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1, 2[EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Dim 8 Jan - 22:55 
Wearing. | La jeune femme aimait les défis, les choses qui s'annonçaient comme des épreuves qu'elle pouvait relever. Elle ignorait que Nam Kyung en serait une, mais ce qu'elle avait déjà compris, c'était que si elle voulait avoir un de ses dessins sur sa peau, elle devrait se battre. En quoi n'était-elle pas méritante ? Certes, les choses avec lui avaient mal commencé, mais elle saurait le convaincre, si son talent était aussi grand qu'il le disait bien évidemment. Et pour le moment, elle n'avait pas vu, ne serait-ce qu'un trait, ses dessins. « Et si c'était tes dessins qui ne méritaient pas ma peau hein ? » Elle le regardait dans les yeux, une lueur de défi dans le regard alors qu'un sourire soulevait le coin de sa bouche. Sur ce, il se rassit sur son lit de fortune, et après un instant, Ivy finit par remettre son t-shirt qu'elle avait ôté et omit de remettre jusque-là. Elle eut un rire alors qu'elle replaçait ses cheveux correctement, haussant les épaules à la remarque de Nam Kyung. « J'ai pas vraiment été élevé dans la modestie et dans l'humilité. » Un peu par la force des choses il faut dire. Son père ne croyant pas en elle, elle avait dû doublement croire en elle et en sa valeur, un peu trop peut-être ? Elle regarda le coréen d'un œil inquisiteur, toujours ce léger sourire étirant ses lèvres. « Mais de c'que j'ai vu, t'es très sûr de toi aussi... » Alors qu'il ne lui reproche pas de l'être, surtout que pour elle il ne s'agissait pas là d'un défaut. Elle aimait les personnes qui connaissaient leur valeur, quand bien même cela pouvait être quelque peu surestimé parfois. Un silence s'installa, jusqu'à ce qu'elle finisse par se souvenir de leur première rencontre, et de s'en excuser. Élan de générosité ? Non, simple remise en question. Ivy se savait capable d'être détestable, surtout lorsqu'elle était terriblement en colère, comme ce jour-là. « Oh ça va ! » Râla-t-elle à ses moqueries et son sourire narquois. Pour le faire disparaître, elle alla même jusqu'à lui jeter son coussin pour qu'il cesse de se moquer d'elle. Elle laissa échapper un léger rire malgré elle en se rallongeant, tournée vers le coréen, utilisant son propre bras comme un oreiller. « J'étais en colère... Enfin, plus que d'habitude. » Répondit-elle songeuse. Elle ne comptait plus le nombre de fois où on lui avait demandé pourquoi elle était si en colère... Parce qu'elle avait besoin de réponse, elle avait besoin de savoir qui elle était vraiment. A grandir en colère, on devenait une sorte de furie. « On va dire que ce jour-là, la journée avait été longue. Et tu étais là au mauvais moment. » Elle fronça les sourcils un instant à sa propre remarque. « Ou au bon. Juste que ce n'était pas un de mes meilleurs jours... » Pourtant, Ivy savait être tellement plus que ce qu'elle montrait en général. « Tu ne m'as toujours pas dit ce que tu faisais là-bas d'ailleurs. Tu vendais quoi ? » Et une fois de plus, un sourire un peu narquois souleva le coin de sa bouche. « Allez fais pas genre, je suis certaine que tu vendais quelque chose, c'est le quartier pour ! » On vendait ou on achetait, et sans savoir pourquoi, elle voyait Nam Kyung plus vendeur, qu'acheteur.
Au détour d'une page
Lim Nam Kyung & Park R. Ivy
Wearing. | La jeune femme aimait les défis, les choses qui s'annonçaient comme des épreuves qu'elle pouvait relever. Elle ignorait que Nam Kyung en serait une, mais ce qu'elle avait déjà compris, c'était que si elle voulait avoir un de ses dessins sur sa peau, elle devrait se battre. En quoi n'était-elle pas méritante ? Certes, les choses avec lui avaient mal commencé, mais elle saurait le convaincre, si son talent était aussi grand qu'il le disait bien évidemment. Et pour le moment, elle n'avait pas vu, ne serait-ce qu'un trait, ses dessins. « Et si c'était tes dessins qui ne méritaient pas ma peau hein ? » Elle le regardait dans les yeux, une lueur de défi dans le regard alors qu'un sourire soulevait le coin de sa bouche. Sur ce, il se rassit sur son lit de fortune, et après un instant, Ivy finit par remettre son t-shirt qu'elle avait ôté et omit de remettre jusque-là. Elle eut un rire alors qu'elle replaçait ses cheveux correctement, haussant les épaules à la remarque de Nam Kyung. « J'ai pas vraiment été élevé dans la modestie et dans l'humilité. » Un peu par la force des choses il faut dire. Son père ne croyant pas en elle, elle avait dû doublement croire en elle et en sa valeur, un peu trop peut-être ? Elle regarda le coréen d'un œil inquisiteur, toujours ce léger sourire étirant ses lèvres. « Mais de c'que j'ai vu, t'es très sûr de toi aussi... » Alors qu'il ne lui reproche pas de l'être, surtout que pour elle il ne s'agissait pas là d'un défaut. Elle aimait les personnes qui connaissaient leur valeur, quand bien même cela pouvait être quelque peu surestimé parfois. Un silence s'installa, jusqu'à ce qu'elle finisse par se souvenir de leur première rencontre, et de s'en excuser. Élan de générosité ? Non, simple remise en question. Ivy se savait capable d'être détestable, surtout lorsqu'elle était terriblement en colère, comme ce jour-là. « Oh ça va ! » Râla-t-elle à ses moqueries et son sourire narquois. Pour le faire disparaître, elle alla même jusqu'à lui jeter son coussin pour qu'il cesse de se moquer d'elle. Elle laissa échapper un léger rire malgré elle en se rallongeant, tournée vers le coréen, utilisant son propre bras comme un oreiller. « J'étais en colère... Enfin, plus que d'habitude. » Répondit-elle songeuse. Elle ne comptait plus le nombre de fois où on lui avait demandé pourquoi elle était si en colère... Parce qu'elle avait besoin de réponse, elle avait besoin de savoir qui elle était vraiment. A grandir en colère, on devenait une sorte de furie. « On va dire que ce jour-là, la journée avait été longue. Et tu étais là au mauvais moment. » Elle fronça les sourcils un instant à sa propre remarque. « Ou au bon. Juste que ce n'était pas un de mes meilleurs jours... » Pourtant, Ivy savait être tellement plus que ce qu'elle montrait en général. « Tu ne m'as toujours pas dit ce que tu faisais là-bas d'ailleurs. Tu vendais quoi ? » Et une fois de plus, un sourire un peu narquois souleva le coin de sa bouche. « Allez fais pas genre, je suis certaine que tu vendais quelque chose, c'est le quartier pour ! » On vendait ou on achetait, et sans savoir pourquoi, elle voyait Nam Kyung plus vendeur, qu'acheteur.
