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J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥

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Re: J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥ | Jeu 17 Déc - 19:18
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You gave me strenght to fulfill my dream
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tenue + « Take a breath. Relax. »


Si j’avais su que ça lui ferait cet effet de voir quelques jeunes hommes mal élevé lancer quelques commentaires sur ma personne j’aurais provoqué la situation depuis bien longtemps. C’était plaisant de le voir toujours prendre soin de moi, de ces regards un peu trop présent sur moi, de ces attentions que les hommes me donnaient, qu’elles soient déplacées ou non. Je n’ai pas tout de suite compris ce qu’il faisait, pourquoi est-ce qu’il me demandait de regarder de l’autre côté, ce n’est qu’en le voyant parler à ces hommes qui semblèrent tout à coup mal. Je ne saisis pas la totalité de ses paroles si ce n’est qu’il ne fallait plus poser un regard sur moi. Au moins cet épisode avait eu le mérite de me faire légèrement rire et me changer les idées. Je le voyais revenir vers moi et je dois bien avouer que de le voir ainsi me fait d’avantage craquer. Je dois me faire violence pour ne pas mordiller ma lèvre inférieure en le fixant. Je me reconcentrais bien vite sur mes exercices et tenta de ne pas dévier mon regard sur sa personne. Zhang Jiro allait me rendre dingue. Mais le pire c’est qu’il ne le voit même pas … Parce que je le cache, parce que pour lui c’est surement normal d’agir ainsi, qu’il aurait fait de même pour une autre … oui c’était ce que j’essayais de me convaincre. Ca me permettait de garder les pieds sur terre. Un petit peu. Juste assez.
 
Le gardant près de moi alors que je fais mes exercices je souris à sa remarque et me tourne vers lui pour lui lancer taquine «  Tu n’aimes pas mon bustier rouge ? » fis-je innocente comme pour le pousser dans ses retranchements. Aimer l’entendre me dire que ce n’était pas qu’une question de bustier, qu’il l’aimait bien mais qu’il ne voulait pas que les autre l’aime aussi … C’était ce genre de phrase que je voulais entendre. Tendant le bras gracieusement je me cambre en arrière, jusqu’à frôler son torse du bout de mes doigts en levant mon regard vers lui malgré ma tête renversée. Je lui offris un sourire sans trop savoir ce qu’il signifiait vraiment. Un brin joueuse, un brin innocente, je remontais gracieusement à ma position initiale et me tourna vers lui. « Merci, de prendre soin de ma vertu aux yeux de ces hommes. » Ajoutais-je face à lui. Je soulevais ma jambe pour la monter au-dessus de ma tête en respirant doucement pour ne pas me faire mal. Je levais mon regard vers lui en restant ainsi, concentrée et attentionné. Je relâchais doucement ma jambe et fit de même avec l’autre montant d’un même coup sur la pointe de mon pied. J’avais encore un peu de temps avant d’enfiler mes chaussons pointes. Avant ça il faudrait que Jiro m’aide à fixer mon tutu. Je le sortie de mon sac délicatement et le posa en équilibre sur une barre. « Je l’ai acheté en Corée celui-là. Il m’a couté un demi moi de salaire, mais il vaut le coup ! Il se tient bien sur mes hanches et le tulle garde bien la forme que je veux lui donner. »
 
