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tonight we'll burn the city down | ft. Minri

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tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 1 Mar - 16:53
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tonight we'll burn the city down
YOONRI


Assez déconné. Ça fait plusieurs mois qu'on se cherche avec Minri. Et je dois bien reconnaître qu'elle me plait. Peut-être un peu trop, ça devient une affaire personnelle, je comprend pas pourquoi je m'entête à sacrifier une nouvelle soirée pour elle. C'est pas comme si j'étais constamment en Corée, la plupart du temps je viens pour quelques jours, pourtant, le plus souvent, je lui réserve une partie de ma nuit. Voir une journée. Ça arrive pas régulièrement. Surtout quand c'est pour une nana que je n'ai pas toucher. Dans le sens, me la faire et me barrer. Voir me la faire tout court en fait. Elle est bornée, dans un premier temps j'agissais par fierté, puis finalement je crois que ça me convient comme situation. C'est amusant et la tension qui règne entre nous me donne envie de continuer toujours plus ; le plus longtemps possible en fait, quand bien même ça me frustrait un peu. Comme une sorte d'addiction, plus qu'intéressante. Et y a aussi le fait qu'elle a réussit à me trouver un passe temps. Peut-être même une certaine passion ; la photographie. À force de m'en parler, elle a réussit à me rendre curieux, bien trop. C'est sûrement la raison pour laquelle je suis là, alors que je n'ai atterri que ce matin. À la porte de son studio, que je ne connais que trop bien. J'attends qu'elle daigne venir m'ouvrir, alors que mes doigts viennent taquiner son cou par la suite. « Salut ma belle. » Puis rentrant sans attendre son autorisation, je commençais par retirer cette doudoune encombrante. Il faisait bien meilleur, ici putain.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mer 2 Mar - 20:59
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Je m’affairais dans mon studio depuis plus d’une heure. J’avais un travail à finir avant que mon invité n’arrive. Un invité avec qui j’avais commencé un jeu dangereux où l’attirance physique était de mise et où celui qui craquerait le premier serait le perdant. C’était la première fois que je jouais à un tel jeu avec un autre homme outre mon meilleur ami. Surtout un homme que je connaissais si peu. Au fond, je pensais que je me disais que je ne craignais rien. Apres tout, il était en séjour en Corée pour de courtes durées. Il n’y avait donc aucun risque de complication par la suite, non ? Nos rencontres étaient d’une soirée. Une journée maximum. On passait le plus clair de notre temps à parler, à discuter. Un geste taquin par ci par là, un clin d’œil qui se perd, un frôlement de la main qui s’affirme. Rien de bien méchant. Juste de quoi attiser un certain mystère, avec cette limite de non-retour à ne pas franchir. Je ne lui avouerais sans doute jamais, mais j’adorais cela. Le danger. L’adrénaline coulant dans mes veines. On se cherche, sans se trouver. Qu’est ce qui se passera quand le moment fatidique arrivera ? Un étrange et attirant mystère. Une relation platonique et ambiguë. Le futur nous laissait parfois d’agréable surprise. Et sans même m’en rendre compte, je devenais peu à peu accroc à sa présence. Une addiction dangereuse, pire que la drogue. Alors que j’installais le dernier poste de lumière artificielle, j’entendis la sonnette retentir. Sans prendre la peine de réajuster ce t-shirt trop large pour moi que j’avais piqué dans l’armoire de mon demi-frère, j’allais ouvrir, le sourire aux lèvres. « Salut toi. » Je vins déposer mes lèvres à la commissure de ses lèvres, comme un geste maladroit pourtant bien contrôlé. Juste de quoi le taquiner. Lui rappeler ce qu’il pourrait avoir, mais que je n’ai toujours pas accepté de lui donner. Je refermais la porte derrière lui, alors qu’il entreprenait de se débarrasser de sa doudoune. « Pres à jouer les mannequins ? » lancais-je en passant à ses côtés, le devançant pour pénétrer plus loin dans la pièce, attrapant mon appareil photo avec lequel je pointais déjà le flash sur lui pour voler un clicher au naturel.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Ven 4 Mar - 1:54