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Ahn Dae Won
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Dim 29 Jan - 2:54
Un rire amusé s'échappe de ma bouche quand Ivy remet en doute mes capacités de dessinateur. S'il y a bien une chose sur laquelle je suis plus que confiant, ce sont assurément mes dessins et l'étendu de mon talent dans cet art. Elle pourra donc dire ce qu'elle veut à ce sujet, je ne cesserais jamais de penser que mon travail mérite que je choisisse (tout du moins, tant que cela m'est encore possible) qui peut ou non en profiter. Une moue moqueuse sur le visage, j'hausse donc faiblement les épaules, feignant de ne pas remarquer l'air de défi sur son visage, et finis par m'exclamer comme s'il s'agissait là d'une évidence : « En attendant, ce n'est pas moi qui te supplie presque pour que tu daignes accepter que l'un d'entre eux finissent sur ta peau, donc la question ne se pose pas... » Oui, j'ai vraiment pleinement confiance en mes dessins... Toutefois, contrairement à ce que la jeune femme finit par dire, c'est peut-être l'une des seules choses dont j'ai pris l'habitude de me vanter. Je me contente cependant d'un « Si tu le dis... » pour toute réponse à ses insinuations et, finalement, la conversation prend une toute autre tournure quand Ivy évoque notre rencontre. Celle pendant laquelle j'ai bien cru qu'elle allait m'arracher la tête... Pourtant, comme cette dernière finit bien vite par l'avouer en s'excusant, rien ne justifiait qu'elle ait ces quelques pulsions meurtrières envers ma personne. Prise de conscience de la part de la jeune femme qui ne manque bien évidemment pas de m'étonner et me donne même une raison de plus pour la taquiner, au risque de subir une attaque sauvage de coussin que je ne parviens malheureusement pas à éviter. Je laisse toutefois échapper un rire et finis par lâcher : « Ah ben merci, ça je l'avais bien capté que tu étais en colère... » Même un aveugle l'aurait certainement remarqué, d'ailleurs. Cependant, je dois bien avouer que sa réponse me laisse quelque peu sur ma faim. Elle était en colère, ok. Mais en colère pourquoi ? Question à plusieurs millions de wons, je suppose ? Toutefois, malgré ma curiosité grandissante, je décide de ne pas la questionner plus longtemps à ce propos. Tout du moins, pas directement. Ainsi, haussant une nouvelle fois les épaules, je me contente de dire, et ce, en arborant ce même sourire qui ornait son visage, il n'y a même pas deux secondes : « Pourquoi je devrais te le dire ? Ça ne marche pas comme ça, tu sais ? C'est donnant donnant. Tu n'as pas vraiment répondu à ma question alors je ne vois pas pourquoi je devrais répondre à la tienne... » Mais parce que je suis dans mon jour de bonté, semble-t-il, je finis par reprendre la parole et ajoute : « Mais s'il s'agit bien de cette chose à laquelle je pense, alors sache encore une fois, comme je te l'ai déjà dit cette nuit-là, que tu te trompes sur toute la ligne...» Certes, j'ai déjà vendu. Je vendais d'ailleurs encore il y a un peu moins d'un an. Mais cette nuit-là, ce n'est pas pour ça que je me trouvais dans ce quartier-là. C'est plus... Compliqué. Et assurément la dernière chose que je partagerais avec la jeune femme ici présente. « Puis, tu apprendras qu’on ne fait pas que vendre et acheter dans ce genre de quartiers. Il y a des gens qui y vivent également… D’ailleurs, faudra m'expliquer pourquoi c’est devenu une obsession pour toi de savoir si je m’adonne à ce genre de pratique ?! » Je fronce légèrement les sourcils, un air sérieux sur le visage (bien que le faible sourire en coin qui tend à prendre possession de mes lèvres me trahisse légèrement), et demande faussement intéressé : « T’es en manque ? Non parce que, personnellement, j’vends rien mais j’peux te présenter quelqu’un, si tu veux ?! » Ouais, je me fous un peu de sa gueule, c’est vrai...
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park r. ivy & lim nam kyung
Un rire amusé s'échappe de ma bouche quand Ivy remet en doute mes capacités de dessinateur. S'il y a bien une chose sur laquelle je suis plus que confiant, ce sont assurément mes dessins et l'étendu de mon talent dans cet art. Elle pourra donc dire ce qu'elle veut à ce sujet, je ne cesserais jamais de penser que mon travail mérite que je choisisse (tout du moins, tant que cela m'est encore possible) qui peut ou non en profiter. Une moue moqueuse sur le visage, j'hausse donc faiblement les épaules, feignant de ne pas remarquer l'air de défi sur son visage, et finis par m'exclamer comme s'il s'agissait là d'une évidence : « En attendant, ce n'est pas moi qui te supplie presque pour que tu daignes accepter que l'un d'entre eux finissent sur ta peau, donc la question ne se pose pas... » Oui, j'ai vraiment pleinement confiance en mes dessins... Toutefois, contrairement à ce que la jeune femme finit par dire, c'est peut-être l'une des seules choses dont j'ai pris l'habitude de me vanter. Je me contente cependant d'un « Si tu le dis... » pour toute réponse à ses insinuations et, finalement, la conversation prend une toute autre tournure quand Ivy évoque notre rencontre. Celle pendant laquelle j'ai bien cru qu'elle allait m'arracher la tête... Pourtant, comme cette dernière finit bien vite par l'avouer en s'excusant, rien ne justifiait qu'elle ait ces quelques pulsions meurtrières envers ma personne. Prise de conscience de la part de la jeune femme qui ne manque bien évidemment pas de m'étonner et me donne même une raison de plus pour la taquiner, au risque de subir une attaque sauvage de coussin que je ne parviens malheureusement pas à éviter. Je laisse toutefois échapper un rire et finis par lâcher : « Ah ben merci, ça je l'avais bien capté que tu étais en colère... » Même un aveugle l'aurait certainement remarqué, d'ailleurs. Cependant, je dois bien avouer que sa réponse me laisse quelque peu sur ma faim. Elle était en colère, ok. Mais en colère pourquoi ? Question à plusieurs millions de wons, je suppose ? Toutefois, malgré ma curiosité grandissante, je décide de ne pas la questionner plus longtemps à ce propos. Tout du moins, pas directement. Ainsi, haussant une nouvelle fois les épaules, je me contente de dire, et ce, en arborant ce même sourire qui ornait son visage, il n'y a même pas deux secondes : « Pourquoi je devrais te le dire ? Ça ne marche pas comme ça, tu sais ? C'est donnant donnant. Tu n'as pas vraiment répondu à ma question alors je ne vois pas pourquoi je devrais répondre à la tienne... » Mais parce que je suis dans mon jour de bonté, semble-t-il, je finis par reprendre la parole et ajoute : « Mais s'il s'agit bien de cette chose à laquelle je pense, alors sache encore une fois, comme je te l'ai déjà dit cette nuit-là, que tu te trompes sur toute la ligne...» Certes, j'ai déjà vendu. Je vendais d'ailleurs encore il y a un peu moins d'un an. Mais cette nuit-là, ce n'est pas pour ça que je me trouvais dans ce quartier-là. C'est plus... Compliqué. Et assurément la dernière chose que je partagerais avec la jeune femme ici présente. « Puis, tu apprendras qu’on ne fait pas que vendre et acheter dans ce genre de quartiers. Il y a des gens qui y vivent également… D’ailleurs, faudra m'expliquer pourquoi c’est devenu une obsession pour toi de savoir si je m’adonne à ce genre de pratique ?! » Je fronce légèrement les sourcils, un air sérieux sur le visage (bien que le faible sourire en coin qui tend à prendre possession de mes lèvres me trahisse légèrement), et demande faussement intéressé : « T’es en manque ? Non parce que, personnellement, j’vends rien mais j’peux te présenter quelqu’un, si tu veux ?! » Ouais, je me fous un peu de sa gueule, c’est vrai...Code by kerushirei
