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run to you ~ #MINBAE
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run to you ~ #MINBAE | Sam 4 Juin - 15:25
Depuis quelques jours, je peux plus dormir. En fait, depuis l'incendie de Yonsei fermer l'oeil c'est devenu un calvaire. J'ai réussi à sortir une nana des flammes, Sohee je crois qu'elle s'appelle, mais ça a pas suffit à sauver tout le monde. Il y a eu des morts, et pas qu'un peu. J'ai même pas eu le courage d'aller à la cérémonie d'hommage aux victimes. J'pouvais pas, c'est tout. Et maintenant, dès que j'ai le malheur de baisser les paupières, j'entends les hurlements des élèves qui se mêlent à ceux poussés par la femme que j'ai.. enfin... qui est morte à cause de moi. Les mains tremblantes enfoncées dans les poches de mon gros sweat à capuche, je regarde l'entrée du KURSS en me demandant si Bobae est là. Faut que je la vois. Je me retiens depuis un moment pour pas venir ici tous les soirs pleurer comme un môme dans ses bras, mais là je suis tellement fatigué que j'ai craqué. J'entre dans le bâtiment où normalement je taffe et le traverse en fendant la foule des habitués qui fument, dansent et boivent au bar pour m'arrêter devant la porte de la chambre de Bobae. Je toque en plaquant mon oreille contre le battant avant d'appeler : « Bobae ? T'es là ? C'est Minkyung, j'ai... » je m'arrête et fixe mes pieds. J'ai besoin de toi. J'arrive pas à dormir. J'ai l'impression que je deviens cinglé. S'il te plaît ouvre moi, j't'en supplie. C'est ça que j'ai envie de lui dire. Mais j'ai ma fierté. Alors je me contente de murmurer un « Ouvre s'te plait... » qui fait presque pitié tellement je suis fatigué. Mais je m'en fous. J'ai trop besoin d'elle pour faire le dur ce soir.
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BOBAE & MINKYUNG
Depuis quelques jours, je peux plus dormir. En fait, depuis l'incendie de Yonsei fermer l'oeil c'est devenu un calvaire. J'ai réussi à sortir une nana des flammes, Sohee je crois qu'elle s'appelle, mais ça a pas suffit à sauver tout le monde. Il y a eu des morts, et pas qu'un peu. J'ai même pas eu le courage d'aller à la cérémonie d'hommage aux victimes. J'pouvais pas, c'est tout. Et maintenant, dès que j'ai le malheur de baisser les paupières, j'entends les hurlements des élèves qui se mêlent à ceux poussés par la femme que j'ai.. enfin... qui est morte à cause de moi. Les mains tremblantes enfoncées dans les poches de mon gros sweat à capuche, je regarde l'entrée du KURSS en me demandant si Bobae est là. Faut que je la vois. Je me retiens depuis un moment pour pas venir ici tous les soirs pleurer comme un môme dans ses bras, mais là je suis tellement fatigué que j'ai craqué. J'entre dans le bâtiment où normalement je taffe et le traverse en fendant la foule des habitués qui fument, dansent et boivent au bar pour m'arrêter devant la porte de la chambre de Bobae. Je toque en plaquant mon oreille contre le battant avant d'appeler : « Bobae ? T'es là ? C'est Minkyung, j'ai... » je m'arrête et fixe mes pieds. J'ai besoin de toi. J'arrive pas à dormir. J'ai l'impression que je deviens cinglé. S'il te plaît ouvre moi, j't'en supplie. C'est ça que j'ai envie de lui dire. Mais j'ai ma fierté. Alors je me contente de murmurer un « Ouvre s'te plait... » qui fait presque pitié tellement je suis fatigué. Mais je m'en fous. J'ai trop besoin d'elle pour faire le dur ce soir. Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Dim 5 Juin - 1:54
Elle bosse ce soir. Elle est crevée ce soir. Mais elle fait bonne figure ce soir. Depuis que Kan est partie elle a tout gérée seule. Elle a toujours tout fait pour que tout se passe bien alors depuis que Kan était revenu elle prenait plus de liberté. Elle avait fini par aller dans sa chambre trop crevé pour continuer la soirée. Kan l’avait congédié en embrassant son front avec un sourire doux. Elle sortait de la douche et s’épongeait doucement la nuque, sa serviette enroulée autour du corps. Ça lui faisait du bien. Elle ne pouvait pas le nier. Elle tombait de fatigue. Elle se damnerait pour pouvoir dormir tranquillement. Le bar ne pas tarder à fermer. Dans une petite heure tout sera terminé et elle pourra dormir tranquillement. Elle se demande ce que fait Min Kyung, elle aurait aimé le voir ce soir mais elle ne peut pas l’obliger à venir constamment vivre au Kurss. Pourtant elle a un mauvais pressentiment, le même qu’elle ressent chaque fois qu’il a un problème ou qu’il n’est pas bien. Mais elle respecte sa vie privée et son intimité. Elle respecte la distance qu’il instaure parfois avec elle et se tient juste à sa portée s’il a besoin d’elle. Elle est là. Simplement. Enfilant un short et un débardeur lâche pour être à l’aise elle se laisse tomber sur le lit en soupirant d’aise. Enfin. Elle va pouvoir dormir et faire une longue grasse matinée, ça elle se l’est promit. Elle ferme les yeux et n’a pas le temps de compter les moutons qu’elle entend frapper à sa porte. Reclus dans le fond du bar malgré le passage des gens, elle se redresse et fronce les sourcils. Pendant une seconde elle hésite à ouvrir mais elle sait que Kan surveille sa chambre. Il veille à ce que personne n’entre ou ne vienne la déranger. Alors elle se laisse glisser du lit et ouvre la porte légèrement pour voir la tête dépité de son protéger. Min Kyung ?! Elle se redresse, son visage devient grave et elle ouvre la porte en grand rapidement pour le laisser entrer. elle attrape sa main rapidement et le tire à elle. elle se hisse sur la pointe des pieds et enfoui son visage dans le creux du cou du jeune homme. Elle claque la porte derrière eux et dans la quiétude de la chambre elle le serre contre lui. « Mon bébé … je suis là » murmure-t-elle en caressant ses cheveux doucement. Oui, son bébé, aussi étrange que cela puisse paraitre elle l’aimait comme une mère aime son enfant, comme une sœur aime son frère, il faisait partie d’elle plus qu’on ne pourrait le comprendre. Elle l’aimait, elle l’aime, plus qu’on ne pourrait le voir. Alors malgré les années qui passaient, il restait son bébé, son petit frère, son amour, son fils. Il était un tout. Elle le gardait contre lui simplement, il tremblait entre ses bras. Avait il froid ?
