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1, 2still breathing — 現存の (#keji)
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Re: still breathing — 現存の (#keji) | Ven 19 Aoû - 0:08
still breathing — 現存の
ft. un amour éternel
Kalei s'était levé après avoir laissé sonner quelques fois son téléphone, avait répondu puis n'avait commencé qu'à parler une fois dans le couloir. Le japonais se doutait que c'était pour sa compétition, surement son manager. Mais pour dire vrai il ne s'intéressait déjà plus qu'à une seule personne, la femme de sa vie. Sa tête tourna enfin vers lui, lui qui la couvait du regard, qui, plus que l'inquiétude et la tristesse prouvait encore une fois à quel point il l'aimait. « chut, bébé... » Le garçon se rapprocha pour venir embrasser la main qui couvrait les lèvres de Kelea avant qu'elle ne s'étire un peu pour le faire tomber vers elle. Kouji se rattrape au lit et viens la prendre maladroitement contre lui, fort mais pas assez pour lui faire mal, fort assez pour qu'elle ne doute pas qu'il soit là. Il ferme les yeux quelques secondes en inspirant longuement, son coeur se serrant aux sanglots de son amoureuse. « J'suis là. » Un roc, kouji est un roc.
Kouji murmure doucement contre Kelea, lui dit qu'elle à l'droit de pleurer, que ça fait du bien, que c'est mieux parce qu'après elle aura toute la place pour sourire. Lui dit pleins d'truc qu'il pense, qu'il est là et qu'ils vont y arriver. Et qu'elle à l'droit de pleurer, c'est important. Puis au bout de, quoi, une minute ? Le garçon tiens plus et la force à se reculer un tout petit peu, la prenant par les épaules pour croiser son regard, lui sourire, embrasser son front avec douceur avant de se lever. Pas pour partir, non (jamais), mais pour la faire doucement avancer dans son lit en rigolant doucement, murmurant un « pousse tes fesses. » Kouji fait l'asticot derrière elle pour se faufiler et remonter le coussin pour pouvoir prendre sa place, puis attire avec douceur son amour contre lui, la calant dans ses bras, dans sa chaleur. Il la serre contre lui avec plaisir, soupirant doucement, puis viens embrasser le haut de sa tête, attendant sagement qu'elle se calme, que les sanglots deviennent plus estompés, plus silencieux, que les larmes continuent de rouler si elle voulait mais qu'elle arrive à nouveau à respirer normalement. Y'avait rien à dire, elle savait tout déjà, il avait déjà tout dit mille fois, mais kouji se lasse pas. « j't'aime. »
still breathing — 現存の
ft. un amour éternel
Kalei s'était levé après avoir laissé sonner quelques fois son téléphone, avait répondu puis n'avait commencé qu'à parler une fois dans le couloir. Le japonais se doutait que c'était pour sa compétition, surement son manager. Mais pour dire vrai il ne s'intéressait déjà plus qu'à une seule personne, la femme de sa vie. Sa tête tourna enfin vers lui, lui qui la couvait du regard, qui, plus que l'inquiétude et la tristesse prouvait encore une fois à quel point il l'aimait. « chut, bébé... » Le garçon se rapprocha pour venir embrasser la main qui couvrait les lèvres de Kelea avant qu'elle ne s'étire un peu pour le faire tomber vers elle. Kouji se rattrape au lit et viens la prendre maladroitement contre lui, fort mais pas assez pour lui faire mal, fort assez pour qu'elle ne doute pas qu'il soit là. Il ferme les yeux quelques secondes en inspirant longuement, son coeur se serrant aux sanglots de son amoureuse. « J'suis là. » Un roc, kouji est un roc. Kouji murmure doucement contre Kelea, lui dit qu'elle à l'droit de pleurer, que ça fait du bien, que c'est mieux parce qu'après elle aura toute la place pour sourire. Lui dit pleins d'truc qu'il pense, qu'il est là et qu'ils vont y arriver. Et qu'elle à l'droit de pleurer, c'est important. Puis au bout de, quoi, une minute ? Le garçon tiens plus et la force à se reculer un tout petit peu, la prenant par les épaules pour croiser son regard, lui sourire, embrasser son front avec douceur avant de se lever. Pas pour partir, non (jamais), mais pour la faire doucement avancer dans son lit en rigolant doucement, murmurant un « pousse tes fesses. » Kouji fait l'asticot derrière elle pour se faufiler et remonter le coussin pour pouvoir prendre sa place, puis attire avec douceur son amour contre lui, la calant dans ses bras, dans sa chaleur. Il la serre contre lui avec plaisir, soupirant doucement, puis viens embrasser le haut de sa tête, attendant sagement qu'elle se calme, que les sanglots deviennent plus estompés, plus silencieux, que les larmes continuent de rouler si elle voulait mais qu'elle arrive à nouveau à respirer normalement. Y'avait rien à dire, elle savait tout déjà, il avait déjà tout dit mille fois, mais kouji se lasse pas. « j't'aime. »
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Re: still breathing — 現存の (#keji) | Dim 25 Sep - 21:03
