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Tu es à moi - Kavy +18

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Lun 18 Jan - 1:24
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   KAVY
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J
e léchais son intimité comme si ma vie en dépendait. Précis et rapide. Je savais ce qu’elle aimait, ayant pris le temps de connaitre son corps lors de ces derniers mois. Et ses gémissements m’encourageaient à préserver. L’entendre soupirer de plaisir sous mes assauts était la plus douce musique à mes oreilles. Comme pour approfondir son plaisir, je me mis à suçoter doucement l’intérieur de son intimité, tirant vers moi lentement avant de le mordiller et de me remettre à le laper. Et quand je décidais qu’elle était mur pour la cueillette, j’immisçais deux doigts dans son intimité sans même chercher à savoir si elle était assez ouverte ou non, les enfonçant dans un geste sec et brusque alors que je continuais mon manège à l’aide de a langue. J’accélérais mes va et vient pour l’entendre juste crier un peu plus fort. Quand je la sentis venir une première fois, j’eus la sadique envie d’enlever mes doigts et de l’entendre me supplier de l’achever. Pourtant, je n’en fis rien, prenant juste de la vitesse alors que je me redressais, troquant ma bouche pour les doigts de mon autre main. Je la taquinais intérieurement et extérieurement à la fois, pour intensifier et diversifier es plaisirs, et surtout, pour continuer de l’entendre gémir, même après que l’orgasme soit passé. Je souris satisfait face à ce spectacle qui se tordait parcouru par les spasmes, tremblante par ma faute. Un délicieux spectacle dont je me délectais et surtout qui m’excitais d’autant plus. Puis soudain, comme si elle refusait d’elle-même les portes du paradis, elle refermait ses cuisses, m’obligeant à me retirer. Je fronçais les sourcils, mécontent. J’allais protester, mais elle me fit taire à coup de violents baisers, qui me firent retomber sur les talons. Je la laissais me manipuler de ses lèvres quelques instants avant de la fusiller à nouveau du regard, alors qu’elle me mordait la lèvre au point de sentir ce gout cuivre dans ma bouche, une larme de sang perlant sur le coin de la bouche. J’y donnais un rapide coup de langue alors qu’elle me lançait ses remarques plus pathétiques les unes que les autres. Je la laissais se débarrasser de mon t-shirt qui commençait à vraiment devenir plus que gênant. J’attrapais son visage, agrippant mes doigts à ses joues si fort que je sentais ses dents par-dessous la peau. Je l’approchais de moi au point qu’elle pouvait sentir mon souffle sur sa peau. « Si tu m’avais laissé faire ce que je comptais te faire, tu en aurais eu assez pour me supplier d’arrêter. » la provoquais-je lui laissant entrevoir ce qu’elle avait raté en refusant se laisser dominer. « Et crois-moi, j’aurais eu tous les je t’aime dont j’avais envie. Dit en passant, j’espère bien que tu le penses chaque fois que tu le dis. » Il manquerait plus que cela. Je la fixais sans lâcher son visage alors que de l’autre, je me mis a tirer sur un de ses tentons en le pinçant du bout des doigts. Elle me rendait dingue à ne pas juste m’obéir et à en faire qu’à sa tête. « Qu’est ce que tu veux au juste, Ivy ? » Il était rare que je l’appelle par son prénom, préférant un nom affectueux, mais dans les moments où je perdais la boule, il n’y avait que son prénom qui me permettait de ne pas sombrer totalement. « Si tu veux t’occuper comme il se doit, enlever moi ce jeans devenu trop serré. » Ce n’était pas une demande, mais bel et bien un ordre.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mer 20 Jan - 23:18
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E
lle ne savait pas vraiment pourquoi elle l'avait repoussé alors qu'elle était si proche du point culminant de son plaisir. Sans doute par fierté, elle ne voulait pas que cela soit si facile pour lui. Elle ne voulait pas le voir avoir la satisfaction de rentrer comme un forcené dans sa chambre, l'engueuler et l'accuser d'une tromperie dont elle ignorait l'origine, et de réussir à la satisfaire aussi facilement. C'était, selon elle, comme lui donner raison, comme lui donner le feu vert pour continuer ses crises du genre. Elle était épuisée de toujours devoir lui prouver son amour, et le fait qu'elle n'allait pas voir ailleurs. Elle avait tout ce dont elle avait besoin avec lui, et elle était vraiment éprise de lui, elle voudrait tellement qu'il le réalise enfin. Alors oui, elle se punissait en le repoussant, mais elle le mettait en garde d'une certaine façon. Alors qu'il tenait son visage serré dans sa main, elle sentait son souffle sur sa peau tant leurs faciès étaient