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Elle bosse ce soir. Elle est crevée ce soir. Mais elle fait bonne figure ce soir. Depuis que Kan est partie elle a tout gérée seule. Elle a toujours tout fait pour que tout se passe bien alors depuis que Kan était revenu elle prenait plus de liberté. Elle avait fini par aller dans sa chambre trop crevé pour continuer la soirée. Kan l’avait congédié en embrassant son front avec un sourire doux. Elle sortait de la douche et s’épongeait doucement la nuque, sa serviette enroulée autour du corps. Ça lui faisait du bien. Elle ne pouvait pas le nier. Elle tombait de fatigue. Elle se damnerait pour pouvoir dormir tranquillement. Le bar ne pas tarder à fermer. Dans une petite heure tout sera terminé et elle pourra dormir tranquillement. Elle se demande ce que fait Min Kyung, elle aurait aimé le voir ce soir mais elle ne peut pas l’obliger à venir constamment vivre au Kurss. Pourtant elle a un mauvais pressentiment, le même qu’elle ressent chaque fois qu’il a un problème ou qu’il n’est pas bien. Mais elle respecte sa vie privée et son intimité. Elle respecte la distance qu’il instaure parfois avec elle et se tient juste à sa portée s’il a besoin d’elle. Elle est là. Simplement. Enfilant un short et un débardeur lâche pour être à l’aise elle se laisse tomber sur le lit en soupirant d’aise. Enfin. Elle va pouvoir dormir et faire une longue grasse matinée, ça elle se l’est promit. Elle ferme les yeux et n’a pas le temps de compter les moutons qu’elle entend frapper à sa porte. Reclus dans le fond du bar malgré le passage des gens, elle se redresse et fronce les sourcils. Pendant une seconde elle hésite à ouvrir mais elle sait que Kan surveille sa chambre. Il veille à ce que personne n’entre ou ne vienne la déranger. Alors elle se laisse glisser du lit et ouvre la porte légèrement pour voir la tête dépité de son protéger. Min Kyung ?! Elle se redresse, son visage devient grave et elle ouvre la porte en grand rapidement pour le laisser entrer. elle attrape sa main rapidement et le tire à elle. elle se hisse sur la pointe des pieds et enfoui son visage dans le creux du cou du jeune homme. Elle claque la porte derrière eux et dans la quiétude de la chambre elle le serre contre lui. « Mon bébé … je suis là » murmure-t-elle en caressant ses cheveux doucement. Oui, son bébé, aussi étrange que cela puisse paraitre elle l’aimait comme une mère aime son enfant, comme une sœur aime son frère, il faisait partie d’elle plus qu’on ne pourrait le comprendre. Elle l’aimait, elle l’aime, plus qu’on ne pourrait le voir. Alors malgré les années qui passaient, il restait son bébé, son petit frère, son amour, son fils. Il était un tout. Elle le gardait contre lui simplement, il tremblait entre ses bras. Avait il froid ? Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Ven 24 Juin - 1:43
Quand je vais chez Bobae, je sais que je serai bien. Parce qu'elle a toujours fait en sorte que ça soit le cas, parce qu'elle m'a toujours traité comme son propre môme, parce qu'elle est douce et que c'est le genre de personne qui file tellement d'amour sans rien demander en retour que t'as juste envie de te foutre a genoux devant elle pour chialer en t'excusant pour tout le mal que t'as fait au cours de ta putain d'existence. Mais moi bordel... J'ai tellement de trucs à me faire pardonner... Mes parents ont même réussi à me faire culpabiliser d'être né, si ça ça fait pas pitié. J'ai à peine vu la tête de Bobae dans l’entrebâillement de la porte que je me sens mieux. Et à la seconde où elle me chope pour m’enlacer en nous coupant du reste du monde dans sa chambre, j'ai une envie de chialer qui monte avec une puissance qui me fait mal à la tête. Elle rend faible avec son amour Bobae. Je sais pas si c'est un bien ou un mal, mais quand elle me prend comme ça dans ses bras, qu'elle m'appelle son bébé et que j'ai déjà la certitude qu'elle me laissera pas repartir d'ici sans que j'ai vidé un minimum mon sac, bah ouais, j'ai l'impression de redevenir le petit garçon qu'on a lâché comme une bête dans un centre commercial, le p'tit mec qui avait besoin d'entendre ces mots de sa maman. Le problème, c'est que maintenant, ma vie entière est devenue un immense centre commercial dans lequel j'ai peur de finir abandonné, de me perdre. Je serre Bobae fort contre moi en fermant les yeux très fort pour pas me laisser submerger. Je dis rien, je lui réponds pas, mais je la lâche pas. J'ai trop besoin de tout cet amour qu'elle me donne avant de plus y avoir droit. J'ai l'impression de vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête depuis le jour de l'incendie, et je suis sûr que le jour où elle me tombera sur la gueule, le jour où Bobae saura tout, plus jamais elle voudra me voir. Et le pire, c'est que je pourrai même pas lui en vouloir, elle aura raison. Alors je profite des derniers moments où j'ai le droit d'être appelé « mon bébé ». Cette pensée, ça m'fait trembler comme un épileptique, encore plus violemment que