still breathing — 現存の
ft. un amour éternel
Elle tremble dans les bras de son homme. Pleure de longues minutes. Fatiguée. Du corps. De l’esprit. Elle ne se sent pas le courage d’affronter son démon encore une fois, pourtant quand elle sent la chaleur de son homme elle aimerait lui dire j’y arriverais pas sans toi … ne me quitte jamais Kouji parce que je t’aime beaucoup trop pour survivre à ton absence. Elle pleure parce qu’elle se sent dépassée, elle sent qu’elle perd pied et qu’elle ne veut pas avoir à se battre encore. Voir l’inquiétude, la tristesse dans le regard de ses proches … elle aimerait une vie simple, avec son homme et vivre juste … comme deux jeunes adultes de leur âge. Elle ferme les yeux et tente de se calmer après de longues minutes. La présence de Kouji lui sera toujours primordiale, quand bien même elle joue les fortes têtes butées. Il est son pilier et l’homme de sa vie. Elle relève le visage vers lui en levant ses doigts frêles pour caresser sa joue. Elle le touche à peine et ses doigts paraissent si … glacée et froid. Ils contrastent avec la joue presque brûlante de Kouji, ou tout du moins sa peau lui parait brûlante. Elle le regarde avec un petit air désespéré, de ce qu’elle s’entête à cacher au reste du monde. Elle le regarde, boit ses paroles, ses je t’aime comme une promesse qu’il lui fait … son amour. Son homme. elle le regarde et frissonne en vient l’embrasser pour s’empêcher de pleurer, prendre des forces, prendre son courage à demain pour dire que tout ira bien … elle s’accroche à lui et murmure tout bas, de sa voix cassée « Tu restes avec moi cette nuit … ? » c’est une supplique d’enfant malade, d’enfant apeurée qui ne veut pas se retrouver seule dans le noir. Elle se sent tellement mieux quand il est là. Quand il se tient tout contre elle et qu’il partage sa chaleur, elle se sent vivante. Plus encore, elle se sent protégé de tout, du monde, de la mort, de la vie. Elle est contre lui et elle se contente de recharger ses batteries. « J’pas envie … » de mourir … « de rester seule. » elle n’avait pas vraiment besoin d’ajouter une raison pour le faire rester. Elle sait qu’il a décidé de rester dès l’instant où elle lui a demandé. Mais c’était plus fort qu’elle. Elle s’accroche à son t-shirt en frissonnant de froid et se sent à nouveau épuisée prête à s’endormir.
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ft. un amour éternel
Elle tremble dans les bras de son homme. Pleure de longues minutes. Fatiguée. Du corps. De l’esprit. Elle ne se sent pas le courage d’affronter son démon encore une fois, pourtant quand elle sent la chaleur de son homme elle aimerait lui dire j’y arriverais pas sans toi … ne me quitte jamais Kouji parce que je t’aime beaucoup trop pour survivre à ton absence. Elle pleure parce qu’elle se sent dépassée, elle sent qu’elle perd pied et qu’elle ne veut pas avoir à se battre encore. Voir l’inquiétude, la tristesse dans le regard de ses proches … elle aimerait une vie simple, avec son homme et vivre juste … comme deux jeunes adultes de leur âge. Elle ferme les yeux et tente de se calmer après de longues minutes. La présence de Kouji lui sera toujours primordiale, quand bien même elle joue les fortes têtes butées. Il est son pilier et l’homme de sa vie. Elle relève le visage vers lui en levant ses doigts frêles pour caresser sa joue. Elle le touche à peine et ses doigts paraissent si … glacée et froid. Ils contrastent avec la joue presque brûlante de Kouji, ou tout du moins sa peau lui parait brûlante. Elle le regarde avec un petit air désespéré, de ce qu’elle s’entête à cacher au reste du monde. Elle le regarde, boit ses paroles, ses je t’aime comme une promesse qu’il lui fait … son amour. Son homme. elle le regarde et frissonne en vient l’embrasser pour s’empêcher de pleurer, prendre des forces, prendre son courage à demain pour dire que tout ira bien … elle s’accroche à lui et murmure tout bas, de sa voix cassée « Tu restes avec moi cette nuit … ? » c’est une supplique d’enfant malade, d’enfant apeurée qui ne veut pas se retrouver seule dans le noir. Elle se sent tellement mieux quand il est là. Quand il se tient tout contre elle et qu’il partage sa chaleur, elle se sent vivante. Plus encore, elle se sent protégé de tout, du monde, de la mort, de la vie. Elle est contre lui et elle se contente de recharger ses batteries. « J’pas envie … » de mourir … « de rester seule. » elle n’avait pas vraiment besoin d’ajouter une raison pour le faire rester. Elle sait qu’il a décidé de rester dès l’instant où elle lui a demandé. Mais c’était plus fort qu’elle. Elle s’accroche à son t-shirt en frissonnant de froid et se sent à nouveau épuisée prête à s’endormir. Page 2 sur 2 • 1, 2
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