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BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8

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BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 15:01
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Bae Yun Seong
even king mj can't test me

SOCIABLE
(★★★★★)
DRÔLE
(★★★★)
ARROGANT
(★★)
IMPATIENT
(★★★★)
EXTRAVAGANT
(★★★)
MOQUEUR
(★★★)
ATTACHIANT (KIND OF)
(★★★★★)
ÉNERGIQUE
(★★★★)
AVENTUREUX
(★★★★)
AMICAL
(★★★★)
nom : Bae, comme ton bae de  ta vida sisisi, call me baeby, CALL ME BAE prénom : Yun Seong. Un prénom génial, cela va sans dire. Ça veut dire douce vérité en hanja (if any sense detected, call me back soon). âge : 22 ans, et oui c'est un homme maintenant, il est devenu grand, il peut se la péter en commandant un Americano en mode remake de George Clooney et son Nespresso et en boire à volonté parce que c'est viril (Bon d'accord non) (Truth is, il tire la gueule cinq secondes après une gorgée et appelle à l'aide) (Mais il fait style, ou bien il essaie, c'est un bonhomme après tout) date et lieu de naissance : Il est né dans la capitale de Suwon, à Gyeonggi, dans un coin pas trop paumé de la ville. Il y a toujours les membres de sa famille là-bas, et ceux-ci lui manquent beaucoup lorsqu'il y repense plus sérieusement. Il aimerait souvent y retourner pour leur rendre visite et passer du temps avec eux. origines : Coréen orienté vers le Sud-Ouest un peu, mais il aurait aimé avoir des ancêtres hispaniques, histoire de trouver l'El Dorado un jour ou l'autre (Mais sérieux soyons romantiques, l'El Dorado, it's in your eyes baby). nationalité : 100% kimchi extra hot, Korea c'est la maison mon gars. cursus universitaire : Études de journalisme, aka YUN TV bro. Pour tout dire, il était plutôt fort en maths avant, mais ça l'intéressait pas énormément de travailler toute sa vie avec des chiffres. Du coup, on lui a dit qu'il avait un profil qui correspondait du tonnerre avec du journalisme, alors il s'est lancé avec enthousiasme parce que ça avait l'air sympathique. Actuellement, il aime plutôt bien ça, mais ne sait toujours pas dans quoi il compte s'engager plus tard. Peut-être joueur pro, ça c'est cool. Ou Président de la République, who knows. métier : Ex-trafiquant de drogue durant son adolescence, il a bien vite fait d'arrêter tout ce manège sordide et de remettre fissa les pieds sur Terre en constatant qu'il ne s'agissait en rien de son monde. Après  tout, c'était rien qu'un gamin, à l'époque. Un peu con et bien trop influençable, un peu perdu et bienheureux dans son empressement de vivre, fallait pas trop lui en vouloir s'il mettait les pieds au mauvais endroit, au mauvais moment. Aujourd'hui, il a néanmoins promis d'effacer et de rattraper toutes ces histoires et erreurs de jeunesse, peu désireux de ressasser des fantômes du passé qui le hanteraient inutilement. Il bosse désormais avec Kwan Sun et des potes qu'ils ont en commun sur un big projet d'animateurs radio, et travaille à mi-temps en tant que serveur dans le café des parents de Go Bo Ni, alias le Let's Go. classe sociale : Lui qui veut s'improviser un peu globe-trotter et faire des road tripes de bg, c'est con parce qu'il est pas suffisamment riche pour ça (et peut-être bien un peu trop attaché à son chez-soi et sa famille pour bouger, fucking lazy caterpillar). À dire vrai, lorsque n'importe quelle opportunité incluant de se faire payer à manger par ses potes pointe le bout de son nez, disons qu'il dira presque jamais non. C'est pas de sa faute s'il est pauvre, le pauvre. Il deviendra riche plus tard, il sait qu'il a encore le temps. En attendant, il se débrouille avec son porte-feuille et ses économies, car fort heureusement, c'est pas catastrophique du tout. code du règlement : ok (neir.) tu veux t'investir ? OUI ALLEZ WSH