tout à l'heure. Je serre les poings pour essayer de maîtriser, mais j'ai plus le contrôle sur rien. « J'suis désolé... » je lâche. Désolé pour tellement de choses, tellement de trucs que j'aurai jamais les couilles de t'avouer, tellement de trucs que tu pourras jamais me pardonner. « J'voulais pas débarquer comme ça mais... » mais j'ai trop besoin de dormir, je veux dormir et toi, t'es la seule qui sache comment me faire plonger dans un monde où quand on ferme les yeux, on voit pas du feu et des morts partout, t'es la seule à avoir une voix capable de couvrir tous ces hurlements dans ma tête, t'es la seule qui sait comment faire avec moi, la seule. « Est ce que je peux rester juste cette nuit ? » J'ai l'impression de retourner un an en arrière, cette nuit où j'ai déboulé à moitié fou, à moitié bousillé devant chez elle pour qu'elle puisse retaper l'épave que j'étais devenue. Et ça me fait flipper parce que depuis un an, finalement, rien n'a changé.
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Quand je vais chez Bobae, je sais que je serai bien. Parce qu'elle a toujours fait en sorte que ça soit le cas, parce qu'elle m'a toujours traité comme son propre môme, parce qu'elle est douce et que c'est le genre de personne qui file tellement d'amour sans rien demander en retour que t'as juste envie de te foutre a genoux devant elle pour chialer en t'excusant pour tout le mal que t'as fait au cours de ta putain d'existence. Mais moi bordel... J'ai tellement de trucs à me faire pardonner... Mes parents ont même réussi à me faire culpabiliser d'être né, si ça ça fait pas pitié. J'ai à peine vu la tête de Bobae dans l’entrebâillement de la porte que je me sens mieux. Et à la seconde où elle me chope pour m’enlacer en nous coupant du reste du monde dans sa chambre, j'ai une envie de chialer qui monte avec une puissance qui me fait mal à la tête. Elle rend faible avec son amour Bobae. Je sais pas si c'est un bien ou un mal, mais quand elle me prend comme ça dans ses bras, qu'elle m'appelle son bébé et que j'ai déjà la certitude qu'elle me laissera pas repartir d'ici sans que j'ai vidé un minimum mon sac, bah ouais, j'ai l'impression de redevenir le petit garçon qu'on a lâché comme une bête dans un centre commercial, le p'tit mec qui avait besoin d'entendre ces mots de sa maman. Le problème, c'est que maintenant, ma vie entière est devenue un immense centre commercial dans lequel j'ai peur de finir abandonné, de me perdre. Je serre Bobae fort contre moi en fermant les yeux très fort pour pas me laisser submerger. Je dis rien, je lui réponds pas, mais je la lâche pas. J'ai trop besoin de tout cet amour qu'elle me donne avant de plus y avoir droit. J'ai l'impression de vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête depuis le jour de l'incendie, et je suis sûr que le jour où elle me tombera sur la gueule, le jour où Bobae saura tout, plus jamais elle voudra me voir. Et le pire, c'est que je pourrai même pas lui en vouloir, elle aura raison. Alors je profite des derniers moments où j'ai le droit d'être appelé « mon bébé ». Cette pensée, ça m'fait trembler comme un épileptique, encore plus violemment que tout à l'heure. Je serre les poings pour essayer de maîtriser, mais j'ai plus le contrôle sur rien. « J'suis désolé... » je lâche. Désolé pour tellement de choses, tellement de trucs que j'aurai jamais les couilles de t'avouer, tellement de trucs que tu pourras jamais me pardonner. « J'voulais pas débarquer comme ça mais... » mais j'ai trop besoin de dormir, je veux dormir et toi, t'es la seule qui sache comment me faire plonger dans un monde où quand on ferme les yeux, on voit pas du feu et des morts partout, t'es la seule à avoir une voix capable de couvrir tous ces hurlements dans ma tête, t'es la seule qui sait comment faire avec moi, la seule. « Est ce que je peux rester juste cette nuit ? » J'ai l'impression de retourner un an en arrière, cette nuit où j'ai déboulé à moitié fou, à moitié bousillé devant chez elle pour qu'elle puisse retaper l'épave que j'étais devenue. Et ça me fait flipper parce que depuis un an, finalement, rien n'a changé.Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Ven 24 Juin - 17:48
Il a l’air tellement mal en point … elle ne saurait dire ce qui la touche le plus. Son regard complètement fêlé ou son corps qui ne cesse de trembler. Elle s’inquiète pour lui pourtant son visage reste doux et souriante. Comme une mère se veut rassurante les soirs d’orages. Elle laisse échapper un faible rire en venant embrasser le bout de son nez. « Tu n’as même pas besoin de poser la question » Elle regarde ses cernes, son teint pâle. A-t-il seulement mangé aujourd’hui, ces derniers jours ? Elle lui retire sa veste et son pull trempé et l’assois sur son lit avant de s’éclipser rapidement dans la salle de bain communicante à sa chambre. Elle lui fait couler un bain et le rempli de mousse et prends une serviette chaude. Elle revient s’asseoir sur le lit en se glissant derrière lui à genou et