sombre
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €


    :: Défouloir :: 2016

just one last time (hot)

Invité
Invité
Anonymous
 
just one last time (hot) | Lun 28 Sep - 0:48
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Je me laissais bercer par ses paroles. Il pouvait me dire tout ce qu’il voulait que j’acquiescerai avec le même entrain. Je ne voulais même plus penser à l’après, tout ce qui m’importais à cet instant était le moment présent. Je ne pouvais plus attendre, je ne voulais plus attendre. Et ses caresses le long de la cambrure de mes reins ainsi que sur mon visage ne faisait que renforcer ce sentiment. D’ailleurs, aller chez moi pour enfin en finir ne posait aucun problème. Le dortoir était tel qu’il avait toujours des chambres de libre et ce soir ne ferait sans doute pas exception. Ne m’exprimant pas vraiment clairement, je lâchai un petit mmmh comme pour lui faire comprendre que j’étais ok. Mais encore fallait-il que je puisse tenir jusque-là. Il savait de quelle manière me toucher pour augmenter l’excitation chez moi, et c’était précisément ce qu’il était en train de faire en ce moment. Ne pouvant m’empêcher de lâcher un petit rire coquin suite à sa dernière remarque, j’ajoutai après un dernier baiser fougueux « allons-y avant que je ne te dévore sur place. »

Une fois arrivée au dortoir, je le guidai vers une chambre que je savais libre et où l’on ne serait pas dérangé. Un frisson me parcouru à l’idée de savoir que j’allais enfin avoir ce que je désirai depuis un long moment. Le fait que l’on soit déjà passé par là à de nombreuses reprises faisait qu’il n’y avait plus aucune timidité entre nous. D’ailleurs, je n’ai jamais été timide avec lui, et il le savait très bien. J’étais ce genre de fille qui pouvait tout oser tant qu’elle était à son aise.  Une fois dans la chambre, je le dirigeai vers le lit où je pris soin de me placer au-dessus de lui. La main sous le tissu de son haut, et l’autre lui caressant la nuque, je mordillais sa lèvre inférieure. On pouvait déceler dans mon regard une certaine animalité, un instinct sauvage. Je voulais qu’il me prenne, là maintenant, qu’il m’enlève mes vêtements et qu’il me prenne de la manière la plus bestiale qui soit. Mon bustier gisait déjà sur le sol, et j’espérais que le reste de mes vêtements allait bientôt suivre le même sort. Je me remettais à lui l’espace d’une nuit, et je savais qu’il était capable de prouesses qui pouvaient me contenter. Mais soucieuse de d’abord prendre les devants, je finis pas enlever ce haut qui me paressait alors encombrant, et déposais quelques baisers sur son torse. Il pouvait sentir ma respiration entrecoupée sur sa peau, ainsi que mes jambes que j’avais intercalées entre les siennes. Pressant alors mon bassin contre le sien, je le regardais comme pour lui demander de mettre fin à mes souffrances, ne pouvant plus attendre, sachant que viendrai le moment des supplications s’il ne me délivrait pas dans la foulée.  




CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Mer 14 Oct - 17:12
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Nous n’avions pas mis beaucoup de temps pour rejoindre le dortoir sango, ou bien peut-être qu’elle avait juste su me divertir pendant le trajet. Rapidement on entrait dans le bâtiment et son impatience me rendait encore plus dingue d’elle. Je souriais carnassier. J’en oubliais ces conneries d’amitié et de relation qu’on pourrait avoir. Je retrouvais ce que j’aimais le plus chez Ye Gi. L’adrénaline. L’excitation. L’impatience. Le plaisir. Je ne prenais pas le temps de regarder autour de moi, je ne voulais qu’une chose. Ye Gi. Arrivé dans la chambre je la laissais prendre les devants, qu’elle s’amuse, qu’elle découvre. Je savais qu’à l’instant où j’allais dominer la situation elle n’aurait plus le temps de rien. L’alcool aidant je laissais de côté mes envies bestiales. Je cédais lentement à la tentation qu’elle représentait. Riant sous ses baisers je soupirais d’aise en passant une main dans ses cheveux. Ces vêtements qui parsemaient le sol me plaisaient, mais ce que j’aimais le plus c’était de sentir ses lèvres sur mon torse. Qui sait avec un peu de chance j’arriverais à tout oublier. Tout. Je pinçais mes lèvres pour retenir mes soupirs et caressait son corps pour pouvoir profiter de ses formes généreuse. Ses seins me faisaient fantasmer. Toujours aussi fort. Je vins les caresser avant de me perdre sur ses fesses que je presse dans ma paume. Toujours aussi moelleuse. Ses doigts sur ma nuque me font frissonner. Je m’empare de ses lèvres qu’elle n’a de cesse d’approcher des miennes. Comment je suis supposé résister ? Le coup de grâce arrive au moment où elle plaque son bassin contre le mien qu’elle me regarde si lascive … c’est une torture de lui résister.
 