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À peine ses lèvres se posaient-elles sur ma peau qu'un rictus naissait aux miennes. Je ne sais pas, j'adore cette fille. Son tee-shirt trop large et sa tenue si peu sexy - qui lui donne pourtant un atout de séduction incomparable. Je ne sais même plus comment nous en sommes arrivés là, après tout ce n'était pas mon genre de rester plusieurs mois sur la même nana, je ne sais pas si c'était parce que je n'avais pas coucher avec elle et que j'étais curieux. Il y avait seulement un truc qui me retenait ici ; elle, tout simplement. Je crois que nos rencontres m'avaient fait apprécier la jeune femme un peu plus à chaque soirées. Non pas seulement pour notre petit jeu, mais aussi parce que j'aimais son caractère, son être en lui-même. « Comment vas-tu ? » au fil du temps, j'avais appris à lui poser naturellement ce genre de question, que je zappais en général, puisque je n'avais pas l'intention de faire de mes conquêtes mes amies. Néanmoins, Minri était différente, elle avait le droit à mon intérêt, à mon amitié la plus sincère, sans mettre de côté mon désir pour elle. Parce qu'il fallait bien le reconnaître, le simple fait que je tente de deviner ses jolies formes, sous sur tee-shirt trop grand me prouvait une fois encore que j'attendais avec impatience le soir où je la prendrais. Et quand bien même il n'était pas prévu pour tout de suite, j'arrivais sans mal à patiente, tant elle me distrayait. Presque trop facilement. Lui offrant un sourire dont j'avais le secret, pour répondre à sa question, je fus un peu pris de court par le flash de l'appareil. J'aurais dû m'y attendre, elle le tenait bien plus que je ne la touchais. Puisque je n'étais là que de rare fois. « Toujours. » Laissant ma doudoune sur une chaise, je mis mes mains dans mes poches en m'avançant vers elle, j'avais toujours été à l'aise face à l'objectif. Les gênes de mon père sûrement, et le fait que j'étais un modèle des plus inspirants. « Tu veux pas attendre cinq minutes ? Ça fait quoi, trois mois ? » c'est que j'étais pas le plus riche du monde et que c'était pas donné, de faire le voyage ici toutes les deux semaines. Finissant par passer ma main entre ses mèches brunes, j'en profita par me pencher légèrement et venir embrasser doucement sa joue. Un geste simple et innocent, que je faisais pas souvent, en réalité. Pas que j'aimais pas - enfin si j'aimais pas ça - mais surtout parce que je réservais ce côté de moi à de très rare personne et souvent, j'étais surprit que ce soit le cas, avec elle.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Sam 5 Mar - 11:23
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J’adorais cet homme et cette façon qu’il avait d’agir avec moi. J’étais loin d’être naïve, et j’avais vite compris avec quelle catégorie d’hommes j’étais entrain de jouer. Je ne devais être qu’une femme parmi tant d’autres. Pourtant, j’aimais croire qu’il agissait ainsi qu’avec moi. Et puis, faire autant de kilomètres jusqu’à Saoul uniquement dans le but de me voir, ne pouvait décidemment pas me laisser indifférente. Je ne savais pas ce qui pouvait l’attirer à ce point chez moi, car il fallait le dire, j’étais loin de cette femme sexy que l’on voyait dans les magazines. Je me cachais sous des vêtements larges. Pas que j’avais honte de mon corps, je privilégiais simplement le confort à l’apparence. Au départ, j’avais cru qu’il s’agissait simplement d’un dragueur à deux balles alors que pas du tout. Au fil de nos rencontres, j’avais appris à le connaitre et à l’apprécier à sa juste valeur. Un peu plus