commence doucement à le sécher et le réchauffer alors qu’il lui parait si glacé. « Tu sais ce que je vais faire ? » murmure-t-elle avec une douceur qui défoncerait le cœur à n’importe quelle âme triste. « Je vais aller te chercher des gaufre comme tu aimes, pendant ce temps-là, toi tu vas te plonger dans ce bon bain chaud que je te fais couler et quand je reviens je m’occupe de toi. » Elle dépose un baiser dans sa nuque et sourit en posant son menton sur l’épaule du plus jeune en le fixant pour s’assurer que ça suffirait pour qu’il se sente un peu mieux. Et après elle l’aiderait à s’endormir, comme elle a toujours eu l’habitude, une étreinte, une main qui lui fait quelques papouilles et l’autre qui le berce. Elle a toujours pris soin de loin, d’aussi loin qu’elle puisse s’en souvenir. Déjà même à l’orphelinat elle le laissait se glisser dans son lit quand l’orage ou un cauchemar le tenait éveillé. Elle le laissait manger plus que les autres dans la cuisine. Elle le laissait faire à peu près tout ce qu’il voulait à vrai dire, mais elle gardait cette autorité qu’il aurait pu tellement de fois réfuté. Ils sont passés par de nombreux chemins tous les deux mais aujourd’hui elle ferait tout pour le soutenir et l’aider … elle le serre contre elle doucement. « Allez vas y mon cœur, tu m’appelles si t’as besoin de moi ok ? » murmure-t-elle en l’aidant à se relever.
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Il a l’air tellement mal en point … elle ne saurait dire ce qui la touche le plus. Son regard complètement fêlé ou son corps qui ne cesse de trembler. Elle s’inquiète pour lui pourtant son visage reste doux et souriante. Comme une mère se veut rassurante les soirs d’orages. Elle laisse échapper un faible rire en venant embrasser le bout de son nez. « Tu n’as même pas besoin de poser la question » Elle regarde ses cernes, son teint pâle. A-t-il seulement mangé aujourd’hui, ces derniers jours ? Elle lui retire sa veste et son pull trempé et l’assois sur son lit avant de s’éclipser rapidement dans la salle de bain communicante à sa chambre. Elle lui fait couler un bain et le rempli de mousse et prends une serviette chaude. Elle revient s’asseoir sur le lit en se glissant derrière lui à genou et commence doucement à le sécher et le réchauffer alors qu’il lui parait si glacé. « Tu sais ce que je vais faire ? » murmure-t-elle avec une douceur qui défoncerait le cœur à n’importe quelle âme triste. « Je vais aller te chercher des gaufre comme tu aimes, pendant ce temps-là, toi tu vas te plonger dans ce bon bain chaud que je te fais couler et quand je reviens je m’occupe de toi. » Elle dépose un baiser dans sa nuque et sourit en posant son menton sur l’épaule du plus jeune en le fixant pour s’assurer que ça suffirait pour qu’il se sente un peu mieux. Et après elle l’aiderait à s’endormir, comme elle a toujours eu l’habitude, une étreinte, une main qui lui fait quelques papouilles et l’autre qui le berce. Elle a toujours pris soin de loin, d’aussi loin qu’elle puisse s’en souvenir. Déjà même à l’orphelinat elle le laissait se glisser dans son lit quand l’orage ou un cauchemar le tenait éveillé. Elle le laissait manger plus que les autres dans la cuisine. Elle le laissait faire à peu près tout ce qu’il voulait à vrai dire, mais elle gardait cette autorité qu’il aurait pu tellement de fois réfuté. Ils sont passés par de nombreux chemins tous les deux mais aujourd’hui elle ferait tout pour le soutenir et l’aider … elle le serre contre elle doucement. « Allez vas y mon cœur, tu m’appelles si t’as besoin de moi ok ? » murmure-t-elle en l’aidant à se relever.Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Dim 31 Juil - 22:42
J'ai pas de souvenir de ma mère biologique, ni de ma famille. Je sais pas si je mangeais avec eux le week end, si on me préparait des tartines de Nutella avant de m'emmener à l'école, si je pouvais regarder les dessins animés jusqu'à midi les dimanches matins. Je sais pas ce que c'est que d'avoir une famille comme ça. Mais je sais ce que c'est d'avoir une vraie mère, et ça c'est pas grâce à celle qui m'a mis au monde. Bobae, c'est elle qui m'a élevé. C'est elle qui m'a tout appris, qui a pris soin de moi. C'est peut être pas ma mère par le sang, mais c'est ma mère par choix. Et malgré tout ce qu'il s'est passé, je changerai ça pour rien au monde. Avec elle, j'ai l'impression de pouvoir redevenir un môme et ça me fait du bien. Je la laisse me déshabiller comme un gamin en levant les bras quand elle passe mes fringues au dessus de ma tête et m'assois sur son lit en la regardant faire les aller retours de la salle de bain à la chambre sans rien dire. Mais j'espère qu'elle comprend à la façon dont je la regarde que je lui suis reconnaissant à en crever, qu'elle est et restera toujours la personne que j'aime le plus au monde et que si je pouvais, je resterai toute ma vie dans cette chambre avec elle, loin de tous les problèmes, loin de toute la culpabilité qui me ronge. Je hoche la tête en silence quand