proches l'un de l'autre. Il était énervé, ça tombait bien, elle aussi. Ce qu'elle voulait ? Il ne comprenait donc pas... Il attendait qu'elle lui enlève son pantalon, et pourtant elle ne fit pas ce qu'il attendait d'elle. Elle repoussa sa main, libérant son visage, et repoussant aussi sa main qui malmenait sa poitrine. Elle donna un léger coup de poing sur son torse, puis un autre. Elle le frappait tout en le poussant, le forçant à ne plus être à genoux, mais allongé. Elle le surplomba se plaçant à califourchon sur lui, attrapant son visage comme il l'avait fait quelques instants auparavant, sauf que dans la brusquerie de son mouvement, elle le gifla presque. « C'est toi que je veux putain Kaz' ! Toi et rien que toi tu l'imprimes ça ! » Son ton était presque désespéré tant elle était épuisée d'avoir à le lui dire. « Je t'aime, mais tu ne me fais pas confiance. » Son ton était devenu plus dur comme son regard. Elle se pencha brusquement pour venir l'embrasser sans douceur, mais avec une colère et frustration non dissimulée. Une de ses mains griffait le torse de Kazuya, car elle aimait le sentir frissonner de ce douloureux plaisir. De son autre main, elle fini d'ouvrir le jean du japonais, le baissant jusque mi-cuisses ainsi que son sous-vêtement. Elle mit fin au baiser brutalement, se redressant un instant comme pour souligner que sur le moment, elle était celle qui dominait. Griffant toujours son torse, son autre main alla trouver le membre gonflé de son petit ami. Elle y effectua quelques mouvements de va et vient, avant de se placer de façon à le laisser entrer enfin en elle. Ainsi en amazone sur lui, elle refusa néanmoins de bouger son bassin contre le sien pour le satisfaire. Elle le regarda avec dureté bien que l'envie de se mouvoir sur lui, et de les emmener vers le plaisir, était dévorante. « Dis moi que tu as confiance. » Ce n'était pas une question, ce n'était pas un ordre... Une supplique peut être, dissimulée derrière sa colère et sa noirceur. Et elle ne bougerait pas ses hanches tant qu'il n'aurait pas répondu.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mar 23 Fév - 13:41
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U
ne punition qu’elle s’infligeait. Elle me rendait dingue à ne pas juste se laisser faire. N’importe quelle femme avec un esprit de bon sens aurait au moins attendu d’atteindre le point culminant de son plaisir avant de me repousser. Pourtant, à croire qu’elle avait peur que je puisse prendre complètement possession d’elle et que si j’y parvenais, elle n’aurait d’autre choix que d’être ma soumise. Il était vrai qu’à l’instant même j’avais envie qu’elle se soumette à moi, mais je n’étais pas contre non plus à être dominé. Je ne cessais de la fixer alors qu’elle avait pris l’audace d’inverser les rôles et de tenir mon visage entre ses fins doigts, les crispant sur ma peau. Mon regard devait etre noir orage. Rien de très amicale. Ma main titillait encore la pointe de sa poitrine jusqu’au moment où elle voulait avoir le dessus total. Elle n’obéit pas à mes attentes et repoussait ma main. Elle se mit à me marteler le torse. Je la regardais faire sans bouger, attendant ce qu’elle voulait vraiment. Sans m’en rendre compte, je me retrouvais allonger, Ivy à califourchon sur mon bassin. Elle m’attrapait à nouveau comme je l’avais fait avec elle. Je la fixais toujours, recevant presque une gifle sans broncher. Ses paroles me faisaient aussi mal qu’elles me rassuraient. Je me rendais bien compte que je la poussais à bout comme à chaque fois. Ca me faisait mal de lui fait endurer cela, et pourtant, j’en avais besoin. J’avais besoin d’être rassuré à chaque instant tel un enfant. J’avais confiance, et pourtant, je ne pouvais m’empêcher de douter. Je ne pouvais la contredire sur ce dernier point. Ce n’était pas vraiment à elle que je ne faisais pas confiance, mais plutôt aux hommes qui l’entouraient. C’était une belle femme, et croire que personne d’autre n’avait des vues sur elle était un euphémisme. Mais d’une certaine manière, en agissant de la sorte, je donnais l’impression de ne pas lui faire confiance à elle. Perdu tel un damné contre ses lèvres, je réprimais un grognement alors qu’elle me griffait le torse sans ménagement. La suite se déroulait tres vite sans que je ne puisse le voir venir. Elle tirait mon jeans, marquant toujours ma peau de ses ongles. Je la regardais, la laissant voir les frissons qu’elle me faisait. JE fermais les yeux, et fermais des points alors qu’elle agrippait sans prévenir mon membre. Je tremblais de plaisir alors qu’elle s’enfourchait sur moi, me laissant la pénétrer. Je n’ouvris les yeux que quand elle me demandait de lui dire que j’avais confiance. Je restais silencieux. Que lui