casse toi... non reviens,
aide moi !

en d'autres circonstances, nina aurait surement hurler à la liberté, mais ce soir, elle jouerait le jeu de la pauvre femme sans défense. Que pouvait-elle bien faire alors qu'elle avait quémander l'aide de quelqu'un pour se sortir d'un mauvais pas il n'y a même pas une demi heure ? Nina ne pris pas non plus la peine de répondre à la question, qui elle le savait, n'en était pas vraiment une, et se réjouissait intérieurement d'avoir réussis à lui faire payer à manger pour eux deux, ou presque. La fessée qu'il lui donna la fit crier avant de rire et remuer encore plus, se plaindre et gémir comme si elle souffrait le martyre. Le mur qui rencontra son dos par contre, la fit réellement gémir de douleur bien que minime, et alors que le visage de kazuya se rapprochait considérablement du siens, nina remonter les jambes et fit jouer ses muscles pour croiser les pieds et s'accrocher aux hanches du garçon. Ses paroles néanmoins firent froncer les sourcils de nina alors qu'elle le jugeais quelques secondes du regard. « de un, espèce de bouffon ça se dit pas ce que tu viens de dire! » la vulgarité de nina ne la quittait jamais, kazuya devait bien le savoir. Ses paroles furent accompagné d'un petit coup de poing sur l'épaule du grand brun. Elle continua ensuite en rapprochant ses lèvres des siennes, le sourire narquois venant à nouveau se greffer sur ses lèvres « de deux, pour un viol, faut que y'en ai un qui soit pas consentant. » ajouta t-elle en venant mordiller avec douceur la lèvre inférieure de kazuya, ne lâchant pas son regard du siens. Elle tira un peu dessus avant de la relâcher. La californienne serra un peu plus les cuisses autour des hanches du japonais pour éviter de glisser et plaqua son dos bien droit sur le mur en pouffant de rire.

flappy bird.

casse toi... non reviens,
aide moi !

Mais regardez-moi cette petite dame ! Je me désignais généreusement pour lui payer un bon repas et elle me remerciait en étant une vilaine fille. Aucune reconnaissance les jeunes d’aujourd’hui. Même pas un merci ! Honteux ! Vraiment honteux ! Je la reconnaissais bien là alors qu’elle profitait de la situation pour enrouler ses jambes autour de ma taille, arborant cet air arrogant sur son visage. Je mentirais si je disais ne pas aimer cela. Et je souris en l’entendant gémir douloureusement alors que la pierre du mur devait râper son dos délicat au travers de son haut. Je haussais un sourcil alors qu’elle me traitait de bouffon, me retenant de pouffer de rire. « Ah bon ? Et qu’est ce qui ne se dit pas ? » Je fis mine de ne pas comprendre, faisant l’innocent face aux propos qu’elle m’accusait pour un crime dont je ne connaissais pas la cause. Je baissais les yeux sur son poing qu’elle abattait pitoyablement sur mon torse. Sans force. Je ne bougeais pas d’un poil alors qu’elle approchait dangereusement ses lèvres des siennes. Je ne cessais de la fixer alors qu’elle me souriait, narquoise, sournoise, provocatrice. Une vraie tigresse qui se battrait jusqu’au bout, même si elle savait que tout était déjà terminé. J’adorais cela. Je souris de toutes mes dents alors qu’elle m’avoue implicitement que recoucher avec ma personne ne la dérangerait pas. « C’est bon à savoir. » ai-je eu le temps de répliquer alors qu’elle se mit à mordiller ma lèvre inférieure. Décidemment, elle avait une folle envie de me mordiller ce soir. « Tu es sure de ne pas vouloir que ce soit moi, ton repas de cette soirée ? » ricanais-je avant de me presser un peu plus contre elle alors qu’elle se redressait bien droite. J’attrapais ses hanches, passant ma main droite sous son t-shirt alors que je lui volais un nouveau baiser. Lui emprisonnant les lèvres des miennes, ma main se fit plus inquisitrice, et remontait le long de ses côtes, s’arrêtant sous sa poitrine où mes doigts vinrent titiller le dessus de son soutien-gorge, juste à la naissance de son sein. Je me reculais un rien pour observer sa réaction, de mon regard persan alors que je continuais de la caresser doucement du bout des doigts.