et il arriverait à me faire craquer le bougre, mais j’étais tenace. D’une certaine manière, c’était moi-même que je torturais, car on n’allait pas se mentir, le jeune homme avait une carrure parfaite, digne d’un mannequin – une des raisons pour que je le veuille devant mon objectif. Et puis, ce sourire dont lui seul avait le secret arrivait à me retourner d’une fraction de seconde. Je n’étais pas au point de dire que j’en étais amoureuse, loin de là, mais je m’y étais attaché. Et puis, quelle femme scène d’esprit ne serait pas touchée face à ce genre de comportement ? « Moi ? Ca va toujours. » lâchais-je gaiement pour cacher le rouge qui me montait aux joues en sentant ses lèvres sur ma peau. Je profitais de sa démarche pour voler quelques photos à la dérober. Le naturel, il n’y avait rien de mieux. « L’objectif t’aime déjà. » riais-je avant de le laisser approcher. Ses lèvres me narguaient avec sa façon de se pencher vers moi, de passer sa main à travers mes mèches de cheveux, sa voix mielleuse. Je déglutis péniblement les bras ballant le long de mon corps, l’appareil photo au bout. Je souris. « Si j’attends, il se passe quoi ? » Je reculais jusqu’à la table quelques centimètres plus loin, sans jamais le quitter des yeux, y déposant l’appareil et posant mes fesses sur le bord du meuble. « Tu sais bien que je suis rarement patiente quand il s’agit de photographie, mais je ferais un effort. » ajoutais-je en l’attirant à moi alors que ma main tenait fermement son haut.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Dim 6 Mar - 1:53
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Elle me captivait. Cela ne s'expliquait pas ; je voulais juste l'avoir contre moi. L'entendre gémir d'un plaisir sans fin. Elle n'était pas le genre de fille qui s'exposait, ne portant pas le style de tenue que j'appréciais et pourtant, elle me rendait presque fou. À sa façon. Dans ces tee-shirt trop longs. Bien évidement, j'avais envie de lui retirer, je savais, avait deviné, ce qu'ils dissimulaient. Mes yeux scrutaient chaque zone, chaque réaction. Parce qu'elle était des plus intéressantes. J'étais loin d'être simple à contenter, je me lassais très vite à vrai dire. Néanmoins, je revenais parfois seulement pour elle ; un week-end. Quand bien même je ne restais avec elle qu'une soirée. Et si je passais la nuit ; il n'y avait rien de plus platonique. Quoiqu'une ambiguïté des plus séductrice. J'étais loin d'être doux, romantique. Je préférais être brusque, violent, me montrer brutal. Pourtant, elle était si joueuse que je me laissais volontiers avoir dans ce jeu sensuel et langoureux. D'un regard, je lui faisais narcissiquement comprendre que tous les objectifs ne pouvaient que m'aimer. Comme ils avaient un jour aimé mon père, et ma mère. Quand elle me prenait en photo, j'avais une raison de plus de me sentir désirable et je me disais qu'il n'y avait pas que les objectifs qui m'aimaient, que dans un sens, elle aussi. Pas forcément dans une notion amoureuse. Soufflant sur ses lèvres, mes doigts continuaient délicatement de caresser ses cheveux bruns. Tandis que je me perdais à regarder ses cils, ses joues. « Je te récompense. » qu'on ne se méprenne pas, je gardais cette voix taquine, je répondais à son jeu, à notre quotidien. Mais je n'oubliais pas, mon caractère initial. Un rictus un peu provoquant, un regard de velours, des mains quelque peu baladeuses. De sa joue à sa nuque, de sa nuque à ses bras, le long de celui-ci jusqu'à sa paume, l'effleurant du bout des doigts. Caresses légères. Pour ensuite la laisser s'éloigner, afin qu'elle m'attire à elle de sa propre initiative. « Tu m'en vois ravi. » jouant avec la distance, m'éloignant puis revenant toujours plus près. « Hm... j'ai une idée, pour te faire patienter. » Ma main remontait pour venir attraper l'appareil ; afin de m'en servir à mon tour. Relevant son haut délicatement et photographier son nombril. Sans la quitter un instant des yeux. « Si je te montrais mes progrès, ce soir ? » Lâchant le tissu, je profitais pour le tirer à son épaule, flashant sa clavicule, avant d'y déposer un baiser papillon. Je ne voulais pas passer par quatre chemin ; ce soir, le jeu allait grimper d'un étage.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mer 16 Mar - 13:59