Alors je cède.
 
Aussi facilement. Trop facilement. Mes mains se crispent sur hanches alors que j’inverse nos positions pour me retrouver à la dominer. Mon sourire carnassier ne lui échappe et elle sait que c’est à cet instant que sa nuit de folie commence. Je fais sauter rapidement les boutons de son pantalon et tire un coup sec sur le jean. Je dois sûrement la griffer au passage mais ce n’est pas fait exprès. Et ça rajoute un peu de piment. « La prochaine fois mets une jupe. » lui lançais en plaisantant à moitié. Voyant que sa culotte est toujours en place bien qu’à moitié défait je me penche en avant pour tirer dessus avec mes dents et glisse en pied de lit pour tout lui retirer. Complètement nue devant moi je prends une secondes pour admirer son corps. Elle est tellement bien foutu c’est dingue. J’attrape ses jambes que je soulève pour les écarter doucement et voir mon dû se profiler sous mes yeux. Je remonte une ligne de baiser sur l’intérieur de ses cuisses et dépose un simple baiser sur son intimité humide. Je n’ai pas le temps de me perdre en préliminaire. J’ai envie de sexe sauvage, et la lueur qui anime son regard me prouve qu’elle est bien d’accord avec moi. Me redressant sur les genoux je baisse mon propre jean jusqu’à mes cuisses avant de la chopper par les cuisses pour tirer son bassin brusquement vers moi. « Viens là toi. » grognais-je en enfonçant mon poing dans le matelas à côté de sa tête pour me faire une prise. Je joue un instant avec mes doigts en elle pour la rendre apte à m’accueillir et sans prévenir je me glisse en elle dans souffle rauque de bien-être. Bordel … dire que j’ai attendu ça toute la soirée et me voilà en train de prendre mon pied, ne faisant plus qu’un avec. Ses cheveux épars sur le lit, ses seins qui bougent en rythme à chacun de mes coups de bassin, je la trouve sublime. Et cette pointe de culpabilité qui me serre me cœur je l’oublie en venant cueillir ses lèvres. Mes mains glissant sous ses fesses je bascule un peu plus mon bassin contre le sien pour coller nos deux corps le plus possible. Je pousse un gémissement rauque contre ses lèvres en donnant des coups plus brusque et plus profond, happant ses lèvres pour un baiser qui n’a rien de doux mais qui torride, si torride qu’une fine couche de sueur me perle sur le dos.

CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Ven 16 Oct - 1:23
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Il était mon amant du soir et je savais qu’il allait me procurer le plaisir que je recherchais, le plaisir dont j’avais tant besoin. Et le simple fait qu’il inverse nos positions fit contracter mon ventre d’excitation. Il retira le reste de mes vêtements avec une telle rapidité que je ne pus que lâcher un léger grognement. Me voilà complètement nue, totalement offerte à lui. Ce soir, l’espace d’une nuit, je lui laisserai le soin de faire de moi ce qu’il voudrait et d’assouvir toutes ses pulsions, de la plus saine à la plus vile. Sentant soudainement ses baisers sur mon entre-jambe, je frémis de plaisir. Mais cette sensation ne fut rien comparée à celle que j’éprouvai lorsqu’il joua avec ses doigts en moi. Ma respiration commençait à prendre un rythme légèrement plus rapide, et des frissons parcouraient ma peau, sachant bien que le meilleur était probablement à venir.