D’un geste habile je retirais mon voile qui me couvrais les fesses et le posa sur la barre avant d’enfiler mon tutu. Je le lissais une instant avant de le soulever et de le serrer vers moi comme pour lui donner la forme d’une tulipe. Ca me permettait de le forcer un peu à tenir en l’air. Secouant ma bombe de laque je fixais la base de mon tutu pour tenir debout et glissa sur ma fesse pour que le justaucorps ne remonte pas quand je danse. Je me cachais devant Jiro pour faire ça et ainsi éviter le regard des autres. « Heureusement que vous êtes là … » murmurais-je soudain stressée. Un homme venait d’entrer dans la salle en appelant des numéros au hasard. On lançait enfin le second tour. J’enfilais rapidement mes pointes en serrant correctement je me rendis compte que quelques fils se détachait. Je fronçais les sourcils sans comprendre comment s’était possible, bêtement et très naïvement je cru à une mauvaise couture de ma part. J’étais tellement stressée que je sentis les larmes me monter aux yeux ce qui était stupide. Frissonnant en mordillant ma lèvre je me tournais vers Jiro en lui attrapant la main. Ça allait, ça allait aller. Ça ira. Voilà tout ce que je pouvais me répéter inlassablement. « J’ai mal … j’ai pas bien fait la couture et je n’ai pas  le temps de le reprendre, mes fils ce sont arrachés … » lui expliquais la voix blanche. « J’ai dû trop forcer … ou je ne sais pas je ne comprends pas pourquoi ca fait ca. » Mes mains cramponnées aux siennes je montais et descendais de mes pointes pour les tester. Elles tenaient bien de toute évidence et je pourrais sûrement tenir les deux minutes que danses que j’aurais à présenter. Je ravalais ma panique en crispant un peu plus mes mains sur Jiro et chercha des yeux la naphtaline pour en enduire sur mes pointes.
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Re: J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥ | Jeu 17 Déc - 22:42
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Je me contentais d'observer. Silencieusement. Commentant alors, ce qu'il se trimait face à ma personne au sein de mon esprit, que ce soit, face à ces multiples exercices que tu osais réaliser sous mes yeux avec une aisance plutôt déconcertante, et ce, jusqu'à ce que tu ne puisses être repoussée contre tes retranchements lorsque, enfin, le temps semblait filer à une vitesse grand V. Quelques minutes. Uniquement quelques minutes et voilà que, déjà, les premiers candidats semblaient avoir été appelés afin de réaliser cette deuxième étape. Qui, en soit, se retrouvait être « l'étape décisive » avant que vous ne puissiez vous retrouver véritablement soulagés. Ôtant ces doutes et ce stress de votre esprit afin de parvenir à dissiper ceci au travers d'une certaine joie, mais surtout : d'un soulagement intense. Malgré tout, là n'était pas l'instant propice au moindre soulagement. La pression augmentait, et je pouvais parfaitement le discerner au travers de cette légère pression que tu effectuais contre l'une de mes mains. T'emparant de celle-ci, tu usais de ce simple et unique contact physique afin de parvenir à mettre la main sur ce calme plat dont je faisais part en toute circonstance. Je tentais, à mon tour, de t'offrir un certain réconfort... En vain. « Je ne brise jamais mes promesses. Jamais. J'ai donc promis que je resterais en ces lieux jusqu'à la dernière seconde possible. Je le ferai. » Assurément, je gratifiai ta personne d'un léger sourire tentant de maintenant une certaine proximité entre nos deux êtres. Ma main libre, trouvant, bien vite refuge contre le haut de ton crâne afin de parvenir à y affliger une légère pression.

« Calme, calme. Ce ne sont que de simples fils, je doute qu'ils parviennent à détruire cette délicieuse performance que tu nous réserves, n'est-ce pas ? » J'étais plutôt impatient de le découvrir à mon tour, et ce n'est que lorsque ces douces mélodies se laissaient entendre que les regards surpris et stressés de chaque participant présents au sein de ces lieux se rendaient véritablement compte qu'un retour en arrière ne pouvait aucunement être mis en place. Bien au contraire. Chacun d'entre vous se devait d'entrer en ces lieux. Poser de nouveau les pieds sur cette scène. Arborant cet air à la fois sérieux, et enjoué. User de multiples stratagèmes afin de parvenir à obtenir les grâces de ces juristes quelque peu acerbes tandis que vous vous offrez corps à âmes à cette simple minute qui allait déterminer, ou non, la réussite de votre avenir en tant qu'élève en cette école de danse si réputée... Ne comprenant toujours pas ce que cette école pouvait avoir de plus que de simples cours réalisés par une jeune femme possédant les connaissances adéquates, je me contentais de tenter de te rassurer au travers de moyens quelconques, et multiples. Que ce soit, uniquement au travers d'une conversation, que, d'attentions, c'est après de longues minutes d'attentes « qu'enfin » ce numéro qui se retrouvait être le tien fut appelé.

Me ravisant du moindre commentaire, je me contentais de glisser mes lippes au creux de ton front afin de t'offrir une énième attention. Le tout, accompagné d'un léger murmure : « Courage. » Ce fut le seul et unique mot qui parvint à traverser celles-ci avant que je ne puisse – de nouveau – prendre la fuite. Retrouvant ainsi, la jeune femme précédemment rencontrée lors de cet épisode de perte au sein des rues de la capitale, son amie semblait-elle aussi avoir été désignée comme une potentielle victime de réussite. Félicitant alors, celle-ci, je pris place. La même place que j'avais pu avoir occupé lors du premier tour et c'est au travers de ce regard persistant que je ne te quittais pas des yeux. Non, je ne te quitterais pas des yeux avant que tu ne puisses descendre de cette scène. Qu'importe la réponse. Qu'importe le résultat. Je serais fier. Y avait-il du mal à cela ?

Mes mains refermées sur elles-mêmes, je me contentais de démontrer celles-ci au travers d'un simple geste qui démontrant une énième forme d'encouragement à l'égard de ta personne. Je le sentais. Je le percevais : tu étais stressée comme jamais.


