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just one last time (hot)
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just one last time (hot) | Lun 28 Sep - 0:48 Citer EditerSupprimer
just one last time
insu&yegi
Je me laissais bercer par ses paroles. Il pouvait me dire tout ce qu’il voulait que j’acquiescerai avec le même entrain. Je ne voulais même plus penser à l’après, tout ce qui m’importais à cet instant était le moment présent. Je ne pouvais plus attendre, je ne voulais plus attendre. Et ses caresses le long de la cambrure de mes reins ainsi que sur mon visage ne faisait que renforcer ce sentiment. D’ailleurs, aller chez moi pour enfin en finir ne posait aucun problème. Le dortoir était tel qu’il avait toujours des chambres de libre et ce soir ne ferait sans doute pas exception. Ne m’exprimant pas vraiment clairement, je lâchai un petit mmmh comme pour lui faire comprendre que j’étais ok. Mais encore fallait-il que je puisse tenir jusque-là. Il savait de quelle manière me toucher pour augmenter l’excitation chez moi, et c’était précisément ce qu’il était en train de faire en ce moment. Ne pouvant m’empêcher de lâcher un petit rire coquin suite à sa dernière remarque, j’ajoutai après un dernier baiser fougueux « allons-y avant que je ne te dévore sur place. »
Une fois arrivée au dortoir, je le guidai vers une chambre que je savais libre et où l’on ne serait pas dérangé. Un frisson me parcouru à l’idée de savoir que j’allais enfin avoir ce que je désirai depuis un long moment. Le fait que l’on soit déjà passé par là à de nombreuses reprises faisait qu’il n’y avait plus aucune timidité entre nous. D’ailleurs, je n’ai jamais été timide avec lui, et il le savait très bien. J’étais ce genre de fille qui pouvait tout oser tant qu’elle était à son aise. Une fois dans la chambre, je le dirigeai vers le lit où je pris soin de me placer au-dessus de lui. La main sous le tissu de son haut, et l’autre lui caressant la nuque, je mordillais sa lèvre inférieure. On pouvait déceler dans mon regard une certaine animalité, un instinct sauvage. Je voulais qu’il me prenne, là maintenant, qu’il m’enlève mes vêtements et qu’il me prenne de la manière la plus bestiale qui soit. Mon bustier gisait déjà sur le sol, et j’espérais que le reste de mes vêtements allait bientôt suivre le même sort. Je me remettais à lui l’espace d’une nuit, et je savais qu’il était capable de prouesses qui pouvaient me contenter. Mais soucieuse de d’abord prendre les devants, je finis pas enlever ce haut qui me paressait alors encombrant, et déposais quelques baisers sur son torse. Il pouvait sentir ma respiration entrecoupée sur sa peau, ainsi que mes jambes que j’avais intercalées entre les siennes. Pressant alors mon bassin contre le sien, je le regardais comme pour lui demander de mettre fin à mes souffrances, ne pouvant plus attendre, sachant que viendrai le moment des supplications s’il ne me délivrait pas dans la foulée.
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: just one last time (hot) | Mer 14 Oct - 17:12 Citer EditerSupprimer
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insu&yegi
Nous n’avions pas mis beaucoup de temps pour rejoindre le dortoir sango, ou bien peut-être qu’elle avait juste su me divertir pendant le trajet. Rapidement on entrait dans le bâtiment et son impatience me rendait encore plus dingue d’elle. Je souriais carnassier. J’en oubliais ces conneries d’amitié et de relation qu’on pourrait avoir. Je retrouvais ce que j’aimais le plus chez Ye Gi. L’adrénaline. L’excitation. L’impatience. Le plaisir. Je ne prenais pas le temps de regarder autour de moi, je ne voulais qu’une chose. Ye Gi. Arrivé dans la chambre je la laissais prendre les devants, qu’elle s’amuse, qu’elle découvre. Je savais qu’à l’instant où j’allais dominer la situation elle n’aurait plus le temps de rien. L’alcool aidant je laissais de côté mes envies bestiales. Je cédais lentement à la tentation qu’elle représentait. Riant sous ses baisers je soupirais d’aise en passant une main dans ses cheveux. Ces vêtements qui parsemaient le sol me plaisaient, mais ce que j’aimais le plus c’était de sentir ses lèvres sur mon torse. Qui sait avec un peu de chance j’arriverais à tout oublier. Tout. Je pinçais mes lèvres pour retenir mes soupirs et caressait son corps pour pouvoir profiter de ses formes généreuse. Ses seins me faisaient fantasmer. Toujours aussi fort. Je vins les caresser avant de me perdre sur ses fesses que je presse dans ma paume. Toujours aussi moelleuse. Ses doigts sur ma nuque me font frissonner. Je m’empare de ses lèvres qu’elle n’a de cesse d’approcher des miennes. Comment je suis supposé résister ? Le coup de grâce arrive au moment où elle plaque son bassin contre le mien qu’elle me regarde si lascive … c’est une torture de lui résister.Alors je cède.Aussi facilement. Trop facilement. Mes mains se crispent sur hanches alors que j’inverse nos positions pour me retrouver à la dominer. Mon sourire carnassier ne lui échappe et elle sait que c’est à cet instant que sa nuit de folie commence. Je fais sauter rapidement les boutons de son pantalon et tire un coup sec sur le jean. Je dois sûrement la griffer au passage mais ce n’est pas fait exprès. Et ça rajoute un peu de piment. « La prochaine fois mets une jupe. » lui lançais en plaisantant à moitié. Voyant que sa culotte est toujours en