elle me dit d'aller dans le bain qu'elle m'a préparé et me lève pour me diriger dans la salle de bain pendant qu'elle va préparer les gaufres. Mais une fois dans la petite pièce, je me rends compte que pendant que l'eau du bain coule, il y a un bruit bizarre au niveau de la tuyauterie de son évier. Je fronce les sourcils et retourne dans la chambre pour récupérer la boite à outils que je fous toujours sous le lit de Bobae avant d'aller me foutre par terre, le dos sur le carrelage, la clé à molette dans la main pour retaper rapidement la plomberie. Je fais toujours la clé entre mes doigts en cherchant le problème des yeux, puis m'y attelle en le détectant enfin. En quelques tours, je resserre la vis principale, bouge le tuyau pour lui faire prendre un meilleur angle et me redresse pour attraper un chouchou à Bobae qui traîne par là, histoire de maintenir le tout pour que ça ne bouge plus. Quand je me remets debout, je vois ma mère dans l'encadrement de la porte et désigne l'évier du menton : « J'ai réparé le lavabo... T'allais avoir une fuite. » Je remets la clé dans la boite à outils, puis lève les mains en l'air en signe de rédition : « Maintenant je vais dans mon bain, promis ! »
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J'ai pas de souvenir de ma mère biologique, ni de ma famille. Je sais pas si je mangeais avec eux le week end, si on me préparait des tartines de Nutella avant de m'emmener à l'école, si je pouvais regarder les dessins animés jusqu'à midi les dimanches matins. Je sais pas ce que c'est que d'avoir une famille comme ça. Mais je sais ce que c'est d'avoir une vraie mère, et ça c'est pas grâce à celle qui m'a mis au monde. Bobae, c'est elle qui m'a élevé. C'est elle qui m'a tout appris, qui a pris soin de moi. C'est peut être pas ma mère par le sang, mais c'est ma mère par choix. Et malgré tout ce qu'il s'est passé, je changerai ça pour rien au monde. Avec elle, j'ai l'impression de pouvoir redevenir un môme et ça me fait du bien. Je la laisse me déshabiller comme un gamin en levant les bras quand elle passe mes fringues au dessus de ma tête et m'assois sur son lit en la regardant faire les aller retours de la salle de bain à la chambre sans rien dire. Mais j'espère qu'elle comprend à la façon dont je la regarde que je lui suis reconnaissant à en crever, qu'elle est et restera toujours la personne que j'aime le plus au monde et que si je pouvais, je resterai toute ma vie dans cette chambre avec elle, loin de tous les problèmes, loin de toute la culpabilité qui me ronge. Je hoche la tête en silence quand elle me dit d'aller dans le bain qu'elle m'a préparé et me lève pour me diriger dans la salle de bain pendant qu'elle va préparer les gaufres. Mais une fois dans la petite pièce, je me rends compte que pendant que l'eau du bain coule, il y a un bruit bizarre au niveau de la tuyauterie de son évier. Je fronce les sourcils et retourne dans la chambre pour récupérer la boite à outils que je fous toujours sous le lit de Bobae avant d'aller me foutre par terre, le dos sur le carrelage, la clé à molette dans la main pour retaper rapidement la plomberie. Je fais toujours la clé entre mes doigts en cherchant le problème des yeux, puis m'y attelle en le détectant enfin. En quelques tours, je resserre la vis principale, bouge le tuyau pour lui faire prendre un meilleur angle et me redresse pour attraper un chouchou à Bobae qui traîne par là, histoire de maintenir le tout pour que ça ne bouge plus. Quand je me remets debout, je vois ma mère dans l'encadrement de la porte et désigne l'évier du menton : « J'ai réparé le lavabo... T'allais avoir une fuite. » Je remets la clé dans la boite à outils, puis lève les mains en l'air en signe de rédition : « Maintenant je vais dans mon bain, promis ! » Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Jeu 11 Aoû - 18:36
Bae n’est pas une femme parfaite, elle est loin d’avoir été un exemple pour cet enfant qui lui fait face, mais elle a toujours fait de son mieux pour lui offrir une vie décente. On ne fait pas de miracle quand on a que de la poussière à donner, mais elle aurait pu lui construire un joli château avec si peu. Elle a toujours aimé Min Kyung plus qu’elle ne pouvait l’admettre. Parce qu’il était une partie de son monde. Il était une partie de sa vie. Une partie d’elle. Parce qu’il était son passé et son futur. Alors elle le choyait au présent. Tentant de le protéger des erreurs qu’elle a pu commettre. Mais ce n’était qu’en trébuchant qu’on apprenait à se relever, alors au moins elle était là quand il tombait. Elle lui laisse le temps de prendre son bain et va lui préparer un bon encas. De quoi manger et dormir mieux. Elle ignore les gens du Kurss qui lui parle, bien trop concentrée et inquiète pour son protéger pour avoir une discussion telle qu’elle soit. Elle lui prépare un plateau chargé, et de la matière a mangé. Rajoute des nouilles pour qu’il soit repus et remplie une tasse de chocolat et un ajoute un verre d’eau. Elle fait ca bien