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yun izia † from the ashes.

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yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 15:11
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yun iz ia
CARTE D'IDENTITÉ

DATE + ÂGE : cinq mai, vingt-trois ans.
NATIONALITÉ : nord-coréenne.
ORIENTATION + STATUT : indéfinie & célibataire.
CLASSE SOCIALE : pauvre, bien que l'état et diverses associations te permettent d'étudier sans soucis financiers.
ÉTUDES : droit et sciences politiques.
CODE DU RÈGLEMENT : CODE OK.
TU VEUX T'INVESTIR ? : oui.

rumour has it
personne ne connaît ton histoire, personne ne sait qui tu es ; et sans aucuns doutes est-ce la raison de toutes ces rumeurs te courant après ▬ on dit que tes parents font partie du gouvernement - faux, mais tu as déjà parlé à bon nombre de gens y travaillant + on dit que tu as déjà eu l'occasion de rencontrer le président - vrai, tu l'as vu à ton arrivée à Séoul, il t'a même remis une médaille pour ton soit-disant courage  + on dit que tu participes à de nombreuses oeuvres de charités - vrai, c'est l'un des seul moyens que tu as trouvé pour te sentir utile + on dit que tu est née en Europe, d'où ton accent peu commun - faux, tu viens de Corée du Nord et faisait partie des paysans, d'où ta façon de prononcer autrement certains mots + on dit que t'es un véritable cerveau et que tu n'as pas besoin de travailler - vrai et faux à la fois, tu es bien surdouée, mais tu étudies également énormément + on dit que tu es encore pucelle et que tu n'es jamais sortie avec un homme - vrai, c'est bien la dernière chose qui t'auras préoccupé durant ta vie et tu te sens bien trop mal-à-l'aise avec les gens pour ouvrir les portes de ton intimité  + on dit que tu ne sais pas nager - faux, tu as appris l'année dernière+ on dit que tu veux devenir présidente - faux, tu veux simplement faire bouger le gouvernement + on dit que tu n'as jamais touché à des drogues et que tu n'as jamais bu d'alcool - vrai, tu as simplement goûté au champagne une fois, à noël + on dit que pour te trouver, il suffit d'aller à la bibliothèque - vrai, toi qui n'avais jamais lu avant d'arriver à Séoul, tu t'es prise instantanément de passion pour les livres + on dit que tu as des frères et soeurs avec lesquels tu ne t'entends pas - faux, ce sont les enfants de ceux t'ayant recueillis et tu les apprécies + on dit que tu es atteinte d'anorexie - faux, tu n'as simplement jamais été habituée à manger énormément, ton appétit étant de ce fait vraiment petit +  on dit que tu ne regardes jamais la télévision - vrai, tu détestes tout ce qui est électronique, des téléphones aux jeux vidéos en passant pas l'ordinateur, tu en as horreur + on dit que tu vois un psychologue - faux, tu en as vu un durant huit ans, mais tu as arrêté les rendez-vous il y a déjà un moment + on dit que tu étais la tête de turc de ton école durant ton adolescence - faux, personne ne t'insultait jamais, mais tu étais toujours seule, trop différente des autres + on dit que tu es une virtuose au piano - vrai, tu as commencé à en jouer vers tes dix ans et ça t'est venu naturellement + on dit que tu ne crois pas en dieu - vrai, dans ton pays, dieu était un homme ; tu as donc compris que les gens réinventent toujours la foi de façon à ce que cela leur soit profitable + on dit que tu as tendance à crier durant la nuit - vrai, les cris te sortent toujours de tes cauchemars perpétuels + on dit que tu es dépressive et que tu as déjà tenté de te suicider - faux et vrai à la fois, tu n'as jamais fait de tentative, mais tu y as déjà pensé et tu te demandes encore pourquoi tu n'as pas sauté le pas.

#calme #fuyarde #douce #méfiante #discrète
#solitaire #intelligente #fragile #gentille #traumatisée

caractère
Peau à la couleur de porcelaine, visage doux et attendrissant, on comprend de loin que tu es une personne qu'il serait plus prévoyant de protéger - visiblement faible et sensible, tu sembles même aussi inoffensive qu'une enfant et il s'agirait presque d'un instinct que de veiller sur toi. Cependant, savoir que tu as vu tes parents mourir de faim devant tes propres yeux explique inévitablement le côté réservé et silencieux que tu conserves en permanence, démontrant une solitude et une méfiance contre lesquelles tu as cessé de lutter il y a bien longtemps. Tu n'y peux rien, tu as peur des gens, tu as peur de l'imprévu et du changement ; la vie te met mal-à-l'aise et tu ne peux t'empêcher de toujours prévoir le pire, envisageant constamment que tu finiras par souffrir.