dire ? Je savais garder un secret, mais mentir ? Devais-je lui dire que j’avais confiance en elle après la crise que je venais de lui faire ? Ce serait un mensonge. Ce n’était pas que je n’avais pas confiance, mais j’avais toujours ce doute qui flottait comme un voile de brume autour de mon cœur. Ca n’avait rien avoir avec elle, c’était ainsi que j’étais fait. Possessif, jaloux, doutant à chaque seconde. Pas un cadeau donc. Prenant appuis sur mes coudes, je me redressais en position assise sans faire bouger la jeune femme. Ma main remontait sur sa cuisse avant de suivre les courbes de son corps pour atteindre son cou autour duquel mes doigts viennent s’enrouler dans une douce caresse. Je dégageais ses cheveux de son oreille, avant d’y venir déposer un baiser et de chuchoter : « Je suis désole… » Et sans prévenir, je donnais un coup de bassin pour ponctuer ma phrase. J’étais maladroit, très maladroit dans notre relation, mais je faisais de mon mieux. Et même si c’était de piètre excuse, elles étaient sincères…
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mar 1 Mar - 19:42
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C'
était tellement courant. Ces disputes, ces crises, ces règlements de compte, cette façon de s'affronter, d'essayer de se dominer, de se faire payer, de se faire mal. C'était tellement régulier. Mais pour Ivy, ça devenait pesant. Elle avait pensé pouvoir vivre avec, pouvoir supporter ça, parce qu'elle aimait Kazuya. Elle l'aimait à en crever, en réalité, avant lui, elle ne savait pas ce que c'était aimer, il était réellement son premier amour. Elle avait toujours pensé qu'il serait le seul. Ils étaient ensemble depuis trois ans, trois putain de belles années où elle avait traversé toutes les émotions avec lui. Les plus belles émotions, comme les pires. Mais il l'enfermait, il voulait faire d'elle un oiseau de cage alors qu'elle était faite pour voler dans le ciel. Elle savait qu'il avait besoin d'être rassuré, d'entendre encore et encore qu'elle n'aimait que lui. Mais elle était fatiguée, elle espérait qu'au bout de trois ans, après l'éloignement et leurs retrouvailles lorsqu'il était venu en Corée, qu'il aurait comprit... Mais il ne lui faisait pas confiance, il ne croyait pas en elle, en son amour pour lui. Et elle était tellement en colère. La preuve, elle le frappait, elle criait, elle le menaçait. Était-ce normal pour un couple qui faisait l'amour d'être aussi en colère ? D'être aussi dur l'un avec l'autre ? La douceur n'avait pas toujours été de mise, et le « angry sex » c'était leur came à tous les deux, mais en cet instant, alors qu'elle était sur lui mais refusait de bouger les hanches, Ivy sentait bien que les choses n'étaient pas comme d'habitude. Elle était peut être trop fatiguée, trop amère, mais elle voulait l'entendre dire qu'il croyait en elle. Mais tout ce qu'il trouva à dire, c'était qu'il était désolé... Elle sentit ses yeux la brûler, mais étrangement ce fût un gémissement qui quitta ses lèvres alors qu'il donna soudainement un coup de bassin. Comme un déclic, elle bougea les hanches, une sorte de déhanché hâtif, douloureux, sans douceur, presque trop brut pour qu'on puisse y voir de l'amour, et pourtant, elle en débordait. « Moi aussi Kaz', moi aussi je suis désolée... » Elle l'embrassa brutalement, continuant de le chevaucher, gémissant contre ses lèvres alors qu'elle sentait le feu grandir dans son bas ventre. Elle quitta sa bouche seulement lorsqu'elle fut à bout de souffle. D'un mouvement vif, elle inversa la position, le laissant la dominer, et faire d'elle ce qu'il voulait, écartant davantage les cuisses comme pour lui signifier qu'elle capitulait et le laissait la mener là où bon lui semblait. Elle se laissa aller au plaisir, gémissant un peu plus fort à chaque pénétration, elle plantait ses mains dans la peau de son dos et de ses épaules. Elle essayait de bouger ses hanches au même rythme que le sien, accentuant l'intensité de leurs mouvements de bassin l'un contre l'autre. Elle s'abandonnait complètement à lui, son corps était sien, mais inconsciemment, au plus profond de son cœur, Ivy savait qu'elle ne pourrait plus supporter ce qu'il faisait d'elle. Cette façon qu'il avait de vouloir la couper du monde, elle qui avait tant besoin de voler... Elle allait reprendre son envol. Elle avait mal à en crever rien que d'y penser, mais elle devait le faire si elle ne voulait pas s'oublier. Cette relation la détruisait, elle se coupait du monde pour ne pas le perdre mais elle se perdait elle. Alors pour une dernière fois, elle allait le laisser faire ce qu'il voulait d'elle, jusqu'au petit matin, elle allait le laisser l'aimer à sa façon... Une dernière fois. Alors qu'il donnait un coup de bassin brutal contre le sien, la faisant gémir plus fort, et elle appela son surnom, le gémissant, « Kaz' »... Comme pour le supplier que cette dernière fois dure toujours.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Dim 6 Mar - 20:23
