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Tu es à moi - Kavy +18

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Tu es à moi - Kavy +18 | Sam 5 Déc 2015 - 3:03
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I
l y avait encore ce mec. Ce mec qui lui cessait de lui tourner autour. Elle avait beau me dire, de tenter de m’expliquer plutôt, qu’ils étaient juste amis, je flairais anguille sous roche. Il cachait quelque chose. Il lui avait peut être fait croire que c’était ce genre de relation qu’ils entretenaient, mais pas moi. Je ne tomberais pas si bêtement dans le panneau. Je ne pouvais vraiment pas le piffrer. J’avais qu’une envie, et si je ne l’avais pas encore fais, c’était par respect pour Ivy. J’avais assez de respect pour elle pour accepter ses choix et la croire, mais lui, non. C’était pourtant plus fort que moi. Je voulais tellement la garde pour moi seul et ne la partager avec aucun autre homme. J’avais parfois difficile d’accepter qu’un autre pose à peine les yeux sur elle, mais je me faisais violence et je supportais. Cependant, cette complicité qu’elle avait avec lui. Sa façon de rire quand il lui racontait une blague. La manière qu’elle avait de remettre cette mèche de cheveux derrière son oreille, subitement devenue timide alors qu’il lui faisait un simple compliment. Et le tout sous mes yeux. Je voyais bien le petit jeu qu’il entretenait. Il voulait doucement la faire tomber amoureuse de moi, pour me la voler. J’en étais sûr. J’en étais certain. Et ca me rendait dingue. J’avais passé la nuit entière à tourner en rond, à faire les cents pas dans ma chambre comme un lion en cage, essayant d’éviter de faire une connerie que je pourrais regretter sous l’énervement après ce que j’avais vu. J’étais crever et frustrer. Ce qui n’arrangeait franchement pas mon cas. Elle devait travailler tard, elle m’avait dit. Un prétexte qu’elle avait trouvé pour annuler notre soirée que l’on devait passer ensemble pour le passer avec ce pauvre type. J’en revenais pas qu’elle m’avait menti. Mon cerveau rejetait cette explication, et c’était pourtant la plus probable. Je les avais vu alors que j’étais partit faire quelques courses, me disant que je pouvais bien lui apporter quelque chose à manger, elle qui bossait si dur pour l’école. Quelle n’était pas ma surprise quand, en route pour son dortoir, je la vis à travers cette fenêtre entrain de rire aux éclats avec lui, devant une grillade fumante. Je me souvins avoir fait un pas en avant, prêt à les défoncer avant de me retenir, me disant que je voulais l’entendre de sa bouche, qu’elle allait bien finir par me l’avouer. Le bento avait fini dans la poubelle, éclatant de rage dans le fond. J’allais noyer ma colère dans un bar avant de rentrer et de ne plus savoir dormir. Heureusement pour moi, ma colocataire était de sortie également ce soir là, et avait découché. Sinon, j’aurais eu droit à quelques remarques désobligeantes. Je les voyais déjà fusées d’ici. Et ca devait être vers cinq heures du matin que je me mis en route, n’y tenant plus. J’avais défoncé la porte d’entrer à coup de pied du dortoir des sangos apres avoir roulé comme un dingue sur ma moto. J’arrivais dans la chambre de la jeune femme. Sans prendre la peine de toquer j’entrais, prononçais d’une voix étrangement calme et menaçante. « J’espère que tu as bien profité de ta soirée avec ce guignol. T’as bien pris ton pied avec lui ! car crois-moi c’est la dernière fois que tu pourras. » Oui. Dans ma tête, mon esprit assimilait voire un autre homme à coucher avec lui derrière mon dos. Je sautais toutes les étapes pour arriver à la cruciale, ca allait plus vite. Me trompais-je ?  