Malheureuse et dénuée de véritables amitiés, il faut bien le dire, tu es d'une tristesse à pleurer ; si l'on pouvait entrer dans ta tête, l'on ne ressentirait que peine, désespoir et regrets - et te faire parler de ton passé est le meilleur moyen de te faire fondre en larmes et alors voir ressortir ton émotivité. Ainsi, il n'est pas rare de t'entendre mentir quant à ton histoire, préférant que personne ne sache ce que tu as vécu,  ne supportant pas d'être prise en pitié. Car, malgré les apparences, tu conserves une force de caractère et une dignité que l'on soupçonne difficilement - tu es plus solide que tu en as l'air, ou du moins est-ce ce que tu penses.  

Peu importe tes appréhensions et tes souvenirs douloureux, tu n'en as pas perdu ta gentillesse légendaire, toi qui as toujours su faire preuve d'une profonde générosité. Tu as, d'ailleurs, conservé ta capacité à toujours répondre d'un sourire timide à ceux qui t'adressent la parole - un sourire certes peu enjoué, mais un sourire tout de même -,  cherchant à paraître la moins intéressante possible, évitant ainsi que l'on ne cherche trop à te découvrir. Passer pour la fille normal, mais qu'on ne souhaite pas connaître d'avantage, tu en as l'habitude et le fais à merveille - ainsi, tu affirmes sans complexes ne rien avoir d'original, être madame tout le monde et ne rien gagner à être connue.

One upon a time

Nous sommes de ceux qu'on ne remarque pas. Des fantômes, des transparents, des moyens, nous sommes de ceux qui n'rentrent pas en ligne de compte. Nous sommes de ceux qu'on choisit par défaut, nous sommes de ceux qui ont la peau terne, les traits tirés et le regard éteint. Des visages pales, des teints gris, nous sommes de ceux qui s'délavent de jour en jour. Nous sommes de ceux qui ont du mal à s'entendre penser. Nous sommes de ceux qui se maîtrisent difficilement. Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. Nous sommes de ceux qui s'y prennent à l'envers avec les autres. Nous sommes de ceux sur lesquels on ne parie jamais. Nous sommes de ceux qui n'savent plus raisonner de façon logique. Nous sommes de ceux qui ont tout fait comme il faut, mais qui n'y arrivent pas. Des ratés modernes, des semi-défaites, des victoires sans panache. Nous sommes de ceux qui n'tiennent pas la pression. Nous sommes de ceux qui s'font balayer à répétition. Nous sommes de ceux qui s'font assister ; des baltringues, des éclopés, des faibles. Nous sommes de ceux qui prennent des trucs pour tenir le coup. Nous sommes de ceux qui n'savent pas dire non, qui n'connaissent pas la rébellion, qui n'soutiennent pas les regards. Nous sommes de ceux qui sont tabous. ×


OCTOBRE 1999
Le soleil est déjà haut dans le ciel et tu le sens cogner contre ta peau, tandis que tu continues à te baisser afin de ramasser le riz qui servira de repas à toute ta famille. Tu es concentrée, mais tu ne peux t'empêcher de lancer un regard discret en direction de ta mère se trouvant à quelques mètres de toi, sa technique étant incomparable - et tu imites ses gestes, te demandant s'ils te feront gagner du temps. Pourtant, le plus tu y penses, le moins tu te dis qu'être rapide te serait utile. Après-tout, le temps, tu ne sais jamais quoi en faire lorsqu'il est libre ; non, toi, tu n'es qu'obéissance, tu n'es que main d'œuvre - et à sept ans, tu n'es déjà plus capable de t'amuser en faisant preuve d'imagination, tu as déjà oublié les bases de l'espoir et des rêves. Ceci est ta réalité, ceci est ta vérité : des hectares à perte de vue, des heures d'un travail épuisant à la paye misérable, des parents aimants bien qu'impuissants - oui, ceci est ton quotidien et tu n'as jamais été témoin de la possibilité qu'un autre endroit plus accueillant puisse exister.