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J'
admettais que je n’étais pas quelqu’un de facile à vivre tous les jours. J’avais mes crises de jalousie de plus en plus violente au fils des années. Lui demander de plus en plus de temps de sa part pour s’occuper de moi. J’avais toujours besoin d’attention, comme un gamin en quelque sorte. J’en réclamais de plus en plus, et devenais vite jaloux quand je la voyais donner de l’affection à un autre. J’essayais de changer, de faire des efforts, mais il y avait toujours quelque chose pour me rappeler mon moi initial. Ma façon d’aimer d’une certaine manière. Si je n’aimais pas Ivy, je la laisserais faire tout ce qu’elle voulait, sans ne jamais avoir rien à redire. Mais en l’espace de trois ans, elle était devenue ma drogue, mon addiction. Comment voulez-vous que je la laisse partir ? Elle m’avait rendu complètement accro à elle comme jamais une autre femme n’avait pu le faire. Et un Kazuya accro à ses amphet, ca ne donne pas spécialement le plus doux des mélanges. Je comprenais. Je savais que mon comportement pouvait être pesant pour elle. Plus d’une fois, elle me l’avait fait remarquer. Plus d’une fois, elle m’avait hurlé dessus pour que ca me rentre dans le crane. Je finissais toujours à genou face à elle pour me faire pardonner. J’étais prêt à tout, même si reconnaitre mes tords étaient un supplice, mais pour elle, je voulais bien me mettre à genou et devenir le fou de la reine. Pourtant, ce soir, la vue de cet homme arrivant à la faire rire ou même simplement sourire, que j’avais surpris à à travers la vitre de ce petit restaurant ne me donnait pas l’envie de m’excuser. Au contraire, penser à ce souvenir, amplifiait ma rage. La sango avait toujours eu le dernier mot avec lui, elle avait toujours su comment dompter l’étalon sauvage. Sauf cette fois. Sauf cette fois où je ne voulais pas lui céder. Juste une fois. Lui montrer que moi aussi je pouvais être têtu, même si j’avais tort. Il ne fallut qu’un coup de bassin de ma part pour que la jeune femme suive le mouvement, gémissant au passage, et me faisait grogner de plaisir, et un peu douloureux de la sentir si étroite sur mon membre alors qu’elle bougeait si vite, comme si une frénésie incontrôlable venait de la toucher. Aucune douceur. Tendresse perdu dans les abimes au cours de ces derniers mois. Douleur. Haine. Cris. Tout ce dont on était capable ces derniers temps alors qu’on s’aimait à en crever. Je voulus répliquer à sa remarque sanglante, mais elle m’embrassait avec brusquerie, me faisant taire. J’attrapais ses mains auxquels j’enlaçais nos doigts et que je soulevais par-dessus ma tête, lui laissant le loisir de prendre le dessus sur moi. Alors que je me résignais, elle échangea nos positions d’un geste vif, me laissant la dominer après notre baiser passionné. Je lui donnais quelques coups de bassins plus forts, profitant de sa proximité. J’aimais l’entendre gémir mon nom. L’entendre gémir simplement. Voir l’effet que je pouvais lui procurer. Et le plaisir intense auquel je pouvais la faire grimper. Deux derniers coups de bassins et je la laissais retomber dos sur le lit avant de me retirer d’elle. J’attrapais ses jambes que je serrais l’une contre l’autre et que je maintiens en l’air avant de la pénétrer à nouveau d’un coup de rein bien diriger. Je m’arrêtais un instant, fermant les yeux pour profiter de cette délicieuse torture qu’était son étroitesse dans cette position avant de me remettre en route. Je continuais doucement tout en l’observant. Son visage se déformant par des grimaces de plaisir, ses cheveux rouges étalées en auréole autour de sa tête sur les coussins. « Ma sirène… » Gémis-je avec un sourire tendre dans lequel l’amour que j’éprouvais pour elle paraissait. Une once de douceur dans cette violence. La seule. L’unique. Elle était si belle. Elle était mienne. Sentant que je risquais de venir, je me retirais, pour intensifier son plaisir à l’aide de mes doigts que j’entrais en elle sans aucune simagrée. Je voulais la faire jouir en même temps que moi. Alors j’y allais franco, faisant des va et vient rapide de ma main libre, maintenant toujours ses jambes de l’autre. Je déposais une ligne de baiser le long de ses mollets au rythme de ses gémissements devenant de plus en plus irréguliers et forts. J’attendrais. Je serais patient. J’attendrais le bon moment pour la pénétrer à nouveau et la faire succomber au septième ciel. Je voulais l’entendre hurler de plaisir comme jamais.