Askip voilà...
Quand il est content ou réussit quelque chose, il dégaine ce qu'on appelle la random dance attitude et se trémousse comme Michael Jackson, voire même encore mieux que lui #no shame (Ouais même que c'est vrai ça, pro du moonwalk inversé) + Il serait le number one fanboy de Kim Jung Hwa, mais genre en secret aux yeux du concerné un peu (Vérité dude, il danse trop bien ce mec, du coup il l'adore et le soutient souvent parce qu'il mérite vraiment son succès ! D'ailleurs, il lui dépose de temps à autre des lettres anonymes dans son casier, histoire de manifester son support et ses encouragements à son hyung) + Il aurait visité un nombre incommensurable de pays (Faux, seulement quelques-uns, et c'était durant une période où il se permettait de disparaître du jour au lendemain pendant plusieurs semaines. C'est là qu'il a réalisé que sa famille lui manquait un peu trop, et l'air de la Corée aussi. En attendant, il aimerait tout de même bien partir visiter d'autres contrées en mode explorateur de la night, il sait que tout ça ne fait que l'attendre et réfléchit consciencieusement à sa prochaine destination) + Il aurait déjà fumé et bu de l'alcool (C'est malheureusement vrai, et ça fait partie de ses mauvaises passes de jeunesse. Ça fait un bon moment qu'il s'est débarrassé de ça, car c'était surtout pour essayer et que ça n'est arrivé que pendant une année de son adolescence, notamment quand il est rentré au lycée. Il a longtemps regretté, avant d'oublier tout ça en se rattrapant et en devenant une personne meilleure) + Il serait bavard comme pas deux (Et comment ! C'est une personne naturellement heureuse et bruyante, conceptrice de blagues 50/50 et d'un peu de soleil dans votre vie. Même triste, il fera en sorte de ne pas le laisser transparaître) + Il aurait posté des commentaires désobligeants à plusieurs reprises sur le net (Pas vrai wsh) + Il serait incollable sur Star Wars (Pose-lui une question pour voir) + Il détiendrait le record de self-control sur LoL, soi-disant capable de ne pas s'énerver pendant une bonne tournée de parties jouées d'affilé (Archi faux, le roi pour souffler, soupirer et rager, c'est lui. Mais pas de panique, s'il doit rager, c'est tout seul et pas nécessairement sur les autres) + Il serait bon pote avec celle qu'on connaît comme étant la cousine éloignée des Armani, la rouquine Freya (Presque champion, c'est même carrément son BFF de la mort kitu en vrai, nobody can test)  + Il se baladerait presque tout le temps avec son super polaroid de poche, qu'il dégaine de temps à autre sans que personne ne s'y attende (Quasi vrai, mais si ça peut rassurer, il prend pas en photo les gens à leur insu, nice peace. C'est surtout parce qu'il y est très attaché. Et que c'est plutôt pratique, aussi)  + Il chanterait comme une casserole et ferait tomber la pluie à chaque fois (Calomnies, il aime plutôt bien pousser la chansonnette) + Il mettrait beaucoup de cœur dans ses priorités et dans tout ce qu'il juge d'intéressant et capable de recevoir de l'attention (True c'est un passionné) + Il aurait déjà braqué une banque par le passé (Absolument pas ! Qui est le malheureux ayant osé dire ça ?)
Survole l'avatar, petit coquin.
BUBBLY & GOOFY THUG LIFE
« tu sais ce que c'est un jedi sur internet ?
— non ?
— UN SITH WEB, AHAHAHAHAHA



Bae Yun Seong n'est pas un être compliqué à déchiffrer.
Il n'y a pas mille mystères à élucider sur sa personnalité ou sur sa façon de vivre la vie.
La vie, il se contente de la chérir et de toujours faire en sorte que la sienne soit heureuse. C'est ainsi qu'il clame n'avoir besoin de rien de plus, sur un de ces sourires timides qu'il dégaine tout le temps, lorsqu'on cherche obstinément à saisir sa philosophie personnelle. Ses airs extravagants auront l'attachante tendance à contraster avec ses idéaux simples et pacifistes, mais son cœur est bon et ses intentions, elles, sont la plupart du temps constamment remplies de bonne volonté.
Le paradoxe, pourtant, veut qu'il détienne un passé de débauche et de délinquance.
Peut-on vraiment faire confiance même au plus aimant, en sachant que ses insouciantes erreurs de jeunesse ont pu lui jouer des tours même à lui, le concerné ?
Yun Seong veut vous dire « oui ».
Pour son propre bonheur mais aussi pour ce genre de réflexions de la part d'autrui, il s'est constamment appliqué à gommer lentement mais sûrement les fautes qu'il a pu commettre, en purgeant continuellement son mal-être intérieur et en usant de sa nature déterminée pour toujours y croire. Il se dit que, dans la vie, il ne peut être heureux et épanoui que s'il y croit et qu'il se donne les moyens d'accéder à tout ce qu'il désirerait.
Sa vie est un long chemin semé d'efforts. Il n'a jamais cessé de travailler et de faire encore mieux qu'auparavant pour corriger les actes qu'il regrette sincèrement. S'il évite de ressasser ces épisodes du passé et qu'il se concentre essentiellement sur ses souvenirs les plus heureux, il ne souhaite pas non plus se voiler la face  en niant des choses qui ont pu se produire, simplement à cause du gosse influençable qu'il a pu être.
Yun Seong est un garçon ayant longtemps appris de ses faux pas. Si aujourd'hui, il renvoie l'image de quelqu'un de posé et peut-être même d'enviable, cela ne veut pas dire qu'il l'a toujours été.
Il n'y a pas sans doute pas de secret transcendant sur sa personnalité, mais sur lui-même, peut-être bien que si. Le fait est qu'il n'en parlera pas forcément de son propre chef ; sauf si, bien sûr, votre gentille curiosité vous amène à lui poser quelques questions.
Quoi que...
Ne vous étonnez pas trop si, sur son ton habituellement espiègle et relevant d'une blague ou d'un jeu de mot stupide, il vous demande dans la seconde si vous êtes flic ou faites partie de la police.
Ce ne serait que pure plaisanterie, bien entendu.
C'est un jeune homme très malin, taquin dans une cruauté sous-jacente, qui veille sur ses cadets et aime à recevoir de l'attention de ses aînés. Son sens de la loyauté, de l'amour en général, de la famille, du travail d'équipe et de l'acharnement verbalement affectif fait de lui une personne facile à vivre, agréable et bercé par les principes de la convivialité.
Principes qu'il s'est d'ailleurs promis de ne jamais mettre en péril. La valeur de rester soi-même en toutes circonstances semble tout particulièrement lui tenir à cœur.
Mais ne vous faites pas trop de soucis. Il lui arrive aussi d'être le plus agaçant des amis. Vous savez, ce pote chiant qu'on rencontre à peu près tous à un moment ou à un autre de notre vie, c'est typiquement lui. Moqueur dans le plus simple des apparats, l'humour, sa fausse nature sassy et princière disparaît bien vite sous les traits de son rictus amical et de son rire bordé d'amusement. Il ne faut pas lui en vouloir trop longtemps pour ça. Fort heureusement, il arrive à peu près à arrêter son manège juste à temps pour ne pas subir le courroux de la personne d'en face.
Si vous émettez le moindre excès de violence ou geste menaçant envers lui, ne vous surprenez pas de le voir se cacher derrière ses propres mains en riant un peu bêtement, vous implorant de lui laisser la vie sauve à lui, pauvre mortel mais rejeton de Bouddha pour autant. Vous aurez réussi à le calmer. Momentanément.
Son tempérament franc et sociable l'a souvent aidé à se faire des amis très rapidement et à rencontrer de nouvelles personnes, mais il ne compte pas le nombre de connaissances qu'il a vu s'éloigner lorsqu'il a cru bon de leur révéler ce si lourd fardeau qu'il ne peut désavouer pesant sur son cœur.
Gourmand, passionné, impulsif et peut-être un brin trop impatient pour attendre ne serait-ce que la plus petite chose, Yun Seong est un jeune homme aisément charmant, qui peine cependant à se confier librement sur ce qu'il a pu commettre par le passé.
Mais il ne baisse pas les bras, jamais.
Et au fond, c'est sans doute ça, le plus important.
That's who I am
make an effort not an excuse