Quand il entra en moi, je ne pus m’empêcher de gémir. C’était un mélange de légère douleur et de satisfaction qui fini par laisser rapidement place à un plaisir plein et entier. On s’était tourné autour toute la soirée, mais voilà enfin venu le temps de ce moment que l’on attendait, l’un autant que l’autre. Je ne voulais plus réfléchir ou m’encombrer de pensées parasites : je voulais juste profiter. Plus le rythme de ses va-et-vient s’intensifiait et plus je sentais sa chaire au plus profond de moi. Mes jambes étaient écartées de manière à ce qu’il puisse me combler au mieux et j’adorai ça. Mon souffle s’entrecoupait au rythme de ses assauts, et on entendait à peine les murmures qui s’échappaient de ma bouche entre deux baisers torrides. On ne pouvait déceler de la douceur à proprement parler dans nos gestes et pourtant je sentais comme une aura de communion parfaite entre nos deux corps. C’était lui, moi et cette bestialité folle qui nous animait. Au fur et à mesure, mes lèvres finirent par se perdre sur son cou et sa mâchoire. Je prenais mon pied, mais je ne voulais pas non plus que ça aille trop vite. Il était tellement imprévisible une fois lancé qu’on ne savait jamais vraiment de quoi il était capable. Alors, le sentant finalement ralentir la cadence, je le laissai se basculer vers l’arrière pour de nouveau prendre le dessus. Je savais qu’il avait toujours préféré dominer mais je voulais aussi le faire profiter. J’agitais donc mon bassin de haut en bas, d’une lenteur presque exagérée. Mon regard provocateur plongé dans le sien, je voulais le faire languir un peu de nouveau, juste assez pour le faire reprendre ensuite. Je le laissais s’adonner à des caresses sur mon corps tout entier pendant que, continuant mon petit manège, mon regard lascif et mes pincements de lèvres en disaient long sur mes intentions. J’espérais d’ailleurs qu’il arrivait à lire en ce regard. Qu’il comprenait que je voulais qu’il me prenne. Qu’il me prenne comme jamais il ne l’avait encore fait auparavant. Ainsi, me cambrant légèrement pour me retrouver complètement sur lui, mes seins contre son torse, j’accélérai la cadence en agitant plus rapidement mon bassin. Qu’est-ce que c’était bon. Cette position me permettait de mieux le voir et je ne l’avais jamais trouvé aussi attirant. Je lui caressais le visage, le couvrant ses lèvres de baisers sensuels et lui affichant un sourire coquin. J’haletais, sentant qu’il commençait aussi à faire des va-et-vient plus rapides. Le mouvement de nos deux corps à l’unisson, je ne pouvais décidemment plus me contenir.





CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Dim 18 Oct - 20:03
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Mes pensées s’embrouillaient dans ma tête et tous mes sens se mettaient à frémir en même temps. Je ne sais pas ce qui me prenait. Ce n’était pourtant pas la première fois que je couchais avec une fille en ayant bu. Je savais que l’alcool me désinhibait. Ça m’empêchait de réfléchir et ça ne faisait ressortir que le côté bestial qu’il y avait en moi. Depuis ma séparation avec Ye Gi la seule femme avec laquelle je couchais c’était Min Ri. M’en voudrait-elle si elle savait que ce soir je partageais celui d’une autre, d’une autre qu’elle connaissait forcément … Au pire je n’étais pas obligé de lui dire après tout. Et j’avais beau mon focaliser sur le corps nu de la jeune sango je n’arrivais pas à me retirer sa présence de ma tête. Comme s’il savait ce que je faisais, comme si ça faisait de moi un connard. Comme si je jouais avec la situation. Mes points enfoncés dans le matelas je fini par perdre mon rythme. J’étais incapable de le soutenir plus longtemps. La fatigue. Les pensées qui me brouillaient l’esprit. J’ai fermé les yeux pour tenter de reprendre contenance et fermé mon esprit à toutes ces conneries. Il était le premier à me tourner le dos. Et tout le reste n’avait pas d’importance. Je rouvris les yeux sur une Ye Gi lascive et brûlante. Comment est-ce que je pouvais passer à côté de ça ; elle s’offrait à moi sans aucune pudeur, sans aucune peur. Elle s’offrait à moi et me suppliait du regard de la prendre comme jamais. Et je restais là, à me morfondre sur mes états d’âme. Putain quel genre de mec j’étais sérieux ? Un de ceux que je ne veux pas devenir …
 
J’ai repris les choses en main.
 