Bae. Consciencieuse et appliquée, elle veut que tout soit parfait pour lui. Elle revient alors et se rends compte qu’il n’a pas encore commencé. Elle sourit en coin quand il lui montre son évier qu’il vient de réparer et lui lance joyeusement « Heureusement que tu es passé ! ça devenait un enfer cette tuyauterie ! Merci mon chéri ! » Elle acquiesce sans perdre son sourire doux et s’empresse d’aller tout déposer sur sa table pour que tout soit prête quand il sera sortie de son bain. Elle s’assoit n instant sur le lit avant de le rejoindre doucement. « T’es dans ton bain ? » demande-t-elle avant d’entrer sans regarder et s’assure d’un rapide coup d’œil qu’il soit caché par la mousse. Elle se saisit d’un gant de toilette et s’approche de lui doucement. Elle s’assoit délicatement à côté de la baignoire en murmurant d’une voix douce comme le ferait une mère « Tu as le visage tout sale … » ce n’est qu’une remarque dans un souffle doux fruité. Elle mouille le gant et vient lui laver le visage avec des gestes délicats. Elle glisse à ses épaules puis attrape son bras qu’elle lave aussi sans jamais poser de regard inquisiteur dans les prunelles fuyantes du plus jeune. Elle lave sa main doucement et termine en y déposant un baiser que ses lèvres glossées marquent d’un peu de rose brillant. « L’autre bras ! » souffle-t-elle avec douceur en affichant un sourire doux.
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Bae n’est pas une femme parfaite, elle est loin d’avoir été un exemple pour cet enfant qui lui fait face, mais elle a toujours fait de son mieux pour lui offrir une vie décente. On ne fait pas de miracle quand on a que de la poussière à donner, mais elle aurait pu lui construire un joli château avec si peu. Elle a toujours aimé Min Kyung plus qu’elle ne pouvait l’admettre. Parce qu’il était une partie de son monde. Il était une partie de sa vie. Une partie d’elle. Parce qu’il était son passé et son futur. Alors elle le choyait au présent. Tentant de le protéger des erreurs qu’elle a pu commettre. Mais ce n’était qu’en trébuchant qu’on apprenait à se relever, alors au moins elle était là quand il tombait. Elle lui laisse le temps de prendre son bain et va lui préparer un bon encas. De quoi manger et dormir mieux. Elle ignore les gens du Kurss qui lui parle, bien trop concentrée et inquiète pour son protéger pour avoir une discussion telle qu’elle soit. Elle lui prépare un plateau chargé, et de la matière a mangé. Rajoute des nouilles pour qu’il soit repus et remplie une tasse de chocolat et un ajoute un verre d’eau. Elle fait ca bien Bae. Consciencieuse et appliquée, elle veut que tout soit parfait pour lui. Elle revient alors et se rends compte qu’il n’a pas encore commencé. Elle sourit en coin quand il lui montre son évier qu’il vient de réparer et lui lance joyeusement « Heureusement que tu es passé ! ça devenait un enfer cette tuyauterie ! Merci mon chéri ! » Elle acquiesce sans perdre son sourire doux et s’empresse d’aller tout déposer sur sa table pour que tout soit prête quand il sera sortie de son bain. Elle s’assoit n instant sur le lit avant de le rejoindre doucement. « T’es dans ton bain ? » demande-t-elle avant d’entrer sans regarder et s’assure d’un rapide coup d’œil qu’il soit caché par la mousse. Elle se saisit d’un gant de toilette et s’approche de lui doucement. Elle s’assoit délicatement à côté de la baignoire en murmurant d’une voix douce comme le ferait une mère « Tu as le visage tout sale … » ce n’est qu’une remarque dans un souffle doux fruité. Elle mouille le gant et vient lui laver le visage avec des gestes délicats. Elle glisse à ses épaules puis attrape son bras qu’elle lave aussi sans jamais poser de regard inquisiteur dans les prunelles fuyantes du plus jeune. Elle lave sa main doucement et termine en y déposant un baiser que ses lèvres glossées marquent d’un peu de rose brillant. « L’autre bras ! » souffle-t-elle avec douceur en affichant un sourire doux.Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Dim 14 Aoû - 21:31
J'aime quand elle sourit Bobae. Surtout quand elle sourit parce qu'elle est fière de moi. C'est pour ça que j'ai appris à bricoler, pour réparer ses babioles quand on était à l'orphelinat. Et puis petit à petit j'ai pu tout retaper. Alors quand elle entre dans la salle de bain et qu'elle me remercie d'avoir réparé sa tuyauterie, je lui fais un petit sourire limite timide comme si j'étais un gamin de 8 ans complimenté par la maîtresse dont il serait amoureux. « Y'a pas de quoi » je marmonne en baissant les yeux pour pas qu'elle puisse voir que je suis content de lui avoir fait plaisir. Elle me dépose un plateau plein de trucs à bouffer sur le bord de la baignoire et s'en va en fermant doucement la porte. C'est quand je sens l'odeur des nouilles que je me rends compte que j'ai vraiment la dalle. Je me débarrasse des fringues qu'il me reste et plonge dans le bain en frissonnant. Putain ça fait du bien. Je sens déjà mes muscles qui se détendent un peu. Je ferme les yeux