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:: Le reste du monde :: Séoul :: Myeongdong :: Bon Appétit
you're colored in orange again ((woo sik))
Noh Kyu Min
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Célébrité : kim sunoo ((enhypen))
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Re: you're colored in orange again ((woo sik)) | Ven 1 Sep - 23:25 Citer EditerSupprimer
@Nam Woo Sik
A la mention des sports, tu plissas quelque peu le nez, peu motivé à l'idée de te lancer. Le yoga te semblait compliqué. Pas que tu sois pas flexible mais tu voulais pas te casser un truc. Tu pensais la même chose pour le pilates et la muscu... « Non je sais mais... », tu te pinças un peu les lèvres, bougeant les épaules, supposant que t'aurais bien besoin de t'y mettre. Non ? On te supposait toujours sportif, tu ignorais pourquoi. Tu n'avais rien de sportif, t'aimais pas spécialement ça le sport. T'aurais bien besoin de t'y mettre cependant. « Je pense aussi », murmuras-tu lentement. Car comme les enfants, ils ne demandaient rien, juste de l'attention et ils n'avaient que de la tendresse. De manière générale tu ne comprenais pas comment il était possible de faire du mal à un autre être humain volontairement. Alors à un animal, tu comprenais encore moins. « C'est gentil », que tu dis dans une esquisse. « Parfois ça me donne juste l'impression que c'est pas intéressant », que tu l'étais pas non plus, par la même occasion. Mais sous le regard de Woo Sik tu te sentais un peu plus conscient de ta propre présent, de battements de ton propre cœur. Tu te sentais plus ancré dans la réalité. Une réalité que tu avais pourtant essayé de fuir, que tu tentais de fuir. Une réalité que tu voulais oublier – et Woo Sik te donnait envie de t'y intéresser, d'apprendre à connaître, savoir, savourer, profiter. Apprendre à vivre. Et dans ses yeux tu te sentais plus humain, plus homme que tu ne pouvais l'être. « Ca dépend ? Ca dépend de quoi ? », vins-tu chuchoter. Etait-ce une bonne chose alors ? Ou au contraire ce n'était là que quelque chose de mauvais ? Quelque chose que tu ne devrais pas ressentir ? Etait-ce mal d'être un peu égoïste ? D'avoir son attention uniquement vers toi comme en ce moment ? Etait-ce mal de vouloir te sentir vivant, et surtout apprécié ? Comme si tu avais l'impression de ne plus avoir vécu dans le regard de quelqu'un de cette façon depuis bien longtemps. « Non », dis-tu doucement, les pupilles perdues dans les siennes. Pourquoi le trouverais-tu bizarre ? S'il l'était, tu l'étais encore plus. Tu clignas quelque peu des paupières, le contact cessant les battements de ton cœur alors que la température de tes joues grimpait. Le coin de tes lèvres vint doucement se hausser, ton palpitant reprenant furieusement, cognant de tendresse. Tu redressas timidement le regard, l'esquisse toujours présente, les pommettes finement relevées et totalement colorées, les prunelles brillantes. Tu te mordis la lèvre pour retenir un sourire trop grand, la frimousse gênée mais contentée – illuminée, alors que tu venais envelopper ses doigts des tiens, l'affection sur la peau alors que tu les serrais – que tu t'y accrochais. Comme si tu t'accrochais à ses mots, à son regard. Les traits marqués par l'hésitation, et la timidité, tu vins tendrement l'imiter, déposant tes lèvres sur sa joue comme l'échange d'une promesse, la signature posée. Dans l'absolu, tu n'étais pas bien sûr de savoir ce que ça voulait dire mais tu savais une chose : il ne te détestait pas. Et c'était déjà beaucoup. « Merci », que tu chuchotas doucement, le regard brillant – humide, tombant sur vos mains alors qu'un sourire venait se poser sur ta bouche. « Ca veut dire que je peux continuer de venir ici.. pas vrai ? », tentas-tu, les prunelles se levant et s'abaissant au fil des mots. « Et qu'on peut se voir en dehors du restaurant ? », continuas-tu, l'espoir dansant dans les syllabes en même temps que ton regard se redressait vers le sien. Ca voulait dire que tu pouvais rester, apprendre à le connaître et surtout lui permettre de te connaître. Pas vrai ? « Est-ce que... », repris-tu, tes doigts serrant les siens, comme pour demander si tu pouvais rester ainsi. Si tu pouvais répéter le geste demain, après-demain – les jours suivants. Lui tenir la main, s'y accrocher comme pour te rappeler ce moment. « C'est pas bizarre ? », le questionnas-tu finalement, tes phalanges refusant de lâcher les siennes. Par peur, cette fois, qu'il dise soudainement que oui, c'était étrange.