flappy bird.

casse toi... non reviens,
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C'est marrant, ces liens qui peuvent changer suivant les nuits, suivant les jours. Nina s'est encore fait avoir par les charmes sauvages du japonais, par ses yeux sombres et son sourire malicieux. Nina s'est encore fait avoir, et bizarrement ce soir, ça ne l'emmerde pas. Elle sait maintenant à quoi s'attendre de Kazuya, alors pourquoi se priver de ce qu'elle sait (ou crois) pouvoir gérer ? L'arrogance sur le visage du brun la fait hausser un sourcil, provocante. Au jeu du chat et de la souris, elle est clairement la souris, mais ne se rapproche t-elle pas plus d'un rat des champs ? Monsieur fait l'innocent, alors nina claque sa langue contre son palet en le jugeant du regard « genre parler de viol, comme ça, comme si t'envisageais la chose, t'es un gros dégueu » lâche t-elle avant de s'attaquer à ses lèvres, sa peau, ses poings sur son torse et le sourire provocateur d'une proie moins faible qu'il n'y paraît. Kazuya, loup solitaire, sauvage et dominant, qui parle avec toujours cette pointe de bourgeoisie, ça la fait rire nina, ça la fait sourire. La main du japonais sur sa peau la fait frissonner, ses yeux dans lesquels elle se perd sans problèmes sont attractifs, addictifs. Ses lèvres rencontrant les siennes la font soupirer de bonheur, ses deux mains venant passer dans les cheveux courts du brun. Nina, elle aime l'amour, qu'importe la forme. Nina, elle aime les corps, qu'importe lesquels. Elle lie avec plaisir sa langue à celle de son loup alors que sa main remonte le long de ses côtes. Si elle le pouvait, nina bougerait le bassin, se ferait plus présente, mais bloquée entre lui et le mur, elle ne peux pas beaucoup bouger. Ses yeux se chargeront de donner l'accord pour son corps, alors. Mais Nina est joueuse, elle aussi, elle à envie de s'amuser, de se mettre en danger. Ils réfléchirons plus tard, ils seront grand plus tard. La californienne cambre un peu son dos alors que ses yeux ne quittent pas ceux du japonais du regard. Offrant son corps sans beaucoup de résistance, elle à déjà oubliée les abrutis d'avant, le fait qu'ils auraient pu lui faire du mal, le fait que kazuya l'ai déjà blessée une fois. Nina n'aime pas particulièrement le danger, elle aime simplement la vie, à trois cent pour cent. Malgré tout, un sourire espiègle s'affiche sur ses lèvres alors qu'elle décolle son dos du mur, s'agrippant à la nuque de Kazuya, relâchant lentement la tension dans ses cuisses pour reposer les pieds au sol, glissant une cuisse entre les jambes du brun, emprisonnant ses lèvres des siennes alors qu'elle tente de le forcer à se tourner pour renverser les rôles, qu'il soit dos au mur.

flappy bird.

casse toi... non reviens,
aide moi !