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mer 9 Déc 2015 - 13:28
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I
vy poussa un soupir en entrant dans sa chambre. Elle était crevée comme jamais. Elle lâcha son sac devant son bureau et posa son ordinateur portable sur son bureau le lâchant presque en vol. Elle rentrait de la bibliothèque, elle y était restée jusque tard dans la nuit pour essayer d'avancer sur ce projet qu'elle devait rendre dans deux jours. Après avoir fini son cours d'études de textes littéraires, elle était sortie de la salle de classe complètement abattue. Ses projets pour les jours à venir tombaient tous à l'eau. à commencé par sa soirée avec Kazuya, s'excusant de lui faire ce coup là elle avait dû annuler car un dossier à rendre venait de lui tomber sur la tête. Elle était ensuite allée s'enfermer pour plusieurs heures à la bibliothèque avec son binôme de projet. Ils avaient passé plusieurs heures le nez dans les bouquins à prendre des notes, à construire leur dossier et à analyser un poème anglais du 19ème siècle. Après plusieurs heures et quelques tasses de café plus loin, le camarade de classe avec qui elle bossait sur ce projet avait proposé qu'ils fassent une pause et aillent manger un morceau, ce qu'accepta Ivy qui sentait une migraine pointer le bout de son nez. Ils étaient allés dans un restaurant de barbecue pas loin de la bibliothèque, ils avaient parlé de tout sauf de ce poème. La jeune femme s'entendait bien avec lui, ils plaisantaient pas mal, et étaient sur la même longueur d'ondes point de vue littéraire. Après cette pause, ils avaient bossé ensemble encore deux heures, avant que lui ne décide de rentrer chez lui pendant que la jeune femme était restée là encore un bon moment, tapant au propre leurs notes et analyses. Lorsque le dossier était presque finit, elle avait décidé qu'elle en avait assez fait pour ce jour-là et reprit la direction de sa chambre étudiante. Et c'est ainsi qu'à 2h25 du matin elle était devant son lit partagée entre se coucher immédiatement ou prendre quand même une douche.

Lorsqu'elle était arrivée en Corée du Sud, elle n'aurait pas imaginé que les études soient si différentes du système Néo-zélandais. Mais il fallait se rendre à l'évidence, ici, elle était prisonnière de professeurs cyclotomiques, qui, s'ils le voulaient, étaient en droit d'exiger un dossier de trente pages sur un poème de son choix, ne laissant qu'à peine 72 heures à ses pauvres étudiants pour s'en sortir. Oui, les études à Yonsei étaient bien moins paisibles qu'à l'université de Auckland. Elle se passa une main dans les cheveux d'un geste las, et opta pour prendre une douche avant de se coucher. Elle se démaquilla au passage et après avoir enfilé son pyjama alla se coucher. Elle avait la tête pleine d'informations à rajouter au dossier et de formulations géniales, mais elle était bien trop fatiguée pour les noter, elle s'endormit immédiatement la tête à peine posée sur l'oreiller.

Elle fut réveillée à peine quelques heures après par Kazuya qui rentra dans sa chambre sans ménagement pour son sommeil. Elle réalisa qu'elle n'avait pas fermé la porte, et heureusement, ce n'était que lui. Enfin heureusement, il n'avait pas l'air de la meilleure humeur qui soit, mais réveillée en sursaut de cette façon, Ivy avait du mal à atterrir. Elle voyait bien qu'il était énervé, qu'il lui reprochait quelque chose, mais elle n'avait pas les idées claires, et ne voyait pas du tout où il voulait en venir. Et honnêtement, elle n'était pas du tout d'attaque pour une dispute et une crise de jalousie. « Okay Kaz' t'es énervé, mais moi je suis crevée là, viens te coucher et on en parle demain ? » Elle avait une voix endormie, et avait du mal à garder les yeux ouverts, néanmoins, elle souleva sa couette pour l'inviter à la rejoindre et se coucher à ses côtés. Mais il ne bougea pas, et continua à la fixer de ce regard noir. Elle savait en commençant sa relation avec lui qu'il n'avait pas un caractère facile, mais là ce n'était franchement pas le moment. « Putain babe j'ai bossé toute la soirée et une bonne partie de la nuit on peut remettre la dispute à demain s'il te plait ?! » Elle était crevée, et n'avait pas la force de gérer sa possessivité dans l'immédiat. Ils sortaient ensemble depuis un petit moment, et elle avait jusque là réussit à gérer la jalousie maladive de Kazuya. Mais avec le stress et la fatigue de ses cours, elle n'en avait pas la force ni l'envie cette nuit-là. Il n'avait pas confiance en elle ? Tant pis, parce qu'elle lui était très honnêtement fidèle, elle tenait à lui vraiment. Mais s'il la pensait si peu de confiance, elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait faire de plus.