Ta peau est brûlante et tu serais prête à tuer pour une goûte d'eau, mais, tu le sais, il n'est pas encore l'heure. Et à cette constatation, tes yeux se lèvent instinctivement en direction du ciel : lorsque le soleil touchera le haut de la montagne face à toi, tu auras enfin la permission de te reposer. Et tu trépignes d'impatience, tout en fixant l'étendue azure au-dessus de ta tête, à l'idée d'enfin t'assoir. Malheureusement, tu te retrouves bien vite extirpée de ta transe, des cris se mettant à résonner dans l'air, captivant ton attention ainsi que celle de tes voisins se trouvant aussi être tes collègues. Si tu te demandes ce qu'il se passe, très vite, la panique t'envahit en voyant ton père au loin, un air de terreur ne voulant quitter son visage - et ta mère, qui se met à courir en sa direction tout en t'attrapant le bras, te prouve que tu as raison de t'inquiéter.

Il devrait être au travail. Tu es une enfant, mais tu le sais : il devrait être au travail. Et tu es pertinemment consciente de ce qu'il arrive à ceux ayant déserté leur job ; mais tes questionnements perdent tout leur sens lorsque tu arrives enfin à sa hauteur et réalises qu'il tient déjà, entre ses mains, des sacs à viande empli de vos affaires. Ton expression faciale ne pourrait être plus interrogative et tu écoutes attentivement la conversation que tes parents entretiennent en cet instant, recherchant avidement quelques renseignements qui pourraient t'éclairer sur la situation. Cependant, tu ne comprends rien, si ce n'est quelques paroles dont j'ai fait une erreur, ils vont venir nous chercher ou il faut partir tout de suite.

Comme un coup que l'on se prendrait de plein fouet, tu réalises que, sûrement, vous vous apprêtez à fuir comme ceux dont on parle dans les histoires - comme ceux que personne ne revit jamais. La peur te secoue, mais tu acceptes ton destin et te mets en route aux côtés de tes géniteurs toujours aussi paniqués, te demandant tout de même pourquoi. Pourquoi ? À quoi bon partir ? Qu'est-ce qu'ils en savent, que la vie est meilleure ailleurs ? Et si elle ne l'était pas, pourquoi diable ne pas rester ici ? Tu n'y peux rien, tu n'es encore qu'une enfant et ne penses qu'aux amis que tu ne reverras jamais, qu'à la vie pleine d'imprévus dans laquelle tu te lances - tu n'as que faire des récits contant des pays magnifiques à rejoindre, non, toi tu ne veux qu'une chose : retrouver ta maison, bien que tu le sentes, ça n'arrivera pas de si tôt.

Peu à peu, vous vous embarquez dans la forêt alors que les sirènes retentissent à travers toute la province et tu entends tes parents parler de Chine, de frontières, d'argent, de confiance et de mort. Ils en oublient presque ta présence, s'exprimant pour la première fois devant tes yeux à propos de l'abominable vérité, de leurs vraies pensées ; et tu continues à marcher, buvant leurs mots en t'apprêtant à subir le prix de la liberté.



Et pourtant. Nous sommes de ceux qui n'renoncent pas. Des chiens enragés, des teigneux, des acharnés. Nous sommes de ceux qui comptent bien devenir capable de tout encaisser. Nous sommes de ceux qui établissent des stratégies dans l'obscurité pour reprendre la main, jouer selon leurs propres règles et forcer le destin. Nous sommes de ceux qui en ont assez de leur propre férocité, des requin-tigres en bout de course, des voyous qui demandent pardon, des apprentis repentis. Nous sommes de ceux qui veulent à tout prix tabasser leur part d'ombre et faire taire leurs sales travers. Nous sommes de ceux qui cherchent à rejoindre les rangs des lions, des maquisards, des résistants, des sentiments. Nous sommes de ceux qui roulent pour eux et pour leur périmètre. Nous sommes de ceux qui cherchent à désarmer la mort à coups de grenade lacrymo pour la freiner et la maintenir à distance. Nous sommes de ceux qui espèrent croiser la vie un soir au détour d'une avenue pour la séduire, la ramener et lui faire l'amour de façon brûlante. ×