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mar 8 Mar - 14:26
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L
a jeune femme sentait des vagues de plaisir la submerger à chaque coup de reins que lui assénait Kazuya. Parfois elle détestait l'admettre, mais il connaissait la noirceur de son âme, il savait ce qu'elle aimait, il savait que pour elle la souffrance se mêlait aussi avec le plaisir et la jouissance. A chaque pénétrée, elle sentait le plaisir grandir au creux de son ventre, mais aussi son cœur se briser un peu plus. Elle l'aimait. Elle l'aimait vraiment à en crever. Mais elle n'était pas prête à sacrifier la femme qu'elle était. Récemment, il était devenu plus demandant, plus possessif, plus violent... Enfermant Ivy dans cette relation qui les faisait souffrir tous les deux malgré cet amour destructif et passionné. Elle était en train de se perdre, de le laisser la modeler à être sa chose et non plus Ivy. Malgré sa résistance, malgré les disputes, malgré son tempérament, elle sentait qu'elle changeait pour éviter de le rendre jaloux, de le blesser, de le mettre en colère... Elle changeait qui elle était, alors qu'elle avait déjà bien du mal à faire le point sur qui elle était réellement. La souffrance qu'était de savoir qu'elle le laissait lui faire l'amour une dernière fois semblait amplifier son plaisir. Était-ce la souffrance ou son inconscient qui lui dictait de profiter de chaque caresse, de la sensation de l'homme qu'elle aimait en elle, d'être ensemble tout simplement... Elle ne saurait le dire. Mais le plaisir lui montait à la tête, elle avait du mal à penser, à réfléchir. Il la faisait planer, et savait la faire gémir comme personne d'autre n'avait jamais su. Le poids mesuré de Kazuya sur elle l'électrisait. Elle gémissait de plus en plus fort à chaque mouvement de son bassin. Elle s'accrochait à son dos, ses épaules, y plantant ses ongles alors qu'elle essayait de suivre le rythme qu'il imposait. Lorsqu'il se retira, elle émit un grognement contrarié, suivit d'une sorte de glapissement surpris alors qu'il saisissait ses jambes pour changer leur position. Ses mains s’agrippèrent aux draps alors qu'elle le sentait en elle à nouveau. Sa respiration était saccadée, elle gémissait sans retenue complètement à sa merci. Il se retira à nouveau, elle soupira, avant de sentir ses doigts en elle. Elle gémit de plus belle, frissonnant à chaque mouvement. En plus de ses va et vient, de son pouce il titillait cette boule de chair gonflée et sensible qui lui envoyait des décharges de plaisir à chaque contact. Sa respiration était erratique, ses gémissements irréguliers, elle se cambrait submergée par toutes ces sensations, cherchant encore plus le contact de sa main en et contre son intimité en bougeant ses hanches dans des gestes rendus maladroits par le plaisir. Au creux de son ventre et de ses reins, elle sentait le plaisir accumulé prêt à exploser. Et comme s'il l'avait senti, Kazuya cessa de la torturer de ses doigts pour entrer en elle à nouveau. Après quelques coups de reins bruts et intenses, Ivy poussa une sorte de cri étranglé, la tête rejetée en arrière et les doigts de pieds recourbés, le plaisir traversait tout son corps alors qu'elle sentait encore Kazuya en elle. Elle était perdue dans les limbes du désir et de la jouissance. Elle le sentit arriver à ce même point de non retour, gémissant à l'idée qu'il ait prit autant de plaisir à la combler, pour une dernière fois... Elle laissa ses jambes retomber, les gardant légèrement ouvertes alors qu'elle attirait Kazuya à elle. Elle l'embrassa avec passion mais aussi, et enfin, avec tendresse. Elle caressait sa nuque et la base de ses cheveux. Elle l'embrassa jusqu'à étouffer, et lorsqu'elle n'eut plus de souffle, elle garda son visage tout proche du sien, sa respiration essoufflée caressait son visage. « Je t'aime... » Un murmure, une supplique... Elle l'aimait mais cette relation ne pouvait plus durer, ils se faisaient trop de mal. Elle passa ses bras autour de sa taille, le serrant contre elle, sa poitrine se soulevant encore au rythme de sa respiration. « Je t'aime et ça me fout complètement en l'air... »

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mer 9 Mar - 13:37
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   KAVY
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A
