sombre
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €


    :: Défouloir :: 2018

because I can't pretend. [tadary ♥] (+18)

Invité
Invité
Anonymous
 
Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Ven 19 Jan - 17:54
Citer EditerSupprimer

because I can't pretend.
tadary

Ton désir rencontre le sien, il se réjouit de l'effet qu'il lui fait, il en réclame encore plus. Alors oui, tu lui avoues sans mal qu'il t'a manqué, c'est étrange, mais tu te sens actuellement coupé du monde. Comme si plus rien à part lui n'avait une quelconque importance, comme si le temps s'était arrêté pour vous offrir une pause de paradis des plus agréables, parce que oui, là, tu te sens bien, tu te sens même étrangement heureux. Mais ne dit-on pas que le bonheur est d'obtenir ce que l'on désire ? Et c'est lui, que tu désires. Celui qui autrefois n'était que ton meilleur ami, celui qui ne devait être qu'un beau-frère, et voilà que ce soir, en ayant pleinement conscience des choses, tu te perds sans aucune foutue hésitation dans ses bras. Te laissant guider par tes envies les plus folles, les plus charnelles. Parce que oui, tu as eu le temps d'y réfléchir, ça ne s'explique pas pourtant, mais tu veux lui offrir davantage de plaisir. Alors après avoir déposé cette pluie de baisers sur son corps, tu succombes à cette envie érotique. Tu glisses sa virilité entre tes lèvres, usant d'une certaine douceur et lenteur dans le but de lui procurer un maximum de plaisir, qu'il ressente la moindre des sensations. Tu peux d'ores-et-déjà l'entendre aux soupirs qu'il pousse, ça lui plaît et te pousse à continuer sur cette lancée. Il grogne même à certains moments, chose qui te fait perdre pied pendant un court instant, puisque à nouveau, tu viens lui serrer la cuisse. Tu ne cesses pas tes vas-et-vient, à aucun moment, étouffant ainsi tes courts gémissements de plaisir à entendre Tadashi dans cet état, en entendant ce bien que tu lui fais. Il vient même griffer ton dos, alors que son autre main se faufile dans tes cheveux, et lorsqu'il ressert son emprise, tu lâches finalement sa cuisse pour venir attraper sa main, la serrer à ton tour pendant quelques petites secondes. Mais tu continues, étant toujours doux et ce, pendant plusieurs longues secondes, voire minutes, avant d'être coupé par Tadashi qui décide de mettre fin à cet échange. Légèrement frustré pour commencer, tu finis tout de même par baisser les armes, désormais redressé, tu le suis dans ses mouvements et retire donc ton pantalon. Peut-être que tu voulais continuer, oui, mais le manque de son corps se fait bien trop puissant. Tu as besoin de beaucoup plus et Tadashi te montre cette réciprocité en agissant rapidement. C'est ainsi que tu te retrouves totalement dénudé, sur lui, puisqu'il vient te placer sur son corps. Ta respiration se fait plus forte encore, tu sens que ce désir dévastateur que tu ressens pour lui pourrait avoir raison de toi d'ici peu de temps. Il lève le menton, croisant ton regard tandis que ta tête est baissée vers lui, tes cheveux formant un fin rideau qui vous isole davantage de cette nuit et de la réalité, ta main vient même maintenir correctement sa nuque comme pour le garder près de toi. Ton nez chatouille le sien, tes lèvres encore déformé par le plaisir que tu lui as offert il y a de ça quelques secondes frôlent chaudement les siennes, tu esquisses même un doux sourire au moment où tu replonges ton regard dans le sien. Et c'est contre ses lèvres que tu écrases ce soupir de désir, sentant ses mains griffer doucement tes côtes, lui, il