A la mention des sports, tu plissas quelque peu le nez, peu motivé à l'idée de te lancer. Le yoga te semblait compliqué. Pas que tu sois pas flexible mais tu voulais pas te casser un truc. Tu pensais la même chose pour le pilates et la muscu... « Non je sais mais... », tu te pinças un peu les lèvres, bougeant les épaules, supposant que t'aurais bien besoin de t'y mettre. Non ? On te supposait toujours sportif, tu ignorais pourquoi. Tu n'avais rien de sportif, t'aimais pas spécialement ça le sport. T'aurais bien besoin de t'y mettre cependant. « Je pense aussi », murmuras-tu lentement. Car comme les enfants, ils ne demandaient rien, juste de l'attention et ils n'avaient que de la tendresse. De manière générale tu ne comprenais pas comment il était possible de faire du mal à un autre être humain volontairement. Alors à un animal, tu comprenais encore moins. « C'est gentil », que tu dis dans une esquisse. « Parfois ça me donne juste l'impression que c'est pas intéressant », que tu l'étais pas non plus, par la même occasion. Mais sous le regard de Woo Sik tu te sentais un peu plus conscient de ta propre présent, de battements de ton propre cœur. Tu te sentais plus ancré dans la réalité. Une réalité que tu avais pourtant essayé de fuir, que tu tentais de fuir. Une réalité que tu voulais oublier – et Woo Sik te donnait envie de t'y intéresser, d'apprendre à connaître, savoir, savourer, profiter. Apprendre à vivre. Et dans ses yeux tu te sentais plus humain, plus homme que tu ne pouvais l'être. « Ca dépend ? Ca dépend de quoi ? », vins-tu chuchoter. Etait-ce une bonne chose alors ? Ou au contraire ce n'était là que quelque chose de mauvais ? Quelque chose que tu ne devrais pas ressentir ? Etait-ce mal d'être un peu égoïste ? D'avoir son attention uniquement vers toi comme en ce moment ? Etait-ce mal de vouloir te sentir vivant, et surtout apprécié ? Comme si tu avais l'impression de ne plus avoir vécu dans le regard de quelqu'un de cette façon depuis bien longtemps. « Non », dis-tu doucement, les pupilles perdues dans les siennes. Pourquoi le trouverais-tu bizarre ? S'il l'était, tu l'étais encore plus. Tu clignas quelque peu des paupières, le contact cessant les battements de ton cœur alors que la température de tes joues grimpait. Le coin de tes lèvres vint doucement se hausser, ton palpitant reprenant furieusement, cognant de tendresse. Tu redressas timidement le regard, l'esquisse toujours présente, les pommettes finement relevées et totalement colorées, les prunelles brillantes. Tu te mordis la lèvre pour retenir un sourire trop grand, la frimousse gênée mais contentée – illuminée, alors que tu venais envelopper ses doigts des tiens, l'affection sur la peau alors que tu les serrais – que tu t'y accrochais. Comme si tu t'accrochais à ses mots, à son regard. Les traits marqués par l'hésitation, et la timidité, tu vins tendrement l'imiter, déposant tes lèvres sur sa joue comme l'échange d'une promesse, la signature posée. Dans l'absolu, tu n'étais pas bien sûr de savoir ce que ça voulait dire mais tu savais une chose : il ne te détestait pas. Et c'était déjà beaucoup. « Merci », que tu chuchotas doucement, le regard brillant – humide, tombant sur vos mains alors qu'un sourire venait se poser sur ta bouche. « Ca veut dire que je peux continuer de venir ici.. pas vrai ? », tentas-tu, les prunelles se levant et s'abaissant au fil des mots. « Et qu'on peut se voir en dehors du restaurant ? », continuas-tu, l'espoir dansant dans les syllabes en même temps que ton regard se redressait vers le sien. Ca voulait dire que tu pouvais rester, apprendre à le connaître et surtout lui permettre de te connaître. Pas vrai ? « Est-ce que... », repris-tu, tes doigts serrant les siens, comme pour demander si tu pouvais rester ainsi. Si tu pouvais répéter le geste demain, après-demain – les jours suivants. Lui tenir la main, s'y accrocher comme pour te rappeler ce moment. « C'est pas bizarre ? », le questionnas-tu finalement, tes phalanges refusant de lâcher les siennes. Par peur, cette fois, qu'il dise soudainement que oui, c'était étrange.
vmicorum.