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Re: J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥ | Ven 18 Déc - 14:47
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De simples fils ? Oui, de simples fils … Il fallait que je me fasse confiance, ils tenaient bon sur ma cheville, c’était le principal ! Accroché à ses mains j’avais le cœur fou, au bord des lèvres. J’avais envie que tout ça soit fini et en même temps j’étais impatiente de pouvoir danser. Passant le temps en écoutant les paroles rassurantes de Jiro et en appréciant ses gestes d’affection, je pensais à autre chose et tentait tant bien que mal de rester concentrée. J’avais fait tous les exercices que je connaissais, et je ne pouvais pas détendre plus mon muscle déjà bien chauffé. Alors je me raccrochais à ses mots, à sa présence. Son sourire et son regard confiant. Il y avait tout pour que je me sente sereine. Cette boule au ventre qui me collait des nausées s’amusait à faire le yoyo mais j’arrivais tant bien que mal à la repousser. Je ne veux pas céder à cette panique et risquer de ruiner toutes mes chances. Je ne pensais plus au fils, je ne pensais plus à la concurrence, je pensais à moi, à la danse que j’allais offrir. Serrant les mains de Jiro un peu plus fort à l’annonce de mon numéro je soupirais longuement. J’inspirais et expirais dans un rythme lent, profond, régulier. Je ferme les yeux quand je sens ses lèvres sur mon front et c’est mon cœur qui lâche. Je m’accroche à son poignet pour le forcer à rester un peu plus longtemps contre ma peau et finit par reculer. Je lui souris nerveuse mais déterminée. Je lui tends mes affaires pour ne pas m’encombrer et l’enlace une dernière fois avant de courir rejoindre mon groupe de passage.
 
Je suis nerveuse mais bizarrement confiante. Ça me fait un bien fou de savoir qu’il est là. Il va me regarder et je danserais pour lui. Je ne veux pas plaire à ce jury, je ne veux pas me fondre dans un moule, je veux pouvoir danser, danser et être heureuse de danser. C’est bien là, avec la technique, les deux seuls critères qui nous poussent à nous donner corps et âme dans ce sport. Passant une main sur ma nuque et vérifiant que mon chignon est bien en place je répète mentalement, inlassablement, ma chorégraphie. Comme à chaque passage sur scène, celui décisif, je pense à me famille que j’ai quitté pour pouvoir vivre mon rêve. J’ai sacrifié tellement de choses pour pouvoir briller sur cette scène … Quand viens mon tour je m’avance au milieu de la scène, jetant un coup d’œil à Jiro que j’aperçois à peine dans le contrejour des spots. Je m’allonge au sol en inspirant longuement et quand la musique se lance je fais ce que j’aime. Je danse. Tends la jambe bien plus haut, qu’à l’accoutumée enhardit par l’adrénaline dans mon corps. Je donne tout ce que j’ai. Sautant plus haut et tournant plus vite. Je maitrise chaque mouvement à la perfection après de longues heures de répétitions. Gracieuse, je prends le temps de suivre la musique, de l’écouter pour mieux la vivre. Sans cesser de sourire. Au premier jeté je sens que mon chausson glisse légèrement mais je suis trop concentrée pour m’en inquiéter. J’avance fièrement, debout sur mes pointes. Je suis prête à tout donner, je donne tout. Je suis là, et j’aime ce que je fais. J’en oublie tout. Et je danse. Je vis.
 