en profite pour venir sucer la peau de ton cou. Tu fermes doucement les yeux,  basculant ta tête sur le côté pour lui laisser libre accès à cette partie de ton corps, ta bouche, elle, reste entrouverte pour faciliter ta respiration toujours aussi forte. Et puis doucement, tes mains remontent pour se glisser dans ses cheveux que tu agrippes faiblement. Tu sens même ta virilité se frotter contre la sienne et là, tu ne peux retenir un faible gémissement, ça commence à être une réelle torture pour toi, l'impatience, la frustration, sentir son désir de toi, tout ça te rend totalement fou. Mais si tu savais, cette torture qui était pourtant si douce à côté de celle qui t'attend, puisqu'il vient se saisir à nouveau de ton membre viril, le caresse. Tu plisses fermement les yeux pendant une courte seconde, laissant échapper un nouveau soupir, beaucoup plus audible que les précédents lorsque ses doigts entrent en toi. Ton cœur s'emballe, ton plaisir s'éveille et se décuplent davantage, tous tes sens sont en éveils, à l'entente de sa respiration qui s'affole, à lui aussi, tes soupirs de plaisir deviennent rythmé et saccadé.  « Si je t'ai manqué, je veux l'entendre. » Un fin gémissement totalement incontrôlé passe la barrière de tes lèvres, cette vague d'excitation qui ravage tout sur son passage te fait perdre totalement le contrôle, tellement que tu peines même à pencher de nouveau la tête lorsqu'il suce à nouveau la peau de ton cou. Tes doigts resserrent leur emprise sur ses cheveux, ta seconde main agrippe fortement son épaule alors que ton bassin se mouve doucement d'excitation. Tes gémissements, tu ne les contrôles plus, tu ne contrôles plus grand chose à vrai dire. Tu te contentes de faire ce qu'il te demande, parce que ton désir est de combler le sien. Ta main quitte même son épaule pour se plaquer quelques secondes sur le plafond de ta voiture, instinctivement, tu tentes même de l'agripper comme si ce simple geste pouvait te faire passer cette frustration interminable. Ton cœur cogne si fort dans ta poitrine que tu peux l'entendre par dessus ce désir fou. Doucement, tu succombes à cette folie, et collant tes lèvres près de son oreille, tu viens lui souffler, difficilement: « Continue. » Mot coupé par un gémissement mais aussi par ta respiration haletante. Mais tu veux lui faire comprendre qu'il tient le bon rythme, et s'il veut te torturer encore, qu'il le fasse. Tout ce que toi tu veux, c'est qu'il fasse ce dont il a envie. Après ça, tu viens entourer tes deux bras autour de ses épaules, te plaquant davantage contre lui sans cesser tes doux mouvements du bassin, comme si tu en réclamais encore plus. Dans cette position, tu peux sentir sa perte de poids. Tu l'avais déjà remarqué et même si tu n'étais clairement pas habitué à le voir nu, ça se voit, ça se sent, et cette sensation te pousse à te serrer davantage contre lui. Tu ne sais pas pourquoi, c'est inconscient. Et sans cesser de pousser des gémissements, ton visage toujours baissée, ta joue vient rencontrer la sienne un bref instant. Comme si tu profitais de ce moment pour te reposer, tes forces devenant assez fébriles, tes gémissements, tu les pousses à quelques millimètres de son oreille alors que ton corps continue de se tordre de plaisir, mais de frustration aussi. C'en est presque une supplique, lorsque tu parviens à gémir son nom. « Tada... » Tu cherches à le prévenir, tu ne tiens plus, tu en veux beaucoup plus. Tu as besoin de le sentir et t'espères qu'il va vite le comprendre. Cette torture aura raison de toi.  