et enfonce ma tête dans la flotte pour être totalement immergé. Je reste longtemps comme ça sans bouger, jusqu'à être à bout de souffle. Quand l'air me manque, je remonte à la surface et passe mes mains dans mes cheveux pour les ramener en arrière. Ils commencent à être un peu long, ça me gêne pour le basket. Bobae me demande de l'autre côté de la porte si je suis dans le bain et je lui réponds juste « Ouais. » avant qu'elle ouvre la porte. Elle s'installe sur le rebord de la baignoire et commence à me laver le visage comme si j'avais 5 ans. Mais je la laisse faire comme toujours, parce que je suis trop paumé pour la repousser, que j'ai trop besoin d'elle pour l'envoyer balader et que de toute façon, je sais même pas si j'aurai eu la force moi de le faire tout seul. Je suis un putain d'assisté. Quand elle en a fini avec ma face, elle passe à mon bras qu'elle s'applique à nettoyer proprement en allant jusqu'à ma main qu'elle embrasse comme une mère le ferait avec les pieds de son bébé. Mais un bébé c'est mignon. Moi j'ai rien de mignon. Je suis juste un type déglingué qui peut rien faire sans elle. Un assisté qui fait que des conneries quand on le laisse un peu trop longtemps tout seul et qu'il a besoin d'attirer l'attention. Elle me demande mon autre bras et je le lui donne sans discuter – qu'est ce que je pourrai bien dire de toute façon ? Et pendant qu'elle reprend son savonnage, je lui demande : « Dis... Tu crois que tu pourrais me couper les cheveux ? Pas trop court hein, mais j'veux plus qu'ils me tombent sur les yeux. » Je pourrai aller chez une coiffeuse mais la seule fois que je l'ai fait je ressemblai à rien après. Y'a que Bobae qui sait me faire la coupe que j'aime. Parce qu'elle me connaît par cœur.
Run to you
BOBAE & MINKYUNG
J'aime quand elle sourit Bobae. Surtout quand elle sourit parce qu'elle est fière de moi. C'est pour ça que j'ai appris à bricoler, pour réparer ses babioles quand on était à l'orphelinat. Et puis petit à petit j'ai pu tout retaper. Alors quand elle entre dans la salle de bain et qu'elle me remercie d'avoir réparé sa tuyauterie, je lui fais un petit sourire limite timide comme si j'étais un gamin de 8 ans complimenté par la maîtresse dont il serait amoureux. « Y'a pas de quoi » je marmonne en baissant les yeux pour pas qu'elle puisse voir que je suis content de lui avoir fait plaisir. Elle me dépose un plateau plein de trucs à bouffer sur le bord de la baignoire et s'en va en fermant doucement la porte. C'est quand je sens l'odeur des nouilles que je me rends compte que j'ai vraiment la dalle. Je me débarrasse des fringues qu'il me reste et plonge dans le bain en frissonnant. Putain ça fait du bien. Je sens déjà mes muscles qui se détendent un peu. Je ferme les yeux et enfonce ma tête dans la flotte pour être totalement immergé. Je reste longtemps comme ça sans bouger, jusqu'à être à bout de souffle. Quand l'air me manque, je remonte à la surface et passe mes mains dans mes cheveux pour les ramener en arrière. Ils commencent à être un peu long, ça me gêne pour le basket. Bobae me demande de l'autre côté de la porte si je suis dans le bain et je lui réponds juste « Ouais. » avant qu'elle ouvre la porte. Elle s'installe sur le rebord de la baignoire et commence à me laver le visage comme si j'avais 5 ans. Mais je la laisse faire comme toujours, parce que je suis trop paumé pour la repousser, que j'ai trop besoin d'elle pour l'envoyer balader et que de toute façon, je sais même pas si j'aurai eu la force moi de le faire tout seul. Je suis un putain d'assisté. Quand elle en a fini avec ma face, elle passe à mon bras qu'elle s'applique à nettoyer proprement en allant jusqu'à ma main qu'elle embrasse comme une mère le ferait avec les pieds de son bébé. Mais un bébé c'est mignon. Moi j'ai rien de mignon. Je suis juste un type déglingué qui peut rien faire sans elle. Un assisté qui fait que des conneries quand on le laisse un peu trop longtemps tout seul et qu'il a besoin d'attirer l'attention. Elle me demande mon autre bras et je le lui donne sans discuter – qu'est ce que je pourrai bien dire de toute façon ? Et pendant qu'elle reprend son savonnage, je lui demande : « Dis... Tu crois que tu pourrais me couper les cheveux ? Pas trop court hein, mais j'veux plus qu'ils me tombent sur les yeux. » Je pourrai aller chez une coiffeuse mais la seule fois que je l'ai fait je ressemblai à rien après. Y'a que Bobae qui sait me faire la coupe que j'aime. Parce qu'elle me connaît par cœur. Invité
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Re: run to you ~ #MINBAE | Mer 17 Aoû - 21:03