don't want to be a boy, you want to be a man ; you want to stay alive, better do what you can

À dire vrai...
Je n'ai jamais été contre la société.
Pour tout dire, je ne suis ni de ces rebelles qui pensent pouvoir refaire le monde, ni de ces fameux marginaux, que vous rencontrez dans un endroit tout à fait banal ou, au contraire, plus insolite, et dont l'existence vous passe sous les yeux un bref instant. Oui, leur existence à eux, qui finit lentement mais sûrement par s'évader de vos souvenirs, toujours néanmoins jusqu'à une potentielle prochaine fois.
Enfin...
À vous d'en juger, du moins. Mais pour ce qui est de mon avis personnel, je ne me considère pas réellement en tant que tel.

Vous savez, pour moi, être libre ne veut pas forcément dire être un rebelle.
Personnellement, je n'ai jamais cherché à rentrer dans une case en particulier, ce qui doit sans doute pousser les gens à m’étiqueter un peu trop vite. L'idée de se rendre compte que l'on ressemble trop à ce que l'on est est terrifiante, en un sens. Vous ne trouvez pas ? Je suis un pacifiste, et c'est tout ce dont j'ai besoin de savoir. Mais je n'ai jamais aimé me prendre pour moi-même, et j'ai toujours préféré laisser ma véritable nature opérer avec les gens. Si les actes font la personne, alors je me plie néanmoins à cette case dans laquelle on me range.
Car après tout, qu'y a-t-il de si dramatique dans tout cela ?
Il y a bien plus grave à l'heure actuelle. Enfin... C'est ce que je me dis, pour être honnête. Il faut rester optimiste, en toutes circonstances.

Mais dans ce cas, selon la société, qui suis-je ?
Je suis un...
Je suis un hors-la-loi, dirais-je.
He, he. Vous ne vous y attendiez pas, pas vrai ? Ou, plutôt, vous vous attendiez à un tout autre terme, avouez-le moi.
Eh bien quoi ? Que je vous dise que je suis un vilain criminel ? Je pourrais voler votre cœur et vous le rendre juste après, ça, ce n'est pas le plus gros de nos soucis !
En fait, de ma vie, je ne me suis pas encore vu comme un criminel, et je ne pense pas que ça soit prêt d'arriver. À contrario, mon pays et le monde qui nous entoure me verraient surtout comme un hors-la-loi, s'ils savaient ce que j'ai pu faire par le passé (au final, une chance qu'ils ne le savent pas, pas vrai ? Et ne dites rien, ou je sors mon faux gun à billes rien que pour vous ! C'est une vraie menace, une menace de criminel). Un hors-la-loi, selon l'idée répandue, c'est quelqu'un qui... Quelqu'un qui enfreint les règles tout en ayant conscience que c'est mauvais, disons.
Un criminel...
Je ne vous fais pas de schéma. Mes dessins sont meilleurs.
Mais pour résumer, un criminel aura tendance à terroriser et à tuer des gens, et la définition tiendra plus du psychopathe armé de son revolver partout où il va, prêt à tirer sur n'importe quoi si cela peut alimenter le succès de ses objectifs.
Ce que je veux dire, à partir de tout ça, c'est que je ne suis pas de ce monde-là.

Et qu'en général, je n'ai jamais trop cru faire partie de ce monde-là, pour dire toute la vérité.
Mais, quand je dealais de la drogue, j’étais bel et bien un hors-la-loi. Pas un criminel.