pres trois ans de relation, à distance ou non, j’avais appris à connaitre parfaitement le corps de ma petite sirène aux longs cheveux rouges. Au point que je pouvais lui faire plaisir même les yeux fermés, et je ne me vantais absolument pas. Quand on connait quelqu’un depuis si longtemps, ce n’est pas difficile de savoir où se cachait tous ses points sensibles. Je lui donnais tout le plaisir dont j’étais capable. J’étais peut être maladroit pour lui prouver mon amour et lui montrer à quel point je l’aimais, mais une chose dont j’étais passé maitre dans l’art, c’était la faire monter au septième ciel en un claquement de doigt. Sur ce point-là au moins, elle ne pouvait rien me reprocher. Un sourire naissant naturellement au coin de mes lèvres en l’entendant gémir de plus en plus fort sous mes assauts répétés et millimétrés. Elle semblait enfin lâcher prise et s’offrir tout entière à moi, abandonnant son tempérament de tête brulée le temps de quelques minutes, juste de quoi la posséder assez pour ne pas lui faire regretter son choix. Il n’en fallait pas plus pour me donner la volonté de la faire fondre sous mes doigts. J’aimais la voir se démener sous mes doigts pour les sentir plus profondément en elle. Parfois, je les éloignais subtilement de son point g pour qu’elle vienne les chercher d’elle-même, comme pour la titiller, juste pour l’embêter un peu et que son envie de moi n’en soit que grandit. Et quand j’estimais que je l’avais assez torturé, qu’elle était prêté pour le grand moment, j’enlevais mes doigts avec rapidité pour la pénétrer sans aucune hésitation avec mon membre d’un grand coup de rein qui lui arrachait un cri. Et comme si de rien était je me remis à l’œuvre en elle pour la faire jouir. Et alors même que je sentais son corps se tordre de plaisir sous moi, je continuais à aller et venir en elle pour atteindre l’orgasme à mon tour. Je jouis en elle sans retenue, m’écroulant à ses côtés alors que la jeune femme m’attirait à elle. Elle m’embrassait comme jamais, comme si sa vie en dépendait, et j’avouais avoir adoré cela. Ca faisait si longtemps qu’elle ne m’avait pas rendu un baiser avec autant de passion. Et même si je commençais à manquer d’air, je ne me débattais pas, je la laissais faire. Elle me libèrerait que quand elle l’aurait décidé. Décision qui suivit de près alors qu’elle était également à bout de souffle comme si elle venait de courir un cent mètres. Nos lèvres restaient toujours à quelques centimètres l’une de l’autre, et profitant de sa proximité, de son souffle chaud sur mon visage, je lui donnais de douces caresses du bout du nez sur le sien, avant de coller mon front au sien. « Moi aussi je t’aime, ma sirène.. » répondis-je n’ayant plus aucune haine dans mon regard. J’étais serein. J’étais bien contre elle, mes bras s’enroulant autour de sa taille, nos visages si près. Je la laissais me serrer contre elle, et je refermais ma prise, enfouissant mon visage dans sa chevelure. Je déposais un collier de baisers dans sa nuque et sa mâchoire. « C’est comme ca qu’on s’aime Ivy. On s’aime à en crever. » Ca me semblait tellement logique pour ma part. C’était une évidence qui était là depuis le début de notre relation, mais apparemment, elle venait à peine de le découvrir. J’avais ce côté sombre. Ce côté autodestructeur que je ne lui avais jamais caché, et elle savait. Elle savait que m’aimer de ne serait pas facile. Ou plutôt, se laisser aimer par un démon …
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Sam 12 Mar - 23:04
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    KAVY
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E
lle adorait le sentir en elle. Il connaissait son corps par cœur, il en jouait tellement souvent. Elle avait connu des amants avant lui, mais aucun n'avait su la satisfaire comme lui. Il la rendait complètement folle, il comprenait et connaissait chacune de ses envies, de ses attentes. Il savait ce qui la faisait gémir plus fort, ce qui la faisait crier et aussi comment la faire se cambrer en atteignant ce point de non retour. Alors qu'elle le tenait contre elle après un moment aussi intense, Ivy avait du mal à se dire qu'elle venait de le vivre pour la dernière fois. Elle avait du mal à réaliser qu'elle allait prendre la décision de mettre fin à leur histoire... Comment le pouvait-elle ? Ça lui paraissait presque impossible, insurmontable. En trois ans de relation, elle avait eu le temps de complètement oublier comment vivre sans lui. Mais il le fallait. Il la transformait en une Ivy qu'elle ne reconnaissait pas. Elle n'avait pas de vision idéalisée de l'amour, pour elle il fallait en souffrir, mais elle ne supportait pas l'idée de devenir une autre pour lui. Ils s'aimaient à en crever c'est vrai. L'aimer à en crever c'est ce qu'elle faisait. Mais finalement, crever la dérangeait moins que de s'oublier. Kazuya était contre elle, elle savourait la chaleur de sa peau contre la