#kerushirei
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Lun 22 Jan - 18:19
Citer EditerSupprimer

because I can't pretend.
tadary

Ce désir dévastateur te pousse à vouloir lui offrir plus de plaisir. Tu veux lui faire du bien, tu veux l'entendre pour avoir la preuve qu'il perd le contrôle sur lui-même et qu'il n'arrive même plus à se retenir. Ça te rend complètement dingue de le voir comme ça, ça ne t'aide pas à te calmer bien au contraire. C'est ton envie de lui qui grimpe en même temps que la sienne. Pourtant tu n'arrête pas, tu viens jouer avec sa virilité avant de laisser tes doigts explorer à nouveau ses fesses. Tu es comme un énorme chat qui s'amuse avec un souris. Tu joues avec elle avant de la mettre dans ta gueule. Et Yury l'a très bien comprit. Il se laisse faire comme s'il voulait que tu t'amuse encore. Il voit bien que le spectacle te plaît. Il sait que tu te régale de le voir pousser ses cris. Si seulement il savait à quel point tu le trouves beau quand il est dans cet état. Ça va au delà de l'envie et du besoin de lui faire du bien, c'est aussi pour le plaisir de le voir décollé, de le voir atteindre les limites de son propre plaisir et d'en vouloir encore plus. Tu le vois tenter de griffer le plafond de sa voiture, doucement il entre dans un état de folie, une folie qui fait du bien. Tu sens son souffle dans ton cou, tu frissonne soupirant de plaisir, te mordant légèrement la lèvre. Pour toi aussi ça devient difficile, tu repousses tes propres limites mais tu sais bien que ça ne durera pas longtemps. « Continue. » glisse-t-il à l'oreille, un grognement de ta part et tu augmente la cadence de tes va-et-vient. Tu en veux plus mais avant, tu fais ce qu'il te demande parce que tu sais qu'il en veut plus, que même s'il atteint les barrières du supportable, il n'a rien contre les franchir. Alors tu joues avec son désir et le tien.  Il se colle un peu plus à toi venant approcher son visage du tien pour que tu l'entendes mieux soupirer de plaisir. Ses mouvements de bassin deviennent plus brusques, il n'en peux plus et toi non plus. Lui faire plaisir ne te suffit plus, tu demande plus. « Tada... » lâche-t-il dans un énième gémissement. Cette fois, tu arrêtes tout pour venir l'embrasser avec fougue. Tu laisse ta virilité venir se glisser entre ses fesses, tu n'entres pas tout de suite en lui le laissant reprendre son souffle. Il faut que tu prennes ton temps avant de commencer la suite. Tu te laisse quelques secondes de répit avant de te détacher de lui, un sourire aux lèvres et la respiration haletante. Finit d'attendre, ni lui ni toi ne veut attendre plus longtemps. Tu souhaite le retrouver, goûter à nouveau à cette sensation presque paradisiaque que tu as vécu la dernière fois avec lui. Alors sans plus tarder, tu viens te glisser en lui, doucement commençant des mouvements doux. Tes mains dans son dos, viennent le coller contre toi alors que tu dépose tes lèvres dans son cou. Tu ressens le besoin de l'avoir contre toi, comme pour être certain qu'il vive tout ça avec toi. Vous êtes deux à vivre ça, et tu veux être sûr qu'il soit là avec toi, que tout ceci n'est pas un de ces nombreux rêves que tu as pu faire ces derniers temps. Tu viens poser ton visage devant le sien, plongeant ton regard dans le sien. Tu es certain que ce que tu vois dans ses yeux, il peut le voir aussi dans les tiens. C'est la première fois depuis longtemps, que tu peux ressentir cette réciprocité dans cet échangé charnel. Tous les deux avez rêver de vous retrouvez et maintenant que vous êtes l'un contre l'autre, vous vivez quelque chose d'unique et puissant. Tu pousse ton premier gémissement accélérant tes mouvements par la même occasion. Tes muscles se contractent tant l'effort se veut intense. Doucement, tu lui griffes le dos avant d'agripper fermement ses côtes. Tu l'aide dans ses mouvements, augmentant un peu plus le rythme. Plus les minutes avancent et plus tu te vois décollé, tu ressens comme un sentiment de flottement. Cette même sensation que tu ressens après chaque dose d'héroïne. Ce foutu sentiment de bien être qui te fait oublier tout le reste, qui te fait te sentir bien, heureux. L'impression d'être libéré de tous tes problèmes, de tout ce qui te bouffe la vie depuis tant de semaine. Et maintenant, contre le corps de Yury tu peux sentir cette même sensation agréable, c'est même plus intense et ça te pousse à continuer vos mouvements. Tu viens même l'embrasser laissant tes mains descendre sur ses hanches. Tes gémissements se perdent dans vos baisers enflammés et tu ne sais pas si tu pourras tenir longtemps. Tu voudrais que cet instant dur éternellement mais ton corps atteint dangereusement ses limites. Alors tu laisse tomber ton dos contre le siège, tes mains viennent attraper fermement ses fesses poussant Yury a les agités sur ton membre. Cette fois, c'est certain tu franchis tes limites : ton corps tout entier se contracte comme paralysé par ce désir dévastateur. Ce plaisir te foudroies sur place et tu pousse un gémissement bien plus grave et bruyant que les précédents. Le choc est si fort que ton corps tremble légèrement par moment tandis que tu fermes les yeux et laisse ta tête basculer contre le siège. D'autres gémissements s'échappent tant ce que tu viens de vivre a été fort. Tu peines à revenir à la réalité, bien trop haut dans le ciel pour vouloir redescendre tout de suite. Malheureusement, que tu le veuilles ou non, il va bien falloir que tu reprennes tes esprits. Là, tu laisse simplement le temps à Yury et toi de vous remettre de l'intensité de votre acte laissant la réalité te revenir en pleine tête plus tard.  