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Dim 5 Fév - 22:45
Wearing. | Depuis la première fois qu'elle avait rencontré Nam Kyung, beaucoup de choses avaient changé pour Ivy. Elle avait réapprit à doucement se socialiser mais les habitudes qu'elle avait pris durant ces trois dernières années avaient la vie dure. Et elle avait aussi apprit qui était son père biologique (et également qu'elle avait trois demi-frères). Trop lâche, elle n'avait pas encore eu le courage de les rencontrer. Ça faisait des semaines qu'elle avait leurs noms couchés sur le papier, et deux supposées adresses. La peur au ventre, elle n'avait toujours pas osé s'y replonger et prit une décision. La jeune femme, en tout cas, n'était déjà plus cette Ivy complètement enragée, enfin, ça dépendait des moments. Elle eut un rire à la remarque du coréen, il était plutôt facile de remarquer lorsqu'ils s'étaient rencontrés qu'elle n'était pas à prendre avec des pincettes c'est vrai. Mais pour se justifier, elle se voyait mal lui parler de son adoption et de ses recherches, c'était intime et quelque chose qui la hantait assez au quotidien pour qu'elle ne parvienne à en parler avec facilité. Elle fit la moue lorsque lui aussi refusa de lui répondre. Sa sorte de petit sermon la fit beaucoup rire également, bien qu'elle ne le montra pas. Seul le coin relevé de ses lèvres trahissaient son amusement. Pour toute réponse, elle commença d'abord par son majeur élégamment levé, avant de se redresser un peu sur son lit de fortune. « Je sais que des gens y vivent. Et vu la porte claquée que j'me suis prise ce jour-là, on peut trouver quartier plus chaleureux. » L'amertume d'avoir encore échoué et le fait de s'être fait jeter comme une mal propre l'avaient vraiment mise dans une rage folle. Ce profond ressentiment était passé, même si la jeune femme restait un animal un peu sauvage et blessé, elle apprenait doucement à se rouvrir aux autres. La preuve, elle essayait de connaître un peu mieux Nam Kyung. Il l'intriguait, elle trouvait qu'il avait ce côté mystérieux et « je m'en foutiste », elle était curieuse de savoir qui il était vraiment, parce qu'il était aussi un pro de l'esquive quant il s'agissait de parler de lui. « C'est juste que j'suis curieuse. Et j'ai un faible pour les bad boys, alors j'aime bien savoir à qui j'ai à faire. » Elle sourit, malicieuse avant de paraître un peu plus sérieuse. « T'essayais d'me faire comprendre que ta famille vit là-bas au fait ? » C'était une possibilité qu'elle n'avait pas imaginé car elle ne voyait pas comment il pouvait étudier à Yonsei si c'était le cas. Elle se rallongea confortablement et le pointa du doigt comme si elle allait lui tirer dessus. « A charge de revanche en tout cas. » Elle fouilla ensuite rapidement dans son sac et sorti une petite boîte métallique d'une des pochettes intérieures. Elle l'ouvrit et prit un joint qui s'y trouvait. « Et merci pour ta proposition mais j'ai tout ce qu'il faut. » Elle le lui tendit, le briquet à portée de main. « Ça te dit ? »
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Lim Nam Kyung & Park R. Ivy
Wearing. | Depuis la première fois qu'elle avait rencontré Nam Kyung, beaucoup de choses avaient changé pour Ivy. Elle avait réapprit à doucement se socialiser mais les habitudes qu'elle avait pris durant ces trois dernières années avaient la vie dure. Et elle avait aussi apprit qui était son père biologique (et également qu'elle avait trois demi-frères). Trop lâche, elle n'avait pas encore eu le courage de les rencontrer. Ça faisait des semaines qu'elle avait leurs noms couchés sur le papier, et deux supposées adresses. La peur au ventre, elle n'avait toujours pas osé s'y replonger et prit une décision. La jeune femme, en tout cas, n'était déjà plus cette Ivy complètement enragée, enfin, ça dépendait des moments. Elle eut un rire à la remarque du coréen, il était plutôt facile de remarquer lorsqu'ils s'étaient rencontrés qu'elle n'était pas à prendre avec des pincettes c'est vrai. Mais pour se justifier, elle se voyait mal lui parler de son adoption et de ses recherches, c'était intime et quelque chose qui la hantait assez au quotidien pour qu'elle ne parvienne à en parler avec facilité. Elle fit la moue lorsque lui aussi refusa de lui répondre. Sa sorte de petit sermon la fit beaucoup rire également, bien qu'elle ne le montra pas. Seul le coin relevé de ses lèvres trahissaient son amusement. Pour toute réponse, elle commença d'abord par son majeur élégamment levé, avant de se redresser un peu sur son lit de fortune. « Je sais que des gens y vivent. Et vu la porte claquée que j'me suis prise ce jour-là, on peut trouver quartier plus chaleureux. » L'amertume d'avoir encore échoué et le fait de s'être fait jeter comme une mal propre l'avaient vraiment mise dans une rage folle. Ce profond ressentiment était passé, même si la jeune femme restait un animal un peu sauvage et blessé, elle apprenait doucement à se rouvrir aux autres. La preuve, elle essayait de connaître un peu mieux Nam Kyung. Il l'intriguait, elle trouvait qu'il avait ce côté mystérieux et « je m'en foutiste », elle était curieuse de savoir qui il était vraiment, parce qu'il était aussi un pro de l'esquive quant il s'agissait de parler de lui. « C'est juste que j'suis curieuse. Et j'ai un faible pour les bad boys, alors j'aime bien savoir à qui j'ai à faire. » Elle sourit, malicieuse avant de paraître un peu plus sérieuse. « T'essayais d'me faire comprendre que ta famille vit là-bas au fait ? » C'était une possibilité qu'elle n'avait pas imaginé car elle ne voyait pas comment il pouvait étudier à Yonsei si c'était le cas. Elle se rallongea confortablement et le pointa du doigt comme si elle allait lui tirer dessus. « A charge de revanche en tout cas. » Elle fouilla ensuite rapidement dans son sac et sorti une petite boîte métallique d'une des pochettes intérieures. Elle l'ouvrit et prit un joint qui s'y trouvait. « Et merci pour ta proposition mais j'ai tout ce qu'il faut. » Elle le lui tendit, le briquet à portée de main. « Ça te dit ? »
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Sam 30 Sep - 20:43
Un faible rire amusé s’échappe de ma bouche, lorsque la jeune femme me gratifie de son majeur. Rire que je réprime cependant bien vite, avant d’arquer faiblement un sourcil à sa réponse. Alors c’est pour ça qu’elle était dans tous ses états, ce soir-là ? Pour une histoire de porte claquée au nez ? Pauvre bichette… Levant les yeux au ciel, j’hausse légèrement les épaules et m’exclame sur un ton dans lequel on peut déceler une toute petite lueur de contrariété : « Des gens qui te claquent la porte au nez, on en trouve dans tous les quartiers… » Certes, celui où je me trouvais cette nuit, n’est pas classé premier sur l’échelle des « quartiers où il fait bon vivre ». Ça, je peux le lui accorder. Mais, franchement… Se baser sur une petite mésaventure comme celle-ci pour juger de la sympathie de tout un quartier ? Elle aurait quand même pu faire mieux. Il y a des cons partout, après tout, et mettre tout le monde dans le même panier n’a jamais été la meilleure façon de faire. Mais soit. Nous ne sommes pas là pour lancer un débat sur les bons et les mauvais quartiers de la ville. Ça ne nous mènerait strictement à rien. M’étirant donc une nouvelle fois, j’esquisse un