place bien qu’à moitié défait je me penche en avant pour tirer dessus avec mes dents et glisse en pied de lit pour tout lui retirer. Complètement nue devant moi je prends une secondes pour admirer son corps. Elle est tellement bien foutu c’est dingue. J’attrape ses jambes que je soulève pour les écarter doucement et voir mon dû se profiler sous mes yeux. Je remonte une ligne de baiser sur l’intérieur de ses cuisses et dépose un simple baiser sur son intimité humide. Je n’ai pas le temps de me perdre en préliminaire. J’ai envie de sexe sauvage, et la lueur qui anime son regard me prouve qu’elle est bien d’accord avec moi. Me redressant sur les genoux je baisse mon propre jean jusqu’à mes cuisses avant de la chopper par les cuisses pour tirer son bassin brusquement vers moi. « Viens là toi. » grognais-je en enfonçant mon poing dans le matelas à côté de sa tête pour me faire une prise. Je joue un instant avec mes doigts en elle pour la rendre apte à m’accueillir et sans prévenir je me glisse en elle dans souffle rauque de bien-être. Bordel … dire que j’ai attendu ça toute la soirée et me voilà en train de prendre mon pied, ne faisant plus qu’un avec. Ses cheveux épars sur le lit, ses seins qui bougent en rythme à chacun de mes coups de bassin, je la trouve sublime. Et cette pointe de culpabilité qui me serre me cœur je l’oublie en venant cueillir ses lèvres. Mes mains glissant sous ses fesses je bascule un peu plus mon bassin contre le sien pour coller nos deux corps le plus possible. Je pousse un gémissement rauque contre ses lèvres en donnant des coups plus brusque et plus profond, happant ses lèvres pour un baiser qui n’a rien de doux mais qui torride, si torride qu’une fine couche de sueur me perle sur le dos.
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Re: just one last time (hot) | Ven 16 Oct - 1:23 Citer EditerSupprimer
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insu&yegi
Il était mon amant du soir et je savais qu’il allait me procurer le plaisir que je recherchais, le plaisir dont j’avais tant besoin. Et le simple fait qu’il inverse nos positions fit contracter mon ventre d’excitation. Il retira le reste de mes vêtements avec une telle rapidité que je ne pus que lâcher un léger grognement. Me voilà complètement nue, totalement offerte à lui. Ce soir, l’espace d’une nuit, je lui laisserai le soin de faire de moi ce qu’il voudrait et d’assouvir toutes ses pulsions, de la plus saine à la plus vile. Sentant soudainement ses baisers sur mon entre-jambe, je frémis de plaisir. Mais cette sensation ne fut rien comparée à celle que j’éprouvai lorsqu’il joua avec ses doigts en moi. Ma respiration commençait à prendre un rythme légèrement plus rapide, et des frissons parcouraient ma peau, sachant bien que le meilleur était probablement à venir.
Quand il entra en moi, je ne pus m’empêcher de gémir. C’était un mélange de légère douleur et de satisfaction qui fini par laisser rapidement place à un plaisir plein et entier. On s’était tourné autour toute la soirée, mais voilà enfin venu le temps de ce moment que l’on attendait, l’un autant que l’autre. Je ne voulais plus réfléchir ou m’encombrer de pensées parasites : je voulais juste profiter. Plus le rythme de ses va-et-vient s’intensifiait et plus je sentais sa chaire au plus profond de moi. Mes jambes étaient écartées de manière à ce qu’il puisse me combler au mieux et j’adorai ça. Mon souffle s’entrecoupait au rythme de ses assauts, et on entendait à peine les murmures qui s’échappaient de ma bouche entre deux baisers torrides. On ne pouvait déceler de la douceur à proprement parler dans nos gestes et pourtant je sentais comme une aura de communion parfaite entre nos deux corps. C’était lui, moi et cette bestialité folle qui nous animait. Au fur et à mesure, mes lèvres finirent par se perdre sur son cou et sa mâchoire. Je prenais mon pied, mais je ne voulais pas non plus que ça aille trop vite. Il était tellement imprévisible une fois lancé qu’on ne savait jamais vraiment de quoi il était capable. Alors, le sentant finalement ralentir la cadence, je le laissai se basculer vers l’arrière pour de nouveau prendre le dessus. Je savais qu’il avait toujours préféré dominer mais je voulais aussi le faire profiter. J’agitais donc mon bassin de haut en bas, d’une lenteur presque exagérée. Mon regard provocateur plongé dans le sien, je voulais le faire languir un peu de nouveau, juste assez pour le faire reprendre ensuite. Je le laissais s’adonner à des caresses sur mon corps tout entier pendant que, continuant mon petit manège, mon regard lascif et mes pincements de lèvres en disaient long sur mes intentions. J’espérais d’ailleurs qu’il arrivait à lire en ce regard. Qu’il comprenait que je voulais qu’il me prenne. Qu’il me prenne comme jamais il ne l’avait encore fait auparavant. Ainsi, me cambrant légèrement pour me retrouver complètement sur lui, mes seins contre son torse, j’accélérai la cadence en agitant plus rapidement mon bassin. Qu’est-ce que c’était bon. Cette position me permettait de mieux le voir et je ne l’avais jamais trouvé aussi attirant. Je lui caressais le visage, le couvrant ses lèvres de baisers sensuels et lui affichant un sourire coquin. J’haletais, sentant qu’il commençait aussi à faire des va-et-vient plus rapides. Le mouvement de nos deux corps à l’unisson, je ne pouvais décidemment plus me contenir.