Soulevant mon bassin pour lui laisser la place de bouger, je la regardais onduler sur moi avec un plaisir qui revenait bruler mon bas ventre. Le sexe. C’est un moyen comme un autre pour oublier et décompresser. C’est ce que j’arrive à me dire en venant lui mordiller les seins avec envie. Dangereusement, délicieusement, je lui lèche, mordille, tire sur le bout meurtri de ses seins pour décupler ses sensations. Une main agrippée à ses hanches je me remets à bouger en rythme avec elle pour mieux savourer. Mais si elle pense qu’on va se contenter d’un putain de missionnaire elle se trompe. Me retirant d’elle soudainement je l’attrape par la nuque la faire se redresser assise et l’embrasse avec fougue alors que je me redresse sur les genoux. C’est là que ça va devenir intéressant et le regard brûlant que je lui jette en me décollant à peine d’elle le prouve bien. Attrapant son poignet je la tire pour qu’elle se retourne avec un sourire carnassier aux lèvres. Je ne relâche sa main que lorsque je la vois le visage dans l’oreiller. Je soulève son bassin en l’obligeant à se mettre sur les genoux et je prends soin de d’appuyer sur sa cambrure pour l’obliger à m’offrir son intimité de façon soumise. J’aime ce que je vois, la forme de son corps est si parfaite … je lui claque une fesse, marquant sa peau bronzé d’une fiche couche de rouge. Caressant le creux de ses reins couverts d’une fine pellicule de sueur je la trouve encore plus sexy. Je me penche pour déposer un baiser sur l’une de ses fesses avant de me redresser et de me présenter à elle sans perdre plus de temps. Entrant en elle d’un coup sec je bute au fond en frissonnant. Cette position est toujours un délice et je compte bien lui rappeler que je suis doué. Je la taraude de coup de bassin rapide et profond en lâchant des soupirs rauques et saccadé. Accroché à ses hanches je la tiens si fermement qu’elle ne peut que subir mes assauts. Nos peaux claques et le bruit de ses cris de plaisir me rendent complètement dingue.
 


CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Jeu 22 Oct - 17:14
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Je prenais mon pied et pourtant, tout cela n’avait pas la même saveur que d’habitude. Ce n’était pas la première fois que je couchais avec un mec avec lequel je ne sortais pas et là n’était pas la question. Certes, c’était la première fois que je recouchai avec In Su depuis notre rupture, mais là n’était pas la question non plus. Ce qui changeait plus de d’habitude, c’était le but de tout ça. On pouvait coucher avec quelqu’un parce que l’aimait, parce que l’on voulait s’amuser, ou parce qu’on en avait tout simplement envie. Là, en l’occurrence, aucun des critères n’étaient réunis, bien que l’envie soit fortement poussée par l’inhibition de l’alcool et le fait qu’il ait un réel corps d’Apollon. Je ne connaissais pas ses motifs, mais je savais qu’on en était arrivé  là parce que je n’avais pas su me tenir, parce que j’avais préféré écouter mes pulsions plutôt que ma raison, parce que je voulais fuir pour une nuit des réalités peu réjouissantes. Je ne voulais pas acceptée le fait que je n’arrivais plus à bâtir de relation sérieuse et que tout ce que j’avais entrepris s’était basé sur le physique. Revoir In Su c’était en quelque sorte une façon pour moi de retrouver du réconfort auprès de quelqu’un à qui je plaisais physiquement et mentalement. Si je devais en avoir honte ou regretter ? Je n’y pensais même pas. Non, ça ne me venait même pas à l’esprit parce qu’il était en train de répondre à mes attentes, de m’offrir ce que je n’ai de cesse de lui demander par mes regards brûlants : une bonne nuit de sexe. J’aimais parfois imposer mon rythme mais j’adorai encore plus quand il était à l’initiative. A quatre pattes, le dos totalement cambré, je lui laissais une vision de moi totalement soumise. Profitant d’un léger instant de douceur, je savais qu’il serait moins tendre avec moi dans les minutes qui suivraient, et la petite tape qu’il me mit sur les fesses ne fit que me conforter dans cette idée. Quand je sentis son membre entrer en moi, je ne pus m’empêcher de gémir. Cette position offrait une inclinaison telle que les sensations à l’intérieur étaient décuplées, et il en valait de même pour mon plaisir. A chacun de ses assauts, mes gémissements étaient de plus en plus aigus. Mes doigts se crispèrent sur les draps et je redoutais avec plaisir chacun de ses assauts suivants qui étaient encore plus virulents que les précédents. Je me surpris même à crier son nom entre deux halètements. Epuisé, je sentais qu’il palliait le ralentissement de la cadence avec des caresses plus douces sur mon fessier. Et je le laissais finalement se retirer pour que nous puissions tous les deux récupérer. Haletante, je me retournais tout de même vers lui, me rapprochai et l’embrassai de nouveau avec fougue. Mes mains se perdaient sur son corps si musclé je vins titiller son lob d’oreille avec mes lèvres. « In Su... surprend-moi » lui susurrai-je, étant désireuse qu’il abatte ses dernières cartes.





CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Mar 27 Oct - 23:04
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi

Elle se soumettait à moi, comme si elle savait que si elle me laissait faire, elle allait passer la meilleure soirée de sa vie. Je ne lésinais pas sur les effets pour lui faire prendre son pied. J’avais envie qu’elle crie à m’en rendre sourd, qu’elle réveille le dortoir s’il le faut, mais que sa voix soit le seul écho dans ma tête. Mes coups de bassins, rythmes ses soupirs et je m’amuse à la faire crier plus fort en tapant fort en elle. Je sais qu’elle aime ça, autant que la douceur se mélange à la sauvagerie entre nous. Son corps entier est à ma disposition et tout son être me cri de lui faire du bien. Je me retire d’elle doucement pour reprendre mon souffle mais la voilà déjà à m’embrasser comme si elle avait peur que je disparaisse. Mes mains se perdent sur son corps et ses hanches que je caresse du plat de ma paume. Je masse ses fesses en le pressant contre moi, frissonnant à son murmure si bas. Elle ne devrait pas. Vraiment, elle ne devrait pas m’inciter comme ça. Mais elle sait ce qu’elle fait. Elle sait ce qu’elle veut. Un sourire carnassier ourle mes lèvres alors que je saute du lit et je l’oblige à approcher en marchant sur les genoux. Rapidement j’attrape son corps à moi et plaque son ventre contre le mien. Je me met à genoux devant elle, la laissant me surplomber.  J’embrasse son ventre,  glisse ma langue sur la zone sensible de son nombril et descends à son bas ventre. Mes lèvres se perdent sur son intimité humide et ma langue la lape de quelques coups que je maitrise. Mon regard levé vers elle je presse mes mains sur ses fesses pour la tenir contre moi, contre mes lèvres. Je la dévore avec envie et me délecte de son humidité. Je me redresse en glissant ma langue sur son ventre jusqu’à la pointe de ses seins et les mordilles. « Putain j’aime tellement ton corps. » soufflais-je avec envie avant de poser deux doigts sous son menton pour l’obligé à regarder vers moi. je viens déposer mes lèvres sur les siennes, l’instant de calme avant la tempête. Caressant sa joue, je vins délicatement me saisir de son bras pour l’aider à se remettre sur pied et la soulevant du lit pour venir la plaquer contre la fenêtre glacé de la chambre. J’étouffe son couinement contre mes lèvres en l’embrassant sauvagement. J’écarte ses cuisses et fouille entre nos corps pour mieux entrer en elle. Lourdement je laisse bassin s’empaler sur moi en retenant un petit cri de douleur. Putain c’est aussi bon que ça fait du mal. Plaquant ses mains au-dessus de sa tête sur le verre froid, seul nos bassins et la pression de nos jambes nous aides à tenir debout. Je lui claque une fesse «  Bouge. » lui ordonnais-je avant de venir dévorer sa poitrine qu’elle m’offre docilement. Je la soulève d’une main pour mieux pouvoir bouger en elle, la tenant toujours contre ce verre gelé.

CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Mar 3 Nov - 22:36
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi
Je ne voulais pas le lâcher, je ne voulais pas lui accorder un instant de répit. Je ne voulais pas qu’il m’en accord un non plus, consciente que cette parenthèse était éphémère et que se détacher l’un de l’autre signifierait un dur retour à la réalité. Je profitai de chacune de ses caresses qui me procuraient un plaisir sans détour, ainsi que de chacun de ses baisers fougueux. J’adorai quand il était à l’initiative, car il savait comment me procurer un certain plaisir. Je lui avais demandé de me surprendre, et j’étais sûre qu’il en était capable. Je frémis dès les premiers baisers qu’il déposa sur mon ventre et sa langue sur mon intimité me décrocha un grognement aigu. Putain qu’est-ce que c’était bon. Il y allait à fond et je prenais un plaisir fou. Je me surprenais même à gémir comme une gamine à chacun de ses lapements. La main dans ses cheveux, je craque en le voyant dans cette posture tout en me regardant. Il savait exactement comment faire plaisir me faire plaisir, mais aussi faire plaisir aux femmes en général, je n’en doutais pas. Ayant bien profité de cet instant de plaisir intense je le laissais se redresser. Brûlant sous la passion de ses gestes et de ses paroles, je me demandais en quoi il allait pouvoir me surprendre de nouveau. Je me fis embarquée vers la fenêtre dont la fraicheur me glaçait totalement la peau et ajoutait un contraste à la chaleur qui me traversait depuis le début. Je le laissais à la fois me porter et me pénétrer. Cet angle me faisait ressentir des sensations encore jamais expérimentées auparavant et bordel c’était agréable. Je me pinçais les lèvres pour me retenir gémir trop fort. Totalement adossée, je remuais le bassin comme je le pouvais, essayant de ne pas lui faire plus mal qu’il ne devait déjà avoir. Nos deux corps en rythme, j’étais soumise et déjà accroc à cette toute nouvelle stimulation. Et la vision que j’avais d’ici de lui dévorant ma poitrine n’arrangeait pas les choses. J’étais à deux doigts de l’orgasme. « J’adore quand tu me parles avec tendresse comme ça.» dis-je avec une pointe de sarcasme. Non pas que ça me dérangeait, mais je me sentais d’humeur à le souligner. La douleur se mêlait au plaisir le rendait encore plus savoureux. Je sentais cependant qu’il ne pouvait tenir cette position éternellement, alors dans un soupir je le laissais me remettre les pieds sur la terre ferme. Je ne m’en étais d’abord pas rendu compte mais les vitres étaient pleines de buées. Il faisait chaud, j’haletais, et cette dernière position avait tout particulièrement contribuée à cet effet. Je retournai me coucher sur le lit, comme pour finalement avoir un moment de répit. « Je n’en demandais pas autant... » finis-je par dire, encore un peu déboussolée.






CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Ven 6 Nov - 1:04
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi


« Parce que tu crois que j’en ai fini avec toi Yegi ? » ricanais-je, lui lançant un regard complice en prenant le temps de m’asseoir sur le rebord gelé de cette fenêtre. J’ai le souffle court et le corps couvert de sueur. Elle n’a pas encore jouit. Et moi non plus. Mais je fais une pause, je la laisse docilement reprendre ses esprits. Je souris de la voir aussi à l’ouest, son regard dans le vague qui me fixe pourtant lui donne des airs de femme féline. J’observe les courbes de son corps qu’elle m’offre en s’allongeant sur le lit et maudit cette pièce de ne pas avoir plus de lumière que ça. Me redressant, marchant sans pudeur malgré mon érection visible, je viens récupérer mon pantalon. Je le fouille, je ne cherche pas à partir maintenant que la situation est dangereusement délicieuse, mais j’ai besoin de nicotine. Je trouve mon paquet et tire une cigarette que j’allume, la dernière de mon paquet, et viens m’allonger sur le lit en étoile. Je tourne mon visage vers elle en souriant en coin. Je souffle la fumée sur son visage pour l’embêter et l’attire à moi en passant un bras sous sa tête. Je l’amène à moi en la câlinant longuement.  Je passe ma paume moite sur son corps couvert de sueur. Pendant une seconde je me demande pourquoi on s’est quitté. Mais quand je croise son regard je me souviens … on était bien ensemble. On était vraiment bien mais il manquait le plus l’important : l’amour. Et nous avions beau avoir tout le reste, complicité, rire, sexe torride et parfait, on n’aurait pas pu aller bien loin tous les deux … mais ce que nous avions été parfait à sa manière. Ma clope pendant légèrement au coin de ma lèvre, je dessine le contour de son nez du bout des doigts et glisse mon pousse sur ses lèvres. Je plisse des yeux à cause de la fumée et décolle des mèches de cheveux de son front. J’aurais pu lui demander comment elle allait vraiment, si elle avait rencontré d’autres hommes. Mais je crois que je préférais le silence à des mots inutiles. Seul le bruit de ma cigarette qui se consume rompt le silence. Je souffle la fumée en l’air et regarde les voluptés s’estomper doucement. Je lui tends la cigarette au cas où elle en voudrait. C’est con je ne sais même plus si elle fume ou pas. Si elle a, un jour, aimé ça, si elle a arrêté, si elle s’y est mise. Finalement ce soir, nous n’avons pas vraiment parlé. Son rêve de l’Australie, ma boutique, des infos importantes qui sont pourtant de gros détails pour définir qui nous étions. Est-ce qu’il était là notre défaut ? Le sexe avant tout ? Je caresse ses hanches avant de venir la surplomber. Même si elle ne veut pas fumer elle peut au moins me tenir ma cigarette pendant que je lui fais du bien. « Tu t’es reposée Yagi* » murmurais-je de ce petit surnom que je m’amusais à lui affubler. Je frôle sa mâchoire de mon nez et glisse dans son cou avant de venir me glisser entre ses cuisses. J’en soulevais une pour me faire plus de place et me caressa juste de quoi être assez dur pour venir en elle à nouveau, prêt à lui donner un orgasme final et bien mérité. Je bouge en elle à nouveau en reprenant avec un rythme lent.
 