sourire en coin quelque peu moqueur, quand Ivy me dit avoir un faible pour les bad boys. Croisant mes deux bras sous ma tête, je me sens d’ailleurs presque obligé de pointer du doigt ce manque certain d’originalité et reporte donc mon attention vers la jeune femme, avant de lâcher : « Un faible pour les bad boys ? Comme toutes les nanas, quoi… » Faut croire que mademoiselle « je prône haut et fort ma différence » n’est pas aussi originale qu’elle veut bien le laisser croire. Faudra d’ailleurs m’expliquer cette préférence pour ce genre de mecs… Après les femmes sont les premières à venir pleurer quand ils se montrent un peu trop méchants envers elles. Et chez moi, ce type de comportement, on appelle ça du masochisme… M’enfin… Au pire, elles font ce qu’elles veulent, pas vrai ? Et ce n’est certainement pas la jeune femme ici présente qui me contredirait sur ce point. J’avise d’ailleurs l’air sérieux qu’elle finit par arborer et me contente de lui répondre : « Pas du tout. Je n’cherche pas à te faire comprendre quelque chose en particulier. Interprète-le comme tu veux… » Lui proposant ensuite de lui présenter quelqu’un qui pourrait peut-être satisfaire son présumé manque de substances pas très licites, je laisse de nouveau échapper un rire quand elle me dit avoir déjà tout ce qui lui faut et murmure un « Pourquoi ça ne m’étonne pas ?! » plus pour moi-même qu’autre chose, cela dit, avant de simplement refuser d’un hochement de la tête quand elle me tend son joint. « C’est gentil, merci, mais je préfère garder les idées claires… » Puis, pour être honnête, c’est vraiment pas ma came (ouhloulou, le p’tit jeu de mot). D’ailleurs, c’est peut-être difficile à croire (ou peut-être pas) mais même si j’en ai vendu pendant un temps, je n’ai jamais touché à cette connerie et n’en ai jamais ressenti l’envie ou le besoin. Comme quoi… « Par contre, évite d’enfumer la tente. J’ai pas envie que ça empeste pendant des heures, sinon je s’rais obligé de squatter la tente de quelqu’un d’autre et, toi comme moi, nous savons très bien que je vais t’manquer si je le fais… » Sur ces mots, je la gratifie d’un sourire en coin des plus taquins, mais avant même qu’elle ne puisse répondre, je finis par demander : « Au fait, t’en fumes souvent de ces conneries ? »
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Un faible rire amusé s’échappe de ma bouche, lorsque la jeune femme me gratifie de son majeur. Rire que je réprime cependant bien vite, avant d’arquer faiblement un sourcil à sa réponse. Alors c’est pour ça qu’elle était dans tous ses états, ce soir-là ? Pour une histoire de porte claquée au nez ? Pauvre bichette… Levant les yeux au ciel, j’hausse légèrement les épaules et m’exclame sur un ton dans lequel on peut déceler une toute petite lueur de contrariété : « Des gens qui te claquent la porte au nez, on en trouve dans tous les quartiers… » Certes, celui où je me trouvais cette nuit, n’est pas classé premier sur l’échelle des « quartiers où il fait bon vivre ». Ça, je peux le lui accorder. Mais, franchement… Se baser sur une petite mésaventure comme celle-ci pour juger de la sympathie de tout un quartier ? Elle aurait quand même pu faire mieux. Il y a des cons partout, après tout, et mettre tout le monde dans le même panier n’a jamais été la meilleure façon de faire. Mais soit. Nous ne sommes pas là pour lancer un débat sur les bons et les mauvais quartiers de la ville. Ça ne nous mènerait strictement à rien. M’étirant donc une nouvelle fois, j’esquisse un sourire en coin quelque peu moqueur, quand Ivy me dit avoir un faible pour les bad boys. Croisant mes deux bras sous ma tête, je me sens d’ailleurs presque obligé de pointer du doigt ce manque certain d’originalité et reporte donc mon attention vers la jeune femme, avant de lâcher : « Un faible pour les bad boys ? Comme toutes les nanas, quoi… » Faut croire que mademoiselle « je prône haut et fort ma différence » n’est pas aussi originale qu’elle veut bien le laisser croire. Faudra d’ailleurs m’expliquer cette préférence pour ce genre de mecs… Après les femmes sont les premières à venir pleurer quand ils se montrent un peu trop méchants envers elles. Et chez moi, ce type de comportement, on appelle ça du masochisme… M’enfin… Au pire, elles font ce qu’elles veulent, pas vrai ? Et ce n’est certainement pas la jeune femme ici présente qui me contredirait sur ce point. J’avise d’ailleurs l’air sérieux qu’elle finit par arborer et me contente de lui répondre : « Pas du tout. Je n’cherche pas à te faire comprendre quelque chose en particulier. Interprète-le comme tu veux… » Lui proposant ensuite de lui présenter quelqu’un qui pourrait peut-être satisfaire son présumé manque de substances pas très licites, je laisse de nouveau échapper un rire quand elle me dit avoir déjà tout ce qui lui faut et murmure un « Pourquoi ça ne m’étonne pas ?! » plus pour moi-même qu’autre chose, cela dit, avant de simplement refuser d’un hochement de la tête quand elle me tend son joint. « C’est gentil, merci, mais je préfère garder les idées claires… » Puis, pour être honnête, c’est vraiment pas ma came (ouhloulou, le p’tit jeu de mot). D’ailleurs, c’est peut-être difficile à croire (ou peut-être pas) mais même si j’en ai vendu pendant un temps, je n’ai jamais touché à cette connerie et n’en ai jamais ressenti l’envie ou le besoin. Comme quoi… « Par contre, évite d’enfumer la tente. J’ai pas envie que ça empeste pendant des heures, sinon je s’rais obligé de squatter la tente de quelqu’un d’autre et, toi comme moi, nous savons très bien que je vais t’manquer si je le fais… » Sur ces mots, je la gratifie d’un sourire en coin des plus taquins, mais avant même qu’elle ne puisse répondre, je finis par demander : « Au fait, t’en fumes souvent de ces conneries ? » Code by kerushirei
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Lun 2 Oct - 11:06
Wearing. | Elle n'aurait su expliquer pourquoi, mais elle voyait bien que la vision qu'elle avait exprimé, quant au quartier où ils s'étaient rencontrés, dérangeait Nam Kyung. Peut-être que son regard était devenu un peu plus sombre, ou ses sourcils s'étaient froncés, dans tous les cas, elle avait la sensation que ce qu'elle avait dit ne lui plaisait pas. Elle haussa simplement les épaules, il avait raison au fond, mais encore amère de ses échecs dans ses recherches elle n'avait pas vraiment envie de faire d'effort. Qui plus est, cela évitait à la conversation de s'enliser alors qu'ils n'étaient visiblement pas d'accord, ce qui était du à l'entêtement de Ivy dans l'immédiat il fallait être honnête. La conversation glissa vers un sujet plus neutre, bien que Nam Kyung en profita une nouvelle fois pour lancer une pique à la jeune femme. Elle eut un rire un peu étrange puisqu'elle était allongée. « Certes. Mais c'est rarement avec le bad boy qu'elles restent. » Ivy oui. C'était d'ailleurs souvent elle qui avait presque plus mauvaise réputation que le garçon en question, à la fois à juste titre (il faut dire qu'elle se donnait les moyens d'être à la hauteur de sa « réputation ») et à la fois malgré elle. L'argent de son père adoptif palliait souvent son sale caractère, ses tatouages et ses mauvaises habitudes aux yeux de certains ceci dit. Elle regarda Nam Kyung, un sourire espiègle aux lèvres. « Mais j'ai encore du mal à savoir dans quel camps tu es. » C'est que le coréen avait sa part de mystère, et il intriguait clairement Ivy. Et elle ne pouvait s'empêcher d'essayer de le questionner pour en savoir un peu plus, mais