J’avais beau avoir passé que quelques nuits aux côtés de la belle Nina, mais j’avais l’impression de la connaitre depuis des années, notre relation ballotant au grès de nos humeurs. Un coup nous tombions dans les bras de l’un et l’autre, un autre coup, on se chamaillait comme chat et chien. Et ces deux extrêmes pouvaient apparaitre à n’importe quel moment, d’une seconde à l’autre. Comme à cet instant. Je ris à sa remarque alors qu’elle me dévorait des lèvres. Je lui répondis avec la même vigueur avant de murmurer contre ses lèvres : « toi comme moi, savons que ce ne serait jamais considéré comme un viole. » Soyons clair, pour parler d’un tel acte, il faut que l’un des deux partis ne soit pas d’accord. Et était-ce le cas ? J’avais des doutes. La jeune femme était ma proie, mais une proie qui n’avait pas peur aux yeux et qui savait se défendre. Une proie comme je les aimais. Je fermais les yeux m’attaquant à la peau nue de son cou alors que ses mains se perdaient dans mes cheveux courts et fins. J’adorais ce geste, mais je me cachais bien de le lui avouer. Le loup embrasse la brebis alors qu’il se laisse attendrir le temps d’un moment de tendresse entre leurs deux corps. Il sera toujours temps de jouer les vilains plus tard. Pourtant, je maintiens ma dominance sur elle en la donnant toujours caller contre mon torse et ce mur, bandant mes muscles. Je croisais ses yeux sombres. Et je m’y noyais. Elle me rendait dingue à cambrer son corps de la sorte sous moi. Une douce folie qui allait finir par avoir raison de moi. Je la sens néanmoins desserrer son emprise sur moi, montrant son désir de poser pied à terre. Je me décalais pour juste lui laisser assez de place pour manœuvrer son geste. Etonnement, je me laissais faire alors que discrètement, elle cherchait à retourner la situation. J’en oubliais que c’était moi qui tenait le rôle du méchant loup et pas l’inverse et sans me rendre compte, ses lèvres me distrayaient assez longtemps pour que mon dos vienne percuter le mur en pierre. Déjà, mes mains étaient passées sous son t-shirt, venant titiller la naissance de ses seins, juste en dessus de la dentelle de son soutien-gorge. Je descendis vers son cou que je me mis à mordiller avant d’oser me faire plus inquisiteur, passant mes doigts dans son dos, remontant le long de sa colonne vertébrale et d’attraper son sous vêtement, que je dégrafais d’une main habille. Je ricanais en lui lançant un regard persan de provocation. Ce n’était pas parce que nous avions échangé nos places, que nos rôles avaient changées…

flappy bird.

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aide moi !

Nina, elle aime bien cette attraction, ce donc qu'elle à de pouvoir tourner en amour chaque geste. nina, elle aime bien le fait de pouvoir donner de l'amour, sous n'importe quelle forme, à un autre. L'autre ici étant son corps parfaitement sculpté, son sourire en coin et sa gueule de japonais, ses cheveux bras entre les doigts de nina et ses yeux sombres pleins de malice. Elle rigole avec plaisir quand il ouvre la bouche pour parler, et arque un sourcil en ajoutant d'une voix moqueuse :  « c'est bien c'que je viens de dire. » alors que leur souffle se mélangent, que leur corps se cherchent. Et elle arrive à le distraire à l'occuper assez pour que leur deux corps échangent leur place, venant d'une main caresser la peau de ses hanches, de ses muscles alors qu'elle se laisse doucement aller contre lui, son bassin collé à celui de kazuya, son autre main revenant se perdre dans sa nuque alors que leur langues jouent. Un soupire de plaisir glisse hors des lèvres de la californienne alors qu'il dévore son cou, joue de sa peau... dégrafe son soutiens-gorge. Un léger rire sort de ses lèvres alors qu'elle griffe distraitement son torse à cette provocation. Et il croyait qu'il allait reprendre le dessus si facilement? Nina remonta lentement sa cuisse pour faire légèrement pression sur son entre-jambe, laissant glisser ses deux mains le long de son torse, ses yeux se perdant dans son regard provoquant. elle y répondit avec plaisir par un sourire en coin, baissant les yeux sur son entre-jambe avant de les relever, le regarder avec provocation, venir l'embrasser avant de se détacher de lui, glissant ses mains le long de ses bras pour le faire lâcher prise. L'Armani recule sauvagement de deux pas, lui faisant signe de ne pas bouger, comme pour accentuer le fait qu'il n'est pas seul à prendre les décisions. Ne le quittant pas du regard, elle glisse ses mains sur ses épaules pour faire glisser les bretelles de son soutif puis passe une main sous son t-shirt pour le faire glisser de ses seins, le laissant tomber nonchalamment sur le sol. « a toi. » lance t-elle avec un regard provoquant, voulant l'inciter à faire de même, remontant doucement son t-shirt pour laisser apparaître son ventre et la naissance de ses seins, s'arrêtant juste avant les tétons.

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aide moi !