#kerushirei
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Jeu 25 Jan - 3:02
Citer EditerSupprimer

because I can't pretend.
tadary

Ce n'est pas si difficile que ça de sourire lorsqu'on prétend que tout va pour le mieux. C'est ce que tu fais, toi, tu prétends et ce n'est pas sans raison, non tout ça n'est que de l'auto-protection. Et tu commences peu à peu à t'en rendre compte, du moins, depuis cette dispute avec Jin Hee. Ces dernières années, tu les as passé à traîner cette âme en souffrance et que nul n'entend, non, personne, puisque tu t'en assurais. Tu  restes loin de la vérité en espérant qu'un jour, tu te réveilleras et tu n'auras plus besoin de prétendre, qu'un jour, tout ira mieux, et dans ton imagination la plus folle, ce jour, sera ta délivrance. Et là, ce soir, t'as l'impression d'y mettre un pied, l'impossible qui paraît si réel. Sans doute parce que ton désir te pousse à faire des choses que tu n'aurais jamais osé habituellement lorsque ça concerne une certaine personne, des choses qui t'ont clairement mis dans tes pires états mais pourtant tu es là, à profiter du moment sans penser à rien, à savourer ce désir et ce plaisir. Comme si plus rien n'existait. Même si Tadashi continue de jouer avec toi, ou plutôt, de faire grimper ton excitation jusqu'à ce qu'elle atteigne son maximum. Et tu l'es, excité à l'idée grandissante de vous assouvir l'un à l'autre, comme la dernière fois. Sauf que ce n'est même pas réellement comparable à la première fois, à cette pulsion que vous aviez eu. Comment expliquer tout ça ? Et qu'est-ce que ça veut dire ? T'en sais strictement rien, mais si t'étais le genre de mecs à se prendre la tête, ça se saurait. Ce n'est pas le cas, pas concernant votre relation bien que vous prenez un énorme risque. Pourtant, tu l'as perdu une fois Tadashi, tu ne supporterais pas de le perdre une seconde fois mais pourquoi tu le perdrais ? Qu'est-ce qui pourrait te séparer de lui ? Tu ne comptes plus partir, encore moins après avoir appris tout ça, ce désastre qu'est sa vie. Tu ne sais pas ce que l'avenir vous réserve, alors non, tu n'as pas vraiment réfléchi à tout ça. Tu veux foncer, c'est aussi pour ça que tu as fait le premier pas. Tu commences à crever d'impatience, et tu tentes de lui faire comprendre en gémissant son nom. Le message est compris, il arrête tout, venant t'embrasser avec fougue. Baiser que tu lui rends aussitôt. Baiser qui écrase aussi tes soupirs de plaisir, mais surtout d'impatience. Ça vous laisse quelques secondes, le temps pour vous de reprendre quelque peu votre souffle mais ton désir le tient à un rythme bien trop effréné. Et là, tu le sens se glisser en toi, ta bouche s'entrouvre, laissant passer un soupir plus bruyant que les précédents. Tu viens même plisser les yeux un court instant, sans doute dû à cette douleur qui se fait tout de même présente, mais ton plaisir est bien trop encombrant, bien trop envahissant qu'il l'effacera vite, et tu le sais. Ses mains dans ton dos viennent te coller à lui, tu l'entoures aussitôt de tes bras, le maintenant près de toi alors que tu commences de doux mouvements de ton bassin. Tu lâches même ton premier gémissement lorsque tu sens ses lèvres se poser dans ton cou, et tu fermes les yeux, t'imprégnant de cette douce sensation, de ces merveilleux ressentis. Et doucement, tes mains se glissent à nouveau dans ses cheveux, mais ça, c'est avant que tu rouvres les yeux, croisant son regard enflammé. Un regard si lourd de sens, il est clair qu'il en envie autant que toi, et ton désir se gonfle à cette idée. C'est si puissant, peu importe ce que vous venez de créer, il risque de tout dévaster sur son passage mais tu le vois dans son regard, il s'en fiche, tout comme toi. Il se sent bien et toi aussi, c'est le plus important. Et lorsqu'il accélère ses mouvements, tu fermes à nouveau les yeux, un nouveau gémissement mélangé au premier de Tada, de douces mélodies qui accompagnent votre échange charnel. Tu as à la fois l'impression de retrouver toute la force dont tu as besoin mais ton désir te la retire trop