il avait l'art de l'esquive. Ce qui piqua d'ailleurs un peu plus la curiosité de la jeune femme, parce que ce n'était pas une capacité que l'on développait facilement. Soit, Ivy, elle, était plus dans la transparence, et c'est sans gêne qu'elle sortit un joint de son sac. La réflexion de Nam Kyung lui arracha un sourire. « Tu sous-entends que je suis prévisible ? » Elle eut un léger rire, peut-être que sur certains points elle pouvait l'être en effet. Face à son refus elle haussa un sourcil. « Ah ouais ? » Elle reprit son bien, et alors qu'il râlait d'avance, elle le rangea dans la pochette dont elle l'avait sorti. Elle lâcha un rire à remarque, un rire un peu sifflant qui illustra le regard en coin qu'elle lui lança. « Bitch please... » Ne pu-t-elle retenir en anglais. « Je comptais pas le fumer de toute façon. » Elle se rassit sur son lit de fortune, coinçant son coussin entre son buste et ses jambes repliées. Elle avait diminué sa consommation ces derniers temps, elle devait bien le reconnaître. « Quand j'ai envie de me changer les idées, ou quand je m'ennuie. » Ce qui n'était pas le cas à ce moment-là, au contraire. Qui plus est, ces dernières semaines, elle préférait se changer les idées ou se divertir en se plongeant dans des romans qu'elle n'avait pas relu depuis longtemps, ou en écrivant. « Tu t'inquiètes pour mes neurones ? » Répliqua-t-elle rapidement, un sourire taquin aux lèvres. Elle s'amusait à jouer avec les fils qui dépassait de son coussin, reportant son attention sur le livre que lui avait emprunté Nam Kyung. Elle regarda le coréen avec un sourire espiègle aux lèvres et l’œil un peu moqueur. « Et sinon des recommandations à me faire en livres pour enfants ? » Évidemment, c'était pour titiller le coréen, mais elle n'était pas contre quelques découvertes. Elle avait des à priori mais ne demandait qu'à ce qu'on lui mette des petits bijoux dans les mains. « Surprend moi. »
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Lim Nam Kyung & Park R. Ivy
Wearing. | Elle n'aurait su expliquer pourquoi, mais elle voyait bien que la vision qu'elle avait exprimé, quant au quartier où ils s'étaient rencontrés, dérangeait Nam Kyung. Peut-être que son regard était devenu un peu plus sombre, ou ses sourcils s'étaient froncés, dans tous les cas, elle avait la sensation que ce qu'elle avait dit ne lui plaisait pas. Elle haussa simplement les épaules, il avait raison au fond, mais encore amère de ses échecs dans ses recherches elle n'avait pas vraiment envie de faire d'effort. Qui plus est, cela évitait à la conversation de s'enliser alors qu'ils n'étaient visiblement pas d'accord, ce qui était du à l'entêtement de Ivy dans l'immédiat il fallait être honnête. La conversation glissa vers un sujet plus neutre, bien que Nam Kyung en profita une nouvelle fois pour lancer une pique à la jeune femme. Elle eut un rire un peu étrange puisqu'elle était allongée. « Certes. Mais c'est rarement avec le bad boy qu'elles restent. » Ivy oui. C'était d'ailleurs souvent elle qui avait presque plus mauvaise réputation que le garçon en question, à la fois à juste titre (il faut dire qu'elle se donnait les moyens d'être à la hauteur de sa « réputation ») et à la fois malgré elle. L'argent de son père adoptif palliait souvent son sale caractère, ses tatouages et ses mauvaises habitudes aux yeux de certains ceci dit. Elle regarda Nam Kyung, un sourire espiègle aux lèvres. « Mais j'ai encore du mal à savoir dans quel camps tu es. » C'est que le coréen avait sa part de mystère, et il intriguait clairement Ivy. Et elle ne pouvait s'empêcher d'essayer de le questionner pour en savoir un peu plus, mais il avait l'art de l'esquive. Ce qui piqua d'ailleurs un peu plus la curiosité de la jeune femme, parce que ce n'était pas une capacité que l'on développait facilement. Soit, Ivy, elle, était plus dans la transparence, et c'est sans gêne qu'elle sortit un joint de son sac. La réflexion de Nam Kyung lui arracha un sourire. « Tu sous-entends que je suis prévisible ? » Elle eut un léger rire, peut-être que sur certains points elle pouvait l'être en effet. Face à son refus elle haussa un sourcil. « Ah ouais ? » Elle reprit son bien, et alors qu'il râlait d'avance, elle le rangea dans la pochette dont elle l'avait sorti. Elle lâcha un rire à remarque, un rire un peu sifflant qui illustra le regard en coin qu'elle lui lança. « Bitch please... » Ne pu-t-elle retenir en anglais. « Je comptais pas le fumer de toute façon. » Elle se rassit sur son lit de fortune, coinçant son coussin entre son buste et ses jambes repliées. Elle avait diminué sa consommation ces derniers temps, elle devait bien le reconnaître. « Quand j'ai envie de me changer les idées, ou quand je m'ennuie. » Ce qui n'était pas le cas à ce moment-là, au contraire. Qui plus est, ces dernières semaines, elle préférait se changer les idées ou se divertir en se plongeant dans des romans qu'elle n'avait pas relu depuis longtemps, ou en écrivant. « Tu t'inquiètes pour mes neurones ? » Répliqua-t-elle rapidement, un sourire taquin aux lèvres. Elle s'amusait à jouer avec les fils qui dépassait de son coussin, reportant son attention sur le livre que lui avait emprunté Nam Kyung. Elle regarda le coréen avec un sourire espiègle aux lèvres et l’œil un peu moqueur. « Et sinon des recommandations à me faire en livres pour enfants ? » Évidemment, c'était pour titiller le coréen, mais elle n'était pas contre quelques découvertes. Elle avait des à priori mais ne demandait qu'à ce qu'on lui mette des petits bijoux dans les mains. « Surprend moi. »
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Ahn Dae Won
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Dim 5 Nov - 13:20
C'est ce genre d'idées reçues à propos d'un groupe de personnes, voire même d'un quartier tout entier dans le cas présent, qui empêche notre société actuelle d'évoluer. En tout cas, moralement parlant... Tous ces préjugés, ces "on dit" et cette sale manie de mettre tout le monde dans le même panier... C'est agaçant, sérieusement... Alors, certes, même si je ne sais pas exactement ce qui a bien pu la mettre dans tous ses états ce soir là (parce que je doute que le fait de se faire claquer la porte au nez soit la seule raison qui l'ait poussé à s'exciter comme elle l'a fait), je peux concevoir que la demoiselle puisse être en colère. Mais de là à tenir tout un quartier pour responsable de ses malheurs et en cataloguer toutes les personnes qui y vivent... Faut pas exagérer, quoi. Elle aurait très bien pu vivre ce genre d'expériences dans un quartier à la population beaucoup plus aisée. D'ailleurs, heureusement que je ne suis pas du genre à faire de tels amalgames de mon côté parce que vu la réaction de la jeune femme et la mauvaise impression qu'elle m'a laissé, ce jour là, il y aurait eu de quoi en faire... Préférant toutefois ne pas m'éterniser là dessus (et il semblerait que ce soit la même chose du côté de la Sango), notre conversation s'oriente finalement sur les goûts de la demoiselle, en matière de garçons. Je ne peux d'ailleurs m'empêcher d'esquisser un sourire en coin, un brin moqueur, à la réponse de la jeune femme. « Tu m'étonnes qu'elles ne restent pas avec... Faut bien retrouver la raison, un jour ou l'autre... » Et mieux vaut tard que jamais, comme on dit, parce qu'il y a quand même quelques nanas, extrêmement lentes à la détente, qui mettent trois plombes pour comprendre que, non, ce n'est certainement pas avec ce bad boy qu'elles pourront vivre la magnifique