Quand j'étais gosse, j'étais heureux. Je me savais innocent, et beaucoup de mes proches disent encore que je n'ai pas changé, que je suis resté cet éternel gamin passionné de tout et de rien. Je me souviens que je chantais et que je jouais un semblant de guitare, à l'époque. Quand j'étais tout excité de rentrer dans « la cour des grands », hahaha.
Pour la petite anecdote, on dit de moi que j'ai toujours eu une nature... Créative, curieuse. Je me prenais souvent pour Michael Jackson, ce qui avait le don de faire rire mes amis à n'importe quelle occasion et, pendant les pauses, je chantonnais en faisant des maths, ou bien j'essayais d'écrire des poèmes avec ma plume bourrée de fautes d'orthographe (dossier confidentiel). En vain, c'était vrai. Mais ma voix les faisait toutes hurler, y avait pas à dire.
Non, vraiment.
C'était définitivement une époque que je n'oublierai jamais. Mes années de jeunesse.
Bon... Ma coupe au bol et moi, on était plutôt très intègres à chaque classe que j'atteignais, c'est pour dire. J'aimais beaucoup aller à l'école, et j'ai toujours eu ce petit penchant très spécial pour rencontrer de nouvelles personnes et sociabiliser avec un peu tout l'établissement.
Je n'étais pas un cancre, détrompez-vous.
Juste ce rigolo, là, au coin de la classe, qui blague gentiment le prof' pour amuser la galerie et qui parle un peu trop dans tout son groupe d'amis pour ne pas se faire remarquer. Si j'avais mon propre côté romantique et cheesy par excellence qui attirait les filles, j'avais aussi cette face cachée du pervers plutôt discret, qui ne m'apportait en réalité que des pinçages d'oreille et des surnoms idiots.
Je me souviens surtout que j'aimais bien aider les gens un peu en difficulté ou un peu plus timides que le reste, en les mettant en avant ou en nouant des liens avec ceux qui restaient en retrait.
J'étais entreprenant, voilà. J'aimais mon quotidien et, plus que tout, je chérissais le monde qui m'entourait.



À l'école, je n'étais pas dans le top 3 des meilleurs élèves, mais je n'étais pas non plus tout en bas du classement.
Mais, entre nous, vous voulez la vérité ?
La vérité, c'est que je me débrouillais plutôt pas mal en maths, et que c'était de loin ma matière préférée devant les autres. Plutôt dur à croire, pas vrai ?
Mes parents, et même ma famille en général, n'ont jamais été de très gros matheux, sauf exceptions. Je crois bien qu'au début, ça les a surpris, de savoir que leur fils persistait dans une matière que les Bae abhorraient la plupart du temps.
Et très vite, c'est ainsi que j'ai hérité du surnom de calculatrice Coréenne, en cours comme dans mon cercle d'amis. Si, si. Déjà jeune que je n'avais pas droit au respect. Et si j'évite de dévoiler à tout va ce surnom aujourd'hui, je sais que je m'en souviendrai toujours.



Mais oui, c'est vrai ! La famille.
Un de mes sujets préférés.
À l'école, lorsque l'on me demandait où est-ce que je voulais voyager plus tard, je répondais souvent « un peu partout, mais sans pour autant quitter ma famille ».
Et je le pense toujours.
La famille, à mes yeux, c'est quelque chose d'important, qui comporte les personnes sur lesquelles je n'aurais jamais peur de compter. Depuis tout petit, j'y suis très attaché, c'est bien vrai. Et, si l'attention que l'on m'a fréquemment donné a souvent su me rendre dépendant et capricieux, j'ai progressivement appris à faire la part des choses, afin de toujours préserver des relations saines avec ma famille et mes géniteurs.
Les Bae on toujours le sens des priorités, et la plupart d'entre elles se trouvent justement chez les Bae.
D'ailleurs, je ne vous ai pas dit ! Il se trouve que j'ai aussi un grand frère qui, qui plus est, est de quatre ans mon aîné. Tout comme Yun Seong, le premier caractère de son nom est le même, et il s'appelle Yun Jae. Plus jeunes, je me souviens essentiellement qu'on se disputait souvent, soit pour des prétextes idiots typiques aux frères et à leurs manies, soit pour décerner le titre de chouchou des parents au plus méritant.
Pour vous faire une idée bien précise, lui et moi, c'était un peu les catcheurs ; le ring ; et la férocité des catcheurs par dessus tout.
On s'aimait avec les poings, clairement. Sans oublier avec les stratagèmes pour se piéger l'un comme l'autre.
Je pourrais ressortir l'anecdote du seau d'eau au dessus de la porte, mais...
Ma carrière de hors-la-loi ne commence bien heureusement pas encore ici.
Et puis, je vais lui faire une fleur, je vais passer ce malheureux événement sous silence. Il me tuerait s'il apprenait que je vous en parle.
Néanmoins, au fil du temps, notre relation a évolué et nous nous sommes bien entendus. En grandissant, nos liens se sont raffermis et nous nous sommes réellement affirmés en tant que frères de la fratrie.
Pour ce qui est de ma mère, elle...
Je ne sais pas trop quoi dire. Je dirais tout simplement qu'elle ne cuisine pas le samgyetang aussi bien que ma grand-mère, ça va de soit.
Blague à part ! Ma mère est très importante pour moi. Si je n'avais pas peur de cette expression, j'avancerais sans hésiter qu'il s'agit de la femme de ma vie. Je ne vais cependant pas prendre le risque de le dire, parce que c'est plutôt bizarre. Non ?
Quant à mon père...
Sa manie de se mêler de mes histoires de cœur m'ont longtemps rendu méfiant, notamment au moment où je suis rentré au lycée. Mais j'aurais du me douter plus tôt qu'il s'agissait, je cite, d'un « stratagème » de ma tante pour s'improviser « coach de séduction » envers son petit neveu.
Que dire, à part famille timbrée ?
Personnellement, je dirais Famille Bae.