vite, tu viens alors poser ton front contre le sien, laissant tes soupirs et parfois, gémissement, se faire entendre à quelques centimètres de son visage. Tu sens ses griffes se planter dans ton dos avant qu'il vienne agripper fermement tes côtés, t'aidant dans tes mouvements. Tu le laisses guider les choses, faire ce qu'il souhaite, non sans lui faire entendre ton plaisir par des gémissements de moins en moins discrets. Gémissements étouffés lorsqu'il vient reprendre possession de tes lèvres,  descendant ses mains sur tes hanches. Tu viens même déposer les tiennes sur les siennes, t'as envie de le sentir te toucher, d'appuyer ce contact, tu attrapes ses mains, continuant de mouver ton bassin sur sa virilité. Vos gémissements s'entremêlent, étouffés dans vos baisers torrides. Ça t'enflamme sur place de sentir l'effet que tu lui fais, qu'il prenne autant de plaisir que toi. Vos corps se quittent quelque peu lorsque Tada se laisse tomber sur le siège, tu en profites pour prendre appui sur ce dernier, de chaque côté de ses épaules. Tu serres fort ton emprise, imageant tout le plaisir que tu ressens, tu lèves même un court instant le menton au ciel, laissant un nouveau gémissement te paralyser le corps et te faisant davantage frémir. Mais ce n'est rien comparé à celui que tu pousses lorsque ses mains venir agripper tes fesses, les mouvant davantage sur sa virilité. Non là, tu ne retiens plus un seul gémissement, tu n'y parviens plus. Tu viens même déposer ta main sur son torse, lui attrapant doucement la peau comme pour établir un contact entre lui et toi au moment où il viendra, tu sais qu'il ne pourra plus tenir longtemps et ton désir est prêt à exploser lui aussi.  Et il pousse son ultime gémissement, tes muscles se contractent un court instant alors que ta deuxième main vient prendre appui sur son torse, tu continues, tu effectues tes derniers mouvements, lâchant parfois, ces bruits de plaisir jusqu'à toi aussi, atteindre tes limites. Tes yeux toujours clos, ta respiration haletante y mêlant parfois certains bruits dû à vos efforts, tu te laisses quelques secondes de répit. Quelques secondes avant de venir à nouveau te coller à lui. Tu t'es souvent demandé ce qu'il se serait passé si tu n'avais pas fui la première fois, si tu étais resté, et voilà que ce soir, tu viens te coller à lui. Comme si tu en avais cruellement besoin, c'est le cas, la première fois, tu avais besoin d'être seul, de fuir mais ce soir c'est différent. Tu as compris que c'est loin de lui, que tu ne t'en sortais pas. Peu importe ce qu'il se passe. Tu passes doucement tes mains autour de lui, collant à nouveau ton torse contre le sien. Ta respiration se calme peu à peu, tu commences à retrouver une respiration plus ou moins convenable, et une fois chose faite, tu te détaches légèrement de lui afin de le regarder. Pendant quelques courtes secondes, tu plantes ton regard dans le sien, tu viens même passer ta main dans ses cheveux, le débarrassant de quelques mèches rebelles qui couvraient son front. Tu ne sais pas pourquoi tu fais ça, t'en as juste envie, et ça, avant de laisser ta main s'aventurer sur sa joue et de l'embrasser à nouveau.  Un baiser plus court dû à ta respiration mais c'était plus fort que toi. Et lorsque tu te détaches de ses lèvres, tu lui souris doucement, avant de baisser le regard. Tu ne ressens pas encore le froid, ton corps est encore chaud de vos ébats mais surtout, là, collé contre Tadashi, tu absorbes sa chaleur. Tu relèves alors les yeux, tu ne dis rien pendant un court instant, t'as pas envie de casser ce moment mais tu finis tout de même par rouvrir la bouche. « J'ai pas envie de rentrer. » finis-tu par lui souffler. Un moyen de lui faire comprendre que t'es prêt à passer la nuit avec lui, peu importe l'endroit, peu importe comment, tu veux juste passer le reste de la nuit avec lui. Tu plisses doucement tes lèvres dans un tendre sourire, non, t'as définitivement pas envie de rentrer, tu veux encore profiter de ce sentiment de bien-être, c'est ce que tu ressens lorsqu'il est avec toi.  