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Yoon Hyung, c’était tout un monde à lui seul. En monde autour du quel je serais un satellite en gravitation autour de lui, attirer comme un aimant. Même si je le voulais, je ne saurais m’extraire de l’attraction dans laquelle il m’emprisonnait. Une attraction charnelle dans laquelle je me sentais femme malgré mes vêtements trop amples, peu sexy, et parfois déchirés. Je ne faisais pas vraiment attention à mon apparence. Je préférais être confortable que belle. On ne savait pas courir en talon, non ? Ce regard qui me lançait, celui d’un prédateur, me fit sourire, même légèrement rougir. Je n’avais rien de la proie sans défense. Je saurais me défendre si je me sentais agresser ou quoi que ce soit d’autre, mais avec lui, j’avais l’impression que tout passait crème. Il avait ce don de vous faire rouler dans la luxure et le glamour sans aucune honte. Le ton de sa voix me fit frissonner quand il annonçait me récompenser si je savais etre patiente. Ma main posée à plat sur son torse, je révélais les yeux vers lui, l’observant au travers de mes cils. Son sourire provoquant qui en disant long, me tordit le bas ventre d’un frison qui n’aurait pas dû. Ce serait mentir de dire qu’il ne m’excitait pas. Et ses mains baladeuses me faisaient lui ceder de plus en plus, peu à peu, de plus en plus fort. N’attendant plus, je l’attirais à moi, alors que la table dans mon dos m’empêcher de reculer plus loin. Il allait me rendre dingue à jouer avec la distance et notre proximité. Je fis une boue réprobatrice en le voyant attraper mon appareil photo, mon petit bébé. « Fais attention avec lui… sois doux… » mais mes mots moururent sur mes lèvres alors que je le regardais surprise prendre mon nombril en photo. « Que fais-tu ? » demandais-je presque dans un murmure comme si quelqu’un pouvait nous entendre. Un sourire etirait le coin de mes lèvres avant de secouer la tête. « Je ne suis pas le modele. Jamais. Juste la photographe… » Jamais encore on avait voulu que je sois de l’autre côté de l’objectif. Ce me plaisait peu d’être le centre de l’attention. Pourtant, il avait l’air d’en avoir décidé autrement…


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Jeu 17 Mar - 13:50
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Je savais bien que Minri n'était pas ce garçon manqué sans forme. J'avais bien vu à quel point elle était jolie, quel effet elle me faisait. Sans ces vêtements, il était sûr qu'elle serait typiquement le genre de femme que j'aimais. Je ne voyais que ça, pour expliquer notre attraction mutuelle. Voilà bien longtemps que je n'avais pas autant jouer avec une fille, n'y même pris autant à cœur une partie. Et pourtant, elle captait la moindre de mon attention. Ses yeux cachés par ses cils ; longs et fins. Sa bouche, armée d'un sourire taquin, presque timide. Ses joues, rougies, tentatrices. Elle ne faisait rien, pourtant je le sentais plus aguicheuse que jamais. Rien que par sa présence. Collé à elle, contre la table ; une stratégie non pensée, mais qui me donnait bon nombre d'idée. Mon corps semblait s'enflammer à chaque zone en contact avec sa peau. C'était à la fois perturbant et excitant. Ce qu'elle me faisait ressentir était à la fois contraignant et incroyablement attrayant. « Je ferais attention. À vous deux. » être doux. C'était loin de mes habitudes, en réalité, je détestais ça depuis cinq ans. Je me connaissais brutal, je me plaisais ainsi et je laissais peu le choix à mes partenaires. Pourtant, elle me semblait si précieuse, elle et son