and the whole world has to answer right now, just to tell you once again : who's bad


Lorsque j'ai terminé ma dernière année de collège, je n'ai pas dit au revoir à mes amis.
Tout naturellement, nous avions choisi un chemin semblable pour la suite.
Certes, nous avons célébré nos adieux avec le reste de notre classe, mais je sais que je ne pourrais pas effacer les autres de ma mémoire. Ce serait faire une croix sur le bonheur que je juge dorénavant si important à l'heure actuelle.
Car, au fond, tout ne s'est jamais trop passé comme prévu, sur cette voie que je ne pensais guère semée d'embûches et d'inattendus comme ceux que je m'apprête à vous conter.
Si au jour d'aujourd'hui, je suis celui que je suis, c'est bel et bien grâce à ces années qui se sont révélées être décisives dans le cours de ma vie.
Car, à cette période-là, j'ai finalement appris à faire des efforts.
J'ai appris qu'un claquement de doigts ou une réclamation immédiate n'apportaient pas toujours le pain directement dans le creux de notre main.
J'ai appris, de cette manière, que le proverbe « dans la vie, on ne peut pas tout avoir » était faux.
Dans la vie, on peut tout avoir. Du moins, je le pense, car j'ai découvert que l'on pouvait avoir tout ce que l'on voulait, dans la mesure où l'on s'en donnait les moyens et où l'on y croyait dur comme fer.
D'un point de vue théorique, il n'y a rien que je ne puisse pas faire, si ce n'est grandir en taille, je l'admets (car malheureusement, je ne suis pas né bien grand. C'est regrettable, pas vrai ?). J'ai toujours su que je pouvais accéder à ce qui me faisait le plus envie, seulement si je travaillais et si j'exécutais sur moi-même un travail psychologique, et seulement si je me rendais compte qu'en réalité, je ne voulais qu'être heureux.
Oui. C'était ça, que je voulais. Mais à cette époque, je ne le savais pas encore.
En fait, je dirais même que tout a changé seulement après.
Voire un peu tardivement, à dire vrai.



Je n'avais pas changé.
Et ce qu'il faut bien comprendre, c'est qu'au fond de moi, je ne considère pas avoir changé.
Mais mes années de lycée n'ont pas toujours été parfaitement belles et fructueuses en toutes circonstances, comme on pourrait néanmoins se risquer à le croire. Mes amis me décrivaient comme un garçon populaire, facile à vivre et ouvert, mais le mariole que j'étais n'avait toujours pas disparu.
Seulement, lorsque l'adolescence nous frappe, on a tendance à perdre nos repères, à se laisser voguer insouciamment sur cette mer agitée et imprévisible que devient notre quotidien. C'est un fait pour beaucoup de personnes.
Mais je n'étais pas intouchable, et encore moins à l'abri, malgré ce que je pensais. J'étais influençable, bercée par toujours plus de lendemains inespérés et d'aventures que moi-même ignorais, en tant que lycéen plongeant tout juste dans l'écume pourtant si attirante dans le mystère qu'elle suscitait continuellement.
Le problème, c'est que je ne pouvais pas m'en rendre compte. Faute à mon manque de vécu et à ma jeunesse qu'au fond, je ne peux pas réellement blâmer.
Ainsi, j'ai été pris au piège. Du jour au lendemain, sans que je ne puisse comprendre pourquoi, j'ai sombré. Enlisé sous des vagues torrentielles, je n'ai pas su remonter à la surface tout juste à temps.
Et aujourd'hui encore, dire que je ne regrette pas ces choix de vie serait me mentir à moi-même.




J'avais 15 ans et demi quand j'ai découvert ce milieu.
Le monde de la drogue, ce portrait si proscrit qu'on nous apprend à bannir de nos idéaux et de notre quotidien dès lors l'âge de la raison à peine atteint.
Un jour, on m'a proposé d'essayer. Seulement une taffe, rien de plus. Dans un endroit où l'on ne suspecterait ni lui, ni moi, à l'abri des regards et dans l'indifférence la plus générale qui soit.
Je ne sais pas exactement pourquoi, mais j'ai dit oui. Peut-être parce que j'avais envie d'essayer. Peut-être parce que j'étais curieux ou, peut-être parce que j'étais jeune et sacrément con, je ne sais pas. Aujourd'hui encore, je cherche la réponse à cette question.
Toujours est-il que je n'ai pas aimé, mais que je n'ai pas non plus détesté. Seulement, à demi-conscient, j'ai accepté de continuer. D'essayer un peu plus, pour voir ce que ça faisait et, éventuellement, pour savoir si je finirais par accrocher.
C'était un passe-temps, quelque chose que je découvrais ; un interdit que l'on clamait tout haut et si souvent qu'il en devenait presque satisfaisant de le braver.
Et très vite, je n'ai plus cessé.