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scorching sun show me the way
Nam Woo Sik
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Re: you're colored in orange again ((woo sik)) | Lun 18 Sep - 22:14 Citer EditerSupprimer
@Noh Kyu Min
"Mais … ? " Si l’envie n’y était pas, que seule la pression sociale le poussait alors il valait mieux qu’il ne commence aucun sport. Histoire de ne pas se traumatiser d’un. Cela pouvait apporter des blocages, autant tester quelque chose pour s’amuser au lieu de penser aux autres et leur beau discours pour les jeux olympiques et réseaux sociaux. Si les gens pouvaient s’occuper de la condition animale, ou bien même de cette méchanceté gratuite envers les humains, le monde serait bien mieux. Seulement vous étiez une poignée à vous en soucier. Les autres se complaisant en écrasant ceux qui les entouraient. Prendre le temps de découvrir ce qui les effrayait, ce qui les rendait vulnérable, ce qu’ils aimaient ou détestaient. Une manière d’apprendre à connaître les gens. Cependant personne ne prenait le temps, blessant sans cesse ceux qui se retrouvaient face à eux. "Les gens ne savent pas interagir. Ils pensent à leur personne en oubliant le reste. L’argent, la carrière… le statut social. en gros ce qu’ils peuvent tirer de toi. " Le nez froncé tu préférais l’indifférence, mais pour Kyu Min elle blessait tout autant. " Je te trouve très intéressant. "Appuyais tu, le sourire aux lèvres comme une promesse. Il donnait envie de s’intéresser, de découvrir tout ce qui lui passait par la tête. Comprendre ses passions, mais aussi ses regards, parfois éteints, parfois si lumineux qui te donnaient envie de sourire. Kyu Min avait ce pouvoir sur toi, de vouloir tout arrêter pour le regarder. Une gestuelle hypnotique qui venait te faire perdre la tête, jusqu’à en oublier les conventions de ce pays. Ce qu’ils pensaient, croyaient. Mais surtout à laisser place à l'égoïsme. Ce que tu ressentais, ce qu’il ressentait. Tout cela passait avant tout le reste. " Parfois c’est avec de mauvaises intentions.. mais je doute que tu aies de mauvaises intentions. " Affirmais-tu, la voix toujours aussi basse, enrobant cette bulle dans laquelle vous étiez. Une qui vous protégeait de l’extérieur, mettant de côté tout ce que vous connaissiez. Rien ne servait d’imaginer le monde de dehors. Ici rien ne pouvait vous arriver, et c’était avec cette sûreté que tu t’ouvrais. Que chaque geste devenait plus osé que le précédent. Des lèvres contre sa peau, l’espace de quelques secondes, assez pour te donner cette impression que tu le connaissais bien mieux. Assez pour sentir les siennes te rendre la pareille, les lèvres étirées dans une joie sourde qui venait bourdonner contre tes oreilles. Le palpitant bondissant presque trop fort, remplissant la pièce d’une symphonie particulière. Les doigts se mêlant pour se serrer, apprécier la chaleur et la présence de l’autre dans un silence doucement rompu. " Bien sûr.. tu as toujours été le bienvenu. "Jamais tu n’avais pensé le mettre à la porte, au contraire. L’idée de pouvoir apprécier sa compagnie en dehors faisait grandir le sourire sur ton visage. " Autant de fois que tu veux. " Cinéma, café, autre restaurant, promenades. Tu avais une centaine d’idées qui trainaient. Mais qui demandaient avant tout de parler. La déception trop proche de cette joie qui côtoyait ton organe vital. Rien n’était pire que la déception d’espoirs trop longtemps portés. Quand bien même vos mains restaient accrochées comme si leur place avait toujours été ainsi, tu gardais ce doute qui sommeillait. Tout comme il le soulignait avec douceur dans une voix sûrement inquiète. S’il te fallut quelques secondes pour briser le silence, tes doigts eux, ne se détachèrent pas. "Kyu Min.. est-ce que tu… hm. Est ce que tu aimes les hommes ? " Étrange, c’était plutôt toi. Persuadé de t’ouvrir sans lui avouer la vérité. Il trouvait peut-être tout cela étrange lui-même. Blâmer ton absence pour la France aurait pu te sauver mais tu voulais jouer l’honnêteté. Espérant ne pas voir la déception dans ses pupilles. "Moi oui. Enfin, les deux. Pour être honnête je me fous du sexe de la personne. " Le souffle reprenant, avec lui, l'anxiété, tu cherchais tes mots. Soudainement muet. " Je voulais pas te le cacher.. mais c’est pas le truc que je dis facilement.. " Avouais tu, les pupilles se redressant lentement vers les siennes, le coeur battant d’une angoisse sourde mais présente.