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Dim 20 Déc 2015 - 16:58
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J'
avais cette boule de nerf en moi qui ne voulait pas s’estomper, qui se bornait à vouloir bouillonner et qui demandait réparation. Et la jeune femme face à moi qui restait de marbre, prenant l’excuse de la fatigue pour éviter la confrontation me fit hésiter. Quelle heure était-il pour qu’elle réagisse de cette manière ? Avais-je encore exagéré ? avais-je dépassé à nouveau les limites ? Trop tard. Il était trop tard pour refaire marche arrière de toute manière, même si elle savait comment attendrir la rage qui brulait en moi. J’avais eu un moment de faiblesse, de recule face à sa tendresse à m’inviter dans son lit malgré ma noirceur, ma froideur, mais je restais pourtant là, à la fixer, sans bouger, les point serrer. Elle s’obstinait pourtant à fuir la dispute, préférant la remettre à demain, me laissant sans réponse et frustré. Je baissais les yeux vers cette place libre qu’elle m’offrait avant de céder. J’avançais d’un pas, sans perdre mon regard noir pour autant, attrapant ses chevilles pas dessous la couette, l’attirant vers moi. Je grimpais à quatre pas sur le lit, la surplombant de tout mon corps. J’agrippais ses poignets que je soulevais violemment au-dessus de sa tête, la tenant fermement, amenant mon visage à quelques centimètres du sien. « Si tu daignes pas m’expliquer, trouve un autre moyen de me distraire pour me faire oublier. » grondais-je d’une voix basse. Je lui volais un baiser, forçant le passage de ma langue, ne lui donnant pas le temps d’immerger de son semi-sommeil. Si elle était fatiguée, j’allais la réveiller au point qu’elle n’aurait plus aucune envie de dormir par la suite. Je serras les jambes sur son bassin pour éviter qu’elle puisse penser pouvoir fuir ou gigoter plus que nécessaire, accentuant notre baiser se faisant plus sauvage.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Dim 20 Déc 2015 - 22:42
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I
vy n'était pas une grosse dormeuse, mais elle n'avait pas les réveils les plus faciles. Il lui fallait souvent un petit moment pour émerger et remettre de l'ordre dans ses pensées. Elle avait donc beaucoup de mal à comprendre où voulait en venir Kazuya, et d'où lui venait cette nouvelle crise de jalousie. Elle y était pourtant relativement habituée, mais là, il semblait vraiment énervé. Elle n'avait ni la force, ni l'envie de se disputer avec lui, parce qu'elle n'avait pas envie de se justifier sur une soirée qu'elle avait passé presque entièrement à bosser à la bibliothèque.  Lorsqu'il fit quelques pas vers elle, elle eut un bref instant l'espoir de le voir venir s'allonger à côté d'elle. Elle l'imaginait la serrer contre lui avec possessivité et la tenir au chaud pour la nuit, ce qui n'était, pour le coup, pas des plus déplaisant. Mais il avait d'autres plans, il était donc très contrarié. Elle poussa une exclamation de surprise lorsqu'il la tira par les chevilles pour la placer sous lui, tenant ses poignets au dessus de sa tête, tirant au passage ses longs cheveux blonds décolorés, la faisant grimacer légèrement. Elle le regarda fixement, partagée entre la peur, et une étrange sensation d'excitation. Kazuya était le meilleur des amants lorsqu'il était énervé. Lorsqu'il l'embrassa avec tant de voracité, elle ne put que frissonner, le laissant prendre entière possession de ses lèvres. Elle essaya néanmoins de se débattre, non pas pour s'enfuir, mais pour retrouver sa liberté de mouvements. Lorsqu'il l'autorisa enfin à reprendre son souffle, elle plongea son regard dans le sien, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration effrénée. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles, je n'ai donc rien à expliquer... Il ne nous reste que l'option deux à croire... » Et c'était la vérité elle ne voyait pas vraiment ce qu'elle avait à lui expliquer. Elle se cambra pour réussir à atteindre sa bouche, l'embrassant à son tour et se collant à lui autant qu'elle le pouvait vu la façon dont il restreignait ses mouvements. Il finit par relâcher sa prise sur son bassin, elle pu ainsi passer ses jambes de chaque côté de la taille de Kazuya. Lorsqu'elle mit fin au baiser, elle n'avait plus sommeil un seul instant, elle était en pleine possession de ses moyens, tous les sens en éveil. « Alors soit tu m'expliques en détail ce qu'il y a, soit tu te fais pardonner de m'avoir réveillée... » Elle affichait un petit sourire arrogant pour l'énerver d'avantage alors qu'elle singeait les paroles qu'il avait eut quelques instants plus tôt, et ponctua sa provocation par un mouvement de hanches contre le bassin de son petit ami.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Lun 21 Déc 2015 - 18:06
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L'
exclamation de surprise qu’elle poussa quand je lui tirais les chevilles éveillait en moi des choses bien plus sombres, et ce n’était que le début. Et la grimace qu’elle tira alors que je tirais ses cheveux en voulant l’immobiliser, m’arrachait un sourire sadique. Je voulais lui faire payer la trahison que je m’étais imaginé, et lui faire du bien pour qu’elle oublie cet autre homme. Je la sentis frissonner alors que je prenais possession d’elle, la forçant à m’embrasser. Je la fixais alors que je lui permettais de reprendre son souffle, et qu’elle en profitait pour prendre la parole. Elle niait le fait me faisait d’avantage rager, mais n’avait rien contre la deuxième solution. Ce qui n’était pas un compromis si mal que cela pour les deux partis. J’eus un mouvement de recule alors qu’elle m’embrassait par surprise avant que je ne ravance, approfondissant le baiser. L’adrénaline se mit à affluer dans mes veines alors que je la sentais enrouler ses jambes autour de mon bassin. L’excitation montait d’un coup et je la soulevais du lit alors qu’elle se collait à moi. Je lâchais ses mains pour passer un bras dans le bas de son dos pour avoir une meilleure prise sur elle. Je me redressais sur mes genoux alors qu’elle était toujours accrochée à moi tel un koala à son arbre. Je passais ma main libre sous son t-shirt de pyjama, caressant sa peau du bout des doigts, remontant le long de sa colonne vertébral avant de lui arracher son vêtement d’un geste vif, le jetant sur le sol, loin de nous. J’avançais sur le lit sur les genoux jusqu’au mur, la plaquant contre celui-ci, ses jambes toujours autour de moi, suite à ses paroles. Je lui lançais un regard brulant alors que j’attrapais à nouveau ses bras pour les maintenir par-dessus sa tête, entrelaçant mes doigts aux siens. « N’inverse pas les rôles veux-tu ? C’est à toi de te faire pardonner, pas à moi. » Elle me provoquait volontairement, et je le voyais bien à cette lueur qui brillait dans son regard. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, et ca ne faisait que commencer.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mer 23 Déc 2015 - 23:12
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I