Ces types devaient avoir la vingtaine, mais ils ne m'ont pas réellement demandé mon avis pour m'embrigader.
Je ne sais pas comment le processus a pu se faire sans que je ne puisse m'en rendre compte, mais j'ai pénétré dans ce monde si énigmatique et si sombre d'une seconde à l'autre, comme si ça n'aurait en réalité jamais eu lieu d'être. Je sais que je n'aimais pas ce genre de choses, pour tout dire. Au début, je ne m'y sentais pas bien, et de voir ces personnes m'entraînant avec eux dans leur décadence en voulant faire de moi leur espèce de novice me laissait perplexe.
J'avais hésité à fuir.
Et je pensais à eux :  à ma famille, à mes amis, au personnel du lycée et tout bonnement à moi, à ma personnalité que je n'avais aucun mal à définir, celle que je savais lumineuse et peu propice à un univers si fermé et si obscur que celui-ci.
Mais encore une fois, j'ai accepté.
Tête baissée, je n'ai pas osé dire non devant ces gens et me suis plié à la condition de devoir faire comme si j'étais quelqu'un d'autre.
Dégoûtante condition, que j'ai fini par abhorrer plus que tout au monde.
À partir de là, j'étais devenu un délinquant. Un hors-la-loi. Ce genre de mec qu'on ne voudrait voir que derrière les barreaux, parce qu'ils enfreignent les règles et se font tout naturellement mal voir par la société.
J'étais jeune. Bien élevé, au sens de l'humour plus qu'affirmé et à la personnalité bienveillante et joueuse que l'on me connaissait tant.
Pourtant, j'ai eu petit à petit l'impression de noyer cette part de moi-même dans des eaux sales et profondes, dont je n'arrivais même pas à distinguer le fond.
J'étais en train de me détruire parce que je ne voulais pas décevoir autrui. J'avais accepté de trafiquer de la drogue avec eux, parce que je craignais d'éventuelles représailles.
J'ai mis de côté la chose la plus importante de ma vie parce que j'étais un ignorant, littéralement. Je ne savais tout simplement pas dans quoi je m'embarquais.



do you think of me?  of what we used to be?


Je suis vite devenu dealer, même si j'ai arrêté de boire et de fumer l'année suivante. Je faisais ça pour eux. Pas pour moi, mais pour eux. Ça ne m'apportait rien de faire tout ça, et même si j'en avais l'intime conviction, je continuais de me taire et de ramper à l'intérieur de ce cercle infernal. Je n'avais pas encore assez de poigne pour m'imposer et tout claquer, car avec des gens de cette tranche d'âge, tout devenait forcément plus compliqué.
Lorsque j’ai commencé à traîner avec eux, ils dealaient de la marijuana et du LSD. J'ai suivi l'exemple, même si j'ai plusieurs fois refusé d'en consommer. Pendant que je ramenais de l'argent, eux se défonçaient impunément, même ceux qui n'étaient pas fournisseurs.
C'était à n'en rien comprendre. Un train de vie tourmenté, qui ne me correspondait pas et qui me rendait plus malheureux qu'autre chose.
Mais le jour où je faillis avoir de gros problèmes vint. Évidemment, je m'en souviens comme si c'était hier.
Et puis...
Et puis, il y a eu elle.



Elle m'a sauvé la peau, et je lui devais une fière chandelle. Je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance, et encore moins qui elle était, mais j'ai bien vite fait d'apprendre qu'elle faisait partie des réseaux aux alentours, et qu'elle-même trempait dans des histoires peu nettes qui ne faisaient en réalité que me donner la nausée.
Une chance pour moi.
Et même, la chance de ma vie, si je ne m'abuse : celle de l'avoir rencontrée.
Celle d'avoir rencontrée Reeva, oui. Celle d'être tombé sur elle à ce moment-précis, d'avoir pu croiser accidentellement son regard autrefois empreint d'un motif dont je ne saurais guère me souvenir aujourd'hui. Mais ses yeux étaient particuliers, très particuliers.
Et le lien que nous avons tissé le fut tout autant.
Parce qu'elle m'a sauvé la peau, j'ai fait la promesse d'en faire de même pour une prochaine fois. Par le plus grand des hasards, nous nous sommes ensuite retrouvés quelques mois plus tard dans le même trafic, et nous avons été associés en tant que duo pour organiser nos magouilles communes.
Très honnêtement, je ne savais toujours pas ce que je foutais là, et ce n'était pas l'envie de m'en aller qui me manquait.
En fait, dans un sens, je n'avais en aucun cas perdu des bribes de ma personnalité. C'était juste que ce genre de comportement n'était pas très recommandé, dans des coins aussi louches que ceux-ci, alors je m'exprimais comme si de rien n'était au lycée, comme le Yun Seong que j'avais toujours été, et reprenais en réalité ma couverture de hors-la-loi lorsqu'il me l'était demandé.
Reeva ?
Je n'avais pas confiance en elle.
Mais je n'avais confiance en personne, c'était dire. Je ne parlais pas aux autres, et refusais subtilement toute proposition de « défonçage » à n'importe quelle heure de la journée.  Se laisser embrigader était une chose, se laisser changer en était une autre. Je jugeais m'être assez fait avoir comme ça.
Mais Reeva...
Plus je traînais avec elle contre mon gré, plus j'apprenais à collaborer et à travailler avec elle. Je n'étais pas le Yun Seong enjoué, civilisé et taquin que j'étais réellement en présence de tous ces voyous mais, avec Reeva, quelque chose différait, sans que je ne puisse pour autant mettre de termes bien précis là-dessus.
J'avais envie d'être moi, je crois bien.
Le fait qu'elle m'ait sauvé quelques mois plus tôt me laissait d'ores et déjà un brin plus à l'aise en sa présence.
Mais lorsque ce fut à mon tour de lui sauver la mise, il y eut comme un flash entre nous, une espèce d'attraction très forte qui n'attendait que le bon moment pour engendrer cette symbiose qui nous reliait inconsciemment.
Non seulement elle est très rapidement devenue importante pour moi, d'une manière que je n'aurais bel et bien jamais soupçonnée...
Mais en plus, elle a su me démontrer par sa simple présence que dans le mal, on ne trouvait pas systématiquement que du mal.