Pendant qu’elle le savonne l’esprit de Bo Bae vaque ici et là sans vraiment se poser. Elle sourit doucement en passant le gant sur ses bras pour bien le laver et glisse sur ses clavicule et le haut de son torse. Pour le reste du corps elle ne doute pas qu’il pourra se débrouiller seul et se freine pour ne pas gêner son protéger. Aussi étrange que ça puisse paraitre Bae considère Min Kyung comme son véritable fils. L’écart d’âge a beau ne pas être important, elle sait que le jour où elle sera mère, elle ressentira ces mêmes élans de tendresses et de protections qu’elle ressent aujourd’hui pour le jeune orphelin. A sa demande elle rit légèrement en passant une main dans les cheveux sauvages du garçon. « Bien sûr ! » elle ferait n’importe quoi pour lui. Elle sait maitrise cette touffe de cheveux bouclé et informe. On pourrait les croire indomptables mais Bae a fini par savoir comment le coiffer et surtout comment lui couper les cheveux pour qu’il ne soit pas trop touffu. Je dépose le gant sur le bord de la baignoire et m’approche un peu plus de lui. « Je vais te laver les cheveux alors mon cœur. » sa voix n’est qu’un faible murmure doux qui effleure le plus jeune pour l’envelopper dans un peu de douceur et de coton. Elle l’oblige avec des gestes délicats à s’allonger un peu plus dans la baignoire et s’arrange pour maintenir sa tête en glissant ses doigts fins sur sa nuque. De sa main libre elle lui mouille les cheveux, prenant le temps de bien les mouiller. « Qu’est-ce qu’ils sont long … » souffle-t-elle amusée en tirant doucement sur ses boucles pour les tendre dans l’eau. Elle veille à ne pas se prendre dans les nœuds et verse le savon dans le creux de sa paume pour venir masser le crane de Min Kyung. Elle prend son temps, massant aussi la nuque pour le détendre et l’apaiser. Elle n’a pas la prétention de croire que ses quelques caresses pourront soulager le cœur de son protégé, mais c’est un pas de plus vers le bien être. Elle s’amuse à lui faire mousser les cheveux pour en faire des crêtes bien droites sur sa tête. Elle rit en soufflant sur le trop plein de mousse. Elle lui en met sur le bout du nez avant de déposer un baiser sur sa joue. « Allé on rince ! » elle attrape le pommeau de douche et règle la température, pile comme il aime. C’est fou de connaitre aussi bien une personne. « Tête en arrière » annonce-t-elle gaiment en le tirant vers elle, assis dans l’eau. Elle place le gant de toilette sur les yeux de Min Kyung et lui rince les cheveux en passant ses doigts agiles à travers les boucles. « Quand j’aurais fini de te rincer les cheveux j’irais préparer la chaise, les ciseaux et tout ce qu’il faut pour te raccourcir tout ça ! »
Run to you
BOBAE & MINKYUNG
Pendant qu’elle le savonne l’esprit de Bo Bae vaque ici et là sans vraiment se poser. Elle sourit doucement en passant le gant sur ses bras pour bien le laver et glisse sur ses clavicule et le haut de son torse. Pour le reste du corps elle ne doute pas qu’il pourra se débrouiller seul et se freine pour ne pas gêner son protéger. Aussi étrange que ça puisse paraitre Bae considère Min Kyung comme son véritable fils. L’écart d’âge a beau ne pas être important, elle sait que le jour où elle sera mère, elle ressentira ces mêmes élans de tendresses et de protections qu’elle ressent aujourd’hui pour le jeune orphelin. A sa demande elle rit légèrement en passant une main dans les cheveux sauvages du garçon. « Bien sûr ! » elle ferait n’importe quoi pour lui. Elle sait maitrise cette touffe de cheveux bouclé et informe. On pourrait les croire indomptables mais Bae a fini par savoir comment le coiffer et surtout comment lui couper les cheveux pour qu’il ne soit pas trop touffu. Je dépose le gant sur le bord de la baignoire et m’approche un peu plus de lui. « Je vais te laver les cheveux alors mon cœur. » sa voix n’est qu’un faible murmure doux qui effleure le plus jeune pour l’envelopper dans un peu de douceur et de coton. Elle l’oblige avec des gestes délicats à s’allonger un peu plus dans la baignoire et s’arrange pour maintenir sa tête en glissant ses doigts fins sur sa nuque. De sa main libre elle lui mouille les cheveux, prenant le temps de bien les mouiller. « Qu’est-ce qu’ils sont long … » souffle-t-elle amusée en tirant doucement sur ses boucles pour les tendre dans l’eau. Elle veille à ne pas se prendre dans les nœuds et verse le savon dans le creux de sa paume pour venir masser le crane de Min Kyung. Elle prend son temps, massant aussi la nuque pour le détendre et l’apaiser. Elle n’a pas la prétention de croire que ses quelques caresses pourront soulager le cœur de son protégé, mais c’est un pas de plus vers le bien être. Elle s’amuse à lui faire mousser les cheveux pour en faire des crêtes bien droites sur sa tête. Elle rit en soufflant sur le trop plein de mousse. Elle lui en met sur le bout du nez avant de déposer un baiser sur sa joue. « Allé on rince ! » elle attrape le pommeau de douche et règle la température, pile comme il aime. C’est fou de connaitre aussi bien une personne. « Tête en arrière » annonce-t-elle gaiment en le tirant vers elle, assis dans l’eau. Elle place le gant de toilette sur les yeux de Min Kyung et lui rince les cheveux en passant ses doigts agiles à travers les boucles. « Quand j’aurais fini de te rincer les cheveux j’irais préparer la chaise, les ciseaux et tout ce qu’il faut pour te raccourcir tout ça ! »Contenu sponsorisé