AVRIL 2000
Tu es fatiguée, lessivée, maigre à faire peur. T'as les yeux encore rougis par les pleures, le teint cerné par les cauchemars - et, tristement, tu te souviens d'il y a six mois. Tu te souviens, avec un nombre incalculable de détails, le jour où ton père a débarqué au champ pour vous emmener, ta mère et toi. Tu ne voulais pas y aller. Intérieurement, tu le sentais, plus rien ne serait jamais pareil ; et, aujourd'hui, cette nostalgie te détruit le coeur, alors que tu es témoin de ce qu'est réellement ce monde. Tu aurais tant aimé que tes parents soient à tes côtés, mais c'est seule que tu foules du pied l'aéroport de Séoul, les larmes dévalant tes joues.

Tu rejoins rapidement l'un des membres de l'association venant tout juste de te sauver la vie et tu te détestes de ressentir ce que tu ressens, de penser ce que tu penses. Pourtant, tu en es persuadée, ils auraient pu faire plus vite, ils auraient pu les sauver eux-aussi - mais tu ne laisses pas éclater ton ingratitude et salues ceux étant présents afin de t'aider. Et sans plus de cérémonie, vous embarquez dans ce que tu découvres être un taxi ; et dès lors qu'il sort du parking, ton attention se retrouve happée par la vue que t'offre cette ville aux allures martiennes.

Ils disaient donc vrai. Tout n'était qu'illusion, manipulation et dictature ; et, pour la première fois, tu observes des couleurs de cheveux différentes, des véhicules hautement technologiques et des gens au comportement bien trop étrange. Tu as des années et des années à rattraper, et sans doute y arriveras-tu, à condition que le traumatisme finisse par s'estomper. Certains y croient, certains en sont sûrs et ce sont ces mêmes gens qui ont décidé de t'accueillir, de t'enseigner le réel et de te faire oublier le mensonge - mais toi, tu le sais, tu seras incapable d'oublier. Et tu te forces à sourire, contrastant avec la tristesse peinte sur ton visage.


JUIN 2010
Énième réveil en sursaut, énième cauchemar, tu observes ton réveil affichant cinq heures du matin - au moins, tu ne seras pas en retard à ta remise de diplôme. Tu n'aurais pas cru réussir tes études, au vu des lacunes que tu possédais il y a encore dix ans, mais tu as longuement travaillé afin de rattraper ton retard et il s'est même avéré que ton quotient intellectuel se trouve être plus élevé que la normal - autant dire que c'est finalement sans surprise que tu appris avoir réussi le lycée.

Pourtant, tu ne ressens pas de réelle joie, te sentant coupable de jouir d'une telle vie alors que tes amis, ton pays, est toujours ce qu'il est. Dix-huit ans, un mental d'acier malgré une fragilité inévitable, tu te mets naturellement à nourrir l'envie de poursuivre tes études afin de débuter dans la politique et, peut-être, changer ce que tu aimerais tant voir évoluer ; oh, que d'ambitions, alors que tu n'es même plus capable de côtoyer qui que ce soit.

Tu la vois, cette pitié, sur chacun des visages que tu rencontres. Pendant des années, l'on t'a présenté comme la petite nord-coréenne ayant survécu à sa fuite. Pendant des années, l'on t'a parlé comme si tu possédais un handicape - et, plus le temps aura passé, plus tu auras compris qu'ils avaient raison. Ton esprit est malade, tes souvenirs sont contagieux et tes envies pourraient devenir un remède ; mais tu n'as plus la force, tu voudrais arrêter de te battre contre toi-même un instant. Tu voudrais profiter de ta vie, sourire sincèrement et ne plus jouer le rôle perpétuel de la fille qui va bien, rien que pour ne pas avoir à fréquenter un psychologue à nouveau - oh tu voudrais tant de choses, mais il y a longtemps que tu t'es faite à la tragédie de la vie.



AOÛT 2011
T'étais si naïve, t'étais si jeune. Assister à une exécution ne te terrifiait pas, crever de faim ne te posait aucun problème ; mais aujourd'hui, tu sais que tout ceci était purement malsain, que ces lois allaient à l'encontre des droits de l'homme. Et les images qui tournent dans ta tête depuis ton arrivée à Séoul durant ton enfance n'auront jamais disparu, toi qui y penses encore en ce moment. Pourtant, c'est tout sourire que tu descends les escalier et salue le couple t'ayant recueilli et éduqué ces dernières années. Ils sont heureux, toi qui a été acceptée à l'université, et tu tentes tant bien que mal de leur faire croire que, toi aussi, tu resplendis de bonheur.