*agi en coréen ca veut bébé, donc j’ai fait un jeu de mot pourrave avec le prénom de yegi, je t’ordonne de l’aimer :mdr: :han:

CODES ©️ LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Ven 20 Nov - 19:17
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi
Allongée, j’avais le regard dans le vague, le regardant sans vraiment le regarder. Je savais qu’il n’en avait pas encore totalement fini avec moi et c’est pour ça que j’avais besoin de temporiser, dirons-nous. Malgré mon envie de sexe sauvage et bestiale, un peu de tendresse n’était pas de refus. J’avais, surement comme beaucoup d’autres filles, cette envie paradoxale d’aimer se faire dominer mais aussi se faire câliner. Et In Su savait répondre à ces deux besoins. Je me perdais dans son regard, le laissant balader sa main sur mon corps. J’appréciais ce temps de pause où il me taquinait, me remémorant certains instants que l’on avait passés ensemble. Je ne me leurrais aucunement sachant que nous n’étions pas sentimentalement compatible, mais je me pouvais m’empêcher de profiter de l’instant présent. De toute manière, ce qu’il m’avait toujours reproché c’était de trop réfléchir... alors je préférais ne pas le faire. Je me sentais bien là dans ses bras, j’avais le sourire aux lèvres, profitant de ses caresses sur mon visage. La fumée de sa cigarette me redonnait mine de rien le goût de la nicotine. Il y avait une époque où je fumais assez régulièrement, mais j’ai fini par arrêter, même s’il m’arrive de fumer une ou deux cigarettes de temps en temps en soirée. Alors, quand il me tendis la cigarette je n’hésitait que légèrement avant de la prendre et de tirer quelques lattes.

« Tu t’es reposée Yagi ». Je pouffais légèrement de rire à l’évocation de ce surnom. C’était tellement lui, ce genre de tentative foireuse mais attendrissante. Je fini par déposer la cigarette dans le cendrier, en poussant un léger gémissement quand je l’accueillais de nouveau en moi. La vague de plaisir que je ressentais auparavant ne mis que peu de temps pour refaire surface. Alors que chacun de ces assauts était d’abord lent, je le suppliais au bout d’un moment pour qu’il accélère de nouveau le rythme, en vue d’atteindre l’orgasme. Je le laissais étouffer mes gémissements fréquents par de nombreux baisers, mais je n’étais pas sûre que cela soit suffisant pour me calmer. Le sentir en moi avec autant de vigueur faisait que je ressentais cette petite crispation sur mon bas ventre en train de se former. A chacun de ces va-et-vient de plus en plus rapide et de plus en plus profond, je succombais un peu plus de plaisir. Ma main agrippait un morceau de drap et je sentais la crispation se propager dans tout mon être. « In Su... » finis-je par lancer entre deux halètements. Je criais son nom alors qu’il était en train de me faire sombrer dans la jouissance la plus exquise. Mon autre main se perdait sur son torse, essayant à la fois de le rapprocher et de le repousser. J’avais atteint l’orgasme, il pouvait sentir mon souffle entrecoupé sur sa peau et je profitais de notre proximité après avoir convulsé de plaisir. Je lâchai un soupir de soulagement lorsqu’il se retira. « J’avais oublié à quel point c’était bon avec toi. » dis-je avec insouciance en riant.







CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Anonymous
 
Re: just one last time (hot) | Mar 15 Déc - 16:43
Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi
 La voir se cambrer sous moi avec autant de folie dans les sens me rendait fier et me faisait tout oublier, au moins le temps de la voir jouir. Elle était si belle, si envoutante. Elle avait des courbes comme j’aimais. C’était une très belle femme et je me demandais encore ce qu’elle foutait avec un bouffon comme moi. Des femmes j’en avais connu des tonnes mais j’avais fini par m’en lasser, j’avais fini par me calmer, j’avais fini par n’être fidèle qu’à MinRi même si nous pouvions aller voir ailleurs … et ce soir était bien l’exception qui confirmait la règle. Je m’abandonnais entre ses bras pour ne plus avoir à subir la culpabilité et la rancœur. Je l’utilisais pour soigner mon cœur mais j’y trouvais un réconfort sincère et je ne jouais pas avec elle. Je ne lui promettais rien, pas de lendemain, pas d’avenir, juste une nuit de sexe délicieuse et longue. J’assénais ces coups de bassin avec férocité pour me faire venir quelques minutes après elle et me retira au dernier moment pour jouir sur son ventre. Non pas que je n’avais pas confiance en elle, mais disons que je préférais limiter les dégâts. « Désolé beauté. » riais-je doucement alors que je me faisais jouir. Pendant une seconde l’image de Franklin m’apparut et mon cœur lâcha. Une nausée me prit et je me sentis si mal à l’aise que j’avais presque honte de la situation. Pourtant j’affichais un air neutre, un sourire en coin. Je regardais son ventre souillé avec un petit sourire amusé. « Ta peau parait encore plus bronzé ainsi. » Je me laissais tomber à côté d’elle avec un râle de bien-être. J’arrivais à repousser mes idées noirs et mes sentiments qui me tordaient le ventre. Je me forçais à penser à Franklin en me forçant à penser je m’en fou. Je tournais mon visage vers Yegi et lui caressa la joue le temps de reprendre mon souffle. J’allais ensuite lui chercher de quoi l’essuyer en sortant dans le couloir rapidement pour aller dans la salle de bain chercher des serviettes. A cette heure-ci je ne risquais pas de rencontrer grand monde, mais je ne trainais pas pour autant. Je me chargeais même de lui essuyer le ventre histoire qu’elle ne pense pas que j’ai viré au connard. Je jette la serviette à nos pieds sans un mot et me rend compte que je n’ai pas décroché un mot depuis de longues minutes. Me contentant de m’occuper d’elle sans vraiment la regarder. Mon esprit ailleurs j’avais du mal, quoique je puisse en dire, à ne pas réfléchir. J’avais tous les droits de faire ce que je faisais ce soir mais j’avais l’impression de trahir tout le monde. Je m’allongeais en le tirant vers moi, un long soupire s’échappant à nouveau de mes lèvres. « Yegi … » commençais-je doucement en fixant le plafond «  t’as jamais eu envie de trouver un bouton pour arrêter de réfléchir. » pour arrêter de penser à quelqu’un. « Que quoique tu fasses, quoique tu puisses penser la situation part toujours en couille, même quand tu fais ton mieux pour tout régler ? » était-ce seulement moi ? Moi qui perdais le contrôle. Je me tournais vers elle pour lever mon regard vers elle. Je glissais une mèche derrière son oreille et glissa à sa hanche que je caressais doucement. Une autre femme n’aurait pas eu droit à ça. Une inconnue m’aurait déjà vu partir loin, mais Yegi méritait autre chose qu’un plan cul qu’on laisse en plan. Je caressais délicatement sa peau fine et fixait son visage tiré par la fatigue et le plaisir. « Tu te sens comment ? »


CODES © LITTLE WOLF.
Contenu sponsorisé
 
Re: just one last time (hot) | 
Citer EditerSupprimer

Une petite réponse rapide

Aller en hautAller en bas