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"Mais … ? " Si l’envie n’y était pas, que seule la pression sociale le poussait alors il valait mieux qu’il ne commence aucun sport. Histoire de ne pas se traumatiser d’un. Cela pouvait apporter des blocages, autant tester quelque chose pour s’amuser au lieu de penser aux autres et leur beau discours pour les jeux olympiques et réseaux sociaux. Si les gens pouvaient s’occuper de la condition animale, ou bien même de cette méchanceté gratuite envers les humains, le monde serait bien mieux. Seulement vous étiez une poignée à vous en soucier. Les autres se complaisant en écrasant ceux qui les entouraient. Prendre le temps de découvrir ce qui les effrayait, ce qui les rendait vulnérable, ce qu’ils aimaient ou détestaient. Une manière d’apprendre à connaître les gens. Cependant personne ne prenait le temps, blessant sans cesse ceux qui se retrouvaient face à eux. "Les gens ne savent pas interagir. Ils pensent à leur personne en oubliant le reste. L’argent, la carrière… le statut social. en gros ce qu’ils peuvent tirer de toi. " Le nez froncé tu préférais l’indifférence, mais pour Kyu Min elle blessait tout autant. " Je te trouve très intéressant. "Appuyais tu, le sourire aux lèvres comme une promesse. Il donnait envie de s’intéresser, de découvrir tout ce qui lui passait par la tête. Comprendre ses passions, mais aussi ses regards, parfois éteints, parfois si lumineux qui te donnaient envie de sourire. Kyu Min avait ce pouvoir sur toi, de vouloir tout arrêter pour le regarder. Une gestuelle hypnotique qui venait te faire perdre la tête, jusqu’à en oublier les conventions de ce pays. Ce qu’ils pensaient, croyaient. Mais surtout à laisser place à l'égoïsme. Ce que tu ressentais, ce qu’il ressentait. Tout cela passait avant tout le reste. " Parfois c’est avec de mauvaises intentions.. mais je doute que tu aies de mauvaises intentions. " Affirmais-tu, la voix toujours aussi basse, enrobant cette bulle dans laquelle vous étiez. Une qui vous protégeait de l’extérieur, mettant de côté tout ce que vous connaissiez. Rien ne servait d’imaginer le monde de dehors. Ici rien ne pouvait vous arriver, et c’était avec cette sûreté que tu t’ouvrais. Que chaque geste devenait plus osé que le précédent. Des lèvres contre sa peau, l’espace de quelques secondes, assez pour te donner cette impression que tu le connaissais bien mieux. Assez pour sentir les siennes te rendre la pareille, les lèvres étirées dans une joie sourde qui venait bourdonner contre tes oreilles. Le palpitant bondissant presque trop fort, remplissant la pièce d’une symphonie particulière. Les doigts se mêlant pour se serrer, apprécier la chaleur et la présence de l’autre dans un silence doucement rompu. " Bien sûr.. tu as toujours été le bienvenu. "Jamais tu n’avais pensé le mettre à la porte, au contraire. L’idée de pouvoir apprécier sa compagnie en dehors faisait grandir le sourire sur ton visage. " Autant de fois que tu veux. " Cinéma, café, autre restaurant, promenades. Tu avais une centaine d’idées qui trainaient. Mais qui demandaient avant tout de parler. La déception trop proche de cette joie qui côtoyait ton organe vital. Rien n’était pire que la déception d’espoirs trop longtemps portés. Quand bien même vos mains restaient accrochées comme si leur place avait toujours été ainsi, tu gardais ce doute qui sommeillait. Tout comme il le soulignait avec douceur dans une voix sûrement inquiète. S’il te fallut quelques secondes pour briser le silence, tes doigts eux, ne se détachèrent pas. "Kyu Min.. est-ce que tu… hm. Est ce que tu aimes les hommes ? " Étrange, c’était plutôt toi. Persuadé de t’ouvrir sans lui avouer la vérité. Il trouvait peut-être tout cela étrange lui-même. Blâmer ton absence pour la France aurait pu te sauver mais tu voulais jouer l’honnêteté. Espérant ne pas voir la déception dans ses pupilles. "Moi oui. Enfin, les deux. Pour être honnête je me fous du sexe de la personne. " Le souffle reprenant, avec lui, l'anxiété, tu cherchais tes mots. Soudainement muet. " Je voulais pas te le cacher.. mais c’est pas le truc que je dis facilement.. " Avouais tu, les pupilles se redressant lentement vers les siennes, le coeur battant d’une angoisse sourde mais présente.
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