sienne, de ses baisers délicats, en opposition totale avec les moments qu'ils venaient de partager. « Tu sais, depuis un moment, je me suis rendue compte que je m'empêchais de faire plein de choses. » Son ton était étrange pour ce qu'elle annonçait. Sa voix était douce, calme, et Ivy semblait complètement détachée de ce qu'elle disait. Elle le tenait contre elle, sa main caressait la peau chaude du dos et de la nuque de Kazuya. « Je me retiens de parler à certaines personnes, ou de faire certaines choses... Parce que j'ai peur de te blesser, de te voir péter un câble... » Et ça arrivait de plus en plus. Elle n'était pas particulièrement sociable, mais elle aimait découvrir les histoires des gens. Elle était tactile aussi, sans doute grâce à son éducation sur le continent océanique, et pourtant, elle s'interdisait de toucher ses amis lorsqu'elle savait Kazuya dans les parages. Elle bridait complètement sa personnalité. « Je suis en train de changer. Je deviens une Ivy autre pour éviter de te faire du mal. Et je me fais du mal à moi, je me fous en l'air. Je deviens une femme que je ne suis pas. Je ne suis même plus la Ivy dont tu es tombé amoureux. » Elle ferma les yeux, repenser à leur histoire à la façon dont ils s'étaient plu, ils s'étaient séduits, ça lui crevait le cœur. « Je supporte plus de me perdre Kaz'. » Elle finit par croiser son regard, gardant son ton posé. « Je supporte plus de ne plus savoir qui je suis, de me perdre. Je t'aime à en crever. Et je préférerais crever que changer comme je le fais. » Elle lui caressa la joue doucement, sentant son cœur se serrer et se briser irrémédiablement. « Je t'aime mais ça peut plus durer Kaz'. Je suis pas faite pour vivre en cage. » Et elle n'était pas faite pour le faire souffrir. Elle savait qu'ils souffriraient de cette séparation, mais il le fallait.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Mar 12 Avr - 15:06
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   Tu es à moi.

I
vy,  c'était mon premier amour. J’avais su au premier regard que je la voulais. Je voulais que ce soit elle. Je n’étais pas du genre à croire au coup de foutre qui vous tombe dessus sans crier gare, ni à l’amour tout court ou encore moins à toutes ces conneries gnangnans. J’étais juste un gosse paumé qui cherchait à faire l’intéressant pour un peu d’affection dont on l’avait tant privé. Pourtant, la jeune femme qu’elle était, avait réalisé l’impossible. Elle avait réussi à me faire ressentir des choses dont je ne pensais même pas être capable. Ce sentiment de bien-être qui vous enveloppe dans un voile de chaleur comme une couverture bien chaude les soirs d’hiver. Le sentiment d’aimer tout simplement. Je devenais maladroit face à son sourire timide. Le petit caïd de l’école qui avait le cœur comme un fondant au chocolat face à une fille. Quelle ironie, n’est-ce pas ? Elle avait réussi à toucher mon cœur et j’avais craqué pour elle. J’étais persuadé qu’elle était mon âme sœur à l’époque. Et encore aujourd’hui… malgré nos disputes, malgré mes crises de jalousie, malgré notre destruction mutuelle… elle était toujours la seule et unique femme dont j’étais amoureux. J’avais conscience que je pouvais blesser et être maladroit quand je disais je t’aime, mais j’avais toujours cru que si elle me pardonnait, je pouvais aussi me pardonner et être un tant soit peu en paix. Je n’avais aucune idée du fait d’avoir franchi le point de non-retour. Cette limite qui la déciderait à me quitter. Je me blottissais contre son corps encore chaud de nos ébats, enfouissant mon visage dans le creux de son cou. Je respirais paisiblement, profitant d’un ces moments de tendresse devenu si rares. La colère en moi s’état estompé. Je m’étais calmé entre ses bras. Elle avait ce don de tout me faire oublier. Je voulais plus reparler de ce malentendu de plus entre nous. J’étais plus serein et elle m’avait murmuré qu’elle m’aimait. C’était tout ce que je voulais au fond. J’avais juste besoin de l’entendre dire pour me savoir rassurer. Encore et encore. Comme un gamin dont il fallait s’occuper h24. Je ne voulais plus qu’une seule chose : passer la nuit à ses côtés, prêt de cette chaleur qui manquait à mon âme. J’écoutais Ivy parler les yeux fermés, me prélassant comme un gros félin sur son flan. Pourtant, le ton qu’elle prit fit naitre en moi un mauvais pressentiment. Une boule au ventre naissant sans trop comprendre pourquoi, mes muscles se redirent comme si je devais m’apprêter à être sur la défensive. Sur le coup, je ne comprenais pas vraiment où elle voulait en venir. Je me raidis contre elle alors qu’elle me caressait le dos au fur et à mesure que