Ce qui me faisait craquer chez Nina, c’était cette façon qu’elle avait de tourner chaque geste en un attachement de tendresse certain. Une qualité que j’appréciais beaucoup. Une qualité dont j’étais loin d’être atteint. Alors je la cherchais chez les autres, là où il pouvait offrir dont je n’étais pas capable. Je me laisserai volontiers bercer par ses bras pour oublier tous les maux de l’univers. Et c’était exactement ce que j’étais entrain de faire. Je m’oubliais à travers ses baisers, abandonnant les souvenirs douloureux de ces derniers mois. Je voulais tout oublier. Le temps d’une soirée. D’un instant. Et elle savait comment faire avec ses mains expertes et ses lèvres si chaleureuses. Nos corps entrèrent dans un jeu langoureux, se cherchant, se titillant, aider pas nos mains baladeuses sur notre peau nacrée. La tension monde d’un cran alors qu’audacieusement, je tire l’agrafe de son soutien-gorge. Son rire faisait écho à mon geste, suivit d’un grognement de ma part alors qu’elle me marque le torse de ses griffes à travers mon t-shirt. Je la fixais de mon regard persan alors qu’elle joue de sa jambe sur mon entre-jambe déjà bien gorgé de sang. Je comprenais ce qu’elle cherchait à faire, et j’étais toujours partant pour ce genre de jeu à coup de provocation et de caresses. Je restais docilement en place alors qu’elle reculait, levant un sourcil amusé. Un instant, je crus qu’elle allait prendre la fuite, mais à la place, elle cherchait à faire monter la température de quel degré. Et dire qu’elle n’y parvenait pas, serait mentir. je la fixais d’un air prédateur, un sourire un coin l’accompagnant pour lui faire savoir à quel point j’appréciais la vue qu’elle m’offrait. Il ne me fallut pas longtemps pour m’exécuter à sa demande. J’attrapais les pans de mon t-shirt et le soulevais par-dessus ma tête, laissant le tissu rejoindre le sol. Ce qui me plaisait moins, c’était de la voir loin de moi. Alors d’un mouvement vif, je l’attrapais par le poignet et la fis tourner sur elle-même pour venir coller son dos contre mon torse nu à présent, marqué de quelques hématomes encore résistant. Je l’entourais de mes bras comme pour l’emprisonné de mes bras à présent, posant mon menton au creux de son cou. Plus doux. Plus tendre. Le temps de quelques secondes. D’une voix rauque, je murmure à son oreille : « Ce qui me plait chez toi, c’est que tu n’as peur de rien. » Elle n’a pas peur de moi. Pas peur de mon agressivité, ni de ma maladresse et encore moins de mon côté sauvage. Au fond, peut-être un peu, mais elle ne le montrait pas et jouait avec. J’admirais les femmes qui arrivaient à me supporter et à me tenir tête, je devais bien l’avouer. La pressant un peu plus contre moi, je tirais sur son t-shirt pour lui faire passer par-dessus la tête, m’agrippant à un de ses seins au passage que je me mis à malaxer…

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aide moi !