histoire d'amour dont elles rêvent depuis qu'elles sont gamines... Les méchants garçons (tout du moins, les vrais) qui deviennent gentils par la seule force de l'amour, c'est du pipeau. Ça n'existe que dans les films et les bouquins, ça... Mais soit. Haussant finalement les épaules, quand Ivy me fait part de ses quelques hésitations me concernant, j'arque légèrement un sourcil. « Dans quel camp je suis ? » Laissant ensuite échapper un faible rire, je finis par poursuivre, quelque peu moqueur : « Au risque de te décevoir, je ne pense pas être un "bad boy"... » Quel dommage... « Cela dit, je ne me considère pas comme un gentil garçon non plus... » En fait, pour tout avouer, moi non plus je ne saurais pas exactement dans quel camp me ranger, la définition du terme "bad boy" pouvant changer d'une personne à l'autre. Car s'il y en a qui, au vue de mon passé et de mes quelques relations, me jugeraient comme tel, d'autres me trouveraient bien trop sympathique pour ça. Par contre, pour ce qui est de la jeune femme, l'avis de la populace semble, quant à lui, être totalement défini. Parce qu'on en entend des choses quand on se balade dans les couloirs du dortoir ou sur le campus de l'Université. Et le fait qu'Ivy puisse pratiquer des rituels chelous dans sa chambre n'est pas la seule chose que j'ai entendu la concernant... M'abstenant toutefois de lui faire part de ces quelques rumeurs que j'ai pu entendre sur elle (je suis certain qu'elle en a déjà eu vent), je laisse échapper un faible soupir et lui réponds : « Prévisible, je n'irai pas jusque là mais... » Mais ? Un sourire en coin, je laisse ma phrase en suspend quelques secondes et ajoute : « Avoue que pour rêver de fricoter avec un vampire, faut vraiment pas avoir toute sa tête, alors ceci pourrait totalement expliquer cela... » Puis, comme pour lui montrer où je veux en venir, une expression des plus taquines prend possession de mon visage et, d'un léger mouvement de la tête, j'indique le joint qu'elle tient dans ses mains. Joint que je finis d'ailleurs par refuser lorsqu'elle me le tend, ce qui semble la surprendre un tantinet. Mais, une fois encore, je me retiens de tout commentaire et me contente de laisser échapper un « Je vois... » quand elle m'annonce la fréquence à laquelle elle fume de ces trucs. M'étirant ensuite légèrement, je secoue brièvement la tête à ses paroles, amusé. Ses neurones ? « Parce qu'il t'en reste ? » Faussement étonné, je finis par lui adresser un sourire similaire au sien et me recouche finalement, les bras croisés sous ma tête, avant de fermer les yeux. Toutefois, je suis rapidement contraint de les rouvrir lorsque de nouveau la voix de la jeune femme s'élève et, arquant un sourcil, je tourne la tête vers elle, à l'évocation de mes "livres pour enfants".. « Si ça continue, j'vais réellement finir par croire que ces trucs que tu fumes ont complètement altérer ton esprit... » Et pour cause... « Déjà tu t'excuses puis ensuite tu sembles éprouver de l'intérêt pour mes livres pour enfants... Tu souffrirais pas d'un trouble de la personnalité, par hasard ?! Une sorte de dédoublement bizarre ? » C'est fou comme j'aime la faire chier. Mais, en même temps, elle me tend les perches pour ça alors pourquoi ne les utiliserai-je pas ? « Plus sérieusement, ça dépend ce que tu aimes, déjà... Horreur, policier, fantastique ? Qu'est-ce qui est le plus susceptible de t’intéresser ? Une histoire d'amour vampirique ? »
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C'est ce genre d'idées reçues à propos d'un groupe de personnes, voire même d'un quartier tout entier dans le cas présent, qui empêche notre société actuelle d'évoluer. En tout cas, moralement parlant... Tous ces préjugés, ces "on dit" et cette sale manie de mettre tout le monde dans le même panier... C'est agaçant, sérieusement... Alors, certes, même si je ne sais pas exactement ce qui a bien pu la mettre dans tous ses états ce soir là (parce que je doute que le fait de se faire claquer la porte au nez soit la seule raison qui l'ait poussé à s'exciter comme elle l'a fait), je peux concevoir que la demoiselle puisse être en colère. Mais de là à tenir tout un quartier pour responsable de ses malheurs et en cataloguer toutes les personnes qui y vivent... Faut pas exagérer, quoi. Elle aurait très bien pu vivre ce genre d'expériences dans un quartier à la population beaucoup plus aisée. D'ailleurs, heureusement que je ne suis pas du genre à faire de tels amalgames de mon côté parce que vu la réaction de la jeune femme et la mauvaise impression qu'elle m'a laissé, ce jour là, il y aurait eu de quoi en faire... Préférant toutefois ne pas m'éterniser là dessus (et il semblerait que ce soit la même chose du côté de la Sango), notre conversation s'oriente finalement sur les goûts de la demoiselle, en matière de garçons. Je ne peux d'ailleurs m'empêcher d'esquisser un sourire en coin, un brin moqueur, à la réponse de la jeune femme. « Tu m'étonnes qu'elles ne restent pas avec... Faut bien retrouver la raison, un jour ou l'autre... » Et mieux vaut tard que jamais, comme on dit, parce qu'il y a quand même quelques nanas, extrêmement lentes à la détente, qui mettent trois plombes pour comprendre que, non, ce n'est certainement pas avec ce bad boy qu'elles pourront vivre la magnifique histoire d'amour dont elles rêvent depuis qu'elles sont gamines... Les méchants garçons (tout du moins, les vrais) qui deviennent gentils par la seule force de l'amour, c'est du pipeau. Ça n'existe que dans les films et les bouquins, ça... Mais soit. Haussant finalement les épaules, quand Ivy me fait part de ses quelques hésitations me concernant, j'arque légèrement un sourcil. « Dans quel camp je suis ? » Laissant ensuite échapper un faible rire, je finis par poursuivre, quelque peu moqueur : « Au risque de te décevoir, je ne pense pas être un "bad boy"... » Quel dommage... « Cela dit, je ne me considère pas comme un gentil garçon non plus... » En fait, pour tout avouer, moi non plus je ne saurais pas exactement dans quel camp me ranger, la définition du terme "bad boy" pouvant changer d'une personne à l'autre. Car s'il y en a qui, au vue de mon passé et de mes quelques relations, me jugeraient comme tel, d'autres me trouveraient bien trop sympathique pour ça. Par contre, pour ce qui est de la jeune femme, l'avis de la populace semble, quant à lui, être totalement défini. Parce qu'on en entend des choses quand on se balade dans les couloirs du dortoir ou sur le campus de l'Université. Et le fait qu'Ivy puisse pratiquer des rituels chelous dans sa chambre n'est pas la seule chose que j'ai entendu la concernant... M'abstenant toutefois de lui faire part de ces quelques rumeurs que j'ai pu entendre sur elle (je suis certain qu'elle en a déjà eu vent), je laisse échapper un faible soupir et lui réponds : « Prévisible, je n'irai pas jusque là mais... » Mais ? Un sourire en coin, je laisse ma phrase en suspend quelques secondes et ajoute : « Avoue que pour rêver de fricoter avec un vampire, faut vraiment pas avoir toute sa tête, alors ceci pourrait totalement expliquer cela... » Puis, comme pour lui montrer où je veux en venir, une expression des plus taquines prend possession de mon visage et, d'un léger mouvement de la tête, j'indique le joint qu'elle tient dans ses mains. Joint que je finis d'ailleurs par refuser lorsqu'elle me le tend, ce qui semble la surprendre un tantinet. Mais, une fois encore, je me retiens de tout commentaire et me contente de laisser échapper un « Je vois... » quand elle m'annonce la fréquence à laquelle elle fume de ces trucs. M'étirant ensuite légèrement, je secoue brièvement la tête à ses paroles, amusé. Ses neurones ? « Parce qu'il t'en reste ? » Faussement étonné, je finis par lui adresser un sourire similaire au sien et me recouche finalement, les bras croisés sous ma tête, avant de fermer les yeux. Toutefois, je suis rapidement contraint de les rouvrir lorsque de nouveau la voix de la jeune femme s'élève et, arquant un sourcil, je tourne la tête vers elle, à l'évocation de mes "livres pour enfants".. « Si ça continue, j'vais réellement finir par croire que ces trucs que tu fumes ont complètement altérer ton esprit... » Et pour cause... « Déjà tu t'excuses puis ensuite tu sembles éprouver de l'intérêt pour mes livres pour enfants... Tu souffrirais pas d'un trouble de la personnalité, par hasard ?! Une sorte de dédoublement bizarre ? » C'est fou comme j'aime la faire chier. Mais, en même temps, elle me tend les perches pour ça alors pourquoi ne les utiliserai-je pas ? « Plus sérieusement, ça dépend ce que tu aimes, déjà... Horreur, policier, fantastique ? Qu'est-ce qui est le plus susceptible de t’intéresser ? Une histoire d'amour vampirique ? » | IT'S YOU He looks at her like he just realized |
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Mar 14 Nov - 16:33
Wearing. | Être avec un « bad boy » comme elle aimait le dire en riant, Ivy avait donné et elle y avait laissé des plumes. Elle s'était elle-même brisée le cœur en mettant fin à sa dernière relation, mais lui, il lui avait brisé l'âme. Alors Nam Kyung ne pensait pas aussi bien dire, il fallait savoir revenir à la raison, même si c'était douloureux. Elle se contenta de hocher la tête en pinçant les lèvres dans un pseudo-sourire. Ses lèvres s'étirèrent enfin dans un sourire plus sincère et surtout espiègle alors que Nam Kyung semblait ne pas savoir se définir complètement. « Je vois... » Son œil rieur croisa le regard du coréen. « J'adore dévoiler les énigmes. » Et allez savoir pourquoi, elle se disait que la tâche ne s'annonçait pas aisée, ce qui n'était que plus savoureux au final. Elle avait déjà, à quelques reprises, pu se rendre compte que l'étudiant était plein de contradictions, il avait une personnalité complexe et c'était ce qu'elle aimait et recherchait chez les gens (comme pour les livres en fait). Visiblement, il ne pouvait pas en dire autant d'elle, mais apparaître comme excentrique, bizarre voire même folle ne la dérangeait plus, elle assumait ce titre, sa petite réputation de sorcière lui plaisait même. Elle lâcha un petit rire qui ressembla aussi à un grognement. « Pas de ma faute si je suis sensible au charisme et aux jolis sourires. » Et puis donnez-lui une raison d'arrêter de vouloir fricoter avec un vampire, elle la saisira. Sur ce, elle rangea le fameux objet qui semblait être la source de tous ses maux selon Nam Kyung. Si elle avait pensé pouvoir le taquiner, elle n'avait jamais pensé pouvoir lui rabattre le caquet. « C'est surtout qu'il doit pas m'en rester beaucoup pour vouloir discuter avec toi... » Elle fronça le nez dans une moue quelque peu enfantine. Néanmoins, elle n'avait pas envie de sortir, au contraire, elle était plutôt bien là. Elle aima son petit effet de surprise en lançant son défi au coréen, mais n'en montra rien, elle se contenta simplement d'afficher une moue qu'elle voulait blasée pour toute réponses à ses moqueries. Et si Nam Kyung pensait qu'elle allait l'aider et lui faciliter la chose, c'était bien mal la connaître. Elle haussa les épaules, un sourire légèrement en coin aux lèvres. « J't'ai dis, surprend moi ! Manquerait plus que j't- » Elle fût coupée par Mo Yeon qui l'appelait depuis l'extérieur de la tente, Ivy poussa un soupir mais se redressa malgré tout. « J'arrive ! » Elle se retourna vers Nam Kyung. « Tu n'as qu'à faire de ça ton challenge. Propose-moi LE manga qui me fera regretter de m'être moquée de tes lectures toute ma vie. » Elle commença à se diriger vers la sortie de leur tente. « Je suis ton challenge. » Un sourire en coin aux lèvres, elle allait sortir avant de se raviser. « Et prend soin de mon bébé sinon j'te tue. » Elle pointa ledit bébé, à savoir son livre tout en parlant, avant de finalement sortir de la tente. Encore amusée par cet échange, elle souriait encore en enfilant ses chaussures avant de finalement rejoindre Mo Yeon.
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Wearing. | Être avec un « bad boy » comme elle aimait le dire en riant, Ivy avait donné et elle y avait laissé des plumes. Elle s'était elle-même brisée le cœur en mettant fin à sa dernière relation, mais lui, il lui avait brisé l'âme. Alors Nam Kyung ne pensait pas aussi bien dire, il fallait savoir revenir à la raison, même si c'était douloureux. Elle se contenta de hocher la tête en pinçant les lèvres dans un pseudo-sourire. Ses lèvres s'étirèrent enfin dans un sourire plus sincère et surtout espiègle alors que Nam Kyung semblait ne pas savoir se définir complètement. « Je vois... » Son œil rieur croisa le regard du coréen. « J'adore dévoiler les énigmes. » Et allez savoir pourquoi, elle se disait que la tâche ne s'annonçait pas aisée, ce qui n'était que plus savoureux au final. Elle avait déjà, à quelques reprises, pu se rendre compte que l'étudiant était plein de contradictions, il avait une personnalité complexe et c'était ce qu'elle aimait et recherchait chez les gens (comme pour les livres en fait). Visiblement, il ne pouvait pas en dire autant d'elle, mais apparaître comme excentrique, bizarre voire même folle ne la dérangeait plus, elle assumait ce titre, sa petite réputation de sorcière lui plaisait même. Elle lâcha un petit rire qui ressembla aussi à un grognement. « Pas de ma faute si je suis sensible au charisme et aux jolis sourires. » Et puis donnez-lui une raison d'arrêter de vouloir fricoter avec un vampire, elle la saisira. Sur ce, elle rangea le fameux objet qui semblait être la source de tous ses maux selon Nam Kyung. Si elle avait pensé pouvoir le taquiner, elle n'avait jamais pensé pouvoir lui rabattre le caquet. « C'est surtout qu'il doit pas m'en rester beaucoup pour vouloir discuter avec toi... » Elle fronça le nez dans une moue quelque peu enfantine. Néanmoins, elle n'avait pas envie de sortir, au contraire, elle était plutôt bien là. Elle aima son petit effet de surprise en lançant son défi au coréen, mais n'en montra rien, elle se contenta simplement d'afficher une moue qu'elle voulait blasée pour toute réponses à ses moqueries. Et si Nam Kyung pensait qu'elle allait l'aider et lui faciliter la chose, c'était bien mal la connaître. Elle haussa les épaules, un sourire légèrement en coin aux lèvres. « J't'ai dis, surprend moi ! Manquerait plus que j't- » Elle fût coupée par Mo Yeon qui l'appelait depuis l'extérieur de la tente, Ivy poussa un soupir mais se redressa malgré tout. « J'arrive ! » Elle se retourna vers Nam Kyung. « Tu n'as qu'à faire de ça ton challenge. Propose-moi LE manga qui me fera regretter de m'être moquée de tes lectures toute ma vie. » Elle commença à se diriger vers la sortie de leur tente. « Je suis ton challenge. » Un sourire en coin aux lèvres, elle allait sortir avant de se raviser. « Et prend soin de mon bébé sinon j'te tue. » Elle pointa ledit bébé, à savoir son livre tout en parlant, avant de finalement sortir de la tente. Encore amusée par cet échange, elle souriait encore en enfilant ses chaussures avant de finalement rejoindre Mo Yeon.