appareil, sur l'instant. Sous sa surprise, je ne peux m'empêcher de sourire davantage, de m'amuser, de laisser mes doigts parcourir son corps. « J'immortalise. » sa peau, cette soirée, où j'ai clairement décidé d'accélérer le jeu. Non pas qu'il ne me plaise pas, mais voilà des mois qu'il se poursuit, je suis loin d'être patient et plus le temps passe, plus j'éprouve une affection pour elle, plus je la désire, aussi. Ma main libre retient son menton, tandis qu'elle me dit non et je la force doucement à relever la tête, à me regarder, avant que l'appareil ne photographie ses lèvres, que j'ai humidifié juste avant d'un coup de langue. « Oublie l'objectif, concentre-toi sur moi, tu verras comme c'est facile. » je sais facilement retenir son attention, elle le sait. J'en profite pour me pencher légèrement et l'embrasser. Ce n'est pas la première fois et ça ne sera pas la dernière, je le sais bien. « Tu veux parier ? Dans deux minutes, la seule chose qui te gênera, sera la chaleur qui va brûler au bas de ton ventre. » une flamme que je vais entretenir, jusqu'à la faire cramer. Glissante, ma main quitte sa nuque pour venir au bout de son haut et le remonter lentement, les yeux ouverts, plongés dans les siens. Brûlant de cette étincelle, qu'elle éveillait en moi.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Jeu 17 Mar - 23:28
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Je ne pus que sourire quand il déclara qu’il sera doux. Aussi bien avec mon appareil photo qu’avec moi. Je n’étais pas dupe, je comprenais son sous-entendu qui teinta mes joues d’un léger rose. Combien d’homme avait-il pu déclarer faire attention à moi et prendre soin de moi ? Bien entendu, il y avait bien mes deux frères, mais en tant qu’homme ? Ceux qui pouvaient me voir comme une femme qui leur plaisait ? Apres In Su, il était bien le seul. Et son acharnement à essayer de m’avoir me faisait procurait une douce chaleur à l’intérieur. Je ne parlais pas que de mon bas ventre, mais aussi de mon cœur. Vous savez, cette douce chaleur accueillante dans laquelle on baigne quand nous savons être à la maison ? Eh bien, il me la faisait ressentir sans que je comprenne vraiment pourquoi. Et d’une certaine manière, si je jouais ce jeu de séduction avec lui, que je le faisais languir si longtemps, c’était que j’avais peur qu’en lui cédant, il disparaisse aussi vite qu’il était apparu dans ma vie. Je m’étais attaché à lui bien plus que je ne voulais bien le laisser croire. La douceur. La tendresse. C’était quelque chose que j’avais appris à apprécier tout comme la violence et la brusquerie que je trouvais tout aussi attrayante et excitante. Et sincèrement, je n’avais aucune idée vers quel bord il allait. Ca serait une surprise. Une bonne surprise dans les deux cas. Il était si beau quand il souriant, un charme bien à lui. Un charme qui vous électrisait. Il avait une facilité à garder mon attention tourner vers lui que ca en devenait déconcertant. Il immortalisait. C’était ses mots. Une autre façon de garder les choses éternellement. Une façon naturelle. Rien avoir avec le surnaturelle et les vampires. La photo. C’était la clef. Je le laissai faire alors qu’il me forçait à le regarder alors que je lui avais dit que je n’étais jamais le mannequin. Et je fermais les yeux, frissonnant au coup de langue qu’il me donnait sur les lèvres avant de les prendre en photo. Il était vrai qu’il était facile de se concentrer sur lui, il était si fascinant. Je n’arrivais pas à décoller mes yeux de sa silhouette si parfaitement sculpté. Je répondais à son baiser avec la même tendresse qu’il m’offrait, dégustant ses lèvres comme si c’était la première fois que j’y goutais, avec une lenteur prédéterminée. Je me reculais un instant pour le regarder, amusé par sa réaction. « Tu as l’air bien sûr de toi ! Qu’est ce qui me dit que ce n’est pas que de belles paroles ? » La provocation. Ca je savais faire. Une experte