vy se retrouva le dos plaqué contre le mur, sa poitrine dénudée collée au torse encore couvert de Kazuya. Ses mains plaquées au dessus de sa tête contre le mur, elle se retrouva privée de ses mouvements une nouvelle fois. Les mouvements du japonais étaient vifs, bruts, lui laissant peu d'occasion de réagir, c'était assez habituel. Ses baisers étaient de plus en plus prononcés et voraces, tout comme ses mains sur son corps. Le regard de son petit ami était toujours aussi noir, de plus en plus brûlant. Elle voyait que malgré le fait qu'elle assure qu'elle ne voyait pas de quoi il parlait, il ne la croyait pas. Il repassait donc sa frustration sur elle, et ça aussi c'était habituel. Ils sortaient ensemble depuis plusieurs mois, et Ivy devait bien constater que la jalousie de Kazuya n'allait pas en s'améliorant, elle qui avait cru que cela ne durerait qu'au début le temps qu'il apprenne à lui faire confiance... Ivy n'était pas la petite amie la plus démonstrative qui soit, mais elle était loyale, elle n'avait jamais trompé personne, et détestait blesser les gens avec qui elle était en couple. Mais le japonais lui laissait peu le choix de lui prouver qu'il pouvait lui faire confiance, il se vengeait, se calmait, et puis ferait une autre crise peu de temps après... Elle devait être honnête avec elle-même, leur relation était vouée à l'échec, et c'était douloureux pour elle. Sans sa jalousie maladive et sa possessivité débordante, elle était certaine qu'ils pourraient aller loin tous les deux. Elle planta son regard dans le sien, un regard tout aussi noir et brûlant que le sien, il avait réveillé les instincts de la jeune femme. « Je n'ai rien  à me faire pardonner mais tu préfères le croire et ça sera toujours comme ça. Alors maintenant tais toi et montre moi comme tu m'en veux, tu es là pour ça non ? » Elle le provoquait avec une pointe de fatalisme, sachant bien où tout cela les mènerait, à une rupture tristement annoncée. Elle resserra ses jambes autour de lui, le collant à elle, collant son bassin au sien. Le problème avec Kazuya c'est qu'il savait parfaitement ce qu'elle aimait, il savait appuyer sur les bons boutons pour lui faire perdre la raison et tous ses moyens. Elle se pencha pour l'embrasser langoureusement, s'amusant même à le mordre pour le provoquer davantage, alors qu'elle ondulait ses hanches contre celle de Kazuya. Elle laissa sa bouche dévier pour parcourir la mâchoire du japonais de ses lèvres, le mordillant même, allant ainsi jusque dans son cou. Elle détestait être ainsi limitée dans ses mouvements, mais elle savait qu'il le faisait exprès, il voulait lui prouver qu'il n'y avait que lui pour lui faire ressentir ce qu'elle allait ressentir...

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Dim 27 Déc 2015 - 3:55
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J
e lui laissais peu d’espace de mouvements. Le méritait-elle après avoir passé autant de temps avec ce mec ? J’aurais du lui interdire de me toucher après un tel acte de trahison, mais j’en étais incapable. Je l’aimais trop pour la lui priver de cette manière. Et puis, ses mains sur mon corps étaient un tel délice que ce serait ma personne que je punirais pour une erreur de parcours de sa part. Alors je préférais de loin la faire languir alors qu’elle ruminait de ne pas pouvoir être libre de bouger comme elle le voulait, et jouer avec ses nerfs, titiller ses sens jusqu’au moment où je déciderais de la libérer. J’avais conscience de ma jalousie maladive, mais je voulais la garder pour moi et ne la partager avec personne. Ivy était ma colombe au milieu de mon enfer, ma reine au milieu d’un royaume dévasté, ma lumière dans les ténèbres. Elle partageait ma part d’obscurité comme ma part de lumière. Elle m’acceptait tel que j’étais, même si ce n’était pas évident tous les jours. Je ne lui avais jamais caché comment j’étais, elle l’a sur dès le départ. Et pour cela, je m’accrochais à elle comme à une bouée. J’étais tel un insecte attiré par l’éclat d’une lampe dans la nuit lointaine. Le regard qu’elle me lançait, faisait écho au mien et ne me laissait pas indiffèrent. Il entretenait le brasier qui s’emparait de moi. « En effet. » répondis-je simplement d’une voix dénudée de la moindre tendresse. Elle resserrait ses jambes autour de ma taille où je commençais à me sentir à l’étroit à l’intérieur de mon jeans. La simple idée de pouvoir m’en débarrasser m’obsédait. Je répondis au baiser qu’elle me volait alors qu’elle n’avait aucun droit de prendre de telle décision, mais elle savait comment me faire craquer, comment m’exciter au point de me rendre dingue d’impatience. De ce fait, même en position de soumise, elle n’en avait en aucun cas l’habitude, préférant me provoquer pour garder