Et très vite, nous sommes devenus amis. Lorsque je revêtais mon masque de brigand au grand cœur, je passais la plupart de mes journées avec elle. Elle seule connaissait ma véritable nature, et moi seul connaissais les quelques secrets qu'elle renfermait douloureusement sous sa poitrine.
Mes parents et le reste de ma famille ne semblaient pas se douter de quoi que ce soit quant à ma deuxième vie et, aussi peiné et confus j'étais de leur mentir et d'inventer des prétextes, je remerciais les dieux de pouvoir bénéficier d'une crédibilité assez grande pour ne pas me faire attraper.
Néanmoins, je prenais petit à petit conscience que ce n'était absolument pas moi, de continuer quelque chose contre mon gré ; quelque chose qui, qui plus est, était puni par la loi - moi qui respectais tant les codes de notre société, en bon Coréen bien élevé que j'étais.
Si Reeva se moquait gentiment de moi, je lui rendais la pareille, mais songeais intérieurement au fait que tout ça n'était plus de mon revers.
Pourtant, inéluctablement, j'ai tout de même fini par me demander ce qui me retenait tant dans ce monde à l'exact opposé de celui que je convoitais.
Car je ne me droguais pas. Je n'avais pas besoin d'argent à mon âge et, par dessus tout, je n'étais pas une crapule dans l'âme.
Alors, je me suis assis un instant, et je me suis longuement posé la question.
Néanmoins, c'est à ce moment-là que je me rappelle avoir entendu la voix puissante de Reeva, qui m'indiquait tout bonnement de la suivre.
Et puis, déclic.



who can tell what magic spells we'll be doing for us? and I'm giving all my love to this world, only to be told



Pourquoi est-ce que j'ai fini par m'attarder là-bas, vous dites ?
Hm...
Au fond, je n'en ai pris conscience que tardivement, mais je savais que quelque chose de plus influent encore me retenait.
Et, lorsque j'ai appris pour la soudaine disparition de Reeva, j'ai su, à ce moment bien précis, que plus rien n'était en mesure d'échapper à mon contrôle.
Pourquoi ça, he he ? Je parie que c'est la question que vous vous posez en ce moment-même.
Mais tout simplement parce que ma grande amie, à laquelle j'avais fini par m'attacher et pour qui j'aurais continué encore longtemps si cela nous permettait de ne pas perdre le contact, était devenue le seul et unique prétexte pour lequel j'acceptais encore de faire semblant.
Du jour au lendemain, Reeva s'en est allée. Sans prévenir personne, sans même mettre au courant les gars du trafic, elle s'est envolée comme poussière au vent.
La conclusion de sa mort fusait un peu partout dans les réseaux.
Et moi, j'étais dévasté.



J'ai fini par tout lâcher, inévitablement.
Au contraire des autres trafiquants, je n'en avais pas rien à foutre de ma vie, de mes proches, de ma famille et de la société qui m'avait vu naître et qui s'était glissée dans mes principes.
Non, moi, je me fichais éperdument de ces histoires de drogues et de cet argent si abondant qui finissait illégalement dans les poches des hors-la-loi. Moi qui étais de nature spontanée, je ne pouvais aller à l'encontre de mes pensées, elles qui me criaient inlassablement que tout cela ne relevait absolument pas du mérite. Qui me répétaient que, si je souhaitais devenir riche un jour, ce ne serait très certainement pas en faisant déshonneur au nom que je portais, mais en donnant essentiellement de moi-même et en faisant les efforts les plus vrais et les plus justes que j'étais en mesure de fournir.
Mes erreurs de jeunesse m'ont guidé sur un chemin que j'ai très vite voulu rebrousser. Pire encore, j'avais toutes les raisons du monde pour m'en aller et faire une croix sur cet épisode regrettable de ma vie.
Et Reeva en faisait partie.
Reeva, c'était la personne pour qui je faisais des efforts, pour qui je refusais de ne pas fuir.
Reeva, c'était...
Ce mince filet de lumière qui perce les ténèbres, vous évitant de justesse de vous perdre dans le noir le plus complet. Celui qui, certes, vacille de temps à autre dans l'obscurité, mais finit toujours par éclairer un peu de votre route.
À la rumeur de sa mort, je n'ai pas voulu y croire.
Je crois même que, en l'apprenant, j'ai rigolé.
J'ai rigolé parce que je n'y croyais pas. J'ai rigolé parce qu'intérieurement, je m'effondrais.
Et quelques jours plus tard, mon chagrin éclatait.
Ainsi, pendant un laps de temps où je laissais ce deuil s'exprimer, je n'étais plus le garçon d'ordinaire si énergique, chaleureux et farceur que j'avais en fait toujours été.
Alors, j'ai fini par tout lâcher, inévitablement.