dans le domaine. Je restais toujours fière et forte, même quand j’étais sensé perdre. Je le fixais de manière provocatrice –pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? – alors qu’il relevait mon haut. Quand il arrivait à la naissance de mes seins, j’attrapais les pans, levant les bras par-dessus ma tête tout en levant le bout de tissus par la même occasion qui glissait à nos pieds. J’étais à présent en soutien-gorge de dentelle noire face ç lui. Un sous vêtement contrastant avec mes vêtements apparent. J’aimais la dentelle. C’était mon péché mignon. Un petit secret. Sans jamais le fixer, je pris appuis sur mes deux mains sur la table, me penchant légèrement en arrière. J’étais à sa merci, et je m’offrais sans aucune onde de gêne. « Et maintenant ? tu comptes faire quoi ? » Le jeu était lancé. Faites vos paris. Plus rien ne va plus …


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 22 Mar - 0:49
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Je ne sais plus. Pourquoi elle et non une autre. Ce soir là, au bar, je ne me souviens plus pourquoi je m'étais vers elle. Je savais simplement que si j'avais continué c'est parce qu'elle m'avait résisté ; et excité en même temps. La partie avait été attrayante, dès le début, alors je m'étais laissé prendre au jeu, sans pour autant arrêter de voir ailleurs. Je n'avais pas honte d'assumer aimer le sexe, simplement pour le sexe, mais avec elle, c'était différent. Ça durait. Des mois. Le temps ne changeait rien à mon envie d'être entre ses cuisses. Plus d'une fois, nos soirées m'avaient inspiré bien des idées - pas très catholiques, pour la plupart - et pourtant, à l'heure d'aujourd'hui, nous n'avions jamais été plus loin qu'un baiser et des attouchements plus poussés que le câlin. C'était à la fois euphorique et déconcertant. J'étais sûrement à bout, jamais patient pour un sous, je n'avais rien dis, jusqu'à maintenant mais j'y avais pensé sur le trajet et la réalité avait été plus que frappante, si je l'aimais suffisamment pour rester à côté d'elle sans la prendre... je ne doutais pas un seul instant de l'attachement que j'allais éprouver par la suite et si ça aurait dû me faire fuir, je ne me voyais pas m'éloigner. Elle avait pris cette importance, simple et agréable. Je ne me sentais pas oppressé. C'était un jeu ; vrai et plaisant. Et j'avoue que j'y avais pris goût. Bien plus que je ne l'aurais pensé. J'adorais ses lèvres. « T'ai-je déjà déçu ma belle ? » mes belles paroles, ce n'est pas la première fois qu'elle y faisait face, mais jamais je ne lui avais menti. Comme je n'avais pas enjoliver les choses, elle savait que je lui promettait bien des promesses et surtout, elle savait que je les respectais. Et tout ça, parce que c'était elle. Je restais captif de l'objectif, par delà lequel je la voyais retirer son haut. Mordillant ma lèvre, tandis que je me concentrais à la photographier ; et à profiter. Caressant sa peau de par la vue, pour le moment. Elle était magnifique. « Je compte profiter de ce qui m'est offert Minri, tu sais ce que ça veut dire ? » ça veut dire, que cette fois, je ne m'arrêterais pas à quelques baisers sur son corps. Comme on pouvait le faire. Ce n'était pas la première fois qu'elle venait contre moi, à moitié nue, mais ce soir, l'envie brûlait chacune de mes entrailles. Doucement, je venais poser l'appareil, décidé à l'utiliser plus tard, mais avant, j'avais un corps à cajoler. Revenant à elle, je me penchais en avant pour poser mes lèvres sur son cou et lécher sa peau. Puis la mordiller et l'embrasser, me décalant toujours plus vers la naissance de sa poitrine, alors que mes mains vagabondaient dans ses cheveux, sur sa taille et sur ses fesses. Pressant délicatement ces formes ; plus attrayantes que jamais, à même le tissus du bas. « Si tu veux quelque chose, supplie-moi. Je veux t'entendre Min. » chaque souffle causerait un peu plus notre perte. Je le savais.