Le bonheur, un mot qui reste abstrait dans ton esprit. Tu as eu beau essayé, tu souffres, sans répits. À chaque instant, de nuit comme de jour, tu souffres. Et tu te détestes de penser autant, de posséder une telle mémoire. Tandis que le reste du monde semble exister sans soucis de conscience, toi tu observes ces gens et tu te demandes comment l'ignorance a pu atteindre un tel degré, personne ne semblant se soucier de quoi que ce soit. Et s'il s'agit-là de la voie à emprunter afin d'atteindre la plénitude, tu t'abstiendras sans regrets. Toi, tu veux faire bouger les choses, tu as besoins de faire évoluer les choses - peut-être, à quelque part, pour te prouver que tes parents ne sont pas morts en vains, pour te prouver que ta survie possède un sens. Tu veux que ta voix retentisse, tu veux que le monde réalise ; et tu boucles ta valise sur ces ambitions, prête à débuter des études qui, tu l'espères, changeront certaines vies.

Cependant, malgré ton envie assurée de devenir quelqu'un ayant un véritable rôle, tu es terrifiée. Tu t'es longtemps renseignée sur l'université Yonsei, elle qui est si connue, et tu sais pertinemment que la rivalité règne entre les différents dortoirs - et ce serait un euphémisme que de dire que tu as horreur de la haine gratuite. Mais tu restes bien obligée de constater que la popularité  est le meilleur moyen d'influencer les nouvelles générations - et il te sera peut-être bien utile d'avoir fait partie du groupe ayant surpassé les autres lors de cette compétition futile et sans fondement, si tu souhaites être un jour entendue par les citoyens de ce pays.



kdza
Alors alors, moi c'est kdza, j'ai dix-neuf ans et j'ai trouvé le forum grâce à un top-site  :han:  :heart:




POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
SEO JU HYUN ( SEOHYUN, SNSD) ✎ yun izia.

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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 16:07
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Bienvenue parmi nous ma belle ♥️
J'aime beaucoup ton début de fiche **
Pour l'avatar, je vote pour Seohyun... Ou Nicole :erm:
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 16:32
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Garde Seohyun pitié, elle est trop chou :plz:

Et bienvenue chaton :cute:
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 16:42
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holalalala!!! :hot:

je n'ai aucune idée pour l'avatar mais alors j'adore déjà ton personnage!
j'adore l'idée de la nord-coréenne! :han:

Ta miss a l'air, très très très intéressante!
garde moi un lien au chaud s'il te plait sweetie! :plz:
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 17:49
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Merci à vous troiiis ! :han:  Je crois que je vais rester avec seohyun :y: :heart:
+ avec plaisir pour un lien noriko :cute: :heart:
Invité
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 18:43
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JE VOTE CENT FOIS SEOHYUN ! Elle est trop peu representée sur les forums alors qu'elle est magnifique ! :plz: Puis ça manque de snsd ici alors que j'envoie des signaux de détresse depuis longtemps :cry: (#SoneSpotted). Mais peu importe ton choix de tête, j'ai hâte de lire le reste de ta fiche ! :y: Et le plus important ; Bienvenue sur le forum (comme quoi les top-site ça sert), si t'as un soucis ma boite à mp est ouverte. :04:
Invité
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 19:02
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j'adore ton prénom wow :han:
bienvenue sur le forum jolie coeur, ta fiche à l'air super cool, je reviendrais la lire dès que j'aurais le temps c'est clair :plz: bon courage pour le reste !
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 19:40
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Bienvenue par ici :han:
J'espère que tu te plairas parmi nous, bon courage pour finir ta fiche ! :hot:
Invité
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 21:46
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Bienvenue! J'aime bien Seohyun aussi ! :)
Invité
Invité
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Re: yun izia † from the ashes. | Mer 15 Juil - 21:50
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je suis le mouvement, je vote pour seohyun aussi :russe:
bienvenue chez les fous :04:
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Re: yun izia † from the ashes. | 
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