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Re: [EVENT SANGO] Au détour d'une page feat. Lim Nam Kyung | Mer 22 Nov - 23:38
Les énigmes... Personnellement, je n'ai pas la prétention de dire que j'en constitue une. Certes, je ne parle pas beaucoup de moi. C'est même très rare en fait et, pour cette raison, on m'a souvent reproché d'être trop mystérieux. Mais c'est loin d'être quelque chose de volontaire. Du moins, pas toujours... M'enfin, c'que je veux dire c'est que ce n'est pas un trait de ma personnalité que je cherche forcément à mettre en avant. Parce qu'il y a des gens qui aiment jouer de ça pour plaire. Après tout, le mystère et l'inconnu ont toujours attiré. Mais, en ce qui me concerne, je suis juste comme ça, c'est tout. Bien sûr, comme la plupart des gens, il y a certaines choses que je préfère garder pour moi, bien enfouies. Ou, en tout cas, que je ne souhaite pas révéler au premier venu. Mais, en général, si je me dévoile si peu devant les autres c'est surtout parce que je n'en vois pas vraiment l'intérêt. En quoi la vie d'un orphelin serait-elle intéressante, après tout ? Je vous le demande... Alors que la jeune femme me voit comme une énigme à déchiffrer, ça me fait rire. Me contentant toutefois d'hausser les épaules pour seule réponse, je ne peux m'empêcher de rouler des yeux en entendant Ivy m'expliquer le pourquoi de son attirance pour les vampires. Franchement, cette nana n'a pas fini de m'étonner. « Je te trouvais déjà bien assez grave de base mais là... » Laissant ma phrase en suspend, je regarde la jeune femme ranger son joint et un sourire en coin des plus amusés prend possession de mes lèvres, quand elle répond à ma taquinerie. Bon, ok ! Je l'admets... Elle est dotée d'une assez bonne répartie. Pas aussi géniale que la mienne, cela va sans dire. Toutefois, elle s'défend bien... Je serais d'ailleurs presque tenté de répliquer pour voir jusqu'où elle peut aller mais, finalement, c'est d'un simple « C'est évident... » balancé sur un ton tout ce qu'il y a de plus ironique, dont je me contente, avant de lever les yeux au ciel. Puis, une moue à la fois étonnée et curieuse accrochée au visage de voir Ivy s'intéresser à ces « livres pour enfants », comme elle semble aimer nommer les mangas, je suis toutefois contraint d'accepter le fait que c'est sans indice qu'il me faudra relever le défis qu'elle m'a lancé, lorsque ma meilleure amie l'interpelle, réclamant qu'elle la rejoigne à l'extérieur de la tente. M'allongeant donc de nouveau, non sans laisser échapper un léger soupire, je m'empare du livre d'Ivy et l'ouvre à la page où je me suis arrêté lorsqu'elle est venue m'interrompre, avant de lever les yeux au ciel à la dernière menace qu'elle prolifère à mon égard quand elle quitte la tente... En effet. Cette nana n'a vraiment pas fini de m'étonner...
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Les énigmes... Personnellement, je n'ai pas la prétention de dire que j'en constitue une. Certes, je ne parle pas beaucoup de moi. C'est même très rare en fait et, pour cette raison, on m'a souvent reproché d'être trop mystérieux. Mais c'est loin d'être quelque chose de volontaire. Du moins, pas toujours... M'enfin, c'que je veux dire c'est que ce n'est pas un trait de ma personnalité que je cherche forcément à mettre en avant. Parce qu'il y a des gens qui aiment jouer de ça pour plaire. Après tout, le mystère et l'inconnu ont toujours attiré. Mais, en ce qui me concerne, je suis juste comme ça, c'est tout. Bien sûr, comme la plupart des gens, il y a certaines choses que je préfère garder pour moi, bien enfouies. Ou, en tout cas, que je ne souhaite pas révéler au premier venu. Mais, en général, si je me dévoile si peu devant les autres c'est surtout parce que je n'en vois pas vraiment l'intérêt. En quoi la vie d'un orphelin serait-elle intéressante, après tout ? Je vous le demande... Alors que la jeune femme me voit comme une énigme à déchiffrer, ça me fait rire. Me contentant toutefois d'hausser les épaules pour seule réponse, je ne peux m'empêcher de rouler des yeux en entendant Ivy m'expliquer le pourquoi de son attirance pour les vampires. Franchement, cette nana n'a pas fini de m'étonner. « Je te trouvais déjà bien assez grave de base mais là... » Laissant ma phrase en suspend, je regarde la jeune femme ranger son joint et un sourire en coin des plus amusés prend possession de mes lèvres, quand elle répond à ma taquinerie. Bon, ok ! Je l'admets... Elle est dotée d'une assez bonne répartie. Pas aussi géniale que la mienne, cela va sans dire. Toutefois, elle s'défend bien... Je serais d'ailleurs presque tenté de répliquer pour voir jusqu'où elle peut aller mais, finalement, c'est d'un simple « C'est évident... » balancé sur un ton tout ce qu'il y a de plus ironique, dont je me contente, avant de lever les yeux au ciel. Puis, une moue à la fois étonnée et curieuse accrochée au visage de voir Ivy s'intéresser à ces « livres pour enfants », comme elle semble aimer nommer les mangas, je suis toutefois contraint d'accepter le fait que c'est sans indice qu'il me faudra relever le défis qu'elle m'a lancé, lorsque ma meilleure amie l'interpelle, réclamant qu'elle la rejoigne à l'extérieur de la tente. M'allongeant donc de nouveau, non sans laisser échapper un léger soupire, je m'empare du livre d'Ivy et l'ouvre à la page où je me suis arrêté lorsqu'elle est venue m'interrompre, avant de lever les yeux au ciel à la dernière menace qu'elle prolifère à mon égard quand elle quitte la tente... En effet. Cette nana n'a vraiment pas fini de m'étonner... | IT'S YOU He looks at her like he just realized |
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