observe les mouvements de kazuya, suivant le chemin que font ses mains pour enlever son t-shirt. ses yeux glissent sur les hématomes avant qu'il ne l'attrape d'un geste vif, ce qui la fait éclater de rire alors qu'elle tourne sur elle-même d'un mouvement de cheveux digne des grands films américains. Une main viens glisser dans le bas du dos du jeune homme alors qu'elle soupire doucement à ses mains sur son corps. Sentir sa chaleur dans son dos lui faisait du bien. Nina n'étais pas nymphomane, elle aimait juste le contact d'un corps contre le siens, et kazuya avait cette emprise, cette alchimie. La blonde ferme les yeux à la voix du japonais dans son oreille, soupirant doucement, cambrant un peu le dos pour appuyer ses fesses contre lui, relevant la poitrine pour accentuer son geste alors que son t-shirt rejoint l'autre par terre. elle se laisse docilement faire, son rire cassant encore une fois les bruits de la nuit alors qu'elle remonte ses mains dans la nuque de kazuya. « non, peur de rien... » lance t-elle avec une pointe de malice dans la voix. Ses mains vinrent néanmoins glisser sur celle du garçon pour les guider sous ses seins, sur son ventre, puis vers son bain ventre, menant la danse, avant de les faire dériver, se tournant dans les bras du garçon. Peau contre peau, nina releva le regard vers celui, provocateur, du japonais. elle laissa ses doigts glisser sur son torse, jusqu'à son jean qu'elle déboutonna, lentement, ne le lâchant pas du regard. Et la blonde lui vola un baiser alors que ses doigts déboutonnait le dernier des boutons de son jeans, glissant ensuite ses mains dans les poches arrières du jean du garçon pour le faire glisser un peu sur ses cuisses. Elle vient à nouveau embrasser ses lèvres, puis descend en une myriade de baisers et de petites morsures dans son cou, ses clavicules, son torse, lâchant son regard pour finir accroupis devant lui. Mais nina n'étais pas si sage que ça, et avait bel et bien une mauvaise idée derrière la tête. alors que tout homme devait surement fantasmer du geste qu'elle allait entreprendre alors qu'elle jouait avec l'élastique de son boxer, elle laissa discrètement une main glisser le long de sa jambe et attraper du bout des doigt son t-shirt et celui de kazuya, l'adrénaline faisant frapper son coeur avec force dans sa cage thoracique. « même pas d'un kazuya... frustré. » lâcha t-elle avant de se reculer et de se donner l'impulsion pour se lever, courant vers la sortie de la ruelle avant de s'arrêter net, enfiler le t-shirt de kazuya sur son corps nu et le regarder avec provocation. « bye, baby! » dit-elle en pouffant de rire, profitant de l'effet de surprise qu'elle avait réussit à faire pour courir aussi vite qu'elle pouvait.

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Je profitais de la proximité de nos deux corps. Cette douce chaleur qui avait tendance à m’envelopper dans un voile de bienêtre. Il n’y avait que dans ces moments-là que j’arrivais à l’oublier. Quand on arrivait à occuper mon esprit et mon corps assez longtemps, je l’oubliais un bref instant. Et ca n’avait l’air de rien, mais ca faisait un bien fou. Quand la peine s’effaçait et que le vide se comblait. Bref moment de répit. Je laissais glisser mes mains sur la peau de son ventre lisse, pour remonter vers sa poitrine alors que son rire se mêlait à nos souffles saccadés. Je la laissais me guider de ses mains, trouvant cela agréable d’être guidé. Je la laissais faire, aimant ces quelques secondes de tendresse qui allaient devenir ma faiblesse. Sa poitrine s’écrasait contre mon torse alors que mon érection bien plus bas n’avait plus rien n’a caché malgré le jeans encore présent. J’aurais dû déceler dans ce regard ce qui allait suivre. Elle avait cette leur de malice quand elle s’appétait à jouer avec le feu. Je la fixais alors qu’elle entreprenait de déboutonner mon pantalon, fermant les yeux quand elle pénétrait ses mains dans mes poches, frôlant la zone sensible. J’allais finir par craquer bien avant elle si elle continuait ainsi. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, puis elle me marquait de ses dents. Je crus que j’allais devenir fou quand elle se baissait devant moi. Elle allait vraiment le faire sans que j’ai à le lui demander ? Rare était les femmes qui se préoccupait du plaisir des hommes avant le sien. J’aurais dû me douter qu’il y avait une arnaque quelque part. Elle m’avait assez distrait pour embrumer mon esprit et que je n’y vois rien de suspect. Ce ne fut que quand elle fut au bout de la rue que mon cerveau percuta. « Garce. » sifflais-je entre mes dents avant de remonter mon jeans tout en m’élançant à sa poursuite. Elle avait un peu d’avance sur moi, mais je ne comptais pas la lâcher si facilement. Tant que je l’avais dans ma ligne de mire, elle ne m’échapperait pas. Elle se permettait de me narguer en portant mon t-shirt préféré en plus. Apres ce que j’avais fait pour elle dans la ruelle un peu plus tôt, et même le resto que j’étais prêt à lui payer, elle osait me faire ca ? J’accélérais le pas, courant à m’en arracher les poumons pour réduire la distance encore présente entre nous. Elle ne payait rien pour attendre…

flappy bird.