la tête haute, rester digne. Elle ne voulait pas accepter le fait que je la fasse sombrer d’un simple geste, elle lutait pour garder la tête hors de l’eau et me faire face. Je finis par lui lâcher une main pour attraper un de ses seins que je me mis a malaxer vigoureusement alors que mes lèvres se perdaient dans son cou alors que je grognais d’impatience. Je lâchais son autre main pour qu’elle rejoigne sa partenaire pour attraper l’ensemble de sa poitrine. Je me mis à mordiller son coup et tirait d’un coup sec sur ses tetons que je tenais entre mes doigts pour l’entendre couiner de surprise. La plus douce mélodie à mes oreilles. « Dis-moi que tu m’aimes. » lui ordonnais-je à l’oreille, alors que je continuais de tirer sur les perles au bout de sa poitrine, les faisant tourner doucement. Je déposais un nouveau baiser au creux de son cou avant d’aspirer longuement, laissant ma marque. Pour un temps, qu’importe quel homme la verraient, saurait qu’elle appartient déjà à quelqu’un. Un suçon, c’était la meilleure façon pour moi de montrer qu’elle était à moi. Je la marquais sans un moment. Je pressais son corps un peu plus contre le mur, alors que j’attends sa réponse, meurtrissant toujours le trésor que j’avais entre les mains.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mar 29 Déc 2015 - 17:23
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E
lle savait bien à quoi s'attendre lorsqu'ils avaient commencé à sortir ensemble. Elle avait eut la possibilité de voir la part d'ombre, de violence et de colère de Kazuya. Mais Ivy savait qu'il était bien plus que ça, qu'il avait beaucoup plus à offrir. C'est pour ça qu'elle avait décidé de leur donner une chance, et était finalement tombée amoureuse du japonais. Malheureusement, il était trop sombre pour elle, il aspirait sa lumière, son énergie et sa force. Elle était épuisée de lui prouver qu'elle tenait à lui, qu'elle ne le décevrait pas. Elle essayait d'y croire encore, parce qu'elle ne voulait pas voir leur histoire se terminer, elle luttait. Comme cette nuit-là, alors qu'il la tenait contre lui, plaquée contre le mur. Elle luttait contre ses émotions contraires, l'envie de l'aimer, l'envie de lui, et l'envie de finalement laisser tomber. Mais Kazuya était très fort, il savait ce qu'il fallait faire pour la faire céder, pour la garder dans ses filets. Comme toujours entre eux, une bataille d’ego commença, et ni l'un ni l'autre ne voulait céder. Elle le provoquait, il répondait à ses provocations devenant plus vif, plus brusque, et il savait qu'elle adorait ça. Elle frissonna lorsque sa main se posa sur sa poitrine dénudée. Elle retient un soupir alors qu'il la touchait sans réelle douceur, il savait très bien ce qu'il faisait... Elle eut un hoquet de surprise qui s'étouffa dans un gémissement alors qu'il malmenait délicieusement sa poitrine. Ses mains enfin libérées vinrent se perdre dans le dos et la nuque de Kazuya, ne pouvant s'empêcher d'y planter ses ongles, griffant sa peau au passage. Lui dire qu'elle l'aimait ? Elle le lui avait déjà tellement dit. Ivy n'était pas le genre de femmes à répéter des mots d'amour, mais le japonais en avait besoin. Au fil de leur relation, elle avait appris à le lui dire plus souvent, à le rassurer, et de lui prouver par la parole et par le corps à quel point elle était attachée à lui. Mais ce soir-là, elle ne répondit pas, elle n'avait pas envie, c'était lui donner raison de lui faire une telle crise. Elle sentit Kazuya la marquer, elle détestait ça mais ne pu s'empêcher de frissonner malgré elle. Elle lui releva la tête en tirant sur ses cheveux, plantant une nouvelle fois son regard dans le sien d'un air arrogant avant de l'embrasser sans aucune douceur. Elle dénoua ses jambes de sa taille, restant malgré tout coincée entre son corps chaud et le mur froid. Tous les deux sur les genoux, elle le colla encore plus à elle, glissant une main sous son t-shirt, griffant la peau de son dos. Elle fit descendre sa bouche dans son cou et sa mâchoire, mordant sa peau par endroit. Son autre main descendit jusqu'au bouton du jean du japonais, jouant avec, le caressant au