#kerushirei
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | Sam 10 Fév - 17:12
Citer EditerSupprimer

because I can't pretend.
tadary

La sensation de bien être que tu ressentais après vos ébats était agréable, presque douce, contrairement à l'intensité de votre échange charnel. Est-ce que c'était dû au fait que vous vous retrouviez enfin de cette manière ? Ou est-ce que tous vos ébats seraient aussi intense ? Tu ne t'en plaignais pas, bien au contraire, tu l'aimais cette intensité. Elle vous faisait du bien à tous les deux, elle te plongeait dans un état second. Un sentiment de légèreté t'envahissait. Tu semblais léviter, comme si tes pieds ne touchaient plus le sol. C'était aussi bon que les effets de l'héroïne. C'était tout aussi efficace d'ailleurs. Comme si le sexe avec lui pouvait remplacer les effets de la drogue. Comme si Yury pouvait te faire tout oublier et te sentir bien rien qu'en étant collé à toi. Comment arrivait-il à te faire te sentir si bien à ses côtés ? Est-ce que c'était les sentiments que tu ressentais qui te faisait tant de bien ? Certainement, même si tu ne voulais pas parler de ça, même si tu n'avais aucune idée de ce que votre relation était, tu ne pouvais pas te mentir, tu ressentais quelque chose pour lui. Ce n'était plus du tout de l'amitié, ce sentiment n'était déjà qu'un souvenir lointain. Il y avait quelque chose de plus fort à la place, quelque chose que tu n'étais pas encore prêt à nommer. C'était sûrement trop tôt pour penser à ça, alors tu préférais mettre ses pensées de côté et te concentrer sur le présent. Yury se colle contre toi, passant ses mains autour de toi. Le geste te surprend, tu ne pensais pas qu'il te prendrait dans ses bras. Votre première soirée, il a fuit sans même te regarder et là, il se blottit contre toi. Sa tendresse te touche plus que tu ne l'aurais cru, tu prends conscience que tu en avais besoin. Que ce geste simple comble quelque chose en toi. Tu te sens entier d'un coup, tu n'a plus l'impression que tu as pu vivre pendant de longs mois. Ce soir, tu n'es pas qu'un objet sexuel, tu es quelqu'un, tu existe pour Yury. C'est ça que tu ressens, cette impression d'être vivant et de pas être là que pour le sexe. Alors sans réfléchir plus longtemps, tu enroules tes bras autour de son corps frêle. Tous les deux avez bien du mal à reprendre votre souffle. Doucement, Yury se détache de toi, plongeant son regard dans le tien. Cet échange te permet de voir qu'il se sent tout aussi bien que toi à cet instant. Il passe tendrement sa main sur ton visage avant de venir t'offrir un baiser tout aussi tendre. Ta main vient alors se balader dans ses cheveux. Tu frissonne légèrement dû à ce que tu ressens quand tes lèvres rencontrent les siennes. Votre baiser ne dur que quelques secondes mais il semble plus important que tous les autres. Sûrement parce qu'il est chargé de sens et de sentiments. Ou peut-être qu'il a simplement de l'importance pour toi. « J'ai pas envie de rentrer. » souffle-t-il, cassant le silence qui régnait dans l’habitacle. Toi non plus tu ne veux pas rentrer, en tout cas pas sans lui. Tu voudrais que ce moment soit éternel, que vous soyez toujours l'un contre l'autre. Tu lui souris tendrement tandis que tes mains descendent le long de ses côtes. Tu ne veux pas le quitter, vous n'avez pas assez profiter l'un de l'autre. Les instants à ses côtés passent trop vite, à peine es-tu dans ses bras que tu le vois déjà repartir. « J'ai pas envie de te quitter non plus. » C'est bien de ça qu'il parlait lui aussi, hein ? Il veut lui aussi rester avec toi, et tu comptes bien rester avec lui toute la nuit s'il le faut. Tu redresse légèrement pour venir à nouveau l'embrasser. Tu profite autant que possible de ses lèvres. Tu viens même coller ton corps contre le sien à l'aide de tes bras. Votre échange est plein de douceur, il réchauffe un peu plus ton cœur qui bat toujours aussi vite. Et puis, tu te détache de ses lèvres pour planter ton regard dans le sien. « Ma mère est pas là cette nuit, et mes frères non plus... Si tu veux, on peut continuer la nuit chez moi. » Un nouveau sourire complice s'affiche sur ton visage. Tu veux continuer de profiter des instants comme celui-ci avec lui, peu importe ce que vous pouvez faire, tant que tu es avec lui, le reste n'a pas grande importance. Au contraire, sa présence te suffit amplement. Tu n'as besoin que de Yury pour te sentir bien.  




#kerushirei
Contenu sponsorisé
 
Re: because I can't pretend. [tadary ♥] (+18) | 
Citer EditerSupprimer

Une petite réponse rapide