Et vient le final. Je tourne. Une fois, deux fois. Je tourne parce que c’est là que je dois briller, parce que c’est à la fin que je dois marquer les esprits. Et je sens mon chausson qui m’échappe, ma cheville se tordre sous mon poids alors que je m’écroule sur le sol dans un couinement de douleur. J’avais pourtant réussi mes 6 premiers tours. Mais le fils trop malmené par ma danse vient de craquer et je m’effondre sur scène avec effroi. Une chute, c’est éliminatoire. Je le sais, tout le monde le sait. Ma musique s’estompe doucement dans le théâtre et les murmures le remplient. Quand je réalise que j’ai raté, quand je réalise que j’ai la cheville blessée, quand je réalise que je viens de glisser sur mon rêve je sens les larmes rouler sur mes joues. Tremblante, boitant, je me relève maladroitement. « Je peux le refaire ! » assurais-je alors que ma voix se casse en écho sur l’auditoire. « C’est impossible mlle, veuillez quitter la scène. » me dit cette voix lasse qui ajoute un « C’est dommage, vous aviez bien commencé. » Si c’était censé me rassurer, ça venait de détruire un peu plus mon cœur. Bêtement je tentais de tourner sur mon autre pieds mais rien n’y fait. J’étais trop tremblante et perdue pour que ça fonctionne. Je m’écroulais à nouveau en tenant ma cheville. Je venais de ruiner mes chances d’intégrer cette grande école … et si je pouvais me présenter dans un an … j’aurais encore perdu, bêtement, du temps. J’avais honte de moi, d’être aussi misérable. Me redressant sur les mains en tremblant je n’arrivais plus à voir autour de moi tant les larmes emplissaient mes yeux … J’ai raté. J’ai raté. C’était là la seule chose que je voyais.
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Re: J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥ | Ven 18 Déc - 15:42
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Irréprochable. Semblable à mes espoirs jetés à corps perdu à l'intention de ta part. Cette mélodie, je ne la connaissais que trop bien. Je l'avais entendu un bon nombre de fois. Réalisée au piano, ou simplement un léger écho qui parvenait jusqu'à mon antre tandis que cette femme se laissait emporter au travers de cette douce mélodie qui s'emparait peu à peu du silence de cette bâtisse. Et, tandis que d'agréables frissons parcouraient mon échine, je t'observais. Ne te quittant pas du regard. Non, pas une seconde. Appréciant, chaque mouvement. Cette grâce, ce talent et cette détermination mise en place. Tu semblais confiante. Heureuse de te tenir sur cette scène, et... Ce sourire. Ce sourire que tu osais afficher ne pouvait que ravir le cœur de ces juristes bien trop imbus de leurs personnes. Ils semblaient apprécier, eux aussi. Je ne pouvais qu'être fier. Fier de ta personne. De ce spectacle qui récoltait, déjà, de multiples compliments de la part de ces inconnus qui se trouvaient installés non loin de ma personne. Et ce, jusqu'à ce que ce léger fracas puisse se faire entendre... Ce corps, si frêle, venait tout juste de trouver refuge contre le sol. Sans que je ne parvienne faire quoi que ce soit conte cela. Le regard perdu. Mes lèvres entrouvertes par la surprise de cette action. Que faire ? Que dire ? Cela semblait douloureux. Et pourtant, tu te persuadais de croire que tu parviendrais à reprendre le dessus sur cet échec. Échec, qui, par la même occasion venait tout juste de te tirer vers la porte de sortie. Une élimination. Ah, à quoi bon vouloir persister ?

Ton sac jeté contre l'une de mes épaules, je pris l'initiative de transgresser l'une des règles principales lorsque je parvins à faire mon entrée au sein de cette scène, à présent silencieuse. Les échos des juristes se faisaient entendre tandis que je murmurais à mon tour : « Liu. Cela suffit. » Un calme plat, comme à mon habitude. Et, voilà que j'osais glisser mes bras autour de ta personne afin de parvenir à te soulever et ainsi, te maintenir au creux de mes bras avant que nous ne puissions quitter définitivement ces lieux. « Partons. » Peut-être étais-je froid. Bien trop froid pou te rassurait, pour t'encourager, pour te soutenir, mais... J'étais davantage inquiet de par cette douleur qui semblait s'emparer peu à peu de ta cheville, plutôt, que de cet échec. L'hôpital allait alors nous ouvrir ses portes sans que tu ne puisses répliquer quoi que ce soit contre ce fait.


Mon échine frissonnait alors face au simple contact de cet ambiant hivernal tandis que je m'approchais petit à petit de la rue principale sous les regards surpris de l'image que nous pouvions renvoyer. Un jeune homme portant, alors, une jeune femme vêtu ainsi, à bout de bras. Agitant alors l'un d'eux afin de parvenir à obtenir l'attention de l'un des multiples taxis qui osaient se frayer un chemin en ces lieux. Je te poussais à rejoindre l'un d'eux en t'ncitant à t'y installer avant que je ne puisse en faire de même. « L'hôpital le plus proche. S'il vous plaît. » Un énième murmure. Un regard tourné vers ta personne, et enfin, une main glissée sur le haut de ton crâne t'incitait à venir te coller contre ma personne. Une ultime affection. Un geste qui s'en voulait... Rassurant, un geste qui te pousserait finalement à craquer. Définitivement. Je n'appréciais que très peu de voir les femmes pleurer. C'était un fait irrévocable. Un fait qui me rendait malade. Perplexe. Je n'avais jamais véritablement su comment me comportement face à une telle réaction de la part de la gent féminine, et pourtant.


« Je suis là. Je suis là. » Répétais-je à de multiples reprises tandis que je tentais d'extirper de l'une de mes poches un mouchoir afin de te tendre celui-ci. Je n'avais que très peu de mots convenables à t'offrir, alors, je favorisais le silence. Rester silencieux tout en gardant cette image de l'homme protecteur. Ainsi était bon rôle, à l'heure actuelle. « Ta cheville. Douloureux ? » D'un simple coup d'oeil, je pouvais discerner cette peau auparavant blanchâtre prendre une couleur rosâtre. Et enfin, cette manière de se tenir.

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Re: J'ai l'audace de rêver avec toi ❝ Jiliu ♥ | 
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