

   nightingale la faible
they say time takes away the pain, but i’m still the same
Oui je suis faible :oo: Deux comptes c’est pas assez pour moi, je me dois de satisfaire mes envies et mes impulsions. ET COMMENT RÉSISTER À CE DIEU VIVANT? :oo: et puis j'avais besoin d'un peu de testostérone, entre sian et yael (parce que yael ne compte pas, non.)

   “ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.

   code pour célébrité prise :
    PARK JUN HO (SIMON, DMTN) ✎ ikeda masao

   
Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u562][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>PARK JUN HO (SIMON, DMTN)</taken> ✎ ikeda masao
 
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 14:49
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PREUMS

KDLFKDFNLEFZJZNZ SIMONITOOOOOOOOOOOOOOOO :han: :han: :han:

JE TAIME TROP PTN BOUAHAHAHAH :plz:

:hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hehe: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :hi: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :bave: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :01: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :hum: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :y: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :lick: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :02: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :03: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bed2: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :04: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :05: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :06: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :perv: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :han: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :plz: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :cute: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :aah: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :08: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :yiha: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :henka: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: :heart: 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 🛏 :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :fransouag: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :dewei: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :sunmi: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :fabu: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :sex: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: feels feels feels feels feels feels feels feels feels feels
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 14:51
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PUTAIN SIMON QUOI JE UENHFRIERJOFPO :hot::hot::perv:
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 14:51
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:russe:
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 14:58
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NIGHTIBB :plz: :plz: :plz:
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 15:02
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ouuuuuuuh voila le canon :y:
rebienvenue parmi nous maru :plz:
Hwang Bomi
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (MODO)
Hwang Bomi
ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself Tumblr_m230uz7XWX1qfamg6

Pseudo : omoi.namida
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 http://www.shaketheworld.net/t26329-hwang-bomi-just-keep-it-up#1http://www.shaketheworld.net/t27520p10-hwang-bomi-act-rp#1058685http://www.shaketheworld.net/t28853-omoi-namida-dreamy-day#1064469
Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 15:04
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Trop moche.

________________________________

something wrong with us
Imagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 15:06
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:bave:
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 15:11
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hoooooo bonjour vous :y:

bienvenue <3
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | Sam 3 Oct - 15:23
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Hello Hello ! ~

Ikeda Masao a écrit:il fait de la boxe pour s’empêcher de défoncer qui que ce soit. (v. gare à vos fesses.)
Laisse-moi te botter le cul, et te marquer d'une jolie égratignure au visage, ça sera un plaisir :hum:

Fighting pour ton nouveau compte ! ♥️
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Re: ikeda masao ♦ go on and f*ck yourself | 
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Une petite réponse rapide

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