Je ne suis pas un criminel, je suis un hors-la-loi. Un hors-la-loi qui aime plus que de raison le monde qui l'entoure, aux jeux de mots tranchants et aux sourires infiniment gluants, mais un hors-la-loi quand-même.
C'est là tout le paradoxe de la chose. Au jour d'aujourd'hui, et à la seule force de ma volonté, j'ai fini par rattraper toutes ces histoires nuisibles. À mes yeux, tout cela fait désormais partie d'un passé lointain.
Après avoir mis un terme à ce quotidien de délinquance, je me suis entièrement focalisé sur mes études, et ai tenté de reprendre un rythme de vie normal et semblable à celui que j'avais auparavant.
Ça a marché, parce que j'ai fait des efforts et parce que je l'ai voulu, du plus profond de mon cœur.
À contrario, je n'ai jamais pu oublier. Comme une part de moi, cette expérience est restée gravée quelque part dans ma mémoire, de telle sorte à ce que je ne puisse pas me voiler la face malgré tout.
Je ne suis pas rebelle, je suis libre.
J'aime la vie et je n'ai jamais cessé de le faire.
Une fois que l’on me donne une charge, un travail à accomplir, je le fais à fond, et jusqu'au bout. En ce sens, oui, j'ai relevé le défi d'être un hors-la-loi, à défaut d'avoir été Yun Seong avant et après les faits.
Un pacifiste.
Et, par dessus tout, je crois bien préférer les maths au monde de la drogue. Si, si.



Plusieurs années se sont écoulées, et j'ai grandi.
Je pense avoir mûri après plusieurs événements plutôt importants durant mon adolescence. Je n'irai peut-être pas jusqu'à dire que je suis complètement mature, puisque je ne refuse jamais d'apprendre et de découvrir de nouvelles choses.
J'ai voulu me rattraper. J'ai voulu devenir une « bonne personne », comme on nous l'apprend si bien dans notre société actuelle qu'est celle de la Corée.
Alors, je n'ai plus jamais laissé qui que ce soit tenter de dérober mon sourire loin de moi.



Et un beau jour, c'est arrivé.
En franchissant précipitamment les portes battantes d'un hôpital, le souffle court et le palpitant douloureux de trop de battements ratés, je l'ai rencontrée.
Elle et ce motif si secret mais si familier à la fois, qui tourbillonnait délicatement dans ses orbes d'olive.
Freya.

About me
Je suis...

Kernel

DU LOVE PAR PACKS DE BOUTEILLE VOIRE MÊME PAR TRACTEURS FERROVIAIRES SUR VOUS LES KIDZ :oo:  :oo:  :oo:  :y:  :heart:
Stay fab.


Célébrité prise

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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 15:12
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faiblesse. faiblesse, shoot anonymous. anonymouuuus



oui j'suis trop fier de moi avec celle-là, ok :((((


Journaliste :oo: tu seras pote avec Tae In alors !


Re-bienvenue? :y: :y: :y:
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 15:18
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JOURNALISME BROOOOOOOOOOOOOOOOO ! :bago:

Oh, j'crois qu'y a moyen qu'on fasse une team là :hot:

Et si Naru te déteste alors jtm :cute:
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 15:23
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minhyuk me fait trop de l'oeil, ça me perturbe :erm:

bienvenue en tout cas avant qu'il y ait une déferlante de commentaires sur ta fiche!
je suppose que raï aurait au moins entendu parlé de toi si tu es le bff de sa cousine éloigné (anciennement sa soeur :erm:)
j'aime bien le début de ta fiche déjà alors hâte de lire le reste!
bon courage!
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 16:29
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(re?)bienvenue parmi nous :cute: :han:
Bon courage pour ta fiche, have fun surtout :shy:
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 17:00
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OMG FAUDRA QU'ON SE TROUVE UN LIEN ENTRE EX TRAFIQUANT ET EX DROGUEE :hot: :hot: :hot: :han:

BIENVENUE ET BON COURAGE POUR TA FICHE BAEYUNNER SON EX :heart: :heart: :heart:
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 17:04
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OMO MOI AUSSI JE VEUX UN LIEN AVEC MOMO SI T'AS ETE TRAFIQUANT AVANT !
Bon du coup moi je te dis aussi BIENVENUE ou re . . . franchement là j'ai un gros doute :oo:
et puis . . . . voilààà il a l'air trop cool ton perso en vrai (non pas qu'il avait l'air trop nul hein #sors#) et je te réserverai peut-être un autre accueil encore plus émoustillé en fonction de ta réponse mon p'tit :y:
sur ce HAVE FFUUUUNNNNNNN :love:
Invité
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 17:39
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bienvenue parmi nous et très bon choix de vava :heh:
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 17:53
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ESPÈCE
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | Jeu 12 Jan - 17:54
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DE
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Re: BAE YUN SEONG ♚ FITE ME IN REAL LIFE M8 | 
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