travers du tissu. « Un je t'aime ça se mérite... » Elle savait qu'elle le provoquait plus que de raisons, c'était sa façon de protester contre ses réactions. Elle ne savait toujours pas ce qui avait déclenché la jalousie de Kazuya, mais le fait qu'il n'ait aucune raison de l'être la poussait à résister et lui tenir tête. Elle passa sa main entre son jean et son boxer, elle adorait sentir l'effet qu'elle lui faisait, sentir à quel point il la désirait, ce devait être douloureux pour lui... Elle effectua une pression sur son entrejambe, alors qu'elle mordait le lobe de son oreille. Il allait bientôt lancer sa contre-attaque et elle en frissonnait d'avance.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Jeu 31 Déc 2015 - 0:46
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l avait fallu du temps et de la patience pour qu’Ivy s’ouvre à moi, qu’elle se montre plus démonstrative avec ma personne, qu’elle finisse par me murmure des je t’aime au creux de l’oreille. Elle n’était que tres peu démonstrative, et parfois, ca me manquait. J’étais quelqu’un de tres distant avec les inconnus, mais avec mes proches, j’étais tactile, toujours en manque d’affection. C’était une faiblesse que je ne laissais pas apercevoir par tout le monde, mais Ivy le savait. Elle l’avait vu et avait essayé de me comprendre. Elle faisait ce qu’elle pouvait pour satisfaire ce manque d’amour que je réclamais à tout instant. J’étais conscient que j’étais tel un gamin qui ne demandait de l’attention sans arrêt et que je pouvais bien vite fatiguer mon entourage. Mais j’étais ainsi. On m’avait privé de l’amour maternel que j’aurais dû avoir étant plus jeune, et je l’avais trouvé autrement, où je le pouvais. J’avais juste trouvé une façon de survivre. Pourtant, il y avait toujours cette rancœur qui restait au fond de mon cœur, celle contre ma mère, d’avoir osé mourir alors qu’elle m’avait donné la vie. Elle ne pouvait savoir à quel point j’avais pu souffrir pour son geste. Et mon père, qui n’avait aucune limite, se préoccupant plus de son travail que de son fils, m’enlevant la seule femme qui avait été comme une seconde mère pour moi. Ma nounou. Nana. J’en avais pleuré et hurlé pour la récupérer, mais il n’avait que faire de mes caprices. Et voilà ce qui avait engendré ma façon d’aimer, de vouloir garder mes proches que pour moi. Et même si je les aimais, il ne connaissait pas cette profonde blessure que j’avais au fond de moi et que j’avais tant de mal à panser. J’avais opté pour l’obscurité plutôt que la lumière, laissant le dernier éclat sombré avec mes pensées. Et je ne savais comment m’excuser, je ne savais comment dire merci, mais je savais dire je t’aime. Ce que je lui aurais murmuré si elle ne s’était pas obstinée à me tenir tête, ne cessant de me provoquer pour garder cette rage enflammé au creux de mon ventre. Alors que je la punissais en maltraitant délicieusement sa poitrine, elle enfonçait ses ongles dans mon dos, laissant des sillons rougeâtres, je grognais de plaisir, aimant ressentir à quel point je lui donnais du bien-être. Je la sentis me tirer par les cheveux en arrière, je la laissais faire docilement, l’observant. Je la laissais me voler un baiser passionné dans lequel je gémis contre ses lèvres quand elle me griffait à nouveau le dos. Ne me laissant aucun répit, elle continuait avec des baisers dans le coup et des mordillements qui laissaient de fines traces sur ma peau. Je grognais à nouveau alors qu’elle jouait avec mon engin à travers mon jeans, rouvrant les yeux alors qu’elle prenait la parole, refusant de me glisser un je t’aime. Elle avait le don de me rendre dingue. Elle savait que je pouvais crever juste pour entendre ces trois petits mots. Je soutins son regard alors qu’elle jouait avec moi, avec sa main dans mon boxer dans lequel j’étais plus qu’à l’étroit. Elle continuait quelque seconde avant que je ne l’attrape à nouveau brusquement, la prenant pas la taille, je la fis pivoter en avant, la faisant passer sous moi, de manière à ce que je me retrouve à califourchon sur la jeune femme. Je la dominais à nouveau. Je posais mes mains sur son ventre, le