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Re: just one last time (hot) | Dim 18 Oct - 20:03 Citer EditerSupprimer
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insu&yegi
Mes pensées s’embrouillaient dans ma tête et tous mes sens se mettaient à frémir en même temps. Je ne sais pas ce qui me prenait. Ce n’était pourtant pas la première fois que je couchais avec une fille en ayant bu. Je savais que l’alcool me désinhibait. Ça m’empêchait de réfléchir et ça ne faisait ressortir que le côté bestial qu’il y avait en moi. Depuis ma séparation avec Ye Gi la seule femme avec laquelle je couchais c’était Min Ri. M’en voudrait-elle si elle savait que ce soir je partageais celui d’une autre, d’une autre qu’elle connaissait forcément … Au pire je n’étais pas obligé de lui dire après tout. Et j’avais beau mon focaliser sur le corps nu de la jeune sango je n’arrivais pas à me retirer sa présence de ma tête. Comme s’il savait ce que je faisais, comme si ça faisait de moi un connard. Comme si je jouais avec la situation. Mes points enfoncés dans le matelas je fini par perdre mon rythme. J’étais incapable de le soutenir plus longtemps. La fatigue. Les pensées qui me brouillaient l’esprit. J’ai fermé les yeux pour tenter de reprendre contenance et fermé mon esprit à toutes ces conneries. Il était le premier à me tourner le dos. Et tout le reste n’avait pas d’importance. Je rouvris les yeux sur une Ye Gi lascive et brûlante. Comment est-ce que je pouvais passer à côté de ça ; elle s’offrait à moi sans aucune pudeur, sans aucune peur. Elle s’offrait à moi et me suppliait du regard de la prendre comme jamais. Et je restais là, à me morfondre sur mes états d’âme. Putain quel genre de mec j’étais sérieux ? Un de ceux que je ne veux pas devenir …J’ai repris les choses en main.Soulevant mon bassin pour lui laisser la place de bouger, je la regardais onduler sur moi avec un plaisir qui revenait bruler mon bas ventre. Le sexe. C’est un moyen comme un autre pour oublier et décompresser. C’est ce que j’arrive à me dire en venant lui mordiller les seins avec envie. Dangereusement, délicieusement, je lui lèche, mordille, tire sur le bout meurtri de ses seins pour décupler ses sensations. Une main agrippée à ses hanches je me remets à bouger en rythme avec elle pour mieux savourer. Mais si elle pense qu’on va se contenter d’un putain de missionnaire elle se trompe. Me retirant d’elle soudainement je l’attrape par la nuque la faire se redresser assise et l’embrasse avec fougue alors que je me redresse sur les genoux. C’est là que ça va devenir intéressant et le regard brûlant que je lui jette en me décollant à peine d’elle le prouve bien. Attrapant son poignet je la tire pour qu’elle se retourne avec un sourire carnassier aux lèvres. Je ne relâche sa main que lorsque je la vois le visage dans l’oreiller. Je soulève son bassin en l’obligeant à se mettre sur les genoux et je prends soin de d’appuyer sur sa cambrure pour l’obliger à m’offrir son intimité de façon soumise. J’aime ce que je vois, la forme de son corps est si parfaite … je lui claque une fesse, marquant sa peau bronzé d’une fiche couche de rouge. Caressant le creux de ses reins couverts d’une fine pellicule de sueur je la trouve encore plus sexy. Je me penche pour déposer un baiser sur l’une de ses fesses avant de me redresser et de me présenter à elle sans perdre plus de temps. Entrant en elle d’un coup sec je bute au fond en frissonnant. Cette position est toujours un délice et je compte bien lui rappeler que je suis doué. Je la taraude de coup de bassin rapide et profond en lâchant des soupirs rauques et saccadé. Accroché à ses hanches je la tiens si fermement qu’elle ne peut que subir mes assauts. Nos peaux claques et le bruit de ses cris de plaisir me rendent complètement dingue.
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