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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 22 Mar - 16:54
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« Jamais… » Murmurais-je contre ses lèvres. Il était vrai qu’il m’avait déjà fait maintes promesses, mais pas une seule qu’il n’avait pas tenue. Alors s’il disait qu’il serait doux avec moi, je voulais bien le croire aveuglement. Je soupirais d’aise en sentant ses mains vagabondant sur ma peau nue. C’était comme rentrer à la maison après un long moment. J’avais cette sensation quand il se mettait à me caresser avec cette tendresse qu’il avait envers moi. Plu d’une fois j’étais apparue devant lui dans l’appareil d’une déesse grecque. J’étais loin d’être pudique, et c’était donc tout naturellement que je l’avais laissé m’enlever certaines couches de mes vêtements, pour des câlins plus rapprochées sans jamais pour autant aller plus loin. Pourtant, à force de me palper de la sorte, il devait connaitre les courbes de mon corps par cœur, mais il n’avait pas l’air de s’en lasser, trouvant une nouvelle manière de le découvrir à chaque fois. Je me cambrais un peu plus contre lui, mon corps réagissant au passage de ses mains sur lui J’avais les yeux fermes pour une meilleure sensation. Je comprenais ses sous-entendu, mais ne fit rien pour le pousser, mes gémissements parlaient d’eux-mêmes, non ? je couinais légèrement alors que je le sentis me mordiller. Je me pressais contre lui, venant lui embrasser le cou à mon tour, y laissant ma marque. Juste pour rire. Et un peu par possession. J’aimais marquer ce qui était mien, même pour une soirée, était-ce mal ? De mon point de vue, non, et je ne lui demandais pas non plus son avis. Je déposais un collier de baiser avant de remonter vers son oreille dont je mordis le lobe, tirant doucement dessus avec les dents avant de lui donner un coup de lèche. Mon souffle chaud se réverbérait dans le creux de sa nuque. Je lui murmurais d’une voix suave : « si tu désires quelque chose, viens le chercher toi-même. Je ne suis pas de ces filles qui supplient à moins d’y être obligée… » Mon nez suivit la courbe de sa mâchoire alors que mes mains remontaient le long de son torse pour déboutonner un à un, les boutons de sa chemise. D’un geste brusque, j’ouvris son vêtement passant mes doigts en dessous pour cheminer vers ses épaules, puis ses bras tout en enlevant ce tissu. « C’était en trop, tu ne crois pas ? » déclarais-je entre deux sourires enjôleurs. Pour la première fois, je découvrais les muscles qui saillaient son torse, et je devais avouer que j’aimais ce que j’y voyais. Je le touchais, délicatement, passant un peu partout, admirative. Il devait être sportif ou s’entretenir un minimum pour avoir une telle carrure. Un athlète. Tout ce qu’il fallait pour que je me sente en sécurité dans des bras puissant. Pourtant, ca voulait dire aussi qu’il pourrait facilement me neutraliser si l’envie lui en prenait quand bien même les arts martiaux et la boxe que je pratiquais. Peu importe. On jouait un jeu de toute manière, non ? Et les règles n’étaient pas encore écrites…



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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | 
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