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Courir, courir aussi vite que possible, le vent fouettant mon visage de l’air frais. Vivre, vivre à trois cent pour cent, courir comme si la mort me poursuivait. Non, non pas comme la mort parce que nina ne la connait pas, n’en a pas conscience. La mort, une entité qu’elle ne connait pas. Nina, nina vit pour vivre, pour l’amour et la beauté des gens, et n’importe quel être humain, pour elle pourra vivre pour l’amour. Pas pour la haine et tout ces trucs à la con, non. Nina rit à gorge déployée dans la rue, se fou bien des regards des gens, court à en perdre l’haleine. Mais veut-elle vraiment le semer ? le guider en tout cas, ça oui. Nina, nina court pendant un long moment, mais elle courir, elle adore ça parce qu’elle à presque l’impression de voler. Elle court assez pour arriver devant une des boîtes underground ou elle à l’habitude de traîner, descend quatre à quatre les escaliers menant à la piste de danse, éclate de rire en voyant la tête du videur la voir débouler aussi vite (mais assez doucement pour que kazuya la suive, de toute façon, il court vite, le loup par rapport à la gazelle). Nina se fraye un chemin dans la foule sur la piste, laissant son corps vibrer sur les basses d’une musique éléctro, douce à son coeur. Et au ralentis, elle se tourne, cherche le regard de son détraqueur. Parce que nina est presque sur qu’il viendra. Parce qu’il vit, lui aussi.

casse toi... non reviens,
aide moi !

Courir. Elle ne savait faire que cela ma parole. J’accélérais le pas derrière elle dans l’espoir de la rattraper, mais elle avait une belle avance devant moi. Le vent fouettait la peau nue de mon torse alors que la jeune femme était partie avec mon haut dans sa fuite. Si j’avais été frustré dans un premier temps qu’elle me plante ainsi, me donnant un coup dans les bijoux de famille après m’avoir bien excité, un sourire pouvait maintenant se lire sur mes lèvres alors que j’entendais son rire cristallin percé le vent. Au fond, c’était assez drôle comme situation. Sa spontanéité me surprenait toujours autant, et arrivait même à me faire oublier son acte. On joue au chat et à la souris un long moment avant que je ne la vois pénétrer à l’intérieur d’une boite de nuit. La coquine ! Elle avait juste envie de danser. Du Nina tout cracher. Le videur me jetait un coup d’œil en fronçant les sourcils, se demandant surement à quel jeu on jouait encore. Je me faufilais au travers de la foule, à sa suite, ne voyant que le dessus de son crane blond. Assez pratique pour la repérer parmi les autres de notre espèce, je devais l’admettre. la musique envahit mes tympans et bientôt, je me retrouvais sur la piste de danse. Il ne me fallut pas longtemps pour croiser le regard en rien apeurer de la gazelle que je chassais. Elle me cherchait même, m’invitant à la rejoindre. Ce qui m’arrachait un sourire. Je franchis les quelques mètres qui nous séparaient encore et vint me coller à son dos, mon corps bougeant sur le rythme de la musique, suivant les mouvements que produisait le sien. Les personnes aux alentours nous regardèrent étonné, sans doute un peu beaucoup causé par la mienne, mais un jeune homme trouvait l’idée à son gout, et se mit à se déshabiller non loin, mimant le striptease, accompagné de sifflements admiratifs qui se noyaient dans les basses. Je me frottais à Nina, laissant mes mains se perdre sur son ventre alors que mon visage se posant dans le creux de son cou. Je chuchotais à son oreille, griffant doucement mon t-shirt qu’elle portait. « Je crois que ceci m’appartient. » Mon rire se mélangeait à la musique, alors que nos corps ondulaient toujours en rythme. « Et si tu voulais juste danser, tu ne crois pas qu’il y avait d’autres moyens plus doux de me le demander au lieu d’essayer de me castrer ? » Je ris à nouveau avant de fermer les yeux pour profiter de l’ambiance. Au fond, je ne lui en voulais pas, car tout ce qu’on cherchait tous les deux, c’était juste de vivre encore et encore.

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