ses mots sortaient de sa bouche. Au fond de moi, je savais où elle en venait en venir. Elle était en train d’énumérer mes fautes et mes erreurs envers elle. Toutes les choses qui avaient toujours fait qui j’étais. Elle me faisait comprendre avec tact que j’étais le seul fautif de ce qui m’arrivait. Qui sème le vent, récolte la tempête disait-on. C’était sans doute ce qui était entrain de m’arriver, mais je ne pouvais décidemment pas l’accepter. Alors je préférais faire l’autruche et attendre qu’elle m’annonce la nouvelle qui me détruirait. Malgré moi, des larmes perlaient au coin de mes yeux, les faisant briller à la lumière que dégageait la lune par la fenêtre. Je relevais la tete sans oser la regarder, ravalant ma tristesse naissante. Elle ne me verrait pas pleurer. Sa caresse me fit la fixer et je finis pas croiser son regard. Cette caresse était bien pire que n’importe lesquels de ses mots. Je lui attrapais le poignet le serrant plus fort avant de l’obliger à ne pas me toucher. Mon visage était maintenant fermé de sévérité. Je la regardais froidement comme jamais encore je venais de le faire. Je venais de fermer mon cœur pour ne pas me blesser. Cette carapace qu’elle avait réussi à briser il y a 3 ans, se referma plus facilement qu’elle ne s’était ouverte. « Tu veux en venir où Ivy ? Dis-le. » Murmurais-je sur un presque menaçant. Inconsciemment, je m’étais éloigné d’elle de quelques centimètres, ne cessant de la fixer, redevant celui que j’étais autrefois. Cet adolescent à qui on privait encore une fois de l’amour qu’il avait perdu…
WILDBIRD
 
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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | Jeu 14 Avr - 15:36
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    KAVY
   TU ES À MOI.

M
ettre son mal être en parole était douloureux et à la fois libérateur pour Ivy. Elle avait toujours aimé Kazuya. De leur première rencontre où elle avait trouvé ce jeune homme mystérieux fascinant, au jour où il avait enfin osé l'embrasser pour la première fois. A chaque fois, chaque jour qui passait, elle n'avait fait que tomber un peu plus amoureuse de lui. Même s'ils ne se voyaient que de façon épisodique grâce à Lily et Kouji, elle n'avait cessé de nourrir cet amour naissant pour lui. A présent, elle était amoureuse de lui à un tel point que cela l'empêchait de respirer, cet amour était écrasant et douloureux. Parce que cet amour l'empêchait d'être elle-même, d'être Ivy, cette femme battante et curieuse du monde qui l'entourait, avide d'histoires et de beautés insoupçonnées dans les regards ou les lieux qu'elle visitait. A petit feu, pour continuer à plaire à Kazuya, pour ne pas le blesser et lui faire du mal, elle tuait cette Ivy. Mais l'amour, ce n'était pas ça...  Immédiatement, elle vit l'attitude de Kazuya changer. Elle le vit se renfermer sur lui-même, quelque chose dans son regard avait changé... Et elle savait parfaitement ce que cela voulait dire. Elle crevait de douleur à l'idée de savoir que c'était elle qui était en train de lui briser le cœur, de lui faire subir la souffrance d'être abandonné une nouvelle fois. Elle se redressa à son tour, ne le touchant pas, il avait besoin de cette distance, il avait besoin de cette froideur, elle la lui accordait. « Tu as vraiment besoin de me l'entendre dire Kaz' ? » Sa voix n'était qu'un souffle, depuis quand respirer était aussi douloureux ? « Tu es en train de tuer celle que je suis à petit feu... Je t'aime. Je t'aime tellement que je change complètement. Je détruis la Ivy que tu aimes pour que tu continues de m'aimer... » Bien qu'elle ne pleurait pas, les larmes et sa souffrance étaient audibles dans sa voix. « Mais une relation c'est pas ça Kazuya... Ces dernières semaines on a fait que s'engueuler toi et moi, et je suis certaine que l'amour c'est pas ça. On se fait trop de mal. J'ai envie de crever quand t'es loin de moi mais j'ai l'impression de crever quand tu es avec moi. » Elle commençait à avoir les larmes aux yeux, elle prit quelques instants pour se ressaisir. « Si on veut pas finir par complètement se foutre en l'air, il vaut mieux en rester là Kaz'... Ca peut plus durer. » Elle croisa son regard, et une larme coula le long de sa joue. « Au fond de toi tu sais non ? Tu sais que c'est mieux comme ça... » Il allait exploser, elle le savait. Elle avait toujours su au fond que s'ils se séparaient un jour, ce serait dans les cris et la souffrance. Elle avait la souffrance, elle n'attendait plus que les cris.

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Re: Tu es à moi - Kavy +18 | 
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