griffant doucement pour attirer toute son attention. «Ne me provoque pas, Ivy.» Ma voix était rauque et saccadée par le désir que je pouvais ressentir envers elle. Puis, brusquement, je lui arrachais son bas de pyjama et sa culotte au passage, l’envoyant bien loin dans la pièce. « Tu ne devrais pas… » Continuais-je avant de glisser mes mains sous ses fesses pour la soulever et placer un cousin sous elle, la maintenant en place. Mon visage disparut. Ma tête entre ses cuisses, je me mis à laper son intimité à coup de langue précis qui savait ou aller pour l’entendre gémir. Je refermais ma prise sur ses fesses alors que j’allais de plus en plus vite, jouant avec cette boule de plaisir qui commençait doucement à gonfler.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Lun 4 Jan 2016 - 16:53
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A
utant Ivy et Kazuya pouvaient partager de grands moments de tendresse et de complicité, autant il y avait des moments où la tendresse n'était absolument pas de mise dans leur relation. Comme ce soir-là. Pourtant, leurs actions trahissaient des émotions intenses. Pour Kazuya, sa jalousie venait d'une possessivité excessive quant à celle qu'il aimait. Et pour Ivy, son entêtement à le provoquer venait du fait qu'il restait complètement aveugle à sa fidélité et loyauté alors qu'elle l'aimait, sincèrement. Et malgré tout ça, ils se provoquaient et ne montraient aucune affection, juste un besoin de se battre, de prouver à l'autre qu'il avait tort et de garder le dessus.

Le dessus c'est ce que Ivy perdit lorsque Kazuya retourna la situation en se plaçant au dessus d'elle alors qu'elle était en train de doucement le torturer à travers son boxer. Allongée sous le poids mesuré de Kazuya, elle n'eut pas la possibilité de le repousser ou de le provoquer d'une autre façon. Sans avoir pu faire le moindre mouvement, elle se retrouva rapidement maintenue par le japonais qui s'appliquait à la satisfaire de sa bouche sur son intimité. La prise de Kazuya alors qu'il l'empêchait de bouger était si rude qu'elle sentait ses ongles plantés dans la peau halée de ses cuisses. Cette délicieuse douleur la faisait probablement gémir un peu plus. Elle mourrait d'envie de mouvoir son bassin, et de perdre ses mains dans les cheveux de Kazuya, mais elle ne lui donnerait pas cette satisfaction de plus. Il devait déjà tellement jubiler de l'entendre soupirer, gémir et de la sentir frissonner comme elle le faisait. Elle se cambra lorsqu'en plus de sa langue, il immisça deux doigts dans son intimité. Il les mouva au rythme de sa langue, dans des mouvements brusques. Ivy aurait aimé ne pas lui donner la satisfaction de gémir comme elle le faisait, mais ce plaisir mêlé de douleur la rendaient dingues, et il le savait très bien... Il savait comment lui faire perdre la tête et la laisser essoufflée en en demandant davantage. Il intensifia le rythme de sa langue et de ses doigts, Ivy elle perdit complètement pieds, ne pouvant retenir son plaisir indéfiniment. Elle finit par se cambrer, rejetant la tête en arrière en poussant un gémissement plus fort que les autres. Elle se rallongea, sa poitrine se soulevait au rythme effréné de sa respiration. Elle referma ses jambes, forçant Kazuya à se reculer, et se redressa pour arriver à sa hauteur. Elle avait les joues rougies et le regard brillant. « Tu te dis que ça me suffira, t'es calmé ? » Elle l'embrassa sans douceur. « Il en faudra plus si tu veux un je t'aime... Ca t'apprendra à ne pas me faire confiance. » Et de nouveau sa bouche vint trouver la sienne, elle s'amusa à mordre la lèvre du japonais jusqu'à sentir le goût cuivré du sang dans sa bouche. Elle se redressa pour être à genoux, à nouveau face à lui, elle tira sur le bord de son t-shirt pour le lui ôter. Elle planta son regard dans le sien une nouvelle fois, à croire que c'était là la seule façon qu'ils avaient de réellement se comprendre. « Parce qu'à chaque fois que je te le dis, je le pense. » Oui, à chaque fois qu'elle lui disait l'aimer, elle le pensait, mais ça ne lui suffisait jamais.

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